En Amérique du Nord
Honda lancera une nouvelle voiture hybride plus abordable en 2009 La Presse Canadienne
22/05/2008 08h23
Le PDG de Honda Motor Co., Takeo Fukui, en conférence de presse au siège social de la firme à Tokyo, mercredi, le 21 mai 2008.
© Itsuo Inouye / Associated Press
Honda lancera, au début 2009, un nouveau modèle de voiture hybride plus abordable, destiné aux marchés nord-américain, européen et japonais.
Cette annonce souligne l'engagement du fabriquant de voitures japonais à développer des technologies vertes, a estimé mercredi le président de la compagnie.
Le nouveau modèle fonctionnera à l'essence et à l'électricité et ne sera vendu qu'en version hybride, sans équivalence en version à essence seulement. Il s'agira d'un élément important de la stratégie de Honda pour les trois prochaines années, que le président du constructeur automobile, Takeo Fukui, a dévoilée depuis le siège social de l'entreprise, à Tokyo.
Le plan stratégique inclut aussi le développement d'innovations et une expansion au Japon, afin de réduire les coûts et de permettre à la compagnie de demeurer concurrentielle dans un contexte où les coûts de l'énergie et du matériel grimpent en flèche, a-t-il mentionné.
En plus du nouveau modèle, Honda lancera d'autres voitures hybrides: une Civic, un nouveau modèle sport inspiré de la CR-Z de même qu'une sous-compacte, vendue sous le nom de Jazz en Europe, a indiqué le président.
Refusant de donner le prix de son nouveau modèle exclusivement hybride, M. Fukui a toutefois précisé que les autres modèles auront une différence de prix d'environ 1900$ US avec leur version traditionnelle, même si cet écart atteint parfois actuellement 4800$.
On ne connaît pas encore le nom du nouveau modèle mais on sait qu'il pourra transporter cinq passagers et qu'il sera conçu à l'aide d'une nouvelle technologie qui réduit la grosseur et le poids du système hybride pour améliorer son rendement énergétique.
L'essence a... $?.??
Vieux-Québec
Place aux autobus écolos!Mise à jour : 23/05/2008 20h45
Des autobus électriques feront leur apparition dans le Vieux-Québec dès le 14 juin.
Le Réseau de transport de la Capitale a acheté huit véhicules de ce type, au coût de 350 000 dollars chacun.
L'Écolobus roulera à une vitesse maximale de 33 km/h.
Le coût quotidien en électricité pour alimenter un autobus sera de 3,25 dollars.
Les usagers pourront l'utiliser gratuitement pendant deux ans.
Les Écolobus circuleront dans le Vieux-Québec tous les jours de 5 h 30 à 0 h 30.
---------------------------------------------------------
Non mais c'est une bonne nouvelle ca!!!
Faut que j'aille a Quebec essayer ca...
Place aux autobus écolos!Mise à jour : 23/05/2008 20h45
Des autobus électriques feront leur apparition dans le Vieux-Québec dès le 14 juin.
Le Réseau de transport de la Capitale a acheté huit véhicules de ce type, au coût de 350 000 dollars chacun.
L'Écolobus roulera à une vitesse maximale de 33 km/h.
Le coût quotidien en électricité pour alimenter un autobus sera de 3,25 dollars.
Les usagers pourront l'utiliser gratuitement pendant deux ans.
Les Écolobus circuleront dans le Vieux-Québec tous les jours de 5 h 30 à 0 h 30.
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Non mais c'est une bonne nouvelle ca!!!
Faut que j'aille a Quebec essayer ca...
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Qui retarde l'auto électrique ?
27 mai 2008 - 06h00
La Presse
Hélène Baril
La ZENN, voiture électrique conçue au Canada et dont l'assemblage final se fait à Saint-Jérôme, est toujours interdite sur les routes du Québec.
La demande pour des voitures tout électriques croît au même rythme que le prix du plein d'essence. Au royaume de l'électricité, on croyait pouvoir participer à cette révolution du transport individuel, mais le temps passe et l'espoir de rouler dans un véhicule électrique partiellement ou totalement québécois se dégonfle.
Cliquez pour en savoir plus : Transport | Transport routier | Daniel Desharnais
Hydro-Québec et son moteur électrique n'ont pas remporté l'appel d'offres de la société des postes française, qui aurait pu ouvrir la porte à la commercialisation tant attendue de cette invention qui a quand même plus de 20 ans d'âge.
La suite de l'histoire est plutôt incertaine. «On continue de chercher des partenaires», se contente de dire la société d'État.
Hydro n'a rien fait de bon non plus avec ses batteries «révolutionnaires» au lithium-polymère. Avestor, l'entreprise mise sur pied pour commercialiser cette invention, a presque fait faillite avant d'être vendue pour pas cher au géant français Bolloré.
La ZENN, voiture électrique conçue au Canada et dont l'assemblage final se fait à Saint-Jérôme, est toujours interdite sur les routes du Québec, une anomalie que le magazine britannique The Economist a relevée dernièrement.
Une des seules voitures tout électrique disponible ici, la ZENN ne peut pas rouler sur nos routes à cause de sa vitesse maximale trop basse, soit moins de 50 kilomètres à l'heure. D'autres études sur la sécurité de ce type de voitures doivent être réalisées avant qu'elles obtiennent l'homologation requise par Transports Canada pour être vendue ici.
À cause de sa taille et de sa faible vitesse, la ZENN pourrait être la solution pour les travailleurs urbains qui ne parcourent que de petites distances. Un peu comme un scooter, mais en mieux. Pourquoi le scooter a-t-il droit de cité sur les routes et pas les voitures comme la ZENN?
Ça va changer, dit Daniel Desharnais, le porte-parole de la ministre des Transports du Québec, Julie Boulet, qui rappelle qu'une loi adoptée en novembre dernier ouvre la porte à l'expérimentation des véhicules verts sur les routes du Québec.
«On aura bientôt des annonces de projets-pilotes à faire, incluant les véhicules électriques basse vitesse en milieu urbain, dans les zones où la vitesse ne dépasse pas 50 kilomètres à l'heure.»
Des études
Des projets-pilotes, ça fait des années que le Centre d'expérimentation des véhicules électrique du Québec en fait. «Le véhicule électrique à basse vitesse, on l'a déjà étudié de long en large», dit son directeur général, Pierre Lavallée. Certaines des études ont même été faites en collaboration avec le ministère des Transports du Québec. Pourquoi en faut-il d'autres?
Réponse, parce qu'il en faut d'autres. «Les études qui ont été faites étaient très circonscrites, ça n'a jamais été testé au niveau de la sécurité routière», assure Daniel Desharnais.
Ce n'est qu'une fois que ces nouveaux projets-pilotes auront été réalisés et analysés que le gouvernement québécois décidera du sort des petites voitures électriques.
Des délais sont donc à prévoir, alors que selon le Ceveq, «cette question aurait pu être réglée il y a cinq ans».
En attendant, les automobilistes excédés d'avoir à casser leur tirelire pour pouvoir faire le plein se tournent vers les voitures hybrides. Les quelques modèles disponibles se vendent bien. La Toyota Prius, la plus populaire des hybrides, exige deux mois d'attente, selon un gros concessionnaire de Montréal. Toyota vend actuellement plus de Prius en un mois que pendant les trois premières années de vente de ce modèle au Canada.
L'offre de modèles hybrides va augmenter au cours des prochaines années. Honda annonce un modèle hybride plus petit et moins cher que la Civic hybride qui sera vendu au Canada et aux États-Unis en 2009.
27 mai 2008 - 06h00
La Presse
Hélène Baril
La ZENN, voiture électrique conçue au Canada et dont l'assemblage final se fait à Saint-Jérôme, est toujours interdite sur les routes du Québec.
La demande pour des voitures tout électriques croît au même rythme que le prix du plein d'essence. Au royaume de l'électricité, on croyait pouvoir participer à cette révolution du transport individuel, mais le temps passe et l'espoir de rouler dans un véhicule électrique partiellement ou totalement québécois se dégonfle.
Cliquez pour en savoir plus : Transport | Transport routier | Daniel Desharnais
Hydro-Québec et son moteur électrique n'ont pas remporté l'appel d'offres de la société des postes française, qui aurait pu ouvrir la porte à la commercialisation tant attendue de cette invention qui a quand même plus de 20 ans d'âge.
La suite de l'histoire est plutôt incertaine. «On continue de chercher des partenaires», se contente de dire la société d'État.
Hydro n'a rien fait de bon non plus avec ses batteries «révolutionnaires» au lithium-polymère. Avestor, l'entreprise mise sur pied pour commercialiser cette invention, a presque fait faillite avant d'être vendue pour pas cher au géant français Bolloré.
La ZENN, voiture électrique conçue au Canada et dont l'assemblage final se fait à Saint-Jérôme, est toujours interdite sur les routes du Québec, une anomalie que le magazine britannique The Economist a relevée dernièrement.
Une des seules voitures tout électrique disponible ici, la ZENN ne peut pas rouler sur nos routes à cause de sa vitesse maximale trop basse, soit moins de 50 kilomètres à l'heure. D'autres études sur la sécurité de ce type de voitures doivent être réalisées avant qu'elles obtiennent l'homologation requise par Transports Canada pour être vendue ici.
À cause de sa taille et de sa faible vitesse, la ZENN pourrait être la solution pour les travailleurs urbains qui ne parcourent que de petites distances. Un peu comme un scooter, mais en mieux. Pourquoi le scooter a-t-il droit de cité sur les routes et pas les voitures comme la ZENN?
Ça va changer, dit Daniel Desharnais, le porte-parole de la ministre des Transports du Québec, Julie Boulet, qui rappelle qu'une loi adoptée en novembre dernier ouvre la porte à l'expérimentation des véhicules verts sur les routes du Québec.
«On aura bientôt des annonces de projets-pilotes à faire, incluant les véhicules électriques basse vitesse en milieu urbain, dans les zones où la vitesse ne dépasse pas 50 kilomètres à l'heure.»
Des études
Des projets-pilotes, ça fait des années que le Centre d'expérimentation des véhicules électrique du Québec en fait. «Le véhicule électrique à basse vitesse, on l'a déjà étudié de long en large», dit son directeur général, Pierre Lavallée. Certaines des études ont même été faites en collaboration avec le ministère des Transports du Québec. Pourquoi en faut-il d'autres?
Réponse, parce qu'il en faut d'autres. «Les études qui ont été faites étaient très circonscrites, ça n'a jamais été testé au niveau de la sécurité routière», assure Daniel Desharnais.
Ce n'est qu'une fois que ces nouveaux projets-pilotes auront été réalisés et analysés que le gouvernement québécois décidera du sort des petites voitures électriques.
Des délais sont donc à prévoir, alors que selon le Ceveq, «cette question aurait pu être réglée il y a cinq ans».
En attendant, les automobilistes excédés d'avoir à casser leur tirelire pour pouvoir faire le plein se tournent vers les voitures hybrides. Les quelques modèles disponibles se vendent bien. La Toyota Prius, la plus populaire des hybrides, exige deux mois d'attente, selon un gros concessionnaire de Montréal. Toyota vend actuellement plus de Prius en un mois que pendant les trois premières années de vente de ce modèle au Canada.
L'offre de modèles hybrides va augmenter au cours des prochaines années. Honda annonce un modèle hybride plus petit et moins cher que la Civic hybride qui sera vendu au Canada et aux États-Unis en 2009.
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Se brancher pour faire le plein
27 mai 2008 - 06h29
La Presse
Hélène Baril
Un jour, ça arrivera. La pompe à essence côtoiera les prises de courant dans les stations-services. Les détaillants indépendants du Québec commencent déjà à y penser.
«Les indépendants pourraient être les premiers à commercialiser la recharge électrique, que les grandes pétrolières voient sans doute d'un très mauvais oeil, souligne l'Association québécoise des indépendants du pétrole dans le plus récent message à ses membres. Si l'occasion se présente, assurons-nous d'être les premiers à combler les besoins des consommateurs qui voudront faire le plein d'électricité.»
Les indépendants, comme Harnois ou Crevier, sont des détaillants d'essence qui ne sont pas liés à une grande pétrolière et qui sont présents dans toutes les régions du Québec.
L'acceptation des véhicules électriques par M. et Mme Tout-le-monde dépend de la facilité avec laquelle les batteries pourront être rechargées. Un véhicule qui sert uniquement aux allers-retours au travail peut être branché sans problème à la maison, mais pour franchir de longues distances, il faut pouvoir compter sur des bornes d'alimentation sur les routes.
Autre problème, il faut de 8 à 12 heures pour recharger des batteries conventionnelles, ce qui limite grandement l'autonomie des voitures électriques.
Des solutions à ce problème commencent à apparaître. Project Better Place, une entreprise de Californie, propose de louer véhicules et batteries et de mettre en place une infrastructure d'alimentation. L'automobiliste paierait un abonnement à coût fixe, un peu comme les utilisateurs de téléphones cellulaires, pour un service de transport tout compris.
L'entreprise se chargerait de mettre en place des stations d'alimentation où il serait possible d'échanger sa batterie vide contre une chargée, ce qui ne prend pas plus de temps de que de faire le plein d'essence.
Deux pays, Israël et le Danemark, ont accepté de tenter cette expérience avec une voiture électrique fabriquée par Renault-Nissan. Les premiers véhicules électriques seront disponibles dans les deux pays en 2011.
Selon des analystes de la Deutsche Bank, ce modèle d'affaires serait viable dans des pays plus grands, comme les États-Unis, à un prix de 550$US par mois pour rouler 18 000 milles par année (30 000 kilomètres).
D'autres modèles d'affaires proposent de louer les batteries seulement, qui pourraient être rechargées ou échangées dans les stations-services existantes.
Partout dans le monde, des ingénieurs travaillent à l'amélioration des batteries et de nouveaux produits plus efficaces et moins chers sont sur le point d'apparaître sur le marché.
À Québec, le fabricant américain Enersys a entrepris de tester sa batterie au lithium-ion de nouvelle génération, qui peut être rechargée en la branchant à une prise électrique normale. Enersys a choisi Québec à cause de son climat froid et du faible coût de l'électricité. Les tests devraient durer quatre ans.
27 mai 2008 - 06h29
La Presse
Hélène Baril
Un jour, ça arrivera. La pompe à essence côtoiera les prises de courant dans les stations-services. Les détaillants indépendants du Québec commencent déjà à y penser.
«Les indépendants pourraient être les premiers à commercialiser la recharge électrique, que les grandes pétrolières voient sans doute d'un très mauvais oeil, souligne l'Association québécoise des indépendants du pétrole dans le plus récent message à ses membres. Si l'occasion se présente, assurons-nous d'être les premiers à combler les besoins des consommateurs qui voudront faire le plein d'électricité.»
Les indépendants, comme Harnois ou Crevier, sont des détaillants d'essence qui ne sont pas liés à une grande pétrolière et qui sont présents dans toutes les régions du Québec.
L'acceptation des véhicules électriques par M. et Mme Tout-le-monde dépend de la facilité avec laquelle les batteries pourront être rechargées. Un véhicule qui sert uniquement aux allers-retours au travail peut être branché sans problème à la maison, mais pour franchir de longues distances, il faut pouvoir compter sur des bornes d'alimentation sur les routes.
Autre problème, il faut de 8 à 12 heures pour recharger des batteries conventionnelles, ce qui limite grandement l'autonomie des voitures électriques.
Des solutions à ce problème commencent à apparaître. Project Better Place, une entreprise de Californie, propose de louer véhicules et batteries et de mettre en place une infrastructure d'alimentation. L'automobiliste paierait un abonnement à coût fixe, un peu comme les utilisateurs de téléphones cellulaires, pour un service de transport tout compris.
L'entreprise se chargerait de mettre en place des stations d'alimentation où il serait possible d'échanger sa batterie vide contre une chargée, ce qui ne prend pas plus de temps de que de faire le plein d'essence.
Deux pays, Israël et le Danemark, ont accepté de tenter cette expérience avec une voiture électrique fabriquée par Renault-Nissan. Les premiers véhicules électriques seront disponibles dans les deux pays en 2011.
Selon des analystes de la Deutsche Bank, ce modèle d'affaires serait viable dans des pays plus grands, comme les États-Unis, à un prix de 550$US par mois pour rouler 18 000 milles par année (30 000 kilomètres).
D'autres modèles d'affaires proposent de louer les batteries seulement, qui pourraient être rechargées ou échangées dans les stations-services existantes.
Partout dans le monde, des ingénieurs travaillent à l'amélioration des batteries et de nouveaux produits plus efficaces et moins chers sont sur le point d'apparaître sur le marché.
À Québec, le fabricant américain Enersys a entrepris de tester sa batterie au lithium-ion de nouvelle génération, qui peut être rechargée en la branchant à une prise électrique normale. Enersys a choisi Québec à cause de son climat froid et du faible coût de l'électricité. Les tests devraient durer quatre ans.
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Des Mazda 3 qui roulent à l'électricité
27 mai 2008 - 06h00
La Presse
Hélène Baril
En attendant des voitures électriques plus abordables et plus performantes, Loïc Daignault a décidé de faire quelque chose pour la planète, et pour le portefeuille.
Son entreprise, Voitures électriques, convertit des voitures traditionnelles en véhicules électriques qu'il est possible de brancher chez soi pour en recharger les batteries. Les voitures ainsi converties n'ont aucune restriction de circulation sur le réseau routier.
Ce jeune ingénieur a choisi la Mazda 3, une voiture populaire avec un bon rapport qualité-prix. Il achète les véhicules usagés de quelques années, les convertit et les revend à un prix variant entre 20 000$ et 25 000$.
Le véhicule modifié se passe complètement de pétrole et peut rouler à une vitesse maximale de 120 à 140 km/h. Il est équipé de batteries ordinaires qui assurent une autonomie de 100 kilomètres. Des batteries au lithium-ion pourraient quadrupler cette autonomie, mais le coût serait prohibitif, explique-t-il. «Mon objectif, c'est d'entrer sur le marché avec un produit abordable».
Les batteries restent le point faible des voitures électriques. Elles sont soit hors de prix, comme les batteries au lithium-ion, soit très encombrantes. Les batteries ordinaires installées dans les Mazda 3 de Loïc Daignault, 24 au total, occupent tout le coffre arrière de la voiture.
Ça peut être un inconvénient, reconnaît-il, mais son marché cible, ce sont les gens qui prennent leur voiture tous les jours pour aller travailler, et qui ne se servent jamais du coffre de toute façon.
L'autre inconvénient de ses Mazda, c'est leur autonomie de seulement 100 kilomètres. Encore là, l'ingénieur n'y voit pas un problème majeur. «La majorité des gens font moins de 30 kilomètres par jour pour aller travailler», dit-il.
La batterie peut être branchée dans n'importe quelle prise électrique et ne nécessite pas de changement au système électrique. «C'est comme un toaster», illustre l'ingénieur.
Loïc Daignault a commencé en 2006 à transformer son idée en entreprise. Il est maintenant fin prêt, et n'attend plus que son permis de commerçant de voitures usagées pour se lancer en affaires. Une question de semaines, selon lui.
Coût pour parcourir 20 000 kilomètres par année avec une Mazda 3
Essence: 2400$
Électricité: 240$
27 mai 2008 - 06h00
La Presse
Hélène Baril
En attendant des voitures électriques plus abordables et plus performantes, Loïc Daignault a décidé de faire quelque chose pour la planète, et pour le portefeuille.
Son entreprise, Voitures électriques, convertit des voitures traditionnelles en véhicules électriques qu'il est possible de brancher chez soi pour en recharger les batteries. Les voitures ainsi converties n'ont aucune restriction de circulation sur le réseau routier.
Ce jeune ingénieur a choisi la Mazda 3, une voiture populaire avec un bon rapport qualité-prix. Il achète les véhicules usagés de quelques années, les convertit et les revend à un prix variant entre 20 000$ et 25 000$.
Le véhicule modifié se passe complètement de pétrole et peut rouler à une vitesse maximale de 120 à 140 km/h. Il est équipé de batteries ordinaires qui assurent une autonomie de 100 kilomètres. Des batteries au lithium-ion pourraient quadrupler cette autonomie, mais le coût serait prohibitif, explique-t-il. «Mon objectif, c'est d'entrer sur le marché avec un produit abordable».
Les batteries restent le point faible des voitures électriques. Elles sont soit hors de prix, comme les batteries au lithium-ion, soit très encombrantes. Les batteries ordinaires installées dans les Mazda 3 de Loïc Daignault, 24 au total, occupent tout le coffre arrière de la voiture.
Ça peut être un inconvénient, reconnaît-il, mais son marché cible, ce sont les gens qui prennent leur voiture tous les jours pour aller travailler, et qui ne se servent jamais du coffre de toute façon.
L'autre inconvénient de ses Mazda, c'est leur autonomie de seulement 100 kilomètres. Encore là, l'ingénieur n'y voit pas un problème majeur. «La majorité des gens font moins de 30 kilomètres par jour pour aller travailler», dit-il.
La batterie peut être branchée dans n'importe quelle prise électrique et ne nécessite pas de changement au système électrique. «C'est comme un toaster», illustre l'ingénieur.
Loïc Daignault a commencé en 2006 à transformer son idée en entreprise. Il est maintenant fin prêt, et n'attend plus que son permis de commerçant de voitures usagées pour se lancer en affaires. Une question de semaines, selon lui.
Coût pour parcourir 20 000 kilomètres par année avec une Mazda 3
Essence: 2400$
Électricité: 240$
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Débat d'urgence sur le prix de l'essence
27 mai 2008 - 06h37
La Presse
Gilles Toupin
La montée du prix de l'essence à l'aube de la saison touristique dérange les députés du Bloc québécois.
Les députés de la Chambre des communes ont tenu hier en soirée un débat d'urgence sur la fluctuation des prix de l'essence à la demande expresse du Bloc québécois.
C'est la porte-parole du Bloc québécois en matière d'industrie, la députée de Trois-Rivières Paule Brunelle, qui en a fait la demande en après-midi, obligeant le président de la Chambre, Peter Milliken, à répondre sur-le-champ.
Mme Brunelle a fait valoir que les prix à la pompe explosaient littéralement en ce moment, ayant passé de 1,08 $ en janvier à 1,39 $ dans la région de Trois-Rivières en avril. La députée a souligné aussi que le prix du brut grimpait à toute vitesse. «De 95 $ US en janvier, a-t-elle rappelé, il est passé à plus de 120 $ US le 14 mai 2008.»
Mme Brunelle et le Bloc craignent que cette tendance se poursuive et que le baril se transige à plus de 130 $ US en juillet 2008.
«Nous sommes dans une période où les gens planifient leurs vacances d'été, a fait valoir Mme Brunelle. Le prix de l'essence, qui ne cesse de monter, perturbe la saison touristique et nous craignons beaucoup pour les régions plus éloignées comme la Gaspésie et le Saguenay-Lac-Saint-Jean.»
Le président de la Chambre, Peter Milliken, a accordé le débat d'urgence en affirmant que Mme Brunelle avait présenté «de bons arguments» pour le justifier.
Le Bloc tente également de faire adopter aux Communes, malgré l'opposition du gouvernement, un projet de loi qui modifierait la loi sur la concurrence et permettrait au commissaire à la concurrence de déclencher de son propre chef des enquêtes afin de savoir s'il y a collusion entre les pétrolières pour fixer les prix, notamment à l'étape du raffinage.
Mais ce projet de loi, à l'étape du comité, a été reporté «aux calendes grecques», comme l'a souligné à La Presse Mme Brunelle.
«Tous les autres partis ont voté contre la voie rapide pour l'adoption de ce projet de loi avant l'été, affirme la députée. Avec ce débat d'urgence, je veux influencer le débat, je veux que l'on en parle davantage sur la place publique. Les consommateurs s'attendent à ce que les politiciens fassent quelque chose. Après, je pourrai revenir au comité et reformuler ma demande. Je veux forcer le jeu.»
27 mai 2008 - 06h37
La Presse
Gilles Toupin
La montée du prix de l'essence à l'aube de la saison touristique dérange les députés du Bloc québécois.
Les députés de la Chambre des communes ont tenu hier en soirée un débat d'urgence sur la fluctuation des prix de l'essence à la demande expresse du Bloc québécois.
C'est la porte-parole du Bloc québécois en matière d'industrie, la députée de Trois-Rivières Paule Brunelle, qui en a fait la demande en après-midi, obligeant le président de la Chambre, Peter Milliken, à répondre sur-le-champ.
Mme Brunelle a fait valoir que les prix à la pompe explosaient littéralement en ce moment, ayant passé de 1,08 $ en janvier à 1,39 $ dans la région de Trois-Rivières en avril. La députée a souligné aussi que le prix du brut grimpait à toute vitesse. «De 95 $ US en janvier, a-t-elle rappelé, il est passé à plus de 120 $ US le 14 mai 2008.»
Mme Brunelle et le Bloc craignent que cette tendance se poursuive et que le baril se transige à plus de 130 $ US en juillet 2008.
«Nous sommes dans une période où les gens planifient leurs vacances d'été, a fait valoir Mme Brunelle. Le prix de l'essence, qui ne cesse de monter, perturbe la saison touristique et nous craignons beaucoup pour les régions plus éloignées comme la Gaspésie et le Saguenay-Lac-Saint-Jean.»
Le président de la Chambre, Peter Milliken, a accordé le débat d'urgence en affirmant que Mme Brunelle avait présenté «de bons arguments» pour le justifier.
Le Bloc tente également de faire adopter aux Communes, malgré l'opposition du gouvernement, un projet de loi qui modifierait la loi sur la concurrence et permettrait au commissaire à la concurrence de déclencher de son propre chef des enquêtes afin de savoir s'il y a collusion entre les pétrolières pour fixer les prix, notamment à l'étape du raffinage.
Mais ce projet de loi, à l'étape du comité, a été reporté «aux calendes grecques», comme l'a souligné à La Presse Mme Brunelle.
«Tous les autres partis ont voté contre la voie rapide pour l'adoption de ce projet de loi avant l'été, affirme la députée. Avec ce débat d'urgence, je veux influencer le débat, je veux que l'on en parle davantage sur la place publique. Les consommateurs s'attendent à ce que les politiciens fassent quelque chose. Après, je pourrai revenir au comité et reformuler ma demande. Je veux forcer le jeu.»
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Nouvelle tendance aux États-Unis
Une perceuse pour voler de l'essence
Après les clients qui partent sans payer, après le siphonnage d'essence, une nouvelle tendance inquiétante est en train de voir le jour au États-Unis à cause du prix élevé du carburant.
Pour voler quelques litres d'essence, des individus se glissent sous les voitures et percent leur réservoir à l'aide d'une perceuse.
Si plusieurs cas ont été rapportés à South Bend, en Indiana, les autorités estiment que la tendance se répand un peu partout aux États-Unis.
Ce type de vol est risqué, puisque l'utilisation d'une perceuse en métal sur un réservoir rempli de carburant peut créer une étincelle et, éventuellement, faire exploser le véhicule.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/a ... 92535.html
Une perceuse pour voler de l'essence
Après les clients qui partent sans payer, après le siphonnage d'essence, une nouvelle tendance inquiétante est en train de voir le jour au États-Unis à cause du prix élevé du carburant.
Pour voler quelques litres d'essence, des individus se glissent sous les voitures et percent leur réservoir à l'aide d'une perceuse.
Si plusieurs cas ont été rapportés à South Bend, en Indiana, les autorités estiment que la tendance se répand un peu partout aux États-Unis.
Ce type de vol est risqué, puisque l'utilisation d'une perceuse en métal sur un réservoir rempli de carburant peut créer une étincelle et, éventuellement, faire exploser le véhicule.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/lemonde/a ... 92535.html
Les automobilistes montréalais avaient avantage à magasiner avant d’acheter de l’essence, mardi.
Plusieurs stations-service Pétro-Canada affichent le prix du litre à 1,45 dollar.
Par contre, plusieurs stations-service Esso et Ultramar vendent encore le litre à 1,29 dollar.
Les pétrolières doivent payer le carburant 1,35$ le litre.
Lundi, le litre d’essence se vendait en moyenne 1,31 dollar à Montréal.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/ ... 70911.html
Plusieurs stations-service Pétro-Canada affichent le prix du litre à 1,45 dollar.
Par contre, plusieurs stations-service Esso et Ultramar vendent encore le litre à 1,29 dollar.
Les pétrolières doivent payer le carburant 1,35$ le litre.
Lundi, le litre d’essence se vendait en moyenne 1,31 dollar à Montréal.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/ ... 70911.html
Pico82 a écritPis ils disent que c'est a cause de la speculation que le prix
monte comme ca...
exact et on sait tous que la spéculation n'est pas le vrai prix. Y'en a qui s'en mettent pleins les poches pis c'est pas nous autres.
monte comme ca...
exact et on sait tous que la spéculation n'est pas le vrai prix. Y'en a qui s'en mettent pleins les poches pis c'est pas nous autres.
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De l’essence pour attirer les touristes!
Bernard Plante - Canoë
© Pohénégamook Santé Plein Air
Base plein air Pohénégamook Santé Plein Air, Bas-Saint-Laurent
Oui, vous avez bien lu. Le prix de l’essence monte en flèche et il a de quoi décourager les vacanciers de trop s’éloigner de la maison, mais une base de plein air du Bas-Saint-Laurent, Pohénégamook Santé Plein Air (PSPA), a décidé de tourner la situation à son avantage.
Le centre va offrir à ses clients de rembourser, en crédits d’essence, jusqu’à 3% de la valeur des séjours de quatre nuitées ou plus. L’offre couvrira les deux premières semaines de juillet ou les deux dernières semaines d’août pour des réservations enregistrées avant le 24 juin. Le directeur ventes et marketing de PSPA, Martin C Bédard, est fier de sa trouvaille : «Oui, l’idée est bonne», nous a-t-il dit en entrevue.
Avantage géographique et carte à puces
Au départ, la région de Pohénégamook, au sud de Rivière-du-Loup, profite d’un avantage géographique. Elle longe la frontière américaine. Les consommateurs peuvent faire le plein à une station service située aux États-Unis. Et l’économie est loin d’être négligeable. Elle peut varier entre 16 et 20 cents le litre. En outre, les deux stations locales vendent l’essence à 8 cents de moins qu’à peu près partout au Québec.
Le système imaginé par PSPA va fonctionner ainsi: les clients de la base de plein air vont recevoir une carte à puce qui va équivaloir à 3% du coût de leur séjour. Ils pourront l’utiliser dans les deux stations service locales contre de l’essence ou contre tout autre bien mis en vente dans ces établissements. La carte ne pourra cependant pas être utilisée du côté américain.
Mais Martin C. Bédard explique que rien n’empêchera ses clients d’aller faire le plein aux États-Unis et d’utiliser leur carte à puce pour effectuer des achats dans les établissements situés du côté québécois de la frontière. Les consommateurs, explique-t-il fièrement, pourront ainsi réaliser une double économie.
Les dépenses moyennes pour un séjour à la base de plein air sont de 1 400$. C’est dire que la remise moyenne pourrait représenter une quarantaine de dollars. Le plafond du rabais a été fixé à 120$.
Saison difficile?
Martin C. Bédard note que le prix de l’essence semble freiner l’ardeur des vacanciers : «Ils tardent à faire leurs réservations et ça touche l’ensemble du Québec», explique-t-il. Il souligne aussi que les gens ont oublié que les deux semaines du congé dans l’industrie de la construction ont été déplacées cette année. Auparavant, ce congé couvrait les deux dernières semaines de juillet, maintenant il couvre la dernière de juillet et la première d’août. Les habitués du mois d’août n’y ont souvent pas pris garde et se font ainsi souffler leurs semaines traditionnelles de vacances.
Le directeur ventes et marketing de PSPA espère que la mesure mise en place par son groupe pourra l’aider à passer au travers de ces deux facteurs contraignants pour le tourisme cet été, soit la hausse du prix de l’essence et le déplacement du congé dans l’industrie de la construction.
Bernard Plante - Canoë
© Pohénégamook Santé Plein Air
Base plein air Pohénégamook Santé Plein Air, Bas-Saint-Laurent
Oui, vous avez bien lu. Le prix de l’essence monte en flèche et il a de quoi décourager les vacanciers de trop s’éloigner de la maison, mais une base de plein air du Bas-Saint-Laurent, Pohénégamook Santé Plein Air (PSPA), a décidé de tourner la situation à son avantage.
Le centre va offrir à ses clients de rembourser, en crédits d’essence, jusqu’à 3% de la valeur des séjours de quatre nuitées ou plus. L’offre couvrira les deux premières semaines de juillet ou les deux dernières semaines d’août pour des réservations enregistrées avant le 24 juin. Le directeur ventes et marketing de PSPA, Martin C Bédard, est fier de sa trouvaille : «Oui, l’idée est bonne», nous a-t-il dit en entrevue.
Avantage géographique et carte à puces
Au départ, la région de Pohénégamook, au sud de Rivière-du-Loup, profite d’un avantage géographique. Elle longe la frontière américaine. Les consommateurs peuvent faire le plein à une station service située aux États-Unis. Et l’économie est loin d’être négligeable. Elle peut varier entre 16 et 20 cents le litre. En outre, les deux stations locales vendent l’essence à 8 cents de moins qu’à peu près partout au Québec.
Le système imaginé par PSPA va fonctionner ainsi: les clients de la base de plein air vont recevoir une carte à puce qui va équivaloir à 3% du coût de leur séjour. Ils pourront l’utiliser dans les deux stations service locales contre de l’essence ou contre tout autre bien mis en vente dans ces établissements. La carte ne pourra cependant pas être utilisée du côté américain.
Mais Martin C. Bédard explique que rien n’empêchera ses clients d’aller faire le plein aux États-Unis et d’utiliser leur carte à puce pour effectuer des achats dans les établissements situés du côté québécois de la frontière. Les consommateurs, explique-t-il fièrement, pourront ainsi réaliser une double économie.
Les dépenses moyennes pour un séjour à la base de plein air sont de 1 400$. C’est dire que la remise moyenne pourrait représenter une quarantaine de dollars. Le plafond du rabais a été fixé à 120$.
Saison difficile?
Martin C. Bédard note que le prix de l’essence semble freiner l’ardeur des vacanciers : «Ils tardent à faire leurs réservations et ça touche l’ensemble du Québec», explique-t-il. Il souligne aussi que les gens ont oublié que les deux semaines du congé dans l’industrie de la construction ont été déplacées cette année. Auparavant, ce congé couvrait les deux dernières semaines de juillet, maintenant il couvre la dernière de juillet et la première d’août. Les habitués du mois d’août n’y ont souvent pas pris garde et se font ainsi souffler leurs semaines traditionnelles de vacances.
Le directeur ventes et marketing de PSPA espère que la mesure mise en place par son groupe pourra l’aider à passer au travers de ces deux facteurs contraignants pour le tourisme cet été, soit la hausse du prix de l’essence et le déplacement du congé dans l’industrie de la construction.
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
brunetta a écrit
exact et on sait tous que la spéculation n'est pas le vrai prix. Y'en a qui s'en mettent pleins les poches pis c'est pas nous autres.
Pour suivre un peu le vrai prix de l'essence y'a plusieurs sites
dont celui-ci qu'on peut consulter:
http://www.caaquebec.com/infoessence/fr/default.asp
exact et on sait tous que la spéculation n'est pas le vrai prix. Y'en a qui s'en mettent pleins les poches pis c'est pas nous autres.
Pour suivre un peu le vrai prix de l'essence y'a plusieurs sites
dont celui-ci qu'on peut consulter:
http://www.caaquebec.com/infoessence/fr/default.asp
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
Le prix de l'essence atteint un nouveau sommet dans la région de Montréal. Certaines stations vendent leur litre d'essence à 1,49$ ce matin, du jamais vu au Québec.
À Montréal, l'ancien record de 1,47$ avait été enregistré en septembre 2005 à la suite du passage des ouragans Rita et Katrina dans le golf du Mexique.
La plupart des stations-service affichent toutefois le prix du litre à 1,45$ . Il en coûte 1,35$ en ce moment aux pétrolières pour s'approvisionner en carburant. Lundi, le litre se vendait en moyenne à 1,31$ dans la métropole.
La hausse du prix du carburant suscite la grogne chez les camionneurs indépendants. Plusieurs camionneurs envisagent même de recourir à des moyens de pression, comme de bloquer la route à la frontière entre le Québec et le Nouveau-Brunswick.
Près de 6000 camionneurs indépendants doivent absorber la totalité des coûts d'exploitation de leur véhicule, incluant l'essence, sans aucune aide. La plupart des employeurs refusent généralement d'aider les indépendants à compenser la hausse des coûts.
Avec le gouvernement, c'est différent. Sur les chantiers de construction, Québec vient en aide aux camionneurs.
Avec cette nouvelle hausse du prix de l'essence, il est intéressant de voir combien coûte un plein d'essence. Pour une petite Smart de 53 litres, c'est environ 79 dollars. Pour un véhicule de marque HUMMER, le plein coûte en moyenne 180 dollars. Pour un autobus scolaire, il en coûte 407 dollars. Un bateau de plaisance d'une capacité de 450 litres coûte environ 684 dollars.
Les gros transporteurs aussi y goûtent: pour faire le plein d'un Airbus A380, il en coute 331 000 dollars.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/ ... 71014.html
À Montréal, l'ancien record de 1,47$ avait été enregistré en septembre 2005 à la suite du passage des ouragans Rita et Katrina dans le golf du Mexique.
La plupart des stations-service affichent toutefois le prix du litre à 1,45$ . Il en coûte 1,35$ en ce moment aux pétrolières pour s'approvisionner en carburant. Lundi, le litre se vendait en moyenne à 1,31$ dans la métropole.
La hausse du prix du carburant suscite la grogne chez les camionneurs indépendants. Plusieurs camionneurs envisagent même de recourir à des moyens de pression, comme de bloquer la route à la frontière entre le Québec et le Nouveau-Brunswick.
Près de 6000 camionneurs indépendants doivent absorber la totalité des coûts d'exploitation de leur véhicule, incluant l'essence, sans aucune aide. La plupart des employeurs refusent généralement d'aider les indépendants à compenser la hausse des coûts.
Avec le gouvernement, c'est différent. Sur les chantiers de construction, Québec vient en aide aux camionneurs.
Avec cette nouvelle hausse du prix de l'essence, il est intéressant de voir combien coûte un plein d'essence. Pour une petite Smart de 53 litres, c'est environ 79 dollars. Pour un véhicule de marque HUMMER, le plein coûte en moyenne 180 dollars. Pour un autobus scolaire, il en coûte 407 dollars. Un bateau de plaisance d'une capacité de 450 litres coûte environ 684 dollars.
Les gros transporteurs aussi y goûtent: pour faire le plein d'un Airbus A380, il en coute 331 000 dollars.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/ ... 71014.html
Les véhicules récréatifs toujours populaires
Malgré la hausse des prix de l'essence, la popularité des véhicules récréatifs demeure toujours aussi grande.
Même qu'en ce printemps de 2008, on serait sur le point de battre des records de ventes.
Il semble que le mode de vie est prioritaire pour les gens qui possèdent ce type de véhicule et la hausse du prix des carburants a très peu d'impact.
Les propriétaires vont plutôt choisir des destinations moins éloignées et des séjours plus longs pour un minimum de déplacements.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/ ... 05008.html
Malgré la hausse des prix de l'essence, la popularité des véhicules récréatifs demeure toujours aussi grande.
Même qu'en ce printemps de 2008, on serait sur le point de battre des records de ventes.
Il semble que le mode de vie est prioritaire pour les gens qui possèdent ce type de véhicule et la hausse du prix des carburants a très peu d'impact.
Les propriétaires vont plutôt choisir des destinations moins éloignées et des séjours plus longs pour un minimum de déplacements.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/ ... 05008.html