les Québécois sont des champions de l'antiaméricanisme
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Reader's Digest: les Québécois sont des champions de l'antiaméricanisme
La Presse Canadienne
MONTREAL - Le Québec rafle la palme mondiale de l'antiaméricanisme, s'il faut croire un sondage publié par la revue Reader's Digest dans son numéro de novembre.
Selon ce sondage réalisé en juillet dernier dans 17 pays, 24 pour cent des Québécois se disent ouvertement antiaméricains.
Le magazine souligne que Québécois et Américains sont profondément divisés sur les problèmes que vit la planète. Pour les Québécois, l'environnement, la pauvreté et l'économie dominent leurs préoccupations.
Les Américains, de leur côté, s'intéressent peu aux grands défis mondiaux et accordent la priorité à l'économie, au terrorisme et à la guerre en Irak.
Le sondage indique que par ailleurs que les trois quarts des Québécois éliraient Barack Obama à la présidence des Etats-Unis. Mais en dépit des espoirs qu'entretiennent les Québécois sur M. Obama, ils ont une piètre opinion du pays que ce dernier souhaite diriger. Ainsi, rares sont les Québécois qui plieraient bagage demain pour aller y vivre si les frontières étaient ouvertes. Paradoxalement, 52 pour cent des Français disent qu'ils sauteraient sur l'occasion pour s'y installer.
La Presse Canadienne
MONTREAL - Le Québec rafle la palme mondiale de l'antiaméricanisme, s'il faut croire un sondage publié par la revue Reader's Digest dans son numéro de novembre.
Selon ce sondage réalisé en juillet dernier dans 17 pays, 24 pour cent des Québécois se disent ouvertement antiaméricains.
Le magazine souligne que Québécois et Américains sont profondément divisés sur les problèmes que vit la planète. Pour les Québécois, l'environnement, la pauvreté et l'économie dominent leurs préoccupations.
Les Américains, de leur côté, s'intéressent peu aux grands défis mondiaux et accordent la priorité à l'économie, au terrorisme et à la guerre en Irak.
Le sondage indique que par ailleurs que les trois quarts des Québécois éliraient Barack Obama à la présidence des Etats-Unis. Mais en dépit des espoirs qu'entretiennent les Québécois sur M. Obama, ils ont une piètre opinion du pays que ce dernier souhaite diriger. Ainsi, rares sont les Québécois qui plieraient bagage demain pour aller y vivre si les frontières étaient ouvertes. Paradoxalement, 52 pour cent des Français disent qu'ils sauteraient sur l'occasion pour s'y installer.
Prière et chant religieux
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Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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JE ne déteste pas les états-uniens en tant que tel. C'est vraiment plus la culture états-unienne que j'encourage pas. De vouloir toujours voir plus gros et de vouloir imposer sa vision au reste de la planète. Disons que mes croyances diffèrent de celles de états-uniens, ou du moins, de ce nous faisons projeter.
Je n'ai pas voté dans ce sondage tout simplement parce que je déteste pas les états-uniens mais je les aime pas non plus. Je suis "entre deux" ...
Je me rapelle quand je travaillais en Alberta, à Edmonton plus précisément, je n'avais aucun problème avec les personnes que je cotoyais, certaines sont devenus des amis, mais c'est plus ce que je voyais autour, le paysage qui me faisait voir une copie des États-Unis. Tout est gros, et très centrée sur l'argent et le pétrole...
Bref, je ne prône pas leur mode de vie ou leur mentalité. SUrtout ceux qui proclament les républicains
Je n'ai pas voté dans ce sondage tout simplement parce que je déteste pas les états-uniens mais je les aime pas non plus. Je suis "entre deux" ...
Je me rapelle quand je travaillais en Alberta, à Edmonton plus précisément, je n'avais aucun problème avec les personnes que je cotoyais, certaines sont devenus des amis, mais c'est plus ce que je voyais autour, le paysage qui me faisait voir une copie des États-Unis. Tout est gros, et très centrée sur l'argent et le pétrole...
Bref, je ne prône pas leur mode de vie ou leur mentalité. SUrtout ceux qui proclament les républicains
Je ne déteste pas les États-Uniens.
Je déteste simplement la façon de penser de certains.
Je fais partie de la majorité qui sont préoccupés par l'environnement, la pauvreté et l'économie.
Je suis contre la guerre, faire des profits à tout prix, quitte à écraser tout le monde autour, imposer sa façon de voir, etc. C'est ce que je n'aime pas de la mentalité états-unienne.
Je déteste simplement la façon de penser de certains.
Je fais partie de la majorité qui sont préoccupés par l'environnement, la pauvreté et l'économie.
Je suis contre la guerre, faire des profits à tout prix, quitte à écraser tout le monde autour, imposer sa façon de voir, etc. C'est ce que je n'aime pas de la mentalité états-unienne.
.anthurium. a écritReader's Digest: les Québécois sont des champions de l'antiaméricanisme
La Presse Canadienne
MONTREAL - Le Québec rafle la palme mondiale de l'antiaméricanisme, s'il faut croire un sondage publié par la revue Reader's Digest dans son numéro de novembre.
Selon ce sondage réalisé en juillet dernier dans 17 pays, 24 pour cent des Québécois se disent ouvertement antiaméricains.
Le magazine souligne que Québécois et Américains sont profondément divisés sur les problèmes que vit la planète. Pour les Québécois, l'environnement, la pauvreté et l'économie dominent leurs préoccupations.
Les Américains, de leur côté, s'intéressent peu aux grands défis mondiaux et accordent la priorité à l'économie, au terrorisme et à la guerre en Irak.
Le sondage indique que par ailleurs que les trois quarts des Québécois éliraient Barack Obama à la présidence des Etats-Unis. Mais en dépit des espoirs qu'entretiennent les Québécois sur M. Obama, ils ont une piètre opinion du pays que ce dernier souhaite diriger. Ainsi, rares sont les Québécois qui plieraient bagage demain pour aller y vivre si les frontières étaient ouvertes. Paradoxalement, 52 pour cent des Français disent qu'ils sauteraient sur l'occasion pour s'y installer.
Je ne serais jamais prête à dire que je déteste un seul Américain car il est Américain. Pour moi, c'est du racisme pur et simple. Je peux ne pas aimer certaines idées, certains choix faits par leur gouvernement, mais ça n'a rien à voir avec les êtres humains en soit qui vivent aux États-Unis.
Oui, quand j'écoute les nouvelles, je peux avoir de l'antipathie pour certains Américains, comme je peux en avoir pour certains Français, certains Canadiens etc.
En vert dans l'article: je me reconnais là dedans, aussi, je n'irais pas vivre aux États Unis si les frontières étaient "ouvertes", ça ne veut pas dire que je les déteste, juste que je me reconnais plus dans mon environnement ici et dans mes valeurs.
Je trouve ton interprétation de cet article étrange... en fait, être "antiaméricain", je ne le perçoit pas comme de la haîne envers des individus, mais comme une prise de position contre certaines politiques américaines. Je trouve que ton interprétation et ta question de base prête à confusion et laisse croire qu'on voue de la haîne à leur égart.
La Presse Canadienne
MONTREAL - Le Québec rafle la palme mondiale de l'antiaméricanisme, s'il faut croire un sondage publié par la revue Reader's Digest dans son numéro de novembre.
Selon ce sondage réalisé en juillet dernier dans 17 pays, 24 pour cent des Québécois se disent ouvertement antiaméricains.
Le magazine souligne que Québécois et Américains sont profondément divisés sur les problèmes que vit la planète. Pour les Québécois, l'environnement, la pauvreté et l'économie dominent leurs préoccupations.
Les Américains, de leur côté, s'intéressent peu aux grands défis mondiaux et accordent la priorité à l'économie, au terrorisme et à la guerre en Irak.
Le sondage indique que par ailleurs que les trois quarts des Québécois éliraient Barack Obama à la présidence des Etats-Unis. Mais en dépit des espoirs qu'entretiennent les Québécois sur M. Obama, ils ont une piètre opinion du pays que ce dernier souhaite diriger. Ainsi, rares sont les Québécois qui plieraient bagage demain pour aller y vivre si les frontières étaient ouvertes. Paradoxalement, 52 pour cent des Français disent qu'ils sauteraient sur l'occasion pour s'y installer.
Je ne serais jamais prête à dire que je déteste un seul Américain car il est Américain. Pour moi, c'est du racisme pur et simple. Je peux ne pas aimer certaines idées, certains choix faits par leur gouvernement, mais ça n'a rien à voir avec les êtres humains en soit qui vivent aux États-Unis.
Oui, quand j'écoute les nouvelles, je peux avoir de l'antipathie pour certains Américains, comme je peux en avoir pour certains Français, certains Canadiens etc.
En vert dans l'article: je me reconnais là dedans, aussi, je n'irais pas vivre aux États Unis si les frontières étaient "ouvertes", ça ne veut pas dire que je les déteste, juste que je me reconnais plus dans mon environnement ici et dans mes valeurs.
Je trouve ton interprétation de cet article étrange... en fait, être "antiaméricain", je ne le perçoit pas comme de la haîne envers des individus, mais comme une prise de position contre certaines politiques américaines. Je trouve que ton interprétation et ta question de base prête à confusion et laisse croire qu'on voue de la haîne à leur égart.
lélou a écrit
Je ne serais jamais prête à dire que je déteste un seul Américain car il est Américain. Pour moi, c'est du racisme pur et simple. Je peux ne pas aimer certaines idées, certains choix faits par leur gouvernement, mais ça n'a rien à voir avec les êtres humains en soit qui vivent aux États-Unis.
Oui, quand j'écoute les nouvelles, je peux avoir de l'antipathie pour certains Américains, comme je peux en avoir pour certains Français, certains Canadiens etc.
En vert dans l'article: je me reconnais là dedans, aussi, je n'irais pas vivre aux États Unis si les frontières étaient "ouvertes", ça ne veut pas dire que je les déteste, juste que je me reconnais plus dans mon environnement ici et dans mes valeurs.
Je trouve ton interprétation de cet article étrange... en fait, être "antiaméricain", je ne le perçoit pas comme de la haîne envers des individus, mais comme une prise de position contre certaines politiques américaines. Je trouve que ton interprétation et ta question de base prête à confusion et laisse croire qu'on voue de la haîne à leur égart.
C'est pas mal ce que je pense aussi
Je ne serais jamais prête à dire que je déteste un seul Américain car il est Américain. Pour moi, c'est du racisme pur et simple. Je peux ne pas aimer certaines idées, certains choix faits par leur gouvernement, mais ça n'a rien à voir avec les êtres humains en soit qui vivent aux États-Unis.
Oui, quand j'écoute les nouvelles, je peux avoir de l'antipathie pour certains Américains, comme je peux en avoir pour certains Français, certains Canadiens etc.
En vert dans l'article: je me reconnais là dedans, aussi, je n'irais pas vivre aux États Unis si les frontières étaient "ouvertes", ça ne veut pas dire que je les déteste, juste que je me reconnais plus dans mon environnement ici et dans mes valeurs.
Je trouve ton interprétation de cet article étrange... en fait, être "antiaméricain", je ne le perçoit pas comme de la haîne envers des individus, mais comme une prise de position contre certaines politiques américaines. Je trouve que ton interprétation et ta question de base prête à confusion et laisse croire qu'on voue de la haîne à leur égart.
C'est pas mal ce que je pense aussi
En fait, la vrai question en rapport avec l'article serait "êtes vous antiaméricains", ça serait déjà plus intéressant. C'est un peu comme si je me faisais demander "déteste tu les gens croyants?". Ben non, bien évidemment. Par contre, je ne suis pas "pour" la religion, je ne suis pas croyante mais je ne "déteste" pas les religions et surtout pas ceux qui y adhèrent, même si moi, ça ne me rejoint pas et que souvent, certaines personnes font des choix et disent des choses en s'appuyant sur ces religions que moi, je trouve effrayantes. Je ne suis pas contre les religions, je ne suis pas contre les personnes religieuses, mais je reste tout de même sur mes gardes et critiques. J'ai aps mal la même position par rapport aux politiques américaines en ce moment.
Je n'ai jamais détesté les Américains.
Mais j'ai détesté leur président des 8 dernières snnées tout comme j'ai détesté son père.
Et même je peux dire que j'aime bien les Américains.
Leur nouveau président va aider à déternir leur image au reste du monde.
Mais j'ai détesté leur président des 8 dernières snnées tout comme j'ai détesté son père.
Et même je peux dire que j'aime bien les Américains.
Leur nouveau président va aider à déternir leur image au reste du monde.
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