Mise à jour : 06/06/2008 08:11
Julie Couillard
De nouvelles révélations de son ex-conjoint
Stéphane Sirois, l'ancien époux de Julie Couillard, fait de nouvelles révélations au quotidien The Globe and Mail ce matin.
M. Sirois, qui a bénéficié de la protection octroyée aux témoins pendant une dizaine d'années, suggère à l'ex-ministre Maxime Bernier de se tenir loin de Julie Couillard. Il affirme également être heureux de pas avoir été le seul «idiot» à être tombé dans ses filets.
Stéphane Sirois a témoigné au procès du chef des Hells Angels, Maurice «Mom» Boucher, en 2003. Il affirme avoir retourné sa veste exprès pour la protéger parce que les motards pensaient qu'elle avait des contacts avec la police.
Aujourd'hui, Stéphane Sirois est convaincu que Julie Couillard aurait été tuée s'il ne l'avait pas épousée.
Mme Couillard était la petite amie de Gilles Giguère quand il a été assassiné en 1996. Les motards l'ont tué parce qu'ils croyaient qu'il était un informateur de la police.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/national/ ... 81118.html
Démisssion du ministre Maxime Bernier
Elle est très spéciale cette fille et un bon cas à analyser, juste le fait que depuis son jeune âge elle est attiré vers des criminels. On peut dire qu'elle a pas froid aux yeux, elle peut bien avoir munit sa maison d'un systême d'alarme.Je me demande ce qu'elle peut retirer de tout ça? Je doute de son intelligence ou elle a pas eu le choix lorsqu'elle a dénoncé Maxime Bernier, dans le fond,elle a lançé une bombe qu'il lui a éclaté en plein dans la face, on dit que c'est pour assouvir une vengence contre Maxime Bernier finalement je ne crois vraiment pas je pense que c'est autre chose de plus gros, c'est sur ainsi qu'on voulait se débarrasser de M.B... mais y aurait-il autre chose?
D'après moi elle va écrire un livre ou quelqu'un va l'écrire pour elle,
Avec tout ce qu'on découvre sur elle presque chaque jour sa vie pourrait peut-être être en danger ce que je lui souhaite vraiment pas mais à sa place j'aurais vraiment peur...
D'après moi elle va écrire un livre ou quelqu'un va l'écrire pour elle,
Avec tout ce qu'on découvre sur elle presque chaque jour sa vie pourrait peut-être être en danger ce que je lui souhaite vraiment pas mais à sa place j'aurais vraiment peur...
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
de Charles Dickens
Je ne sais pas mais je trouve que Madame en fait trop.Elle pourrait restée Low-Profil un peu plus.
Avant l'histoire de Maxime Bernier personne ne la connaissait sauf les Hells...
Elle a un parcours particulier et devrait être reconnaissante d'être encore en vie.Il y a encore de la place à St-Ignace de Loyola au bout du quai!
Madame aime les criminels,bon c'est son affaire mais habituellement on ne le dit pas partout comme présentement.
Pour le système d'alarme je ne me fierais pas trop la-dessus...
Dommage mais elle vie sur du temps emprumpté...
Avant l'histoire de Maxime Bernier personne ne la connaissait sauf les Hells...
Elle a un parcours particulier et devrait être reconnaissante d'être encore en vie.Il y a encore de la place à St-Ignace de Loyola au bout du quai!
Madame aime les criminels,bon c'est son affaire mais habituellement on ne le dit pas partout comme présentement.
Pour le système d'alarme je ne me fierais pas trop la-dessus...
Dommage mais elle vie sur du temps emprumpté...
Cyberpresse
Le vendredi 06 juin 2008
Quel est l’avenir de Julie Couillard ? TQS !
Vous êtes les frères Rémillard, le CRTC vous oblige à faire de l’information, mais vous voulez en faire à votre façon. Que faites-vous ? Vous engagez Julie Couillard en tant que correspondante parlementaire à Ottawa. Elle devient la Patrice Roy de TQS. Miss Colline.
Ou encore, vous ramenez Surprise, sur prise, l’un des plus gros succès de votre antenne, et Julie en devient la présentatrice.
Une chose est sûre, les Rémillard doivent aller luncher avec Julie, bientôt.
( On dirait que TQS veut faire dans les scandales)
Ils ont trouvé la fille qui leur faut...
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
de Charles Dickens
L'opposition veut des réponses
Les dernières révélations sur Julie Couillard continuent de soulever des questions aux Communes.
Les partis d'opposition exigent des explications sur les mesures prises par le gouvernement pour préserver la sécurité nationale.
Hier, le quotidien torontois The Globe and Mail révélait que la GRC avait l'ex-petite amie de Maxime Bernier à l'oeil dès 1998, 10 ans avant sa rencontre avec l'ex-ministre, dans le cadre d'une enquête antidrogue.
Le critique libéral en matière d'affaires étrangères, Bob Rae, juge peu crédible la version du gouvernement, qui dit ne pas avoir été informé du passé trouble de Julie Couillard.
L'opposition espère obtenir des réponses dès la semaine prochaine, au comité parlementaire de la sécurité publique, où vont comparaître des agents de la GRC.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/national/ ... 82701.html
Les dernières révélations sur Julie Couillard continuent de soulever des questions aux Communes.
Les partis d'opposition exigent des explications sur les mesures prises par le gouvernement pour préserver la sécurité nationale.
Hier, le quotidien torontois The Globe and Mail révélait que la GRC avait l'ex-petite amie de Maxime Bernier à l'oeil dès 1998, 10 ans avant sa rencontre avec l'ex-ministre, dans le cadre d'une enquête antidrogue.
Le critique libéral en matière d'affaires étrangères, Bob Rae, juge peu crédible la version du gouvernement, qui dit ne pas avoir été informé du passé trouble de Julie Couillard.
L'opposition espère obtenir des réponses dès la semaine prochaine, au comité parlementaire de la sécurité publique, où vont comparaître des agents de la GRC.
http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/national/ ... 82701.html
Le plus comique c'est que son livre sera tordu et pas tout à fait exact.
Pour ne jamais s'exposer à aucune poursuite, Quebecor ne nommera jamais la personne directement mais se contentera de dire «le ministre»
Et ce livre écorchera et salira plusieurs personnes innocentes gratis
Ça me dégoute au plus haut point ces façons de faire de l'argent
Pour ne jamais s'exposer à aucune poursuite, Quebecor ne nommera jamais la personne directement mais se contentera de dire «le ministre»
Et ce livre écorchera et salira plusieurs personnes innocentes gratis
Ça me dégoute au plus haut point ces façons de faire de l'argent
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Tant qu'à y être. Et si Julie Couillard était un agent de la CIA ou du FBI ? Et que les américains voulaient avoir de l'emprise sur le ministre des affaires extérieures du Canada ?
Tant qu'à ce que Jolie Couillard dise des niaiseries dans un futur livre publié par Quebecor, allons-y nous-même de nos élucubrations farfelues avant sa parution ! --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-06-07 21:23:11--
Tant qu'à ce que Jolie Couillard dise des niaiseries dans un futur livre publié par Quebecor, allons-y nous-même de nos élucubrations farfelues avant sa parution ! --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-06-07 21:23:11--
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
LCN
Mise à jour : 08/06/2008 07:35
Affaire Bernier-Couillard
Julie Couillard aurait voulu faire de la politique
Julie Couillard aurait voulu jouer un rôle important au sein du Parti conservateur après avoir commencé à fréquenter l'ancien ministre des Affaires étrangères, Maxime Bernier, au printemps 2007.
Selon ce que rapporte le quotidien La Presse, elle aurait été pressentie comme candidate aux prochaines élections fédérales par des organisateurs québécois du parti.
Julie Couillard a versé 1000 dollars à l'association conservatrice de Châteauguay-Saint-Constant, en Montérégie, en mars 2007. La femme aurait aussi participé à une campagne de financement pour le parti dans cette circonscrïption actuellement détenue par le Bloc québécois.
Rappelons que Julie Couillard a fréquenté quatre individus liés au monde interlope avant de fréquenter Maxime Bernier.
On peut bien dire qu'elle a pas froid aux yeux cette femme
Mise à jour : 08/06/2008 07:35
Affaire Bernier-Couillard
Julie Couillard aurait voulu faire de la politique
Julie Couillard aurait voulu jouer un rôle important au sein du Parti conservateur après avoir commencé à fréquenter l'ancien ministre des Affaires étrangères, Maxime Bernier, au printemps 2007.
Selon ce que rapporte le quotidien La Presse, elle aurait été pressentie comme candidate aux prochaines élections fédérales par des organisateurs québécois du parti.
Julie Couillard a versé 1000 dollars à l'association conservatrice de Châteauguay-Saint-Constant, en Montérégie, en mars 2007. La femme aurait aussi participé à une campagne de financement pour le parti dans cette circonscrïption actuellement détenue par le Bloc québécois.
Rappelons que Julie Couillard a fréquenté quatre individus liés au monde interlope avant de fréquenter Maxime Bernier.
On peut bien dire qu'elle a pas froid aux yeux cette femme
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
de Charles Dickens
Echoïste a écritJe crois sincèrement que Mme Couillard va faire une Myriam Bédard d'elle...
Elle va dire des choses qui vont se retournés contre elle.
Il ne faut pas tout prendre pour du cash...Mme à vu le train passé et elle embarquée à bord.Je connais assez le millieu des motards pour la devinée dans ses intentions.Elle vieillit et rendu à son âge on songe au politicien...Personne n'a encore trouvé ses sources de revenus.Jolie maison et Audi A-4 dans la cour...c'est bien non?
Certe,elle est encore jolie mais quand elle ouvre la bouche c'est des crapauds qui sortent.Son langage l'à ramène d'où elle vient.
Que fait elle avec Luc Lavoie "Le vice-président exécutif du groupe Quebecor"??? C'est quand même pas rien...
Est-ce qu'elle le fréquente? D'après les articles postés ici, il semble que ce Lavoie se présente souvent lors d'entrevue pour faire du contrôle d'information.
Mais savez-vous si ces deux ont un lien personnel?
En tout cas, la Couillarde = hypocrite, menteuse, girouette assoiffée de pouvoir ....etc etc etc etc
Elle va dire des choses qui vont se retournés contre elle.
Il ne faut pas tout prendre pour du cash...Mme à vu le train passé et elle embarquée à bord.Je connais assez le millieu des motards pour la devinée dans ses intentions.Elle vieillit et rendu à son âge on songe au politicien...Personne n'a encore trouvé ses sources de revenus.Jolie maison et Audi A-4 dans la cour...c'est bien non?
Certe,elle est encore jolie mais quand elle ouvre la bouche c'est des crapauds qui sortent.Son langage l'à ramène d'où elle vient.
Que fait elle avec Luc Lavoie "Le vice-président exécutif du groupe Quebecor"??? C'est quand même pas rien...
Est-ce qu'elle le fréquente? D'après les articles postés ici, il semble que ce Lavoie se présente souvent lors d'entrevue pour faire du contrôle d'information.
Mais savez-vous si ces deux ont un lien personnel?
En tout cas, la Couillarde = hypocrite, menteuse, girouette assoiffée de pouvoir ....etc etc etc etc
Echoïste a écritDes liens personnels,aucune idée.M.Lavoie représente TVA donc sûrement pour voir à ce que Mme ne dise pas trop de chose qui risquerait des poursuites.
Des choses? Contre TVA? Contre le gouvernement? Je ne comprends pas. J'aimerais bien qu'il justifie sa présence. Pour le moment, je suis porté à me demander ce qu'il faisait là.
Des choses? Contre TVA? Contre le gouvernement? Je ne comprends pas. J'aimerais bien qu'il justifie sa présence. Pour le moment, je suis porté à me demander ce qu'il faisait là.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Le mercredi 11 juin 2008
Affaire Couillard: Une autre démission chez les conservateurs
Joël-Denis Bellavance et André Noël
La Presse
Une enquête menée par La Presse sur un trafic d’influence impliquant Julie Couillard a conduit, hier, à une deuxième démission en trois semaines dans le gouvernement Harper.
Cette fois, c’est le conseiller politique de Michael Fortier, Bernard Côté, un autre ancien amant de Mme Couillard, qui est tombé. La Presse avait auparavant découvert que Julie Couillard a utilisé ses relations amoureuses avec M. Côté et avec l’ex-ministre Maxime Bernier pour tenter d’influencer le gouvernement en faveur d’un promoteur immobilier, le Groupe Kevlar inc., auquel elle est affiliée.
M. Fortier, ministre des Travaux publics, a convoqué son conseiller politique, Bernard Côté, ancien vice-président du Parti conservateur, lorsque La Presse a interrogé le ministre à la suite de son enquête journalistique, hier. M. Côté a reconnu les faits et a offert sa démission, que M. Fortier a acceptée. C’est la deuxième démission en ligne dans le gouvernement conservateur de Stephen Harper, provoquée encore une fois par les liaisons sulfureuses de Julie Couillard.
«Cette question a été portée à mon attention aujourd’hui seulement», a indiqué M. Fortier dans un courriel. M. Côté avait omis de m’informer que lorsqu’il entretenait une relation intime avec Julie Couillard, elle tentait d’obtenir un contrat du gouvernement pour Kevlar et qu’elle avait soulevé ce dossier avec M. Côté.
«M. Côté aurait dû éviter de traiter de ce dossier, ce qu’il n’a malheureusement pas fait. M. Côté m’a offert sa démission et je l’ai acceptée. J’ai toujours insisté auprès de mon personnel politique qu’il divulgue tous les échanges avec des fournisseurs dans un contexte où ils font des requêtes pour des propositions.»
«Quand les Canadiens ont élu le gouvernement conservateur en 2006, ils s’attendaient à plus d’imputabilité et de transparence à Ottawa, en particulier au ministère des Travaux publics, et c’est ce que je m’emploie à faire», a ajouté M. Fortier, qui affirme ne pas connaître Mme Couillard.
Il a été impossible, hier, de parler à Mme Couillard et à M. Bernier, qui a lui-même présenté sa démission il y a deux semaines. Le président du Groupe Kevlar Inc., René Bellerive, a répété ce qu’il avait déjà indiqué dans un communiqué.
«La seule chose que Mme Couillard a, elle a sa licence (d’agent immobilier) qui est accrochée à ma licence de courtier (immobilier), a-t-il dit, hier. Elle n’a pas de bureau dans mon bureau, elle n’a jamais travaillé dans mon bureau, c’est pour ça que les employés ne la connaissent pas. On lui a seulement fait la faveur d’accrocher sa licence à ma licence de courtier et on n’a fait aucune transaction avec elle.»
Le Groupe Kevlar, qui a un lien d’affaires sur le Stationnement Dorchester dans le quartier Saint-Roch à Québec, propose ce terrain pour construire un édifice regroupant les 700 employés fédéraux de la ville
Photo Jean-Marie Villeneuve, Le Soleil
En effet, aucune transaction n’a été conclue, mais Mme Couillard est bel et bien intervenue pour Kevlar auprès de Maxime Bernier et de Bernard Côté, a appris La Presse. Voici la chronologie :
Décembre 2006: Michael Fortier annonce que son ministère, Travaux Publics Canada, est à la recherche d’un «édifice-phare» situé «à l’intérieur du centre-ville de Québec» pour reloger les quelque 700 fonctionnaires fédéraux qui travaillent dans l’ancienne capitale.
7 avril 2007: après avoir suivi un cours de quelque 240 heures, Julie Couillard obtient son premier certificat d’agent immobilier et s’affilie auprès d’Investissements immobiliers Kevlar inc., qui fait partie du Groupe Kevlar. Hier encore, elle était un des trois agents immobiliers affiliés à Kevlar, avec le président du groupe et une autre personne.
17 avril 2007 : Mme Couillard assiste à un cocktail de financement de l’association conservatrice de la circonscrïption de Châteauguay-Saint-Constant, à Mercier, au sud de Montréal. Le président de l’association, André Turcot, a dit au Devoir que Mme Couillard lui avait donné auparavant sa carte de chez Kevlar. Mme Couillard a signé un chèque de 1000 $ pour le Parti conservateur, a révélé La Presse dimanche. Michael Fortier était présent au cocktail, mais pas Maxime Bernier, alors ministre de l’Industrie.
Fin avril 2007 : Mme Couillard entreprend une relation amoureuse avec Maxime Bernier. Le groupe Kevlar propose au gouvernement fédéral de construire son édifice de Québec sur les terrains d’un grand stationnement, dans le quartier Saint-Roch. Il s’agit du Stationnement Dorchester, que Kevlar loue à une entreprise de Laval qui lui est liée.
Mme Couillard fait pression sur M. Bernier pour qu’il influence le gouvernement en faveur de la proposition de Kevlar. Elle lui fait valoir qu’elle pourrait empocher une somme d’argent intéressante si la proposition de Kevlar était retenue. À ces pressions, M. Bernier oppose une fin de non-recevoir catégorique, selon d’anciens proches collaborateurs qui se sont confiés à La Presse sous le couvert de l’anonymat. «Maxime Bernier a toujours eu une seule préoccupation en tête lorsqu’il était ministre. Il voulait protéger l’intérêt des contribuables», a affirmé un ancien membre de son entourage.
Août 2007: répondant aux demandes de la Ville de Québec, Michael Fortier élargit le périmètre où pourrait être construit son nouvel édifice fédéral, qui aura quelque 200 000 pieds carrés. Il n’est plus question de limiter l’appel d’offres au centre-ville. Le périmètre englobe désormais un quartier, le secteur d’Estimauville, que la Ville de Québec veut revitaliser. C’est par ailleurs en août 2007 que Mme Couillard accompagne Maxime Bernier à la résidence de la gouverneure générale pour sa prestation de serment comme ministre des Affaires étrangères.
10 septembre 2007: Julie Couillard et Bernard Côté, le conseiller politique de Michael Fortier, sont aperçus ensemble durant un tournoi de golf organisé par le Parti conservateur au club de golf Atlantide, à Notre-Dame-de-l’Île-Perrot, à l’ouest de Montréal. Quelque 300 militants conservateurs participent à l’événement. Le ministre Fortier est le président d’honneur. Trois sources conservatrices présentes au tournoi ont confirmé à La Presse avoir vu M. Côté en compagnie de Mme Couillard. On ignore quand Julie Couillard et Bernard Côté se sont fréquentés de façon intime. Une chose est sûre, à cette époque, les relations entre Julie Couillard et Maxime Bernier ont commencé à se détériorer.
Décembre 2007 : le conseil municipal de la Ville de Québec adopte une résolution pour offrir un terrain qui lui appartient dans le secteur d’Estimauville aux promoteurs qui seraient intéressés à y construire l’édifice fédéral. Le prix demandé: 350 000 $. Les promoteurs ont jusqu’au 15 du mois pour manifester leur intérêt. Kevlar fera partie des promoteurs intéressés, pour son stationnement dans le quartier Saint-Roch, évalué à 1,5 million de dollars.
Janvier 2008: Julie Couillard renouvelle son certificat d’agent immobilier, toujours auprès de Kevlar. Avril 2008: Maxime Bernier oublie des documents secrets chez Mme Couillard, à Laval. Mai 2008 : il démissionne. Hier, c’était au tour de Bernard Côté. La date limite pour répondre à l’appel d’offres pour l’édifice fédéral est le 20 juin prochain, dans neuf jours.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080 ... ACTUALITES
Affaire Couillard: Une autre démission chez les conservateurs
Joël-Denis Bellavance et André Noël
La Presse
Une enquête menée par La Presse sur un trafic d’influence impliquant Julie Couillard a conduit, hier, à une deuxième démission en trois semaines dans le gouvernement Harper.
Cette fois, c’est le conseiller politique de Michael Fortier, Bernard Côté, un autre ancien amant de Mme Couillard, qui est tombé. La Presse avait auparavant découvert que Julie Couillard a utilisé ses relations amoureuses avec M. Côté et avec l’ex-ministre Maxime Bernier pour tenter d’influencer le gouvernement en faveur d’un promoteur immobilier, le Groupe Kevlar inc., auquel elle est affiliée.
M. Fortier, ministre des Travaux publics, a convoqué son conseiller politique, Bernard Côté, ancien vice-président du Parti conservateur, lorsque La Presse a interrogé le ministre à la suite de son enquête journalistique, hier. M. Côté a reconnu les faits et a offert sa démission, que M. Fortier a acceptée. C’est la deuxième démission en ligne dans le gouvernement conservateur de Stephen Harper, provoquée encore une fois par les liaisons sulfureuses de Julie Couillard.
«Cette question a été portée à mon attention aujourd’hui seulement», a indiqué M. Fortier dans un courriel. M. Côté avait omis de m’informer que lorsqu’il entretenait une relation intime avec Julie Couillard, elle tentait d’obtenir un contrat du gouvernement pour Kevlar et qu’elle avait soulevé ce dossier avec M. Côté.
«M. Côté aurait dû éviter de traiter de ce dossier, ce qu’il n’a malheureusement pas fait. M. Côté m’a offert sa démission et je l’ai acceptée. J’ai toujours insisté auprès de mon personnel politique qu’il divulgue tous les échanges avec des fournisseurs dans un contexte où ils font des requêtes pour des propositions.»
«Quand les Canadiens ont élu le gouvernement conservateur en 2006, ils s’attendaient à plus d’imputabilité et de transparence à Ottawa, en particulier au ministère des Travaux publics, et c’est ce que je m’emploie à faire», a ajouté M. Fortier, qui affirme ne pas connaître Mme Couillard.
Il a été impossible, hier, de parler à Mme Couillard et à M. Bernier, qui a lui-même présenté sa démission il y a deux semaines. Le président du Groupe Kevlar Inc., René Bellerive, a répété ce qu’il avait déjà indiqué dans un communiqué.
«La seule chose que Mme Couillard a, elle a sa licence (d’agent immobilier) qui est accrochée à ma licence de courtier (immobilier), a-t-il dit, hier. Elle n’a pas de bureau dans mon bureau, elle n’a jamais travaillé dans mon bureau, c’est pour ça que les employés ne la connaissent pas. On lui a seulement fait la faveur d’accrocher sa licence à ma licence de courtier et on n’a fait aucune transaction avec elle.»
Le Groupe Kevlar, qui a un lien d’affaires sur le Stationnement Dorchester dans le quartier Saint-Roch à Québec, propose ce terrain pour construire un édifice regroupant les 700 employés fédéraux de la ville
Photo Jean-Marie Villeneuve, Le Soleil
En effet, aucune transaction n’a été conclue, mais Mme Couillard est bel et bien intervenue pour Kevlar auprès de Maxime Bernier et de Bernard Côté, a appris La Presse. Voici la chronologie :
Décembre 2006: Michael Fortier annonce que son ministère, Travaux Publics Canada, est à la recherche d’un «édifice-phare» situé «à l’intérieur du centre-ville de Québec» pour reloger les quelque 700 fonctionnaires fédéraux qui travaillent dans l’ancienne capitale.
7 avril 2007: après avoir suivi un cours de quelque 240 heures, Julie Couillard obtient son premier certificat d’agent immobilier et s’affilie auprès d’Investissements immobiliers Kevlar inc., qui fait partie du Groupe Kevlar. Hier encore, elle était un des trois agents immobiliers affiliés à Kevlar, avec le président du groupe et une autre personne.
17 avril 2007 : Mme Couillard assiste à un cocktail de financement de l’association conservatrice de la circonscrïption de Châteauguay-Saint-Constant, à Mercier, au sud de Montréal. Le président de l’association, André Turcot, a dit au Devoir que Mme Couillard lui avait donné auparavant sa carte de chez Kevlar. Mme Couillard a signé un chèque de 1000 $ pour le Parti conservateur, a révélé La Presse dimanche. Michael Fortier était présent au cocktail, mais pas Maxime Bernier, alors ministre de l’Industrie.
Fin avril 2007 : Mme Couillard entreprend une relation amoureuse avec Maxime Bernier. Le groupe Kevlar propose au gouvernement fédéral de construire son édifice de Québec sur les terrains d’un grand stationnement, dans le quartier Saint-Roch. Il s’agit du Stationnement Dorchester, que Kevlar loue à une entreprise de Laval qui lui est liée.
Mme Couillard fait pression sur M. Bernier pour qu’il influence le gouvernement en faveur de la proposition de Kevlar. Elle lui fait valoir qu’elle pourrait empocher une somme d’argent intéressante si la proposition de Kevlar était retenue. À ces pressions, M. Bernier oppose une fin de non-recevoir catégorique, selon d’anciens proches collaborateurs qui se sont confiés à La Presse sous le couvert de l’anonymat. «Maxime Bernier a toujours eu une seule préoccupation en tête lorsqu’il était ministre. Il voulait protéger l’intérêt des contribuables», a affirmé un ancien membre de son entourage.
Août 2007: répondant aux demandes de la Ville de Québec, Michael Fortier élargit le périmètre où pourrait être construit son nouvel édifice fédéral, qui aura quelque 200 000 pieds carrés. Il n’est plus question de limiter l’appel d’offres au centre-ville. Le périmètre englobe désormais un quartier, le secteur d’Estimauville, que la Ville de Québec veut revitaliser. C’est par ailleurs en août 2007 que Mme Couillard accompagne Maxime Bernier à la résidence de la gouverneure générale pour sa prestation de serment comme ministre des Affaires étrangères.
10 septembre 2007: Julie Couillard et Bernard Côté, le conseiller politique de Michael Fortier, sont aperçus ensemble durant un tournoi de golf organisé par le Parti conservateur au club de golf Atlantide, à Notre-Dame-de-l’Île-Perrot, à l’ouest de Montréal. Quelque 300 militants conservateurs participent à l’événement. Le ministre Fortier est le président d’honneur. Trois sources conservatrices présentes au tournoi ont confirmé à La Presse avoir vu M. Côté en compagnie de Mme Couillard. On ignore quand Julie Couillard et Bernard Côté se sont fréquentés de façon intime. Une chose est sûre, à cette époque, les relations entre Julie Couillard et Maxime Bernier ont commencé à se détériorer.
Décembre 2007 : le conseil municipal de la Ville de Québec adopte une résolution pour offrir un terrain qui lui appartient dans le secteur d’Estimauville aux promoteurs qui seraient intéressés à y construire l’édifice fédéral. Le prix demandé: 350 000 $. Les promoteurs ont jusqu’au 15 du mois pour manifester leur intérêt. Kevlar fera partie des promoteurs intéressés, pour son stationnement dans le quartier Saint-Roch, évalué à 1,5 million de dollars.
Janvier 2008: Julie Couillard renouvelle son certificat d’agent immobilier, toujours auprès de Kevlar. Avril 2008: Maxime Bernier oublie des documents secrets chez Mme Couillard, à Laval. Mai 2008 : il démissionne. Hier, c’était au tour de Bernard Côté. La date limite pour répondre à l’appel d’offres pour l’édifice fédéral est le 20 juin prochain, dans neuf jours.
http://www.cyberpresse.ca/article/20080 ... ACTUALITES
Lison de Gatineau
Elle était prête à tout on dirait pour parvenir à ses fins
ouffffffffffff elle a vraiment pas froid aux yeux cette fille
Elle fait même ce qu'elle veut des hommes et je crois qu'elle a pas fini de nous surprendre....
ouffffffffffff elle a vraiment pas froid aux yeux cette fille
Elle fait même ce qu'elle veut des hommes et je crois qu'elle a pas fini de nous surprendre....
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
de Charles Dickens
Dire aussi qu'elle a fait l'entrevue pour *rétablir son nom* hahahah
elle aurait été mieux de se cacher!
Et son chèque de 1 000 au parti conservateur était sans provision en plus mouahahahah
Voici un texte intéressant :
Hélène Buzzetti , Alec Castonguay
Édition du mardi 10 juin 2008
Mots clés : Maxime Bernier, Julie Couillard, Ministère, Gouvernement, Canada (Pays)
Le voile se lève sur la trajectoire de l'ex-compagne du ministre déchu Maxime Bernier
Ottawa -- Julie Couillard a fait son entrée dans la sphère politique conservatrice au printemps 2007, avant même sa rencontre avec le ministre -- aujourd'hui déchu -- Maxime Bernier, parce qu'elle souhaitait rencontrer des gens influents dans le milieu des affaires et au gouvernement. Mme Couillard a donc fait plus d'une tentative pour percer les cercles du parti au pouvoir.
Au moment où les audiences du comité de la Sécurité publique et nationale de la Chambre des communes sur l'affaire Bernier-Couillard démarrent, beaucoup s'interrogent sur la trajectoire suivie par Julie Couillard, une femme au passé trouble ayant à la fois été au bras d'un membre en règle d'un club de motards criminels et à celui du ministre canadien des Affaires étrangères. Le voile se lève un peu plus sur son arrivée dans le monde de la politique fédérale.
Selon les informations colligées par Le Devoir au cours des derniers jours, Mme Couillard a été vue pour la première fois dans un événement officiel du Parti conservateur le 17 avril 2007 dans la ville de Mercier, sur la rive sud dans la région de Montréal, dans la Salle du Boisé. Même si elle réside à Laval, elle a participé à un cocktail de financement très privé de l'association conservatrice de la circonscrïption de Châteauguay-Saint-Constant.
Il s'agissait d'un événement à deux prix. La trentaine de personnes qui ont payé 1000 $ le billet pour ce cocktail dînatoire sont arrivées plus tôt et ont eu le privilège de fraterniser en petits groupes intimes avec un ministre: le sénateur responsable des Travaux publics, Michael Fortier. Julie Couillard était du lot. Le ministre Maxime Bernier n'était toutefois pas présent. Tout le monde a pu serrer la main de tous et bavarder à son aise, ce qui constitue l'attrait de ce genre d'événement.
Il y avait aussi le maire de Châteauguay, ainsi que d'autres politiciens régionaux et des gens d'affaires de la région. Les autres donateurs moins généreux sont arrivés plus tard.
De l'avis de plusieurs organisateurs conservateurs québécois, c'était la première fois que Mme Couillard était vue dans un événement officiel du parti au pouvoir. C'est le président de l'association de circonscrïption, André Turcot, qui lui a vendu son billet. M. Turcot connaissait Mme Couillard, car elle avait été la conjointe d'un de ses anciens clients, qu'il ne désire pas nommer.
Il raconte que Mme Couillard l'a reconnu dans un restaurant et lui a demandé ce qu'il faisait désormais. «Je lui ai dit que je n'étais plus en radio, que j'étais en politique et que nous avions un événement pour une levée de fonds qui s'en venait. Elle m'a demandé s'il y aurait des gens d'affaires et des gens importants et je lui ai répondu que oui. Elle m'a donné sa carte d'affaires de chez Kevlar parce que ça l'intéresserait peut-être pour se faire des contacts. Elle cherchait des clients pour des marchés en immobilier. C'est comme ça que je lui ai vendu un billet. Il n'y a rien de sorcier.»
Fait à noter: Investissements Kevlar a diffusé un communiqué de presse il y a deux semaines affirmant que «Julie Couillard n'est pas une employée d'Investissements immobiliers Kevlar et ne l'a jamais été».
Pour la petite histoire, Julie Couillard a laissé un souvenir indélébile aux organisateurs de l'événement. Non pas parce que sa tenue était déplacée, mais plutôt parce que son chèque de 1000 $... était sans provision. On raconte dans les cercles conservateurs que lorsqu'elle a été vue plus tard au bras de Maxime Bernier à Rideau Hall, le réflexe a été de dire: «Hé! c'est la fille dont le chèque a rebondi!»
Le candidat conservateur de Châteauguay-Saint-Constant, Pierre-Paul Routhier, n'a pas voulu confirmer si Mme Couillard a été contactée pour fournir un autre chèque, mais il soutient que son nom apparaîtra en bonne et due forme sur la liste des donateurs du Parti conservateur pour un montant de 1000 $. L'association de circonscrïption a dû demander à Élections Canada un délai de 30 jours supplémentaires pour remettre son rapport financier de l'année 2007, ce qui explique que le don n'apparaisse pas encore dans les registres publics.
reste de l'article:
http://www.ledevoir.com/2008/06/10/193416.html
elle aurait été mieux de se cacher!
Et son chèque de 1 000 au parti conservateur était sans provision en plus mouahahahah
Voici un texte intéressant :
Hélène Buzzetti , Alec Castonguay
Édition du mardi 10 juin 2008
Mots clés : Maxime Bernier, Julie Couillard, Ministère, Gouvernement, Canada (Pays)
Le voile se lève sur la trajectoire de l'ex-compagne du ministre déchu Maxime Bernier
Ottawa -- Julie Couillard a fait son entrée dans la sphère politique conservatrice au printemps 2007, avant même sa rencontre avec le ministre -- aujourd'hui déchu -- Maxime Bernier, parce qu'elle souhaitait rencontrer des gens influents dans le milieu des affaires et au gouvernement. Mme Couillard a donc fait plus d'une tentative pour percer les cercles du parti au pouvoir.
Au moment où les audiences du comité de la Sécurité publique et nationale de la Chambre des communes sur l'affaire Bernier-Couillard démarrent, beaucoup s'interrogent sur la trajectoire suivie par Julie Couillard, une femme au passé trouble ayant à la fois été au bras d'un membre en règle d'un club de motards criminels et à celui du ministre canadien des Affaires étrangères. Le voile se lève un peu plus sur son arrivée dans le monde de la politique fédérale.
Selon les informations colligées par Le Devoir au cours des derniers jours, Mme Couillard a été vue pour la première fois dans un événement officiel du Parti conservateur le 17 avril 2007 dans la ville de Mercier, sur la rive sud dans la région de Montréal, dans la Salle du Boisé. Même si elle réside à Laval, elle a participé à un cocktail de financement très privé de l'association conservatrice de la circonscrïption de Châteauguay-Saint-Constant.
Il s'agissait d'un événement à deux prix. La trentaine de personnes qui ont payé 1000 $ le billet pour ce cocktail dînatoire sont arrivées plus tôt et ont eu le privilège de fraterniser en petits groupes intimes avec un ministre: le sénateur responsable des Travaux publics, Michael Fortier. Julie Couillard était du lot. Le ministre Maxime Bernier n'était toutefois pas présent. Tout le monde a pu serrer la main de tous et bavarder à son aise, ce qui constitue l'attrait de ce genre d'événement.
Il y avait aussi le maire de Châteauguay, ainsi que d'autres politiciens régionaux et des gens d'affaires de la région. Les autres donateurs moins généreux sont arrivés plus tard.
De l'avis de plusieurs organisateurs conservateurs québécois, c'était la première fois que Mme Couillard était vue dans un événement officiel du parti au pouvoir. C'est le président de l'association de circonscrïption, André Turcot, qui lui a vendu son billet. M. Turcot connaissait Mme Couillard, car elle avait été la conjointe d'un de ses anciens clients, qu'il ne désire pas nommer.
Il raconte que Mme Couillard l'a reconnu dans un restaurant et lui a demandé ce qu'il faisait désormais. «Je lui ai dit que je n'étais plus en radio, que j'étais en politique et que nous avions un événement pour une levée de fonds qui s'en venait. Elle m'a demandé s'il y aurait des gens d'affaires et des gens importants et je lui ai répondu que oui. Elle m'a donné sa carte d'affaires de chez Kevlar parce que ça l'intéresserait peut-être pour se faire des contacts. Elle cherchait des clients pour des marchés en immobilier. C'est comme ça que je lui ai vendu un billet. Il n'y a rien de sorcier.»
Fait à noter: Investissements Kevlar a diffusé un communiqué de presse il y a deux semaines affirmant que «Julie Couillard n'est pas une employée d'Investissements immobiliers Kevlar et ne l'a jamais été».
Pour la petite histoire, Julie Couillard a laissé un souvenir indélébile aux organisateurs de l'événement. Non pas parce que sa tenue était déplacée, mais plutôt parce que son chèque de 1000 $... était sans provision. On raconte dans les cercles conservateurs que lorsqu'elle a été vue plus tard au bras de Maxime Bernier à Rideau Hall, le réflexe a été de dire: «Hé! c'est la fille dont le chèque a rebondi!»
Le candidat conservateur de Châteauguay-Saint-Constant, Pierre-Paul Routhier, n'a pas voulu confirmer si Mme Couillard a été contactée pour fournir un autre chèque, mais il soutient que son nom apparaîtra en bonne et due forme sur la liste des donateurs du Parti conservateur pour un montant de 1000 $. L'association de circonscrïption a dû demander à Élections Canada un délai de 30 jours supplémentaires pour remettre son rapport financier de l'année 2007, ce qui explique que le don n'apparaisse pas encore dans les registres publics.
reste de l'article:
http://www.ledevoir.com/2008/06/10/193416.html
Mise à jour : 12/06/2008 08:49
Affaire Bernier-Couillard
La première rencontre n'était pas le fruit du hasard
La première rencontre entre Julie Couillard et Maxime Bernier n'était pas le fruit du hasard.
La Presse rapporte ce matin qu'elle a été organisée par le groupe immobilier Kevlar, avec qui Julie Couillard, devenue agente d'immeuble, s'était affiliée. Ce groupe immobiliser voulait décrocher un contrat de construction pour un édifice fédéral à Québec.
Informé du célibat de Maxime Bernier, un des dirigeants de Kevlar, Philippe Morin, lui a présenté Julie Couillard, le 26 avril 2007, au chic restaurant-bar Cavalli, de la rue Peel, à Montréal.
Le quotidien rapporte que pendant leur liaison, Mme Couillard aurait fait pression sur le ministre Bernier pour qu'il incite le gouvernement conservateur à choisir la proposition de Kevlar.
Rappelons que sur nos ondes, il y a deux semaines, madame Couillard avait révélé quelques détails au sujet de sa première rencontre avec Maxime Bernier.
On peut dire que Maxime Bernier s'est fait baisé...
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
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topazebleu
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1613
- Inscription : ven. mars 03, 2006 1:00 am
Pour moi, l'affaire Couillard-Bernier c'est comme un épisode de DALLAS. JR connaissait quelques femmes avec qui il faisait affaire pour mettre ses adversaires dans la marde ou encore pour obtenir des informations confidentielles ou un contrat...
Y'a-t-il y JR derrière Julie Couillard?
Y'a-t-il y JR derrière Julie Couillard?
J'haïs l'hiver...
(On peut dire que Maxime Bernier s'est fait baisé...)
On va de découvertes en découvertes....
J'espère que c'est pas toute la chambre des communes qu'y va y passer...d'ou le nom...
sinon on va avoir encore des élections
On va de découvertes en découvertes....
J'espère que c'est pas toute la chambre des communes qu'y va y passer...d'ou le nom...
sinon on va avoir encore des élections
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
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Maribelle a écrit(On peut dire que Maxime Bernier s'est fait baisé...)
On va de découvertes en découvertes....
J'espère que c'est pas toute la chambre des communes qu'y va y passer...d'ou le nom...
sinon on va avoir encore des élections
Je lisais vite et j'ai lu érection
On va de découvertes en découvertes....
J'espère que c'est pas toute la chambre des communes qu'y va y passer...d'ou le nom...
sinon on va avoir encore des élections
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[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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