Demission de Diane Lemieux, députée de Bourget
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Le lundi 20 août 2007
Diane Lemieux rétrogradée
Pauline Marois a annoncé à Diane Lemieux que, à la rentrée d’octobre, le vétéran François Gendron la remplacerait à titre de leader parlementaire.
Photo PC
Denis Lessard
La Presse
Québec
Dès ses premières décisions, la nouvelle chef péquiste, Pauline Marois, a déclenché une crise importante dans son parti. Diane Lemieux a décidé en fin de semaine de démissionner de son siège de députée de Bourget après que la nouvelle patronne lui eut retiré, sans la prévenir, son poste de leader parlementaire à l’Assemblée nationale.
Mmes Marois et Lemieux se sont vues vendredi midi dans un restaurant de Montréal, «et elles n’ont pas demandé un deuxième café», a confié à La Presse une source informée de la collision des deux péquistes.
Vers la fin du repas, Mme Marois a annoncé à Mme Lemieux que, à la rentrée d’octobre, le vétéran François Gendron la remplacerait à titre de leader parlementaire. Cela a mis hors d’elle la bouillante députée de Bourget.
M. Gendron ayant déjà été informé de sa promotion, Mme Lemieux a repoussé d’un revers de main le poste de présidente du caucus que lui laissait entrevoir la chef péquiste.
Pour expliquer sa décision, Mme Marois a invoqué le fait que Mme Lemieux était trop identifiée à son prédécesseur, André Boisclair. Hors d’elle, Mme Lemieux a fait valoir qu’elle a été loyale au chef péquiste tout comme elle l’avait été envers Bernard Landry avant lui ainsi qu’à Lucien Bouchard, qui l’avait nommée ministre du Travail dès son élection, en 1998.
Mais on se souviendra que Mme Lemieux avait donné son appui à Bernard Landry en janvier 2001, au départ de Lucien Bouchard. En 2005, dans la course à la succession de M. Landry, elle a très tôt rejoint le camp d’André Boisclair.
Vendredi, certaines sources soutenaient que Mme Lemieux avait menacé de démissionner. Des membres de l’entourage de la députée péquiste soutenaient plutôt hier que, sans faire de menaces, elle a décidé de tirer sa révérence dans les heures qui ont suivi. Elle annoncera sa décision à Mme Marois aujourd’hui et doit la rendre publique plus tard cette semaine.
Jointe chez elle hier soir, Mme Lemieux a coupé court à la conversation quand La Presse lui a parlé de son dîner de vendredi. « Notre conversation s’arrête maintenant », a-t-elle conclu avant de raccrocher.
Mme Lemieux, âgée de 45 ans, a toujours eu une carrière ascendante. Sa proximité avec André Boisclair tient pour beaucoup à sa longue amitié avec Éric Bédard, un des proches conseillers de M. Boisclair dans la course à la direction du PQ.
Mme Marois compte annoncer la nomination de François Gendron au caucus du 29 août, à Québec. Elle devrait du même souffle confirmer Stéphane Bédard, député de Chicoutimi, au poste de whip du «deuxième groupe d’opposition» à l’Assemblée nationale, l’appellation du PQ depuis qu’il a glissé derrière l’ADQ pour le nombre de sièges.
Dès l’arrivée de Mme Marois, Mme Lemieux avait fait des déclarations qui trahissaient son manque d’enthousiasme. Quand la nouvelle chef a mis de côté le calendrier référendaire, Mme Lemieux s’était contentée de dire que Mme Marois ne faisait que «confirmer ce qu’elle avait dit qu’elle ferait».
Dans son entourage, on s’interroge. «À 45 ans, Diane Lemieux va-t-elle s’asseoir au fond du poulailler?» (la partie de l’Assemblée nationale où, sous les projecteurs, sont inconfortablement assis désormais les députés péquistes).
Celle qu’on surnomme «la lionne de Bourget» en raison de son fort tempérament travaillait comme avocate spécialisée dans les droits des femmes victimes d’agression sexuelle. Elle dirigeait un organisme dans ce domaine à Sherbrooke quand des conseillers de Lucien Bouchard l’avaient remarquée et nommée à la présidence du Conseil du statut de la femme en attendant les élections toutes proches. Elle a été élue en 1998 et nommée au Travail, puis à la Solidarité sociale, une responsabilité qu’elle a partagée avec André Boisclair.
Son arrivée par la suite à la Culture fut remarquée: le jour même de sa prestation de serment, elle avait accusé les Ontariens de ne pas avoir de culture!
À la place de Mme Lemieux, Mme Marois compte nommer François Gendron, député d’Abitibi-Ouest élu sans interruption depuis 1976. M. Gendron a brillé durant son bref passage à la barre de l’aile parlementaire péquiste, lorsqu’il a remplacé M. Boisclair comme chef, le printemps dernier. Mais sa détermination à décrocher des postes agace bien des collègues: quand Boisclair était chef et négociait de meilleures conditions pour l’ensemble des députés et recherchistes péquistes, M. Gendron insistait pour qu’on pousse sa candidature comme troisième vice-président de la Chambre, ce qui aurait assuré une meilleure masse salariale pour son bureau. Un autre candidat, Bernard Drainville, nouvel élu dans Marie-Victorin, lorgnait le poste de leader parlementaire.
Mme Marois a déjà mis de côté Pierre-Luc Paquette, directeur du parti, très proche du Bloc québécois et de son chef, Gilles Duceppe. Mais faute de candidats, elle l’a remplacé par Simon Bissonnette, un des lieutenants de Bernard Landry. Ce choix est d’autant plus surprenant que M. Bissonnette avait annoncé à André Boisclair qu’il comptait quitter la vie politique après les élections du printemps.
Diane Lemieux rétrogradée
Pauline Marois a annoncé à Diane Lemieux que, à la rentrée d’octobre, le vétéran François Gendron la remplacerait à titre de leader parlementaire.
Photo PC
Denis Lessard
La Presse
Québec
Dès ses premières décisions, la nouvelle chef péquiste, Pauline Marois, a déclenché une crise importante dans son parti. Diane Lemieux a décidé en fin de semaine de démissionner de son siège de députée de Bourget après que la nouvelle patronne lui eut retiré, sans la prévenir, son poste de leader parlementaire à l’Assemblée nationale.
Mmes Marois et Lemieux se sont vues vendredi midi dans un restaurant de Montréal, «et elles n’ont pas demandé un deuxième café», a confié à La Presse une source informée de la collision des deux péquistes.
Vers la fin du repas, Mme Marois a annoncé à Mme Lemieux que, à la rentrée d’octobre, le vétéran François Gendron la remplacerait à titre de leader parlementaire. Cela a mis hors d’elle la bouillante députée de Bourget.
M. Gendron ayant déjà été informé de sa promotion, Mme Lemieux a repoussé d’un revers de main le poste de présidente du caucus que lui laissait entrevoir la chef péquiste.
Pour expliquer sa décision, Mme Marois a invoqué le fait que Mme Lemieux était trop identifiée à son prédécesseur, André Boisclair. Hors d’elle, Mme Lemieux a fait valoir qu’elle a été loyale au chef péquiste tout comme elle l’avait été envers Bernard Landry avant lui ainsi qu’à Lucien Bouchard, qui l’avait nommée ministre du Travail dès son élection, en 1998.
Mais on se souviendra que Mme Lemieux avait donné son appui à Bernard Landry en janvier 2001, au départ de Lucien Bouchard. En 2005, dans la course à la succession de M. Landry, elle a très tôt rejoint le camp d’André Boisclair.
Vendredi, certaines sources soutenaient que Mme Lemieux avait menacé de démissionner. Des membres de l’entourage de la députée péquiste soutenaient plutôt hier que, sans faire de menaces, elle a décidé de tirer sa révérence dans les heures qui ont suivi. Elle annoncera sa décision à Mme Marois aujourd’hui et doit la rendre publique plus tard cette semaine.
Jointe chez elle hier soir, Mme Lemieux a coupé court à la conversation quand La Presse lui a parlé de son dîner de vendredi. « Notre conversation s’arrête maintenant », a-t-elle conclu avant de raccrocher.
Mme Lemieux, âgée de 45 ans, a toujours eu une carrière ascendante. Sa proximité avec André Boisclair tient pour beaucoup à sa longue amitié avec Éric Bédard, un des proches conseillers de M. Boisclair dans la course à la direction du PQ.
Mme Marois compte annoncer la nomination de François Gendron au caucus du 29 août, à Québec. Elle devrait du même souffle confirmer Stéphane Bédard, député de Chicoutimi, au poste de whip du «deuxième groupe d’opposition» à l’Assemblée nationale, l’appellation du PQ depuis qu’il a glissé derrière l’ADQ pour le nombre de sièges.
Dès l’arrivée de Mme Marois, Mme Lemieux avait fait des déclarations qui trahissaient son manque d’enthousiasme. Quand la nouvelle chef a mis de côté le calendrier référendaire, Mme Lemieux s’était contentée de dire que Mme Marois ne faisait que «confirmer ce qu’elle avait dit qu’elle ferait».
Dans son entourage, on s’interroge. «À 45 ans, Diane Lemieux va-t-elle s’asseoir au fond du poulailler?» (la partie de l’Assemblée nationale où, sous les projecteurs, sont inconfortablement assis désormais les députés péquistes).
Celle qu’on surnomme «la lionne de Bourget» en raison de son fort tempérament travaillait comme avocate spécialisée dans les droits des femmes victimes d’agression sexuelle. Elle dirigeait un organisme dans ce domaine à Sherbrooke quand des conseillers de Lucien Bouchard l’avaient remarquée et nommée à la présidence du Conseil du statut de la femme en attendant les élections toutes proches. Elle a été élue en 1998 et nommée au Travail, puis à la Solidarité sociale, une responsabilité qu’elle a partagée avec André Boisclair.
Son arrivée par la suite à la Culture fut remarquée: le jour même de sa prestation de serment, elle avait accusé les Ontariens de ne pas avoir de culture!
À la place de Mme Lemieux, Mme Marois compte nommer François Gendron, député d’Abitibi-Ouest élu sans interruption depuis 1976. M. Gendron a brillé durant son bref passage à la barre de l’aile parlementaire péquiste, lorsqu’il a remplacé M. Boisclair comme chef, le printemps dernier. Mais sa détermination à décrocher des postes agace bien des collègues: quand Boisclair était chef et négociait de meilleures conditions pour l’ensemble des députés et recherchistes péquistes, M. Gendron insistait pour qu’on pousse sa candidature comme troisième vice-président de la Chambre, ce qui aurait assuré une meilleure masse salariale pour son bureau. Un autre candidat, Bernard Drainville, nouvel élu dans Marie-Victorin, lorgnait le poste de leader parlementaire.
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Prière et chant religieux
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- MerlinetteXXX
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ben diane lemieux est une importuniste et pro boisclair alors marois veut faire du menage pour du neuf
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
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- Manitou de la Parlotte
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- MerlinetteXXX
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- Seigneur de la Causerie
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lundi 20 août 2007
CHIGNONS CRÊPÉS EN SAUCE PÉQUISTE (Par Michel Hébert)
Furieuse contre Pauline Marois, la députée Diane Lemieux démissionnera de son poste de députée de Bourget à la rentrée parlementaire du 16 octobre prochain.
Bizarrement, à son bureau, ce matin, on ne savait rien des intentions de Mme Lemieux. On savait que ça n'allait pas comme d'habitude mais on n'avait pas envie de croire les médias...
«Elle démissionnera à la rentrée parlementaire. Elle nous l'a confirmé ce matin», disait-on cependant au bureau de l'opposition péquiste à l'Assemblée nationale, en après-midi.
Cette décision de Diane Lemieux place Pauline Marois devant un premier défi d'unité et la population devant une première secousse de la barque péquiste.
Mme Marois avait promu François Gendron au poste de leader parlementaire, en remplacement de Diane Lemieux. Un poste assorti d'une prime d'environ 25 000 $...
La nouvelle de la démission de la bouillante députée Lemieux a réveillé les péquistes plus vite qu'un expresso, hier matin.
Radios et télés reprenaient la manchette de La Presse qui évoquait cette possibilité en donnant quelques détails sur un tête-à-tête glacial entre Mmes Marois et Lemieux, à Montréal, vendredi.
Étrangement, Diane Lemieux ne quitte pas ses fonctions immédiatement mais conservera son poste de députée de Bourget durant presque deux mois encore. Si elle avait choisi de larguer le PQ immédiatement, elle aurait facilité les choses à Pauline Marois et à Jean Charest. Le premier ministre aurait pu déclencher des élections dans Bourget en même temps que dans Charlevoix. Le PQ aurait pu espérer un doublé. En reportant le scrutin à plus tard, les risques de défaite seront réels dans Bourget... Dans Charlevoix, ça dépendra de l'effet qu'aura le Parti vert sur les électeurs libéraux, adéquistes ou autres...
Mme Lemieux est supposée expliquer sa décision à la rentrée parlementaire prévue le 16 octobre. On se doute bien qu'elle le fera en grandes pompes, avec panache, et tout et tout. Et les péquistes auront pour elle des bons mots. Ils iront l'embrasser. Certains seront sincères et d'autres se diront: bon débarras. Mais ça ne paraîtra pas aux nouvelles du soir... --Message edité par .anthurium. le 2007-08-20 21:14:39--
CHIGNONS CRÊPÉS EN SAUCE PÉQUISTE (Par Michel Hébert)
Furieuse contre Pauline Marois, la députée Diane Lemieux démissionnera de son poste de députée de Bourget à la rentrée parlementaire du 16 octobre prochain.
Bizarrement, à son bureau, ce matin, on ne savait rien des intentions de Mme Lemieux. On savait que ça n'allait pas comme d'habitude mais on n'avait pas envie de croire les médias...
«Elle démissionnera à la rentrée parlementaire. Elle nous l'a confirmé ce matin», disait-on cependant au bureau de l'opposition péquiste à l'Assemblée nationale, en après-midi.
Cette décision de Diane Lemieux place Pauline Marois devant un premier défi d'unité et la population devant une première secousse de la barque péquiste.
Mme Marois avait promu François Gendron au poste de leader parlementaire, en remplacement de Diane Lemieux. Un poste assorti d'une prime d'environ 25 000 $...
La nouvelle de la démission de la bouillante députée Lemieux a réveillé les péquistes plus vite qu'un expresso, hier matin.
Radios et télés reprenaient la manchette de La Presse qui évoquait cette possibilité en donnant quelques détails sur un tête-à-tête glacial entre Mmes Marois et Lemieux, à Montréal, vendredi.
Étrangement, Diane Lemieux ne quitte pas ses fonctions immédiatement mais conservera son poste de députée de Bourget durant presque deux mois encore. Si elle avait choisi de larguer le PQ immédiatement, elle aurait facilité les choses à Pauline Marois et à Jean Charest. Le premier ministre aurait pu déclencher des élections dans Bourget en même temps que dans Charlevoix. Le PQ aurait pu espérer un doublé. En reportant le scrutin à plus tard, les risques de défaite seront réels dans Bourget... Dans Charlevoix, ça dépendra de l'effet qu'aura le Parti vert sur les électeurs libéraux, adéquistes ou autres...
Mme Lemieux est supposée expliquer sa décision à la rentrée parlementaire prévue le 16 octobre. On se doute bien qu'elle le fera en grandes pompes, avec panache, et tout et tout. Et les péquistes auront pour elle des bons mots. Ils iront l'embrasser. Certains seront sincères et d'autres se diront: bon débarras. Mais ça ne paraîtra pas aux nouvelles du soir... --Message edité par .anthurium. le 2007-08-20 21:14:39--
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Je trouve cela dommage, j'ai toujours aimé Diane Lemieux comme leader parlementaire, elle avait de la gueule, un franc parler et beaucoup de front en chambre et elle a toujours très bien défendu les intérets du parti québécois dans toutes les fonctions qu'elle a occupée... Par respect, elle ne méritait pas d'être rétrogradé de la sorte même si elle était un pro-Boisclair...
Pauline Marois vient de baisser dans mon estime car elle vient de perdre un pilier important du parti québécois. Elle veut le moderniser et je crois que Madame Lemieux aurait été d'une grande aide dans ce vent de fraicheur que veut instaurer la nouvelle chef...
Pauline Marois vient de baisser dans mon estime car elle vient de perdre un pilier important du parti québécois. Elle veut le moderniser et je crois que Madame Lemieux aurait été d'une grande aide dans ce vent de fraicheur que veut instaurer la nouvelle chef...
- sleepy-girl
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : dim. avr. 16, 2006 12:00 am
Jumbo a écrit
La Reine a parlé, Diane tasse-toi.
La reine je ne sais pas ... mais le chef oui....
Je ne vois pas rien d'amoral dans le geste de Madame Marois. Il me semble que lorsque tu veux diriger quelque chose dans ce cas ci un parti tu t'entoures de gens en qui tu as confiance, des affinités et tes méthodes de travail compatibles.
Tout le monde sait que Madame Lemieux était plutot liée a Andre Boisclair et n'était pas chaude a l'idee d'avoir Madame Marois comme chef.
Je vois plutot de la part de Madame Lemieux du froissage d'égo.... et en quittant le bateau elle agit exactement comme Madame Marois lors de l'élection de Monsieur Boisclair....
mais ca semble pas déranger le parti que les membres ne soient pas solidaires... peut etre le reel probleme du parti trop de gros égos.
La Reine a parlé, Diane tasse-toi.
La reine je ne sais pas ... mais le chef oui....
Je ne vois pas rien d'amoral dans le geste de Madame Marois. Il me semble que lorsque tu veux diriger quelque chose dans ce cas ci un parti tu t'entoures de gens en qui tu as confiance, des affinités et tes méthodes de travail compatibles.
Tout le monde sait que Madame Lemieux était plutot liée a Andre Boisclair et n'était pas chaude a l'idee d'avoir Madame Marois comme chef.
Je vois plutot de la part de Madame Lemieux du froissage d'égo.... et en quittant le bateau elle agit exactement comme Madame Marois lors de l'élection de Monsieur Boisclair....
mais ca semble pas déranger le parti que les membres ne soient pas solidaires... peut etre le reel probleme du parti trop de gros égos.
lucide a écrit
La reine je ne sais pas ... mais le chef oui....
Je ne vois pas rien d'amoral dans le geste de Madame Marois. Il me semble que lorsque tu veux diriger quelque chose dans ce cas ci un parti tu t'entoures de gens en qui tu as confiance, des affinités et tes méthodes de travail compatibles.
Tout le monde sait que Madame Lemieux était plutot liée a Andre Boisclair et n'était pas chaude a l'idee d'avoir Madame Marois comme chef.
Je vois plutot de la part de Madame Lemieux du froissage d'égo.... et en quittant le bateau elle agit exactement comme Madame Marois lors de l'élection de Monsieur Boisclair....
mais ca semble pas déranger le parti que les membres ne soient pas solidaires... peut etre le reel probleme du parti trop de gros égos.
Je pense pareil...
La reine je ne sais pas ... mais le chef oui....
Je ne vois pas rien d'amoral dans le geste de Madame Marois. Il me semble que lorsque tu veux diriger quelque chose dans ce cas ci un parti tu t'entoures de gens en qui tu as confiance, des affinités et tes méthodes de travail compatibles.
Tout le monde sait que Madame Lemieux était plutot liée a Andre Boisclair et n'était pas chaude a l'idee d'avoir Madame Marois comme chef.
Je vois plutot de la part de Madame Lemieux du froissage d'égo.... et en quittant le bateau elle agit exactement comme Madame Marois lors de l'élection de Monsieur Boisclair....
mais ca semble pas déranger le parti que les membres ne soient pas solidaires... peut etre le reel probleme du parti trop de gros égos.
Je pense pareil...
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
lucide a écrit
La reine je ne sais pas ... mais le chef oui....
Je ne vois pas rien d'amoral dans le geste de Madame Marois. Il me semble que lorsque tu veux diriger quelque chose dans ce cas ci un parti tu t'entoures de gens en qui tu as confiance, des affinités et tes méthodes de travail compatibles.
Tout le monde sait que Madame Lemieux était plutot liée a Andre Boisclair et n'était pas chaude a l'idee d'avoir Madame Marois comme chef.
Je vois plutot de la part de Madame Lemieux du froissage d'égo.... et en quittant le bateau elle agit exactement comme Madame Marois lors de l'élection de Monsieur Boisclair....
mais ca semble pas déranger le parti que les membres ne soient pas solidaires... peut etre le reel probleme du parti trop de gros égos.
La reine je ne sais pas ... mais le chef oui....
Je ne vois pas rien d'amoral dans le geste de Madame Marois. Il me semble que lorsque tu veux diriger quelque chose dans ce cas ci un parti tu t'entoures de gens en qui tu as confiance, des affinités et tes méthodes de travail compatibles.
Tout le monde sait que Madame Lemieux était plutot liée a Andre Boisclair et n'était pas chaude a l'idee d'avoir Madame Marois comme chef.
Je vois plutot de la part de Madame Lemieux du froissage d'égo.... et en quittant le bateau elle agit exactement comme Madame Marois lors de l'élection de Monsieur Boisclair....
mais ca semble pas déranger le parti que les membres ne soient pas solidaires... peut etre le reel probleme du parti trop de gros égos.