ministre de la santé
-
- Magicien des Mots
- Messages : 2389
- Inscription : mer. nov. 15, 2006 1:00 am
Le retour aux écoles d'infirmieres rattachées au hopitaux comme ca se faisait dans les années soixante et avant.
Des cours le matin, de la pratique l'apres midi.
C'etait pas long qu'un jeune sait s'il est fait pour cette profession.
Aujourd'hui, on paie pour leur donner les cours au CEPEG et une fois rendu sur le marché du vrai travail dans les hopitaux, un grand nombre ne restent que quelques mois. Ils s'apercoivent que c'est dur, etre infirmiere.
Des cours le matin, de la pratique l'apres midi.
C'etait pas long qu'un jeune sait s'il est fait pour cette profession.
Aujourd'hui, on paie pour leur donner les cours au CEPEG et une fois rendu sur le marché du vrai travail dans les hopitaux, un grand nombre ne restent que quelques mois. Ils s'apercoivent que c'est dur, etre infirmiere.
peppermintpatty a écritLe retour aux écoles d'infirmieres rattachées au hopitaux comme ca se faisait dans les années soixante et avant.
Des cours le matin, de la pratique l'apres midi.
C'etait pas long qu'un jeune sait s'il est fait pour cette profession.
Aujourd'hui, on paie pour leur donner les cours au CEPEG et une fois rendu sur le marché du vrai travail dans les hopitaux, un grand nombre ne restent que quelques mois. Ils s'apercoivent que c'est dur, etre infirmiere.
Des cours le matin, de la pratique l'apres midi.
C'etait pas long qu'un jeune sait s'il est fait pour cette profession.
Aujourd'hui, on paie pour leur donner les cours au CEPEG et une fois rendu sur le marché du vrai travail dans les hopitaux, un grand nombre ne restent que quelques mois. Ils s'apercoivent que c'est dur, etre infirmiere.
Je me plaignais que j'avais pas de soulier, jusqu'a ce que je rencontre quelqu'un qui n'avait pas de pied
peppermintpatty a écritLe retour aux écoles d'infirmieres rattachées au hopitaux comme ca se faisait dans les années soixante et avant.
Des cours le matin, de la pratique l'apres midi.
C'etait pas long qu'un jeune sait s'il est fait pour cette profession.
Aujourd'hui, on paie pour leur donner les cours au CEPEG et une fois rendu sur le marché du vrai travail dans les hopitaux, un grand nombre ne restent que quelques mois. Ils s'apercoivent que c'est dur, etre infirmiere.
parfaitement d'accord, c'est sur le terrain que tu vois si tu vas aimer la profession.
Des cours le matin, de la pratique l'apres midi.
C'etait pas long qu'un jeune sait s'il est fait pour cette profession.
Aujourd'hui, on paie pour leur donner les cours au CEPEG et une fois rendu sur le marché du vrai travail dans les hopitaux, un grand nombre ne restent que quelques mois. Ils s'apercoivent que c'est dur, etre infirmiere.
parfaitement d'accord, c'est sur le terrain que tu vois si tu vas aimer la profession.
peppermintpatty a écritLe retour aux écoles d'infirmieres rattachées au hopitaux comme ca se faisait dans les années soixante et avant.
Des cours le matin, de la pratique l'apres midi.
C'etait pas long qu'un jeune sait s'il est fait pour cette profession.
Aujourd'hui, on paie pour leur donner les cours au CEPEG et une fois rendu sur le marché du vrai travail dans les hopitaux, un grand nombre ne restent que quelques mois. Ils s'apercoivent que c'est dur, etre infirmiere.
Juste une question comme ça, je connais pas vraiment ça, mais j'avais l'impression que les étudiantes faisaient rapidement des stages pendant leur formation, oû elles étaient supervisées ?
Cela dit, je suis d'accord avec toi ! C'est ce que je dirais au Ministère de l'Éducation pour toutes les formations en fait... de faire des stages ou des journées dans le milieu rapidement pour confirmer l'intérêt ! C'est tellement pas facile de trouver sa voie, et souvent on a une vision idéalisée de ce qu'on veut faire !
Des cours le matin, de la pratique l'apres midi.
C'etait pas long qu'un jeune sait s'il est fait pour cette profession.
Aujourd'hui, on paie pour leur donner les cours au CEPEG et une fois rendu sur le marché du vrai travail dans les hopitaux, un grand nombre ne restent que quelques mois. Ils s'apercoivent que c'est dur, etre infirmiere.
Juste une question comme ça, je connais pas vraiment ça, mais j'avais l'impression que les étudiantes faisaient rapidement des stages pendant leur formation, oû elles étaient supervisées ?
Cela dit, je suis d'accord avec toi ! C'est ce que je dirais au Ministère de l'Éducation pour toutes les formations en fait... de faire des stages ou des journées dans le milieu rapidement pour confirmer l'intérêt ! C'est tellement pas facile de trouver sa voie, et souvent on a une vision idéalisée de ce qu'on veut faire !