Plan "vert" des conservateurs : 20% moins de GES d'ici 2020
Agence France-Presse
Ottawa
Le gouvernement conservateur a annoncé vouloir réduire de 20% les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020 par rapport à leur niveau actuel, dans le cadre d'un nouveau plan environnemental.
Le plan du gouvernement doit être dévoilé officiellement jeudi, mais un discours du ministre de l'environnement John Baird exposant ses grandes lignes a été rendu public, après avoir été faxé par erreur à un parti d'opposition.
Dans son texte, mis en ligne sur le site de son ministère, M. Baird indique que le plan gouvernemental vise à faire cesser d'ici trois à cinq ans l'augmentation des gaz à effet de serre (GES).
Il va également imposer «des cibles sévères» à l'industrie pour réduire de moitié la pollution atmosphérique d'ici 2015.
«Lorsque les émissions de gaz à effet de serre auront cessé de grimper, nous pourrons commencer à les réduire. Ainsi, d'ici 2020, le Canada aura abaissé ses émissions de gaz à effet de serre de 150 millions de tonnes. Il s'agit d'une diminution de 20% par rapport à nos émissions d'aujourd'hui», dit-il.
Le dossier environnemental du Canada est «l'un des plus lamentables de tous les pays industrialisés» a-t-il reconnu, tout en rejetant la responsabilité sur le précédent gouvernement libéral qu'il a accusé de n'avoir rien fait pour appliquer les objectifs du protocole de Kyoto qu'il a signés.
En vertu du protocole, le Canada devrait réduire de 6% d'ici 2012 ses émissions de GES par rapport à leur niveau de 1990, mais ceux-ci ont au contraire augmenté de quelque 30%.
Le ministre a également annoncé que le gouvernement examinerait les possibilités d'échange national de droits d'émission, un système permettant aux industries qui polluent beaucoup d'acheter des crédits à d'autres qui polluent moins.
Le Canada entend aussi examiner «les liens futurs avec les systèmes d'échange de droits d'émission aux États-Unis et éventuellement au Mexique», a-t-il dit.
Pour atteindre la cible de réduction des GES et de pollution atmosphérique, les industries disposeront de plusieurs possibilités.
Elles pourront notamment effectuer des réductions; utiliser les possibilités d'échange national de droits d'émissions; acheter des crédits compensatoires; utiliser le Mécanisme pour un développement propre du protocole de Kyoto et enfin investir dans un fonds technologique.
Il s'agit d'un «véritable virage vert» pour les conservateurs, estimait le quotidien La Presse. Un précédent plan du gouvernement avait été jugé totalement insuffisant par l'opposition et les écologistes.
La semaine dernière, M. Baird avait d'ailleurs affirmé que l'application des objectifs du protocole de Kyoto entraînerait une récession économique au Canada et provoquerait une hausse de 25% du chômage.
«Nous n'allons pas prendre un virage sur les chapeaux de roue et dérégler l'économie canadienne», a réaffirmé M. Baird dans son discours. Mais, a-t-il ajouté: «notre gouvernement reconnaît que nous allions dans la mauvaise direction et que nous devons changer de cap».
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Oportunisme ou lucidité retrouvée dans le camp conservateur ?... en tout cas, c'est un pas dans le bon sens... ENFIN ! --Message edité par infomanII le 2007-04-29 07:24:34--
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Les milieux d'affaires préfèrent le plan vert au protocole de Kyoto
25-04-07 20:38
OTTAWA (PC) - Les milieux d'affaires ont accueilli mercredi le plan vert des conservateurs avec l'enthousiasme d'un accusé qui reçoit une sentence minimale pour son crime.
Le directeur des politiques à la Chambre de commerce du Canada, Michael Murphy, a déclaré que la mise en oeuvre du plan sera douloureuse, puisqu'un autre fardeau réglementaire sera ajouté concernant les gaz à effet de serre.
Les détails du plan seront dévoilés jeudi, mais le ministre de l'Environnement, John Baird, a affirmé qu'il comportera l'engagement de réduire d'ici à 2020 les gaz à effet de serre de 20 pour cent par rapport au niveau actuel, soit 150 millions de tonnes de moins. Aussi, le gouvernement réduira de 50 pour cent la pollution de l'air d'ici à 2015.
Le porte-parole des Manufacturiers et Exportateurs du Canada, Jayson Myers, a affirmé qu'il est impossible de déterminer quel secteur de l'économie sera le plus affecté. M. Myers estime que la réduction de 20 pour cent des gaz à effet de serre sera difficile, en dépit de l'échéancier de 13 ans, car les émissions sont actuellement en hausse de 2 pour cent par année.
A ses yeux, il aurait été bien pire d'essayer de se conformer au protocole de Kyoto. Néanmoins, selon lui, l'enjeu demeure si politisé que les nouvelles exigences fixées demeurent inaccessibles, sinon en affectant gravement l'économie.
M. Myers croit que non seulement les industries, mais aussi les citoyens et leurs gouvernements, auront à payer la note, qui avoisinera plusieurs milliards de dollars.
Enfin, le chef de la direction de la pétrolière Encana, Randy Eresman, a indiqué que le secteur des sables bitumineux souffre déjà d'investissements au plus bas. Il a ajouté que les nouvelles restrictions ne feront que faire avorter les projets.
25-04-07 20:38
OTTAWA (PC) - Les milieux d'affaires ont accueilli mercredi le plan vert des conservateurs avec l'enthousiasme d'un accusé qui reçoit une sentence minimale pour son crime.
Le directeur des politiques à la Chambre de commerce du Canada, Michael Murphy, a déclaré que la mise en oeuvre du plan sera douloureuse, puisqu'un autre fardeau réglementaire sera ajouté concernant les gaz à effet de serre.
Les détails du plan seront dévoilés jeudi, mais le ministre de l'Environnement, John Baird, a affirmé qu'il comportera l'engagement de réduire d'ici à 2020 les gaz à effet de serre de 20 pour cent par rapport au niveau actuel, soit 150 millions de tonnes de moins. Aussi, le gouvernement réduira de 50 pour cent la pollution de l'air d'ici à 2015.
Le porte-parole des Manufacturiers et Exportateurs du Canada, Jayson Myers, a affirmé qu'il est impossible de déterminer quel secteur de l'économie sera le plus affecté. M. Myers estime que la réduction de 20 pour cent des gaz à effet de serre sera difficile, en dépit de l'échéancier de 13 ans, car les émissions sont actuellement en hausse de 2 pour cent par année.
A ses yeux, il aurait été bien pire d'essayer de se conformer au protocole de Kyoto. Néanmoins, selon lui, l'enjeu demeure si politisé que les nouvelles exigences fixées demeurent inaccessibles, sinon en affectant gravement l'économie.
M. Myers croit que non seulement les industries, mais aussi les citoyens et leurs gouvernements, auront à payer la note, qui avoisinera plusieurs milliards de dollars.
Enfin, le chef de la direction de la pétrolière Encana, Randy Eresman, a indiqué que le secteur des sables bitumineux souffre déjà d'investissements au plus bas. Il a ajouté que les nouvelles restrictions ne feront que faire avorter les projets.
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Le plan vert d'Ottawa est le plus sévère au monde, juge le secteur pétrolier
Le 26 avril 2007 - 20:31 | Presse Canadienne
La nouvelle réglementation fédérale contre la pollution atmosphérique est la plus sévère au monde, ont estimé des représentants du secteur pétrolier, qui se sont toutefois consolés avec l'absence de plafonds fixes sur les émissions comme ceux prévus par le Protocole de Kyoto.
"Ces cibles sont les cibles les plus sévères qu'aura à affronter l'industrie du pétrole et du gaz naturel n'importe où dans le monde", a jugé jeudi le président de l'Association canadienne des producteurs pétroliers, Pierre Alvarez.
Le secteur _ principalement situé dans les provinces de l'Ouest et de l'Atlantique _ était particulièrement inquiet d'être pointé du doigt par un gouvernement fédéral assoiffé de votes en Ontario et au Québec.
Le gouvernement conservateur a cependant été prudent jeudi et a introduit un cadre réglementaire qui s'applique à tous les secteurs et toutes les industries, avec une promesse globale de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 20 pour cent d'ici 2020 par rapport au niveau de 2006.
Les émetteurs de gaz à effet de serre devront réduire leurs émissions de 26 pour cent d'ici 2015, avec des cibles établies selon les niveaux de production. Les émetteurs de polluants producteurs de smog seront contraints de réduire de 55 pour cent leurs émissions de dioxyde de soufre d'ici huit ans.
"Alors, ce sont des cibles très très significatives et elles sont plus élevées que toutes les autres dans le monde", a noté M. Alvarez.
L'industrie de l'énergie s'était opposée à l'établissement de plafonds fixes sur les émissions, préférant les "cibles d'intensité" qui, selon elle, se concentrent davantage sur l'efficacité.
Le chef de la direction du producteur de pétrole et de gaz naturel Nexen, Charlie Fischer, a estimé qu'il était essentiel que le secteur pétrolier ne soit pas marginalisé.
"Aujourd'hui, la plupart des gens qui sont fâchés contre notre secteur le sont parce qu'ils n'aiment pas devoir payer un dollar pour un litre d'essence, et ils préféreraient voir plus de réserves afin de pouvoir payer moins, ce qui serait précisément la chose à ne pas faire dans un monde préoccupé par le carbone", a-t-il indiqué.
Le 26 avril 2007 - 20:31 | Presse Canadienne
La nouvelle réglementation fédérale contre la pollution atmosphérique est la plus sévère au monde, ont estimé des représentants du secteur pétrolier, qui se sont toutefois consolés avec l'absence de plafonds fixes sur les émissions comme ceux prévus par le Protocole de Kyoto.
"Ces cibles sont les cibles les plus sévères qu'aura à affronter l'industrie du pétrole et du gaz naturel n'importe où dans le monde", a jugé jeudi le président de l'Association canadienne des producteurs pétroliers, Pierre Alvarez.
Le secteur _ principalement situé dans les provinces de l'Ouest et de l'Atlantique _ était particulièrement inquiet d'être pointé du doigt par un gouvernement fédéral assoiffé de votes en Ontario et au Québec.
Le gouvernement conservateur a cependant été prudent jeudi et a introduit un cadre réglementaire qui s'applique à tous les secteurs et toutes les industries, avec une promesse globale de réduire les émissions de gaz à effet de serre de 20 pour cent d'ici 2020 par rapport au niveau de 2006.
Les émetteurs de gaz à effet de serre devront réduire leurs émissions de 26 pour cent d'ici 2015, avec des cibles établies selon les niveaux de production. Les émetteurs de polluants producteurs de smog seront contraints de réduire de 55 pour cent leurs émissions de dioxyde de soufre d'ici huit ans.
"Alors, ce sont des cibles très très significatives et elles sont plus élevées que toutes les autres dans le monde", a noté M. Alvarez.
L'industrie de l'énergie s'était opposée à l'établissement de plafonds fixes sur les émissions, préférant les "cibles d'intensité" qui, selon elle, se concentrent davantage sur l'efficacité.
Le chef de la direction du producteur de pétrole et de gaz naturel Nexen, Charlie Fischer, a estimé qu'il était essentiel que le secteur pétrolier ne soit pas marginalisé.
"Aujourd'hui, la plupart des gens qui sont fâchés contre notre secteur le sont parce qu'ils n'aiment pas devoir payer un dollar pour un litre d'essence, et ils préféreraient voir plus de réserves afin de pouvoir payer moins, ce qui serait précisément la chose à ne pas faire dans un monde préoccupé par le carbone", a-t-il indiqué.
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J'ai une interrogation concernant ces émissions de gaz à effet de serre. Comment se fait-il que depuis 1990 ils aient augmenté de 30%?
Il me semble que dans mon environnement tout est pareil qu'en 1990 et même je dirais qu'il y a plus de geste posé en fonction de l'environnement. Je ne conteste pas ce chiffre de 30% mais je me demande à quoi il est dû. C'est certain qu'à Montréal il y a de plus en plus d'épisode de smog je m'en rend compte. Mais 30% c'est énorme. C'est évident qu'avec des si grandes augmentations il devient difficile de rattraper. Si nous reculons sur la façon de faire de 1990 ou la conscience était moindre réduiriions-nous de 30%.
Ce n'est pas très clair mon affaire mais je me comprend en espérant que vous me suivez un ti-peu.
Il me semble que dans mon environnement tout est pareil qu'en 1990 et même je dirais qu'il y a plus de geste posé en fonction de l'environnement. Je ne conteste pas ce chiffre de 30% mais je me demande à quoi il est dû. C'est certain qu'à Montréal il y a de plus en plus d'épisode de smog je m'en rend compte. Mais 30% c'est énorme. C'est évident qu'avec des si grandes augmentations il devient difficile de rattraper. Si nous reculons sur la façon de faire de 1990 ou la conscience était moindre réduiriions-nous de 30%.
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Souffle-feuilles à moteur, coupe bordure à moteur, génératrice, tronconneuse, tondeuse, souffleuse, moto-neige, bateau, avions, trains, camions, et +, et +, et beaucoup plus...
Sans compter l'économie à l'heure du "Just in time"... Fini les entrepôts, toutes les marchandises circulent sur la route dans des camions et doivent êtres livrés vite vite vite aussitôt produite dans les heures qui suivent. Les fraises de la nouvelle-zélande ne peuvent niaiser trop longtemps avant d'être chez provigo... Tous les cossins qui voyagent entre la chine et ici au lieu d'être fabriqué et acheté ici. Beaucoup trop de transport de marchandise pour rien...
Je pourrais continuer longtemps mais je suis fatigué. J'espère que je t«,ai apporté un semblant de réponse!
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Fabine a écritJ'ai une interrogation concernant ces émissions de gaz à effet de serre. Comment se fait-il que depuis 1990 ils aient augmenté de 30%?
Il me semble que dans mon environnement tout est pareil qu'en 1990 et même je dirais qu'il y a plus de geste posé en fonction de l'environnement. Je ne conteste pas ce chiffre de 30% mais je me demande à quoi il est dû. C'est certain qu'à Montréal il y a de plus en plus d'épisode de smog je m'en rend compte. Mais 30% c'est énorme. C'est évident qu'avec des si grandes augmentations il devient difficile de rattraper. Si nous reculons sur la façon de faire de 1990 ou la conscience était moindre réduiriions-nous de 30%.
Ce n'est pas très clair mon affaire mais je me comprend en espérant que vous me suivez un ti-peu.
Les causes de ce boum :
. l'exploitation des sables bitumineux de l'Alberta.
. l'augmentation années après années du nombre de voitures.
. l'augmentation de la consommation électrique que ce soit par les grandes industries ou les particuliers.
Le Canada aura un autre défi de taille a relever et celle-ci est incontrôlable. En effet, le réchauffement va faire dégeler le pergélisol au Nord du Québec et du Canada, ce qui va relacher massivement du CO2...
Il me semble que dans mon environnement tout est pareil qu'en 1990 et même je dirais qu'il y a plus de geste posé en fonction de l'environnement. Je ne conteste pas ce chiffre de 30% mais je me demande à quoi il est dû. C'est certain qu'à Montréal il y a de plus en plus d'épisode de smog je m'en rend compte. Mais 30% c'est énorme. C'est évident qu'avec des si grandes augmentations il devient difficile de rattraper. Si nous reculons sur la façon de faire de 1990 ou la conscience était moindre réduiriions-nous de 30%.
Ce n'est pas très clair mon affaire mais je me comprend en espérant que vous me suivez un ti-peu.
Les causes de ce boum :
. l'exploitation des sables bitumineux de l'Alberta.
. l'augmentation années après années du nombre de voitures.
. l'augmentation de la consommation électrique que ce soit par les grandes industries ou les particuliers.
Le Canada aura un autre défi de taille a relever et celle-ci est incontrôlable. En effet, le réchauffement va faire dégeler le pergélisol au Nord du Québec et du Canada, ce qui va relacher massivement du CO2...
Citation :Le Canada entend aussi examiner «les liens futurs avec les systèmes d'échange de droits d'émission aux États-Unis et éventuellement au Mexique», a-t-il dit.
Je me demande ce que ça veut dire....?
Y a une chose qui me chicote, c'est bien beau réduire nos émission de gaz , ici , ça empêcherait pas de le faire ailleurs....
Donc , tous les produits importés , devraient comporté une taxe aussi , s'il ne respectent pas nos normes de pollution
Exemple ; le produits qui viennent de Chine sont peut-être pas cher , mais la bas , les compagnies , n'ont aucune norme , donc , si le gouvernement ajouterait une taxe *environnement*, les produits se vendraient moins , donc on achèterait peut-être plus de chez nous et ça sembiliserait peut être la Chine a faire des normes , s'ils veulent vendre a l'extérieur.....
Entoucas , c'est une idée.....on jase la....
Je me demande ce que ça veut dire....?
Y a une chose qui me chicote, c'est bien beau réduire nos émission de gaz , ici , ça empêcherait pas de le faire ailleurs....
Donc , tous les produits importés , devraient comporté une taxe aussi , s'il ne respectent pas nos normes de pollution
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Rénatane a écritCitation :Le Canada entend aussi examiner «les liens futurs avec les systèmes d'échange de droits d'émission aux États-Unis et éventuellement au Mexique», a-t-il dit.
Je me demande ce que ça veut dire....?
Y a une chose qui me chicote, c'est bien beau réduire nos émission de gaz , ici , ça empêcherait pas de le faire ailleurs....
Donc , tous les produits importés , devraient comporté une taxe aussi , s'il ne respectent pas nos normes de pollution
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La on verrait une foule de magasineur du Dollorama dans les rues avec des pancartes.
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Y a une chose qui me chicote, c'est bien beau réduire nos émission de gaz , ici , ça empêcherait pas de le faire ailleurs....
Donc , tous les produits importés , devraient comporté une taxe aussi , s'il ne respectent pas nos normes de pollution
Exemple ; le produits qui viennent de Chine sont peut-être pas cher , mais la bas , les compagnies , n'ont aucune norme , donc , si le gouvernement ajouterait une taxe *environnement*, les produits se vendraient moins , donc on achèterait peut-être plus de chez nous et ça sembiliserait peut être la Chine a faire des normes , s'ils veulent vendre a l'extérieur.....
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Pour répondre à Rénatane :
Effectivement, ce serait une solution. La France voudrait mettre en place une taxe sur les importations provenant des pays qui ne respectent pas l'environnement et le protocole de Kyoto. Dans la situation actuelle, les produits canayens seraient taxés au même titre que les produits chinois !
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Plan vert canadien: une «fraude totale» selon Gore
Presse Canadienne
Toronto
L'ancien vice-président américain, Al Gore, a dénoncé samedi le plan d'action environnemental annoncé cette semaine par le gouvernement Harper, le qualifiant de «fraude totale» destinée à leurrer les Canadiens.
M. Gore était à Toronto afin de présenter son documentaire sur le réchauffement de la planète. Il était accompagné pour l'occasion par le premier ministre de l'Ontario Dalton McGuinty et par l'écologiste David Suzuki.
Al Gore a reconnu que, comme Américain, il n'a pas à s'ingérer dans les politiques du Canada, mais il a souligné que la planète voit le Canada comme un «leader moral». Selon lui, c'est pourquoi le plan d'action canadien en matière d'environnement est si «choquant».
Le groupe écologiste Greenpeace que la sortie de M. Gore pourrait être le début d'un tollé international contre le plan conservateur. «Seulement deux jours après le dévoilement du plan de lutte aux changements climatiques du gouvernement Harper, le Canada commence déjà sur la scène internationale à se faire traîner dans la boue, le tout après avoir essuyé une pluie de critiques au pays», a affirmé Joslyn Higginson, de Greenpeace, par voie de communiqué.
Effectivement, ce serait une solution. La France voudrait mettre en place une taxe sur les importations provenant des pays qui ne respectent pas l'environnement et le protocole de Kyoto. Dans la situation actuelle, les produits canayens seraient taxés au même titre que les produits chinois !
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Plan vert canadien: une «fraude totale» selon Gore
Presse Canadienne
Toronto
L'ancien vice-président américain, Al Gore, a dénoncé samedi le plan d'action environnemental annoncé cette semaine par le gouvernement Harper, le qualifiant de «fraude totale» destinée à leurrer les Canadiens.
M. Gore était à Toronto afin de présenter son documentaire sur le réchauffement de la planète. Il était accompagné pour l'occasion par le premier ministre de l'Ontario Dalton McGuinty et par l'écologiste David Suzuki.
Al Gore a reconnu que, comme Américain, il n'a pas à s'ingérer dans les politiques du Canada, mais il a souligné que la planète voit le Canada comme un «leader moral». Selon lui, c'est pourquoi le plan d'action canadien en matière d'environnement est si «choquant».
Le groupe écologiste Greenpeace que la sortie de M. Gore pourrait être le début d'un tollé international contre le plan conservateur. «Seulement deux jours après le dévoilement du plan de lutte aux changements climatiques du gouvernement Harper, le Canada commence déjà sur la scène internationale à se faire traîner dans la boue, le tout après avoir essuyé une pluie de critiques au pays», a affirmé Joslyn Higginson, de Greenpeace, par voie de communiqué.
Al Gore devrait en avoir plein les bras de chez-eux. Quand la production d'électricité aux Etats-Unis provient à plus de 50% de centrale au charbon en incluant les Etats du Nord il n'a pas de leçon à donner. Je veux bien comprendre qu'il s'est pris la cause parfaite pour avoir plein d'exposure...mais il devrait plancher en priorité sur cette problématique.
Les centrales au charbon sont des monstres producteur de GES
Les centrales hydro-électrique sont des centrales à énergies renouvellable.
Conclusion, les Etats-Unis nous polluent. Il n'y a qu'à voir les centrales à très haut rendement d'émanation. Il me semble que c'est pas mal noir dans les Etats du Nord et tout à fait vert au Québec.
Une image vaut mille mots. Cafaque Al Gore peut bien travailler pour son peuple en premier. --Message edité par fabine le 2007-04-28 18:11:54--
Les centrales au charbon sont des monstres producteur de GES
Les centrales hydro-électrique sont des centrales à énergies renouvellable.
Conclusion, les Etats-Unis nous polluent. Il n'y a qu'à voir les centrales à très haut rendement d'émanation. Il me semble que c'est pas mal noir dans les Etats du Nord et tout à fait vert au Québec.
Une image vaut mille mots. Cafaque Al Gore peut bien travailler pour son peuple en premier. --Message edité par fabine le 2007-04-28 18:11:54--
En parlant d'Al Gore.....
Les factures d’énergie pour le gaz et l’électricité de la maison de la famille Gore en banlieue de Nashville,a montré que le Roi des verts a dévoré près de 221.000 kilowatt-heures en 2006, soit 20 fois plus qu’une maison moyenne ! La facture ? 30.000$ en gaz et électricité en 2006. Les justifications données par Kalee Kreider, la porte-parole de la famille sont plutôt amusantes. La maison sera bientôt équipée de panneaux solaires et l’électricité utilisée est "verte" car la famille Gore participe au programme Green Power Switch, annonce-t-elle. En somme, faisons fi de la frugalité énergétique, surconsommons puisque c’est du vert !
Les factures d’énergie pour le gaz et l’électricité de la maison de la famille Gore en banlieue de Nashville,a montré que le Roi des verts a dévoré près de 221.000 kilowatt-heures en 2006, soit 20 fois plus qu’une maison moyenne ! La facture ? 30.000$ en gaz et électricité en 2006. Les justifications données par Kalee Kreider, la porte-parole de la famille sont plutôt amusantes. La maison sera bientôt équipée de panneaux solaires et l’électricité utilisée est "verte" car la famille Gore participe au programme Green Power Switch, annonce-t-elle. En somme, faisons fi de la frugalité énergétique, surconsommons puisque c’est du vert !
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Rénatane a écritEn parlant d'Al Gore.....
Les factures d’énergie pour le gaz et l’électricité de la maison de la famille Gore en banlieue de Nashville,a montré que le Roi des verts a dévoré près de 221.000 kilowatt-heures en 2006, soit 20 fois plus qu’une maison moyenne ! La facture ? 30.000$ en gaz et électricité en 2006. Les justifications données par Kalee Kreider, la porte-parole de la famille sont plutôt amusantes. La maison sera bientôt équipée de panneaux solaires et l’électricité utilisée est "verte" car la famille Gore participe au programme Green Power Switch, annonce-t-elle. En somme, faisons fi de la frugalité énergétique, surconsommons puisque c’est du vert !
Elle est bonne. Le pire est que peut-être et j'en suis presque certaine que Harper, personnellement, consomme beaucoup moins d'énergie que ces grands millionaires en quête de publicité.
Cibole, que ça m'énaaaaarve.
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Elle est bonne. Le pire est que peut-être et j'en suis presque certaine que Harper, personnellement, consomme beaucoup moins d'énergie que ces grands millionaires en quête de publicité.
Cibole, que ça m'énaaaaarve.
Rénatane et Fabine : vous mélangez plein de choses qui n'ont pas rapport.
1. La consommation personnelle d'Al Gore (il s'est déjà expliqué là dessus) avait été mesurée lorsqu'il effectuait des travaux chez lui. Al Gore a fait installer de quoi devenir autonome en énergie (en produisant de "propre") à sa maison. Et il compense ses déplacements en avion par des dons à des sociétés chargées de "compenser" le mal fait à l'environnement, entre autre par la plantation d'arbres. Regardez l'excellent travail qu'il a fait dans son documentaire "The Inconvenient Thruth" avant de le juger... il travaille depuis très longtemps pour l'environnement, il n'est pas en quête de gloire !
2. Ce n'est pas parce que le pays d'origine d'Al Gore est le pire actuellement (sera dépassé bientôt par la Chine) en ce qui concerne les GES qu'Al Gore ne peut pas commenter le plan Canadien. Dirait on d'un grand médecin canadien qu'il doit fermer sa gueule car le système de santé d'ici est pourri ?... non, les conseils d'experts sont toujours intéressants à recevoir même si ils ne vous font pas plaisir.
La vérité est qu'effectivement le gouvernement Harper s'est arrangé pour ne pas agir rapidement et surtout ne pas réduire la quantité des GES mais plutôt l'intensité des émissions... ce qui va permettre à nos chères pétrolières de continuer le "free for all" et d'expédier toujours en encore plus de GES dans l'atmosphère.
Il n'y a pas qu'Al Gore qui a déploré le plan Harper... tous les articles parus cette semaine dans la Presse dénoncent le plant "vert pâle" du gouvernement, les écologistes sont unanimes.
Tandis que les industriels sont satisfaits pour la plupart (ils craignaient le pire mais le pire n'est pas arrivé). --Message edité par infomanII le 2007-04-29 07:11:25--
1. La consommation personnelle d'Al Gore (il s'est déjà expliqué là dessus) avait été mesurée lorsqu'il effectuait des travaux chez lui. Al Gore a fait installer de quoi devenir autonome en énergie (en produisant de "propre") à sa maison. Et il compense ses déplacements en avion par des dons à des sociétés chargées de "compenser" le mal fait à l'environnement, entre autre par la plantation d'arbres. Regardez l'excellent travail qu'il a fait dans son documentaire "The Inconvenient Thruth" avant de le juger... il travaille depuis très longtemps pour l'environnement, il n'est pas en quête de gloire !
2. Ce n'est pas parce que le pays d'origine d'Al Gore est le pire actuellement (sera dépassé bientôt par la Chine) en ce qui concerne les GES qu'Al Gore ne peut pas commenter le plan Canadien. Dirait on d'un grand médecin canadien qu'il doit fermer sa gueule car le système de santé d'ici est pourri ?... non, les conseils d'experts sont toujours intéressants à recevoir même si ils ne vous font pas plaisir.
La vérité est qu'effectivement le gouvernement Harper s'est arrangé pour ne pas agir rapidement et surtout ne pas réduire la quantité des GES mais plutôt l'intensité des émissions... ce qui va permettre à nos chères pétrolières de continuer le "free for all" et d'expédier toujours en encore plus de GES dans l'atmosphère.
Il n'y a pas qu'Al Gore qui a déploré le plan Harper... tous les articles parus cette semaine dans la Presse dénoncent le plant "vert pâle" du gouvernement, les écologistes sont unanimes.
Tandis que les industriels sont satisfaits pour la plupart (ils craignaient le pire mais le pire n'est pas arrivé). --Message edité par infomanII le 2007-04-29 07:11:25--
InFoManII a écritRénatane et Fabine : vous mélangez plein de choses qui n'ont pas rapport.
1. La consommation personnelle d'Al Gore (il s'est déjà expliqué là dessus) avait été mesurée lorsqu'il effectuait des travaux chez lui. Al Gore a fait installer de quoi devenir autonome en énergie (en produisant de "propre") à sa maison. Et il compense ses déplacements en avion par des dons à des sociétés chargées de "compenser" le mal fait à l'environnement, entre autre par la plantation d'arbres. Regardez l'excellent travail qu'il a fait dans son documentaire "The Inconvenient Thruth" avant de le juger... il travaille depuis très longtemps pour l'environnement, il n'est pas en quête de gloire !
2. Ce n'est pas parce que le pays d'origine d'Al Gore est le pire actuellement (sera dépassé bientôt par la Chine) en ce qui concerne les GES qu'Al Gore ne peut pas commenter le plan Canadien. Dirait on d'un grand médecin canadien qu'il doit fermer sa gueule car le système de santé d'ici est pourri ?... non, les conseils d'experts sont toujours intéressants à recevoir même si ils ne vous font pas plaisir.
La vérité est qu'effectivement le gouvernement Harper s'est arrangé pour ne pas agir rapidement et surtout ne pas réduire la quantité des GES mais plutôt l'intensité des émissions... ce qui va permettre à nos chères pétrolières de continuer le "free for all" et d'expédier toujours en encore plus de GES dans l'atmosphère.
Il n'y a pas qu'Al Gore qui a déploré le plan Harper... tous les articles parus cette semaine dans la Presse dénoncent le plant "vert pâle" du gouvernement, les écologistes sont unanimes.
Tandis que les industriels sont satisfaits pour la plupart (ils craignaient le pire mais le pire n'est pas arrivé).
Je dénigre pas ce qu'Al gore fait en public pour l'environnement....il est un bon porte-parole....
Mais si j'avais de l'argent comme lui , moi aussi je transformerais ma maison écologiquement....
et je compenserais toute mes *consommations* en don....
1. La consommation personnelle d'Al Gore (il s'est déjà expliqué là dessus) avait été mesurée lorsqu'il effectuait des travaux chez lui. Al Gore a fait installer de quoi devenir autonome en énergie (en produisant de "propre") à sa maison. Et il compense ses déplacements en avion par des dons à des sociétés chargées de "compenser" le mal fait à l'environnement, entre autre par la plantation d'arbres. Regardez l'excellent travail qu'il a fait dans son documentaire "The Inconvenient Thruth" avant de le juger... il travaille depuis très longtemps pour l'environnement, il n'est pas en quête de gloire !
2. Ce n'est pas parce que le pays d'origine d'Al Gore est le pire actuellement (sera dépassé bientôt par la Chine) en ce qui concerne les GES qu'Al Gore ne peut pas commenter le plan Canadien. Dirait on d'un grand médecin canadien qu'il doit fermer sa gueule car le système de santé d'ici est pourri ?... non, les conseils d'experts sont toujours intéressants à recevoir même si ils ne vous font pas plaisir.
La vérité est qu'effectivement le gouvernement Harper s'est arrangé pour ne pas agir rapidement et surtout ne pas réduire la quantité des GES mais plutôt l'intensité des émissions... ce qui va permettre à nos chères pétrolières de continuer le "free for all" et d'expédier toujours en encore plus de GES dans l'atmosphère.
Il n'y a pas qu'Al Gore qui a déploré le plan Harper... tous les articles parus cette semaine dans la Presse dénoncent le plant "vert pâle" du gouvernement, les écologistes sont unanimes.
Tandis que les industriels sont satisfaits pour la plupart (ils craignaient le pire mais le pire n'est pas arrivé).
Je dénigre pas ce qu'Al gore fait en public pour l'environnement....il est un bon porte-parole....
Mais si j'avais de l'argent comme lui , moi aussi je transformerais ma maison écologiquement....
et je compenserais toute mes *consommations* en don....
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Radiostar a écritAl Gore est un hypocrite, il était vice-président et il n'a rien fait avec l'administration Clinton pour l'environnement. Tout ce qu'il veut, c'est que le Canada respecte Kyoto et que les entreprises canadienne déménage au États-Unis pour éviter Kyoto!
Encore quelqu'un qui accuse sans savoir...
Loue le film the inconvenient thruth, Al Gore y explique de quelle manière il s'est impliqué en environnement et ceci depuis plus de 20 ans (si je me rappeles bien).
Al Gore ne travaille pas pour des intérêts quelconques... Al Gore est juste plus au courrant que la moyenne des politiciens des conséquences dramatiques de l'inaction en environnement.
Quand tu es en politique, tes pouvoirs sont souvent plus limités qu'une fois que tu en sorts (à cause de la ligne du parti, à cause des industries qui te graissent la patte, etc)... Al Gore a décidé de se consacrer à un sujet qui lui tient à coeur et pour lequel il a plus de champ d'action actuellement que quand il était vice président.
Son travail d'information est noble... au moins les dirigeants de la planète (et nous même) ne pourront pas dire qu'ils n'ont pas été prévenus quand d'ici quelques années le climat sera encore plus instable, incontrolable et qu'il n'y aura plus rien à faire.
Encore quelqu'un qui accuse sans savoir...
Loue le film the inconvenient thruth, Al Gore y explique de quelle manière il s'est impliqué en environnement et ceci depuis plus de 20 ans (si je me rappeles bien).
Al Gore ne travaille pas pour des intérêts quelconques... Al Gore est juste plus au courrant que la moyenne des politiciens des conséquences dramatiques de l'inaction en environnement.
Quand tu es en politique, tes pouvoirs sont souvent plus limités qu'une fois que tu en sorts (à cause de la ligne du parti, à cause des industries qui te graissent la patte, etc)... Al Gore a décidé de se consacrer à un sujet qui lui tient à coeur et pour lequel il a plus de champ d'action actuellement que quand il était vice président.
Son travail d'information est noble... au moins les dirigeants de la planète (et nous même) ne pourront pas dire qu'ils n'ont pas été prévenus quand d'ici quelques années le climat sera encore plus instable, incontrolable et qu'il n'y aura plus rien à faire.
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Le Conseil de la fédération se réunit pour discuter des changements du climat
30-04-07 21:17
TORONTO (PC) - Le débat sur les changements climatiques et sur ce que le Canada devrait faire pour lutter contre le réchauffement planétaire dominera les pourparlers des premiers ministres des provinces, mardi à Toronto. Ceux-ci se réunissent pour élaborer une stratégie qui pourrait inclure un système interne d'échanges de droits d'émission.
La réunion du Conseil de la fédération survient moins d'une semaine après l'annonce, par Ottawa, de son plan d'action contre les gaz à effet de serre (GES), un plan qui a été qualifié d'imposture par l'ancien vice-président américain Al Gore, mais que le ministre canadien de l'Environnement, John Baird, présente comme exigeant.
Pour autant, la rencontre ne se veut pas une tribune pour critiquer le programme du gouvernement conservateur, assure le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams. Le plan canadien sera discuté, mais ce sera dans le but d'élaborer un plan propre aux provinces, et pas nécessairement un plan qui contredirait ou entrerait en concurrence avec celui d'Ottawa, a ajouté M. Williams, qui préside l'événement.
Des groupes de travail soumettront des rapports préliminaires sur des sujets comme les changements climatiques, la transmission d'énergie, l'efficacité énergétique, l'énergie renouvelable, et le rôle joué par les provinces dans les activités internationales reliées à l'énergie.
Le premier ministre du Québec, Jean Charest, a déclaré lundi à Montmagny que le Québec développera son propre plan vert tout en continuant à défendre le protocole de Kyoto visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Le premier ministre de la Saskatchewan, Lorne Calvert, a dit croire que le gouvernement fédéral fait "des pas dans la bonne direction".
Pour sa part, le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, a deux choses en tête: soumettre l'idée d'un système interprovincial d'échanges de droits d'émission, et celle d'un réseau national de distribution d'hydro-électricité - une source d'énergie propre - venant de provinces comme le Québec et Terre-Neuve, vers d'autres provinces actuellement dépendantes du charbon ou de l'énergie nucléaire.
Sur la question du système d'échange de droits d'émission, M. McGuinty, qui était à Ottawa lundi, a souligné que le gouvernement fédéral a choisi de ne pas en implanter un. Il a noté que la Colombie-Britannique discutait de la chose avec des Etats frontaliers américains et que l'Ontario faisait de même dans sa région.
Mais le ministre Baird a soutenu qu'Ottawa est prêt à travailler de concert avec les Etats-Unis sur un tel système.
30-04-07 21:17
TORONTO (PC) - Le débat sur les changements climatiques et sur ce que le Canada devrait faire pour lutter contre le réchauffement planétaire dominera les pourparlers des premiers ministres des provinces, mardi à Toronto. Ceux-ci se réunissent pour élaborer une stratégie qui pourrait inclure un système interne d'échanges de droits d'émission.
La réunion du Conseil de la fédération survient moins d'une semaine après l'annonce, par Ottawa, de son plan d'action contre les gaz à effet de serre (GES), un plan qui a été qualifié d'imposture par l'ancien vice-président américain Al Gore, mais que le ministre canadien de l'Environnement, John Baird, présente comme exigeant.
Pour autant, la rencontre ne se veut pas une tribune pour critiquer le programme du gouvernement conservateur, assure le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, Danny Williams. Le plan canadien sera discuté, mais ce sera dans le but d'élaborer un plan propre aux provinces, et pas nécessairement un plan qui contredirait ou entrerait en concurrence avec celui d'Ottawa, a ajouté M. Williams, qui préside l'événement.
Des groupes de travail soumettront des rapports préliminaires sur des sujets comme les changements climatiques, la transmission d'énergie, l'efficacité énergétique, l'énergie renouvelable, et le rôle joué par les provinces dans les activités internationales reliées à l'énergie.
Le premier ministre du Québec, Jean Charest, a déclaré lundi à Montmagny que le Québec développera son propre plan vert tout en continuant à défendre le protocole de Kyoto visant à réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Le premier ministre de la Saskatchewan, Lorne Calvert, a dit croire que le gouvernement fédéral fait "des pas dans la bonne direction".
Pour sa part, le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, a deux choses en tête: soumettre l'idée d'un système interprovincial d'échanges de droits d'émission, et celle d'un réseau national de distribution d'hydro-électricité - une source d'énergie propre - venant de provinces comme le Québec et Terre-Neuve, vers d'autres provinces actuellement dépendantes du charbon ou de l'énergie nucléaire.
Sur la question du système d'échange de droits d'émission, M. McGuinty, qui était à Ottawa lundi, a souligné que le gouvernement fédéral a choisi de ne pas en implanter un. Il a noté que la Colombie-Britannique discutait de la chose avec des Etats frontaliers américains et que l'Ontario faisait de même dans sa région.
Mais le ministre Baird a soutenu qu'Ottawa est prêt à travailler de concert avec les Etats-Unis sur un tel système.
Prière et chant religieux
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