Confirmation; Ducept contre Marois à la chefferie! + Sondage
Boule à mites a écrit Qu'est-ce que tu veux dire par là? Je ne l'appuie pas inconditionnellement moi non plus puisque j'ai même hésité aux dernières élections. J'ai voté pour eux parce que je ne voyais aucune alternative. En fait, j'ai plutôt voté contre les autres...
L'effet "c,est une femme qui a tout de même un certain charisme, elle semble sure d'elle-même et puis il est temps que nous aussi nous ayons une femme à la tête de notre Parti"... Il ne faudrait pas choisir une femme juste parce que c'est une femme
L'effet "c,est une femme qui a tout de même un certain charisme, elle semble sure d'elle-même et puis il est temps que nous aussi nous ayons une femme à la tête de notre Parti"... Il ne faudrait pas choisir une femme juste parce que c'est une femme
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MoI@CaRoLiNe a écrit
L'effet "c,est une femme qui a tout de même un certain charisme, elle semble sure d'elle-même et puis il est temps que nous aussi nous ayons une femme à la tête de notre Parti"... Il ne faudrait pas choisir une femme juste parce que c'est une femme
Dans mon cas, qu'elle soit une femme n'affecte en rien mon jugement.
Il n'y a pas que celà. Les gens voient bien que cette personne est tenace. Elle a déjà essuyé deux revers et elle remet ça encore. Ce genre de persévérence démontre quand même que c'est une personne solide qui pourrait faire un bon chef d'état.
Elle a aussi mené les ministères les plus importants d'un gouvernement et contrairement à ce que j'ai lu, elle n'en a pas fait de flops monumentales. La santé et l'éducation sont les deux ministères les plus casse-cou qui existe dans un gouvernement et elle s'en est quand même bien tirée.
Et elle a aussi été aux finances.
Femme ou pas, on ne peut pas dire que cette personne là n'a pas d'expérience.
L'effet "c,est une femme qui a tout de même un certain charisme, elle semble sure d'elle-même et puis il est temps que nous aussi nous ayons une femme à la tête de notre Parti"... Il ne faudrait pas choisir une femme juste parce que c'est une femme
Dans mon cas, qu'elle soit une femme n'affecte en rien mon jugement.
Il n'y a pas que celà. Les gens voient bien que cette personne est tenace. Elle a déjà essuyé deux revers et elle remet ça encore. Ce genre de persévérence démontre quand même que c'est une personne solide qui pourrait faire un bon chef d'état.
Elle a aussi mené les ministères les plus importants d'un gouvernement et contrairement à ce que j'ai lu, elle n'en a pas fait de flops monumentales. La santé et l'éducation sont les deux ministères les plus casse-cou qui existe dans un gouvernement et elle s'en est quand même bien tirée.
Et elle a aussi été aux finances.
Femme ou pas, on ne peut pas dire que cette personne là n'a pas d'expérience.
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MoI@CaRoLiNe a écrit
L'effet "c,est une femme qui a tout de même un certain charisme, elle semble sure d'elle-même et puis il est temps que nous aussi nous ayons une femme à la tête de notre Parti"... Il ne faudrait pas choisir une femme juste parce que c'est une femme Est-ce que Ségolène Royal a été choisie juste parce que c'était une femme...?
En tout cas, je ne trouve pas que Royal et Marois se ressemblent tellement.
Personnellement, je dirais que d'un point de vue général, je serais fière qu'on ait une femme comme premier ministre. J'aurais d'ailleurs été fière que les Québécois élisent un chef homosexuel. Je trouve que ça aurait démontré une belle ouverture d'espirt.
Mais je n'ai pas souhaté que Boisclair soit chef du PQ et, de la même manière que je ne vais pas voter pour quelqu'un parce qu'il est homosexuel, je ne voterais pas plus pour une femme parce que c'est une femme. Oui, ce serait bien qu'on ait une femme, mais je ne sens pas qu'elle attire les votes parce que c'est une femme.
L'effet "c,est une femme qui a tout de même un certain charisme, elle semble sure d'elle-même et puis il est temps que nous aussi nous ayons une femme à la tête de notre Parti"... Il ne faudrait pas choisir une femme juste parce que c'est une femme Est-ce que Ségolène Royal a été choisie juste parce que c'était une femme...?
En tout cas, je ne trouve pas que Royal et Marois se ressemblent tellement.
Personnellement, je dirais que d'un point de vue général, je serais fière qu'on ait une femme comme premier ministre. J'aurais d'ailleurs été fière que les Québécois élisent un chef homosexuel. Je trouve que ça aurait démontré une belle ouverture d'espirt.
Mais je n'ai pas souhaté que Boisclair soit chef du PQ et, de la même manière que je ne vais pas voter pour quelqu'un parce qu'il est homosexuel, je ne voterais pas plus pour une femme parce que c'est une femme. Oui, ce serait bien qu'on ait une femme, mais je ne sens pas qu'elle attire les votes parce que c'est une femme.
Red Ketchup a écrit
Dans mon cas, qu'elle soit une femme n'affecte en rien mon jugement.
Il n'y a pas que celà. Les gens voient bien que cette personne est tenace. Elle a déjà essuyé deux revers et elle remet ça encore. Ce genre de persévérence démontre quand même que c'est une personne solide qui pourrait faire un bon chef d'état.
Elle a aussi mené les ministères les plus importants d'un gouvernement et contrairement à ce que j'ai lu, elle n'en a pas fait de flops monumentales. La santé et l'éducation sont les deux ministères les plus casse-cou qui existe dans un gouvernement et elle s'en est quand même bien tirée.
Et elle a aussi été aux finances.
Femme ou pas, on ne peut pas dire que cette personne là n'a pas d'expérience.
J'aimerais bien que tu m'expliques comment elle s'en est bien tirée...
Mère de la réforme de l'éducation, qui a couté une fortune en passant, le taux de non scolarisation des étudiants ne finit pas de chuter, les enseignants quittent et 2/5 de étudiants en éducation ne finissent pas leur cours apres deux stages.
Instigatrice des garderies a 5$ qui supposement auraient du s'autofinancer, ces garderies sont un goufre financier sans fin.
Instigatrice de l'assurance médicaments, goufre financier aussi.
Je vais vérifier si c'est elle qui était ministre de la santé quand ils ont envoyé des tas de gens à la retraite pour se retrouver en pénurie de personnel, je ne suis pas certaine...
Je suis prête à ce que tu me rappelels bons coups ... --Message edité par lucide le 2007-05-12 19:31:57--
Dans mon cas, qu'elle soit une femme n'affecte en rien mon jugement.
Il n'y a pas que celà. Les gens voient bien que cette personne est tenace. Elle a déjà essuyé deux revers et elle remet ça encore. Ce genre de persévérence démontre quand même que c'est une personne solide qui pourrait faire un bon chef d'état.
Elle a aussi mené les ministères les plus importants d'un gouvernement et contrairement à ce que j'ai lu, elle n'en a pas fait de flops monumentales. La santé et l'éducation sont les deux ministères les plus casse-cou qui existe dans un gouvernement et elle s'en est quand même bien tirée.
Et elle a aussi été aux finances.
Femme ou pas, on ne peut pas dire que cette personne là n'a pas d'expérience.
J'aimerais bien que tu m'expliques comment elle s'en est bien tirée...
Mère de la réforme de l'éducation, qui a couté une fortune en passant, le taux de non scolarisation des étudiants ne finit pas de chuter, les enseignants quittent et 2/5 de étudiants en éducation ne finissent pas leur cours apres deux stages.
Instigatrice des garderies a 5$ qui supposement auraient du s'autofinancer, ces garderies sont un goufre financier sans fin.
Instigatrice de l'assurance médicaments, goufre financier aussi.
Je vais vérifier si c'est elle qui était ministre de la santé quand ils ont envoyé des tas de gens à la retraite pour se retrouver en pénurie de personnel, je ne suis pas certaine...
Je suis prête à ce que tu me rappelels bons coups ... --Message edité par lucide le 2007-05-12 19:31:57--
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lucide a écrit
J'aimerais bien que tu m'expliques comment elle s'en est bien tirée...
Mère de la réforme de l'éducation, qui a couté une fortune en passant, le taux de non scolarisation des étudiants ne finit pas de chuter, les enseignants quittent et 2/5 de étudiants en éducation ne finissent pas leur cours apres deux stages.
Instigatrice des garderies a 5$ qui supposement auraient du s'autofinancer, ces garderies sont un goufre financier sans fin.
Instigatrice de l'assurance médicaments, goufre financier aussi.
Je vais vérifier si c'est elle qui était ministre de la santé quand ils ont envoyé des tas de gens à la retraite pour se retrouver en pénurie de personnel, je ne suis pas certaine...
Je suis prête à ce que tu me rappelels bons coups ...
Difficile de confirmer ou d'infirmer tes propos. Tu n'as pas vraiment d'exemples concrets avec références sur ce que tu avances.
Mais pour le départ massif à la retraite, on peut imputer ça beaucoup plus à la décision du chef qu'au ministre (moi non plus je ne me souviens pas qui était à ce porte dans ce temps là).
Un ministre doit jouer avec ce qu'on lui donne et c'était l'époque de la mode "Décifit zéro" où tout le monde trouvait tellement important d'y arriver au plus vite sans penser aux conséquences. C'était dans le temps de Bouchard. Moi j'étais contre cette soudaine presse à équilibrer le porte-feuille sans penser aux conséquences futures.
C'est un peu comme dire qu'on va économiser 2 000 dollar en ne faisant pas l'épicerie pendant un mois mais ça va en couter 10 000 par la suite en soins de santé.
J'aimerais bien que tu m'expliques comment elle s'en est bien tirée...
Mère de la réforme de l'éducation, qui a couté une fortune en passant, le taux de non scolarisation des étudiants ne finit pas de chuter, les enseignants quittent et 2/5 de étudiants en éducation ne finissent pas leur cours apres deux stages.
Instigatrice des garderies a 5$ qui supposement auraient du s'autofinancer, ces garderies sont un goufre financier sans fin.
Instigatrice de l'assurance médicaments, goufre financier aussi.
Je vais vérifier si c'est elle qui était ministre de la santé quand ils ont envoyé des tas de gens à la retraite pour se retrouver en pénurie de personnel, je ne suis pas certaine...
Je suis prête à ce que tu me rappelels bons coups ...
Difficile de confirmer ou d'infirmer tes propos. Tu n'as pas vraiment d'exemples concrets avec références sur ce que tu avances.
Mais pour le départ massif à la retraite, on peut imputer ça beaucoup plus à la décision du chef qu'au ministre (moi non plus je ne me souviens pas qui était à ce porte dans ce temps là).
Un ministre doit jouer avec ce qu'on lui donne et c'était l'époque de la mode "Décifit zéro" où tout le monde trouvait tellement important d'y arriver au plus vite sans penser aux conséquences. C'était dans le temps de Bouchard. Moi j'étais contre cette soudaine presse à équilibrer le porte-feuille sans penser aux conséquences futures.
C'est un peu comme dire qu'on va économiser 2 000 dollar en ne faisant pas l'épicerie pendant un mois mais ça va en couter 10 000 par la suite en soins de santé.
Red Ketchup a écrit
Difficile de confirmer ou d'infirmer tes propos. Tu n'as pas vraiment d'exemples concrets avec références sur ce que tu avances.
Mais pour le départ massif à la retraite, on peut imputer ça beaucoup plus à la décision du chef qu'au ministre (moi non plus je ne me souviens pas qui était à ce porte dans ce temps là).
Un ministre doit jouer avec ce qu'on lui donne et c'était l'époque de la mode "Décifit zéro" où tout le monde trouvait tellement important d'y arriver au plus vite sans penser aux conséquences. C'était dans le temps de Bouchard. Moi j'étais contre cette soudaine presse à équilibrer le porte-feuille sans penser aux conséquences futures.
C'est un peu comme dire qu'on va économiser 2 000 dollar en ne faisant pas l'épicerie pendant un mois mais ça va en couter 10 000 par la suite en soins de santé.
2 avril 1999
Par François Legras
Les dernières années de coupures sauvages effectuées dans le régime public de la santé par le gouvernement fédéral et le gouvernement du Parti Québécois ont créé un véritable désastre social au Québec et ailleurs au Canada.
Les chiffres suivants illustrent la profondeur de la crise provoquée par une politique brutale de coupures menée au nom de l'assainissement des finances publique et de l'amélioration du réseau de la santé.
...
.
Au Québec, en 1997, 17 000 travailleurs de la santé on quitté leurs emplois en prenant une préretraite offerte par le gouvernement, suite à une proposition syndicale de puiser dans les surplus de la caisse de retraite des employés de la santé pour financer en partie ce programme de départs. Un faible pourcentage seulement a été remplacé. Écuré par la dégradation constante de leurs conditions de travail, un nombre beaucoup plus élevé que prévu a saisi l'occasion pour quitter le réseau. Ce mouvement de départ, largement composé de travailleurs ayant une vaste expérience du réseau et une expertise médicale et technique vitale, a contribué à plonger le système de santé dans un marasme absolu.
En plus de procéder au démantèlement du système public de santé, le gouvernement du PQ a introduit en 1997 le nouveau régime d'assurance-médicaments. Ce régime, mis en place à toute vapeur et au mépris d'études et d'avertissements quant aux dangers pour la santé des gens, enlevait la gratuité des médicaments pour les plus pauvres de la société, les personnes âgées et les assistés sociaux. Une étude exhaustive de plusieurs centaines de pages qui vient d'être rendue publique, démontre clairement qu'en effet, les coûts élevés de la prime d'assurance et de la franchise, entraînent une diminution de la consommation des médicaments jugé essentiels et provoquent plusieurs milliers d' « événements indésirables » (4046 selon les premiers extraits du rapport publié en automne 1998), incluant des hospitalisations et près de 120 morts ( faire le lien vers l'article en ligne ).
Après toutes ces coupures, il était prévisible qu'à la moindre augmentation du nombre de patients à l'hôpital, une crise allait éclater. Durant la période des fêtes et les premiers mois de 1999, période de pointe annuelle, les urgences des hôpitaux partout au Québec et particulièrement à Montréal, à Laval et dans les Laurentides, étaient complètement débordées et devenues dangereuses pour les patients, les médecins, les infirmières et autres travailleurs de la santé. Au point où la CSST a dû intervenir à plusieurs reprises et dans un cas, ordonné que l'hôpital prenne des mesures immédiates pour assurer la sécurité des infirmières assignées à l'urgence.
Notre-Dame a dû fermer son urgence quelques jours, isolé des sections pour garder en quarantaine des patients infectés par un virus qui résistait aux traitements habituels. Le virus s'est transporté à l'hôpital Saint Luc, obligeant une autre fermeture d'urgence, aggravant la situation générale.
Les médecins, les infirmières et les employés de soutien de différents hôpitaux ont débrayés à plusieurs reprises pour protester contre la dégradation du réseau et de l'engorgement endémique des salles d'urgences. Dans certaines institutions le nombre de patients en urgences était de trois fois supérieur à la capacité officielle et plusieurs dizaines de patients attendaient sur des civières depuis plus de 48 heures, la limite imposée par la Régie avant d'être transféré vers une chambre.
Les journaux en ont fait leur choux gras. Les quotidiens publiaient à chaque jour, sur plusieurs pages, un compte rendu factuel de la situation des urgences et des drames provoqués par la situation. Un tableau, comme pour les sports, avec les résultats de la veille sur la situation dans les urgences était publié quotidiennement. Parallèlement à cette couverture sur le « terrain » les journaux publiaient le débat entre les spécialistes de la question de la santé et des autres intervenants du milieu sur la question de la privatisation du régime, en tant que solution à long terme aux problèmes.
La ministre de la santé, Pauline Marois a annoncé que le gouvernement allait verser 15 millions pour venir en aide aux hôpitaux du Québec. La ministre a aussi annoncé qu'elle allait régler le problème une fois pour toutes d'ici un an sans spécifier comment. Le dernier budget du PQ annonçait à grande pompe une injection de 1,7 milliard de dollars pour la santé. Mais après une analyse minutieuse du budget, ce n'est que 160 millions de nouveaux dollars qui seront injectés dans le réseau.
Difficile de confirmer ou d'infirmer tes propos. Tu n'as pas vraiment d'exemples concrets avec références sur ce que tu avances.
Mais pour le départ massif à la retraite, on peut imputer ça beaucoup plus à la décision du chef qu'au ministre (moi non plus je ne me souviens pas qui était à ce porte dans ce temps là).
Un ministre doit jouer avec ce qu'on lui donne et c'était l'époque de la mode "Décifit zéro" où tout le monde trouvait tellement important d'y arriver au plus vite sans penser aux conséquences. C'était dans le temps de Bouchard. Moi j'étais contre cette soudaine presse à équilibrer le porte-feuille sans penser aux conséquences futures.
C'est un peu comme dire qu'on va économiser 2 000 dollar en ne faisant pas l'épicerie pendant un mois mais ça va en couter 10 000 par la suite en soins de santé.
2 avril 1999
Par François Legras
Les dernières années de coupures sauvages effectuées dans le régime public de la santé par le gouvernement fédéral et le gouvernement du Parti Québécois ont créé un véritable désastre social au Québec et ailleurs au Canada.
Les chiffres suivants illustrent la profondeur de la crise provoquée par une politique brutale de coupures menée au nom de l'assainissement des finances publique et de l'amélioration du réseau de la santé.
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Au Québec, en 1997, 17 000 travailleurs de la santé on quitté leurs emplois en prenant une préretraite offerte par le gouvernement, suite à une proposition syndicale de puiser dans les surplus de la caisse de retraite des employés de la santé pour financer en partie ce programme de départs. Un faible pourcentage seulement a été remplacé. Écuré par la dégradation constante de leurs conditions de travail, un nombre beaucoup plus élevé que prévu a saisi l'occasion pour quitter le réseau. Ce mouvement de départ, largement composé de travailleurs ayant une vaste expérience du réseau et une expertise médicale et technique vitale, a contribué à plonger le système de santé dans un marasme absolu.
En plus de procéder au démantèlement du système public de santé, le gouvernement du PQ a introduit en 1997 le nouveau régime d'assurance-médicaments. Ce régime, mis en place à toute vapeur et au mépris d'études et d'avertissements quant aux dangers pour la santé des gens, enlevait la gratuité des médicaments pour les plus pauvres de la société, les personnes âgées et les assistés sociaux. Une étude exhaustive de plusieurs centaines de pages qui vient d'être rendue publique, démontre clairement qu'en effet, les coûts élevés de la prime d'assurance et de la franchise, entraînent une diminution de la consommation des médicaments jugé essentiels et provoquent plusieurs milliers d' « événements indésirables » (4046 selon les premiers extraits du rapport publié en automne 1998), incluant des hospitalisations et près de 120 morts ( faire le lien vers l'article en ligne ).
Après toutes ces coupures, il était prévisible qu'à la moindre augmentation du nombre de patients à l'hôpital, une crise allait éclater. Durant la période des fêtes et les premiers mois de 1999, période de pointe annuelle, les urgences des hôpitaux partout au Québec et particulièrement à Montréal, à Laval et dans les Laurentides, étaient complètement débordées et devenues dangereuses pour les patients, les médecins, les infirmières et autres travailleurs de la santé. Au point où la CSST a dû intervenir à plusieurs reprises et dans un cas, ordonné que l'hôpital prenne des mesures immédiates pour assurer la sécurité des infirmières assignées à l'urgence.
Notre-Dame a dû fermer son urgence quelques jours, isolé des sections pour garder en quarantaine des patients infectés par un virus qui résistait aux traitements habituels. Le virus s'est transporté à l'hôpital Saint Luc, obligeant une autre fermeture d'urgence, aggravant la situation générale.
Les médecins, les infirmières et les employés de soutien de différents hôpitaux ont débrayés à plusieurs reprises pour protester contre la dégradation du réseau et de l'engorgement endémique des salles d'urgences. Dans certaines institutions le nombre de patients en urgences était de trois fois supérieur à la capacité officielle et plusieurs dizaines de patients attendaient sur des civières depuis plus de 48 heures, la limite imposée par la Régie avant d'être transféré vers une chambre.
Les journaux en ont fait leur choux gras. Les quotidiens publiaient à chaque jour, sur plusieurs pages, un compte rendu factuel de la situation des urgences et des drames provoqués par la situation. Un tableau, comme pour les sports, avec les résultats de la veille sur la situation dans les urgences était publié quotidiennement. Parallèlement à cette couverture sur le « terrain » les journaux publiaient le débat entre les spécialistes de la question de la santé et des autres intervenants du milieu sur la question de la privatisation du régime, en tant que solution à long terme aux problèmes.
La ministre de la santé, Pauline Marois a annoncé que le gouvernement allait verser 15 millions pour venir en aide aux hôpitaux du Québec. La ministre a aussi annoncé qu'elle allait régler le problème une fois pour toutes d'ici un an sans spécifier comment. Le dernier budget du PQ annonçait à grande pompe une injection de 1,7 milliard de dollars pour la santé. Mais après une analyse minutieuse du budget, ce n'est que 160 millions de nouveaux dollars qui seront injectés dans le réseau.
L'assurance-médicament fauche les pauvres
Par François Legras
4 décembre 1998
La réforme de l'assurance-médicament du gouvernement péquiste est une catastrophe pour la santé des personnes âgées et des assistés sociaux. L'étude, dont les résultats ont été largement publiés et commentés dans les médias révèle que le nouveau régime d'assurance-médicament obligatoire aurait provoqué l'hospitalisation de près de 4 000 personnes et entraîné 120 morts depuis son entrée en vigueur en août 1996. L'étude a été commandée par le ministre de la santé Jean Rochon en juin 1997 suite aux inquiétudes des pharmaciens sur les effets pervers du nouveau régime sur la santé des assistés sociaux et des personnes âgées et devait rester confidentielle jusqu'en janvier 1999.
http://www.wsws.org/francais/News/1998/ ... smed.shtml
--Message edité par MoI@CaRoLiNe le 2007-05-12 20:43:10--
Par François Legras
4 décembre 1998
La réforme de l'assurance-médicament du gouvernement péquiste est une catastrophe pour la santé des personnes âgées et des assistés sociaux. L'étude, dont les résultats ont été largement publiés et commentés dans les médias révèle que le nouveau régime d'assurance-médicament obligatoire aurait provoqué l'hospitalisation de près de 4 000 personnes et entraîné 120 morts depuis son entrée en vigueur en août 1996. L'étude a été commandée par le ministre de la santé Jean Rochon en juin 1997 suite aux inquiétudes des pharmaciens sur les effets pervers du nouveau régime sur la santé des assistés sociaux et des personnes âgées et devait rester confidentielle jusqu'en janvier 1999.
http://www.wsws.org/francais/News/1998/ ... smed.shtml
--Message edité par MoI@CaRoLiNe le 2007-05-12 20:43:10--
https://album.aufeminin.com/album/notremariage785
Duceppe se ravise
La bataille des titans souverainistes n'aura finalement pas lieu.
À la surprise générale, le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a renoncé samedi à briguer la direction du Parti québécois et s'est rallié à Pauline Marois, 24 heures seulement après avoir annoncé sa candidature.
Dans un communiqué transmis peu avant 18 h, M. Duceppe dit avoir pris sa décision après « analyse des événements de la fin de semaine ».
L'importante et rapide récolte d'appuis de Pauline Marois tant au sein du Parti québécois, du Bloc québécois que de la population en général fait en sorte qu'il est de mon devoir d'éviter au mouvement souverainiste un affrontement porteur de division et, donc, d'affaiblissement. — Gilles Duceppe
Le chef bloquiste explique que « le message "Pauline à Québec et Gilles à Ottawa" » a également joué dans sa décision de se retirer de la course. M. Duceppe accorde maintenant son « appui inconditionnel » à Pauline Marois.
Il est temps qu'une femme, et une de qualité, parvienne à la tête du Parti québécois puis du Québec. — Gilles Duceppe
Mme Marois « salue le courage et le sens des responsabilités de M. Duceppe et se réjouit de son appui », a déclaré samedi une porte-parole de la candidate péquiste. Mme Marois n'a pas donné d'entrevue samedi soir et tiendra comme prévu une conférence de presse dimanche matin, à Longueuil.
Le chef bloquiste a informé Mme Marois de sa décision par téléphone, environ une heure avant de publier son communiqué.
M. Duceppe et Mme Marois ont annoncé leur candidature à la succession d'André Boisclair, vendredi midi, à quelques minutes d'intervalle seulement. André Boisclair avait démissionné de son poste trois jours plus tôt.
Un course qui s'annonçait difficile
Plus tôt dans la journée de samedi, la députée bloquiste Maria Mourani avait demandé à son chef de se retirer de la course à la direction du PQ. La députée d'Ahuntsic, qui appuie Mme Marois, se réjouit maintenant de la décision de M. Duceppe, qu'elle juge courageuse.
Le député bloquiste Bernard Bigras, qui n'avait pas encore pris position dans la course à la direction du PQ, a estimé pour sa part que Gilles Duceppe a pris une sage décision.
La veille, d'autres bloquistes, comme Christiane Gagnon et Réal Ménard, avaient exprimé leur préférence pour Mme Marois. Mme Gagnon s'était même dite « déçue » par la décision de son chef de briguer la direction du PQ.
Dans son communiqué, M. Duceppe a précisé qu'il demandera lundi aux députés bloquistes de lui réitérer leur confiance. Il fera la même chose avec les militants du Bloc, lors du conseil général, en octobre.
L'arrivée du chef bloquiste n'avait pas provoqué d'enthousiasme chez les péquistes non plus. Plusieurs députés du caucus, dont Bernard Drainville et Marie Malavoy, avaient déjà donné leur appui à Mme Marois. Seul le député des Îles-de-la-Madeleine, Maxime Arseneau, s'était officiellement rangé derrière le chef bloquiste.
Dans son communiqué, M. Duceppe s'est dit tout de même encore « éminemment convaincu » qu'il aurait pu « apporter une contribution importante comme chef du Parti québécois ». En outre, il estime que le mouvement souverainiste doit « trouver les moyens de renouer le dialogue avec les Québécois ».
Pauline Marois la favorite
L'annonce surprise du chef bloquiste survient au moment où un sondage révèle que les Québécois préfèrent Pauline Marois à Gilles Duceppe comme chef du Parti québécois.
Un sondage CROP publié samedi dans le quotidien La Presse indique en effet que 45 % des répondants préfèreraient voir Pauline Marois à la tête du PQ, contre 21 % pour Gilles Duceppe.
Le seul autre candidat à se démarquer est le député et ancien président de l'Union des artistes Pierre Curzi, avec 8 % des répondants qui le verraient chef.
Soulignons que les répondants n'étaient pas nécessairement péquistes et que le sondage a été mené dans les jours suivant la démission d'André Boisclair, avant que Pauline Marois et Gilles Duceppe n'annoncent leur candidature à la direction du PQ.
Le sondage CROP/La Presse/Cyberpresse a été réalisé par téléphone les 9 et 10 mai 2007 auprès de 932 répondants. La marge d'erreur est de plus ou moins 3 %, 19 fois sur 20.
La bataille des titans souverainistes n'aura finalement pas lieu.
À la surprise générale, le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a renoncé samedi à briguer la direction du Parti québécois et s'est rallié à Pauline Marois, 24 heures seulement après avoir annoncé sa candidature.
Dans un communiqué transmis peu avant 18 h, M. Duceppe dit avoir pris sa décision après « analyse des événements de la fin de semaine ».
L'importante et rapide récolte d'appuis de Pauline Marois tant au sein du Parti québécois, du Bloc québécois que de la population en général fait en sorte qu'il est de mon devoir d'éviter au mouvement souverainiste un affrontement porteur de division et, donc, d'affaiblissement. — Gilles Duceppe
Le chef bloquiste explique que « le message "Pauline à Québec et Gilles à Ottawa" » a également joué dans sa décision de se retirer de la course. M. Duceppe accorde maintenant son « appui inconditionnel » à Pauline Marois.
Il est temps qu'une femme, et une de qualité, parvienne à la tête du Parti québécois puis du Québec. — Gilles Duceppe
Mme Marois « salue le courage et le sens des responsabilités de M. Duceppe et se réjouit de son appui », a déclaré samedi une porte-parole de la candidate péquiste. Mme Marois n'a pas donné d'entrevue samedi soir et tiendra comme prévu une conférence de presse dimanche matin, à Longueuil.
Le chef bloquiste a informé Mme Marois de sa décision par téléphone, environ une heure avant de publier son communiqué.
M. Duceppe et Mme Marois ont annoncé leur candidature à la succession d'André Boisclair, vendredi midi, à quelques minutes d'intervalle seulement. André Boisclair avait démissionné de son poste trois jours plus tôt.
Un course qui s'annonçait difficile
Plus tôt dans la journée de samedi, la députée bloquiste Maria Mourani avait demandé à son chef de se retirer de la course à la direction du PQ. La députée d'Ahuntsic, qui appuie Mme Marois, se réjouit maintenant de la décision de M. Duceppe, qu'elle juge courageuse.
Le député bloquiste Bernard Bigras, qui n'avait pas encore pris position dans la course à la direction du PQ, a estimé pour sa part que Gilles Duceppe a pris une sage décision.
La veille, d'autres bloquistes, comme Christiane Gagnon et Réal Ménard, avaient exprimé leur préférence pour Mme Marois. Mme Gagnon s'était même dite « déçue » par la décision de son chef de briguer la direction du PQ.
Dans son communiqué, M. Duceppe a précisé qu'il demandera lundi aux députés bloquistes de lui réitérer leur confiance. Il fera la même chose avec les militants du Bloc, lors du conseil général, en octobre.
L'arrivée du chef bloquiste n'avait pas provoqué d'enthousiasme chez les péquistes non plus. Plusieurs députés du caucus, dont Bernard Drainville et Marie Malavoy, avaient déjà donné leur appui à Mme Marois. Seul le député des Îles-de-la-Madeleine, Maxime Arseneau, s'était officiellement rangé derrière le chef bloquiste.
Dans son communiqué, M. Duceppe s'est dit tout de même encore « éminemment convaincu » qu'il aurait pu « apporter une contribution importante comme chef du Parti québécois ». En outre, il estime que le mouvement souverainiste doit « trouver les moyens de renouer le dialogue avec les Québécois ».
Pauline Marois la favorite
L'annonce surprise du chef bloquiste survient au moment où un sondage révèle que les Québécois préfèrent Pauline Marois à Gilles Duceppe comme chef du Parti québécois.
Un sondage CROP publié samedi dans le quotidien La Presse indique en effet que 45 % des répondants préfèreraient voir Pauline Marois à la tête du PQ, contre 21 % pour Gilles Duceppe.
Le seul autre candidat à se démarquer est le député et ancien président de l'Union des artistes Pierre Curzi, avec 8 % des répondants qui le verraient chef.
Soulignons que les répondants n'étaient pas nécessairement péquistes et que le sondage a été mené dans les jours suivant la démission d'André Boisclair, avant que Pauline Marois et Gilles Duceppe n'annoncent leur candidature à la direction du PQ.
Le sondage CROP/La Presse/Cyberpresse a été réalisé par téléphone les 9 et 10 mai 2007 auprès de 932 répondants. La marge d'erreur est de plus ou moins 3 %, 19 fois sur 20.
Acrux a écritBon ben ça met fin au débat...
PQ = Chef hautain...
Pour réussir à gérer ces membres difficiles j'imagine que c'est un bon prérequis...
On a lu ici qu'il y a un autre chef qui est aussi hautain et qui se le permettait avec beaucoup moins... Tu as pris le temps de lire?
mdr
PQ = Chef hautain...
Pour réussir à gérer ces membres difficiles j'imagine que c'est un bon prérequis...
On a lu ici qu'il y a un autre chef qui est aussi hautain et qui se le permettait avec beaucoup moins... Tu as pris le temps de lire?
mdr
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Red Ketchup a écrit
Dans mon cas, qu'elle soit une femme n'affecte en rien mon jugement.
Dans mon cas aussi, tout comme l'homosexualité ou le fait d'avoir déjà pris de la drogue ne faisait pas partie de mes critères, mais il en est tout autrement pour plein de gens malheureusement, dont certaine membres de ma famille.
Dans mon cas, qu'elle soit une femme n'affecte en rien mon jugement.
Dans mon cas aussi, tout comme l'homosexualité ou le fait d'avoir déjà pris de la drogue ne faisait pas partie de mes critères, mais il en est tout autrement pour plein de gens malheureusement, dont certaine membres de ma famille.

NetRoll a écrit
Dans mon cas aussi, tout comme l'homosexualité ou le fait d'avoir déjà pris de la drogue ne faisait pas partie de mes critères, mais il en est tout autrement pour plein de gens malheureusement, dont certaine membres de ma famille.
Pour vrai Net??? Et quand ils en parlent, explique-t'il le pourquoi, ou bien il ne font que dire "moi je voterai pas pour X à cause de *une des trois raisons énoncées plus haut*?
Dans mon cas aussi, tout comme l'homosexualité ou le fait d'avoir déjà pris de la drogue ne faisait pas partie de mes critères, mais il en est tout autrement pour plein de gens malheureusement, dont certaine membres de ma famille.
Pour vrai Net??? Et quand ils en parlent, explique-t'il le pourquoi, ou bien il ne font que dire "moi je voterai pas pour X à cause de *une des trois raisons énoncées plus haut*?
https://album.aufeminin.com/album/notremariage785
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moss a écritJe ne connais pas beaucoup la politique, mais je suis curieuse. Pourquoi plusieurs sont anti-Marois ? Quelles sont vos raisons ?
Je suis une anti-Marois parce qu'elle a comploté contre son chef (Bernard Landry) dans le temps et a lavé le linge sale en public... ce qui a donné lui entre autre, à sa démission. Elle a ensuite fait campagne pour devenir chef... On a voté contre elle pour la majorité, bien plus que pour un autre candidat... Une fois de plus, elle n'a pas aidé le chef ayant été élu, non elle a laissé tomber le parti démontrant la confiance qu'elle n'avait pas en son chef que les électeurs ont choisis !
Ça coûte 5$ devenir membre, il y a eu plus de 250 000 nouvelles inscrïption l'année de la course à la chefferie... Un record d'inscrïption ! Elle a perdu, me semble que le message est clair...
Pis moi une femme qui me parle pendant 10 minutes des nouvelles chaussure qu'elle a acheté pour présenter son budget afin qu'on oublie de quoi traite le budget, c'est poche.
Au diable la Marois... Si elle gagne, je quitte vers un autre parti ! Tant pis si elle ne comprend pas que lors du vote de ceux qui les font élirent, donc les paient, n'ont pas voulu d'elle. Ce ne sont pas les députés qui ont a décidés qui ils veulent, c'est à nous le peuple !
Je suis une anti-Marois parce qu'elle a comploté contre son chef (Bernard Landry) dans le temps et a lavé le linge sale en public... ce qui a donné lui entre autre, à sa démission. Elle a ensuite fait campagne pour devenir chef... On a voté contre elle pour la majorité, bien plus que pour un autre candidat... Une fois de plus, elle n'a pas aidé le chef ayant été élu, non elle a laissé tomber le parti démontrant la confiance qu'elle n'avait pas en son chef que les électeurs ont choisis !
Ça coûte 5$ devenir membre, il y a eu plus de 250 000 nouvelles inscrïption l'année de la course à la chefferie... Un record d'inscrïption ! Elle a perdu, me semble que le message est clair...
Pis moi une femme qui me parle pendant 10 minutes des nouvelles chaussure qu'elle a acheté pour présenter son budget afin qu'on oublie de quoi traite le budget, c'est poche.
Au diable la Marois... Si elle gagne, je quitte vers un autre parti ! Tant pis si elle ne comprend pas que lors du vote de ceux qui les font élirent, donc les paient, n'ont pas voulu d'elle. Ce ne sont pas les députés qui ont a décidés qui ils veulent, c'est à nous le peuple !
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Red Ketchup a écrit
Dans mon cas, qu'elle soit une femme n'affecte en rien mon jugement.
Il n'y a pas que celà. Les gens voient bien que cette personne est tenace. Elle a déjà essuyé deux revers et elle remet ça encore. Ce genre de persévérence démontre quand même que c'est une personne solide qui pourrait faire un bon chef d'état.
Elle a aussi mené les ministères les plus importants d'un gouvernement et contrairement à ce que j'ai lu, elle n'en a pas fait de flops monumentales. La santé et l'éducation sont les deux ministères les plus casse-cou qui existe dans un gouvernement et elle s'en est quand même bien tirée.
Et elle a aussi été aux finances.
Femme ou pas, on ne peut pas dire que cette personne là n'a pas d'expérience.
Par deux fois on lui a dit ne pas vouloir d'elle (La première fois les députés, la deuxième fois les membres).
La première fois elle a dit accepté le choix et qu'elle se tiendrait au côtés de son chef... Elle a prit quelques mois de tractations et a poignardé Landry et par la suite Boisclair...
Ne tourner pas le dos à cette femme, elle devient dangeureuse... Voilà le message qu'elle m'a laissé !
Dans mon cas, qu'elle soit une femme n'affecte en rien mon jugement.
Il n'y a pas que celà. Les gens voient bien que cette personne est tenace. Elle a déjà essuyé deux revers et elle remet ça encore. Ce genre de persévérence démontre quand même que c'est une personne solide qui pourrait faire un bon chef d'état.
Elle a aussi mené les ministères les plus importants d'un gouvernement et contrairement à ce que j'ai lu, elle n'en a pas fait de flops monumentales. La santé et l'éducation sont les deux ministères les plus casse-cou qui existe dans un gouvernement et elle s'en est quand même bien tirée.
Et elle a aussi été aux finances.
Femme ou pas, on ne peut pas dire que cette personne là n'a pas d'expérience.
Par deux fois on lui a dit ne pas vouloir d'elle (La première fois les députés, la deuxième fois les membres).
La première fois elle a dit accepté le choix et qu'elle se tiendrait au côtés de son chef... Elle a prit quelques mois de tractations et a poignardé Landry et par la suite Boisclair...
Ne tourner pas le dos à cette femme, elle devient dangeureuse... Voilà le message qu'elle m'a laissé !
Team Aniston, Team Bitch, Team cochonne !
MoI@CaRoLiNe a écrit
Pour vrai Net??? Et quand ils en parlent, explique-t'il le pourquoi, ou bien il ne font que dire "moi je voterai pas pour X à cause de *une des trois raisons énoncées plus haut*?
Ça va de "moi je ne veux pas d'une tapette comme premier ministre" à "C'est un criminel, sa place est en prison, pas au parlement"
Et il n'y a rien ;a faire avec ces gens là, ils ne changeront pas d'idée.
Pour vrai Net??? Et quand ils en parlent, explique-t'il le pourquoi, ou bien il ne font que dire "moi je voterai pas pour X à cause de *une des trois raisons énoncées plus haut*?
Ça va de "moi je ne veux pas d'une tapette comme premier ministre" à "C'est un criminel, sa place est en prison, pas au parlement"
Et il n'y a rien ;a faire avec ces gens là, ils ne changeront pas d'idée.
