La UNE du journal de Montréal était : INVASION DE MARIGOUINS
Suis-je la seule à avoir ri de voir ça dans le présentoir en sortant de l'épicerie ?
Était-ce vraiment la plus grosse nouvelle du jour ?
Si oui, je l'ai bien ri ! --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-07-24 01:53:29--
La UNE du journal de Montréal était : INVASION DE MARIGOUINS
Moi j'ai pas vu mais je ne suis pas surprise outre-mesure. Il me semble que nous sommes de plus en plus centrés sur nous-mêmes au Québec, ou bien c'est l'impression que donne les médias. On n'a qu'à regarder nos bulletins de nouvelles et nos journaux et, pour la plupart, ils relatent à 95% des faits divers. On sait pas ce qui se passe ailleurs dans le monde, des choses d'importance souvent, mais on est au courant de tous les chats écrasés de la province par contre.
Je trouve pas ca si surprenant qu'on devienne de plus en plus individualiste à faorce de se regarder le nombril comme ca.
Je trouve pas ca si surprenant qu'on devienne de plus en plus individualiste à faorce de se regarder le nombril comme ca.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois 
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.anthurium.
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Souvent je lis un article et je me dis que c'était du vent et que je n'ai rien appris. Je pense que les journalistes ne devraient pas avoir de sécurité d'emplois. Qu'il y aie plus de compétition. Parce que la il y a beaucoup de gaspillage de papier avec des articles vides.
Prière et chant religieux
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.anthurium. a écritSouvent je lis un article et je me dis que c'était du vent et que je n'ai rien appris. Je pense que les journalistes ne devraient pas avoir de sécurité d'emplois. Qu'il y aie plus de compétition. Parce que la il y a beaucoup de gaspillage de papier avec des articles vides.
Moi je crois qu'au contraire, bien des journalistes aimeraient faire du journalisme autrement que du bla bla régional et local sur les ptits maux de tout un chacun, mais que c'est pas ce que les patrons veulent et ce, au nom de la sacro-sainte rentabilité. Mais non! Toujours ce beau discours comme quoi les syndicats sont la plaie de notre belle société et encouragent la paresse et la médiocrité.
Moi je crois qu'au contraire, bien des journalistes aimeraient faire du journalisme autrement que du bla bla régional et local sur les ptits maux de tout un chacun, mais que c'est pas ce que les patrons veulent et ce, au nom de la sacro-sainte rentabilité. Mais non! Toujours ce beau discours comme quoi les syndicats sont la plaie de notre belle société et encouragent la paresse et la médiocrité.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
.anthurium. a écritSouvent je lis un article et je me dis que c'était du vent et que je n'ai rien appris. Je pense que les journalistes ne devraient pas avoir de sécurité d'emplois. Qu'il y aie plus de compétition. Parce que la il y a beaucoup de gaspillage de papier avec des articles vides.
Toi, tu crois que les journalistes sont les seuls à choisir les sujets qu'ils abordent, qu'il n'y a aucune ligne directrice donnée par le journal lui-même, qui lui-même tente de répondre à la demande d'un certain lectorat? Le Journal de Montréal cherche une certaine clientèle, tente de répondre à ses besoins "d'information". Si les lecteurs se réjouissent vraiment de ce genre de premières pages et continuent d'acheter ce journal malgré le contenu très peu poussé, la question est plutôt de se demander quel genre de société on est en train de devenir à considérer que c'est pas mal plus important d'en apprendre sur l'horrible menace du maringouin pour notre pauvre petite peau que sur toute autre nouvelle qui est réellement une nouvelle et qui se passe ailleurs que dans les 4 mètres autour de notre petite personne.
Toi, tu crois que les journalistes sont les seuls à choisir les sujets qu'ils abordent, qu'il n'y a aucune ligne directrice donnée par le journal lui-même, qui lui-même tente de répondre à la demande d'un certain lectorat? Le Journal de Montréal cherche une certaine clientèle, tente de répondre à ses besoins "d'information". Si les lecteurs se réjouissent vraiment de ce genre de premières pages et continuent d'acheter ce journal malgré le contenu très peu poussé, la question est plutôt de se demander quel genre de société on est en train de devenir à considérer que c'est pas mal plus important d'en apprendre sur l'horrible menace du maringouin pour notre pauvre petite peau que sur toute autre nouvelle qui est réellement une nouvelle et qui se passe ailleurs que dans les 4 mètres autour de notre petite personne.
C'est peut-être pas la nouvelle du siècle, mais ça reste quand même important puisque les maringouins peuvent tout de même propager certaines maladies...
Pour une fille comme moi qui passe beaucoup de temps en plein air, en camping ou tout simplement en expédition de randonnée pédestre, ça a son importance...
Ça aurait pu faire la 2ème ou 3ème page j'en conviens, mais ça ne rend pas la nouvelle ridicule pour autant il me semble...
Pour une fille comme moi qui passe beaucoup de temps en plein air, en camping ou tout simplement en expédition de randonnée pédestre, ça a son importance...
Ça aurait pu faire la 2ème ou 3ème page j'en conviens, mais ça ne rend pas la nouvelle ridicule pour autant il me semble...
lélou a écrit
Toi, tu crois que les journalistes sont les seuls à choisir les sujets qu'ils abordent, qu'il n'y a aucune ligne directrice donnée par le journal lui-même, qui lui-même tente de répondre à la demande d'un certain lectorat? Le Journal de Montréal cherche une certaine clientèle, tente de répondre à ses besoins "d'information". Si les lecteurs se réjouissent vraiment de ce genre de premières pages et continuent d'acheter ce journal malgré le contenu très peu poussé, la question est plutôt de se demander quel genre de société on est en train de devenir à considérer que c'est pas mal plus important d'en apprendre sur l'horrible menace du maringouin pour notre pauvre petite peau que sur toute autre nouvelle qui est réellement une nouvelle et qui se passe ailleurs que dans les 4 mètres autour de notre petite personne.
Je suis entièrement d'accord avec toi. Il y a une crise alimentaire mondiale qui sévit, personne en parle ou à peu près. Par contre, au printemps, on a eu droit à d'interminables topos sur les foutus Canadiens de Montréal par exemple. Heille c'tait important que l'diable ils faisaient les play offs!!! La question qu'on entendait les journaleux poser à nos politiciens c'était s'ils arboraient un fanion des Canadiens sur leur voiture. Faut l'faire pareil. Mais c'est ca que ti-peuple demande donc c'est ce que ti-peuple recoit et ca n'a rien à voir avec la volonté des journalistes ca. Big boss derrière il veut que ce soit rentable son bulletin de nouvelles ou son quotidien.
Toi, tu crois que les journalistes sont les seuls à choisir les sujets qu'ils abordent, qu'il n'y a aucune ligne directrice donnée par le journal lui-même, qui lui-même tente de répondre à la demande d'un certain lectorat? Le Journal de Montréal cherche une certaine clientèle, tente de répondre à ses besoins "d'information". Si les lecteurs se réjouissent vraiment de ce genre de premières pages et continuent d'acheter ce journal malgré le contenu très peu poussé, la question est plutôt de se demander quel genre de société on est en train de devenir à considérer que c'est pas mal plus important d'en apprendre sur l'horrible menace du maringouin pour notre pauvre petite peau que sur toute autre nouvelle qui est réellement une nouvelle et qui se passe ailleurs que dans les 4 mètres autour de notre petite personne.
Je suis entièrement d'accord avec toi. Il y a une crise alimentaire mondiale qui sévit, personne en parle ou à peu près. Par contre, au printemps, on a eu droit à d'interminables topos sur les foutus Canadiens de Montréal par exemple. Heille c'tait important que l'diable ils faisaient les play offs!!! La question qu'on entendait les journaleux poser à nos politiciens c'était s'ils arboraient un fanion des Canadiens sur leur voiture. Faut l'faire pareil. Mais c'est ca que ti-peuple demande donc c'est ce que ti-peuple recoit et ca n'a rien à voir avec la volonté des journalistes ca. Big boss derrière il veut que ce soit rentable son bulletin de nouvelles ou son quotidien.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
Nikki. a écritC'est peut-être pas la nouvelle du siècle, mais ça reste quand même important puisque les maringouins peuvent tout de même propager certaines maladies...
Pour une fille comme moi qui passe beaucoup de temps en plein air, en camping ou tout simplement en expédition de randonnée pédestre, ça a son importance...
Ça aurait pu faire la 2ème ou 3ème page j'en conviens, mais ça ne rend pas la nouvelle ridicule pour autant il me semble...
Je n'ai même pas lu le journal, je n'ai aucune idée de ce que ça contenait comme info, je réagissais perso au commentaire comme quoi c'est à cause des syndicats que les journeaux offrent ce genre de contenu plutôt qu'un autre type de journalisme. C'est peut-être le titre, aussi, qui m'a fait rire car admettons-le, le Journal de Montréal a une grosse tendance à gonfler les titres et à jouer avec la peur ou l'horreur des situations alors qu'il n'y a pas grand chose. Ce qui est épais, c'est que souvent, ils vendent plus de tirage car les titres sont incendiaires, mais que finalement, le contenu ne l'est pas.
Un exemple: une amie à moi travaillait pour ce journal, elle était graphiste. Un jour, ils lui demandent de faire un "modèle" d'une maison, vue de haut, où un crime s'était commis pour que les lecteurs puissent comprendre ce qui s'était passé. Ce qu'elle a fait, bien entendu. Bien, ils lui ont demandé d'ajouter des traces de pas pleines de sang, des éclaboussures, plein de trucs gores afin de rendre l'image plus "attirante". Elle a fait un peu n'importe quoi, et ça a été publié. Elle ne savait pas vraiment ce qui s'était passé, ce n'était pas du tout des faits réels ces pas, ces traces de sang, mais ce n'est pas grave car ça "entertain" les gens et c'est ce qu'il faut, même au détriment de la nouvelle et de la réalité.
Quand je lis le Journal de Montréal dans un resto, en déjeunant, je sais pertinement que ce que je regarde, c'est plus un journal à potins, à faits divers, qu'un journal d'informations à proprement parler. Oui, ça m'amuse, mais je ne prendrais pas ça comme seule source d'information.
J'espère ne pas t'avoir blessée avec mon commentaire sur l'article des maringouins. --Message edité par lélou le 2008-07-24 11:15:05--
Pour une fille comme moi qui passe beaucoup de temps en plein air, en camping ou tout simplement en expédition de randonnée pédestre, ça a son importance...
Ça aurait pu faire la 2ème ou 3ème page j'en conviens, mais ça ne rend pas la nouvelle ridicule pour autant il me semble...
Je n'ai même pas lu le journal, je n'ai aucune idée de ce que ça contenait comme info, je réagissais perso au commentaire comme quoi c'est à cause des syndicats que les journeaux offrent ce genre de contenu plutôt qu'un autre type de journalisme. C'est peut-être le titre, aussi, qui m'a fait rire car admettons-le, le Journal de Montréal a une grosse tendance à gonfler les titres et à jouer avec la peur ou l'horreur des situations alors qu'il n'y a pas grand chose. Ce qui est épais, c'est que souvent, ils vendent plus de tirage car les titres sont incendiaires, mais que finalement, le contenu ne l'est pas.
Un exemple: une amie à moi travaillait pour ce journal, elle était graphiste. Un jour, ils lui demandent de faire un "modèle" d'une maison, vue de haut, où un crime s'était commis pour que les lecteurs puissent comprendre ce qui s'était passé. Ce qu'elle a fait, bien entendu. Bien, ils lui ont demandé d'ajouter des traces de pas pleines de sang, des éclaboussures, plein de trucs gores afin de rendre l'image plus "attirante". Elle a fait un peu n'importe quoi, et ça a été publié. Elle ne savait pas vraiment ce qui s'était passé, ce n'était pas du tout des faits réels ces pas, ces traces de sang, mais ce n'est pas grave car ça "entertain" les gens et c'est ce qu'il faut, même au détriment de la nouvelle et de la réalité.
Quand je lis le Journal de Montréal dans un resto, en déjeunant, je sais pertinement que ce que je regarde, c'est plus un journal à potins, à faits divers, qu'un journal d'informations à proprement parler. Oui, ça m'amuse, mais je ne prendrais pas ça comme seule source d'information.
J'espère ne pas t'avoir blessée avec mon commentaire sur l'article des maringouins. --Message edité par lélou le 2008-07-24 11:15:05--
Malike a écrit
Moi je crois qu'au contraire, bien des journalistes aimeraient faire du journalisme autrement que du bla bla régional et local sur les ptits maux de tout un chacun, mais que c'est pas ce que les patrons veulent et ce, au nom de la sacro-sainte rentabilité. Mais non! Toujours ce beau discours comme quoi les syndicats sont la plaie de notre belle société et encouragent la paresse et la médiocrité.
Ce n'est pas le journaliste qui décide de la nouvelle à couvrir mais le chef de pupitre. Et je considère que tout travailleur a droit à la sécurité d'emploi tant et aussi longtemps qu'il soit capable de bien effectuer les tâches pour lesquelles on l'a engagé.
Moi je crois qu'au contraire, bien des journalistes aimeraient faire du journalisme autrement que du bla bla régional et local sur les ptits maux de tout un chacun, mais que c'est pas ce que les patrons veulent et ce, au nom de la sacro-sainte rentabilité. Mais non! Toujours ce beau discours comme quoi les syndicats sont la plaie de notre belle société et encouragent la paresse et la médiocrité.
Ce n'est pas le journaliste qui décide de la nouvelle à couvrir mais le chef de pupitre. Et je considère que tout travailleur a droit à la sécurité d'emploi tant et aussi longtemps qu'il soit capable de bien effectuer les tâches pour lesquelles on l'a engagé.
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lélou a écrit
Je n'ai même pas lu le journal, je n'ai aucune idée de ce que ça contenait comme info, je réagissais perso au commentaire comme quoi c'est à cause des syndicats que les journeaux offrent ce genre de contenu plutôt qu'un autre type de journalisme. C'est peut-être le titre, aussi, qui m'a fait rire car admettons-le, le Journal de Montréal a une grosse tendance à gonfler les titres et à jouer avec la peur ou l'horreur des situations alors qu'il n'y a pas grand chose. Ce qui est épais, c'est que souvent, ils vendent plus de tirage car les titres sont incendiaires, mais que finalement, le contenu ne l'est pas.
Un exemple: une amie à moi travaillait pour ce journal, elle était graphiste. Un jour, ils lui demandent de faire un "modèle" d'une maison, vue de haut, où un crime s'était commis pour que les lecteurs puissent comprendre ce qui s'était passé. Ce qu'elle a fait, bien entendu. Bien, ils lui ont demandé d'ajouter des traces de pas pleines de sang, des éclaboussures, plein de trucs gores afin de rendre l'image plus "attirante". Elle a fait un peu n'importe quoi, et ça a été publié. Elle ne savait pas vraiment ce qui s'était passé, ce n'était pas du tout des faits réels ces pas, ces traces de sang, mais ce n'est pas grave car ça "entertain" les gens et c'est ce qu'il faut, même au détriment de la nouvelle et de la réalité.
Quand je lis le Journal de Montréal dans un resto, en déjeunant, je sais pertinement que ce que je regarde, c'est plus un journal à potins, à faits divers, qu'un journal d'informations à proprement parler. Oui, ça m'amuse, mais je ne prendrais pas ça comme seule source d'information.
J'espère ne pas t'avoir blessée avec mon commentaire sur l'article des maringouins.
Ben non, tu m'as pas blessée voyons!...
Je sais bien que le JdM ou JdQ est loin d'être du grand journalisme...
Mais ça reste que c'est d'intérêt selon moi d'être informé que les maringouins sont très actifs cette année... En 8ème page aurait fait l'affaire comme je disais, mais bon... Ils ont du manquer de meurtres a couvrir!
Je n'ai même pas lu le journal, je n'ai aucune idée de ce que ça contenait comme info, je réagissais perso au commentaire comme quoi c'est à cause des syndicats que les journeaux offrent ce genre de contenu plutôt qu'un autre type de journalisme. C'est peut-être le titre, aussi, qui m'a fait rire car admettons-le, le Journal de Montréal a une grosse tendance à gonfler les titres et à jouer avec la peur ou l'horreur des situations alors qu'il n'y a pas grand chose. Ce qui est épais, c'est que souvent, ils vendent plus de tirage car les titres sont incendiaires, mais que finalement, le contenu ne l'est pas.
Un exemple: une amie à moi travaillait pour ce journal, elle était graphiste. Un jour, ils lui demandent de faire un "modèle" d'une maison, vue de haut, où un crime s'était commis pour que les lecteurs puissent comprendre ce qui s'était passé. Ce qu'elle a fait, bien entendu. Bien, ils lui ont demandé d'ajouter des traces de pas pleines de sang, des éclaboussures, plein de trucs gores afin de rendre l'image plus "attirante". Elle a fait un peu n'importe quoi, et ça a été publié. Elle ne savait pas vraiment ce qui s'était passé, ce n'était pas du tout des faits réels ces pas, ces traces de sang, mais ce n'est pas grave car ça "entertain" les gens et c'est ce qu'il faut, même au détriment de la nouvelle et de la réalité.
Quand je lis le Journal de Montréal dans un resto, en déjeunant, je sais pertinement que ce que je regarde, c'est plus un journal à potins, à faits divers, qu'un journal d'informations à proprement parler. Oui, ça m'amuse, mais je ne prendrais pas ça comme seule source d'information.
J'espère ne pas t'avoir blessée avec mon commentaire sur l'article des maringouins.
Ben non, tu m'as pas blessée voyons!...
Je sais bien que le JdM ou JdQ est loin d'être du grand journalisme...
Mais ça reste que c'est d'intérêt selon moi d'être informé que les maringouins sont très actifs cette année... En 8ème page aurait fait l'affaire comme je disais, mais bon... Ils ont du manquer de meurtres a couvrir!
Ah ouin.,.... Y'a une invasion de maringouins !?!? Pourtant il me semble d'en avoir croisé 1 ou 2 depuis le début de l'été....
Je suis vraiment entr les 2... oui ca peut etre important... pour une fille comme moi qui fait ds méga réactions au piqure de ses bestioles... mais en meme temps... je pense pas que ca mérite une premiere page...
Mais comme quelqu'un a dit : avec le JdQ ou JdM faut pas s'attendre a grand chose Je le lis des fois a la job... et en 30 secondes il est fermé la plupart du temps...
Je suis vraiment entr les 2... oui ca peut etre important... pour une fille comme moi qui fait ds méga réactions au piqure de ses bestioles... mais en meme temps... je pense pas que ca mérite une premiere page...
Mais comme quelqu'un a dit : avec le JdQ ou JdM faut pas s'attendre a grand chose Je le lis des fois a la job... et en 30 secondes il est fermé la plupart du temps...
