Une adolescente portée disparue dans le Centre-du-Québec
Nikki. a écrit
Ça m'intrigue, car quand tu as une fille de 17-18 ans, tu dois aussi accepter qu'elle ne sera pas là à 2 heures du matin... TK, quand la mienne sort à 22 heures, moi je vais au dodo à ce moment alors il y aurait des chances que je ne me rende pas compte qu'elle n'est pas rentrée...
Ceux et celles qui ont des filles de 17-18 ans, vous le savez hein?
Moi à cette âge la, même si je rentrais tard, je devais dire une heure ou j'allais rentrer pour ne pas que m'a mère s'inquiète et si il arrivait quelque chose elle serait au courant
Ça m'intrigue, car quand tu as une fille de 17-18 ans, tu dois aussi accepter qu'elle ne sera pas là à 2 heures du matin... TK, quand la mienne sort à 22 heures, moi je vais au dodo à ce moment alors il y aurait des chances que je ne me rende pas compte qu'elle n'est pas rentrée...
Ceux et celles qui ont des filles de 17-18 ans, vous le savez hein?
Moi à cette âge la, même si je rentrais tard, je devais dire une heure ou j'allais rentrer pour ne pas que m'a mère s'inquiète et si il arrivait quelque chose elle serait au courant
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- RedShadow2
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- Inscription : lun. juil. 12, 2004 12:00 am
brunetta a écrit
Je ne sais pas et on a dit aussi que le père avait un lourd passé judiciaire. Il est connu des policiers depuis ses 19 ans.
Le problème c'est qu'on garde pas les criminels en prison. Ça coute trop cher. On leur donne une petite tape sur les doigts et on les libère. Ce n'est pas la première victime de ce système et ce ne sera pas la dernière malheureusement. :/
Je ne sais pas et on a dit aussi que le père avait un lourd passé judiciaire. Il est connu des policiers depuis ses 19 ans.
Le problème c'est qu'on garde pas les criminels en prison. Ça coute trop cher. On leur donne une petite tape sur les doigts et on les libère. Ce n'est pas la première victime de ce système et ce ne sera pas la dernière malheureusement. :/
RedShadow2 a écrit
Le problème c'est qu'on garde pas les criminels en prison. Ça coute trop cher. On leur donne une petite tape sur les doigts et on les libère. Ce n'est pas la première victime de ce système et ce ne sera pas la dernière malheureusement. :/
Tu as malheureusement raison je souhaite qu'il écope d'une peine très lourde pour que ça donne l'exemple.
Le problème c'est qu'on garde pas les criminels en prison. Ça coute trop cher. On leur donne une petite tape sur les doigts et on les libère. Ce n'est pas la première victime de ce système et ce ne sera pas la dernière malheureusement. :/
Tu as malheureusement raison je souhaite qu'il écope d'une peine très lourde pour que ça donne l'exemple.
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Demi a écrit Comme il est dit au nouvelle, elle aurait paniqué lorsqu'il lui a dit que sa mère se faisait battre... finalement c'est elle qui c'est fait battre jusqu'à en mourir
Sais-tu je crois que j'aurais paniqué aussi en apprenant que ma mère se faisait battre.
L'écoeurant
Sais-tu je crois que j'aurais paniqué aussi en apprenant que ma mère se faisait battre.
L'écoeurant
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brunetta a écritSon copain a dit que son père a fait croire à la jeune que sa mère se faisait battre à Montréal et c'est pour cette raison qu'elle est partie avec lui dans l'auto.
Est-ce que le copain a téléphoné à la mère?
Je ne sais pas et on a dit aussi que le père avait un lourd passé judiciaire. Il est connu des policiers depuis ses 19 ans. Comme il est dit au nouvelle, elle aurait paniqué lorsqu'il lui a dit que sa mère se faisait battre... finalement c'est elle qui c'est fait battre jusqu'à en mourir
Est-ce que le copain a téléphoné à la mère?
Je ne sais pas et on a dit aussi que le père avait un lourd passé judiciaire. Il est connu des policiers depuis ses 19 ans. Comme il est dit au nouvelle, elle aurait paniqué lorsqu'il lui a dit que sa mère se faisait battre... finalement c'est elle qui c'est fait battre jusqu'à en mourir
«Aimer c'est la moitié de Croire.»
Dégueulasse...
--------------------------------------------
On parle de la jeune fille et de la maman parce que c'est la jeune fille la victime mais le fils de mr doit pas filer ben ben fort. --
«J'en veux à mon père»
Marc Gendron
Le Journal de Montréal
31/07/2008 05h04 - Mise à jour 31/07/2008 09h55
«Mon père a fait croire à Mélissa qu'il était arrivé quelque chose à sa mère. Je ne voulais pas qu'elle parte avec lui, mais elle ne m'a pas écouté.»
C'est en ces mots qu'Alexandre Bérard, 19 ans, copain de la jeune Mélissa Beaudin et fils de son présumé agresseur, a expliqué pourquoi la jeune fille a accepté de suivre Richard Bérard.
«Mon père avait pris pas mal de poudre (cocaïne). Il s'est mis à lui faire croire que sa mère se faisait battre, poursuit le jeune homme de 19 ans, ébranlé par tout ce qu'il vient de traverser.
«Il lui a offert de la reconduire jusque chez elle, à Montréal.»
L'adolescente, prise de panique malgré sa sobriété, a tout de suite accepté la proposition de Richard Bérard.
Alexandre Bérard raconte aussi qu'il a bien tenté d'empêcher sa copine de suivre son père, mais que celui-ci l'a engueulé et empêché de les suivre.
«J'ai appelé la mère de Mélissa pour voir si c'était vrai qu'il lui était arrivé quelque chose, reprend le jeune homme.
«Quand j'ai vu que ce que mon père racontait n'était pas vrai, je lui ai dit que Mélissa était partie avec lui.»
C'est à ce moment que la mère de la jeune fille a alerté les policiers.
Déchiré
Alexandre Bérard savait que son père traînait un lourd passé criminel et qu'il avait un problème de consommation de cocaïne, mais il ne le croyait pas capable de commettre un geste aussi insensé.
«Je ne le voyais pas souvent, mais je sais qu'il s'occupait très bien de mes petites soeurs et de mon petit frère», dit-il.
Encore sous le choc, il dit ne plus savoir quoi penser de son père.
«J'ai déchiré toutes ses photos, dit-il. Je lui en veux pour ce qu'il a fait, mais c'est quand même mon père.»
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
LeeLou a écrit
Dégueulasse...
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Marc Gendron
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«Mon père a fait croire à Mélissa qu'il était arrivé quelque chose à sa mère. Je ne voulais pas qu'elle parte avec lui, mais elle ne m'a pas écouté.»
C'est en ces mots qu'Alexandre Bérard, 19 ans, copain de la jeune Mélissa Beaudin et fils de son présumé agresseur, a expliqué pourquoi la jeune fille a accepté de suivre Richard Bérard.
«Mon père avait pris pas mal de poudre (cocaïne). Il s'est mis à lui faire croire que sa mère se faisait battre, poursuit le jeune homme de 19 ans, ébranlé par tout ce qu'il vient de traverser.
«Il lui a offert de la reconduire jusque chez elle, à Montréal.»
L'adolescente, prise de panique malgré sa sobriété, a tout de suite accepté la proposition de Richard Bérard.
Alexandre Bérard raconte aussi qu'il a bien tenté d'empêcher sa copine de suivre son père, mais que celui-ci l'a engueulé et empêché de les suivre.
«J'ai appelé la mère de Mélissa pour voir si c'était vrai qu'il lui était arrivé quelque chose, reprend le jeune homme.
«Quand j'ai vu que ce que mon père racontait n'était pas vrai, je lui ai dit que Mélissa était partie avec lui.»
C'est à ce moment que la mère de la jeune fille a alerté les policiers.
Déchiré
Alexandre Bérard savait que son père traînait un lourd passé criminel et qu'il avait un problème de consommation de cocaïne, mais il ne le croyait pas capable de commettre un geste aussi insensé.
«Je ne le voyais pas souvent, mais je sais qu'il s'occupait très bien de mes petites soeurs et de mon petit frère», dit-il.
Encore sous le choc, il dit ne plus savoir quoi penser de son père.
«J'ai déchiré toutes ses photos, dit-il. Je lui en veux pour ce qu'il a fait, mais c'est quand même mon père.»
C'est une très triste histoire entre une Fille et sa Mère et un Fils et son Père !
Dégueulasse...
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«Mon père a fait croire à Mélissa qu'il était arrivé quelque chose à sa mère. Je ne voulais pas qu'elle parte avec lui, mais elle ne m'a pas écouté.»
C'est en ces mots qu'Alexandre Bérard, 19 ans, copain de la jeune Mélissa Beaudin et fils de son présumé agresseur, a expliqué pourquoi la jeune fille a accepté de suivre Richard Bérard.
«Mon père avait pris pas mal de poudre (cocaïne). Il s'est mis à lui faire croire que sa mère se faisait battre, poursuit le jeune homme de 19 ans, ébranlé par tout ce qu'il vient de traverser.
«Il lui a offert de la reconduire jusque chez elle, à Montréal.»
L'adolescente, prise de panique malgré sa sobriété, a tout de suite accepté la proposition de Richard Bérard.
Alexandre Bérard raconte aussi qu'il a bien tenté d'empêcher sa copine de suivre son père, mais que celui-ci l'a engueulé et empêché de les suivre.
«J'ai appelé la mère de Mélissa pour voir si c'était vrai qu'il lui était arrivé quelque chose, reprend le jeune homme.
«Quand j'ai vu que ce que mon père racontait n'était pas vrai, je lui ai dit que Mélissa était partie avec lui.»
C'est à ce moment que la mère de la jeune fille a alerté les policiers.
Déchiré
Alexandre Bérard savait que son père traînait un lourd passé criminel et qu'il avait un problème de consommation de cocaïne, mais il ne le croyait pas capable de commettre un geste aussi insensé.
«Je ne le voyais pas souvent, mais je sais qu'il s'occupait très bien de mes petites soeurs et de mon petit frère», dit-il.
Encore sous le choc, il dit ne plus savoir quoi penser de son père.
«J'ai déchiré toutes ses photos, dit-il. Je lui en veux pour ce qu'il a fait, mais c'est quand même mon père.»
C'est une très triste histoire entre une Fille et sa Mère et un Fils et son Père !
«Aimer c'est la moitié de Croire.»
LeeLou a écrit
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«Mon père a fait croire à Mélissa qu'il était arrivé quelque chose à sa mère. Je ne voulais pas qu'elle parte avec lui, mais elle ne m'a pas écouté.»
C'est en ces mots qu'Alexandre Bérard, 19 ans, copain de la jeune Mélissa Beaudin et fils de son présumé agresseur, a expliqué pourquoi la jeune fille a accepté de suivre Richard Bérard.
«Mon père avait pris pas mal de poudre (cocaïne). Il s'est mis à lui faire croire que sa mère se faisait battre, poursuit le jeune homme de 19 ans, ébranlé par tout ce qu'il vient de traverser.
«Il lui a offert de la reconduire jusque chez elle, à Montréal.»
L'adolescente, prise de panique malgré sa sobriété, a tout de suite accepté la proposition de Richard Bérard.
Alexandre Bérard raconte aussi qu'il a bien tenté d'empêcher sa copine de suivre son père, mais que celui-ci l'a engueulé et empêché de les suivre.
«J'ai appelé la mère de Mélissa pour voir si c'était vrai qu'il lui était arrivé quelque chose, reprend le jeune homme.
«Quand j'ai vu que ce que mon père racontait n'était pas vrai, je lui ai dit que Mélissa était partie avec lui.»
C'est à ce moment que la mère de la jeune fille a alerté les policiers.
Déchiré
Alexandre Bérard savait que son père traînait un lourd passé criminel et qu'il avait un problème de consommation de cocaïne, mais il ne le croyait pas capable de commettre un geste aussi insensé.
«Je ne le voyais pas souvent, mais je sais qu'il s'occupait très bien de mes petites soeurs et de mon petit frère», dit-il.
Encore sous le choc, il dit ne plus savoir quoi penser de son père.
«J'ai déchiré toutes ses photos, dit-il. Je lui en veux pour ce qu'il a fait, mais c'est quand même mon père.»
Le jour ou les pushers seront accusés de complicité de meurtres sera peut-être le jour où toutes ses écoeuranteries diminueront.
Mais pour ça, faudra attendre encore longtemps car ça réfléchit pas fort fort dans nos gouvernements.
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«J'en veux à mon père»
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Le Journal de Montréal
31/07/2008 05h04 - Mise à jour 31/07/2008 09h55
«Mon père a fait croire à Mélissa qu'il était arrivé quelque chose à sa mère. Je ne voulais pas qu'elle parte avec lui, mais elle ne m'a pas écouté.»
C'est en ces mots qu'Alexandre Bérard, 19 ans, copain de la jeune Mélissa Beaudin et fils de son présumé agresseur, a expliqué pourquoi la jeune fille a accepté de suivre Richard Bérard.
«Mon père avait pris pas mal de poudre (cocaïne). Il s'est mis à lui faire croire que sa mère se faisait battre, poursuit le jeune homme de 19 ans, ébranlé par tout ce qu'il vient de traverser.
«Il lui a offert de la reconduire jusque chez elle, à Montréal.»
L'adolescente, prise de panique malgré sa sobriété, a tout de suite accepté la proposition de Richard Bérard.
Alexandre Bérard raconte aussi qu'il a bien tenté d'empêcher sa copine de suivre son père, mais que celui-ci l'a engueulé et empêché de les suivre.
«J'ai appelé la mère de Mélissa pour voir si c'était vrai qu'il lui était arrivé quelque chose, reprend le jeune homme.
«Quand j'ai vu que ce que mon père racontait n'était pas vrai, je lui ai dit que Mélissa était partie avec lui.»
C'est à ce moment que la mère de la jeune fille a alerté les policiers.
Déchiré
Alexandre Bérard savait que son père traînait un lourd passé criminel et qu'il avait un problème de consommation de cocaïne, mais il ne le croyait pas capable de commettre un geste aussi insensé.
«Je ne le voyais pas souvent, mais je sais qu'il s'occupait très bien de mes petites soeurs et de mon petit frère», dit-il.
Encore sous le choc, il dit ne plus savoir quoi penser de son père.
«J'ai déchiré toutes ses photos, dit-il. Je lui en veux pour ce qu'il a fait, mais c'est quand même mon père.»
Le jour ou les pushers seront accusés de complicité de meurtres sera peut-être le jour où toutes ses écoeuranteries diminueront.
Mais pour ça, faudra attendre encore longtemps car ça réfléchit pas fort fort dans nos gouvernements.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
apbt a écritQuelle sordide affaire!
Le fils doit être tout viré à l'envers! ton père qui a assassiné ta petite amie
Y a aussi les autres enfants de cet homme, ça ne sera pas facile pour eux non plus avec le retour en classes pour bientôt. Tout plein de vies brisées pour un geste fou comme ça.... Sans oublier la maman de ces enfants la, qui doit être en état de panique elle aussi !!!
Le fils doit être tout viré à l'envers! ton père qui a assassiné ta petite amie
Y a aussi les autres enfants de cet homme, ça ne sera pas facile pour eux non plus avec le retour en classes pour bientôt. Tout plein de vies brisées pour un geste fou comme ça.... Sans oublier la maman de ces enfants la, qui doit être en état de panique elle aussi !!!
«Aimer c'est la moitié de Croire.»
Moi les gens qui passent à la télé après un drame semblable et qui disent être surpris car l'accusé semblait tellement être un bon gars.. Souvent c'est pour s'enlever des remords de conscience d'avoir rien remarqué de croche avant. Le proprio Mario Cardin je le connais très bien et mettons qu'il est loin d'être une reférence en ce qui concerne à qui il laisserait la garde de ses enfants (c'est à dire pas mal n'importe qui). Il circule lui même dans un milieu asser rock 'n roll. --Message edité par IzzyStardust le 2008-07-31 13:13:21--
lélou a écrit
Ça ne "prenait" pas ce crime là, à mon sens, on aurait bien pu s'en passer
Je pense que Son Excellence est Anglophone c'est peut-être pour cette raison que ses phrases prennent une tournure assez choquantes et surprenantes quelques fois ...peut-être que je me trompe mais j'ai souvent cette impression-là...
Ça ne "prenait" pas ce crime là, à mon sens, on aurait bien pu s'en passer
Je pense que Son Excellence est Anglophone c'est peut-être pour cette raison que ses phrases prennent une tournure assez choquantes et surprenantes quelques fois ...peut-être que je me trompe mais j'ai souvent cette impression-là...
À notre époque matérialiste,il est plus que jamais essentiel de réserver une place d'honneur au conte de fées.
de Charles Dickens
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- Fleur de Jasmin
- Intronisé au Panthéon
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- Inscription : ven. avr. 09, 2004 12:00 am