Élections complémentaires
Raven a écrit
Sur quoi tu te bases pour dire cela ? Les derniers sondages démontrent que l'option souverainiste, le PQ et le BQ sont tous les trois en hausse de popularité dans l'opinion publique !
Non je n'ai pas vu ces derniers sondages, pourtant j'ai l'habitude de suivre l'actualité... J'ai pas entendu Madame Marois non plus mettre la souveraineté au premier plan de la campagne du parti québecois.
J'ai beau être souverainiste, si je regarde autour de moi les gens en ont plutot soupé d'entendre parler souveraineté et ont plutot envie que leur dirigeant mettre leurs efforts ailleurs.
Je crois que tu confonds un peu tes convictions avec la réalité sur le terrain.
Sur quoi tu te bases pour dire cela ? Les derniers sondages démontrent que l'option souverainiste, le PQ et le BQ sont tous les trois en hausse de popularité dans l'opinion publique !
Non je n'ai pas vu ces derniers sondages, pourtant j'ai l'habitude de suivre l'actualité... J'ai pas entendu Madame Marois non plus mettre la souveraineté au premier plan de la campagne du parti québecois.
J'ai beau être souverainiste, si je regarde autour de moi les gens en ont plutot soupé d'entendre parler souveraineté et ont plutot envie que leur dirigeant mettre leurs efforts ailleurs.
Je crois que tu confonds un peu tes convictions avec la réalité sur le terrain.
Nouveau sondage
Conservateurs et les libéraux presque nez à nez
Presse Canadienne (PC)
John Ward
18/09/2007 19h32
Un nouveau sondage Decima-La Presse Canadienne place les conservateurs et les libéraux presque à égalité dans les intentions de vote des Canadiens.
Le sondage, mené plus tôt cette semaine, accorde 32 pour cent d'appui aux conservateurs, contre 29 pour cent aux libéraux. Cet écart est couvert par la marge d'erreur du sondage, qui est de 3,1 pour cent, 19 fois sur 20. Un peu plus de 1000 répondants ont été interviewés.
Du côté du NPD, la formation de Jack Layton recueille 17 pour cent d'appui, devant le Parti vert (14 pour cent).
Les résultats de sondages des trois dernières semaines laissent entrevoir une égalité entre les conservateurs et les libéraux, avec chacun 31 pour cent des intentions de vote, suivis par le NPD avec 15 pour cent. Le Parti vert, avec 13 pour cent des intentions de vote ferme la marche.
Au Québec, les conservateurs, le NPD et le Parti vert ont tous fait des gains aux dépens du Bloc québécois et des libéraux. Le sondage démontre notamment que le Bloc aurait chuté à 22 pour cent dans les intentions de vote, comparativement à 24 pour cent pour les conservateurs.
Bruce Anderson, le président de Decima, a déclaré que les données recueillies indiquent que la forte économie dont profite actuellement le pays ne sourit pas à Stephen Harper et au Parti conservateur, mais que les libéraux de Stéphane Dion n'y trouvent pas leur compte non plus.
«Pour les conservateurs, passer la barre des 40 pour cent d'intentions de vote, chiffre nécessaire pour concrétiser leurs espoirs de constituer un gouvernement majoritaire, ne semble pas plus facile maintenant que cela ne l'a été depuis quelques mois, malgré les difficultés des libéraux sous M. (Stéphane) Dion.
«Pour les libéraux, ces chiffres représentent une opportunité ratée jusqu'à maintenant. Si les conservateurs laissent plutôt froid l'électorat, celui-ci ne s'échauffe pas avec M. Dion.»
Selon M. Anderson, le Parti vert est le principal bénéficiaire de ce refroidissement des électeurs envers les partis traditionnels.
Les résultats du dernier sondage suggèrent également une perte de terrain chez les libéraux en Ontario et au Québec, tandis qu'ils reçoivent plus d'appui dans les provinces des Maritimes.
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 93214.html
Conservateurs et les libéraux presque nez à nez
Presse Canadienne (PC)
John Ward
18/09/2007 19h32
Un nouveau sondage Decima-La Presse Canadienne place les conservateurs et les libéraux presque à égalité dans les intentions de vote des Canadiens.
Le sondage, mené plus tôt cette semaine, accorde 32 pour cent d'appui aux conservateurs, contre 29 pour cent aux libéraux. Cet écart est couvert par la marge d'erreur du sondage, qui est de 3,1 pour cent, 19 fois sur 20. Un peu plus de 1000 répondants ont été interviewés.
Du côté du NPD, la formation de Jack Layton recueille 17 pour cent d'appui, devant le Parti vert (14 pour cent).
Les résultats de sondages des trois dernières semaines laissent entrevoir une égalité entre les conservateurs et les libéraux, avec chacun 31 pour cent des intentions de vote, suivis par le NPD avec 15 pour cent. Le Parti vert, avec 13 pour cent des intentions de vote ferme la marche.
Au Québec, les conservateurs, le NPD et le Parti vert ont tous fait des gains aux dépens du Bloc québécois et des libéraux. Le sondage démontre notamment que le Bloc aurait chuté à 22 pour cent dans les intentions de vote, comparativement à 24 pour cent pour les conservateurs.
Bruce Anderson, le président de Decima, a déclaré que les données recueillies indiquent que la forte économie dont profite actuellement le pays ne sourit pas à Stephen Harper et au Parti conservateur, mais que les libéraux de Stéphane Dion n'y trouvent pas leur compte non plus.
«Pour les conservateurs, passer la barre des 40 pour cent d'intentions de vote, chiffre nécessaire pour concrétiser leurs espoirs de constituer un gouvernement majoritaire, ne semble pas plus facile maintenant que cela ne l'a été depuis quelques mois, malgré les difficultés des libéraux sous M. (Stéphane) Dion.
«Pour les libéraux, ces chiffres représentent une opportunité ratée jusqu'à maintenant. Si les conservateurs laissent plutôt froid l'électorat, celui-ci ne s'échauffe pas avec M. Dion.»
Selon M. Anderson, le Parti vert est le principal bénéficiaire de ce refroidissement des électeurs envers les partis traditionnels.
Les résultats du dernier sondage suggèrent également une perte de terrain chez les libéraux en Ontario et au Québec, tandis qu'ils reçoivent plus d'appui dans les provinces des Maritimes.
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 93214.html
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
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- Seigneur de la Causerie
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Mirianne a écritSérieusement, y en a une couple qui ne comprennent pas la politique ou qui s'en foutent (ca doit être ça finalement!) . À Roberval (Lac St-Jean) est passé de Bloc à Conservateur!!! C'est assez traumatisant merci! Ok, passer de Bloc à NPD peut-être! Mais là de gauche à droite complètement!
Je pense qu'on peut passer de gauche a droite ou l'inverse en connaissant la politique quand même et je pense même que c'est très sain. Je m'explique: Il n'y a pas de système parfait et si on veux l'équilibre en société on doit renouveler nos façons de faire, Parce que le système s'encroûte, les gens abusent, et on deviens paresseux collectivement. On est présentement a mon avis a la croisé des chemins. On doit faire un choix entre un système qui avait sa raison d'être a une époque mais qui ne peut que nous enliser vue le vieillissement de notre population. L'état qui gère tout, ça aide du monde dans le besoin mais ça ne doit pas être permanent si non il n'y a plus personne qui prend ses responsabilitées. L'autre choix c'est de redonner la responsabilité de leurs actes aux gens. et de re stimuler l'économie.
On doit retrouver l'équilibre et le plus tôt sera le mieux si non les mesures ne serons que plus drastiques.
Dans un tout autre ordre d'idée. Je pense effectivement que le monde votent sans trop connaître de la politique. regarde juste ici les commentaires du genre ben je vote pour parti parce qu'il est souverainiste ou je vote pour ce parti parce qu'il est fédéraliste. Ce débat-la détournent les gens de la raison d'être d'un gouvernement soit de gouverner. Alors ce n'est pas surprenant que des séparatistes deviennent désabusé et votent sur d'autres points que la séparation ou non du Québec.
Et en passant Si ça va si mal au PQ c'est aussi parce qu'il y a au sein même de ce parti de la gauche et de la droite, des syndicalistes et des anti syndicalistes, normal leur point commun est la séparation du Québec quelque chose qui peut se faire par la gauche ou par la droite (A mon avis elle ne peux survivre par la gauche.) --Message edité par .anthurium. le 2007-09-19 14:24:35--
Je pense qu'on peut passer de gauche a droite ou l'inverse en connaissant la politique quand même et je pense même que c'est très sain. Je m'explique: Il n'y a pas de système parfait et si on veux l'équilibre en société on doit renouveler nos façons de faire, Parce que le système s'encroûte, les gens abusent, et on deviens paresseux collectivement. On est présentement a mon avis a la croisé des chemins. On doit faire un choix entre un système qui avait sa raison d'être a une époque mais qui ne peut que nous enliser vue le vieillissement de notre population. L'état qui gère tout, ça aide du monde dans le besoin mais ça ne doit pas être permanent si non il n'y a plus personne qui prend ses responsabilitées. L'autre choix c'est de redonner la responsabilité de leurs actes aux gens. et de re stimuler l'économie.
On doit retrouver l'équilibre et le plus tôt sera le mieux si non les mesures ne serons que plus drastiques.
Dans un tout autre ordre d'idée. Je pense effectivement que le monde votent sans trop connaître de la politique. regarde juste ici les commentaires du genre ben je vote pour parti parce qu'il est souverainiste ou je vote pour ce parti parce qu'il est fédéraliste. Ce débat-la détournent les gens de la raison d'être d'un gouvernement soit de gouverner. Alors ce n'est pas surprenant que des séparatistes deviennent désabusé et votent sur d'autres points que la séparation ou non du Québec.
Et en passant Si ça va si mal au PQ c'est aussi parce qu'il y a au sein même de ce parti de la gauche et de la droite, des syndicalistes et des anti syndicalistes, normal leur point commun est la séparation du Québec quelque chose qui peut se faire par la gauche ou par la droite (A mon avis elle ne peux survivre par la gauche.) --Message edité par .anthurium. le 2007-09-19 14:24:35--
Prière et chant religieux
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Le bateau ivre
19 septembre 2007 par Joseph Facal
On a beau retourner l’affaire de tous les côtés, on voit mal comment Stéphane Dion pourrait maintenant renverser la vapeur.
Toutes sortes de facteurs expliquent en partie les résultats de lundi : l’absence de grands enjeux, la force du candidat néo-démocrate dans Outremont, celle du conservateur dans Roberval-Lac-Saint-Jean, et la moindre notoriété des candidats bloquistes dans les trois comtés par rapport à leurs prédécesseurs.
Mais ces pailles ne doivent pas cacher la poutre. Cette fois, contrairement aux habitudes, le peuple s’est servi des élections partielles pour envoyer un message à deux partis d’opposition plutôt qu’au gouvernement.
Les chiffres sont en effet implacables : Stéphane Dion ne va nulle part, et le Bloc poursuit sa lente hémorragie.
Taper sur le Québec
Plus révélateur de leur naufrage que la perte d’Outremont, les libéraux ont obtenu dans deux comtés francophones pure laine des scores à la hauteur des taux d’intérêt : moins de 10%.
L’explication de ce désastre va bien au-delà des mauvais souvenirs laissés par le scandale des commandites. Les francophones du Québec, j’en suis persuadé, n’ont rien oublié de l’attitude de M.Dion à l’endroit du Québec, d’autant qu’ils peuvent maintenant la comparer à celle de Stephen Harper.
Pour l’essentiel, Stéphane Dion fut élu chef par l’aile ontarienne du PLC, qui aimait son approche musclée à l’endroit du Québec, et qui a aussi téléguidé l’atterrissage au Québec d’un Justin Trudeau dont les organisateurs libéraux du Québec ne voulaient pas.
On ne le dira jamais assez : être dur à l’endroit du Québec fait encore recette au Canada anglais, particulièrement dans des cercles libéraux plus trudeauistes que jamais.
Pensez-vous qu’il s’agit d’un hasard si la campagne au leadership de Michael Ignatieff s’est mise à piquer du nez le jour où il a évoqué l’existence d’une nation québécoise, et si les timides ouvertures de Stephen Harper à l’endroit du Québec furent considérées comme des risques à l’«unité nationale» par le Globe and Mail ?
La position de Stéphane Dion est aujourd’hui d’autant plus précaire qu’il n’était le premier choix d’à peu près personne lors du congrès où il fut élu chef, et que la solution de rechange est assise immédiatement à côté de lui : un Michael Ignatieff qui a sûrement eu le temps d’apprendre où se trouve la ligne à ne pas franchir sur le Québec.
Mal de Bloc
Le Bloc, lui, a de plus en plus de mal à ratisser au-delà des souverainistes les plus convaincus. Né dans la foulée de la colère provoquée par l’échec de Meech et dans la perspective d’un référendum à court terme, il se heurte au fait que la conjoncture n’est plus du tout celle-là.
Les souverainistes auront beau y voir de la poudre aux yeux, le fédéralisme d’ouverture de Stephen Harper marque des points. Le Bloc a de plus en plus de difficultés à convaincre les Québécois de ne pas embarquer dans un train qui semble gagnant, surtout dans les régions durement touchées par une mauvaise conjoncture économique.
Chose certaine, Stephen Harper aura furieusement envie de provoquer la chute de son propre gouvernement cet automne en mettant au défi les partis d’opposition de le défaire. À moins que ces derniers en viennent à la conclusion que plus ils attendront, pire ce sera.
Publié dans Journal de Montréal et Journal de Québec
19 septembre 2007 par Joseph Facal
On a beau retourner l’affaire de tous les côtés, on voit mal comment Stéphane Dion pourrait maintenant renverser la vapeur.
Toutes sortes de facteurs expliquent en partie les résultats de lundi : l’absence de grands enjeux, la force du candidat néo-démocrate dans Outremont, celle du conservateur dans Roberval-Lac-Saint-Jean, et la moindre notoriété des candidats bloquistes dans les trois comtés par rapport à leurs prédécesseurs.
Mais ces pailles ne doivent pas cacher la poutre. Cette fois, contrairement aux habitudes, le peuple s’est servi des élections partielles pour envoyer un message à deux partis d’opposition plutôt qu’au gouvernement.
Les chiffres sont en effet implacables : Stéphane Dion ne va nulle part, et le Bloc poursuit sa lente hémorragie.
Taper sur le Québec
Plus révélateur de leur naufrage que la perte d’Outremont, les libéraux ont obtenu dans deux comtés francophones pure laine des scores à la hauteur des taux d’intérêt : moins de 10%.
L’explication de ce désastre va bien au-delà des mauvais souvenirs laissés par le scandale des commandites. Les francophones du Québec, j’en suis persuadé, n’ont rien oublié de l’attitude de M.Dion à l’endroit du Québec, d’autant qu’ils peuvent maintenant la comparer à celle de Stephen Harper.
Pour l’essentiel, Stéphane Dion fut élu chef par l’aile ontarienne du PLC, qui aimait son approche musclée à l’endroit du Québec, et qui a aussi téléguidé l’atterrissage au Québec d’un Justin Trudeau dont les organisateurs libéraux du Québec ne voulaient pas.
On ne le dira jamais assez : être dur à l’endroit du Québec fait encore recette au Canada anglais, particulièrement dans des cercles libéraux plus trudeauistes que jamais.
Pensez-vous qu’il s’agit d’un hasard si la campagne au leadership de Michael Ignatieff s’est mise à piquer du nez le jour où il a évoqué l’existence d’une nation québécoise, et si les timides ouvertures de Stephen Harper à l’endroit du Québec furent considérées comme des risques à l’«unité nationale» par le Globe and Mail ?
La position de Stéphane Dion est aujourd’hui d’autant plus précaire qu’il n’était le premier choix d’à peu près personne lors du congrès où il fut élu chef, et que la solution de rechange est assise immédiatement à côté de lui : un Michael Ignatieff qui a sûrement eu le temps d’apprendre où se trouve la ligne à ne pas franchir sur le Québec.
Mal de Bloc
Le Bloc, lui, a de plus en plus de mal à ratisser au-delà des souverainistes les plus convaincus. Né dans la foulée de la colère provoquée par l’échec de Meech et dans la perspective d’un référendum à court terme, il se heurte au fait que la conjoncture n’est plus du tout celle-là.
Les souverainistes auront beau y voir de la poudre aux yeux, le fédéralisme d’ouverture de Stephen Harper marque des points. Le Bloc a de plus en plus de difficultés à convaincre les Québécois de ne pas embarquer dans un train qui semble gagnant, surtout dans les régions durement touchées par une mauvaise conjoncture économique.
Chose certaine, Stephen Harper aura furieusement envie de provoquer la chute de son propre gouvernement cet automne en mettant au défi les partis d’opposition de le défaire. À moins que ces derniers en viennent à la conclusion que plus ils attendront, pire ce sera.
Publié dans Journal de Montréal et Journal de Québec
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Mirianne a écritSérieusement, y en a une couple qui ne comprennent pas la politique ou qui s'en foutent (ca doit être ça finalement!) . À Roberval (Lac St-Jean) est passé de Bloc à Conservateur!!! C'est assez traumatisant merci! Ok, passer de Bloc à NPD peut-être! Mais là de gauche à droite complètement!
Nannn!!!! C'est pas ça du tout qui s'est passé.
Tout d'abord, Roberval n'est pas si à gauche que ça. Ils ont eu longtemps Benoit Bouchard comme député. Il a été un ministre important dans le gouvernement Mulroney. Ensuite, il y a eu Michel Gauthier du Bloc qui a été chef par intérim et numéro 2 du parti par la suite.
Les gens ici élisent l'homme plus que le parti et c'est encore plus vrai lors d'élection complémentaire où aucune vague n'a lieu (comme la vague adq à la dernière élection). Donc, le parti n'influence pas tellement l'issu du vote.
J'en connais plusieurs qui ne sont aucunement conservateur et qui ont voté pour Denis Lebel. Lebel a le potentiel d'être un rouage important au PC et ça ne m'étonnerait pas qu'il prenne la place de Blackburn un jour pour représenter la région du Sag/Lac au sein de ce parti.
Il y a plusieurs façon de voir la politique.
Nannn!!!! C'est pas ça du tout qui s'est passé.
Tout d'abord, Roberval n'est pas si à gauche que ça. Ils ont eu longtemps Benoit Bouchard comme député. Il a été un ministre important dans le gouvernement Mulroney. Ensuite, il y a eu Michel Gauthier du Bloc qui a été chef par intérim et numéro 2 du parti par la suite.
Les gens ici élisent l'homme plus que le parti et c'est encore plus vrai lors d'élection complémentaire où aucune vague n'a lieu (comme la vague adq à la dernière élection). Donc, le parti n'influence pas tellement l'issu du vote.
J'en connais plusieurs qui ne sont aucunement conservateur et qui ont voté pour Denis Lebel. Lebel a le potentiel d'être un rouage important au PC et ça ne m'étonnerait pas qu'il prenne la place de Blackburn un jour pour représenter la région du Sag/Lac au sein de ce parti.
Il y a plusieurs façon de voir la politique.
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- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
.anthurium. a écrit
Dans un tout autre ordre d'idée. Je pense effectivement que le monde votent sans trop connaître de la politique. regarde juste ici les commentaires du genre ben je vote pour parti parce qu'il est souverainiste ou je vote pour ce parti parce qu'il est fédéraliste. Ce débat-la détournent les gens de la raison d'être d'un gouvernement soit de gouverner. Alors ce n'est pas surprenant que des séparatistes deviennent désabusé et votent sur d'autres points que la séparation ou non du Québec.
Et en passant Si ça va si mal au PQ c'est aussi parce qu'il y a au sein même de ce parti de la gauche et de la droite, des syndicalistes et des anti syndicalistes, normal leur point commun est la séparation du Québec quelque chose qui peut se faire par la gauche ou par la droite (A mon avis elle ne peux survivre par la gauche.)
Ouf, assez condescendant comme commentaire ça.
Donc, pour toi, la conviction d'une idée, d'un projet, n'est pas une bonne raison pour en faire son choix lors d'un vote? Ceux qui pensent ainsi sont des crétins qui ne comprennent rien à la politique? Hé ben.
Et pour ce qui est du PQ, ça ne va pas si mal comme tu le dis. Ça va moins bien certe mais, rien de comparable avec les deux partis libéraux (PLC et PLQ). Et je ne suis pas certain que la vague ADQ va continuer à progresser. Les vagues se retirent après un tsunami tu sais.
Dans un tout autre ordre d'idée. Je pense effectivement que le monde votent sans trop connaître de la politique. regarde juste ici les commentaires du genre ben je vote pour parti parce qu'il est souverainiste ou je vote pour ce parti parce qu'il est fédéraliste. Ce débat-la détournent les gens de la raison d'être d'un gouvernement soit de gouverner. Alors ce n'est pas surprenant que des séparatistes deviennent désabusé et votent sur d'autres points que la séparation ou non du Québec.
Et en passant Si ça va si mal au PQ c'est aussi parce qu'il y a au sein même de ce parti de la gauche et de la droite, des syndicalistes et des anti syndicalistes, normal leur point commun est la séparation du Québec quelque chose qui peut se faire par la gauche ou par la droite (A mon avis elle ne peux survivre par la gauche.)
Ouf, assez condescendant comme commentaire ça.
Donc, pour toi, la conviction d'une idée, d'un projet, n'est pas une bonne raison pour en faire son choix lors d'un vote? Ceux qui pensent ainsi sont des crétins qui ne comprennent rien à la politique? Hé ben.
Et pour ce qui est du PQ, ça ne va pas si mal comme tu le dis. Ça va moins bien certe mais, rien de comparable avec les deux partis libéraux (PLC et PLQ). Et je ne suis pas certain que la vague ADQ va continuer à progresser. Les vagues se retirent après un tsunami tu sais.
Red Ketchup a écrit
Nannn!!!! C'est pas ça du tout qui s'est passé.
Tout d'abord, Roberval n'est pas si à gauche que ça. Ils ont eu longtemps Benoit Bouchard comme député. Il a été un ministre important dans le gouvernement Mulroney. Ensuite, il y a eu Michel Gauthier du Bloc qui a été chef par intérim et numéro 2 du parti par la suite.
Les gens ici élisent l'homme plus que le parti et c'est encore plus vrai lors d'élection complémentaire où aucune vague n'a lieu (comme la vague adq à la dernière élection). Donc, le parti n'influence pas tellement l'issu du vote.
J'en connais plusieurs qui ne sont aucunement conservateur et qui ont voté pour Denis Lebel. Lebel a le potentiel d'être un rouage important au PC et ça ne m'étonnerait pas qu'il prenne la place de Blackburn un jour pour représenter la région du Sag/Lac au sein de ce parti.
Il y a plusieurs façon de voir la politique.
Merci pour les précisions
Nannn!!!! C'est pas ça du tout qui s'est passé.
Tout d'abord, Roberval n'est pas si à gauche que ça. Ils ont eu longtemps Benoit Bouchard comme député. Il a été un ministre important dans le gouvernement Mulroney. Ensuite, il y a eu Michel Gauthier du Bloc qui a été chef par intérim et numéro 2 du parti par la suite.
Les gens ici élisent l'homme plus que le parti et c'est encore plus vrai lors d'élection complémentaire où aucune vague n'a lieu (comme la vague adq à la dernière élection). Donc, le parti n'influence pas tellement l'issu du vote.
J'en connais plusieurs qui ne sont aucunement conservateur et qui ont voté pour Denis Lebel. Lebel a le potentiel d'être un rouage important au PC et ça ne m'étonnerait pas qu'il prenne la place de Blackburn un jour pour représenter la région du Sag/Lac au sein de ce parti.
Il y a plusieurs façon de voir la politique.
Merci pour les précisions