Algues-bleues
La ministre Beauchamp avait l'an dernier affirmée avec son traditionnel large sourire qu'elle allait s'attaquer à la problématique des algues-bleues...
12 mois plus tard le problème est réglé nous n'avons plus le droit d'en parler! Et pendant ce temps elle continue d'afficher son large sourire pour souligner le travail "Bien fait" "Réalisé" dans ce dossier...
D'ou ma question:
On ne parle pas d'algues bleues cette année ça vous rassure?
12 mois plus tard le problème est réglé nous n'avons plus le droit d'en parler! Et pendant ce temps elle continue d'afficher son large sourire pour souligner le travail "Bien fait" "Réalisé" dans ce dossier...
D'ou ma question:
On ne parle pas d'algues bleues cette année ça vous rassure?
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Les pluis acides, les algues bleues, le virus du nil, la vache folles, le réchauffement climatiques...
Ce sont des modes. On fait peur au monde On en parle pendant des semaines voir des mois, puis on passe a un autre sujet. Les médias nous manipule, ils décident du sujet, de la prise de position sur un sujet. Nous sommes des pantins.
Ce sont des modes. On fait peur au monde On en parle pendant des semaines voir des mois, puis on passe a un autre sujet. Les médias nous manipule, ils décident du sujet, de la prise de position sur un sujet. Nous sommes des pantins.
Prière et chant religieux
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.anthurium. a écritLes pluis acides, les algues bleues, le virus du nil, la vache folles, le réchauffement climatiques...
Ce sont des modes. On fait peur au monde On en parle pendant des semaines voir des mois, puis on passe a un autre sujet. Les médias nous manipule, ils décident du sujet, de la prise de position sur un sujet. Nous sommes des pantins.
Coudonc à te lire ce sont les médias qui sont responsables de tout les maux de la terre!
Pour ce qui concerne les algues bleues c'est le ministère de l'environnement qui a décidé de ne pas publier la liste des lacs atteint.
Pour le virus du Nil, la maladie de la vache folle etc ce n'est pas une mode bien au contraire il y en a quand même. Il est bien que les médias en fassent part.
Les gens sont capable de se forger une opinion par eux-mêmes pas besoin des médias pour qu'ils soient capable de prendre position. --Message edité par brunetta le 2008-07-30 13:32:46--
Ce sont des modes. On fait peur au monde On en parle pendant des semaines voir des mois, puis on passe a un autre sujet. Les médias nous manipule, ils décident du sujet, de la prise de position sur un sujet. Nous sommes des pantins.
Coudonc à te lire ce sont les médias qui sont responsables de tout les maux de la terre!
Pour ce qui concerne les algues bleues c'est le ministère de l'environnement qui a décidé de ne pas publier la liste des lacs atteint.
Pour le virus du Nil, la maladie de la vache folle etc ce n'est pas une mode bien au contraire il y en a quand même. Il est bien que les médias en fassent part.
Les gens sont capable de se forger une opinion par eux-mêmes pas besoin des médias pour qu'ils soient capable de prendre position. --Message edité par brunetta le 2008-07-30 13:32:46--
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.anthurium. a écrit
Nous sommes des pantins.
Ok... Donc si on te demande de reboiser ton rivage, de mettre ton installation sanitaire en règle, de pas utiliser d'engrais et de phosphate, ça veut dire qu'on te prend pour un pantin et que ça t'indispose!?!?!??!
Si on te demande de faire attention pour ne pas transmettre un virus mortel qui a fait plein de victimes dans la province voisine, on te prend pour un pantin et que ça t'indispose!?!?!?!
Les pluies acides les médias et les gouvernements n'en parle plus depuis longtemps... As-tu été prendre une marche en forêt dernièrement pour constater par toi-même?
Nous sommes des pantins.
Ok... Donc si on te demande de reboiser ton rivage, de mettre ton installation sanitaire en règle, de pas utiliser d'engrais et de phosphate, ça veut dire qu'on te prend pour un pantin et que ça t'indispose!?!?!??!
Si on te demande de faire attention pour ne pas transmettre un virus mortel qui a fait plein de victimes dans la province voisine, on te prend pour un pantin et que ça t'indispose!?!?!?!
Les pluies acides les médias et les gouvernements n'en parle plus depuis longtemps... As-tu été prendre une marche en forêt dernièrement pour constater par toi-même?
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lélou a écrit
Les médias et les souverainistes
Ben oui les souverainistes je les avaient oublié
Non mais sérieusement je ne comprend pas qu'on puisse préférer vivre dans l'ignorance de ce qui se passe autour de nous.
Comme la fonte des glaciers, j'imagine encore là que ce sont les médias qui essaient de faire une campagne de peur et que c'est absolument faux! --Message edité par brunetta le 2008-07-30 14:21:27--
Les médias et les souverainistes
Ben oui les souverainistes je les avaient oublié
Non mais sérieusement je ne comprend pas qu'on puisse préférer vivre dans l'ignorance de ce qui se passe autour de nous.
Comme la fonte des glaciers, j'imagine encore là que ce sont les médias qui essaient de faire une campagne de peur et que c'est absolument faux! --Message edité par brunetta le 2008-07-30 14:21:27--
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brunetta a écrit
Ben oui les souverainistes je les avaient oublié
Non mais sérieusement je ne comprend pas qu'on puisse préférer vivre dans l'ignorance de ce qui se passe autour de nous.
Comme la fonte des glaciers, j'imagine encore là que ce sont les médias qui essaient de faire une campagne de peur et que c'est absolument faux!
Parfois, c'est évident qu'il y a des journalistes (enfin, ils se font commander ça par leur boss) qui beurrent épais ou répètent tellement de fois la même chose avec des titres alarmistes qu'il faut apprendre, en tant que lecteur, à faire la différence entre de l'information et du sensationnalisme. C'est tout de même notre responsabilité, à mon avis, de ne pas gober tout, tout cru dans le bec, mais de le mastiquer un peu avant d'avaler, d'aller voir différentes sources d'info, vérifier un peu quoi...
Par contre, si c'est une "mode" de s'inquiéter et de s'occuper de son environnement, bien tant mieux et longue vie à cette mode qui conscientise le monde à se rendre compte que la nature ne nous doit pas tout. C'est normal que le monde ai peur: y'a de quoi avoir peur! C'est pas en se cachant la tête dans le sable pis en se frottant la bédaine que ça va disparaître, il faut être réaliste et assumer ce que l'homme a fait et fait encore. --Message edité par lélou le 2008-07-30 14:43:40--
Ben oui les souverainistes je les avaient oublié
Non mais sérieusement je ne comprend pas qu'on puisse préférer vivre dans l'ignorance de ce qui se passe autour de nous.
Comme la fonte des glaciers, j'imagine encore là que ce sont les médias qui essaient de faire une campagne de peur et que c'est absolument faux!
Parfois, c'est évident qu'il y a des journalistes (enfin, ils se font commander ça par leur boss) qui beurrent épais ou répètent tellement de fois la même chose avec des titres alarmistes qu'il faut apprendre, en tant que lecteur, à faire la différence entre de l'information et du sensationnalisme. C'est tout de même notre responsabilité, à mon avis, de ne pas gober tout, tout cru dans le bec, mais de le mastiquer un peu avant d'avaler, d'aller voir différentes sources d'info, vérifier un peu quoi...
Par contre, si c'est une "mode" de s'inquiéter et de s'occuper de son environnement, bien tant mieux et longue vie à cette mode qui conscientise le monde à se rendre compte que la nature ne nous doit pas tout. C'est normal que le monde ai peur: y'a de quoi avoir peur! C'est pas en se cachant la tête dans le sable pis en se frottant la bédaine que ça va disparaître, il faut être réaliste et assumer ce que l'homme a fait et fait encore. --Message edité par lélou le 2008-07-30 14:43:40--
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lélou a écrit
Parfois, c'est évident qu'il y a des journalistes (enfin, ils se font commander ça par leur boss) qui beurrent épais ou répètent tellement de fois la même chose avec des titres alarmistes qu'il faut apprendre, en tant que lecteur, à faire la différence entre de l'information et du sensationnalisme. C'est tout de même notre responsabilité, à mon avis, de ne pas gober tout, tout cru dans le bec, mais de le mastiquer un peu avant d'avaler, d'aller voir différentes sources d'info, vérifier un peu quoi...
Par contre, si c'est une "mode" de s'inquiéter et de s'occuper de son environnement, bien tant mieux et longue vie à cette mode qui conscientise le monde à se rendre compte que la nature ne nous doit pas tout. C'est normal que le monde ai peur: y'a de quoi avoir peur! C'est pas en se cachant la tête dans le sable pis en se frottant la bédaine que ça va disparaître, il faut être réaliste et assumer ce que l'homme a fait et fait encore.
Je suis d'accord avec ton premier paragraphe.
Pour le deuxième je pense qu'il est important de faire attention a polluer le moins possible, de ramasser nos déchets,de réutiliser, de recycler, d'entretenir notre petit coin de monde pour qu'il soit propre. Je ne crois pas qu'il faut se mettre la tête dans le sable au contraire il faut chercher des solutions et voir l'autre côté de la médaille.
Je me demande pourquoi avec toute la facilité de trouver l'information aujourd'hui les médias véhicule tous les mêmes informations Ils sont tous du même avis. Pourtant quand on fouille on trouve des information contradictoires. Je me pose beaucoup de questions je remet en question un paquet de choses que j'entend et même mes propres valeurs, Suis-je certaine de tout?
Je me pose des question sur ceux qui contrôle les médias j'ai l'impression qu'on cherche délibérément a nous engourdir pour nous en passer une bonne. --Message edité par .anthurium. le 2008-07-30 15:10:30--
Parfois, c'est évident qu'il y a des journalistes (enfin, ils se font commander ça par leur boss) qui beurrent épais ou répètent tellement de fois la même chose avec des titres alarmistes qu'il faut apprendre, en tant que lecteur, à faire la différence entre de l'information et du sensationnalisme. C'est tout de même notre responsabilité, à mon avis, de ne pas gober tout, tout cru dans le bec, mais de le mastiquer un peu avant d'avaler, d'aller voir différentes sources d'info, vérifier un peu quoi...
Par contre, si c'est une "mode" de s'inquiéter et de s'occuper de son environnement, bien tant mieux et longue vie à cette mode qui conscientise le monde à se rendre compte que la nature ne nous doit pas tout. C'est normal que le monde ai peur: y'a de quoi avoir peur! C'est pas en se cachant la tête dans le sable pis en se frottant la bédaine que ça va disparaître, il faut être réaliste et assumer ce que l'homme a fait et fait encore.
Je suis d'accord avec ton premier paragraphe.
Pour le deuxième je pense qu'il est important de faire attention a polluer le moins possible, de ramasser nos déchets,de réutiliser, de recycler, d'entretenir notre petit coin de monde pour qu'il soit propre. Je ne crois pas qu'il faut se mettre la tête dans le sable au contraire il faut chercher des solutions et voir l'autre côté de la médaille.
Je me demande pourquoi avec toute la facilité de trouver l'information aujourd'hui les médias véhicule tous les mêmes informations Ils sont tous du même avis. Pourtant quand on fouille on trouve des information contradictoires. Je me pose beaucoup de questions je remet en question un paquet de choses que j'entend et même mes propres valeurs, Suis-je certaine de tout?
Je me pose des question sur ceux qui contrôle les médias j'ai l'impression qu'on cherche délibérément a nous engourdir pour nous en passer une bonne. --Message edité par .anthurium. le 2008-07-30 15:10:30--
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.anthurium. a écrit
Je suis d'accord avec ton premier paragraphe.
Pour le deuxième je pense qu'il est important de faire attention a polluer le moins possible, de ramasser nos déchets,de réutiliser, de recycler, d'entretenir notre petit coin de monde pour qu'il soit propre. Je ne crois pas qu'il faut se mettre la tête dans le sable au contraire il faut chercher des solutions et voir l'autre côté de la médaille.
Je me demande pourquoi avec toute la facilité de trouver l'information aujourd'hui les médias véhicule tous les mêmes informations Ils sont tous du même avis. Pourtant quand on fouille on trouve des information contradictoires. Je me pose beaucoup de questions je remet en question un paquet de choses que j'entend et même mes propres valeurs, Suis-je certaine de tout?
Je me pose des question sur ceux qui contrôle les médias j'ai l'impression qu'on cherche délibérément a nous engourdir pour nous en passer une bonne.
Oui, il y a des gens qui prennent les devant, il y a des gens qui comprennent sans qu'on leur dise que les choses vont mal, que ce n,est pas normal de produire la quantité de déchets par habitant qu'on produit en ce moment, que ça a pas d'allure d'utiliser de l'eau potable pour laver son char, son gazon, son partaire de fleurs, sa grand mère, son asphalte et pousser la poussière de "son" carré de trottoir vers celui du voisin. Oui, il y a des gens qui regardent le monde et qui prennent position, qui décident de changer leurs habitudes tout seul. Mais... il y en a énormément d'autres qui ont besoin de se le faire dire, répéter, de voir à la télé, dans les journaux les résultats, pour y croire et avoir le goût de se bouger.
Il y a des gens sur ma rue qui arrêtent juste de nettoyer leur carré d'asphalte l'été quand "ils se sentent obligés" parce qu'ils l'ont dit à la télé. Faut le faire! Quand t'es conscient à ce moment là que tu gaspille de l'eau potable qui te coûte une fortune à la finale, POURQUOI tu continue à la gaspiller quand on arrête d'en parler à la télé?
Je suis d'accord avec ton premier paragraphe.
Pour le deuxième je pense qu'il est important de faire attention a polluer le moins possible, de ramasser nos déchets,de réutiliser, de recycler, d'entretenir notre petit coin de monde pour qu'il soit propre. Je ne crois pas qu'il faut se mettre la tête dans le sable au contraire il faut chercher des solutions et voir l'autre côté de la médaille.
Je me demande pourquoi avec toute la facilité de trouver l'information aujourd'hui les médias véhicule tous les mêmes informations Ils sont tous du même avis. Pourtant quand on fouille on trouve des information contradictoires. Je me pose beaucoup de questions je remet en question un paquet de choses que j'entend et même mes propres valeurs, Suis-je certaine de tout?
Je me pose des question sur ceux qui contrôle les médias j'ai l'impression qu'on cherche délibérément a nous engourdir pour nous en passer une bonne.
Oui, il y a des gens qui prennent les devant, il y a des gens qui comprennent sans qu'on leur dise que les choses vont mal, que ce n,est pas normal de produire la quantité de déchets par habitant qu'on produit en ce moment, que ça a pas d'allure d'utiliser de l'eau potable pour laver son char, son gazon, son partaire de fleurs, sa grand mère, son asphalte et pousser la poussière de "son" carré de trottoir vers celui du voisin. Oui, il y a des gens qui regardent le monde et qui prennent position, qui décident de changer leurs habitudes tout seul. Mais... il y en a énormément d'autres qui ont besoin de se le faire dire, répéter, de voir à la télé, dans les journaux les résultats, pour y croire et avoir le goût de se bouger.
Il y a des gens sur ma rue qui arrêtent juste de nettoyer leur carré d'asphalte l'été quand "ils se sentent obligés" parce qu'ils l'ont dit à la télé. Faut le faire! Quand t'es conscient à ce moment là que tu gaspille de l'eau potable qui te coûte une fortune à la finale, POURQUOI tu continue à la gaspiller quand on arrête d'en parler à la télé?
C'est dur de changer les mentalités des propriétaires riverains, malheureusement c'est le genre de chose qui, tant que ça n'arrive pas dans ton lac, c'est du blabla d'écologiste alarmiste...
Je crois qu'il ne faut pas arrêter d'en parler, c'est loin d'être une mode et c'est loin d'être réglé. Peut-être qu'avec l'été qu'on a, les conditions sont moins propices à la prolifération des algues bleues, je ne sais pas, c'est peut-être pour ça qu'on en entend moins parler que l'an passé. Reste qu'il faut que le monde se conscientise et se responsabilise.
Je crois qu'il ne faut pas arrêter d'en parler, c'est loin d'être une mode et c'est loin d'être réglé. Peut-être qu'avec l'été qu'on a, les conditions sont moins propices à la prolifération des algues bleues, je ne sais pas, c'est peut-être pour ça qu'on en entend moins parler que l'an passé. Reste qu'il faut que le monde se conscientise et se responsabilise.
Perso... on entend pas parler... ca me rassure pas... mais en même temps, je l'avais completement oublié cette histoire Mais c'est le genre de truc qui me tracasse assez parce que j'aime bien, quand j'ai la possibilité, de me baigner dans un lac... enfin... et ca m'étonnerais ben gros que ca soit réglé...
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- Seigneur de la Causerie
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Le lundi 28 juillet 2008
Le Soleil
Cyanobactéries : la culture du secret
Alors que l’été dernier, la prolifération de cyanobactéries faisait les manchettes, celles-ci se font plus rares cette année. Le temps froid a freiné les éclosions.
Éric Moreault
Le Soleil
Québec
De plus en plus de voix — groupes écologistes, citoyens, politiciens — s’élèvent pour dénoncer la «culture du secret» qui camoufle la problématique des cyanobactéries. Comme si, cet été, pouf! les «algues bleues» étaient disparues des cours d’eau du Québec! Elles risquent pourtant de revenir nous hanter après les vacances.
Comme souvent, il y a deux points de vue sur la question. Quand on fait peur au monde et que les citoyens ont l’impression d’être complètement dépassés par les événements, ils baissent les bras. D’où la stratégie du gouvernement Charest de se limiter à la divulgation publique des plans d’eau où la santé est menacée. Mais si on nous donne la fausse impression que tout va bien, nos efforts parfois dérisoires deviennent rassurants et nous oublions l’essentiel.
La chose ne sera jamais assez répétée : en environnement, chaque geste compte. Choisir des savons sans phosphate, c’est bien, mais comme le soulignait récemment un expert, seulement 1 % du phosphate dans l’eau provient des détergents. Nos pratiques d’aménagement du territoire causent, eux, des torts immenses : assèchement des milieux humides, agriculture, déforestation, déboisement des rives…
Les milieux humides filtrent l’eau en retenant les nutriments et les autres charges polluantes. Les éliminer contribue directement à la pollution des lacs. (Et aussi aux changements climatiques. Les milieux humides agissent comme pièges à CO2 et à méthane. Selon l’ONU, 60 % des milieux humides du monde sont disparus depuis un siècle.)
Pour poursuivre notre sujet, l’utilisation d’engrais agricoles, notamment chimiques, est une cause majeure d’éclosion d’algues parce qu’ils précipitent d’énor-mes quantités de phosphore dans l’eau. Et comme les pratiques agricoles dénudent les champs, les cours d’eau sont laissés sans filet de protection.
De même, les coupes d’arbres, les pelouses «mur à mur» et le pavage des terrains de villégiature ouvrent une voie express aux sédiments en route vers les lacs et les rivières. De plus, selon un rapport fédéral dévoilé par Le Devoir en février, les sols, dans la vallée du Saint-Laurent, peinent à absorber l’oxyde d’azote (NOx) des pluies acides. Ces nitrates sont aussi des surfertilisants qui contribuent, avec le phosphore, à l’eutrophisation des lacs. Le rapport précise d’ailleurs que «la capacité des bassins versants terrestres à retenir les nitrates est limitée».
Dans ce contexte, toute cette pluie tombée depuis deux mois est tout sauf une bonne nouvelle. L’eau de pluie a drainé phosphore et nitrates. Alors, pourquoi si peu d’algues bleues? La pluie a aussi refroidi les cours d’eau. Et comme nous avons eu peu de journées très chaudes, les éclosions sont rares (les lacs Saint-Louis, Champlain, Waterloo et Bleu sont les seuls touchés par une interdiction d’usage jusqu’à maintenant).
La «vraie» saison : début septembre
Mais lorsque la «vraie» saison des algues bleues commencera, début septembre, la prolifération des cyanobactéries risque d’exploser. À ce moment, le refroidissement de la température provoquera un brassage de la colonne d’eau. Les nutriments remonteront vers la surface et nourriront les algues. C’est ce qu’on observe généralement.
Au moins, la saison touristique sera chose du passé… Trêve de cynisme. Les solutions existent. Les médias ont même abondamment fait état de certaines d’entre elles, presque au point de saturation.
D’où l’intérêt du bouquin Algues bleues — Des solutions pratiques (Bertrand Dumont Éditeur). Le collectif d’experts circonscrit chacune des problématiques, puis propose des solutions concrètes, des plus simples aux plus élaborées. Les citoyens qui veulent soigner leur lac seront comblés. Mais chaque administration publique (y compris à la Ville de Québec), bureau de professionnels concerné et association de riverains devrait aussi en posséder un exemplaire. Ça irait peut-être mieux.
Malgré tout, on ne peut faire l’économie de la sensibilisation, en lien direct ou pas avec les cyanobactéries. Tiens, comme cette remarquable initiative : les riverains du lac Bowker, en Estrie, ont tenu une journée sans bateau à essence, le 12 juillet, afin de conscientiser les gens sur l’impact des embarcations sur le milieu naturel. Ils rêvent d’une telle journée pour tout le Québec, voire pour le Canada entier. Pourquoi pas?
Le Soleil
Cyanobactéries : la culture du secret
Alors que l’été dernier, la prolifération de cyanobactéries faisait les manchettes, celles-ci se font plus rares cette année. Le temps froid a freiné les éclosions.
Éric Moreault
Le Soleil
Québec
De plus en plus de voix — groupes écologistes, citoyens, politiciens — s’élèvent pour dénoncer la «culture du secret» qui camoufle la problématique des cyanobactéries. Comme si, cet été, pouf! les «algues bleues» étaient disparues des cours d’eau du Québec! Elles risquent pourtant de revenir nous hanter après les vacances.
Comme souvent, il y a deux points de vue sur la question. Quand on fait peur au monde et que les citoyens ont l’impression d’être complètement dépassés par les événements, ils baissent les bras. D’où la stratégie du gouvernement Charest de se limiter à la divulgation publique des plans d’eau où la santé est menacée. Mais si on nous donne la fausse impression que tout va bien, nos efforts parfois dérisoires deviennent rassurants et nous oublions l’essentiel.
La chose ne sera jamais assez répétée : en environnement, chaque geste compte. Choisir des savons sans phosphate, c’est bien, mais comme le soulignait récemment un expert, seulement 1 % du phosphate dans l’eau provient des détergents. Nos pratiques d’aménagement du territoire causent, eux, des torts immenses : assèchement des milieux humides, agriculture, déforestation, déboisement des rives…
Les milieux humides filtrent l’eau en retenant les nutriments et les autres charges polluantes. Les éliminer contribue directement à la pollution des lacs. (Et aussi aux changements climatiques. Les milieux humides agissent comme pièges à CO2 et à méthane. Selon l’ONU, 60 % des milieux humides du monde sont disparus depuis un siècle.)
Pour poursuivre notre sujet, l’utilisation d’engrais agricoles, notamment chimiques, est une cause majeure d’éclosion d’algues parce qu’ils précipitent d’énor-mes quantités de phosphore dans l’eau. Et comme les pratiques agricoles dénudent les champs, les cours d’eau sont laissés sans filet de protection.
De même, les coupes d’arbres, les pelouses «mur à mur» et le pavage des terrains de villégiature ouvrent une voie express aux sédiments en route vers les lacs et les rivières. De plus, selon un rapport fédéral dévoilé par Le Devoir en février, les sols, dans la vallée du Saint-Laurent, peinent à absorber l’oxyde d’azote (NOx) des pluies acides. Ces nitrates sont aussi des surfertilisants qui contribuent, avec le phosphore, à l’eutrophisation des lacs. Le rapport précise d’ailleurs que «la capacité des bassins versants terrestres à retenir les nitrates est limitée».
Dans ce contexte, toute cette pluie tombée depuis deux mois est tout sauf une bonne nouvelle. L’eau de pluie a drainé phosphore et nitrates. Alors, pourquoi si peu d’algues bleues? La pluie a aussi refroidi les cours d’eau. Et comme nous avons eu peu de journées très chaudes, les éclosions sont rares (les lacs Saint-Louis, Champlain, Waterloo et Bleu sont les seuls touchés par une interdiction d’usage jusqu’à maintenant).
La «vraie» saison : début septembre
Mais lorsque la «vraie» saison des algues bleues commencera, début septembre, la prolifération des cyanobactéries risque d’exploser. À ce moment, le refroidissement de la température provoquera un brassage de la colonne d’eau. Les nutriments remonteront vers la surface et nourriront les algues. C’est ce qu’on observe généralement.
Au moins, la saison touristique sera chose du passé… Trêve de cynisme. Les solutions existent. Les médias ont même abondamment fait état de certaines d’entre elles, presque au point de saturation.
D’où l’intérêt du bouquin Algues bleues — Des solutions pratiques (Bertrand Dumont Éditeur). Le collectif d’experts circonscrit chacune des problématiques, puis propose des solutions concrètes, des plus simples aux plus élaborées. Les citoyens qui veulent soigner leur lac seront comblés. Mais chaque administration publique (y compris à la Ville de Québec), bureau de professionnels concerné et association de riverains devrait aussi en posséder un exemplaire. Ça irait peut-être mieux.
Malgré tout, on ne peut faire l’économie de la sensibilisation, en lien direct ou pas avec les cyanobactéries. Tiens, comme cette remarquable initiative : les riverains du lac Bowker, en Estrie, ont tenu une journée sans bateau à essence, le 12 juillet, afin de conscientiser les gens sur l’impact des embarcations sur le milieu naturel. Ils rêvent d’une telle journée pour tout le Québec, voire pour le Canada entier. Pourquoi pas?
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J'en ai surtout contre la ministre Beauchamp qui l'an dernier à fait le tour des Laurentides en disant qu'elle cherchait des "Solutions" et qui cette année impose la loi du "Silence" pour ne pas gener les promoteurs, les riverains et les vacanciers plutôt que de mettre en place des amendes salées (Pas amandes!) et un plan structuré pour faire face à cette problématique....
Encore cette année il y a des manoirs en construction collés sur les berges avec des stationnements, tennis, etc... ou la végétation se fait couper pour faire place à de la pelouse et des quai digne du port de Montréal...
Il faut dire que des l'an dernier quand elle parlait de "Mesures Coercitives" je me disais que ça allait mal tourner, mais imposer le silence!?!?!?
Les deux seuls lacs dans les Laurentides qui ont été déclarés "Insalubres" cette année l'ont été suite à deux jeunes qui se sont ramassés à l'hopital....
Fantastique!
Encore cette année il y a des manoirs en construction collés sur les berges avec des stationnements, tennis, etc... ou la végétation se fait couper pour faire place à de la pelouse et des quai digne du port de Montréal...
Il faut dire que des l'an dernier quand elle parlait de "Mesures Coercitives" je me disais que ça allait mal tourner, mais imposer le silence!?!?!?
Les deux seuls lacs dans les Laurentides qui ont été déclarés "Insalubres" cette année l'ont été suite à deux jeunes qui se sont ramassés à l'hopital....
Fantastique!
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Citation :28/07/08
Permalink 09:46 am, Eric Nicol / Actualités, 667 mots
Algues bleues et avenir noir
par Frédérique David
L'an dernier, à pareille date, c'était la consternation. Le Québec semblait envahi par cette algue maudite qui colore l'eau des lacs d'un bleu-vert redoutable. Dans les Laurentides, une vingtaine de lacs étaient contaminés et leurs plages avaient été rapidement désertées.
Aujourd'hui, le ministère de l'Environnement n'en recense plus que deux au Québec, et aucun dans les Laurentides. Nos 7000 lacs laurentiens se seraient donc débarrassés des algues bleues (aussi appelées algues bleu-vert ou cyanobactéries)? Ne nous réjouissons pas si vite. La situation n'est malheureusement pas aussi belle qu'on nous la laisse croire. En réalité, Québec n'avise plus la population de la présence d'algues bleues dans un plan d'eau, à moins que la concentration des toxines libérées par les algues compromette la santé des baigneurs ou des consommateurs d'eau. Cette nouvelle politique a été adoptée au printemps, visiblement pour des raisons économiques afin que les touristes ne désertent pas nos régions et que les propriétaires de maisons au bord des lacs ne voient pas leur propriété perdre de la valeur. Plusieurs organismes environnementaux déplorent toutefois cette nouvelle pratique qui tend à étouffer le problème. Il ne faudrait pas, en effet, que la population cesse de lutter contre les algues bleues qui sont toujours présentes et qui menacent toujours notre santé. Le problème, lié à une surcharge de phosphore, a mis des années à s'installer et nécessitera plusieurs années pour se résorber, même en prenant les mesures nécessaires rapidement.
Parlons-en, justement, des mesures adoptées. On en compte bien quelques-unes, certes, mais elles sont encore trop peu nombreuses. Le gouvernement québécois a notamment adopté une réglementation interdisant la mise en marché de certains détergents phosphatés, mais elle n'entrera en vigueur qu'en juillet 2010.
Le gouvernement a également donné plus de pouvoir aux municipalités, notamment pour qu'elles puissent contrôler plus facilement les équipements septiques qui contribuent à l'apparition de cyanobactéries dans plusieurs lacs. Pour inciter les municipalités à poursuivre les contrevenants, ce qu'elles ne faisaient pas parce que cela coûtait trop cher, les amendes imposées par les tribunaux profiteront aux coffres municipaux. Cependant, le gouvernement n'imposera pas aux municipalités de dresser un inventaire exhaustif de l'état des installations septiques sur leur territoire.
Quant au contrôle des bandes riveraines, qu'il faudrait laisser à l'état le plus sauvage possible plutôt que de mettre du gazon partout et de couper les arbres qui cachent la vue du lac, rien n'indique que la situation s'améliorera significativement. Le contrôle de ces bandes riveraines est laissé aux MRC qui n'ont jamais appliqué les normes avec vigueur au cours des dernières années. Québec se garde le contrôle des bandes riveraines en milieu agricole, qu'il limite à trois mètres alors qu'il en faudrait cinq, et pour lesquelles il compte un nombre insuffisant d'inspecteurs.
Rien n'est fait, non plus, pour contrôler l'usage des embarcations sur les lacs malgré le rôle qu'elles jouent dans la prolifération des algues bleues en rebrassant les sédiments.
Bref, compte tenu de l'ampleur du problème, les mesures prises sont clairement timides et insuffisantes. Dans les Laurentides, où plusieurs lacs souffrent d'un nombre trop important de chalets sur leurs rives avec des aménagements trop léchés et où le développement immobilier devrait connaître un taux de croissance trois fois plus élevé que la moyenne du Québec au cours des 15 prochaines années, ce manque de courage devra indéniablement être compensé par des actions concrètes des résidents et des municipalités. Comme le rappelait Serge Bouchard lors du premier forum sur les lacs en 2006, « on ne va pas réparer d'un coup 150 ans de comportements anarchiques, mais nous pouvons tourner, virer de cap pour nos enfants. Pour nos enfants, bien sûr, mais pour l'avenir. »
Permalink 09:46 am, Eric Nicol / Actualités, 667 mots
Algues bleues et avenir noir
par Frédérique David
L'an dernier, à pareille date, c'était la consternation. Le Québec semblait envahi par cette algue maudite qui colore l'eau des lacs d'un bleu-vert redoutable. Dans les Laurentides, une vingtaine de lacs étaient contaminés et leurs plages avaient été rapidement désertées.
Aujourd'hui, le ministère de l'Environnement n'en recense plus que deux au Québec, et aucun dans les Laurentides. Nos 7000 lacs laurentiens se seraient donc débarrassés des algues bleues (aussi appelées algues bleu-vert ou cyanobactéries)? Ne nous réjouissons pas si vite. La situation n'est malheureusement pas aussi belle qu'on nous la laisse croire. En réalité, Québec n'avise plus la population de la présence d'algues bleues dans un plan d'eau, à moins que la concentration des toxines libérées par les algues compromette la santé des baigneurs ou des consommateurs d'eau. Cette nouvelle politique a été adoptée au printemps, visiblement pour des raisons économiques afin que les touristes ne désertent pas nos régions et que les propriétaires de maisons au bord des lacs ne voient pas leur propriété perdre de la valeur. Plusieurs organismes environnementaux déplorent toutefois cette nouvelle pratique qui tend à étouffer le problème. Il ne faudrait pas, en effet, que la population cesse de lutter contre les algues bleues qui sont toujours présentes et qui menacent toujours notre santé. Le problème, lié à une surcharge de phosphore, a mis des années à s'installer et nécessitera plusieurs années pour se résorber, même en prenant les mesures nécessaires rapidement.
Parlons-en, justement, des mesures adoptées. On en compte bien quelques-unes, certes, mais elles sont encore trop peu nombreuses. Le gouvernement québécois a notamment adopté une réglementation interdisant la mise en marché de certains détergents phosphatés, mais elle n'entrera en vigueur qu'en juillet 2010.
Le gouvernement a également donné plus de pouvoir aux municipalités, notamment pour qu'elles puissent contrôler plus facilement les équipements septiques qui contribuent à l'apparition de cyanobactéries dans plusieurs lacs. Pour inciter les municipalités à poursuivre les contrevenants, ce qu'elles ne faisaient pas parce que cela coûtait trop cher, les amendes imposées par les tribunaux profiteront aux coffres municipaux. Cependant, le gouvernement n'imposera pas aux municipalités de dresser un inventaire exhaustif de l'état des installations septiques sur leur territoire.
Quant au contrôle des bandes riveraines, qu'il faudrait laisser à l'état le plus sauvage possible plutôt que de mettre du gazon partout et de couper les arbres qui cachent la vue du lac, rien n'indique que la situation s'améliorera significativement. Le contrôle de ces bandes riveraines est laissé aux MRC qui n'ont jamais appliqué les normes avec vigueur au cours des dernières années. Québec se garde le contrôle des bandes riveraines en milieu agricole, qu'il limite à trois mètres alors qu'il en faudrait cinq, et pour lesquelles il compte un nombre insuffisant d'inspecteurs.
Rien n'est fait, non plus, pour contrôler l'usage des embarcations sur les lacs malgré le rôle qu'elles jouent dans la prolifération des algues bleues en rebrassant les sédiments.
Bref, compte tenu de l'ampleur du problème, les mesures prises sont clairement timides et insuffisantes. Dans les Laurentides, où plusieurs lacs souffrent d'un nombre trop important de chalets sur leurs rives avec des aménagements trop léchés et où le développement immobilier devrait connaître un taux de croissance trois fois plus élevé que la moyenne du Québec au cours des 15 prochaines années, ce manque de courage devra indéniablement être compensé par des actions concrètes des résidents et des municipalités. Comme le rappelait Serge Bouchard lors du premier forum sur les lacs en 2006, « on ne va pas réparer d'un coup 150 ans de comportements anarchiques, mais nous pouvons tourner, virer de cap pour nos enfants. Pour nos enfants, bien sûr, mais pour l'avenir. »
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]
Citation :
Le vendredi 04 juillet 2008
Algues bleues: le lac Bleu, en Montérégie, est interdit à la baignade
La Presse Canadienne
Montréal
Le lac Bleu, situé à L'Ange-Gardien, en Montérégie, est interdit à la baignade depuis jeudi parce que contaminé par les algues bleues.
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Une mise en garde de l'Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie précise que l'utilisation de l'eau du lac Bleu est «dangereuse pour la santé».
Il s'agit du premier lac faisant l'objet d'un tel avis cette saison.
Le gouvernement garde secrète la liste des plans d'eau affectés par les cyanobactéries sans qu'il soit interdit de s'y baigner.
Toutefois, Le Journal de Montréal a pu en identifier une dizaine.
Six sont situés dans les Laurentides: le Petit Lac noir, le lac Caron, le lac Quenouille, le lac Carré, le lac Saint-Amour et le lac Pope. Deux sont en Montérégie: le réservoir Choinière et le lac Waterloo. Et deux autres sont au Saguenay-Lac-Saint-Jean: le lac Vert et le lac Kénogamimiche
Le vendredi 04 juillet 2008
Algues bleues: le lac Bleu, en Montérégie, est interdit à la baignade
La Presse Canadienne
Montréal
Le lac Bleu, situé à L'Ange-Gardien, en Montérégie, est interdit à la baignade depuis jeudi parce que contaminé par les algues bleues.
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Une mise en garde de l'Agence de la santé et des services sociaux de la Montérégie précise que l'utilisation de l'eau du lac Bleu est «dangereuse pour la santé».
Il s'agit du premier lac faisant l'objet d'un tel avis cette saison.
Le gouvernement garde secrète la liste des plans d'eau affectés par les cyanobactéries sans qu'il soit interdit de s'y baigner.
Toutefois, Le Journal de Montréal a pu en identifier une dizaine.
Six sont situés dans les Laurentides: le Petit Lac noir, le lac Caron, le lac Quenouille, le lac Carré, le lac Saint-Amour et le lac Pope. Deux sont en Montérégie: le réservoir Choinière et le lac Waterloo. Et deux autres sont au Saguenay-Lac-Saint-Jean: le lac Vert et le lac Kénogamimiche
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]
Une partie des chalets du lac taureau situé sur les terres de la couronne n'ont aucunes installation septiques.. C'est le bateau laboratoire de Certi-Lab qui vient d'en faire la découverte en cherchant d'où provenait les algues-bleues... Je cherche de l'info là-dessus et je reviens..
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]
linus611 a écritQuel sont les deux lacs en question s.v.p. J'ai une petite excursion a faire dans ce coin la.
Merci.
Je sais qu'il y en a un dans le bout de Saint-Donat et l'autre dans les environs de Tremblant, mais je ne me rappelle plus Et c'est très difficile de trouver l'info... J'ai vu ça dans les hebdos de quartier mais je ne les ai plus... Je vais y revenir...
Merci.
Je sais qu'il y en a un dans le bout de Saint-Donat et l'autre dans les environs de Tremblant, mais je ne me rappelle plus Et c'est très difficile de trouver l'info... J'ai vu ça dans les hebdos de quartier mais je ne les ai plus... Je vais y revenir...
[img]http://www.ledetracteur.com/wp-content/telechargements/2010/04/claude_robinson.jpg[/img]