Beppo a écrit
Prends le temps de bien lire les commentaires qui ont été écrits suite à l'incident pour m'en trouver une coupelle qui condamne le geste du zouf. Bonne recherche!
Merci bien, mais je vais passer. Il y a beaucoup de divergences d'opinion (cest normal là) mais je n'ai juste pas le goût de me tapper tous les posts
Pour le geste par exemple, de ce que j'ai vu à la télé...vrai que le gars est totalement dans le tort....mais...
y a toujours ce petit mais là hein?
...Duceppe aurait dû agir en gentleman et il a manqué une belle occasion de le faire
Élections fédérales 2008
Gillo a écrit
Ce n'est pas Duceppe qui fait exprès pour se rendre sur les lieux de la campagne de son opposant, qui cour après le candidat du PC (Je ne veux même pas me souvenir de son nom) en l'écoeurant et devenant hystérique mais le contraire...
Entièrement d'accord, mais il a manqué une sto de belle occasion de se taire par exemple --Message edité par gin* le 2008-10-13 18:01:57--
Ce n'est pas Duceppe qui fait exprès pour se rendre sur les lieux de la campagne de son opposant, qui cour après le candidat du PC (Je ne veux même pas me souvenir de son nom) en l'écoeurant et devenant hystérique mais le contraire...
Entièrement d'accord, mais il a manqué une sto de belle occasion de se taire par exemple --Message edité par gin* le 2008-10-13 18:01:57--
lucide a écritLa campagne ratée
Vincent Marissal
La Presse
(Trois-Rivières) Le constat est aussi brutal que lucide. «Au plan des communications et des perceptions, dans cette campagne, le Bloc québécois nous a battus à plate couture.»
À trois jours du vote, le candidat conservateur dans Sherbrooke, André Bachand, dressait hier matin un bilan cru des 35 derniers jours.
Il n'est pas le seul. Et si M. Bachand est serein devant l'imminence de la défaite, d'autres, par contre, commencent déjà à chercher, voire à désigner des coupables.
Depuis quelques jours, une douzaine de candidats et d'organisateurs ont confessé leur déception devant cette pauvre campagne. Ils reprochent au parti d'avoir tout centralisé à Ottawa au lieu d'établir un vrai war room au Québec. Ils critiquent la stratégie contre le Bloc québécois. Ils dénoncent les messages négatifs et rebutants de la campagne nationale. Ils s'accusent entre eux d'avoir torpillé leurs chances par des déclarations malheureuses ou, pire, par l'absence de réaction. Ils parlent de la guerre malsaine, dans l'entourage de Stephen Harper, entre partisans de l'ADQ et ceux du PLQ. Et ils s'inquiètent sérieusement pour l'avenir du parti au Québec.
André Bachand n'accuse personne et ne cherche pas de responsable, mais il concède sans détour que la campagne conservatrice au Québec a complètement raté sa cible.
«Le bilan de M. Harper est tellement bon au Québec, il aurait fallu le publiciser davantage. Moi, je l'ai fait et je continue à le faire tous les jours, mais nous ne contrôlons pas tout dans les régions. La campagne n'a pas assez insisté là-dessus, et le Bloc nous a battus à plate couture dans la bataille des communications.»
Selon M. Bachand et plusieurs de ses collègues, le Parti conservateur a souffert pendant toute la campagne d'un grave problème de perception. Un problème exacerbé par des attaques particulièrement efficaces du Bloc québécois.
Fernand Blanchard, le directeur de campagne de Patrick Clune, candidat dans Saint-Lambert rencontré hier après-midi dans un rassemblement à Longueuil, admettait franchement que les coupes dans les programmes culturels ont miné leurs efforts auprès des électeurs.
«Dans les faits, le gouvernement Harper a augmenté les budgets de la culture, mais la perception, c'est qu'on les a réduits, dit-il. Alors, il faut expliquer tous les jours, presque à toutes les portes. Ça nous ralentit, c'est certain.»
Même Stephen Harper a admis hier que le dossier de la culture avait court-circuité sa campagne au Québec. «Certains groupes ont fait du bruit autour de la culture, tellement de bruit que les Québécois ont eu du mal à entendre notre message», a lancé le premier ministre en ajoutant que, en réalité, son gouvernement avait augmenté les budgets de ce secteur.
Déjà, des conservateurs influents au Québec commencent à montrer du doigt les coupables de ce fiasco. «C'est Josée Verner qui a tout bousillé, pas Stephen Harper. Elle devait corriger le tir et elle ne l'a pas fait», dit une source fiable très au fait du dossier.
En plus de traîner la culture et les jeunes contrevenants comme des boulets, les conservateurs se sont tiré dans le pied en insistant trop lourdement sur les publicités négatives. Voilà du moins ce que pense un organisateur de la couronne Nord de Montréal.
«En 2006, la campagne de peur contre Harper n'a pas fonctionné parce qu'il avait une campagne positive, parce qu'il avait des choses à proposer, indique notre organisateur. Cette fois, ce n'était que des publicités négatives.»
André Bachand fait la même analyse: «Les gens n'ont pas apprécié les publicités négatives, surtout celles contre Stéphane Dion, qui n'était même pas un adversaire pour nous.»
La publicité contre les coûts du Bloc, lancée en début de campagne, a aussi irrité plusieurs candidats. «C'était niaiseux et malavisé», tranche un candidat de la région de Montréal.
En fait, cette pub connue sous le titre La facture du Bloc a indisposé même les libéraux. «J'ai dit à Michael Fortier: vous venez de réveiller un mort avec votre pub contre le Bloc, ça va se retourner contre vous», raconte le libéral Denis Coderre.
Pourtant, la campagne nationale a été prévenue dès avant le tout début de la campagne de la force du Bloc dans les régions, indique un organisateur-terrain.
Autre pépin, selon de nombreuses sources: la guerre de pouvoir, à l'intérieur du parti, entre sympathisants adéquistes et partisans libéraux.
«Le problème, c'est que ce sont trois adéquistes, Michel Lalonde (ancien proche conseiller de Mario Dumont et candidat de l'ADQ), Jean-Luc Benoît (ancien attaché de presse de M. Dumont) et Dimitri Soudas (attaché de presse de M. Harper et militant adéquiste) qui mènent la campagne d'Ottawa et qu'ils se servent du PC au Québec pour faire du capital politique à l'ADQ», accuse un autre organisateur furieux.
Les «kids de l'ADQ», comme les appellent certains conservateurs québécois, ne se sont pas fait beaucoup d'amis durant cette campagne.
Tout cela promet des jours difficiles au Parti conservateur au Québec, craint-on déjà.
Pertes de circonscrïptions, désertion de militants qui commençaient à peine à revenir, organisation décimée dans plusieurs régions. Pire encore, échec de la politique d'ouverture prônée par Stephen Harper.
Contrairement au Parti libéral, le Parti conservateur n'a plus de racines au Québec, et la relève est pratiquement inexistante. Chez les libéraux, malgré le marasme au Québec, au moins trois candidats souhaitent remplacer le président du PLC-Québec. Le PLC compte aussi sur une aile jeunesse active et de grands noms en réserve, comme Martin Cauchon, par exemple.
«Ces élections, c'était notre occasion de passer à une autre étape au Québec, de grandir, mais nous avons raté notre coup», constate, dépité, un candidat conservateur.
Un averissement pour Monsieur Charest, c'est pas nécessairement parce qu'on semble avoir l'appui de la population qu'on doit déclarer des élections d'une maniere précipitée
Un avertissement pour Monsieur Dumont un appui massif ca se perd aussi rapidement que cela arrive
Un avertissement pour Madame Marois, un programme a présenté si on veut convaincre les électeurs.
Il me semble, sauf erreur, que cet article a déjà été posté
Vincent Marissal
La Presse
(Trois-Rivières) Le constat est aussi brutal que lucide. «Au plan des communications et des perceptions, dans cette campagne, le Bloc québécois nous a battus à plate couture.»
À trois jours du vote, le candidat conservateur dans Sherbrooke, André Bachand, dressait hier matin un bilan cru des 35 derniers jours.
Il n'est pas le seul. Et si M. Bachand est serein devant l'imminence de la défaite, d'autres, par contre, commencent déjà à chercher, voire à désigner des coupables.
Depuis quelques jours, une douzaine de candidats et d'organisateurs ont confessé leur déception devant cette pauvre campagne. Ils reprochent au parti d'avoir tout centralisé à Ottawa au lieu d'établir un vrai war room au Québec. Ils critiquent la stratégie contre le Bloc québécois. Ils dénoncent les messages négatifs et rebutants de la campagne nationale. Ils s'accusent entre eux d'avoir torpillé leurs chances par des déclarations malheureuses ou, pire, par l'absence de réaction. Ils parlent de la guerre malsaine, dans l'entourage de Stephen Harper, entre partisans de l'ADQ et ceux du PLQ. Et ils s'inquiètent sérieusement pour l'avenir du parti au Québec.
André Bachand n'accuse personne et ne cherche pas de responsable, mais il concède sans détour que la campagne conservatrice au Québec a complètement raté sa cible.
«Le bilan de M. Harper est tellement bon au Québec, il aurait fallu le publiciser davantage. Moi, je l'ai fait et je continue à le faire tous les jours, mais nous ne contrôlons pas tout dans les régions. La campagne n'a pas assez insisté là-dessus, et le Bloc nous a battus à plate couture dans la bataille des communications.»
Selon M. Bachand et plusieurs de ses collègues, le Parti conservateur a souffert pendant toute la campagne d'un grave problème de perception. Un problème exacerbé par des attaques particulièrement efficaces du Bloc québécois.
Fernand Blanchard, le directeur de campagne de Patrick Clune, candidat dans Saint-Lambert rencontré hier après-midi dans un rassemblement à Longueuil, admettait franchement que les coupes dans les programmes culturels ont miné leurs efforts auprès des électeurs.
«Dans les faits, le gouvernement Harper a augmenté les budgets de la culture, mais la perception, c'est qu'on les a réduits, dit-il. Alors, il faut expliquer tous les jours, presque à toutes les portes. Ça nous ralentit, c'est certain.»
Même Stephen Harper a admis hier que le dossier de la culture avait court-circuité sa campagne au Québec. «Certains groupes ont fait du bruit autour de la culture, tellement de bruit que les Québécois ont eu du mal à entendre notre message», a lancé le premier ministre en ajoutant que, en réalité, son gouvernement avait augmenté les budgets de ce secteur.
Déjà, des conservateurs influents au Québec commencent à montrer du doigt les coupables de ce fiasco. «C'est Josée Verner qui a tout bousillé, pas Stephen Harper. Elle devait corriger le tir et elle ne l'a pas fait», dit une source fiable très au fait du dossier.
En plus de traîner la culture et les jeunes contrevenants comme des boulets, les conservateurs se sont tiré dans le pied en insistant trop lourdement sur les publicités négatives. Voilà du moins ce que pense un organisateur de la couronne Nord de Montréal.
«En 2006, la campagne de peur contre Harper n'a pas fonctionné parce qu'il avait une campagne positive, parce qu'il avait des choses à proposer, indique notre organisateur. Cette fois, ce n'était que des publicités négatives.»
André Bachand fait la même analyse: «Les gens n'ont pas apprécié les publicités négatives, surtout celles contre Stéphane Dion, qui n'était même pas un adversaire pour nous.»
La publicité contre les coûts du Bloc, lancée en début de campagne, a aussi irrité plusieurs candidats. «C'était niaiseux et malavisé», tranche un candidat de la région de Montréal.
En fait, cette pub connue sous le titre La facture du Bloc a indisposé même les libéraux. «J'ai dit à Michael Fortier: vous venez de réveiller un mort avec votre pub contre le Bloc, ça va se retourner contre vous», raconte le libéral Denis Coderre.
Pourtant, la campagne nationale a été prévenue dès avant le tout début de la campagne de la force du Bloc dans les régions, indique un organisateur-terrain.
Autre pépin, selon de nombreuses sources: la guerre de pouvoir, à l'intérieur du parti, entre sympathisants adéquistes et partisans libéraux.
«Le problème, c'est que ce sont trois adéquistes, Michel Lalonde (ancien proche conseiller de Mario Dumont et candidat de l'ADQ), Jean-Luc Benoît (ancien attaché de presse de M. Dumont) et Dimitri Soudas (attaché de presse de M. Harper et militant adéquiste) qui mènent la campagne d'Ottawa et qu'ils se servent du PC au Québec pour faire du capital politique à l'ADQ», accuse un autre organisateur furieux.
Les «kids de l'ADQ», comme les appellent certains conservateurs québécois, ne se sont pas fait beaucoup d'amis durant cette campagne.
Tout cela promet des jours difficiles au Parti conservateur au Québec, craint-on déjà.
Pertes de circonscrïptions, désertion de militants qui commençaient à peine à revenir, organisation décimée dans plusieurs régions. Pire encore, échec de la politique d'ouverture prônée par Stephen Harper.
Contrairement au Parti libéral, le Parti conservateur n'a plus de racines au Québec, et la relève est pratiquement inexistante. Chez les libéraux, malgré le marasme au Québec, au moins trois candidats souhaitent remplacer le président du PLC-Québec. Le PLC compte aussi sur une aile jeunesse active et de grands noms en réserve, comme Martin Cauchon, par exemple.
«Ces élections, c'était notre occasion de passer à une autre étape au Québec, de grandir, mais nous avons raté notre coup», constate, dépité, un candidat conservateur.
Un averissement pour Monsieur Charest, c'est pas nécessairement parce qu'on semble avoir l'appui de la population qu'on doit déclarer des élections d'une maniere précipitée
Un avertissement pour Monsieur Dumont un appui massif ca se perd aussi rapidement que cela arrive
Un avertissement pour Madame Marois, un programme a présenté si on veut convaincre les électeurs.
Il me semble, sauf erreur, que cet article a déjà été posté
https://album.aufeminin.com/album/notremariage785
oui par moi meme
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Voici un autre sondage qui abonde dans le même sens que les derniers postés...
Sondage
Le PCC se dirigerait vers une victoire minoritaire
Par Martin O'Hanlon
PC
13/10/2008 17h50
Le premier ministre Stephen Harper semble se diriger à nouveau vers la formation d'un gouvernement conservateur minoritaire, ses chances de décrocher une majorité dépendant d'un ultime sursaut de sa formation en Ontario.
Le dernier sondage Harris-Décima de la présente campagne électorale accorde au Parti conservateur une avance de neuf points dans les intentions de vote des Canadiens.
L'enquête, menée pour La Presse Canadienne, donne 34 pour cent des appuis aux conservateurs à l'échelle nationale, 25 pour cent au Parti libéral, 19 pour cent au Nouveau Parti démocratique et neuf pour cent au Parti vert.
Au Québec, le Bloc québécois obtient sa meilleure note de la campagne, soit 46 pour cent d'appuis. Le Parti conservateur se retrouve 29 points derrière le Bloc, à 17 pour cent du soutien populaire, ce qui le place statistiquement ex-aequo avec le Parti libéral, qui recueille 18 pour cent. Le NPD obtient 12 pour cent des intentions de vote.
La perspective d'une majorité conservatrice a été sévèrement ébranlée au Québec, où les compressions des conservateurs dans le secteur des arts et les propos malavisés du premier ministre au sujet des artistes qui se plaindraient sans raison ont entraîné une chute des appuis au parti dans les sondages.
L'Ontario, qui détient plus du tiers des sièges au Parlement, devient ainsi déterminante pour les conservateurs. La lutte y est très serrée entre les libéraux et les conservateurs: 35 pour cent de la faveur populaire pour le PLC, et 33 pour cent pour le Parti conservateur, soit l'égalité en termes statistiques, si on tient compte de la marge d'erreur du sondage.
Pour le sondeur Bruce Anderson, président de Harris-Décima, les conservateurs profiteront de la division du vote d'opposition en Ontario et de la concentration des suffrages libéraux dans la région de Toronto. Mais, ajoute-t-il, la situation demeure changeante. A son avis, on n'a jamais observé une telle instabilité des allégeances des électeurs vis-à-vis des deux grands partis.
Les conservateurs dominent dans les provinces de l'Ouest. Dans les Maritimes, les libéraux jouissent d'une forte avance.
Le sondage a été réalisé auprès de 1218 répondants, entre jeudi et dimanche. Au niveau national, il comporte une marge d'erreur de 2,7 pour cent, 19 fois sur 20. Cette marge d'erreur est supérieure pour les sondages par provinces.
Sondage
Le PCC se dirigerait vers une victoire minoritaire
Par Martin O'Hanlon
PC
13/10/2008 17h50
Le premier ministre Stephen Harper semble se diriger à nouveau vers la formation d'un gouvernement conservateur minoritaire, ses chances de décrocher une majorité dépendant d'un ultime sursaut de sa formation en Ontario.
Le dernier sondage Harris-Décima de la présente campagne électorale accorde au Parti conservateur une avance de neuf points dans les intentions de vote des Canadiens.
L'enquête, menée pour La Presse Canadienne, donne 34 pour cent des appuis aux conservateurs à l'échelle nationale, 25 pour cent au Parti libéral, 19 pour cent au Nouveau Parti démocratique et neuf pour cent au Parti vert.
Au Québec, le Bloc québécois obtient sa meilleure note de la campagne, soit 46 pour cent d'appuis. Le Parti conservateur se retrouve 29 points derrière le Bloc, à 17 pour cent du soutien populaire, ce qui le place statistiquement ex-aequo avec le Parti libéral, qui recueille 18 pour cent. Le NPD obtient 12 pour cent des intentions de vote.
La perspective d'une majorité conservatrice a été sévèrement ébranlée au Québec, où les compressions des conservateurs dans le secteur des arts et les propos malavisés du premier ministre au sujet des artistes qui se plaindraient sans raison ont entraîné une chute des appuis au parti dans les sondages.
L'Ontario, qui détient plus du tiers des sièges au Parlement, devient ainsi déterminante pour les conservateurs. La lutte y est très serrée entre les libéraux et les conservateurs: 35 pour cent de la faveur populaire pour le PLC, et 33 pour cent pour le Parti conservateur, soit l'égalité en termes statistiques, si on tient compte de la marge d'erreur du sondage.
Pour le sondeur Bruce Anderson, président de Harris-Décima, les conservateurs profiteront de la division du vote d'opposition en Ontario et de la concentration des suffrages libéraux dans la région de Toronto. Mais, ajoute-t-il, la situation demeure changeante. A son avis, on n'a jamais observé une telle instabilité des allégeances des électeurs vis-à-vis des deux grands partis.
Les conservateurs dominent dans les provinces de l'Ouest. Dans les Maritimes, les libéraux jouissent d'une forte avance.
Le sondage a été réalisé auprès de 1218 répondants, entre jeudi et dimanche. Au niveau national, il comporte une marge d'erreur de 2,7 pour cent, 19 fois sur 20. Cette marge d'erreur est supérieure pour les sondages par provinces.
https://album.aufeminin.com/album/notremariage785
Je viens pour aller sur démocratic space, j'aime suivr les commentaires dans certaines circonscréptions et... le compte est suspendu
Est ce que c'est du a une loi électorale, a 24 heures du scrutin plus de propagande... est ce que cette loi existe encore?
Mon conjoint lui se rappelait que les tavernes étaient fermées jour d'élection jusqu'a la fermeture des bureaux de vote... je me souvenais pas de ca!
Est ce que c'est du a une loi électorale, a 24 heures du scrutin plus de propagande... est ce que cette loi existe encore?
Mon conjoint lui se rappelait que les tavernes étaient fermées jour d'élection jusqu'a la fermeture des bureaux de vote... je me souvenais pas de ca!
lucide en plein ca ca été fait popur pas influencé le vote
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
lucide a écritJe viens pour aller sur démocratic space, j'aime suivr les commentaires dans certaines circonscréptions et... le compte est suspendu
Est ce que c'est du a une loi électorale, a 24 heures du scrutin plus de propagande... est ce que cette loi existe encore?
Mon conjoint lui se rappelait que les tavernes étaient fermées jour d'élection jusqu'a la fermeture des bureaux de vote... je me souvenais pas de ca!
Pas seulement les tavernes mais tous les débits de boissons.
Est ce que c'est du a une loi électorale, a 24 heures du scrutin plus de propagande... est ce que cette loi existe encore?
Mon conjoint lui se rappelait que les tavernes étaient fermées jour d'élection jusqu'a la fermeture des bureaux de vote... je me souvenais pas de ca!
Pas seulement les tavernes mais tous les débits de boissons.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Je suis un peu outrée des coucheries qui ont lieu dans mon comté. Il me semble que des élus municipaux ne devraient pas accepter de faire campagne pour un parti et c'est ce qui se passe ici. Sur deux semaines consécutives on a eu droit dans notre journal régional à une pleine page de personnalités d'ici qui voteront PC avec en tête la mairesse et plusieurs conseillers municipaux. Je trouve déloyal ce genre d'ingérence, qu'ils aient des opinions politiques soit ils sont aussi des citoyens et c'est légitime, mais qu'ils utilisent leur rôle d'élus en faveur d'un candidat et d'un parti, ca non! Et qui plus est le gendre de la mairesse.
Ca ne me fait pas admirer les politiciens en tout cas, on voit bien qu'ils voguent vers où vont leurs intérêts personnels. Après ils essaieront de nous faire croire qu'ils travaillent pour nous et qu'ils sont intègres. --Message edité par Malike le 2008-10-13 21:14:33--
Ca ne me fait pas admirer les politiciens en tout cas, on voit bien qu'ils voguent vers où vont leurs intérêts personnels. Après ils essaieront de nous faire croire qu'ils travaillent pour nous et qu'ils sont intègres. --Message edité par Malike le 2008-10-13 21:14:33--
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois 
et quand cetait les libéraux ils faisaient pareil ils font ca que pour obtenir plus de subvention du fédéral
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Malike a écritJe suis un peu outrée des coucheries qui ont lieu dans mon comté. Il me semble que des élus municipaux ne devraient pas accepter de faire campagne pour un parti et c'est ce qui se passe ici. Sur deux semaines consécutives on a eu droit dans notre journal régional à une pleine page de personnalités d'ici qui voteront PC avec en tête la mairesse et plusieurs conseillers municipaux. Je trouve déloyal ce genre d'ingérence, qu'ils aient des opinions politiques soit ils sont aussi des citoyens et c'est légitime, mais qu'ils utilisent leur rôle d'élus en faveur d'un candidat et d'un parti, ca non! Et qui plus est le gendre de la mairesse.
Ca ne me fait pas admirer les politiciens en tout cas, on voit bien qu'ils voguent vers où vont leurs intérêts personnels. Après ils essaieront de nous faire croire qu'ils travaillent pour nous et qu'ils sont intègres.
Je te comprends
Ce n'est pas pareil mais c'est similaire. Les artistes bien connus qui font la même chose. Ne parlent que du parti pour lequel ils prennent. Et ils sont dans le très influencables.
Ca ne me fait pas admirer les politiciens en tout cas, on voit bien qu'ils voguent vers où vont leurs intérêts personnels. Après ils essaieront de nous faire croire qu'ils travaillent pour nous et qu'ils sont intègres.
Je te comprends
Ce n'est pas pareil mais c'est similaire. Les artistes bien connus qui font la même chose. Ne parlent que du parti pour lequel ils prennent. Et ils sont dans le très influencables.
Malike a écritJe suis un peu outrée des coucheries qui ont lieu dans mon comté. Il me semble que des élus municipaux ne devraient pas accepter de faire campagne pour un parti et c'est ce qui se passe ici. Sur deux semaines consécutives on a eu droit dans notre journal régional à une pleine page de personnalités d'ici qui voteront PC avec en tête la mairesse et plusieurs conseillers municipaux. Je trouve déloyal ce genre d'ingérence, qu'ils aient des opinions politiques soit ils sont aussi des citoyens et c'est légitime, mais qu'ils utilisent leur rôle d'élus en faveur d'un candidat et d'un parti, ca non! Et qui plus est le gendre de la mairesse.
Ca ne me fait pas admirer les politiciens en tout cas, on voit bien qu'ils voguent vers où vont leurs intérêts personnels. Après ils essaieront de nous faire croire qu'ils travaillent pour nous et qu'ils sont intègres.
C'est exactement ce qu'ils font, pour le bien-être de leur municipalité.
Ca ne me fait pas admirer les politiciens en tout cas, on voit bien qu'ils voguent vers où vont leurs intérêts personnels. Après ils essaieront de nous faire croire qu'ils travaillent pour nous et qu'ils sont intègres.
C'est exactement ce qu'ils font, pour le bien-être de leur municipalité.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Gin* a écrit
Je te comprends
Ce n'est pas pareil mais c'est similaire. Les artistes bien connus qui font la même chose. Ne parlent que du parti pour lequel ils prennent. Et ils sont dans le très influencables.
Ils devraient aller chercher leurs subventions au Parti pour lequel ils votent.
Je te comprends
Ce n'est pas pareil mais c'est similaire. Les artistes bien connus qui font la même chose. Ne parlent que du parti pour lequel ils prennent. Et ils sont dans le très influencables.
Ils devraient aller chercher leurs subventions au Parti pour lequel ils votent.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Gin* a écrit
Je te comprends
Ce n'est pas pareil mais c'est similaire. Les artistes bien connus qui font la même chose. Ne parlent que du parti pour lequel ils prennent. Et ils sont dans le très influencables.
À cette élection, à part quelques artistes, j'en ai pas entendu beaucoup qui parlait pour un parti en particulier mais plutôt contre un parti (conservateur).
C'est très différent selon moi... --Message edité par Autumn le 2008-10-13 22:14:08--
Je te comprends
Ce n'est pas pareil mais c'est similaire. Les artistes bien connus qui font la même chose. Ne parlent que du parti pour lequel ils prennent. Et ils sont dans le très influencables.
À cette élection, à part quelques artistes, j'en ai pas entendu beaucoup qui parlait pour un parti en particulier mais plutôt contre un parti (conservateur).
C'est très différent selon moi... --Message edité par Autumn le 2008-10-13 22:14:08--
'' Le bonheur, c'est le temps que dure la surprise d'avoir cessé d'avoir mal'' Réjean Ducharme- du roman L'hiver de force
''L'art sauvera le monde.'' Fiodor Dostoïevski
''L'enfance est un couteau planté dans la gorge'' tiré de Incendies de Wajdi Mouhawad
''L'art sauvera le monde.'' Fiodor Dostoïevski
''L'enfance est un couteau planté dans la gorge'' tiré de Incendies de Wajdi Mouhawad
Autumn a écrit
À cette élection, à part quelques artistes, j'en ai pas entendu beaucoup qui parlait pour un parti en particulier mais plutôt contre un parti (conservateur).
C'est très différent selon moi...
Facile, on sait déjà depuis des années quel parti aura leur vote, mais qu'ils parlent contre un parti c'est aussi une forte propagande
À cette élection, à part quelques artistes, j'en ai pas entendu beaucoup qui parlait pour un parti en particulier mais plutôt contre un parti (conservateur).
C'est très différent selon moi...
Facile, on sait déjà depuis des années quel parti aura leur vote, mais qu'ils parlent contre un parti c'est aussi une forte propagande