Gin* a écritMon opinion:
Un autre cas qui va probablement passer aux oubiettes à cause de la compassion.
L'avocat de l'accusée va trouver des psychiâtres qui vont assurer au juge qu'elle était en détresse ou en pshychose ou n'importe quoi qui concerne la maladie mentale....et ça va trainer jusqu'à ce qu'elle ne fasse que...le tier de sa peine
J'ai assité à un colloque de psychiâtres et psychologues à l'extérieur de la ville il y a 6 ans et les opinions diffèrent justement parce que la moitié des médecins croient que la maladie mentale soudaine ou suite à un choc ne devrait pas servir comme mode de défense.
Bien d'accord avec toi
Bébé retrouvé dans un conteneur à Québec
Ily a une différence entre avoir de la compassion et essayer de comprendre un geste.
Je ne crois pas avoir de la compassion pour cette femme, je ne la connais pas et pas plus son histoire personnelle. Toutefois je suis convaincue que ce n'est pas de l'enfermer pour les prochaines 30 années ou la zigouiller ou je ne sais quoi qui empêchera un autre drame identique. De penser de la sorte est de pousser la poussière sous le tapis.
Ce qui est certain c'est qu'elle avait un problème et ce problème n'a pas été détecté ou pris en charge. Si nous avions la patience d'essayer de comprendre la raison de certain agissement déviant, causé ou non par la maladie, peut-être que nous serions plus compétent à aider ou au minimum à s'assurer d'un support.
Nous sommes dans un forum de discussion. Ce peut être agréable dans le sens où les interventions nous éclaire sur toute sorte de sujet. Si le Dôme devient un ramassis de faits divers ou tous seront de la même opinion qui serait de: C'est dégueullasse, ben écoeurant, la prison à vie, la peine de mort, et bien je décroche. Ce que j'ai déjà fait un peu.
J'édites pour ajouter que j'ai de moins en moins de patience avec les pour démontrer une oposition à une opinion. Ce fameux je le traduis toujours par un: ben oui épais-épaisse. --Message edité par fabine le 2008-07-17 22:26:38--
Je ne crois pas avoir de la compassion pour cette femme, je ne la connais pas et pas plus son histoire personnelle. Toutefois je suis convaincue que ce n'est pas de l'enfermer pour les prochaines 30 années ou la zigouiller ou je ne sais quoi qui empêchera un autre drame identique. De penser de la sorte est de pousser la poussière sous le tapis.
Ce qui est certain c'est qu'elle avait un problème et ce problème n'a pas été détecté ou pris en charge. Si nous avions la patience d'essayer de comprendre la raison de certain agissement déviant, causé ou non par la maladie, peut-être que nous serions plus compétent à aider ou au minimum à s'assurer d'un support.
Nous sommes dans un forum de discussion. Ce peut être agréable dans le sens où les interventions nous éclaire sur toute sorte de sujet. Si le Dôme devient un ramassis de faits divers ou tous seront de la même opinion qui serait de: C'est dégueullasse, ben écoeurant, la prison à vie, la peine de mort, et bien je décroche. Ce que j'ai déjà fait un peu.
J'édites pour ajouter que j'ai de moins en moins de patience avec les pour démontrer une oposition à une opinion. Ce fameux je le traduis toujours par un: ben oui épais-épaisse. --Message edité par fabine le 2008-07-17 22:26:38--
Gin* a écrit
Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.
Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens. Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille
Depuis quand la compassion est la connaissance d`une maladie?
J`ai toujours penser que d`avoir de la compassion, c`est en quelque sorte comprendre l`être humain, à tout le moins esssayer de le comprendre, sans porter un jugement sur lui. C`est un sentiment de la compassion, ce n`est pas une connaissance du côté "technique ou mécanique" de l`être humain.
Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.
Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens. Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille
Depuis quand la compassion est la connaissance d`une maladie?
J`ai toujours penser que d`avoir de la compassion, c`est en quelque sorte comprendre l`être humain, à tout le moins esssayer de le comprendre, sans porter un jugement sur lui. C`est un sentiment de la compassion, ce n`est pas une connaissance du côté "technique ou mécanique" de l`être humain.
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[color=#BF0040]** 11e Commandement de Dieu : Tu ne fumeras point ! **[/color] :( :/
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[color=#BF0040]** 11e Commandement de Dieu : Tu ne fumeras point ! **[/color] :( :/
Fabine a écritIly a une différence entre avoir de la compassion et essayer de comprendre un geste.
Je ne crois pas avoir de la compassion pour cette femme, je ne la connais pas et pas plus son histoire personnelle. Toutefois je suis convaincue que ce n'est pas de l'enfermer pour les prochaines 30 années ou la zigouiller ou je ne sais quoi qui empêchera un autre drame identique. De penser de la sorte est de pousser la poussière sous le tapis.
Ce qui est certain c'est qu'elle avait un problème et ce problème n'a pas été détecté ou pris en charge. Si nous avions la patience d'essayer de comprendre la raison de certain agissement déviant, causé ou non par la maladie, peut-être que nous serions plus compétent à aider ou au minimum à s'assurer d'un support.
Nous sommes dans un forum de discussion. Ce peut être agréable dans le sens où les interventions nous éclaire sur toute sorte de sujet. Si le Dôme devient un ramassis de faits divers ou tous seront de la même opinion qui serait de: C'est dégueullasse, ben écoeurant, la prison à vie, la peine de mort, et bien je décroche. Ce que j'ai déjà fait un peu.
J'édites pour ajouter que j'ai de moins en moins de patience avec les pour démontrer une oposition à une opinion. Ce fameux je le traduis toujours par un: ben oui épais-épaisse.
Même chose pour moi. Si on ne peut s'attarder à comprendre ce qui peut sous-tendre certains agirs et que nous devions nous référer au catalogue des punitions pour condamner un geste, la discussion n'a plus sa raison d'être.
Il nous suffira de consulter le catalogue pour savoir le nombre d'années à allouer pour tel ou tel crime sans oublier de doubler la dose pour être bien certain de les pincer d'aplomb (il ne faut pas aussi oublier de tripler la superficie de nos centres de détention parce qu'on manque déjà de place). Dans le cas présent, c'est la prison à vie. Discussion close. On passe au next...
J'aimerais ça diriger ma classe de même. Tu n'as pas fait ton devoir mon tit Pittt, bin dans le catalogue c'est écrit que je dois suspendre ta récréation pour les 3 prochaines journées. « Oui mais monsieur, je me suis rendu à l'hôpital au chevet de mon grand-père qui est décédé. » « Bien dommage! C'est écrit. That's it, that's all! » Next! « Bien, moi, monsieur, ça ne me tentait pas de le faire et je ne l'ai pas fait. Ma mère vous a écrit un billet. » « Trois jours, toi aussi. That's it, that's all! » Next!
Je ne crois pas avoir de la compassion pour cette femme, je ne la connais pas et pas plus son histoire personnelle. Toutefois je suis convaincue que ce n'est pas de l'enfermer pour les prochaines 30 années ou la zigouiller ou je ne sais quoi qui empêchera un autre drame identique. De penser de la sorte est de pousser la poussière sous le tapis.
Ce qui est certain c'est qu'elle avait un problème et ce problème n'a pas été détecté ou pris en charge. Si nous avions la patience d'essayer de comprendre la raison de certain agissement déviant, causé ou non par la maladie, peut-être que nous serions plus compétent à aider ou au minimum à s'assurer d'un support.
Nous sommes dans un forum de discussion. Ce peut être agréable dans le sens où les interventions nous éclaire sur toute sorte de sujet. Si le Dôme devient un ramassis de faits divers ou tous seront de la même opinion qui serait de: C'est dégueullasse, ben écoeurant, la prison à vie, la peine de mort, et bien je décroche. Ce que j'ai déjà fait un peu.
J'édites pour ajouter que j'ai de moins en moins de patience avec les pour démontrer une oposition à une opinion. Ce fameux je le traduis toujours par un: ben oui épais-épaisse.
Même chose pour moi. Si on ne peut s'attarder à comprendre ce qui peut sous-tendre certains agirs et que nous devions nous référer au catalogue des punitions pour condamner un geste, la discussion n'a plus sa raison d'être.
Il nous suffira de consulter le catalogue pour savoir le nombre d'années à allouer pour tel ou tel crime sans oublier de doubler la dose pour être bien certain de les pincer d'aplomb (il ne faut pas aussi oublier de tripler la superficie de nos centres de détention parce qu'on manque déjà de place). Dans le cas présent, c'est la prison à vie. Discussion close. On passe au next...
J'aimerais ça diriger ma classe de même. Tu n'as pas fait ton devoir mon tit Pittt, bin dans le catalogue c'est écrit que je dois suspendre ta récréation pour les 3 prochaines journées. « Oui mais monsieur, je me suis rendu à l'hôpital au chevet de mon grand-père qui est décédé. » « Bien dommage! C'est écrit. That's it, that's all! » Next! « Bien, moi, monsieur, ça ne me tentait pas de le faire et je ne l'ai pas fait. Ma mère vous a écrit un billet. » « Trois jours, toi aussi. That's it, that's all! » Next!
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Gin* a écritMon opinion:
Un autre cas qui va probablement passer aux oubiettes à cause de la compassion.
L'avocat de l'accusée va trouver des psychiâtres qui vont assurer au juge qu'elle était en détresse ou en pshychose ou n'importe quoi qui concerne la maladie mentale....et ça va trainer jusqu'à ce qu'elle ne fasse que...le tier de sa peine
J'ai assité à un colloque de psychiâtres et psychologues à l'extérieur de la ville il y a 6 ans et les opinions diffèrent justement parce que la moitié des médecins croient que la maladie mentale soudaine ou suite à un choc ne devrait pas servir comme mode de défense.
Ben non ne tenons surtout pas compte de la psychose et enfermons les et ils feront quand même le tiers de leur peine au lieu de les soigner pour le trouble dont ils souffrent
Un autre cas qui va probablement passer aux oubiettes à cause de la compassion.
L'avocat de l'accusée va trouver des psychiâtres qui vont assurer au juge qu'elle était en détresse ou en pshychose ou n'importe quoi qui concerne la maladie mentale....et ça va trainer jusqu'à ce qu'elle ne fasse que...le tier de sa peine
J'ai assité à un colloque de psychiâtres et psychologues à l'extérieur de la ville il y a 6 ans et les opinions diffèrent justement parce que la moitié des médecins croient que la maladie mentale soudaine ou suite à un choc ne devrait pas servir comme mode de défense.
Ben non ne tenons surtout pas compte de la psychose et enfermons les et ils feront quand même le tiers de leur peine au lieu de les soigner pour le trouble dont ils souffrent
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Gin* a écrit
Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.
Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens. Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille
FAux mes deux soeurs travaillent dans le domaine et il y en a encore énormément sur les listes d'attentes
Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.
Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens. Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille
FAux mes deux soeurs travaillent dans le domaine et il y en a encore énormément sur les listes d'attentes
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Gin* a écritMon opinion:
Un autre cas qui va probablement passer aux oubiettes à cause de la compassion.
L'avocat de l'accusée va trouver des psychiâtres qui vont assurer au juge qu'elle était en détresse ou en pshychose ou n'importe quoi qui concerne la maladie mentale....et ça va trainer jusqu'à ce qu'elle ne fasse que...le tier de sa peine
J'ai assité à un colloque de psychiâtres et psychologues à l'extérieur de la ville il y a 6 ans et les opinions diffèrent justement parce que la moitié des médecins croient que la maladie mentale soudaine ou suite à un choc ne devrait pas servir comme mode de défense.
Pour les oubliettes.....admettons que cette jeune femme écope de la prison à vie, sans demande de liberération avant 25 ans....ou Admettons qu`ils la pendent demain matin ou la sacrent sur la chaise électrique.
Il me semble que faire disparaître cette femme, ca serait bâcler l`affaire OPC. Là c`est vrai que ce drame passerait vite aux oubliettes.
Et aussi bizarre que ca puisse l`être, de l`autre côté, si on ne fait que parler de cette femme et du crime qu`elle a commit pour faire sûre que ca n`ira pas aux oubliettes, on en parle durant 1 an, 2 ans, à tous les jours....suis pas mal certaine, ....pis non, certaine à 200%, que bien des gens ds la population vont se lever debout pour dire haut et fort: arrêtez d`en parler, vous ne parlez que de ca....amenez-nous Loft-Story, ca presse.
Ben c`est ca le monde...!
Un autre cas qui va probablement passer aux oubiettes à cause de la compassion.
L'avocat de l'accusée va trouver des psychiâtres qui vont assurer au juge qu'elle était en détresse ou en pshychose ou n'importe quoi qui concerne la maladie mentale....et ça va trainer jusqu'à ce qu'elle ne fasse que...le tier de sa peine
J'ai assité à un colloque de psychiâtres et psychologues à l'extérieur de la ville il y a 6 ans et les opinions diffèrent justement parce que la moitié des médecins croient que la maladie mentale soudaine ou suite à un choc ne devrait pas servir comme mode de défense.
Pour les oubliettes.....admettons que cette jeune femme écope de la prison à vie, sans demande de liberération avant 25 ans....ou Admettons qu`ils la pendent demain matin ou la sacrent sur la chaise électrique.
Il me semble que faire disparaître cette femme, ca serait bâcler l`affaire OPC. Là c`est vrai que ce drame passerait vite aux oubliettes.
Et aussi bizarre que ca puisse l`être, de l`autre côté, si on ne fait que parler de cette femme et du crime qu`elle a commit pour faire sûre que ca n`ira pas aux oubliettes, on en parle durant 1 an, 2 ans, à tous les jours....suis pas mal certaine, ....pis non, certaine à 200%, que bien des gens ds la population vont se lever debout pour dire haut et fort: arrêtez d`en parler, vous ne parlez que de ca....amenez-nous Loft-Story, ca presse.
Ben c`est ca le monde...!
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lélou a écritAprès l'accouchement, l'enfer
Marc Allard
Le Soleil
Québec
Dans la vie d’une mère, la naissance d’un enfant est censée être un des moments les plus heureux. La découverte d’un bébé d’à peine quelques heures dans un bac à ordures, lundi, nous rappelle au contraire que pour certaines femmes, la période qui suit l’accouchement peut se transformer en enfer.
L’enquête de la police de Québec n’a pas encore déterminé si l’enfant était mort-né ou s’il avait été tué. On peut néanmoins deviner la détresse qui habitait la jeune mère de 22 ans lors des événements.
«Chose certaine, c’est toujours un drame quand ça se produit. Dans la majorité des cas, l’état de conscience de la maman est perturbé», explique Marie-Josée Poulin, psychiatre et responsable médicale du Programme de psychiatrie périnatale au Centre hospitalier Robert-Giffard, jointe à Alger, où elle était en vacances.
Au Québec, une femme sur six fait une dépression après l’accouchement, soit plus du double d’il y a 20 ans, indique Mme Poulin. La dépression apparaît souvent environ un mois plus tard. Elle peut toutefois se manifester dans les minutes qui suivent la naissance du bébé.
«La mère devient triste, elle a moins envie de s’occuper de son bébé, elle est très fatiguée — donc tous les signes d’une dépression classique auxquels s’ajoutent un trouble d’attachement à l’enfant ou de la difficulté à en prendre soin», décrit Mme Poulin.
Plusieurs facteurs augmentent les risques de dépression après l’accouchement, explique-t-elle. L’angoisse liée à un premier enfant, le bouleversement des hormones, les problèmes d’argent, l’instabilité au travail, à la maison, de mauvaises relations avec sa propre mère et l’isolement peuvent être en cause.
Beaucoup plus rarement — une à deux naissances sur 1000 —, les mères peuvent souffrir d’une psychose après l’accouchement.
«C’est la plus grande urgence psychiatrique qui existe», poursuit-elle. La psychose peut aussi se manifester dès le jour de l’accouchement. Les mères perdent contact avec la réalité, ont des hallucinations visuelles et auditives. «C’est un cauchemar éveillé.»
Une majorité de psychoses
Selon des études américaines, canadiennes et d’autres pays industrialisés, la majorité (60 %) des infanticides ont été commis par des mères qui avaient un trouble psychotique comme la psychose post-partum, la dépression avec des éléments de psychose ou la schizophrénie.
Les 40 % restants «sont des mères qui se débarrassent de l’enfant parce qu’elles n’en veulent pas. C’est un crime. Il n’y a pas vraiment de pathologie psychiatrique. C’est plus un trouble de personnalité», explique Mme Poulin.
Dans d’autres cas, plus fréquents que ce que l’on croit, poursuit la psychiatre, les mères se murent dans le déni. «Pour elles, c’est réel. Elles ne s’aperçoivent pas qu’elles sont enceintes. (…) Dans ce temps-là, quand le travail commence, c’est la grande panique. Le choc. Et quelqu’un en choc peut commettre l’irréparable.»
Pour éviter de tels drames, il faut convaincre la population et le gouvernement de consacrer plus de ressources non seulement à la santé physique, mais à la santé mentale des mères qui viennent d’accoucher, croit Mme Poulin.
«Les gens ne veulent pas y croire. On veut que ça aille bien pour une femme enceinte, on veut que ce soit le bonheur.»
j fait des des depressions apres mes accouchement c vrai que c tres dur
yen a pour qui ca peut ne pas etre supportable
Marc Allard
Le Soleil
Québec
Dans la vie d’une mère, la naissance d’un enfant est censée être un des moments les plus heureux. La découverte d’un bébé d’à peine quelques heures dans un bac à ordures, lundi, nous rappelle au contraire que pour certaines femmes, la période qui suit l’accouchement peut se transformer en enfer.
L’enquête de la police de Québec n’a pas encore déterminé si l’enfant était mort-né ou s’il avait été tué. On peut néanmoins deviner la détresse qui habitait la jeune mère de 22 ans lors des événements.
«Chose certaine, c’est toujours un drame quand ça se produit. Dans la majorité des cas, l’état de conscience de la maman est perturbé», explique Marie-Josée Poulin, psychiatre et responsable médicale du Programme de psychiatrie périnatale au Centre hospitalier Robert-Giffard, jointe à Alger, où elle était en vacances.
Au Québec, une femme sur six fait une dépression après l’accouchement, soit plus du double d’il y a 20 ans, indique Mme Poulin. La dépression apparaît souvent environ un mois plus tard. Elle peut toutefois se manifester dans les minutes qui suivent la naissance du bébé.
«La mère devient triste, elle a moins envie de s’occuper de son bébé, elle est très fatiguée — donc tous les signes d’une dépression classique auxquels s’ajoutent un trouble d’attachement à l’enfant ou de la difficulté à en prendre soin», décrit Mme Poulin.
Plusieurs facteurs augmentent les risques de dépression après l’accouchement, explique-t-elle. L’angoisse liée à un premier enfant, le bouleversement des hormones, les problèmes d’argent, l’instabilité au travail, à la maison, de mauvaises relations avec sa propre mère et l’isolement peuvent être en cause.
Beaucoup plus rarement — une à deux naissances sur 1000 —, les mères peuvent souffrir d’une psychose après l’accouchement.
«C’est la plus grande urgence psychiatrique qui existe», poursuit-elle. La psychose peut aussi se manifester dès le jour de l’accouchement. Les mères perdent contact avec la réalité, ont des hallucinations visuelles et auditives. «C’est un cauchemar éveillé.»
Une majorité de psychoses
Selon des études américaines, canadiennes et d’autres pays industrialisés, la majorité (60 %) des infanticides ont été commis par des mères qui avaient un trouble psychotique comme la psychose post-partum, la dépression avec des éléments de psychose ou la schizophrénie.
Les 40 % restants «sont des mères qui se débarrassent de l’enfant parce qu’elles n’en veulent pas. C’est un crime. Il n’y a pas vraiment de pathologie psychiatrique. C’est plus un trouble de personnalité», explique Mme Poulin.
Dans d’autres cas, plus fréquents que ce que l’on croit, poursuit la psychiatre, les mères se murent dans le déni. «Pour elles, c’est réel. Elles ne s’aperçoivent pas qu’elles sont enceintes. (…) Dans ce temps-là, quand le travail commence, c’est la grande panique. Le choc. Et quelqu’un en choc peut commettre l’irréparable.»
Pour éviter de tels drames, il faut convaincre la population et le gouvernement de consacrer plus de ressources non seulement à la santé physique, mais à la santé mentale des mères qui viennent d’accoucher, croit Mme Poulin.
«Les gens ne veulent pas y croire. On veut que ça aille bien pour une femme enceinte, on veut que ce soit le bonheur.»
j fait des des depressions apres mes accouchement c vrai que c tres dur
yen a pour qui ca peut ne pas etre supportable
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Savvy! a écrit
Justement je ne crois pas qu'une personne en souffrance (mentale) puisse raisonner comme tu le fais. Là est toute la différence.
j fait de grosse depression apres mon accouchement mais j'avais encore ma tete ca dlair
Justement je ne crois pas qu'une personne en souffrance (mentale) puisse raisonner comme tu le fais. Là est toute la différence.
j fait de grosse depression apres mon accouchement mais j'avais encore ma tete ca dlair
"La vie serait bien plus heureuse si nous naissions à 80 ans et nous approchions graduellement de nos 18 ans"
Mark Twain
Mark Twain
Gin* a écrit
Ici on les mets par priorité mais y a tjrs quelqu'un qui s'informe d'eux en attendant...sinon ils vont à l'hopital.
J'ai travaillé aussi dans le domaine.
et ils ont le temps de commettre l'irréparable parfois même si quelqu'un s'informe d'eux
Ici on les mets par priorité mais y a tjrs quelqu'un qui s'informe d'eux en attendant...sinon ils vont à l'hopital.
J'ai travaillé aussi dans le domaine.
et ils ont le temps de commettre l'irréparable parfois même si quelqu'un s'informe d'eux
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brunetta a écrit
et ils ont le temps de commettre l'irréparable parfois même si quelqu'un s'informe d'eux
J'ai mentionné qu'on peut pas tous les sauver...mais ceux qu'on sauve, y a personne qui en parle par exemple.
Et c'est pas simple des cas comme ça. Ça demande des années de thérapies et de médicamentations.
et ils ont le temps de commettre l'irréparable parfois même si quelqu'un s'informe d'eux
J'ai mentionné qu'on peut pas tous les sauver...mais ceux qu'on sauve, y a personne qui en parle par exemple.
Et c'est pas simple des cas comme ça. Ça demande des années de thérapies et de médicamentations.
Moi j'ai hâte de savoir les raisons qui l'ont poussée a agir comme ça...A-t-elle subit un viol , en as jamais parler, et n,a jamais accepter cette grossesse? Si la fille a le moindrement des faiblesse psychologique, le viol plus la grossesse désirée peuvent avoir amplement suffit a lui faire peter une bulle...
Sinon, elle a eu une avanture hétéro a l'insue de sa copine.....Y'a une chose certaine cest que cette file n,est pas saine d'esprit!!!!! J'espère qu'elle aura les bons soin dont elle a besoin, mais cela ne change pas le fait qu'elle a tuer un enfant, qui n'as jamais demander à vivre!!!
Sinon, elle a eu une avanture hétéro a l'insue de sa copine.....Y'a une chose certaine cest que cette file n,est pas saine d'esprit!!!!! J'espère qu'elle aura les bons soin dont elle a besoin, mais cela ne change pas le fait qu'elle a tuer un enfant, qui n'as jamais demander à vivre!!!
Parait qu'un jour, la douleur s'estompe...
Gin* a écrit
Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.
Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens. Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille
Va dire ça à mon cousin et à mon oncle, l'un s'étant suicidé et l'autre ayant tenté de tuer ma mère. Ben oui, diagnostiqués, médicamentés mais pas suivis . Je considère quant à moi que la schizophrénie et la maniaco dépression avec délires psychotiques sont des cas graves de maladie mentale... même en insistant, pas facile d'avoir un vrai suivi avant que la personne attente à sa vie ou à celle d'un tiers.
Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.
Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens. Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille
Va dire ça à mon cousin et à mon oncle, l'un s'étant suicidé et l'autre ayant tenté de tuer ma mère. Ben oui, diagnostiqués, médicamentés mais pas suivis . Je considère quant à moi que la schizophrénie et la maniaco dépression avec délires psychotiques sont des cas graves de maladie mentale... même en insistant, pas facile d'avoir un vrai suivi avant que la personne attente à sa vie ou à celle d'un tiers.
-
Fleur de Jasmin
- Intronisé au Panthéon
- Messages : 26283
- Inscription : ven. avr. 09, 2004 12:00 am
Fabine a écritIly a une différence entre avoir de la compassion et essayer de comprendre un geste.
Je ne crois pas avoir de la compassion pour cette femme, je ne la connais pas et pas plus son histoire personnelle. Toutefois je suis convaincue que ce n'est pas de l'enfermer pour les prochaines 30 années ou la zigouiller ou je ne sais quoi qui empêchera un autre drame identique. De penser de la sorte est de pousser la poussière sous le tapis.
Ce qui est certain c'est qu'elle avait un problème et ce problème n'a pas été détecté ou pris en charge. Si nous avions la patience d'essayer de comprendre la raison de certain agissement déviant, causé ou non par la maladie, peut-être que nous serions plus compétent à aider ou au minimum à s'assurer d'un support.
Nous sommes dans un forum de discussion. Ce peut être agréable dans le sens où les interventions nous éclaire sur toute sorte de sujet. Si le Dôme devient un ramassis de faits divers ou tous seront de la même opinion qui serait de: C'est dégueullasse, ben écoeurant, la prison à vie, la peine de mort, et bien je décroche. Ce que j'ai déjà fait un peu.
J'édites pour ajouter que j'ai de moins en moins de patience avec les pour démontrer une oposition à une opinion. Ce fameux je le traduis toujours par un: ben oui épais-épaisse.
La compassion n'excuse pas le geste. Essayer de comprendre, non plus.
Également, comprendre n'est surtout pas pardonner, car plus on est lucide en rapport avec les actes condamnables, plus non sommes en matière de juger.
Il me semble que seul l'ego est intéressé à ne pas comprendre le coupable. Ici je ne vise personne. Juste une simple opinion personnelle.
Pour ce qui est de se sentir épais ou épaisse. Personnellement, cela ne me dérange pas une miette.
Comme il ne me dérange pas non plus de dire que j'éprouve, de la compassion envers cette fille. Envers la souffrance humaine, je dois dire.
À mon humble avis, ce qui est toujours mieux que de condamner, ensuite liquider le cas en attendant le prochain du même genre.
Ce qui équivaut pour moi, à une forme de pardon spontané.
Je ne crois pas avoir de la compassion pour cette femme, je ne la connais pas et pas plus son histoire personnelle. Toutefois je suis convaincue que ce n'est pas de l'enfermer pour les prochaines 30 années ou la zigouiller ou je ne sais quoi qui empêchera un autre drame identique. De penser de la sorte est de pousser la poussière sous le tapis.
Ce qui est certain c'est qu'elle avait un problème et ce problème n'a pas été détecté ou pris en charge. Si nous avions la patience d'essayer de comprendre la raison de certain agissement déviant, causé ou non par la maladie, peut-être que nous serions plus compétent à aider ou au minimum à s'assurer d'un support.
Nous sommes dans un forum de discussion. Ce peut être agréable dans le sens où les interventions nous éclaire sur toute sorte de sujet. Si le Dôme devient un ramassis de faits divers ou tous seront de la même opinion qui serait de: C'est dégueullasse, ben écoeurant, la prison à vie, la peine de mort, et bien je décroche. Ce que j'ai déjà fait un peu.
J'édites pour ajouter que j'ai de moins en moins de patience avec les pour démontrer une oposition à une opinion. Ce fameux je le traduis toujours par un: ben oui épais-épaisse.
La compassion n'excuse pas le geste. Essayer de comprendre, non plus.
Également, comprendre n'est surtout pas pardonner, car plus on est lucide en rapport avec les actes condamnables, plus non sommes en matière de juger.
Il me semble que seul l'ego est intéressé à ne pas comprendre le coupable. Ici je ne vise personne. Juste une simple opinion personnelle.
Pour ce qui est de se sentir épais ou épaisse. Personnellement, cela ne me dérange pas une miette.
Comme il ne me dérange pas non plus de dire que j'éprouve, de la compassion envers cette fille. Envers la souffrance humaine, je dois dire.
À mon humble avis, ce qui est toujours mieux que de condamner, ensuite liquider le cas en attendant le prochain du même genre.
Ce qui équivaut pour moi, à une forme de pardon spontané.
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) 
La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
Gin* a écrit
Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.
Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens. Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille
J'ai une amie maniaco-dépressive. Aujourd'hui même, elle s'est ramassé à l'hôpital en pleine psychose. Elle s'imaginait que tout le monde était contre elle et que les infirmières étaient dans les Hell's Angel et complotaient contre elle....
Mais pourtant, elle fait une thérapie, a un psychiatre et prend des médicaments. Elle, elle est suivie. Ce n'est vraiment pas le cas de tous ceux qui en ont besoin.
Et une personne a beau être suivie, il faut aussi qu'elle fasse sa part dans le traitement. Ce qui, là non plus, n'est vraiment pas toujours le cas.
Désolée pas d'accord, pour avoir de la compassion il faut vraiment connaître la maladie et la plupart des grands malades sont tous sous traitements et suivis.
Les médecins et les équipes d'entraide sont constamment à la disposition de ces gens. Très souvents ils connaissent leurs allés et venues et travaillent de pair avec la famille
J'ai une amie maniaco-dépressive. Aujourd'hui même, elle s'est ramassé à l'hôpital en pleine psychose. Elle s'imaginait que tout le monde était contre elle et que les infirmières étaient dans les Hell's Angel et complotaient contre elle....
Mais pourtant, elle fait une thérapie, a un psychiatre et prend des médicaments. Elle, elle est suivie. Ce n'est vraiment pas le cas de tous ceux qui en ont besoin.
Et une personne a beau être suivie, il faut aussi qu'elle fasse sa part dans le traitement. Ce qui, là non plus, n'est vraiment pas toujours le cas.
Gin* a écritJe tiens à dire que j'ai dit mon opinion et je n'ai pas à la débattre.
Je respecte la vôtre, je ne la débats pas.
Ben là, le Dome est justement fait pour les discussions, débats.
J'ai de la misère à te suivre là..
Je respecte ton opinion mais je ne la partage pas, mais je suis bien contente quand quelqu'un me fait voir l'autre côté de la médaille et qu'on puisse en débattre.
Il est fort possible qu'on n'en vienne jamais à penser la même chose, mais c'est cela un débat.
Je respecte la vôtre, je ne la débats pas.
Ben là, le Dome est justement fait pour les discussions, débats.
J'ai de la misère à te suivre là..
Je respecte ton opinion mais je ne la partage pas, mais je suis bien contente quand quelqu'un me fait voir l'autre côté de la médaille et qu'on puisse en débattre.
Il est fort possible qu'on n'en vienne jamais à penser la même chose, mais c'est cela un débat.
Soleil47 a écrit Ben là, le Dome est justement fait pour les discussions, débats.
J'ai de la misère à te suivre là..
Je respecte ton opinion mais je ne la partage pas, mais je suis bien contente quand quelqu'un me fait voir l'autre côté de la médaille et qu'on puisse en débattre.
Il est fort possible qu'on n'en vienne jamais à penser la même chose, mais c'est cela un débat.
Voilà. Il est un peu impensable de venir dans le Dôme, d'émettre son opinion et d'espérer ne pas avoir à répondre, expliquer et débattre. Le Dôme est fait pour ça. Ce serait plate en maudit que tous et chacun viennent ici disent "moi je pense ça" et que personne ne discutent ensemble et se parlent. Il y a beaucoup de sujet dont j'aurais envie de dire mon opinion, mais qu'en même temps je sais que je n'aurais ni la force, ni les arguments pour la défendre, dans ce temps, je n'interviens tout simplement pas. Quand je prend la peine d'écrire un message dans le Dôme, c'est parce que je suis prête à défendre mon idée jusqu'au bout et à écouter celle des autres.
J'ai de la misère à te suivre là..
Je respecte ton opinion mais je ne la partage pas, mais je suis bien contente quand quelqu'un me fait voir l'autre côté de la médaille et qu'on puisse en débattre.
Il est fort possible qu'on n'en vienne jamais à penser la même chose, mais c'est cela un débat.
Voilà. Il est un peu impensable de venir dans le Dôme, d'émettre son opinion et d'espérer ne pas avoir à répondre, expliquer et débattre. Le Dôme est fait pour ça. Ce serait plate en maudit que tous et chacun viennent ici disent "moi je pense ça" et que personne ne discutent ensemble et se parlent. Il y a beaucoup de sujet dont j'aurais envie de dire mon opinion, mais qu'en même temps je sais que je n'aurais ni la force, ni les arguments pour la défendre, dans ce temps, je n'interviens tout simplement pas. Quand je prend la peine d'écrire un message dans le Dôme, c'est parce que je suis prête à défendre mon idée jusqu'au bout et à écouter celle des autres.