Comment reconnaître un homosexuel (sans son disque de Dalida)? (étude)
Comment reconnaître un homosexuel (sans son disque de Dalida)?
*
*
*
*
*
*
*
*
*
Par Guillemette Faure | Rue89 | 28/06/2008 | 14H09
Aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, des chercheurs travaillent à identifier des types de caractéristiques communes aux gays.
A la Gay Pride, Paris 1995 (Meyer).
Vous pensiez qu’un homosexuel se reconnaissait à sa collection de disques de Dalida et à son goût pour les comédies musicales? Aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, des chercheurs travaillent à identifier d'autres types de caractéristiques communes des gays (à part les relations sexuelles avec des gens de leur sexe, bien entendu).
Le point sur ces travaux, en s’appuyant sur ce qu’en ont publié le Los Angeles Times, New York Magazine, et Slate:
* Avoir beaucoup de grands frères
Plusieurs études (citées ici dans les compte-rendus de l’Académie américaine des sciences) montrent que les homosexuels ont plus de grands frères que les hétéros (la tendance reste valable qu’ils aient été ou non élevés avec leurs grands frères). Chaque grand frère en plus, selon les chercheurs canadiens Anthony Bogaert de l’université Brock d’Ontario et Ray Blanchard de l’université de Toronto, augmente la probabilité d’être gay de 33%. La corrélation ne s’observe pas avec des frères adoptés.
* Etre gaucher
En compilant les résultats de plusieurs études effectuées en Amérique du nord et en Europe totalisant plus de 23 000 personnes, des chercheurs ont estimé qu’être gaucher accroît la probabilité qu'on homme soit gay de 34%, et qu'une femme soit lesbienne de 90%. (Attention, ça veut dire qu’il y a plus de gays chez les gauchers, la majorité des gays restent droitiers).
* Avoir une implantation capillaire qui donne aux cheveux un mouvement dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (voir croquis ici).
Le mouvement d’implantation des cheveux va dans le sens des aiguilles d’une montre, sauf chez 8% des hétéros et 23% des gays.
(Réserve méthodologique: l’auteur de la recherche s’est appuyé sur des observations de deux plages, gay et, disons, "généralistes". D’autres chercheurs veulent la reconduire dans des conditions plus sérieuses.)
* Un gros zizi
Anthony Bogaert (le Canadien qui comptait les grands frères) de Brock University a utilisé les données récoltées par le sexologue Alfred Kinsey auprès de 5000 personnes entre 1930 et 1960. D’où il ressort que les zizis gays en érection mesurent en moyennne 16,5 cm et 12,6 de circonférence contre en moyenne 15,5 et 12,2 pour les hétéros. (Réserve méthodologique: Kinsley leur avait demandé de se mesurer et d’envoyer leurs résultats. Difficile de savoir si les résultats nous renseignent sur leur morphologie ou sur leur honnêteté.)
D’autres recherches ont été menées sur les empreintes digitales, la taille des doigts, le sens de l’orientation, les réactions à des odeurs…
Où cela nous mène t-il ?
Cela pourra sembler étrange, mais ces pistes d’études ont d’abord été bien accueillies par les mouvements gay américains (David France dans New York Magazine mentionne dès le début de son article qu’il est homosexuel). D’abord parce qu’elles marquaient une nouvelle direction après des années à tenter d’expliquer l’homosexualité par le conditionnement social (environnement masculin, place de la mère, etc…).
On trouve d’ailleurs une caricature de cette façon de voir tout-culturel dans un excellent épisode des Simpsons, où Homer inquiet de voir Bart porter une chemise hawaïenne et se lier d'amitié avec l’antiquaire, emmène son fils visiter une usine de métallurgie puis à la chasse ("tu me remercieras le soir de ta nuit de noces").
L'accent sur l'inné
Les recherches actuelles préfèrent écarter les facteurs cognitifs. Comme celles-ci menées par des chercheurs suédois et reprises dans les compte-rendus de l’académie américaine des sciences, montrant que les cerveaux des hommes homosexuels et des femmes hétérosexuelles présentent des similitudes.
Les travaux sur les caractéristiques innées, montrent que contrairement à ce que prêche une partie de la droite chrétienne, les gays ne sont pas des pêcheurs à remettre dans le droit chemin à coups de séminaires. Mais l'hypothèse d'origines biologiques ne signifie pas qu'elle soient exclusivement génétiques (si l'homosexualité était génétique, elle aurait disparu, remarque finement William Saletan dans Slate): les pistes privilégiées actuellement consistent à s’intéresser aux réactions hormonales et immunologiques -de toutes origines- dans l’utérus. (Ainsi pour l'influence du nombre de grands frères, la mère au fur et à mesure des grossesses ne fabriquerait plus le mêmes anticorps).
Inquiétudes
Le risque soulevé par l’avancement de ces recherches, explique David France, est que si on arrive effectivement à isoler des réactions hormonales dans l’utérus à l'origine de l'orientation sexuelle, on peut imaginer qu’on pourra, par des manipulations prénatales, chercher à "corriger" les grossesses. Des chercheurs d’Oregon ont déjà tenté (sans succès), par des injections hormonales, de voir s’ils pouvaient rendre des moutons gays… Pourrait-on imaginer, dans l’autre sens, que l’on s’assure de naissance d’hétérosexuels?
Albert Mohler, évangéliste américain, explique déjà que, s’il est opposé à l’avortement d’embryons dont on a identifié l’orientation sexuelle, en revanche,
"si une base biologique est découverte et si un test prénatal est ensuite développé, et si un traitement pour renverser l’orientation sexuelle est développé, nous encouragerons son usage parce que nous devons soutenir avec conviction le recours à tous les moyens appropriés permettant d’éviter la tentation sexuelle et les conséquences inévitables du péché".
Ça passe l'envie de chercher…
source rue 89 et cyberpresse
*
*
*
*
*
*
*
*
*
Par Guillemette Faure | Rue89 | 28/06/2008 | 14H09
Aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, des chercheurs travaillent à identifier des types de caractéristiques communes aux gays.
A la Gay Pride, Paris 1995 (Meyer).
Vous pensiez qu’un homosexuel se reconnaissait à sa collection de disques de Dalida et à son goût pour les comédies musicales? Aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, des chercheurs travaillent à identifier d'autres types de caractéristiques communes des gays (à part les relations sexuelles avec des gens de leur sexe, bien entendu).
Le point sur ces travaux, en s’appuyant sur ce qu’en ont publié le Los Angeles Times, New York Magazine, et Slate:
* Avoir beaucoup de grands frères
Plusieurs études (citées ici dans les compte-rendus de l’Académie américaine des sciences) montrent que les homosexuels ont plus de grands frères que les hétéros (la tendance reste valable qu’ils aient été ou non élevés avec leurs grands frères). Chaque grand frère en plus, selon les chercheurs canadiens Anthony Bogaert de l’université Brock d’Ontario et Ray Blanchard de l’université de Toronto, augmente la probabilité d’être gay de 33%. La corrélation ne s’observe pas avec des frères adoptés.
* Etre gaucher
En compilant les résultats de plusieurs études effectuées en Amérique du nord et en Europe totalisant plus de 23 000 personnes, des chercheurs ont estimé qu’être gaucher accroît la probabilité qu'on homme soit gay de 34%, et qu'une femme soit lesbienne de 90%. (Attention, ça veut dire qu’il y a plus de gays chez les gauchers, la majorité des gays restent droitiers).
* Avoir une implantation capillaire qui donne aux cheveux un mouvement dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (voir croquis ici).
Le mouvement d’implantation des cheveux va dans le sens des aiguilles d’une montre, sauf chez 8% des hétéros et 23% des gays.
(Réserve méthodologique: l’auteur de la recherche s’est appuyé sur des observations de deux plages, gay et, disons, "généralistes". D’autres chercheurs veulent la reconduire dans des conditions plus sérieuses.)
* Un gros zizi
Anthony Bogaert (le Canadien qui comptait les grands frères) de Brock University a utilisé les données récoltées par le sexologue Alfred Kinsey auprès de 5000 personnes entre 1930 et 1960. D’où il ressort que les zizis gays en érection mesurent en moyennne 16,5 cm et 12,6 de circonférence contre en moyenne 15,5 et 12,2 pour les hétéros. (Réserve méthodologique: Kinsley leur avait demandé de se mesurer et d’envoyer leurs résultats. Difficile de savoir si les résultats nous renseignent sur leur morphologie ou sur leur honnêteté.)
D’autres recherches ont été menées sur les empreintes digitales, la taille des doigts, le sens de l’orientation, les réactions à des odeurs…
Où cela nous mène t-il ?
Cela pourra sembler étrange, mais ces pistes d’études ont d’abord été bien accueillies par les mouvements gay américains (David France dans New York Magazine mentionne dès le début de son article qu’il est homosexuel). D’abord parce qu’elles marquaient une nouvelle direction après des années à tenter d’expliquer l’homosexualité par le conditionnement social (environnement masculin, place de la mère, etc…).
On trouve d’ailleurs une caricature de cette façon de voir tout-culturel dans un excellent épisode des Simpsons, où Homer inquiet de voir Bart porter une chemise hawaïenne et se lier d'amitié avec l’antiquaire, emmène son fils visiter une usine de métallurgie puis à la chasse ("tu me remercieras le soir de ta nuit de noces").
L'accent sur l'inné
Les recherches actuelles préfèrent écarter les facteurs cognitifs. Comme celles-ci menées par des chercheurs suédois et reprises dans les compte-rendus de l’académie américaine des sciences, montrant que les cerveaux des hommes homosexuels et des femmes hétérosexuelles présentent des similitudes.
Les travaux sur les caractéristiques innées, montrent que contrairement à ce que prêche une partie de la droite chrétienne, les gays ne sont pas des pêcheurs à remettre dans le droit chemin à coups de séminaires. Mais l'hypothèse d'origines biologiques ne signifie pas qu'elle soient exclusivement génétiques (si l'homosexualité était génétique, elle aurait disparu, remarque finement William Saletan dans Slate): les pistes privilégiées actuellement consistent à s’intéresser aux réactions hormonales et immunologiques -de toutes origines- dans l’utérus. (Ainsi pour l'influence du nombre de grands frères, la mère au fur et à mesure des grossesses ne fabriquerait plus le mêmes anticorps).
Inquiétudes
Le risque soulevé par l’avancement de ces recherches, explique David France, est que si on arrive effectivement à isoler des réactions hormonales dans l’utérus à l'origine de l'orientation sexuelle, on peut imaginer qu’on pourra, par des manipulations prénatales, chercher à "corriger" les grossesses. Des chercheurs d’Oregon ont déjà tenté (sans succès), par des injections hormonales, de voir s’ils pouvaient rendre des moutons gays… Pourrait-on imaginer, dans l’autre sens, que l’on s’assure de naissance d’hétérosexuels?
Albert Mohler, évangéliste américain, explique déjà que, s’il est opposé à l’avortement d’embryons dont on a identifié l’orientation sexuelle, en revanche,
"si une base biologique est découverte et si un test prénatal est ensuite développé, et si un traitement pour renverser l’orientation sexuelle est développé, nous encouragerons son usage parce que nous devons soutenir avec conviction le recours à tous les moyens appropriés permettant d’éviter la tentation sexuelle et les conséquences inévitables du péché".
Ça passe l'envie de chercher…
source rue 89 et cyberpresse
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Earendil a écritComment reconnaître un homosexuel (sans son disque de Dalida)?
*
*
*
*
*
*
*
*
*
Par Guillemette Faure | Rue89 | 28/06/2008 | 14H09
Aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, des chercheurs travaillent à identifier des types de caractéristiques communes aux gays.
A la Gay Pride, Paris 1995 (Meyer).
Vous pensiez qu’un homosexuel se reconnaissait à sa collection de disques de Dalida et à son goût pour les comédies musicales? Aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, des chercheurs travaillent à identifier d'autres types de caractéristiques communes des gays (à part les relations sexuelles avec des gens de leur sexe, bien entendu).
Le point sur ces travaux, en s’appuyant sur ce qu’en ont publié le Los Angeles Times, New York Magazine, et Slate:
* Avoir beaucoup de grands frères
Plusieurs études (citées ici dans les compte-rendus de l’Académie américaine des sciences) montrent que les homosexuels ont plus de grands frères que les hétéros (la tendance reste valable qu’ils aient été ou non élevés avec leurs grands frères). Chaque grand frère en plus, selon les chercheurs canadiens Anthony Bogaert de l’université Brock d’Ontario et Ray Blanchard de l’université de Toronto, augmente la probabilité d’être gay de 33%. La corrélation ne s’observe pas avec des frères adoptés.
* Etre gaucher
En compilant les résultats de plusieurs études effectuées en Amérique du nord et en Europe totalisant plus de 23 000 personnes, des chercheurs ont estimé qu’être gaucher accroît la probabilité qu'on homme soit gay de 34%, et qu'une femme soit lesbienne de 90%. (Attention, ça veut dire qu’il y a plus de gays chez les gauchers, la majorité des gays restent droitiers).
* Avoir une implantation capillaire qui donne aux cheveux un mouvement dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (voir croquis ici).
Le mouvement d’implantation des cheveux va dans le sens des aiguilles d’une montre, sauf chez 8% des hétéros et 23% des gays.
(Réserve méthodologique: l’auteur de la recherche s’est appuyé sur des observations de deux plages, gay et, disons, "généralistes". D’autres chercheurs veulent la reconduire dans des conditions plus sérieuses.)
* Un gros zizi
Anthony Bogaert (le Canadien qui comptait les grands frères) de Brock University a utilisé les données récoltées par le sexologue Alfred Kinsey auprès de 5000 personnes entre 1930 et 1960. D’où il ressort que les zizis gays en érection mesurent en moyennne 16,5 cm et 12,6 de circonférence contre en moyenne 15,5 et 12,2 pour les hétéros. (Réserve méthodologique: Kinsley leur avait demandé de se mesurer et d’envoyer leurs résultats. Difficile de savoir si les résultats nous renseignent sur leur morphologie ou sur leur honnêteté.)
D’autres recherches ont été menées sur les empreintes digitales, la taille des doigts, le sens de l’orientation, les réactions à des odeurs…
Où cela nous mène t-il ?
Cela pourra sembler étrange, mais ces pistes d’études ont d’abord été bien accueillies par les mouvements gay américains (David France dans New York Magazine mentionne dès le début de son article qu’il est homosexuel). D’abord parce qu’elles marquaient une nouvelle direction après des années à tenter d’expliquer l’homosexualité par le conditionnement social (environnement masculin, place de la mère, etc…).
On trouve d’ailleurs une caricature de cette façon de voir tout-culturel dans un excellent épisode des Simpsons, où Homer inquiet de voir Bart porter une chemise hawaïenne et se lier d'amitié avec l’antiquaire, emmène son fils visiter une usine de métallurgie puis à la chasse ("tu me remercieras le soir de ta nuit de noces").
L'accent sur l'inné
Les recherches actuelles préfèrent écarter les facteurs cognitifs. Comme celles-ci menées par des chercheurs suédois et reprises dans les compte-rendus de l’académie américaine des sciences, montrant que les cerveaux des hommes homosexuels et des femmes hétérosexuelles présentent des similitudes.
Les travaux sur les caractéristiques innées, montrent que contrairement à ce que prêche une partie de la droite chrétienne, les gays ne sont pas des pêcheurs à remettre dans le droit chemin à coups de séminaires. Mais l'hypothèse d'origines biologiques ne signifie pas qu'elle soient exclusivement génétiques (si l'homosexualité était génétique, elle aurait disparu, remarque finement William Saletan dans Slate): les pistes privilégiées actuellement consistent à s’intéresser aux réactions hormonales et immunologiques -de toutes origines- dans l’utérus. (Ainsi pour l'influence du nombre de grands frères, la mère au fur et à mesure des grossesses ne fabriquerait plus le mêmes anticorps).
Inquiétudes
Le risque soulevé par l’avancement de ces recherches, explique David France, est que si on arrive effectivement à isoler des réactions hormonales dans l’utérus à l'origine de l'orientation sexuelle, on peut imaginer qu’on pourra, par des manipulations prénatales, chercher à "corriger" les grossesses. Des chercheurs d’Oregon ont déjà tenté (sans succès), par des injections hormonales, de voir s’ils pouvaient rendre des moutons gays… Pourrait-on imaginer, dans l’autre sens, que l’on s’assure de naissance d’hétérosexuels?
Albert Mohler, évangéliste américain, explique déjà que, s’il est opposé à l’avortement d’embryons dont on a identifié l’orientation sexuelle, en revanche,
"si une base biologique est découverte et si un test prénatal est ensuite développé, et si un traitement pour renverser l’orientation sexuelle est développé, nous encouragerons son usage parce que nous devons soutenir avec conviction le recours à tous les moyens appropriés permettant d’éviter la tentation sexuelle et les conséquences inévitables du péché".
Ça passe l'envie de chercher…
source rue 89 et cyberpresse
Donc, mon père et mon oncle (nés en 1924 et 1926) qui sont les deux plus jeunes et toujours vivants d'une famille de 11 enfants dont 7 frères auraient frolés la «catastrophe» de près ? ;)
Ce bout là est trop dröle !
J'espère juste que ces recherches ne sont pas subventionnées à même des fonds publics qui seraient plus utiles dans la recherche sur le cancer (qui est une VRAIE maladie, l'homosexualité étant juste une préférence en amour)
En tout cas... Des fois les deux bras me tombent en lisant des affaires de même --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-06-30 22:49:31--
*
*
*
*
*
*
*
*
*
Par Guillemette Faure | Rue89 | 28/06/2008 | 14H09
Aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, des chercheurs travaillent à identifier des types de caractéristiques communes aux gays.
A la Gay Pride, Paris 1995 (Meyer).
Vous pensiez qu’un homosexuel se reconnaissait à sa collection de disques de Dalida et à son goût pour les comédies musicales? Aux Etats-Unis, au Canada, en Europe, des chercheurs travaillent à identifier d'autres types de caractéristiques communes des gays (à part les relations sexuelles avec des gens de leur sexe, bien entendu).
Le point sur ces travaux, en s’appuyant sur ce qu’en ont publié le Los Angeles Times, New York Magazine, et Slate:
* Avoir beaucoup de grands frères
Plusieurs études (citées ici dans les compte-rendus de l’Académie américaine des sciences) montrent que les homosexuels ont plus de grands frères que les hétéros (la tendance reste valable qu’ils aient été ou non élevés avec leurs grands frères). Chaque grand frère en plus, selon les chercheurs canadiens Anthony Bogaert de l’université Brock d’Ontario et Ray Blanchard de l’université de Toronto, augmente la probabilité d’être gay de 33%. La corrélation ne s’observe pas avec des frères adoptés.
* Etre gaucher
En compilant les résultats de plusieurs études effectuées en Amérique du nord et en Europe totalisant plus de 23 000 personnes, des chercheurs ont estimé qu’être gaucher accroît la probabilité qu'on homme soit gay de 34%, et qu'une femme soit lesbienne de 90%. (Attention, ça veut dire qu’il y a plus de gays chez les gauchers, la majorité des gays restent droitiers).
* Avoir une implantation capillaire qui donne aux cheveux un mouvement dans le sens inverse des aiguilles d’une montre (voir croquis ici).
Le mouvement d’implantation des cheveux va dans le sens des aiguilles d’une montre, sauf chez 8% des hétéros et 23% des gays.
(Réserve méthodologique: l’auteur de la recherche s’est appuyé sur des observations de deux plages, gay et, disons, "généralistes". D’autres chercheurs veulent la reconduire dans des conditions plus sérieuses.)
* Un gros zizi
Anthony Bogaert (le Canadien qui comptait les grands frères) de Brock University a utilisé les données récoltées par le sexologue Alfred Kinsey auprès de 5000 personnes entre 1930 et 1960. D’où il ressort que les zizis gays en érection mesurent en moyennne 16,5 cm et 12,6 de circonférence contre en moyenne 15,5 et 12,2 pour les hétéros. (Réserve méthodologique: Kinsley leur avait demandé de se mesurer et d’envoyer leurs résultats. Difficile de savoir si les résultats nous renseignent sur leur morphologie ou sur leur honnêteté.)
D’autres recherches ont été menées sur les empreintes digitales, la taille des doigts, le sens de l’orientation, les réactions à des odeurs…
Où cela nous mène t-il ?
Cela pourra sembler étrange, mais ces pistes d’études ont d’abord été bien accueillies par les mouvements gay américains (David France dans New York Magazine mentionne dès le début de son article qu’il est homosexuel). D’abord parce qu’elles marquaient une nouvelle direction après des années à tenter d’expliquer l’homosexualité par le conditionnement social (environnement masculin, place de la mère, etc…).
On trouve d’ailleurs une caricature de cette façon de voir tout-culturel dans un excellent épisode des Simpsons, où Homer inquiet de voir Bart porter une chemise hawaïenne et se lier d'amitié avec l’antiquaire, emmène son fils visiter une usine de métallurgie puis à la chasse ("tu me remercieras le soir de ta nuit de noces").
L'accent sur l'inné
Les recherches actuelles préfèrent écarter les facteurs cognitifs. Comme celles-ci menées par des chercheurs suédois et reprises dans les compte-rendus de l’académie américaine des sciences, montrant que les cerveaux des hommes homosexuels et des femmes hétérosexuelles présentent des similitudes.
Les travaux sur les caractéristiques innées, montrent que contrairement à ce que prêche une partie de la droite chrétienne, les gays ne sont pas des pêcheurs à remettre dans le droit chemin à coups de séminaires. Mais l'hypothèse d'origines biologiques ne signifie pas qu'elle soient exclusivement génétiques (si l'homosexualité était génétique, elle aurait disparu, remarque finement William Saletan dans Slate): les pistes privilégiées actuellement consistent à s’intéresser aux réactions hormonales et immunologiques -de toutes origines- dans l’utérus. (Ainsi pour l'influence du nombre de grands frères, la mère au fur et à mesure des grossesses ne fabriquerait plus le mêmes anticorps).
Inquiétudes
Le risque soulevé par l’avancement de ces recherches, explique David France, est que si on arrive effectivement à isoler des réactions hormonales dans l’utérus à l'origine de l'orientation sexuelle, on peut imaginer qu’on pourra, par des manipulations prénatales, chercher à "corriger" les grossesses. Des chercheurs d’Oregon ont déjà tenté (sans succès), par des injections hormonales, de voir s’ils pouvaient rendre des moutons gays… Pourrait-on imaginer, dans l’autre sens, que l’on s’assure de naissance d’hétérosexuels?
Albert Mohler, évangéliste américain, explique déjà que, s’il est opposé à l’avortement d’embryons dont on a identifié l’orientation sexuelle, en revanche,
"si une base biologique est découverte et si un test prénatal est ensuite développé, et si un traitement pour renverser l’orientation sexuelle est développé, nous encouragerons son usage parce que nous devons soutenir avec conviction le recours à tous les moyens appropriés permettant d’éviter la tentation sexuelle et les conséquences inévitables du péché".
Ça passe l'envie de chercher…
source rue 89 et cyberpresse
Donc, mon père et mon oncle (nés en 1924 et 1926) qui sont les deux plus jeunes et toujours vivants d'une famille de 11 enfants dont 7 frères auraient frolés la «catastrophe» de près ? ;)
Ce bout là est trop dröle !
J'espère juste que ces recherches ne sont pas subventionnées à même des fonds publics qui seraient plus utiles dans la recherche sur le cancer (qui est une VRAIE maladie, l'homosexualité étant juste une préférence en amour)
En tout cas... Des fois les deux bras me tombent en lisant des affaires de même --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-06-30 22:49:31--
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Picasims a écritLe nombre de grands frères, je l'ai vu plusieurs fois. Je crois que ça pourrait être vrai.
Ces recherches sont necessaires, au contraire, pour justement prouver que l'homosexualité est génétique et non pas un choix.
L'affaire c'est que si des chercheurs établissent incontestablement que c'est génétique et qu'ils trouvent un moyen de savoir d'avance, y'a des freaks qui vont se battre pour avoir droit à des tests pour déceler l'homosexualité chez les foetus... et ça c'est vraiment mais vraiment pas une bonne chose.
Ces recherches sont necessaires, au contraire, pour justement prouver que l'homosexualité est génétique et non pas un choix.
L'affaire c'est que si des chercheurs établissent incontestablement que c'est génétique et qu'ils trouvent un moyen de savoir d'avance, y'a des freaks qui vont se battre pour avoir droit à des tests pour déceler l'homosexualité chez les foetus... et ça c'est vraiment mais vraiment pas une bonne chose.
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
Strophe a écrit
L'affaire c'est que si des chercheurs établissent incontestablement que c'est génétique et qu'ils trouvent un moyen de savoir d'avance, y'a des freaks qui vont se battre pour avoir droit à des tests pour déceler l'homosexualité chez les foetus... et ça c'est vraiment mais vraiment pas une bonne chose.
Ça me donne le goût de vomir, juste à y penser...
L'affaire c'est que si des chercheurs établissent incontestablement que c'est génétique et qu'ils trouvent un moyen de savoir d'avance, y'a des freaks qui vont se battre pour avoir droit à des tests pour déceler l'homosexualité chez les foetus... et ça c'est vraiment mais vraiment pas une bonne chose.
Ça me donne le goût de vomir, juste à y penser...
Picasims a écritLe nombre de grands frères, je l'ai vu plusieurs fois. Je crois que ça pourrait être vrai.
Ces recherches sont necessaires, au contraire, pour justement prouver que l'homosexualité est génétique et non pas un choix.
Juste comme ça... Le fait d'avoir des grands frères n'a rien de génétique...
Ces recherches sont necessaires, au contraire, pour justement prouver que l'homosexualité est génétique et non pas un choix.
Juste comme ça... Le fait d'avoir des grands frères n'a rien de génétique...
tipet a écritPour le nombre de frère ça doit être une question de probabilité genre. Tsé, sur plusieurs garçons dans une même famille, il y a des chances qu'il y en ait un de gai.
Mais ça reste assez ridicule comme critère.
Oui, c'est probablement la raison, mais ça reste que ça peut aussi être l'ainé qui est gai...
Mais ça reste assez ridicule comme critère.
Oui, c'est probablement la raison, mais ça reste que ça peut aussi être l'ainé qui est gai...
tipet a écritPour le nombre de frère ça doit être une question de probabilité genre. Tsé, sur plusieurs garçons dans une même famille, il y a des chances qu'il y en ait un de gai.
Mais ça reste assez ridicule comme critère.
Exact
Mais ça reste assez ridicule comme critère.
Exact
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
Strophe a écrit
L'affaire c'est que si des chercheurs établissent incontestablement que c'est génétique et qu'ils trouvent un moyen de savoir d'avance, y'a des freaks qui vont se battre pour avoir droit à des tests pour déceler l'homosexualité chez les foetus... et ça c'est vraiment mais vraiment pas une bonne chose.
Il faudrait d'abord la décriminaliser partout dans le monde. Et ensuite rendre légal les mariages partout dans le monde et l'adoption aussi. Mais là, je crois que je rêve.
L'affaire c'est que si des chercheurs établissent incontestablement que c'est génétique et qu'ils trouvent un moyen de savoir d'avance, y'a des freaks qui vont se battre pour avoir droit à des tests pour déceler l'homosexualité chez les foetus... et ça c'est vraiment mais vraiment pas une bonne chose.
Il faudrait d'abord la décriminaliser partout dans le monde. Et ensuite rendre légal les mariages partout dans le monde et l'adoption aussi. Mais là, je crois que je rêve.
Moi, je crois dur comme fer que c'est vrai. Je vous donne un exemple concret. Je connais une famille de 7 garçons et une fille. Le fille et le cadet des garçons sont hétérosexuels. Les 6 garçons sont homosexuels. Fa fa que vous voyez que la thiorie marche, hein?
Le fait que je vous rapporte est vérédique par contre.
Le fait que je vous rapporte est vérédique par contre.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Donc si on suit le raisonnement, il devrait y avoir moins de gais maintenant puisque les familles sont moins nombreuses
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Beppo a écritMoi, je crois dur comme fer que c'est vrai. Je vous donne un exemple concret. Je connais une famille de 7 garçons et une fille. Le fille et le cadet des garçons sont hétérosexuels. Les 6 garçons sont homosexuels. Fa fa que vous voyez que la thiorie marche, hein?
Le fait que je vous rapporte est vérédique par contre.
Les 6 sont gais? Vraiment? Wow, ça mérite une étude!
Le fait que je vous rapporte est vérédique par contre.
Les 6 sont gais? Vraiment? Wow, ça mérite une étude!
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Strophe a écrit
L'affaire c'est que si des chercheurs établissent incontestablement que c'est génétique et qu'ils trouvent un moyen de savoir d'avance, y'a des freaks qui vont se battre pour avoir droit à des tests pour déceler l'homosexualité chez les foetus... et ça c'est vraiment mais vraiment pas une bonne chose.
C'est pas mieux que d'avorter des bébé trisomique. Je suis contre les deux. Laissons faire la vie.
L'affaire c'est que si des chercheurs établissent incontestablement que c'est génétique et qu'ils trouvent un moyen de savoir d'avance, y'a des freaks qui vont se battre pour avoir droit à des tests pour déceler l'homosexualité chez les foetus... et ça c'est vraiment mais vraiment pas une bonne chose.
C'est pas mieux que d'avorter des bébé trisomique. Je suis contre les deux. Laissons faire la vie.
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
Pour les frères, ca marche ainsi: supposons qu'à la base un gars a 10% de chance d'être gay, pour chaque grand frère qu'il a, il faut rajouter 33% de chance de plus.
0 grand frères: 10%
1 grand frère: 10% + 33% x 10% = 13.33%
2 grands frères: 13.33% + 33% x 13.33% = 17,7%
C'est pas juste une simple question de probabilité. Ca voudrait dire que dans une très très grosse famille, les derniers gars auraient tous une grande chance d'être gay.
Est-ce une facon pour dame nature d'éviter la surpopulation?
En passant il y a des recherches sur des sujets beaucoup plus futiles. Le but de la recherche, c'est d'augmenter les connaissances humaines, c'est jamais inutile.
0 grand frères: 10%
1 grand frère: 10% + 33% x 10% = 13.33%
2 grands frères: 13.33% + 33% x 13.33% = 17,7%
C'est pas juste une simple question de probabilité. Ca voudrait dire que dans une très très grosse famille, les derniers gars auraient tous une grande chance d'être gay.
Est-ce une facon pour dame nature d'éviter la surpopulation?
En passant il y a des recherches sur des sujets beaucoup plus futiles. Le but de la recherche, c'est d'augmenter les connaissances humaines, c'est jamais inutile.
C'est pas inutile... Mais ça pourrait le devenir si on se servait de ces recherches pour prévenir les familles de la probabilité d'avoir un enfant homosexuel.
On peut déjà "prédire" si l'enfant sera handicapé, s'il manquera un membre... etc etc.. S'il faut qu'en plus les familles sachent si l'Enfant sera homosexuel et qu'ils puissent faire avorter si ça fait pas leur affaire.. ça va être beau tentôt!
Pis en passant, Picasims, tu veux dire quoi.. Que l'homosexualité c'est criminel???
On peut déjà "prédire" si l'enfant sera handicapé, s'il manquera un membre... etc etc.. S'il faut qu'en plus les familles sachent si l'Enfant sera homosexuel et qu'ils puissent faire avorter si ça fait pas leur affaire.. ça va être beau tentôt!
Pis en passant, Picasims, tu veux dire quoi.. Que l'homosexualité c'est criminel???
[img]http://www.mabinty.com/m-pages/marie_chantal_toupin/3_Marie_Chantal_Toupin_mcta022.jpg[/img]
Je pense que Picasims référait au fait que l'homosexualité est criminalisé dans beaucoup de pays encore.
Je m'inquiète pas trop, à part quelques crack-pots, je pense pas que beaucoup de gens choisiraient l'avortement parce qu'ils ont une probabilité X d'avoir un enfant gay.
Ceux qui sont contre l'homosexualité sont aussi souvent contre l'avortement alors...
Je m'inquiète pas trop, à part quelques crack-pots, je pense pas que beaucoup de gens choisiraient l'avortement parce qu'ils ont une probabilité X d'avoir un enfant gay.
Ceux qui sont contre l'homosexualité sont aussi souvent contre l'avortement alors...
-
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Beppo a écritMoi, je crois dur comme fer que c'est vrai. Je vous donne un exemple concret. Je connais une famille de 7 garçons et une fille. Le fille et le cadet des garçons sont hétérosexuels. Les 6 garçons sont homosexuels. Fa fa que vous voyez que la thiorie marche, hein?
Le fait que je vous rapporte est vérédique par contre.
Je me demande si ils ont été abusé sexuellement. J'aimerais savoir le pourcentage des gay qui ont été abusé par rapport a ceux qui ne l'ont pas été.
Le fait que je vous rapporte est vérédique par contre.
Je me demande si ils ont été abusé sexuellement. J'aimerais savoir le pourcentage des gay qui ont été abusé par rapport a ceux qui ne l'ont pas été.
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.