Le journal de Québec en Lock Out
Le Journal de Québec décrète son 1er Look Out de son Histoire, le journal continura a etre publier se basant sur les nouvelels du
Journal de Montreal
Lock-out au Journal de Québec
Les pressiers déclenchent une grève
La centaine de pressiers du Journal de Québec appuient leurs collègues de la rédaction et de bureau, et ils ont décidé de déclencher une grève.
Quebecor les avait pourtant invités à rentrer au travail, mais ils jugent que le lock-out est injustifié.
Après quatre mois de négociations, la partie patronale a décrété dimanche un lock-out de ses 150 employés de bureau et de la rédaction.
Malgré tout, la partie patronale assure que le quotidien sera publié lundi matin.
Les cadres de l'entreprise pourraient produire Le Journal de Québec. Le syndicat craint plutôt que le quotidien soit imprimé à Toronto.
selon LCN
Radio publie un autre texte:
Journal de Québec
Quebecor décrète un lock-out
Mise à jour le dimanche 22 avril 2007, 17 h 03 .
Le Journal de Québec
Pour la première fois de son histoire, la direction du Journal de Québec a décrété un lock-out, dimanche matin. Les négociations entre le syndicat et la partie patronale sont rompues depuis trois semaines.
La décision de Quebecor touche 140 journalistes et employés de bureau. Lors d'une assemblée spéciale des trois syndicats tenue dimanche soir, les employés de l'imprimerie, qui n'étaient pourtant pas concernés par cet arrêt de travail, ont décidé d'appuyer massivement leurs collègues en lock-out et de déclencher la grève immédiatement.
La direction a exprimé son intention de continuer à publier le Journal de Québec en se servant d'articles du Journal de Montréal et d'une équipe de cadres en place à Québec, selon le porte-parole de Quebecor Média, Luc Lavoie.
Débat autour de la contre-proposition syndicale
Luc Lavoie, vice-président exécutif aux Affaires corporatives de Quebecor
Luc Lavoie, vice-président exécutif aux Affaires corporatives de Quebecor
Quebecor exige des concessions de la part de ses employés. La direction veut répartir les heures de travail hebdomadaire sur cinq jours, au lieu de quatre. Elle veut aussi réduire la main-d'oeuvre en centralisant certains services, comme les annonces classées.
Selon Luc Lavoie, ces mesures sont essentielles dans le cadre de la mutation profonde que traverse l'industrie des journaux, notamment avec le développement de l'Internet. Il souligne que les revenus et les marges de profit des journaux s'écroulent.
Luc Lavoie déplore aussi le fait que le syndicat n'a toujours pas fait de contre-proposition depuis le rejet des offres patronales, en février. Mais les représentants des employés disent qu'ils ont bel et bien présenté une contre-proposition, qui n'a cependant pas satisfait la direction du groupe.
Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction au Journal de Québec
Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction au Journal de Québec
« Il n'y a aucune raison de décréter un lock-out, d'autant plus qu'on ne sent aucune volonté de l'employeur de négocier. Il veut nous imposer des choses, il ne veut rien bouger », a déclaré Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction du Journal de Québec.
Le syndicat estime d'ailleurs que ce conflit a été créé de toutes pièces par la direction. Le lock-out « a été planifié par Quebecor depuis plus de six mois », a indiqué M. Bolduc. Le syndicat est en mesure de le prouver grâce à des notes et photos d'« une salle de presse qui a été montée au troisième étage du Toronto Sun, à Montréal, depuis longtemps », a-t-il ajouté.
Rappelons que les négociations au Journal de Québec ont débuté en décembre 2006. La partie patronale a déposé une offre globale le 20 février dernier. Seul le syndicat des représentants des ventes a accepté la proposition de l'employeur, ce qui a mené à la signature de leur nouvelle convention collective, le 2 mars.
Radio-canada Québec --Message edité par londo33 le 2007-04-23 18:23:42--
Journal de Montreal
Lock-out au Journal de Québec
Les pressiers déclenchent une grève
La centaine de pressiers du Journal de Québec appuient leurs collègues de la rédaction et de bureau, et ils ont décidé de déclencher une grève.
Quebecor les avait pourtant invités à rentrer au travail, mais ils jugent que le lock-out est injustifié.
Après quatre mois de négociations, la partie patronale a décrété dimanche un lock-out de ses 150 employés de bureau et de la rédaction.
Malgré tout, la partie patronale assure que le quotidien sera publié lundi matin.
Les cadres de l'entreprise pourraient produire Le Journal de Québec. Le syndicat craint plutôt que le quotidien soit imprimé à Toronto.
selon LCN
Radio publie un autre texte:
Journal de Québec
Quebecor décrète un lock-out
Mise à jour le dimanche 22 avril 2007, 17 h 03 .
Le Journal de Québec
Pour la première fois de son histoire, la direction du Journal de Québec a décrété un lock-out, dimanche matin. Les négociations entre le syndicat et la partie patronale sont rompues depuis trois semaines.
La décision de Quebecor touche 140 journalistes et employés de bureau. Lors d'une assemblée spéciale des trois syndicats tenue dimanche soir, les employés de l'imprimerie, qui n'étaient pourtant pas concernés par cet arrêt de travail, ont décidé d'appuyer massivement leurs collègues en lock-out et de déclencher la grève immédiatement.
La direction a exprimé son intention de continuer à publier le Journal de Québec en se servant d'articles du Journal de Montréal et d'une équipe de cadres en place à Québec, selon le porte-parole de Quebecor Média, Luc Lavoie.
Débat autour de la contre-proposition syndicale
Luc Lavoie, vice-président exécutif aux Affaires corporatives de Quebecor
Luc Lavoie, vice-président exécutif aux Affaires corporatives de Quebecor
Quebecor exige des concessions de la part de ses employés. La direction veut répartir les heures de travail hebdomadaire sur cinq jours, au lieu de quatre. Elle veut aussi réduire la main-d'oeuvre en centralisant certains services, comme les annonces classées.
Selon Luc Lavoie, ces mesures sont essentielles dans le cadre de la mutation profonde que traverse l'industrie des journaux, notamment avec le développement de l'Internet. Il souligne que les revenus et les marges de profit des journaux s'écroulent.
Luc Lavoie déplore aussi le fait que le syndicat n'a toujours pas fait de contre-proposition depuis le rejet des offres patronales, en février. Mais les représentants des employés disent qu'ils ont bel et bien présenté une contre-proposition, qui n'a cependant pas satisfait la direction du groupe.
Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction au Journal de Québec
Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction au Journal de Québec
« Il n'y a aucune raison de décréter un lock-out, d'autant plus qu'on ne sent aucune volonté de l'employeur de négocier. Il veut nous imposer des choses, il ne veut rien bouger », a déclaré Denis Bolduc, président du syndicat de la rédaction du Journal de Québec.
Le syndicat estime d'ailleurs que ce conflit a été créé de toutes pièces par la direction. Le lock-out « a été planifié par Quebecor depuis plus de six mois », a indiqué M. Bolduc. Le syndicat est en mesure de le prouver grâce à des notes et photos d'« une salle de presse qui a été montée au troisième étage du Toronto Sun, à Montréal, depuis longtemps », a-t-il ajouté.
Rappelons que les négociations au Journal de Québec ont débuté en décembre 2006. La partie patronale a déposé une offre globale le 20 février dernier. Seul le syndicat des représentants des ventes a accepté la proposition de l'employeur, ce qui a mené à la signature de leur nouvelle convention collective, le 2 mars.
Radio-canada Québec --Message edité par londo33 le 2007-04-23 18:23:42--
Membre de Lassociation des Resumeures ls4... (ARLS).....LOndo33 votre resumeures...
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vive le journal le soleil
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
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NetRoll a écritils ont dit qu'il n'y aurait pas d'interruption du tirage.
Effectivement, il est imprimé ailleurs.
Je ne prendrai pas trop parti dans ce débat.
Tout ce que je peux dire est que la base est oubliée dans tout ça comme d'habitude.
Les camelots recoivent depuis des lustres toujours la même ristourne sur chaque journal. Ça n'a pas changé depuis longtemps.
Ça ne semble pas émouvoir ni la partie patronale, ni la partie syndicale. Ce sont pourtant eux qui sont les plus proches représentants du Journal face aux clients, ainsi que ceux qui livrent aux camelots et aux commerces.
Il y a pénurie de camelots un peu partout. De plus en plus de secteurs ne sont pas couverts.
Comment voulez-vous rentabiliser un journal quand il n'y a personne pour le rendre aux clients?
Mais ce n'est pas unique au Journal de Québec ça, c'est partout pareil.
Effectivement, il est imprimé ailleurs.
Je ne prendrai pas trop parti dans ce débat.
Tout ce que je peux dire est que la base est oubliée dans tout ça comme d'habitude.
Les camelots recoivent depuis des lustres toujours la même ristourne sur chaque journal. Ça n'a pas changé depuis longtemps.
Ça ne semble pas émouvoir ni la partie patronale, ni la partie syndicale. Ce sont pourtant eux qui sont les plus proches représentants du Journal face aux clients, ainsi que ceux qui livrent aux camelots et aux commerces.
Il y a pénurie de camelots un peu partout. De plus en plus de secteurs ne sont pas couverts.
Comment voulez-vous rentabiliser un journal quand il n'y a personne pour le rendre aux clients?
Mais ce n'est pas unique au Journal de Québec ça, c'est partout pareil.
Le Journal de Québec de ce matin ressemble plsu au Journal de Montreal, il ya une equipe de Cadre, qui sont a Québec, a parament que le Journal est Imprimé a Toronto.
Espéront que le conflit ne soit pas trop long, car je crois que les vente du Soleil vont augmenter, car c est les seul a couvrir les Capitales de Québec sur la route, mais dison que je ne comprend pas les pressiers , car leur convention est réglé.
Espéront que le conflit ne soit pas trop long, car je crois que les vente du Soleil vont augmenter, car c est les seul a couvrir les Capitales de Québec sur la route, mais dison que je ne comprend pas les pressiers , car leur convention est réglé.
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londo33 a écritLe Journal de Québec de ce matin ressemble plsu au Journal de Montreal, il ya une equipe de Cadre, qui sont a Québec, a parament que le Journal est Imprimé a Toronto.
Espéront que le conflit ne soit pas trop long, car je crois que les vente du Soleil vont augmenter, car c est les seul a couvrir les Capitales de Québec sur la route, mais dison que je ne comprend pas les pressiers , car leur convention est réglé.
La convention des pressiers n'est pas réglée puisqu'ils sont en grève. Je n'ai jamais entendu parlé d'une entente.
Espéront que le conflit ne soit pas trop long, car je crois que les vente du Soleil vont augmenter, car c est les seul a couvrir les Capitales de Québec sur la route, mais dison que je ne comprend pas les pressiers , car leur convention est réglé.
La convention des pressiers n'est pas réglée puisqu'ils sont en grève. Je n'ai jamais entendu parlé d'une entente.
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Lock-out au Journal de Québec : les grévistes lancent un journal
Le 24 avril 2007 - 10:45 | Presse Canadienne
Lock-out au Journal de Québec
Les employés du Journal de Québec mis en lock-out et les pressiers qui ont déclenché la grève immédiatement après, distribuent ce mardi matin leur propre journal, une publication gratuite intitulée «Média Matin Québec». Le tout premier numéro, qui a été produit à Québec à 40 000 exemplaires, propose 24 pages de nouvelles imprimées sur des pages contenant des photographies en couleur.
Son éditeur est l'Union des syndicats du Journal de Québec, avec à sa tête Denis Bolduc, porte-parole des employés mis en lock-out par la direction de Quebecor Media. Une seule publicité a été mise en page, mardi, celle du syndicat canadien de la Fonction publique. Pour sa part, l'homme d'affaires Jacques Tanguay, un important annonceur pour Le Soleil et le Journal de Québec, pourrait renoncer à placer des publicités dans le quotidien de Quebecor si le lock-out et la grève continuent.
Lors d'un entretien au Soleil, M. Tanguay a souligné que sa publicité cherchait à apporter de la notoriété à son entreprise et qu'il lui était surtout important d'éviter la controverse, ce qui est difficile lorsqu'éclate un conflit de travail, à son avis. Entre-temps, le Journal de Québec, qui est imprimé et mis en page ailleurs qu'à Québec, est réalisé par des employés cadres. Il est lui aussi distribué.
M. Bolduc, entouré de quelques-uns des journalistes de Média Matin Québec, préciseront leurs intentions lors d'une conférence de presse, mardi matin, à 10h30, à Québec. Ils promettent de publier leur journal du lundi au vendredi; il est imprimé par Les Presses du Fleuve, à Montmagny.
Entre-temps, un grief a été déposé à la direction du Journal de Montréal. Le Syndicat des journalistes mis en lock-out à Québec entend faire appel à un arbitre, affirmant que la convention collective stipule que l'employeur ne peut demander à un salarié d'effectuer un travail qui sera acheminé à une entreprise de Quebecor qui exerce la même fonction et qui est en grève ou en lock-out.
La présidente du syndicat du quotidien montréalais, Chantale Léveillée, signale que les journalistes songent à refuser de signer leurs textes. Cette éventualité sera discutée en assemblée générale spéciale, mercredi. Pour leur part, les ex-politiciens Lise Payette, Joseph Facal et Sheila Copps, qui signent des chroniques dans le Journal de Québec, sont mal à l'aise avec le conflit de travail qui vient d'éclater. Les deux premiers se demandent s'ils continueront d'y travailler; ils se donnent quelques autres heures de réflexion.
Seule Mme Copps a affirmé au journal Le Soleil qu'elle poursuivra sa collaboration, voulant respecter son contrat avec le Journal de Montréal qui, rappelle-t-elle, fait la distribution des chroniques que reprend le Journal de Québec. Quant au chroniqueur Richard Martineau, il explique en entrevue à La Presse ne pas connaître les enjeux du conflit.
Le 24 avril 2007 - 10:45 | Presse Canadienne
Lock-out au Journal de Québec
Les employés du Journal de Québec mis en lock-out et les pressiers qui ont déclenché la grève immédiatement après, distribuent ce mardi matin leur propre journal, une publication gratuite intitulée «Média Matin Québec». Le tout premier numéro, qui a été produit à Québec à 40 000 exemplaires, propose 24 pages de nouvelles imprimées sur des pages contenant des photographies en couleur.
Son éditeur est l'Union des syndicats du Journal de Québec, avec à sa tête Denis Bolduc, porte-parole des employés mis en lock-out par la direction de Quebecor Media. Une seule publicité a été mise en page, mardi, celle du syndicat canadien de la Fonction publique. Pour sa part, l'homme d'affaires Jacques Tanguay, un important annonceur pour Le Soleil et le Journal de Québec, pourrait renoncer à placer des publicités dans le quotidien de Quebecor si le lock-out et la grève continuent.
Lors d'un entretien au Soleil, M. Tanguay a souligné que sa publicité cherchait à apporter de la notoriété à son entreprise et qu'il lui était surtout important d'éviter la controverse, ce qui est difficile lorsqu'éclate un conflit de travail, à son avis. Entre-temps, le Journal de Québec, qui est imprimé et mis en page ailleurs qu'à Québec, est réalisé par des employés cadres. Il est lui aussi distribué.
M. Bolduc, entouré de quelques-uns des journalistes de Média Matin Québec, préciseront leurs intentions lors d'une conférence de presse, mardi matin, à 10h30, à Québec. Ils promettent de publier leur journal du lundi au vendredi; il est imprimé par Les Presses du Fleuve, à Montmagny.
Entre-temps, un grief a été déposé à la direction du Journal de Montréal. Le Syndicat des journalistes mis en lock-out à Québec entend faire appel à un arbitre, affirmant que la convention collective stipule que l'employeur ne peut demander à un salarié d'effectuer un travail qui sera acheminé à une entreprise de Quebecor qui exerce la même fonction et qui est en grève ou en lock-out.
La présidente du syndicat du quotidien montréalais, Chantale Léveillée, signale que les journalistes songent à refuser de signer leurs textes. Cette éventualité sera discutée en assemblée générale spéciale, mercredi. Pour leur part, les ex-politiciens Lise Payette, Joseph Facal et Sheila Copps, qui signent des chroniques dans le Journal de Québec, sont mal à l'aise avec le conflit de travail qui vient d'éclater. Les deux premiers se demandent s'ils continueront d'y travailler; ils se donnent quelques autres heures de réflexion.
Seule Mme Copps a affirmé au journal Le Soleil qu'elle poursuivra sa collaboration, voulant respecter son contrat avec le Journal de Montréal qui, rappelle-t-elle, fait la distribution des chroniques que reprend le Journal de Québec. Quant au chroniqueur Richard Martineau, il explique en entrevue à La Presse ne pas connaître les enjeux du conflit.
Prière et chant religieux
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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Un juge rejette la demande du Journal de Québec concernant Média Matin
Le 26 avril 2007 - 18:33 | Presse Canadienne
Les syndiqués lock-outés du Journal de Québec pourront continuer à publier, du moins pour le moment, le quotidien gratuit qu'ils ont lancé lundi dernier.
Le juge Normand Gosselin de la Cour supérieure a en effet rejeté jeudi une demande d'injonction de la direction du Journal de Québec. Cette dernière demandait que cesse la parution de ce quotidien intitulé Média Matin Québec, qui est distribué gratuitement aux quatre coins de la ville.
"C'est la démonstration que notre moyen de pression fonctionne. Notre réponse au lock-out de Quebecor leur fait mal", a réagi le président du Syndicat des journalistes du Journal de Québec, Denis Bolduc.
Mercredi soir, la direction du Journal de Québec avait transmis au syndicat de ses journalistes une mise en demeure leur enjoignant de cesser de publier le journal parallèle lancé depuis le début de la semaine.
"L'édition de ce quotidien constitue à l'évidence un acte de déloyauté qui contrevient aux obligations fondamentales découlant de la relation employeur-employé qui existe entre nous", a soutenu le président de Quebecor Média Pierre Francoeur, dans une mise en demeure transmise aux syndiqués.
Le juge Gosselin a toutefois rejeté la demande d'injonction pour le moment. Le fond de la demande sera cependant analysé par la Cour à une date ultérieure, vraisemblablement le 4 mai prochain.
C'est dimanche dernier que la direction de l'entreprise a décrété un lock-out contre les membres de trois syndicats du Journal de Québec, celui des journalistes, celui des employés de l'imprimerie et celui des employés de bureau, tous affiliés au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP-FTQ). Le Journal de Québec a néanmoins continué à paraître grâce aux cadres de l'entreprise.
Mais les lock-outés ont lancé dès mardi un journal parallèle gratuit.
Entre-temps, les deux parties s'accusent d'être responsables de la mauvaise tournure du conflit de travail.
Le directeur de l'information du Journal de Québec, Donald Charette, a soutenu que la direction de l'entreprise espère le retour des syndiqués à la table de négociations.
"On attend qu'ils bougent, car on négocie depuis cinq mois. On attend des contre-propositions de leur part", a déclaré M. Charette.
Par contre, le porte-parole des trois syndicats en lock-out, Denis Bolduc, qui est en même temps président du Syndicat des journalistes, affirme que ses membres "attendent un signe positif" de la part de la partie patronale.
En attendant, les syndiqués entendent continuer la publication du Média Matin Québec, a-t-il expliqué.
Les négociations achoppent sur plusieurs points, notamment sur la sous-traitance, sur la tâche élargie de travail et sur le rallongement sans compensation financière de quatre à cinq jours de la semaine régulière de travail.
Le 26 avril 2007 - 18:33 | Presse Canadienne
Les syndiqués lock-outés du Journal de Québec pourront continuer à publier, du moins pour le moment, le quotidien gratuit qu'ils ont lancé lundi dernier.
Le juge Normand Gosselin de la Cour supérieure a en effet rejeté jeudi une demande d'injonction de la direction du Journal de Québec. Cette dernière demandait que cesse la parution de ce quotidien intitulé Média Matin Québec, qui est distribué gratuitement aux quatre coins de la ville.
"C'est la démonstration que notre moyen de pression fonctionne. Notre réponse au lock-out de Quebecor leur fait mal", a réagi le président du Syndicat des journalistes du Journal de Québec, Denis Bolduc.
Mercredi soir, la direction du Journal de Québec avait transmis au syndicat de ses journalistes une mise en demeure leur enjoignant de cesser de publier le journal parallèle lancé depuis le début de la semaine.
"L'édition de ce quotidien constitue à l'évidence un acte de déloyauté qui contrevient aux obligations fondamentales découlant de la relation employeur-employé qui existe entre nous", a soutenu le président de Quebecor Média Pierre Francoeur, dans une mise en demeure transmise aux syndiqués.
Le juge Gosselin a toutefois rejeté la demande d'injonction pour le moment. Le fond de la demande sera cependant analysé par la Cour à une date ultérieure, vraisemblablement le 4 mai prochain.
C'est dimanche dernier que la direction de l'entreprise a décrété un lock-out contre les membres de trois syndicats du Journal de Québec, celui des journalistes, celui des employés de l'imprimerie et celui des employés de bureau, tous affiliés au Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP-FTQ). Le Journal de Québec a néanmoins continué à paraître grâce aux cadres de l'entreprise.
Mais les lock-outés ont lancé dès mardi un journal parallèle gratuit.
Entre-temps, les deux parties s'accusent d'être responsables de la mauvaise tournure du conflit de travail.
Le directeur de l'information du Journal de Québec, Donald Charette, a soutenu que la direction de l'entreprise espère le retour des syndiqués à la table de négociations.
"On attend qu'ils bougent, car on négocie depuis cinq mois. On attend des contre-propositions de leur part", a déclaré M. Charette.
Par contre, le porte-parole des trois syndicats en lock-out, Denis Bolduc, qui est en même temps président du Syndicat des journalistes, affirme que ses membres "attendent un signe positif" de la part de la partie patronale.
En attendant, les syndiqués entendent continuer la publication du Média Matin Québec, a-t-il expliqué.
Les négociations achoppent sur plusieurs points, notamment sur la sous-traitance, sur la tâche élargie de travail et sur le rallongement sans compensation financière de quatre à cinq jours de la semaine régulière de travail.
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