La Sulfureuse a écrit
Reste à voir ce que ça va donner en Cour d'Appel
D'après moi, cette cause ne devrait même pas être là... C'est une erreur de la part de cette juge je pense...
Fille de 12 ans devant le Juge pour contester punition de son père
-
La Sulfureuse
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1349
- Inscription : dim. nov. 04, 2007 12:00 am
Beppo a écritJe ne suis pas surpris que nous en soyons rendus là et je vous prédis que nous allons être de plus en plus témoins de procédures du genre.
Il m'est arrivé à plusieurs reprises de voir des parents contestés et même annulés des sanctions que l'enseignant imposait à un jeune. Par exemple, de lui refuser de reprendre un devoir ou de faire une copie car jugeant que c'était non-mérité. Maintenant, les parents se font contester par un juge...
J'avoue qu'il m'est arrivé de trouver qu'un sanction donnée par l'école à un de mes enfants était injustifiée. Par contre, je ne suis jamais retournée à l'école pour que mon fils s'en sauve... je lui disais que même si il trouvait ça injuste et con.... c'est ça qui est ça!
Je ne voudrais pas que l'école vienne dans ma maison me dire comment élever mes enfants et comment les punir alors je n'irai certainement pas jouer dans leur plates-bandes
Il m'est arrivé à plusieurs reprises de voir des parents contestés et même annulés des sanctions que l'enseignant imposait à un jeune. Par exemple, de lui refuser de reprendre un devoir ou de faire une copie car jugeant que c'était non-mérité. Maintenant, les parents se font contester par un juge...
J'avoue qu'il m'est arrivé de trouver qu'un sanction donnée par l'école à un de mes enfants était injustifiée. Par contre, je ne suis jamais retournée à l'école pour que mon fils s'en sauve... je lui disais que même si il trouvait ça injuste et con.... c'est ça qui est ça!
Je ne voudrais pas que l'école vienne dans ma maison me dire comment élever mes enfants et comment les punir alors je n'irai certainement pas jouer dans leur plates-bandes
Some people deserve to be hi-fived.... in the face.... with a chair!
Beppo a écrit
J'ai entendu son commentaire à propos des salles de retrait dans les classes et j'en ai eu assez. Elle n'est pas plus brillante qu'il faut parfois, souvent.
Elle est toujours du bord des enfants. Elle a dit quoi a propos
des salles de retrait? Je ne l'ai pas entendu.
J'ai entendu son commentaire à propos des salles de retrait dans les classes et j'en ai eu assez. Elle n'est pas plus brillante qu'il faut parfois, souvent.
Elle est toujours du bord des enfants. Elle a dit quoi a propos
des salles de retrait? Je ne l'ai pas entendu.
[img]http://i39.tinypic.com/34pz96r.jpg[/img] [img]http://i53.tinypic.com/fq70k.jpg[/img]
-
La Sulfureuse
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1349
- Inscription : dim. nov. 04, 2007 12:00 am
Jadomo a écritIl se passera quoi si le père gagne son appel? La jeune fille ne pourra pas faire son voyage scolaire qu'elle a déja fait?
Moi je dis que c'est ça qui va arriver
Moi je dis que c'est ça qui va arriver
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
-
La Sulfureuse
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1349
- Inscription : dim. nov. 04, 2007 12:00 am
-
Fleur de Jasmin
- Intronisé au Panthéon
- Messages : 26283
- Inscription : ven. avr. 09, 2004 12:00 am
Red Ketchup a écrit
Aucune idée, je ne la connais pas.
Mais, à l'inverse, peut-être aussi que les parents ont mis le trouble dans sa vie et que sa nouvelle marâtre de belle-mère influence son père pour lui donner des peines plus sévère que la normal?
En espérant que la belle-mère ne mette pas les mains de la pauvre petite sur un rond de poêle allumé.
En tous cas, dans l'article précédent, elle a mit la main sur le journaliste.
Ce qui d'ailleurs me fait croire, qu'elle outrepasse son rôle de belle-mère. --Message edité par Fleur de Jasmin le 2008-06-21 01:07:16--
Aucune idée, je ne la connais pas.
Mais, à l'inverse, peut-être aussi que les parents ont mis le trouble dans sa vie et que sa nouvelle marâtre de belle-mère influence son père pour lui donner des peines plus sévère que la normal?
En espérant que la belle-mère ne mette pas les mains de la pauvre petite sur un rond de poêle allumé.
En tous cas, dans l'article précédent, elle a mit la main sur le journaliste.
Ce qui d'ailleurs me fait croire, qu'elle outrepasse son rôle de belle-mère. --Message edité par Fleur de Jasmin le 2008-06-21 01:07:16--
Une fois qu'on a donné son opinion; il serait logique qu'on ne l'ait plus. (Albert Brie) 
La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
-
Thewinneris
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5728
- Inscription : mer. avr. 02, 2003 1:00 am
Adelou a écrithttp://www.cyberpresse.ca/article/20080617/CPO ... 76/CPDROIT
Érosion d'autorité
Pierre Jury
Le Droit
Il y a des chicanes de famille qui dégénèrent. Comme celle d'un enfant qui traîne son papa devant les tribunaux, rapportée dans notre édition de samedi. Une affaire si renversante que nous sommes en droit de nous demander où tout cela nous mènera...
L'autorité parentale est un concept aux frontières floues et c'est précisément là-dessus que la juge Suzanne Tessier, de la Cour supérieure du Québec, a été appelée à trancher récemment. Un père qui a la garde sa jeune fille de 12 ans est confronté à des difficultés de comportement. Le père a déjà imposé un certain nombre de punitions. La plus importante conséquence l'interdisait de participer à un voyage scolaire de trois jours organisé pour tous les finissants de 6e année de l'école primaire. La jeune fille a décidé de consulter un avocat (!) et la juge Tessier a donné raison à l'adolescente qui aurait, a-t-on rapporté, d'excellents résultats scolaires.
Deux éléments méritent que l'on s'attarde à ce cas. D'abord, la judiciarisation d'événements aussi courants que regrettables dans le quotidien des familles. Il faut se demander jusqu'à quel point notre société doit permettre que des recours juridiques soient permis pour régler des différents de nature personnelle ou familiale. Le processus de maturation des adolescents provoque son lot de bouleversements dans le noyau familial ; il nous semble assez incroyable que le système juridique ait encouragé une avocate, d'abord, à accepter cette adolescente comme cliente, puis à la cour d'accepter d'entendre cette cause. Cette affaire nous semble à première vue un bel exemple d'un tribunal qui refuse d'entendre une cause parce qu'elle relève du domaine privé et non pas du domaine public.
À une époque où l'on parle beaucoup du rôle de médiateur que veut jouer la profession d'avocat, voici un bel exemple d'un cas où la procureure aurait mieux fait de s'imposer comme intermédiaire entre les parties en conflit, plutôt que de présenter la cause devant le tribunal. La cour n'a-t-elle par ailleurs pas des causes plus importantes à trancher que les querelles entre une adolescente et son père ?
Et puis il y a toute la question de l'autorité parentale qui entre en jeu dans cette décision. Les enfants d'aujourd'hui sont vite à se mettre dans le camp des parties lésées et réclamer le respect de leurs "droits", même s'ils ne savent pas trop ce que ça veut dire. Ce qu'ils savent, c'est que "droit" est l'inverse de "devoir"... un mot qu'ils connaissent trop bien. Et puis les plus tordus savent qu'avant 18 ans, à peu près tous les crimes, des plus bénins aux plus vils, leur sont pardonnés. En attribuant crédibilité à une cause pareille, le tribunal érode encore plus l'autorité parentale. Le mot se passera vite parmi les adolescents : tes parents t'emmerdent avec leurs punitions ? Traîne-les en cour !
********************************
On en est rendus là...Quel non-sens...!!
Bien que le père ait la garde complète et légale de sa fille, celle-ci ne s'entend pas avec la conjointe de son père et vit chez sa mère.
Le père a décidé de porter la décision en appel. Espérons que la Cour d'appel renversera cette décision absurde! Sinon, cela fera jurisprudence... Dans ce cas, parents, attachez bien vos tuques!!!
Tout ce que j'ai souligné en vert dit tout, cette cause n'aurait jamais du être entendue en cour et je pense la même chose pour les accommodements religieux qui entendent des causes pour convictions personnelles! --Message edité par Thewinneris le 2008-06-21 01:26:32--
Érosion d'autorité
Pierre Jury
Le Droit
Il y a des chicanes de famille qui dégénèrent. Comme celle d'un enfant qui traîne son papa devant les tribunaux, rapportée dans notre édition de samedi. Une affaire si renversante que nous sommes en droit de nous demander où tout cela nous mènera...
L'autorité parentale est un concept aux frontières floues et c'est précisément là-dessus que la juge Suzanne Tessier, de la Cour supérieure du Québec, a été appelée à trancher récemment. Un père qui a la garde sa jeune fille de 12 ans est confronté à des difficultés de comportement. Le père a déjà imposé un certain nombre de punitions. La plus importante conséquence l'interdisait de participer à un voyage scolaire de trois jours organisé pour tous les finissants de 6e année de l'école primaire. La jeune fille a décidé de consulter un avocat (!) et la juge Tessier a donné raison à l'adolescente qui aurait, a-t-on rapporté, d'excellents résultats scolaires.
Deux éléments méritent que l'on s'attarde à ce cas. D'abord, la judiciarisation d'événements aussi courants que regrettables dans le quotidien des familles. Il faut se demander jusqu'à quel point notre société doit permettre que des recours juridiques soient permis pour régler des différents de nature personnelle ou familiale. Le processus de maturation des adolescents provoque son lot de bouleversements dans le noyau familial ; il nous semble assez incroyable que le système juridique ait encouragé une avocate, d'abord, à accepter cette adolescente comme cliente, puis à la cour d'accepter d'entendre cette cause. Cette affaire nous semble à première vue un bel exemple d'un tribunal qui refuse d'entendre une cause parce qu'elle relève du domaine privé et non pas du domaine public.
À une époque où l'on parle beaucoup du rôle de médiateur que veut jouer la profession d'avocat, voici un bel exemple d'un cas où la procureure aurait mieux fait de s'imposer comme intermédiaire entre les parties en conflit, plutôt que de présenter la cause devant le tribunal. La cour n'a-t-elle par ailleurs pas des causes plus importantes à trancher que les querelles entre une adolescente et son père ?
Et puis il y a toute la question de l'autorité parentale qui entre en jeu dans cette décision. Les enfants d'aujourd'hui sont vite à se mettre dans le camp des parties lésées et réclamer le respect de leurs "droits", même s'ils ne savent pas trop ce que ça veut dire. Ce qu'ils savent, c'est que "droit" est l'inverse de "devoir"... un mot qu'ils connaissent trop bien. Et puis les plus tordus savent qu'avant 18 ans, à peu près tous les crimes, des plus bénins aux plus vils, leur sont pardonnés. En attribuant crédibilité à une cause pareille, le tribunal érode encore plus l'autorité parentale. Le mot se passera vite parmi les adolescents : tes parents t'emmerdent avec leurs punitions ? Traîne-les en cour !
********************************
On en est rendus là...Quel non-sens...!!
Bien que le père ait la garde complète et légale de sa fille, celle-ci ne s'entend pas avec la conjointe de son père et vit chez sa mère.
Le père a décidé de porter la décision en appel. Espérons que la Cour d'appel renversera cette décision absurde! Sinon, cela fera jurisprudence... Dans ce cas, parents, attachez bien vos tuques!!!
Tout ce que j'ai souligné en vert dit tout, cette cause n'aurait jamais du être entendue en cour et je pense la même chose pour les accommodements religieux qui entendent des causes pour convictions personnelles! --Message edité par Thewinneris le 2008-06-21 01:26:32--
-
Son Excellence
- Manitou de la Parlotte
- Messages : 1668
- Inscription : lun. mars 26, 2007 12:00 am
Moi je trouve que le pere a prit une décisions de parent responsable concernant ce que sa fille a fait.......
Surtout avec ce qui ce passe sur l ordi avec les pédos........
et que la semaine derniere on parlait a la tv de l exploitation des jeunes filles sur leurs habillement sexe....Moi je crois que la juge n a pas réalisé les consécances que c est photo pouraient avoir sur ordi
En autre mot est pas au courant de ce qui ce passe dans la vraie vie...............
Surtout avec ce qui ce passe sur l ordi avec les pédos........
et que la semaine derniere on parlait a la tv de l exploitation des jeunes filles sur leurs habillement sexe....Moi je crois que la juge n a pas réalisé les consécances que c est photo pouraient avoir sur ordi
En autre mot est pas au courant de ce qui ce passe dans la vraie vie...............
Finalement la juge sera affectée aux causes impliquant uniquement des choses importantes comme les chicanes de clotures dues à un empiètement des branches de l'arbre du voisin, ou encore, les batailles d'écureuils avec les chiens dans les parcs à chiens.
Elle pourra alors pleinement exercer son jugement au grand bonheur de la magistrature qui aura sauvé la face --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-06-21 03:06:10--
Elle pourra alors pleinement exercer son jugement au grand bonheur de la magistrature qui aura sauvé la face --Message edité par Bambi_Smiley le 2008-06-21 03:06:10--
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
chanouille a écritsi la cause devient jurisprudence et que nos enfants pour des riens nous traînent en cours.....comment pourrons-nous appliquer la discipline parentale face a nos adolescent
je suis renversée
quelqu'un sait quand la cause va être porté en appel?
Me Beaudoin doit d'abord avoir la transcrïption de l'audience qui s'est tenue. Elle l'aura en main bientôt, à son retour de vacances, et pourra alors en aviser la Cour d'appel. J'ai l'impression que le processus va s'enclencher assez rapidement par la suite, sauf qu'il reste à voir la disponibilité des juges, mais avec tout le tollé que cette histoire a soulevé dans les médias autant anglophones que francophones, au pays et ailleurs, il serait souhaitable que cette cause soit entendue assez rapidement...!! --Message edité par Adelou le 2008-06-21 02:43:48--
je suis renversée
quelqu'un sait quand la cause va être porté en appel?
Me Beaudoin doit d'abord avoir la transcrïption de l'audience qui s'est tenue. Elle l'aura en main bientôt, à son retour de vacances, et pourra alors en aviser la Cour d'appel. J'ai l'impression que le processus va s'enclencher assez rapidement par la suite, sauf qu'il reste à voir la disponibilité des juges, mais avec tout le tollé que cette histoire a soulevé dans les médias autant anglophones que francophones, au pays et ailleurs, il serait souhaitable que cette cause soit entendue assez rapidement...!! --Message edité par Adelou le 2008-06-21 02:43:48--
Voici un autre cas de contestation d'autorité:
-----------------------------------------------------------------
Collège de L'Assomption
Un bal sous surveillance
Jean-Michel Nahas
Le Journal de Montréal
21/06/2008 08h39
À la suite d'un food fight impliquant une centaine d'élèves du prestigieux Collège de L'Assomption, la direction a choisi de punir seulement dix jeunes en les privant de leur bal de fin d'année, une répression que plusieurs parents et étudiants jugent «injuste et aberrante».
La soirée de promotion des 240 finissants de l'établissement huppé de Lanaudière avait des allures de Sommet des Amériques, hier soir.
À l'entrée de la salle de réception du Buffet Roma, dans l'est de Montréal, trois costauds agents de sécurité munis d'une photo des élèves non admis montaient la garde, sourire en coin. Leur mission: empêcher les 10 «contrevenants» d'entrer à l'intérieur, où la fête battait son plein.
«Quel bal frustrant, il y avait plusieurs filles qui pleuraient à leur table», a lancé Laurence, qui a pu festoyer avec les siens.
Rocambolesque
Cette rocambolesque histoire a débuté le 11 juin dernier, à 1 heure 11 de l'aprèsmidi. En pleine heure de dîner, suivant un concept bien organisé, une bataille de nourriture a éclaté.
Tout y a passé, des fruits et légumes aux poudings. Certains étudiants s'étaient même procuré quatre desserts pour participer le plus possible à l'événement.
Rapidement, les surveillants sont intervenus et ont verrouillé les lieux. L'établissement a alors débuté «son enquête», au dire de son directeur, Pierre Carle. Les élèves présents ont tous rempli un formulaire où ils devaient indiquer leur niveau de participation à cette activité illicite.
À l'aide de la caméra de surveillance de la cafétéria, la direction a ensuite fait corroborer les images vidéo des coupables avec leur déclaration.
Identifiés et bannis
Dix finissants ont été identifiés et bannis du bal, une décision «rigoureuse, mais dissuasive», selon l'Association des parents du collège.
«La dernière prise qu'on avait sur eux, c'était le bal, et il fallait sévir. Une chose est sûre, ceux qui ont été pris sont coupables», a dit Pierre Carle.
Sur le parvis du Buffet Roma, l'ambiance était quasi chaotique lors du passage du Journal. Les 10 finissants exclus qui soupaient avec leurs parents dans un restaurant adjacent à la salle de réception sortaient parfois dehors sous les cris d'encouragement de leurs amis.
Pour ajouter à ce bal sous haute surveillance, le procureur du collège, Me Benoît Sabourin, assistait lui aussi à la soirée puisque les parents frustrés de voir leur jeune écarté du bal ont adressé une mise en demeure à l'école jeudi.
«Mon enfant a lancé le premier raisin, c'est complètement injuste», a lancé une mère, France Pelletier.
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 83900.html
-----------------------------------------------------------------
Collège de L'Assomption
Un bal sous surveillance
Jean-Michel Nahas
Le Journal de Montréal
21/06/2008 08h39
À la suite d'un food fight impliquant une centaine d'élèves du prestigieux Collège de L'Assomption, la direction a choisi de punir seulement dix jeunes en les privant de leur bal de fin d'année, une répression que plusieurs parents et étudiants jugent «injuste et aberrante».
La soirée de promotion des 240 finissants de l'établissement huppé de Lanaudière avait des allures de Sommet des Amériques, hier soir.
À l'entrée de la salle de réception du Buffet Roma, dans l'est de Montréal, trois costauds agents de sécurité munis d'une photo des élèves non admis montaient la garde, sourire en coin. Leur mission: empêcher les 10 «contrevenants» d'entrer à l'intérieur, où la fête battait son plein.
«Quel bal frustrant, il y avait plusieurs filles qui pleuraient à leur table», a lancé Laurence, qui a pu festoyer avec les siens.
Rocambolesque
Cette rocambolesque histoire a débuté le 11 juin dernier, à 1 heure 11 de l'aprèsmidi. En pleine heure de dîner, suivant un concept bien organisé, une bataille de nourriture a éclaté.
Tout y a passé, des fruits et légumes aux poudings. Certains étudiants s'étaient même procuré quatre desserts pour participer le plus possible à l'événement.
Rapidement, les surveillants sont intervenus et ont verrouillé les lieux. L'établissement a alors débuté «son enquête», au dire de son directeur, Pierre Carle. Les élèves présents ont tous rempli un formulaire où ils devaient indiquer leur niveau de participation à cette activité illicite.
À l'aide de la caméra de surveillance de la cafétéria, la direction a ensuite fait corroborer les images vidéo des coupables avec leur déclaration.
Identifiés et bannis
Dix finissants ont été identifiés et bannis du bal, une décision «rigoureuse, mais dissuasive», selon l'Association des parents du collège.
«La dernière prise qu'on avait sur eux, c'était le bal, et il fallait sévir. Une chose est sûre, ceux qui ont été pris sont coupables», a dit Pierre Carle.
Sur le parvis du Buffet Roma, l'ambiance était quasi chaotique lors du passage du Journal. Les 10 finissants exclus qui soupaient avec leurs parents dans un restaurant adjacent à la salle de réception sortaient parfois dehors sous les cris d'encouragement de leurs amis.
Pour ajouter à ce bal sous haute surveillance, le procureur du collège, Me Benoît Sabourin, assistait lui aussi à la soirée puisque les parents frustrés de voir leur jeune écarté du bal ont adressé une mise en demeure à l'école jeudi.
«Mon enfant a lancé le premier raisin, c'est complètement injuste», a lancé une mère, France Pelletier.
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 83900.html
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écritVoici un autre cas de contestation d'autorité:
-----------------------------------------------------------------
Collège de L'Assomption
Un bal sous surveillance
Jean-Michel Nahas
Le Journal de Montréal
21/06/2008 08h39
À la suite d'un food fight impliquant une centaine d'élèves du prestigieux Collège de L'Assomption, la direction a choisi de punir seulement dix jeunes en les privant de leur bal de fin d'année, une répression que plusieurs parents et étudiants jugent «injuste et aberrante».
La soirée de promotion des 240 finissants de l'établissement huppé de Lanaudière avait des allures de Sommet des Amériques, hier soir.
À l'entrée de la salle de réception du Buffet Roma, dans l'est de Montréal, trois costauds agents de sécurité munis d'une photo des élèves non admis montaient la garde, sourire en coin. Leur mission: empêcher les 10 «contrevenants» d'entrer à l'intérieur, où la fête battait son plein.
«Quel bal frustrant, il y avait plusieurs filles qui pleuraient à leur table», a lancé Laurence, qui a pu festoyer avec les siens.
Rocambolesque
Cette rocambolesque histoire a débuté le 11 juin dernier, à 1 heure 11 de l'aprèsmidi. En pleine heure de dîner, suivant un concept bien organisé, une bataille de nourriture a éclaté.
Tout y a passé, des fruits et légumes aux poudings. Certains étudiants s'étaient même procuré quatre desserts pour participer le plus possible à l'événement.
Rapidement, les surveillants sont intervenus et ont verrouillé les lieux. L'établissement a alors débuté «son enquête», au dire de son directeur, Pierre Carle. Les élèves présents ont tous rempli un formulaire où ils devaient indiquer leur niveau de participation à cette activité illicite.
À l'aide de la caméra de surveillance de la cafétéria, la direction a ensuite fait corroborer les images vidéo des coupables avec leur déclaration.
Identifiés et bannis
Dix finissants ont été identifiés et bannis du bal, une décision «rigoureuse, mais dissuasive», selon l'Association des parents du collège.
«La dernière prise qu'on avait sur eux, c'était le bal, et il fallait sévir. Une chose est sûre, ceux qui ont été pris sont coupables», a dit Pierre Carle.
Sur le parvis du Buffet Roma, l'ambiance était quasi chaotique lors du passage du Journal. Les 10 finissants exclus qui soupaient avec leurs parents dans un restaurant adjacent à la salle de réception sortaient parfois dehors sous les cris d'encouragement de leurs amis.
Pour ajouter à ce bal sous haute surveillance, le procureur du collège, Me Benoît Sabourin, assistait lui aussi à la soirée puisque les parents frustrés de voir leur jeune écarté du bal ont adressé une mise en demeure à l'école jeudi.
«Mon enfant a lancé le premier raisin, c'est complètement injuste», a lancé une mère, France Pelletier.
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 83900.html
C'est complètement fou....Les parents ont emmenés leurs chérubins souper au resto près du bal? Ayoye, belle leçon de vie...On ne parle pas d'Enfants de 5 ans ici mais bel et bien de finissants du secondaire 5?
Me semble qu'à cet âge là, les parents ont eu une heure ou deux dans leur horaire chargé pour expliquer à leurs enfants ce qu'est un comportement socialement acceptable? En tout cas, chez moi, la bataille de nourriture n'en fait pas partie....Pas plus que de défier les autorités en place auxquels ils doivent se soumettre.
En tout cas moi, je ne les auraient pas appuyé là-dedans en leur payant un souper au resto
-----------------------------------------------------------------
Collège de L'Assomption
Un bal sous surveillance
Jean-Michel Nahas
Le Journal de Montréal
21/06/2008 08h39
À la suite d'un food fight impliquant une centaine d'élèves du prestigieux Collège de L'Assomption, la direction a choisi de punir seulement dix jeunes en les privant de leur bal de fin d'année, une répression que plusieurs parents et étudiants jugent «injuste et aberrante».
La soirée de promotion des 240 finissants de l'établissement huppé de Lanaudière avait des allures de Sommet des Amériques, hier soir.
À l'entrée de la salle de réception du Buffet Roma, dans l'est de Montréal, trois costauds agents de sécurité munis d'une photo des élèves non admis montaient la garde, sourire en coin. Leur mission: empêcher les 10 «contrevenants» d'entrer à l'intérieur, où la fête battait son plein.
«Quel bal frustrant, il y avait plusieurs filles qui pleuraient à leur table», a lancé Laurence, qui a pu festoyer avec les siens.
Rocambolesque
Cette rocambolesque histoire a débuté le 11 juin dernier, à 1 heure 11 de l'aprèsmidi. En pleine heure de dîner, suivant un concept bien organisé, une bataille de nourriture a éclaté.
Tout y a passé, des fruits et légumes aux poudings. Certains étudiants s'étaient même procuré quatre desserts pour participer le plus possible à l'événement.
Rapidement, les surveillants sont intervenus et ont verrouillé les lieux. L'établissement a alors débuté «son enquête», au dire de son directeur, Pierre Carle. Les élèves présents ont tous rempli un formulaire où ils devaient indiquer leur niveau de participation à cette activité illicite.
À l'aide de la caméra de surveillance de la cafétéria, la direction a ensuite fait corroborer les images vidéo des coupables avec leur déclaration.
Identifiés et bannis
Dix finissants ont été identifiés et bannis du bal, une décision «rigoureuse, mais dissuasive», selon l'Association des parents du collège.
«La dernière prise qu'on avait sur eux, c'était le bal, et il fallait sévir. Une chose est sûre, ceux qui ont été pris sont coupables», a dit Pierre Carle.
Sur le parvis du Buffet Roma, l'ambiance était quasi chaotique lors du passage du Journal. Les 10 finissants exclus qui soupaient avec leurs parents dans un restaurant adjacent à la salle de réception sortaient parfois dehors sous les cris d'encouragement de leurs amis.
Pour ajouter à ce bal sous haute surveillance, le procureur du collège, Me Benoît Sabourin, assistait lui aussi à la soirée puisque les parents frustrés de voir leur jeune écarté du bal ont adressé une mise en demeure à l'école jeudi.
«Mon enfant a lancé le premier raisin, c'est complètement injuste», a lancé une mère, France Pelletier.
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 83900.html
C'est complètement fou....Les parents ont emmenés leurs chérubins souper au resto près du bal? Ayoye, belle leçon de vie...On ne parle pas d'Enfants de 5 ans ici mais bel et bien de finissants du secondaire 5?
Me semble qu'à cet âge là, les parents ont eu une heure ou deux dans leur horaire chargé pour expliquer à leurs enfants ce qu'est un comportement socialement acceptable? En tout cas, chez moi, la bataille de nourriture n'en fait pas partie....Pas plus que de défier les autorités en place auxquels ils doivent se soumettre.
En tout cas moi, je ne les auraient pas appuyé là-dedans en leur payant un souper au resto
Beppo a écritVoici un autre cas de contestation d'autorité:
-----------------------------------------------------------------
Collège de L'Assomption
Un bal sous surveillance
Jean-Michel Nahas
Le Journal de Montréal
21/06/2008 08h39
À la suite d'un food fight impliquant une centaine d'élèves du prestigieux Collège de L'Assomption, la direction a choisi de punir seulement dix jeunes en les privant de leur bal de fin d'année, une répression que plusieurs parents et étudiants jugent «injuste et aberrante».
La soirée de promotion des 240 finissants de l'établissement huppé de Lanaudière avait des allures de Sommet des Amériques, hier soir.
À l'entrée de la salle de réception du Buffet Roma, dans l'est de Montréal, trois costauds agents de sécurité munis d'une photo des élèves non admis montaient la garde, sourire en coin. Leur mission: empêcher les 10 «contrevenants» d'entrer à l'intérieur, où la fête battait son plein.
«Quel bal frustrant, il y avait plusieurs filles qui pleuraient à leur table», a lancé Laurence, qui a pu festoyer avec les siens.
Rocambolesque
Cette rocambolesque histoire a débuté le 11 juin dernier, à 1 heure 11 de l'aprèsmidi. En pleine heure de dîner, suivant un concept bien organisé, une bataille de nourriture a éclaté.
Tout y a passé, des fruits et légumes aux poudings. Certains étudiants s'étaient même procuré quatre desserts pour participer le plus possible à l'événement.
Rapidement, les surveillants sont intervenus et ont verrouillé les lieux. L'établissement a alors débuté «son enquête», au dire de son directeur, Pierre Carle. Les élèves présents ont tous rempli un formulaire où ils devaient indiquer leur niveau de participation à cette activité illicite.
À l'aide de la caméra de surveillance de la cafétéria, la direction a ensuite fait corroborer les images vidéo des coupables avec leur déclaration.
Identifiés et bannis
Dix finissants ont été identifiés et bannis du bal, une décision «rigoureuse, mais dissuasive», selon l'Association des parents du collège.
«La dernière prise qu'on avait sur eux, c'était le bal, et il fallait sévir. Une chose est sûre, ceux qui ont été pris sont coupables», a dit Pierre Carle.
Sur le parvis du Buffet Roma, l'ambiance était quasi chaotique lors du passage du Journal. Les 10 finissants exclus qui soupaient avec leurs parents dans un restaurant adjacent à la salle de réception sortaient parfois dehors sous les cris d'encouragement de leurs amis.
Pour ajouter à ce bal sous haute surveillance, le procureur du collège, Me Benoît Sabourin, assistait lui aussi à la soirée puisque les parents frustrés de voir leur jeune écarté du bal ont adressé une mise en demeure à l'école jeudi.
«Mon enfant a lancé le premier raisin, c'est complètement injuste», a lancé une mère, France Pelletier.
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 83900.html
Pauvre petit chéri, il n'a que lancé le premier raisin et il est puni... C'est tellement injuste...!! Vite, la Juge Tessier à la rescousse...!!
P.S. Je me demande : est-ce qu'on les a aussi obligés à nettoyer les dégâts? Là, ce serait vraiment, mais vraiment injuste...!! --Message edité par Adelou le 2008-06-21 10:07:11--
-----------------------------------------------------------------
Collège de L'Assomption
Un bal sous surveillance
Jean-Michel Nahas
Le Journal de Montréal
21/06/2008 08h39
À la suite d'un food fight impliquant une centaine d'élèves du prestigieux Collège de L'Assomption, la direction a choisi de punir seulement dix jeunes en les privant de leur bal de fin d'année, une répression que plusieurs parents et étudiants jugent «injuste et aberrante».
La soirée de promotion des 240 finissants de l'établissement huppé de Lanaudière avait des allures de Sommet des Amériques, hier soir.
À l'entrée de la salle de réception du Buffet Roma, dans l'est de Montréal, trois costauds agents de sécurité munis d'une photo des élèves non admis montaient la garde, sourire en coin. Leur mission: empêcher les 10 «contrevenants» d'entrer à l'intérieur, où la fête battait son plein.
«Quel bal frustrant, il y avait plusieurs filles qui pleuraient à leur table», a lancé Laurence, qui a pu festoyer avec les siens.
Rocambolesque
Cette rocambolesque histoire a débuté le 11 juin dernier, à 1 heure 11 de l'aprèsmidi. En pleine heure de dîner, suivant un concept bien organisé, une bataille de nourriture a éclaté.
Tout y a passé, des fruits et légumes aux poudings. Certains étudiants s'étaient même procuré quatre desserts pour participer le plus possible à l'événement.
Rapidement, les surveillants sont intervenus et ont verrouillé les lieux. L'établissement a alors débuté «son enquête», au dire de son directeur, Pierre Carle. Les élèves présents ont tous rempli un formulaire où ils devaient indiquer leur niveau de participation à cette activité illicite.
À l'aide de la caméra de surveillance de la cafétéria, la direction a ensuite fait corroborer les images vidéo des coupables avec leur déclaration.
Identifiés et bannis
Dix finissants ont été identifiés et bannis du bal, une décision «rigoureuse, mais dissuasive», selon l'Association des parents du collège.
«La dernière prise qu'on avait sur eux, c'était le bal, et il fallait sévir. Une chose est sûre, ceux qui ont été pris sont coupables», a dit Pierre Carle.
Sur le parvis du Buffet Roma, l'ambiance était quasi chaotique lors du passage du Journal. Les 10 finissants exclus qui soupaient avec leurs parents dans un restaurant adjacent à la salle de réception sortaient parfois dehors sous les cris d'encouragement de leurs amis.
Pour ajouter à ce bal sous haute surveillance, le procureur du collège, Me Benoît Sabourin, assistait lui aussi à la soirée puisque les parents frustrés de voir leur jeune écarté du bal ont adressé une mise en demeure à l'école jeudi.
«Mon enfant a lancé le premier raisin, c'est complètement injuste», a lancé une mère, France Pelletier.
http://www.canoe.com/infos/societe/arch ... 83900.html
Pauvre petit chéri, il n'a que lancé le premier raisin et il est puni... C'est tellement injuste...!! Vite, la Juge Tessier à la rescousse...!!
P.S. Je me demande : est-ce qu'on les a aussi obligés à nettoyer les dégâts? Là, ce serait vraiment, mais vraiment injuste...!! --Message edité par Adelou le 2008-06-21 10:07:11--
Adelou a écrit
Pauvre petit chéri, il n'a que lancé le premier raisin et il est puni... C'est tellement injuste...!! Vite, la Juge Tessier à la rescousse...!!
P.S. Je me demande : est-ce qu'on les a aussi obligés à nettoyer les dégâts? Là, ce serait vraiment, mais vraiment injuste...!!
Il y a aussi eu un food fight au collège de ma fille, et selon ce que j'ai compris, c'est prévu d'avance, et quoique certains donnent le coup d'envoi, par la suite ils sont plusieurs à y participer, et non seulement 10.
On en jasait avec ma fille du nettoyage et elle m'a dit : moi à leur place j'aurais barré les portes de la caféréria et je leur aurait dit : personne sort d'ici avant que vous ayez nettoyé tous les dégats que vous venez de faire
Je trouve pas ça fou
Pauvre petit chéri, il n'a que lancé le premier raisin et il est puni... C'est tellement injuste...!! Vite, la Juge Tessier à la rescousse...!!
P.S. Je me demande : est-ce qu'on les a aussi obligés à nettoyer les dégâts? Là, ce serait vraiment, mais vraiment injuste...!!
Il y a aussi eu un food fight au collège de ma fille, et selon ce que j'ai compris, c'est prévu d'avance, et quoique certains donnent le coup d'envoi, par la suite ils sont plusieurs à y participer, et non seulement 10.
On en jasait avec ma fille du nettoyage et elle m'a dit : moi à leur place j'aurais barré les portes de la caféréria et je leur aurait dit : personne sort d'ici avant que vous ayez nettoyé tous les dégats que vous venez de faire
Je trouve pas ça fou
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Bambi_Smiley a écrit
Il y a aussi eu un food fight au collège de ma fille, et selon ce que j'ai compris, c'est prévu d'avance, et quoique certains donnent le coup d'envoi, par la suite ils sont plusieurs à y participer, et non seulement 10.
On en jasait avec ma fille du nettoyage et elle m'a dit : moi à leur place j'aurais barré les portes de la caféréria et je leur aurait dit : personne sort d'ici avant que vous ayez nettoyé tous les dégats que vous venez de faire
Je trouve pas ça fou
Quand je punis toute ma classe parce que plusieurs jeunes ont été indisciplinés, les parents m'appellent pour me dire que leur petiot ne méritait pas cette sanction car il n'avait rien fait. Qu'est-ce que je fais? Eh non! Ce n'est pas une situation fictive.
--Message edité par Beppo le 2008-06-21 14:13:09--
Il y a aussi eu un food fight au collège de ma fille, et selon ce que j'ai compris, c'est prévu d'avance, et quoique certains donnent le coup d'envoi, par la suite ils sont plusieurs à y participer, et non seulement 10.
On en jasait avec ma fille du nettoyage et elle m'a dit : moi à leur place j'aurais barré les portes de la caféréria et je leur aurait dit : personne sort d'ici avant que vous ayez nettoyé tous les dégats que vous venez de faire
Je trouve pas ça fou
Quand je punis toute ma classe parce que plusieurs jeunes ont été indisciplinés, les parents m'appellent pour me dire que leur petiot ne méritait pas cette sanction car il n'avait rien fait. Qu'est-ce que je fais? Eh non! Ce n'est pas une situation fictive.
--Message edité par Beppo le 2008-06-21 14:13:09--
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
sawman a écritLe pere n'a aucune chance de gagner en appel.Il fais face a 3 femmes :sa fille ,son ex,la juge .C'est encore le méchant homme qui vas payer et les gentilles femmes gagner.
Il n'est pas dit qu'en appel, le juge va être une femme.
Il n'est pas dit qu'en appel, le juge va être une femme.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»