lolilou a écrit
Aaaaaah, mais ça ce l'est vraiment plus...!
Pourquoi tu m'avais fait cette réplique dis? Pour démontrer simplement que tu n'aime pas l'ADQ (hors sujet ici) ou plus pour me faire réagir sachant que j'ai voté pour eux aux deux dernières élections? (d'autant plus hors sujet ici...)
Je ne sais pas pourquoi, mais les petites craques je ne sais plus les laisser passer avec "je-m'en-foutisme" comme je le faisais.
Aussi bien assumer mon rôle d'être monstrueusement condescendant... --Message edité par Acrux le 2008-10-11 09:14:30--
Élections fédérales 2008
Acrux a écrit Ouais... Et après on se demandera pourquoi Harper laisse le Québec de côté...
Mais c,est la faute à qui si la campagne conservatrice au québec dérape? Tsé, je veux ben me mettre de ton bord 30 secondes et dire que c'est la faute du Bloc, sauf que si des québécois tournent le dos à Harper et son équipe, c'est peut-ête parce qu'il y a de quoi qui passe pas du bord du PC non? Ils ont pas une petite introspection à faire?
Mais c,est la faute à qui si la campagne conservatrice au québec dérape? Tsé, je veux ben me mettre de ton bord 30 secondes et dire que c'est la faute du Bloc, sauf que si des québécois tournent le dos à Harper et son équipe, c'est peut-ête parce qu'il y a de quoi qui passe pas du bord du PC non? Ils ont pas une petite introspection à faire?
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michelineB
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michelineB a écrit
Les Conservateurs ont fait une campagne de ''Low Profile''...et on sait qu'ici au Québec...ça toujours été les ''Grandes Gueules qui ont eu le plus de résussite....
Souvenons-nous des Réal Caouette....Camille Samson !!!
Nan c'est trop facile ça....c,est vraiment qu'il y a de quoi qui passe pas avec le PC. Je lisais Pratte hier qui disait que dans cette campagne il ne savait plus quel parti appuyer et son analyse de la campagne était assez juste. Si on exclut le Bloc, parce que Pratte et La Presse ne sont pas souverainiste et ne recommanderont jamais de voter pour eux, il disait que les conservateurs avaient carrément bousiller leurs chances au québec...ils sont les seuls à blâmer... --Message edité par tipet le 2008-10-11 09:23:49--
Les Conservateurs ont fait une campagne de ''Low Profile''...et on sait qu'ici au Québec...ça toujours été les ''Grandes Gueules qui ont eu le plus de résussite....
Souvenons-nous des Réal Caouette....Camille Samson !!!
Nan c'est trop facile ça....c,est vraiment qu'il y a de quoi qui passe pas avec le PC. Je lisais Pratte hier qui disait que dans cette campagne il ne savait plus quel parti appuyer et son analyse de la campagne était assez juste. Si on exclut le Bloc, parce que Pratte et La Presse ne sont pas souverainiste et ne recommanderont jamais de voter pour eux, il disait que les conservateurs avaient carrément bousiller leurs chances au québec...ils sont les seuls à blâmer... --Message edité par tipet le 2008-10-11 09:23:49--
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tipet a écrit
Mais c,est la faute à qui si la campagne conservatrice au québec dérape? Tsé, je veux ben me mettre de ton bord 30 secondes et dire que c'est la faute du Bloc, sauf que si des québécois tournent le dos à Harper et son équipe, c'est peut-ête parce qu'il y a de quoi qui passe pas du bord du PC non? Ils ont pas une petite introspection à faire?
Peut-être oui... Comme d'être plus claire sur sa volonté envers le côté "droite-social".
Mais de toute façon, si c'est le cas, ça sera juste bon pour le Bloc et le PQ, le Québec se fera bouder et la souveraineté reviendra à l'ordre du jour.... --Message edité par Acrux le 2008-10-11 09:24:49--
Mais c,est la faute à qui si la campagne conservatrice au québec dérape? Tsé, je veux ben me mettre de ton bord 30 secondes et dire que c'est la faute du Bloc, sauf que si des québécois tournent le dos à Harper et son équipe, c'est peut-ête parce qu'il y a de quoi qui passe pas du bord du PC non? Ils ont pas une petite introspection à faire?
Peut-être oui... Comme d'être plus claire sur sa volonté envers le côté "droite-social".
Mais de toute façon, si c'est le cas, ça sera juste bon pour le Bloc et le PQ, le Québec se fera bouder et la souveraineté reviendra à l'ordre du jour.... --Message edité par Acrux le 2008-10-11 09:24:49--
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michelineB
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C'est ce billet que je parlais
Citation :Aucun parti n'est à la hauteur
André Pratte
La Presse
Alors que s'achève cette campagne électorale, La Presse dresse un triste constat: aucun des partis politiques fédéraux n'a fait la preuve qu'il est vraiment prêt à gouverner le pays en cette période de profonde incertitude économique. Nous ne sommes donc pas en mesure d'accorder notre appui à l'une ou l'autre des formations en présence.
En 2006, La Presse avait appuyé le Parti conservateur, et ce, malgré les inquiétudes que suscitaient certains aspects de son programme. Nous espérions qu'une fois au gouvernement, le parti de Stephen Harper ferait preuve de modération, serait sensible aux voeux de la majorité des Canadiens qui n'avaient pas voté pour eux et fidèles aux grandes valeurs et traditions canadiennes. Malheureusement, à plusieurs égards, le gouvernement Harper nous a profondément déçus; les conservateurs ne méritent certainement pas la majorité qu'ils espéraient à la ligne de départ de la campagne.
Dans quelques domaines importants, le gouvernement sortant a bien fait. La motion sur la nation québécoise a en partie assouvi la soif de reconnaissance des Québécois. Le règlement du déséquilibre fiscal a remis de l'ordre dans le système fédéral de transferts et donné de l'oxygène aux provinces, en particulier au Québec.
Par contre, dans une foule d'autres dossiers, le gouvernement conservateur a été d'une rare incompétence. Il a mis des mois à admettre que le Canada devait disposer d'un solide plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre. En matière économique, la baisse de deux points de la TPS a littéralement gaspillé plus de 10 milliards, une somme qui serait bien utile aujourd'hui.
Plusieurs des ministres de premier plan ont livré une performance lamentable. M. Harper lui-même a souvent agi de manière têtue et malavisée, notamment en matière de politique étrangère. Ce fut vrai en ce qui a trait aux relations du Canada avec la Chine, un géant économique et politique incontournable que le premier ministre a sciemment négligé par obstination idéologique.
L'entêtement: là est le talon d'Achille de M. Harper. Si le chef conservateur est certes un homme intelligent dont on apprécie parfois la capacité de décision, son refus systématique de corriger le tir lorsqu'il s'est visiblement trompé suscite l'inquiétude chez nous comme chez beaucoup de Canadiens. De plus, on le sent insensible aux préoccupations des gens lorsque celles-ci ne cadrent pas avec ses propres idées. C'est ce qui est ressorti au cours de cette campagne, alors qu'il a ignoré la furie des Québécois au sujet des compressions en culture et du renforcement des peines pour les jeunes contrevenants. Alors qu'il a, aussi, manqué maintes occasions de rassurer les Canadiens au sujet de l'ouragan économique et financier qui balaie la planète.
Si les conservateurs ne nous paraissent pas à la hauteur des défis qui confrontent le Canada d'aujourd'hui, qu'en est-il des autres partis? L'histoire politique du pays nous amène à nous tourner vers l'autre grande formation nationale, le Parti libéral. Malheureusement, nous n'y trouvons pas un parti bien préparé à prendre la relève.
Idéaliste et d'une intégrité indiscutable, Stéphane Dion a mené une bien meilleure campagne que ce que prédisaient les analystes et les militants de son propre parti. Pour notre part, connaissant les qualités de l'homme, nous n'avons pas été surpris. Cependant, cette bonne performance ne saurait faire oublier les graves difficultés qu'il a eues dans la gestion de sa formation, difficultés qui soulèvent bien des doutes quant à ses talents de leader.
Le Parti libéral reste une formation profondément divisée entre deux camps rivaux, ce qui fragilise d'autant le leadership de M. Dion. En outre, le parti est mal en point au Québec, où M. Dion n'a pas su rétablir les ponts avec l'aile plus nationaliste du PLC.
Même si les libéraux ont semblé saisir plus rapidement que les conservateurs la gravité de la crise économique, le plan présenté par M. Dion en plein débat des chefs est beaucoup plus cosmétique qu'autre chose. De plus, l'époque actuelle de turbulence économique et de chute des prix des matières premières paraît particulièrement mal choisie pour mettre en branle la vaste réforme fiscale envisagée par le Tournant vert dont le chef libéral a fait sa bible.
Au Québec, le Bloc québécois demeure incontestablement une puissance politique. Son chef, Gilles Duceppe, a encore une fois mené une campagne très efficace, démontrant combien il est proche des sensibilités de l'électorat québécois.
Le Bloc exprime de façon éloquente la vision québécoise nationaliste des enjeux. Certains de ses députés ont bien fait leur travail de parlementaires et méritent la confiance de leurs commettants.
Cela dit, l'objectif premier des bloquistes reste la promotion de l'indépendance du Québec, un objectif que, comme chacun sait, La Presse ne partage pas. De plus, les Québécois ayant choisi de demeurer au sein de ce pays, il nous paraît malsain qu'ils se privent d'une représentation forte dans les partis nationaux qui peuvent prétendre à le gouverner.
C'est pourquoi nous invitons les électeurs québécois à faire leur choix en considérant quel candidat, dans leur circonscrïption, sera mieux à même de défendre leurs intérêts à Ottawa, en particulier au sein du prochain gouvernement. Certes, la présence de Québécois autour de la table du conseil des ministres n'est pas une garantie que les décisions du fédéral seront toujours avantageuses pour le Québec. Toutefois, une chose est sûre: moins il y a de ministres solides du Québec, moins les intérêts de la province seront pris en compte. Les électeurs québécois le savent, l'adage ne se trompe pas: les absents ont toujours tort.
apratte@lapresse.ca --Message edité par tipet le 2008-10-11 09:28:10--
Citation :Aucun parti n'est à la hauteur
André Pratte
La Presse
Alors que s'achève cette campagne électorale, La Presse dresse un triste constat: aucun des partis politiques fédéraux n'a fait la preuve qu'il est vraiment prêt à gouverner le pays en cette période de profonde incertitude économique. Nous ne sommes donc pas en mesure d'accorder notre appui à l'une ou l'autre des formations en présence.
En 2006, La Presse avait appuyé le Parti conservateur, et ce, malgré les inquiétudes que suscitaient certains aspects de son programme. Nous espérions qu'une fois au gouvernement, le parti de Stephen Harper ferait preuve de modération, serait sensible aux voeux de la majorité des Canadiens qui n'avaient pas voté pour eux et fidèles aux grandes valeurs et traditions canadiennes. Malheureusement, à plusieurs égards, le gouvernement Harper nous a profondément déçus; les conservateurs ne méritent certainement pas la majorité qu'ils espéraient à la ligne de départ de la campagne.
Dans quelques domaines importants, le gouvernement sortant a bien fait. La motion sur la nation québécoise a en partie assouvi la soif de reconnaissance des Québécois. Le règlement du déséquilibre fiscal a remis de l'ordre dans le système fédéral de transferts et donné de l'oxygène aux provinces, en particulier au Québec.
Par contre, dans une foule d'autres dossiers, le gouvernement conservateur a été d'une rare incompétence. Il a mis des mois à admettre que le Canada devait disposer d'un solide plan de réduction des émissions de gaz à effet de serre. En matière économique, la baisse de deux points de la TPS a littéralement gaspillé plus de 10 milliards, une somme qui serait bien utile aujourd'hui.
Plusieurs des ministres de premier plan ont livré une performance lamentable. M. Harper lui-même a souvent agi de manière têtue et malavisée, notamment en matière de politique étrangère. Ce fut vrai en ce qui a trait aux relations du Canada avec la Chine, un géant économique et politique incontournable que le premier ministre a sciemment négligé par obstination idéologique.
L'entêtement: là est le talon d'Achille de M. Harper. Si le chef conservateur est certes un homme intelligent dont on apprécie parfois la capacité de décision, son refus systématique de corriger le tir lorsqu'il s'est visiblement trompé suscite l'inquiétude chez nous comme chez beaucoup de Canadiens. De plus, on le sent insensible aux préoccupations des gens lorsque celles-ci ne cadrent pas avec ses propres idées. C'est ce qui est ressorti au cours de cette campagne, alors qu'il a ignoré la furie des Québécois au sujet des compressions en culture et du renforcement des peines pour les jeunes contrevenants. Alors qu'il a, aussi, manqué maintes occasions de rassurer les Canadiens au sujet de l'ouragan économique et financier qui balaie la planète.
Si les conservateurs ne nous paraissent pas à la hauteur des défis qui confrontent le Canada d'aujourd'hui, qu'en est-il des autres partis? L'histoire politique du pays nous amène à nous tourner vers l'autre grande formation nationale, le Parti libéral. Malheureusement, nous n'y trouvons pas un parti bien préparé à prendre la relève.
Idéaliste et d'une intégrité indiscutable, Stéphane Dion a mené une bien meilleure campagne que ce que prédisaient les analystes et les militants de son propre parti. Pour notre part, connaissant les qualités de l'homme, nous n'avons pas été surpris. Cependant, cette bonne performance ne saurait faire oublier les graves difficultés qu'il a eues dans la gestion de sa formation, difficultés qui soulèvent bien des doutes quant à ses talents de leader.
Le Parti libéral reste une formation profondément divisée entre deux camps rivaux, ce qui fragilise d'autant le leadership de M. Dion. En outre, le parti est mal en point au Québec, où M. Dion n'a pas su rétablir les ponts avec l'aile plus nationaliste du PLC.
Même si les libéraux ont semblé saisir plus rapidement que les conservateurs la gravité de la crise économique, le plan présenté par M. Dion en plein débat des chefs est beaucoup plus cosmétique qu'autre chose. De plus, l'époque actuelle de turbulence économique et de chute des prix des matières premières paraît particulièrement mal choisie pour mettre en branle la vaste réforme fiscale envisagée par le Tournant vert dont le chef libéral a fait sa bible.
Au Québec, le Bloc québécois demeure incontestablement une puissance politique. Son chef, Gilles Duceppe, a encore une fois mené une campagne très efficace, démontrant combien il est proche des sensibilités de l'électorat québécois.
Le Bloc exprime de façon éloquente la vision québécoise nationaliste des enjeux. Certains de ses députés ont bien fait leur travail de parlementaires et méritent la confiance de leurs commettants.
Cela dit, l'objectif premier des bloquistes reste la promotion de l'indépendance du Québec, un objectif que, comme chacun sait, La Presse ne partage pas. De plus, les Québécois ayant choisi de demeurer au sein de ce pays, il nous paraît malsain qu'ils se privent d'une représentation forte dans les partis nationaux qui peuvent prétendre à le gouverner.
C'est pourquoi nous invitons les électeurs québécois à faire leur choix en considérant quel candidat, dans leur circonscrïption, sera mieux à même de défendre leurs intérêts à Ottawa, en particulier au sein du prochain gouvernement. Certes, la présence de Québécois autour de la table du conseil des ministres n'est pas une garantie que les décisions du fédéral seront toujours avantageuses pour le Québec. Toutefois, une chose est sûre: moins il y a de ministres solides du Québec, moins les intérêts de la province seront pris en compte. Les électeurs québécois le savent, l'adage ne se trompe pas: les absents ont toujours tort.
apratte@lapresse.ca --Message edité par tipet le 2008-10-11 09:28:10--
lucide a écritSi le parti conservateur perd des comtés au Quebec, il ne peut s'en prendre qu'a lui même.
Pourtant il avait de gros atouts pour faire d'autres gains, il pouvait rejoindre ceux dont les valeurs sont plus a droite, il avait respecté sa parole de baisser la TPS et on est en pleine crise économique mondiale.
Et de plus effectivement au Quebec, plusieurs souverainistes sans délaisser cet option ont quand même changé leur priorités.
Le parti conservateur est arrivé avec son arrogance, aucune connaissance des Quebecois, je pense qu'il vient de comprendre la véritable signification d'une société distincte.
Si il s'était vraiment interessé a nous il aurait su que:
- l'environnement était au coeur de nos préocupations: aucun plan dans sa plate forme, au contraire il renie Kyoto et s'en rejouit, rien pour les pollueurs albertains....
- que brandir une publicité choc croyant nous faire croire que le bloc ne sert a rien, nous laissant croire qu'on est tous des épais et que notre vote ne vaut rien.... ca aide pas quelqu'un d'indécis a changer de coté au contraire, renier la valeur du vote d'un électeur c'était de la provocation a laquelle nous n'avons pas peur d'y répondre.
- Faire des coupures dans le monde culturel, quand deja il reste tres peu de place apres l'invasion anglophone mais surtout les faire en traitant les gens d'enfants gatés au lieu d'expliquer les politiques ca démontre un manque de vouloir de communications.
- qu'a 70% les quebecois sont contre la guerre en Afghanistan alors de refuser de donner les couts et surtout d'affirmer ca coutera ce que ca coutera on va y rester, c'est carrement dire je me col.... de ce que vous pensez.
- Profiter d'une maladresse de comprehension de la langue anglaise pour abaisser publiquement un adversaire est de la mesquinerie montrant a quel point le parti conservateur est en état de panique... On est chatouilleux ici sur la langue
- Et museler ses députés ou ses candidats nous laisse prévoir qu'en fin de compte il va tout decider tout seul, des duplessis on en a deja eu... on s'en débarasser.
On a vécu tres bien ces dernieres années sans des ministres dans notre province , on peut encore attendre quelques années pendant ce temps il pourra venir jaser avec nous on y reprochera pas ses fautes de francais.
Je suis en grande partie d'accord avec toi, selon moi la cause de leur baisse au Québec serait avec les porucentage suivant :
- 70% Faire des coupures dans le monde culturel : Ils auraient dû davantage expiquer le pourquoi de chacune des coupures et démontrer toutes les augmentations qu'ils ont fait depuis 2006.
- 15% guerre en Afghanistan
- 10 % museler ses députés ; abaisser publiquement Dion ;
- 5% environnement
Pourtant il avait de gros atouts pour faire d'autres gains, il pouvait rejoindre ceux dont les valeurs sont plus a droite, il avait respecté sa parole de baisser la TPS et on est en pleine crise économique mondiale.
Et de plus effectivement au Quebec, plusieurs souverainistes sans délaisser cet option ont quand même changé leur priorités.
Le parti conservateur est arrivé avec son arrogance, aucune connaissance des Quebecois, je pense qu'il vient de comprendre la véritable signification d'une société distincte.
Si il s'était vraiment interessé a nous il aurait su que:
- l'environnement était au coeur de nos préocupations: aucun plan dans sa plate forme, au contraire il renie Kyoto et s'en rejouit, rien pour les pollueurs albertains....
- que brandir une publicité choc croyant nous faire croire que le bloc ne sert a rien, nous laissant croire qu'on est tous des épais et que notre vote ne vaut rien.... ca aide pas quelqu'un d'indécis a changer de coté au contraire, renier la valeur du vote d'un électeur c'était de la provocation a laquelle nous n'avons pas peur d'y répondre.
- Faire des coupures dans le monde culturel, quand deja il reste tres peu de place apres l'invasion anglophone mais surtout les faire en traitant les gens d'enfants gatés au lieu d'expliquer les politiques ca démontre un manque de vouloir de communications.
- qu'a 70% les quebecois sont contre la guerre en Afghanistan alors de refuser de donner les couts et surtout d'affirmer ca coutera ce que ca coutera on va y rester, c'est carrement dire je me col.... de ce que vous pensez.
- Profiter d'une maladresse de comprehension de la langue anglaise pour abaisser publiquement un adversaire est de la mesquinerie montrant a quel point le parti conservateur est en état de panique... On est chatouilleux ici sur la langue
- Et museler ses députés ou ses candidats nous laisse prévoir qu'en fin de compte il va tout decider tout seul, des duplessis on en a deja eu... on s'en débarasser.
On a vécu tres bien ces dernieres années sans des ministres dans notre province , on peut encore attendre quelques années pendant ce temps il pourra venir jaser avec nous on y reprochera pas ses fautes de francais.
Je suis en grande partie d'accord avec toi, selon moi la cause de leur baisse au Québec serait avec les porucentage suivant :
- 70% Faire des coupures dans le monde culturel : Ils auraient dû davantage expiquer le pourquoi de chacune des coupures et démontrer toutes les augmentations qu'ils ont fait depuis 2006.
- 15% guerre en Afghanistan
- 10 % museler ses députés ; abaisser publiquement Dion ;
- 5% environnement
michelineB a écrit
Il s'agit de regarder...d'ouvrir nos yeux...et nos grandes oreilles pour ça...et non seulement se faire influencer par quelqu'un....et se limiter ''Au Flash des Actualités de TVA ou de LCN''
À te lire nous les québécois ne sommes pas capable de prendre une décision éclairée sans l'aide de TVA ou LCN.
Nous sommes capable même si cette décision ne te rejoint pas.
Il s'agit de regarder...d'ouvrir nos yeux...et nos grandes oreilles pour ça...et non seulement se faire influencer par quelqu'un....et se limiter ''Au Flash des Actualités de TVA ou de LCN''
À te lire nous les québécois ne sommes pas capable de prendre une décision éclairée sans l'aide de TVA ou LCN.
Nous sommes capable même si cette décision ne te rejoint pas.
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michelineB a écritMonsieur....vous avez l'instruction, la personnalité et les compétences pour être ''Président'' de notre belle compagnie...
Réponse: ''Non j'aime mieux la job de balayeur''
Est-ce que tu connais autre chose que des commentaires qui contiennent mépris et condescendance envers les québécois?
Réponse: ''Non j'aime mieux la job de balayeur''
Est-ce que tu connais autre chose que des commentaires qui contiennent mépris et condescendance envers les québécois?
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michelineB
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michelineB a écrit
Il s'agit de regarder...d'ouvrir nos yeux...et nos grandes oreilles pour ça...et non seulement se faire influencer par quelqu'un....et se limiter ''Au Flash des Actualités de TVA ou de LCN''
T'insinues que je n'ai aucun sens critique, que je me borne à me faire une opinion à partir des front page et flash info???
Condescendante la madame et prétentieuxe à part ca! Bienvenue à toi sur le forum, tu sais te faire apprécier!
Il s'agit de regarder...d'ouvrir nos yeux...et nos grandes oreilles pour ça...et non seulement se faire influencer par quelqu'un....et se limiter ''Au Flash des Actualités de TVA ou de LCN''
T'insinues que je n'ai aucun sens critique, que je me borne à me faire une opinion à partir des front page et flash info???
Condescendante la madame et prétentieuxe à part ca! Bienvenue à toi sur le forum, tu sais te faire apprécier!
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois 
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michelineB
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michelineB
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Acrux a écrit Je suis en grande partie d'accord avec toi, selon moi la cause de leur baisse au Québec serait avec les porucentage suivant :
- 70% Faire des coupures dans le monde culturel : Ils auraient dû davantage expiquer le pourquoi de chacune des coupures et démontrer toutes les augmentations qu'ils ont fait depuis 2006.
- 15% guerre en Afghanistan
- 10 % museler ses députés ; abaisser publiquement Dion ;
- 5% environnement
Il y a aussi un bon pourcentage au fait qu'ils n,avaient pas de plate-forme et qu'ils ont surfé sur leur bilan plutôt que de proposer du neuf.
- 70% Faire des coupures dans le monde culturel : Ils auraient dû davantage expiquer le pourquoi de chacune des coupures et démontrer toutes les augmentations qu'ils ont fait depuis 2006.
- 15% guerre en Afghanistan
- 10 % museler ses députés ; abaisser publiquement Dion ;
- 5% environnement
Il y a aussi un bon pourcentage au fait qu'ils n,avaient pas de plate-forme et qu'ils ont surfé sur leur bilan plutôt que de proposer du neuf.