Ici en France nous n'avons les résultats qu'à 20h... Mais la presse belge et suisse notamment donnent Sarkozy vainqueur avec 54 %.... Il y a deux semaines j'avais consulté ces sites et ils ne s'étaient pas trompés....
ce sont des sources des renseignements généraux.... Je ne comprendrais jamais comment on peut connaitre les résultats avant que les votes soient finis et que le dépouillement ait lieu
Les élections Françaises.
Sarkozy président
Cyberpresse
C’est maintenant officiel, Nicolas Sarkozy est élu président de la République française. Sarkozy aurait récolté 54% des suffrages contre 46 % pour Ségolène Royal.
Explosion de joie salle Gaveau à Paris où étaient réunis plusieurs centaines de militants et sympathisants UMP, le parti de Nicolas Sarkozy. «On a gagné» reprenaient en chœur les militants. D'autres slogans comme « La France va changer» ont aussi été perçus.
C'est à la place de la Concorde à Paris que l'UMP célébrerera la victoire. L'ambiance est déjà à la fête, selon la radio Belge. Chapiteaux et écrans géants sont en train d'être montés. Les équipes de nombreuses télévisions installent leurs équipements. Des célébrités sont attendus tels que le chanteur Johnny Hallyday, qui a soutenu Sarkozy, l'humoriste Jean-Marie Bigard et le chanteur Enrico Macias.
Devant le quartier général du Parti Socialiste, l'ambiance est plutôt morose. Des centaines de partisans criaient encore «Ségolène présidente», mais sans trop de conviction, rapporte la radio belge.
Très souriant, Nicolas Sarkozy a rejoint son quartier général tout comme Ségolène Royal.
Le taux de participation, très élevé, atteignait 85% en métropole, pour le second tour de l'élection présidentielle, contre 73,87% au premier tour à la même heure et 67,6% au second tour de 2002, établissant un nouveau record à cette heure depuis 1965, selon le ministère de l'Intérieur.
Lors du second tour de la présidentielle la participation est traditionnellement plus élevée qu'au premier qui permet de désigner les deux finalistes.
Cyberpresse
C’est maintenant officiel, Nicolas Sarkozy est élu président de la République française. Sarkozy aurait récolté 54% des suffrages contre 46 % pour Ségolène Royal.
Explosion de joie salle Gaveau à Paris où étaient réunis plusieurs centaines de militants et sympathisants UMP, le parti de Nicolas Sarkozy. «On a gagné» reprenaient en chœur les militants. D'autres slogans comme « La France va changer» ont aussi été perçus.
C'est à la place de la Concorde à Paris que l'UMP célébrerera la victoire. L'ambiance est déjà à la fête, selon la radio Belge. Chapiteaux et écrans géants sont en train d'être montés. Les équipes de nombreuses télévisions installent leurs équipements. Des célébrités sont attendus tels que le chanteur Johnny Hallyday, qui a soutenu Sarkozy, l'humoriste Jean-Marie Bigard et le chanteur Enrico Macias.
Devant le quartier général du Parti Socialiste, l'ambiance est plutôt morose. Des centaines de partisans criaient encore «Ségolène présidente», mais sans trop de conviction, rapporte la radio belge.
Très souriant, Nicolas Sarkozy a rejoint son quartier général tout comme Ségolène Royal.
Le taux de participation, très élevé, atteignait 85% en métropole, pour le second tour de l'élection présidentielle, contre 73,87% au premier tour à la même heure et 67,6% au second tour de 2002, établissant un nouveau record à cette heure depuis 1965, selon le ministère de l'Intérieur.
Lors du second tour de la présidentielle la participation est traditionnellement plus élevée qu'au premier qui permet de désigner les deux finalistes.
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geneviève-2
- Immortel du Domaine
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- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
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geneviève-2
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Deuxième tour 18h00 18h30 19h00 19h30 20h00
Nicolas Sarkozy 53.5% 54.5% 54.2
Ségolène Royal 46.5% 45.5% 45.8
Participation 85% 86% 85.5
19h00
Le laïus des partisants de Nicolas Sarkozy : "La France n'était pas prête pour une femme présidente". En attendant, les militants de l'UMP chantent:"Ségo à Poitiers, Sarko à l'Elysée". Quand la mysoginie est plus forte que la peur.
Nicolas Sarkozy 53.5% 54.5% 54.2
Ségolène Royal 46.5% 45.5% 45.8
Participation 85% 86% 85.5
19h00
Le laïus des partisants de Nicolas Sarkozy : "La France n'était pas prête pour une femme présidente". En attendant, les militants de l'UMP chantent:"Ségo à Poitiers, Sarko à l'Elysée". Quand la mysoginie est plus forte que la peur.
Je ne reçois pas les messages éclairs
Belle leçon de démocratie quand la population sans obligation, vote à 86%.
Ségolène Royal n'a pas a avoir honte. C'est quand très honorable un 46,5%. Nous avons bien un gouvernement bien en deça de se score.
Je sais qu'il y aura dans les prochains jours toute une polémique sur le fait qu'une femme ne peut être présidente de la France. Vu de l'extérieur je crois que c'est un faux débat et que si elle n'a pas gagné ce n'est pas à cause de son statut de femme mais ce que la gauche pouvait apporter de nouveau aux français.
Ségolène Royal n'a pas a avoir honte. C'est quand très honorable un 46,5%. Nous avons bien un gouvernement bien en deça de se score.
Je sais qu'il y aura dans les prochains jours toute une polémique sur le fait qu'une femme ne peut être présidente de la France. Vu de l'extérieur je crois que c'est un faux débat et que si elle n'a pas gagné ce n'est pas à cause de son statut de femme mais ce que la gauche pouvait apporter de nouveau aux français.
Contrairement à mon post précédent la nouvelle suivante démontre un bel exemple d'anti-démocratie. Quel est l'intérêt pour des groupes de descendre dans la rue pour saccager et vandaliser parce que 53% de la population n'a pas voté selon son opinion.
Émeutes contre Nicolas Sarkozy
Le calme est revenu à Paris
Associated Press (AP) Par Jean-Marie Godard
06/05/2007 19h51
«Sarko facho! Sarko au Karcher!», scandaient les manifestants, pour la plupart des jeunes d'une vingtaine d'années.
© Michel Spingler (AP)
Le calme était revenu vers 23h45 (heure locale) dimanche place de la Bastille à Paris après de vifs incidents entre plusieurs centaines de manifestants anti-Sarkozy et les forces de l'ordre.
Les troubles se sont ensuite déplacés vers la gare de Lyon où quelque 300 manifestants ont érigé une barricade de poubelles en feu rue de Lyon, avant que le calme ne revienne peu avant 1h00 lundi.
Vers 1h00, la préfecture de police de Paris faisait état dans un bilan provisoire de trois gendarmes mobiles, un membre des Compagnies républicaines de sécurité (CRS) et un «spectateur» des incidents blessés par des jets de projectiles. La préfecture ne communiquait en revanche aucun bilan concernant d'éventuels interpellations ou blessés du côté des manifestants.
Les incidents de la Bastille avaient éclaté vers 21h30. Plusieurs groupes de militants anti-Sarkozy ainsi que des organisations d'extrême-gauche avaient appelé à se rassembler à partir de 20h00 place de la Bastille pour protester contre une élection de Nicolas Sarkozy. L'appel avait été relayé dans de nombreux forums internet.
Les incidents, selon plusieurs personnes présentes sur place, ont débuté par des jets de bouteille auxquels les forces de l'ordre ont répliqué par des tirs de grenades lacrymogènes.
Vers 23h15, la place de la Bastille avait été entièrement vidée par les forces de l'ordre à coups de grenades lacrymogènes, plusieurs charges et tirs de canon à eau. Des individus par petits groupe se sont ensuite dirigés vers la gare de Lyon.
Au cours des incidents, plusieurs motos ainsi qu'une camionnette ont été incendiées. Des centaines de pavés arrachés au sol ont été jetés sur les CRS et gendarmes mobiles. Un photographe de presse a été blessé au visage par un pavé et a été pris en charge par la Croix-Rouge.
Plusieurs cameramen et photographes ont aussi été pris à partie par des manifestants les accusant de «collaborer avec Nicolas Sarkozy». D'après la préfecture de police, la manifestation a rassemblé 2000 personnes, parmi lesquelles des «groupes d'individus qui ont harcelé les forces de l'ordre, les amenant à réagir».
Vers 22h30, plusieurs centaines de personnes avaient jeté des bouteilles, des cailloux et des morceaux de pavés contre un important barrage de gendarmes mobiles établi à l'angle de la place et du boulevard Richard-Lenoir. Près d'un millier de personnes étaient également massées sur les marches de l'Opéra Bastille, plus spectateurs que participants aux incidents.
Après l'intervention des forces de l'ordre, environ 300 manifestants ont pris la direction de la rue de Lyon, où ils ont notamment érigé une barricade avec des poubelles enflammées, des jardinières et des grilles d'arbre.
«Sarko facho! Sarko au Karcher!», scandaient les manifestants, pour la plupart des jeunes d'une vingtaine d'années.
Le long de la rue en direction de la gare de Lyon, des casseurs ont également brisé des vitrines de commerces et du mobilier urbain. Une bonne dizaine de voitures ont été retournées et certaines d'entre elles incendiées. Les derniers groupes se sont éparpillés peu avant 1h00 lundi à hauteur de la gare de Lyon lors des dernières charges des gendarmes mobiles et des CRS.
Émeutes contre Nicolas Sarkozy
Le calme est revenu à Paris
Associated Press (AP) Par Jean-Marie Godard
06/05/2007 19h51
«Sarko facho! Sarko au Karcher!», scandaient les manifestants, pour la plupart des jeunes d'une vingtaine d'années.
© Michel Spingler (AP)
Le calme était revenu vers 23h45 (heure locale) dimanche place de la Bastille à Paris après de vifs incidents entre plusieurs centaines de manifestants anti-Sarkozy et les forces de l'ordre.
Les troubles se sont ensuite déplacés vers la gare de Lyon où quelque 300 manifestants ont érigé une barricade de poubelles en feu rue de Lyon, avant que le calme ne revienne peu avant 1h00 lundi.
Vers 1h00, la préfecture de police de Paris faisait état dans un bilan provisoire de trois gendarmes mobiles, un membre des Compagnies républicaines de sécurité (CRS) et un «spectateur» des incidents blessés par des jets de projectiles. La préfecture ne communiquait en revanche aucun bilan concernant d'éventuels interpellations ou blessés du côté des manifestants.
Les incidents de la Bastille avaient éclaté vers 21h30. Plusieurs groupes de militants anti-Sarkozy ainsi que des organisations d'extrême-gauche avaient appelé à se rassembler à partir de 20h00 place de la Bastille pour protester contre une élection de Nicolas Sarkozy. L'appel avait été relayé dans de nombreux forums internet.
Les incidents, selon plusieurs personnes présentes sur place, ont débuté par des jets de bouteille auxquels les forces de l'ordre ont répliqué par des tirs de grenades lacrymogènes.
Vers 23h15, la place de la Bastille avait été entièrement vidée par les forces de l'ordre à coups de grenades lacrymogènes, plusieurs charges et tirs de canon à eau. Des individus par petits groupe se sont ensuite dirigés vers la gare de Lyon.
Au cours des incidents, plusieurs motos ainsi qu'une camionnette ont été incendiées. Des centaines de pavés arrachés au sol ont été jetés sur les CRS et gendarmes mobiles. Un photographe de presse a été blessé au visage par un pavé et a été pris en charge par la Croix-Rouge.
Plusieurs cameramen et photographes ont aussi été pris à partie par des manifestants les accusant de «collaborer avec Nicolas Sarkozy». D'après la préfecture de police, la manifestation a rassemblé 2000 personnes, parmi lesquelles des «groupes d'individus qui ont harcelé les forces de l'ordre, les amenant à réagir».
Vers 22h30, plusieurs centaines de personnes avaient jeté des bouteilles, des cailloux et des morceaux de pavés contre un important barrage de gendarmes mobiles établi à l'angle de la place et du boulevard Richard-Lenoir. Près d'un millier de personnes étaient également massées sur les marches de l'Opéra Bastille, plus spectateurs que participants aux incidents.
Après l'intervention des forces de l'ordre, environ 300 manifestants ont pris la direction de la rue de Lyon, où ils ont notamment érigé une barricade avec des poubelles enflammées, des jardinières et des grilles d'arbre.
«Sarko facho! Sarko au Karcher!», scandaient les manifestants, pour la plupart des jeunes d'une vingtaine d'années.
Le long de la rue en direction de la gare de Lyon, des casseurs ont également brisé des vitrines de commerces et du mobilier urbain. Une bonne dizaine de voitures ont été retournées et certaines d'entre elles incendiées. Les derniers groupes se sont éparpillés peu avant 1h00 lundi à hauteur de la gare de Lyon lors des dernières charges des gendarmes mobiles et des CRS.
Fabine a écritContrairement à mon post précédent la nouvelle suivante démontre un bel exemple d'anti-démocratie. Quel est l'intérêt pour des groupes de descendre dans la rue pour saccager et vandaliser parce que 53% de la population n'a pas voté selon son opinion.
Je m'y attendais.
C'est tellement ridicule l'anti-Sarkozysme pour tout et rien qui a régné durant la campagne. A partir du moment qu'un candidat est à droite, c'est nécessairement un gro vilain facho. --Message edité par Chico_Fan le 2007-05-06 21:56:17--
Je m'y attendais.
C'est tellement ridicule l'anti-Sarkozysme pour tout et rien qui a régné durant la campagne. A partir du moment qu'un candidat est à droite, c'est nécessairement un gro vilain facho. --Message edité par Chico_Fan le 2007-05-06 21:56:17--
Hélas, le pire c'est que les dirigeants de gauche n'ont pas condamné (ou alors du bout des lèvres) ce genre d'émeutes, disant même "comprendre la déception de certains" : ce sont les mêmes qui disaient lors de la campagne que Sarkozy était un danger pour la démocratie : paradoxale quand on voit qui manifeste et saccage.
Les français ne sont pas dupes et malgré la campagne de diabolisation de Sarkozy, ils ont votés en masse (84% de votants) pour le candidat de droite (53.06% contre 46.94%).
Vive la démocratie.
Les français ne sont pas dupes et malgré la campagne de diabolisation de Sarkozy, ils ont votés en masse (84% de votants) pour le candidat de droite (53.06% contre 46.94%).
Vive la démocratie.
Cinéma amateur nos 7 court-métrages sont visibles en ligne sur notre forum marcywood.forumpro.fr
Royflat a écritHélas, le pire c'est que les dirigeants de gauche n'ont pas condamné (ou alors du bout des lèvres) ce genre d'émeutes, disant même "comprendre la déception de certains" : ce sont les mêmes qui disaient lors de la campagne que Sarkozy était un danger pour la démocratie : paradoxale quand on voit qui manifeste et saccage.
Les français ne sont pas dupes et malgré la campagne de diabolisation de Sarkozy, ils ont votés en masse (84% de votants) pour le candidat de droite (53.06% contre 46.94%).
Vive la démocratie.
C'est assez risible de voir des émeutiers scandés, Sarkozy facho, quand dans un même temps je lis ceci:
Les idées de Benito Mussolini se réfèrent également à celles du syndicaliste-révolutionnaire français Georges Sorel, pour qui l'émancipation de la classe ouvrière passe par la violence. Enfin, les méthodes d'organisation des fasci sont inspirées de l'avant-garde de révolutionnaires professionnels prônée par Lénine.
En tout cas si ce n'est pas risible c'est contradictoire et je crois que les français ont quelque peu dénaturé le sens stricte du mot.
Les français ne sont pas dupes et malgré la campagne de diabolisation de Sarkozy, ils ont votés en masse (84% de votants) pour le candidat de droite (53.06% contre 46.94%).
Vive la démocratie.
C'est assez risible de voir des émeutiers scandés, Sarkozy facho, quand dans un même temps je lis ceci:
Les idées de Benito Mussolini se réfèrent également à celles du syndicaliste-révolutionnaire français Georges Sorel, pour qui l'émancipation de la classe ouvrière passe par la violence. Enfin, les méthodes d'organisation des fasci sont inspirées de l'avant-garde de révolutionnaires professionnels prônée par Lénine.
En tout cas si ce n'est pas risible c'est contradictoire et je crois que les français ont quelque peu dénaturé le sens stricte du mot.