Beppo!!!! à l'aide!!!!
Je viens de prendre aux nouvelles que le retour au bulletin chiffré ne serait en réalité que de la poudre aux yeux. À ce que j'ai compris, les professeurs continueraient d'employer une cote qui serait convertie par la suite avec un logiciel en chiffre...
Quand pourrons-nous donc avoir la note réelle de nos enfants?
Retour du bulletin chiffré
Ben voyons c'est quoi cette affaire de fou. Coudonc qu'est-ce qui se passe avec le système de l'éducation. Plus ca va pire c'est. Moi aussi je veut avoir de vrai notes avec pourcentage pour pouvoir enfin savoir comment aider mes enfants dans leur cheminement scolaire. Je suis tanné d'y aller à l'aveuglette.
Rénatane a écritBon je vais m'expliquer , car c'est pas clair
Hein kossé ça ?
c'est ben débille !
c'est cave en maudit si c'est vrai...
Ben comme j'ai compris, le prof mettrais une cote de style 1+, 1 1-, 2+, 2, 2-, 3+, 3, 3- etc jusqu'à 5- et ce serait ensuite converti en note chiffrée sur le bulletin...Donc, tous les enfants qui auraient genre 3+ aurait la même note soit environ 68%
On dirait que le ministère nous prend pour des caves
Hein kossé ça ?
c'est ben débille !
c'est cave en maudit si c'est vrai...
Ben comme j'ai compris, le prof mettrais une cote de style 1+, 1 1-, 2+, 2, 2-, 3+, 3, 3- etc jusqu'à 5- et ce serait ensuite converti en note chiffrée sur le bulletin...Donc, tous les enfants qui auraient genre 3+ aurait la même note soit environ 68%
On dirait que le ministère nous prend pour des caves
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.anthurium.
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Les devoirs bâclés de Mme Courchesne
Luc de la Sablonnière
Professeur de lettres
Collège François-Xavier-Garneau
Québec
À la façon dont est présenté ces jours-ci le nouveau bulletin chiffré, le moins qu'on puisse dire, c'est que la rentrée du gouvernement s'effectue dans la confusion. En réduisant le débat autour du bulletin à une simple question de chiffres ou de lettres, la ministre Courchesne pèche par simplisme et occulte, volontairement ou non, le véritable débat qui guette le monde de l'éducation au Québec. Aussi la question que tous devraient se poser à l'occasion de cette rentrée n'est pas «des chiffres ou des lettres?» mais bien «la réforme scolaire : stop ou encore?».
Quiconque a pratiqué le métier d'enseignant sait que l'évaluation des apprentissages participe d'une conception globale de l'enseignement et ne saurait être modifiée isolément. Les lettres qui paraissaient aux bulletins l'année dernière ne sont en fait que la partie la plus visible de l'approche par compétences qui a inspiré notre controversée réforme. Subjective à sa face même, cette approche exige un code de notation qui traduit le jugement de l'enseignant sur les compétences de l'élève; les lettres devaient jouer ce rôle. Les notes exprimées en pourcentage, quant à elles, constituent le prolongement logique d'une approche pédagogique axée sur la transmission de connaissances. Cette approche empirique consiste à comptabiliser des connaissances, historiques par exemple — ou des fautes de français — et à exprimer objectivement le résultat obtenu par l'élève. En imposant les bulletins chiffrés aux écoles sans repenser les fondements de la réforme, Mme Courchesne commet une grave erreur. Aux enseignants rompus à l'approche par compétences, elle impose une évaluation qui relève de la transmission des connaissances! L'école québécoise qui nage dans la confusion depuis les États généraux de 1996 n'avait pas besoin de ça.
Par ailleurs, Mme Courchesne commet une autre erreur lorsqu'elle attribue aux parents le désir de voir son ministère concocter une grille de conversion pour changer les lettres en chiffres. Bien plus que des chiffres, il m'apparaît clair que les parents veulent que l'école se sorte des sables mouvants de la réforme et redécouvre les vertus d'une approche traditionnelle et éprouvée basée sur la transmission des connaissances. Après tout, les parents ont été formés à cette école et sont bien placés pour juger de son efficacité et de sa pertinence.
En réhabilitant les chiffres sans remettre en question le Renouveau pédagogique, la ministre cherche à plaire à tout le monde; aux parents, qui auront leurs chiffres, et aux pédagogues de son ministère, trop heureux de ces changements cosmétiques qui perpétuent l'hégémonie des compétences transversales et du socioconstructivisme sur l'école québécoise. À l'évidence, l'opération est politique et constitue l'oeuvre d'un gouvernement minoritaire fragilisé qui n'a pas les moyens des grands débats. Comme toujours dans ce genre d'opération, les grands en sortiront relativement indemnes et les petits paieront la note... exprimée en chiffres.
Luc de la Sablonnière
Professeur de lettres
Collège François-Xavier-Garneau
Québec
À la façon dont est présenté ces jours-ci le nouveau bulletin chiffré, le moins qu'on puisse dire, c'est que la rentrée du gouvernement s'effectue dans la confusion. En réduisant le débat autour du bulletin à une simple question de chiffres ou de lettres, la ministre Courchesne pèche par simplisme et occulte, volontairement ou non, le véritable débat qui guette le monde de l'éducation au Québec. Aussi la question que tous devraient se poser à l'occasion de cette rentrée n'est pas «des chiffres ou des lettres?» mais bien «la réforme scolaire : stop ou encore?».
Quiconque a pratiqué le métier d'enseignant sait que l'évaluation des apprentissages participe d'une conception globale de l'enseignement et ne saurait être modifiée isolément. Les lettres qui paraissaient aux bulletins l'année dernière ne sont en fait que la partie la plus visible de l'approche par compétences qui a inspiré notre controversée réforme. Subjective à sa face même, cette approche exige un code de notation qui traduit le jugement de l'enseignant sur les compétences de l'élève; les lettres devaient jouer ce rôle. Les notes exprimées en pourcentage, quant à elles, constituent le prolongement logique d'une approche pédagogique axée sur la transmission de connaissances. Cette approche empirique consiste à comptabiliser des connaissances, historiques par exemple — ou des fautes de français — et à exprimer objectivement le résultat obtenu par l'élève. En imposant les bulletins chiffrés aux écoles sans repenser les fondements de la réforme, Mme Courchesne commet une grave erreur. Aux enseignants rompus à l'approche par compétences, elle impose une évaluation qui relève de la transmission des connaissances! L'école québécoise qui nage dans la confusion depuis les États généraux de 1996 n'avait pas besoin de ça.
Par ailleurs, Mme Courchesne commet une autre erreur lorsqu'elle attribue aux parents le désir de voir son ministère concocter une grille de conversion pour changer les lettres en chiffres. Bien plus que des chiffres, il m'apparaît clair que les parents veulent que l'école se sorte des sables mouvants de la réforme et redécouvre les vertus d'une approche traditionnelle et éprouvée basée sur la transmission des connaissances. Après tout, les parents ont été formés à cette école et sont bien placés pour juger de son efficacité et de sa pertinence.
En réhabilitant les chiffres sans remettre en question le Renouveau pédagogique, la ministre cherche à plaire à tout le monde; aux parents, qui auront leurs chiffres, et aux pédagogues de son ministère, trop heureux de ces changements cosmétiques qui perpétuent l'hégémonie des compétences transversales et du socioconstructivisme sur l'école québécoise. À l'évidence, l'opération est politique et constitue l'oeuvre d'un gouvernement minoritaire fragilisé qui n'a pas les moyens des grands débats. Comme toujours dans ce genre d'opération, les grands en sortiront relativement indemnes et les petits paieront la note... exprimée en chiffres.
Prière et chant religieux
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Ma'am Annouk, je voudrais bien vous répondre mais nous attendons les notes ( lire les explications de la mine austère ) pour comprendre le tout. Présentement, il semble que nous traduirons les cotes en chiffres selon les explications que nous pouvons glaner ici et là. Les conseils d'établissement auront un rôle fort important à jouer et un poids à utiliser pour en arriver à une plus grande clarté.
J'ai toujours été un partisan de la note chiffrée et je ne me cache pas pour exprimer mon désaccord devant l'imbroglio actuel. Mais comme le disait si bien un personnage politique de notre cher pays : « Mais que voulez-vous? Je ne suis qu'un pion sur l'échiquier. »
--Message edité par Beppo le 2007-08-30 22:20:29--
J'ai toujours été un partisan de la note chiffrée et je ne me cache pas pour exprimer mon désaccord devant l'imbroglio actuel. Mais comme le disait si bien un personnage politique de notre cher pays : « Mais que voulez-vous? Je ne suis qu'un pion sur l'échiquier. »
--Message edité par Beppo le 2007-08-30 22:20:29--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
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Mimichouette
- Magicien des Mots
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ViViiii a écrit l école aujourd hui n est plus ce que c étais dans notre temps.
ont dirait que plus sa vas , plus les proffs sont la pour leurs salaires et au diable le reste. moins qu ils en font mieux c est pour eux
ses décisions la sont pas des profs si tu prends la peine de jaser avec eux tu vas ben comprendre qu'eux aussi trouve pas sa évident de commencer l'année sans savoir si y devront mettre des notes ou des cotes
faut pas tout mêler la les décisions sur la réforme ou les bulletins viennent pas des profs mais de Québec
ont dirait que plus sa vas , plus les proffs sont la pour leurs salaires et au diable le reste. moins qu ils en font mieux c est pour eux
ses décisions la sont pas des profs si tu prends la peine de jaser avec eux tu vas ben comprendre qu'eux aussi trouve pas sa évident de commencer l'année sans savoir si y devront mettre des notes ou des cotes
faut pas tout mêler la les décisions sur la réforme ou les bulletins viennent pas des profs mais de Québec
Ça change à chaque semaine coup donc!
Au départ, j'avais entendu que les bulletins comporteraient des notes en chiffres %
Ensuite, j'ai entendu dire que ça serait encore les A,B,C etc mais qu'au lieu d'avoir un A qui est associé à : chemine adéquatement, le A voudrait dire disons: entre 90% et 100%.
J'comprend pu rien!
Au départ, j'avais entendu que les bulletins comporteraient des notes en chiffres %
Ensuite, j'ai entendu dire que ça serait encore les A,B,C etc mais qu'au lieu d'avoir un A qui est associé à : chemine adéquatement, le A voudrait dire disons: entre 90% et 100%.
J'comprend pu rien!
Some people deserve to be hi-fived.... in the face.... with a chair!
Beppo a écritMa'am Annouk, je voudrais bien vous répondre mais nous attendons les notes ( lire les explications de la mine austère ) pour comprendre le tout. Présentement, il semble que nous traduirons les cotes en chiffres selon les explications que nous pouvons glaner ici et là. Les conseils d'établissement auront un rôle fort important à jouer et un poids à utiliser pour en arriver à une plus grande clarté.
J'ai toujours été un partisan de la note chiffrée et je ne me cache pas pour exprimer mon désaccord devant l'imbroglio actuel. Mais comme le disait si bien un personnage politique de notre cher pays : « Mais que voulez-vous? Je ne suis qu'un pion sur l'échiquier. »
Merci pour les précisions missieur Beppo. Pourrez-vous nous tenir au courant dès que vous en saurez plus?
J'ai toujours été un partisan de la note chiffrée et je ne me cache pas pour exprimer mon désaccord devant l'imbroglio actuel. Mais comme le disait si bien un personnage politique de notre cher pays : « Mais que voulez-vous? Je ne suis qu'un pion sur l'échiquier. »
Merci pour les précisions missieur Beppo. Pourrez-vous nous tenir au courant dès que vous en saurez plus?
Annouk a écritCe qui me fâche, c'est que la ministre de l'éducation pense que les parents vont gober ça...
Le problème c'est que les parents vont gober ça justement, ou du moins vont faire comme si... tout comme ils font comme si tout va bien dans notre système. Quelques uns vont chialer, mais sans le poids du nombre nous ne pouvons pas faire grand chose malheureusement, et la solidarité ne fait plus parti des valeurs québécoises
Le problème c'est que les parents vont gober ça justement, ou du moins vont faire comme si... tout comme ils font comme si tout va bien dans notre système. Quelques uns vont chialer, mais sans le poids du nombre nous ne pouvons pas faire grand chose malheureusement, et la solidarité ne fait plus parti des valeurs québécoises
Mes lunettes, mon blogue
Annouk a écrit
Ben comme j'ai compris, le prof mettrais une cote de style 1+, 1 1-, 2+, 2, 2-, 3+, 3, 3- etc jusqu'à 5- et ce serait ensuite converti en note chiffrée sur le bulletin...Donc, tous les enfants qui auraient genre 3+ aurait la même note soit environ 68%
On dirait que le ministère nous prend pour des caves
Je parle pas pour tous les profs et je suis pas prof... mais si je regarde ceux qui m'entoure et la participitation que j'ai eu a y faire dans ces certaines compétences en tant que support technique en laboratoire (Mais il semble que je ne partage pas l'opinion de notre prof présent
La lettre que l'enfant avait n'était pas donné au hasard...
Je te donne un exemple: la lettre qui évaluait les connaissances academiques acquises ( je me souviens pas du nom) était évalulée suite à des examens ou travaux spécifiques alors disons que l'ensemble de ses travaux contenait 100 notions pendant le mois... si l'enfant n'avait réussi 70 il se trouvait dans la moyenne et obtenait un C ou un 3, 75 équivalait a 3+ etc... alors assurement que les éleves qui avaient un C auront tous la même note quand ce sera en chiffre.
De plus sur le bulletin tu avais la chance d'avoir l'évolution de ton enfant a bien d'autres niveaux avec les compétences transversales, un enfant peut avoir 95% dans l'académique de base mais être déficient en débrouillardise, en travail d'équipe, en recherche de piste etc....
On a malheureusement pas donné grand chance a ce bulletin... qui aurait été une grand aide pour connaitre les éleves, les aider a se diriger vers des choix de cours et des carrieres qui leur conviennent.
Ce bulletin pouvait exprimé bien plus ...un 75 % d'un enfant dans certaines matieres ou habilités est fait avec effort, travail et est probablement la limite que l'enfant peut atteindre tandis que celui du voisin est basé sur une facilité intellectuelle, et un patchage de derniere minute qui fait que le premier aura plus de chance de continuer ses études collegiales tandis que le deuxieme abandonnera par désorganisation.
Je crois que le bulletin était tres bien mais qu'il a été baclé au niveau de l'instauration et de l'application..... --Message edité par lucide le 2007-08-31 07:14:38--
Ben comme j'ai compris, le prof mettrais une cote de style 1+, 1 1-, 2+, 2, 2-, 3+, 3, 3- etc jusqu'à 5- et ce serait ensuite converti en note chiffrée sur le bulletin...Donc, tous les enfants qui auraient genre 3+ aurait la même note soit environ 68%
On dirait que le ministère nous prend pour des caves
Je parle pas pour tous les profs et je suis pas prof... mais si je regarde ceux qui m'entoure et la participitation que j'ai eu a y faire dans ces certaines compétences en tant que support technique en laboratoire (Mais il semble que je ne partage pas l'opinion de notre prof présent
La lettre que l'enfant avait n'était pas donné au hasard...
Je te donne un exemple: la lettre qui évaluait les connaissances academiques acquises ( je me souviens pas du nom) était évalulée suite à des examens ou travaux spécifiques alors disons que l'ensemble de ses travaux contenait 100 notions pendant le mois... si l'enfant n'avait réussi 70 il se trouvait dans la moyenne et obtenait un C ou un 3, 75 équivalait a 3+ etc... alors assurement que les éleves qui avaient un C auront tous la même note quand ce sera en chiffre.
De plus sur le bulletin tu avais la chance d'avoir l'évolution de ton enfant a bien d'autres niveaux avec les compétences transversales, un enfant peut avoir 95% dans l'académique de base mais être déficient en débrouillardise, en travail d'équipe, en recherche de piste etc....
On a malheureusement pas donné grand chance a ce bulletin... qui aurait été une grand aide pour connaitre les éleves, les aider a se diriger vers des choix de cours et des carrieres qui leur conviennent.
Ce bulletin pouvait exprimé bien plus ...un 75 % d'un enfant dans certaines matieres ou habilités est fait avec effort, travail et est probablement la limite que l'enfant peut atteindre tandis que celui du voisin est basé sur une facilité intellectuelle, et un patchage de derniere minute qui fait que le premier aura plus de chance de continuer ses études collegiales tandis que le deuxieme abandonnera par désorganisation.
Je crois que le bulletin était tres bien mais qu'il a été baclé au niveau de l'instauration et de l'application..... --Message edité par lucide le 2007-08-31 07:14:38--
Faut-il se rappeler à la base, que le présent bulletin a été mis en place afin d'éliminer toute comparaison entre les enfants... Les bien-penseurs ont misé sur l'estime de soi du jeune et tenté de la préserver des méchantes comparaisons. C'est le but ultime de la disparition des chiffres ( moyenne de groupe, rang cinquième, etc. ) du bulletin.
Faudrait voir si dans notre vie de tous les jours on ne se compare pas... Quand ton jeune participe dans un sport d'équipe, le hockey entre autres, et qu'on le classe dans le AAA au lieu du AA ou du A, je ne sais pas si son estime est ainsi préservée...
La Suisse, mère-patrie de la réforme et modèle suggéré au départ, refait ses devoirs face à la réforme. C'est à la demande des parents que le retour en arrière s'effectue. Il faut croire que tout n'est pas rose dans cette foutue galère...
Il faut toujours garder bien en vue que le bulletin demeure avant tout un moyen de communication destiné aux parents et que ces derniers doivent être en mesure de le comprendre afin de devenir des intervenants de qualité dans l'évolution de leur enfant. De la connaissance ça s'évalue tout autant que de la température. De noter une réponse fermée ( par exemple de nommer les 10 provinces du Canada et les territoires ) devient une évaluation objective.
De nos jours, qu'on le veuille ou non, la société est compétitive et axée sur la performance. De nier ce fait nous amène à préparer les enfants pour je ne sais quelle société...
Faudrait voir si dans notre vie de tous les jours on ne se compare pas... Quand ton jeune participe dans un sport d'équipe, le hockey entre autres, et qu'on le classe dans le AAA au lieu du AA ou du A, je ne sais pas si son estime est ainsi préservée...
La Suisse, mère-patrie de la réforme et modèle suggéré au départ, refait ses devoirs face à la réforme. C'est à la demande des parents que le retour en arrière s'effectue. Il faut croire que tout n'est pas rose dans cette foutue galère...
Il faut toujours garder bien en vue que le bulletin demeure avant tout un moyen de communication destiné aux parents et que ces derniers doivent être en mesure de le comprendre afin de devenir des intervenants de qualité dans l'évolution de leur enfant. De la connaissance ça s'évalue tout autant que de la température. De noter une réponse fermée ( par exemple de nommer les 10 provinces du Canada et les territoires ) devient une évaluation objective.
De nos jours, qu'on le veuille ou non, la société est compétitive et axée sur la performance. De nier ce fait nous amène à préparer les enfants pour je ne sais quelle société...
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
C'est quoi qui est compliqué de calculer les points et de mettre le % comme dans notre temps. On est pas plus imbécile aujourd'hui parce que ça marchait de même dans le temps. Après ils se demandent pourquoi les jeunes sont si mêlés à l'école... Moi quand j'avait 75% pis que le bulletin d'après je montais à 78% ben je voyais mon effort.
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Beppo a écritFaut-il se rappeler à la base, que le présent bulletin a été mis en place afin d'éliminer toute comparaison entre les enfants... Les bien-penseurs ont misé sur l'estime de soi du jeune et tenté de la préserver des méchantes comparaisons. C'est le but ultime de la disparition des chiffres ( moyenne de groupe, rang cinquième, etc. ) du bulletin.
Faudrait voir si dans notre vie de tous les jours on ne se compare pas... Quand ton jeune participe dans un sport d'équipe, le hockey entre autres, et qu'on le classe dans le AAA au lieu du AA ou du A, je ne sais pas si son estime est ainsi préservée...
La Suisse, mère-patrie de la réforme et modèle suggéré au départ, refait ses devoirs face à la réforme. C'est à la demande des parents que le retour en arrière s'effectue. Il faut croire que tout n'est pas rose dans cette foutue galère...
Il faut toujours garder bien en vue que le bulletin demeure avant tout un moyen de communication destiné aux parents et que ces derniers doivent être en mesure de le comprendre afin de devenir des intervenants de qualité dans l'évolution de leur enfant. De la connaissance ça s'évalue tout autant que de la température. De noter une réponse fermée ( par exemple de nommer les 10 provinces du Canada et les territoires ) devient une évaluation objective.
De nos jours, qu'on le veuille ou non, la société est compétitive et axée sur la performance. De nier ce fait nous amène à préparer les enfants pour je ne sais quelle société...
Il faut que je le dise Je suis d'accord avec toi.
Faudrait voir si dans notre vie de tous les jours on ne se compare pas... Quand ton jeune participe dans un sport d'équipe, le hockey entre autres, et qu'on le classe dans le AAA au lieu du AA ou du A, je ne sais pas si son estime est ainsi préservée...
La Suisse, mère-patrie de la réforme et modèle suggéré au départ, refait ses devoirs face à la réforme. C'est à la demande des parents que le retour en arrière s'effectue. Il faut croire que tout n'est pas rose dans cette foutue galère...
Il faut toujours garder bien en vue que le bulletin demeure avant tout un moyen de communication destiné aux parents et que ces derniers doivent être en mesure de le comprendre afin de devenir des intervenants de qualité dans l'évolution de leur enfant. De la connaissance ça s'évalue tout autant que de la température. De noter une réponse fermée ( par exemple de nommer les 10 provinces du Canada et les territoires ) devient une évaluation objective.
De nos jours, qu'on le veuille ou non, la société est compétitive et axée sur la performance. De nier ce fait nous amène à préparer les enfants pour je ne sais quelle société...
Il faut que je le dise Je suis d'accord avec toi.
Prière et chant religieux
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