TQS : Une solution de rechange pour sauver l'info
TQS
Une solution de rechange pour sauver l'info
Les employés de TQS tenteront encore ce matin en cour de sauver les salles d'information du réseau, cette fois avec l'aide d'un partenaire financier torontois.
Les syndiqués se présentent à nouveau aujourd'hui devant le juge Pierre Journet au palais de justice de Saint-Jérôme.
Leur but? Demander la permission au tribunal qu'un autre plan d'arrangement soit dévoilé aux créanciers de TQS lors de leur assemblée prévue pour demain.
Cet autre plan est celui de Catalyst Capital Group, une firme d'investissement privée de Toronto. Catalyst a soumis en mars une offre d'achat de TQS. Comme on le sait déjà, les actionnaires de TQS lui ont préféré l'offre de Remstar.
Depuis, Catalyst Capital Group a indiqué que son plan d'affaires pour TQS ne prévoyait pas la fermeture des salles de nouvelles ni à Montréal ni en région.
D'après les syndiqués de TQS, l'offre de Catalyst serait aussi plus généreuse de 4 millions de dollars à l'endroit des créanciers.
«Le juge a beaucoup insisté pour protéger l'intérêt des créanciers. C'est pourquoi on croit que le plan de Catalyst devrait leur être présenté», explique Luc Bessette, président du syndicat de l'information de TQS-Montréal.
Remstar offre environ 20 sous pour chaque dollar réclamé par les créanciers, qui comprend entre autres des employés et des producteurs québécois.
Si la Cour supérieure accepte ce matin la requête des syndiqués de TQS, Catalyst est prête à déposer son plan aux créanciers d'ici 19 heures ce soir.
Pas simple
Mais la partie est loin d'être gagnée pour les employés de TQS. Et le temps presse. Remstar a déjà racheté des créances, dont celle de Warner Bros., son plus important créancier.
L'entreprise s'est aussi entendue avec Pixcom et Groupe Télé-Vision, qui produit Loft Story et Ste-Madeleine PQ. Du coup, Remstar a acquis le vote de ces producteurs à l'assemblée des créanciers.
Sans compter que le CRTC tient ses audiences les 2 et 3 juin sur le transfert de licence de TQS à Remstar.
La semaine passée, les syndiqués de TQS ont interpellé sans succès le juge Journet pour obtenir le report de l'assemblée des créanciers après la décision du CRTC sur l'avenir de TQS.
Programmation d'automne
Par ailleurs, TQS compte diffuser cet automne les séries prévues à l'origine cet hiver.
Les téléspectateurs peuvent s'attendre à voir dans la programmation du Mouton noir C't'une joke, Grande Fille, Bob Gratton, Loft Story et 450, chemin du Golf.
270 employés de TQS seront mis à pied à compter du 2 juin.
Jean-Luc Mongrain animera son dernier bulletin de nouvelles vendredi prochain.
Une solution de rechange pour sauver l'info
Les employés de TQS tenteront encore ce matin en cour de sauver les salles d'information du réseau, cette fois avec l'aide d'un partenaire financier torontois.
Les syndiqués se présentent à nouveau aujourd'hui devant le juge Pierre Journet au palais de justice de Saint-Jérôme.
Leur but? Demander la permission au tribunal qu'un autre plan d'arrangement soit dévoilé aux créanciers de TQS lors de leur assemblée prévue pour demain.
Cet autre plan est celui de Catalyst Capital Group, une firme d'investissement privée de Toronto. Catalyst a soumis en mars une offre d'achat de TQS. Comme on le sait déjà, les actionnaires de TQS lui ont préféré l'offre de Remstar.
Depuis, Catalyst Capital Group a indiqué que son plan d'affaires pour TQS ne prévoyait pas la fermeture des salles de nouvelles ni à Montréal ni en région.
D'après les syndiqués de TQS, l'offre de Catalyst serait aussi plus généreuse de 4 millions de dollars à l'endroit des créanciers.
«Le juge a beaucoup insisté pour protéger l'intérêt des créanciers. C'est pourquoi on croit que le plan de Catalyst devrait leur être présenté», explique Luc Bessette, président du syndicat de l'information de TQS-Montréal.
Remstar offre environ 20 sous pour chaque dollar réclamé par les créanciers, qui comprend entre autres des employés et des producteurs québécois.
Si la Cour supérieure accepte ce matin la requête des syndiqués de TQS, Catalyst est prête à déposer son plan aux créanciers d'ici 19 heures ce soir.
Pas simple
Mais la partie est loin d'être gagnée pour les employés de TQS. Et le temps presse. Remstar a déjà racheté des créances, dont celle de Warner Bros., son plus important créancier.
L'entreprise s'est aussi entendue avec Pixcom et Groupe Télé-Vision, qui produit Loft Story et Ste-Madeleine PQ. Du coup, Remstar a acquis le vote de ces producteurs à l'assemblée des créanciers.
Sans compter que le CRTC tient ses audiences les 2 et 3 juin sur le transfert de licence de TQS à Remstar.
La semaine passée, les syndiqués de TQS ont interpellé sans succès le juge Journet pour obtenir le report de l'assemblée des créanciers après la décision du CRTC sur l'avenir de TQS.
Programmation d'automne
Par ailleurs, TQS compte diffuser cet automne les séries prévues à l'origine cet hiver.
Les téléspectateurs peuvent s'attendre à voir dans la programmation du Mouton noir C't'une joke, Grande Fille, Bob Gratton, Loft Story et 450, chemin du Golf.
270 employés de TQS seront mis à pied à compter du 2 juin.
Jean-Luc Mongrain animera son dernier bulletin de nouvelles vendredi prochain.
La Cour supérieure de Saint-Jérôme a rejeté la demande des deux syndicats d'employés de TQS désireux que l'offre d'achat de Catalyst Capital soit soumise aux créanciers devant tenir une assemblée jeudi, en plus de celle de Remstar.
La décision est tombée en fin d'après-midi, mercredi.
Il s'agissait d'une tentative pour les travailleurs de TQS de sauver leur emploi.
Dans son offre d'achat originale, rejetée par TQS au profit de celle de Remstar, la société de Toronto proposait de conserver les services d'information et la plupart des emplois y étant associés.
On offrait en outre aux créanciers un plus fort pourcentage de remboursement. Remstar propose de rembourser entre 18 et 20 pour cent des sommes dues aux créanciers (notamment les producteurs), pour un total de 7 millions $. Il s'agissait d'une offre supérieure de 2,2 à 4 millions $.
Catalyst, un fonds d'investissements privé, se dit en outre prêt à compenser Remstar pour les frais encourus jusqu'ici dans ses efforts pour acquérir TSQ, évalués à 1,5 million $.
Les créanciers doivent se prononcer jeudi sur l'offre de Remstar. Si elle était rejetée, la porte serait ouverte pour Catalyst, mais l'ensemble de la procédure devrait être reprise.
La semaine dernière, un juge avait refusé aux syndicats de TQS de reporter l'assemblée de jeudi et de traiter différemment des autres les créances relatives aux indemnités de départ et au temps supplémentaire, entre autres.
La décision est tombée en fin d'après-midi, mercredi.
Il s'agissait d'une tentative pour les travailleurs de TQS de sauver leur emploi.
Dans son offre d'achat originale, rejetée par TQS au profit de celle de Remstar, la société de Toronto proposait de conserver les services d'information et la plupart des emplois y étant associés.
On offrait en outre aux créanciers un plus fort pourcentage de remboursement. Remstar propose de rembourser entre 18 et 20 pour cent des sommes dues aux créanciers (notamment les producteurs), pour un total de 7 millions $. Il s'agissait d'une offre supérieure de 2,2 à 4 millions $.
Catalyst, un fonds d'investissements privé, se dit en outre prêt à compenser Remstar pour les frais encourus jusqu'ici dans ses efforts pour acquérir TSQ, évalués à 1,5 million $.
Les créanciers doivent se prononcer jeudi sur l'offre de Remstar. Si elle était rejetée, la porte serait ouverte pour Catalyst, mais l'ensemble de la procédure devrait être reprise.
La semaine dernière, un juge avait refusé aux syndicats de TQS de reporter l'assemblée de jeudi et de traiter différemment des autres les créances relatives aux indemnités de départ et au temps supplémentaire, entre autres.
je ne vois pas pourquoi la cour a rejeté cette demande les créanciers devraient être en droit de voter pour la meilleure solution qui s'offre à eux et je ne crois pas que Remstar soit la meilleure malheureusement.
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Oui, c'était la solution miracle.
Catalyst dit qu'il garde l'information intacte même en région, qu'il ne demande aucun changement à la licence de TQS, qu'il fait une meilleure offre aux créanciers.
Cogeco s'est mis plus de 50 millions dans le trou avec cette formule, et Catalyst de Toronto, eux, prétende faire des profits en conservant la même formule.
On comprend pourquoi les créanciers et la Cour supérieure avaient retenu Remstar comme l'offre la plus sérieuse en mars dernier, tout en rejetant celle de Catalyst.
Catalyst dit qu'il garde l'information intacte même en région, qu'il ne demande aucun changement à la licence de TQS, qu'il fait une meilleure offre aux créanciers.
Cogeco s'est mis plus de 50 millions dans le trou avec cette formule, et Catalyst de Toronto, eux, prétende faire des profits en conservant la même formule.
On comprend pourquoi les créanciers et la Cour supérieure avaient retenu Remstar comme l'offre la plus sérieuse en mars dernier, tout en rejetant celle de Catalyst.
je pense de plus en plus que c'est terminé car les employés et les créanciers ne peuvent rien faire mais remstar eux font des magouilles en achetant les grosses creances afin d'avoir le droit de vote des cranciers pour que leur offre passe mais pourtant rien ne leur est reprochés . reste le crtc mais avec eux faut s'attendre à tout .
Tibouto a écritOui, c'était la solution miracle.
Catalyst dit qu'il garde l'information intacte même en région, qu'il ne demande aucun changement à la licence de TQS, qu'il fait une meilleure offre aux créanciers.
Cogeco s'est mis plus de 50 millions dans le trou avec cette formule, et Catalyst de Toronto, eux, prétende faire des profits en conservant la même formule.
On comprend pourquoi les créanciers et la Cour supérieure avaient retenu Remstar comme l'offre la plus sérieuse en mars dernier, tout en rejetant celle de Catalyst.
Il me semble qu'il y a quelque chose qui cloche, Catalyst (même s'ils sont de Toronto), me semble que Cogéco aurait retenu leur offre.
C'est quasiment rêver en couleurs que de prétendre garder le même pattern et penser pouvoir faire de l'argent par la suite en ne changeant rien ou presque.
Catalyst dit qu'il garde l'information intacte même en région, qu'il ne demande aucun changement à la licence de TQS, qu'il fait une meilleure offre aux créanciers.
Cogeco s'est mis plus de 50 millions dans le trou avec cette formule, et Catalyst de Toronto, eux, prétende faire des profits en conservant la même formule.
On comprend pourquoi les créanciers et la Cour supérieure avaient retenu Remstar comme l'offre la plus sérieuse en mars dernier, tout en rejetant celle de Catalyst.
Il me semble qu'il y a quelque chose qui cloche, Catalyst (même s'ils sont de Toronto), me semble que Cogéco aurait retenu leur offre.
C'est quasiment rêver en couleurs que de prétendre garder le même pattern et penser pouvoir faire de l'argent par la suite en ne changeant rien ou presque.
MayClo a écritet bien moi je suis contente qu'il aille rejeté. j'aime mieux que ca soit une entreprise québécoise qu'une ontarienne qui soit le nouveau proprio de TQS.
qui soit ontarien , americain , chinois name it je m'en fout s'ils ont les moyens et sauvent les emplois de tout le monde c'est bien .ces personnes qui perdent leur job passent par dessus les politiques .cé pas le temps de parler de souverainistes ou separatistes je me fout de la politique moi je pense aux familles qui perdent leur jobs.
qui soit ontarien , americain , chinois name it je m'en fout s'ils ont les moyens et sauvent les emplois de tout le monde c'est bien .ces personnes qui perdent leur job passent par dessus les politiques .cé pas le temps de parler de souverainistes ou separatistes je me fout de la politique moi je pense aux familles qui perdent leur jobs.
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- Seigneur de la Causerie
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- Inscription : mer. oct. 29, 2003 1:00 am
scorpy a écrit
qui soit ontarien , americain , chinois name it je m'en fout s'ils ont les moyens et sauvent les emplois de tout le monde c'est bien .ces personnes qui perdent leur job passent par dessus les politiques .cé pas le temps de parler de souverainistes ou separatistes je me fout de la politique moi je pense aux familles qui perdent leur jobs.
Aucun rapport avec le fait d'être ou non séparatiste.
Et comment cette compagnie peut faire ce que cogeco n'a pas réussi à faire en gardant la même formule?
Ils feraient faillite dans un an et là, ce serait tous les employés qui perdraient leur job.
qui soit ontarien , americain , chinois name it je m'en fout s'ils ont les moyens et sauvent les emplois de tout le monde c'est bien .ces personnes qui perdent leur job passent par dessus les politiques .cé pas le temps de parler de souverainistes ou separatistes je me fout de la politique moi je pense aux familles qui perdent leur jobs.
Aucun rapport avec le fait d'être ou non séparatiste.
Et comment cette compagnie peut faire ce que cogeco n'a pas réussi à faire en gardant la même formule?
Ils feraient faillite dans un an et là, ce serait tous les employés qui perdraient leur job.
- Blanche Neige
- Caïd de la Causette
- Messages : 969
- Inscription : lun. janv. 26, 2004 1:00 am
MayClo a écritet bien moi je suis contente qu'il aille rejeté. j'aime mieux que ca soit une entreprise québécoise qu'une ontarienne qui soit le nouveau proprio de TQS.
Bien raison, ils y en a qui sont prêts à vendre leur mère pour de l'argent. Et dire qu'on parle d'identité, ils y en a qui ne comprendront jamais.
Bien raison, ils y en a qui sont prêts à vendre leur mère pour de l'argent. Et dire qu'on parle d'identité, ils y en a qui ne comprendront jamais.
Les vertus, la sagesse, le bonheur s'acquièrent par l'éducation. L'art de vivre s'apprend. Aristote.
scorpy a écrit
qui soit ontarien , americain , chinois name it je m'en fout s'ils ont les moyens et sauvent les emplois de tout le monde c'est bien .ces personnes qui perdent leur job passent par dessus les politiques .cé pas le temps de parler de souverainistes ou separatistes je me fout de la politique moi je pense aux familles qui perdent leur jobs.
je ne fais aucunement allusion ici a la politique...et d'apres l'article.. la compagnie pensait faire des profits avec le meme fonctionnement qu'avait Cogeco... c'est sur que c'est plate pour les familles et je compatisent avec elles...
qui soit ontarien , americain , chinois name it je m'en fout s'ils ont les moyens et sauvent les emplois de tout le monde c'est bien .ces personnes qui perdent leur job passent par dessus les politiques .cé pas le temps de parler de souverainistes ou separatistes je me fout de la politique moi je pense aux familles qui perdent leur jobs.
je ne fais aucunement allusion ici a la politique...et d'apres l'article.. la compagnie pensait faire des profits avec le meme fonctionnement qu'avait Cogeco... c'est sur que c'est plate pour les familles et je compatisent avec elles...