Un homme armé se trouverait dans le pavillon Thérèse-Casgrain de l'UQAM.
Des coups de feu auraient été entendus, mais personne n'aurait été blessé.
Plus de détails suivront...
source: http://www.radio-canada.ca/regions/Mont ... eu_n.shtml
Situation d'urgence au pavillon de l'Éducation
pavillon Thérèse-Casgrain de l'UQAM.
Des coups de feu auraient été entendus et des douilles ont été retrouvées, mais personne n'aurait été blessé.
Une vingtaine de policiers sont sur place et recherchent l'individu. Ils demandent aux étudiants de demeurer dans leur classe et ne procèdent à aucune évacuation du bâtiment pour le moment.
Environ 1000 personnes pourraient se trouver dans ce pavillon notamment fréquenté par des étudiants en Éducation et en Droit. L'immeuble est situé en face de l'hôpital Saint-Luc au coin de la rue Saint-Denis et du boulevard René-Lévesque.
Plus de détails suivront...
http://www.radio-canada.ca/regions/Mont ... eu_n.shtml
Des coups de feu auraient été entendus et des douilles ont été retrouvées, mais personne n'aurait été blessé.
Une vingtaine de policiers sont sur place et recherchent l'individu. Ils demandent aux étudiants de demeurer dans leur classe et ne procèdent à aucune évacuation du bâtiment pour le moment.
Environ 1000 personnes pourraient se trouver dans ce pavillon notamment fréquenté par des étudiants en Éducation et en Droit. L'immeuble est situé en face de l'hôpital Saint-Luc au coin de la rue Saint-Denis et du boulevard René-Lévesque.
Plus de détails suivront...
http://www.radio-canada.ca/regions/Mont ... eu_n.shtml
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Une opération policière d'envergure est en cours aux pavillons de l'Éducation (pavillon N) et Thérèse-Casgrain (pavillon W) de l'UQAM.
Des bruits s'apparentant à des coups de feu auraient été entendus vers 13 h 45, et un colis suspect a été retrouvé, mais personne n'a été blessé. Aucune trace de projectile ou de sang n'a été trouvée. Des douilles auraient également été retrouvées sur les lieux.
De nombreux policiers sont sur place, et ils vérifient les étages un à un en évacuant progressivement l'immeuble. Ils ont demandé à certains étudiants de demeurer barricadés dans leur classe.
On ne connaît pas le nombre exact de personnes qui pourraient se trouver dans ce pavillon, notamment fréquenté par des étudiants en éducation et en droit. L'immeuble est situé en face de l'hôpital Saint-Luc, au coin de la rue Saint-Denis et du boulevard René-Lévesque.
Malgré l'importance du déploiement policier - 16 voitures de police et plusieurs ambulances -, l'opération se déroule dans un calme relatif.
Un porte-parole de l'UQAM a précisé que le pavillon était fermé jusqu'à nouvel ordre, mais que les cours de la soirée n'ont toujours pas été annulés.
http://www.radio-canada.ca/regions/Mont ... eu_n.shtml
Des bruits s'apparentant à des coups de feu auraient été entendus vers 13 h 45, et un colis suspect a été retrouvé, mais personne n'a été blessé. Aucune trace de projectile ou de sang n'a été trouvée. Des douilles auraient également été retrouvées sur les lieux.
De nombreux policiers sont sur place, et ils vérifient les étages un à un en évacuant progressivement l'immeuble. Ils ont demandé à certains étudiants de demeurer barricadés dans leur classe.
On ne connaît pas le nombre exact de personnes qui pourraient se trouver dans ce pavillon, notamment fréquenté par des étudiants en éducation et en droit. L'immeuble est situé en face de l'hôpital Saint-Luc, au coin de la rue Saint-Denis et du boulevard René-Lévesque.
Malgré l'importance du déploiement policier - 16 voitures de police et plusieurs ambulances -, l'opération se déroule dans un calme relatif.
Un porte-parole de l'UQAM a précisé que le pavillon était fermé jusqu'à nouvel ordre, mais que les cours de la soirée n'ont toujours pas été annulés.
http://www.radio-canada.ca/regions/Mont ... eu_n.shtml
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Sti... je me trompe pas, Nain de jardin travaille là ! J'ai hâte d'avoir de ses nouvelles là...
Pour me suivre en photos --- https://instagram.com/marie_strophe" onclick="window.open(this.href);return false;
Spirullette a écritElle est assez loin du pavillon visé et il ne se passe rien dans le sien! ;)
Spiru, qui s'est pitchée sur le téléphone dès les premières annonces!
Merci Spiru pour les nouvelles !
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Spirullette
- Immortel du Domaine
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- Inscription : ven. avr. 04, 2003 1:00 am
Situation d'urgence à l'UQAM
André Duchesne
La Presse
Le pavillon de l'Éducation de l'Université du Québec à Montréal a été évacué d'urgence au cours de la dernière heure à la suite d'une information voulant qu'un homme armé se trouvait à l'intérieur.
>>> Nos photos de l'opération policière
Un employé de l'entretien ménager de l'UQAM, Pierre Luxon, a affirmé à Cyberpresse qu'un professeur l'a interpellé vers 13h45 parce qu'il y avait un sac de sport rouge dans le local MN-340. Une fois dans le local, il a vu 5 ou 6 douilles par terre et sur le sac.
Selon l'agent Raphaël Bergeron du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), un premier appel a été logé à la police pour une histoire de colis suspect et de détonations dans l'édifice sis à l'intersection de la rue Saint-Denis et du boulevard René-Lévesque.
Immédiatement, la police de Montréal a investi les lieux. Le personnel, les professeurs et les étudiants ont été avertis par le système d'intercom. On leur a demandé de rester à l'intérieur de leurs locaux.
«C'était un peu confus comme message, ce qu'on nous a envoyé dans l'intercom.» «Personne ne courait. Il n'y avait pas de panique mais en sortant, on a vu 25 policiers, des ambulances. On s'est dit, c'est comme à Dawson», a déclaré un étudiant, Jonathan Hille.
«Vers 13h45, j'ai entendu 4 ou 5 coups de feu. Je pensais que c'était des pétards, a pour sa part a déclaré Edwin Sedeno, étudiant en administration qui se trouvait au niveau du métro du secteur de l'Éducation. Cinq minutes plus tard, j'ai vu des policiers descendre les escaliers à toute vitesse. Je n'ai pas fait le lien tout de suite. Puis, je me suis dit que ce que j'avais entendu étaient sûrement des coups de feu»,
«Vers 14h00, on nous a dit à l'intercom qu'il y avait une situation d'urgence,. On nous a demandé de rester dans les classes. Vers 14h15, on nous a demandé d'évacuer par la bibliothèque d'Éducation», a témoigné Alexandre Benoit, un étudiant en Éducation.
«Les étudiants sont toujours dans leur locaux. Le message qui passe en continue, c'est restez dans vos locaux. On est en situation d'urgence», a pour sa part déclaré Julien-Jean Lefebvre.
Daniel Médina et Camille Hébert étaient à la bibliothèque lorsqu'ils ont entendu un message leur ordonnant d'évacuer l'endroit. «Des policiers sont passés devant nous en courant», a dit Daniel Médian. «Des gens avaient entendus des coups de feu «, ajoute Camille Hébert.
La police inspecte les locaux un par un et fait sortir les étudiants une fois une vérification faite.
Sous-terrain évacués
Par ailleurs, les policiers sont en voie d'ériger un important périmètre de sécurité dans les souterrains reliant les bâtiments et la station de métro avoisinante.
Les premiers pavillons de l'UQAM ont été érigés autour de la station Berri-UQAM, Berri de Montigny à l'origine. Ces pavillons se connectent à la station de métro. Le tout est aussi reliés à la Grande bibliothèque du Québec.
Témoignages
Au secrétariat du Département des Sciences juridiques, une femme nous a répondu au téléphone d'un ton calme. Elle se sentait en sécurité. «Ils nous ont dit de rester dans nos bureaux. C'est barré, donc nous sommes corrects. Nous attendons les nouvelles procédures», a-t-elle déclaré.
Au Département des sciences religieuses, Vicky, la secrétaire de direction, tentait de maintenir son calme. «C'est plus ou moins inquiétant. On essaie de ne pas paniquer et on regarde dans l'Internet ce qui se passe.»
Vicky est embarrée dans le bureau du département, avec une collègue et une étudiante. De la fenêtre, elles aperçoivent les dizaines de policiers dépêchés sur les lieux. Toutes les dix minutes, un message se fait entendre dans les haut-parleurs de l'immeuble, leur disant de rester dans leur bureau à cause d'une situation d'urgence.
«J'ai hâte de sortir», dit Julie Saint-Martin, une commis au logiciel à l'École de travail social. Elle est dans un local avec six autres personnes. Ils ont tous le nez scotché à la fenêtre pour voir ce qui se passe à l'extérieur. «On écoute la radio, on essaie de s'informer. C'est pas mal énervant.»
Selon Mme Saint-Martin, qui a fait entrer des étudiants dans son local, la situation est prise «très au sérieux». «Les corridors sont vides»
Ce qui est affolant, c'est de ne pas savoir. La mère de Julie Saint-Martin lui a téléphoné pour s'assurer qu'elle soit saine et sauve.
Plus de détails à venir.
André Duchesne
La Presse
Le pavillon de l'Éducation de l'Université du Québec à Montréal a été évacué d'urgence au cours de la dernière heure à la suite d'une information voulant qu'un homme armé se trouvait à l'intérieur.
>>> Nos photos de l'opération policière
Un employé de l'entretien ménager de l'UQAM, Pierre Luxon, a affirmé à Cyberpresse qu'un professeur l'a interpellé vers 13h45 parce qu'il y avait un sac de sport rouge dans le local MN-340. Une fois dans le local, il a vu 5 ou 6 douilles par terre et sur le sac.
Selon l'agent Raphaël Bergeron du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), un premier appel a été logé à la police pour une histoire de colis suspect et de détonations dans l'édifice sis à l'intersection de la rue Saint-Denis et du boulevard René-Lévesque.
Immédiatement, la police de Montréal a investi les lieux. Le personnel, les professeurs et les étudiants ont été avertis par le système d'intercom. On leur a demandé de rester à l'intérieur de leurs locaux.
«C'était un peu confus comme message, ce qu'on nous a envoyé dans l'intercom.» «Personne ne courait. Il n'y avait pas de panique mais en sortant, on a vu 25 policiers, des ambulances. On s'est dit, c'est comme à Dawson», a déclaré un étudiant, Jonathan Hille.
«Vers 13h45, j'ai entendu 4 ou 5 coups de feu. Je pensais que c'était des pétards, a pour sa part a déclaré Edwin Sedeno, étudiant en administration qui se trouvait au niveau du métro du secteur de l'Éducation. Cinq minutes plus tard, j'ai vu des policiers descendre les escaliers à toute vitesse. Je n'ai pas fait le lien tout de suite. Puis, je me suis dit que ce que j'avais entendu étaient sûrement des coups de feu»,
«Vers 14h00, on nous a dit à l'intercom qu'il y avait une situation d'urgence,. On nous a demandé de rester dans les classes. Vers 14h15, on nous a demandé d'évacuer par la bibliothèque d'Éducation», a témoigné Alexandre Benoit, un étudiant en Éducation.
«Les étudiants sont toujours dans leur locaux. Le message qui passe en continue, c'est restez dans vos locaux. On est en situation d'urgence», a pour sa part déclaré Julien-Jean Lefebvre.
Daniel Médina et Camille Hébert étaient à la bibliothèque lorsqu'ils ont entendu un message leur ordonnant d'évacuer l'endroit. «Des policiers sont passés devant nous en courant», a dit Daniel Médian. «Des gens avaient entendus des coups de feu «, ajoute Camille Hébert.
La police inspecte les locaux un par un et fait sortir les étudiants une fois une vérification faite.
Sous-terrain évacués
Par ailleurs, les policiers sont en voie d'ériger un important périmètre de sécurité dans les souterrains reliant les bâtiments et la station de métro avoisinante.
Les premiers pavillons de l'UQAM ont été érigés autour de la station Berri-UQAM, Berri de Montigny à l'origine. Ces pavillons se connectent à la station de métro. Le tout est aussi reliés à la Grande bibliothèque du Québec.
Témoignages
Au secrétariat du Département des Sciences juridiques, une femme nous a répondu au téléphone d'un ton calme. Elle se sentait en sécurité. «Ils nous ont dit de rester dans nos bureaux. C'est barré, donc nous sommes corrects. Nous attendons les nouvelles procédures», a-t-elle déclaré.
Au Département des sciences religieuses, Vicky, la secrétaire de direction, tentait de maintenir son calme. «C'est plus ou moins inquiétant. On essaie de ne pas paniquer et on regarde dans l'Internet ce qui se passe.»
Vicky est embarrée dans le bureau du département, avec une collègue et une étudiante. De la fenêtre, elles aperçoivent les dizaines de policiers dépêchés sur les lieux. Toutes les dix minutes, un message se fait entendre dans les haut-parleurs de l'immeuble, leur disant de rester dans leur bureau à cause d'une situation d'urgence.
«J'ai hâte de sortir», dit Julie Saint-Martin, une commis au logiciel à l'École de travail social. Elle est dans un local avec six autres personnes. Ils ont tous le nez scotché à la fenêtre pour voir ce qui se passe à l'extérieur. «On écoute la radio, on essaie de s'informer. C'est pas mal énervant.»
Selon Mme Saint-Martin, qui a fait entrer des étudiants dans son local, la situation est prise «très au sérieux». «Les corridors sont vides»
Ce qui est affolant, c'est de ne pas savoir. La mère de Julie Saint-Martin lui a téléphoné pour s'assurer qu'elle soit saine et sauve.
Plus de détails à venir.
une chance je vaisp u la depuis 2003 et mes copines qui etaient en educations sinon jaurais été inquiets
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Mise à jour: 11/12/2008 17:40
UQAM
Des pétards à l'origine de l'état d'alerte
(PC)
Plus de peur que de mal à l'Université du Québec à Montréal, jeudi après-midi, alors que l'on a cru un certain moment que des coups de feu avaient été tirés au pavillon de l'éducation.
Finalement, ce n'était que des «pétards» qui ont explosé dans une cage d'ascenseur.
Une vaste opération policière a été lancée vers 13 heures 45 sur la foi d'appels dans lesquels on indiquait que des détonations, que certains avaient qualifiées de «coups de feu», avaient été entendues.
Les craintes ont été renforcées alors qu'un sac à dos contenant des balles de calibre 22 non utilisées et deux couteaux a été découvert.
Après avoir entendu des détonations, six personnes avaient contacté les autorités en déclarant avoir entendu ces bruits en provenance de la cage d'ascenseur. Les autorités ont réalisé plus tard qu'il s'agissait simplement de l'explosion d'objets pyrotechniques.
Mais immédiatement après avoir été contacté, l'alerte a été donnée et le Service de police de la Ville de Montréal a dépêché sur les lieux des dizaines de policiers. Ils ont lancé une vaste opération afin de fouiller les différents étages du pavillon pour tenter de localiser un éventuel suspect.
La police dit avoir travaillé de façon défensive en raison «d'une éventuelle menace» qui, finalement, était non fondée. Les policiers n'ont trouvé aucune marque de projectile dans le bâtiment.
Urgences-santé a souligné que deux personnes ont été traitées sur place pour un choc nerveux. Une quinzaine d'ambulanciers et plusieurs véhicules ont été appelés au pavillon qui se trouve à l'angle des rues Saint-Denis et René-Lévesque. Selon l'université, il y avait «quelques milliers de personnes» dans le bâtiment, jeudi après-midi.
La consigne donnée aux étudiants avait été de demeurer à l'intérieur des classes, le temps que la police fasse son travail. Des évacuations ont été amorcées au fur et à mesure que les zones étaient sécurisées.
Les cours ont été suspendus jeudi soir au pavillon de l'éducation.
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 74037.html
UQAM
Des pétards à l'origine de l'état d'alerte
(PC)
Plus de peur que de mal à l'Université du Québec à Montréal, jeudi après-midi, alors que l'on a cru un certain moment que des coups de feu avaient été tirés au pavillon de l'éducation.
Finalement, ce n'était que des «pétards» qui ont explosé dans une cage d'ascenseur.
Une vaste opération policière a été lancée vers 13 heures 45 sur la foi d'appels dans lesquels on indiquait que des détonations, que certains avaient qualifiées de «coups de feu», avaient été entendues.
Les craintes ont été renforcées alors qu'un sac à dos contenant des balles de calibre 22 non utilisées et deux couteaux a été découvert.
Après avoir entendu des détonations, six personnes avaient contacté les autorités en déclarant avoir entendu ces bruits en provenance de la cage d'ascenseur. Les autorités ont réalisé plus tard qu'il s'agissait simplement de l'explosion d'objets pyrotechniques.
Mais immédiatement après avoir été contacté, l'alerte a été donnée et le Service de police de la Ville de Montréal a dépêché sur les lieux des dizaines de policiers. Ils ont lancé une vaste opération afin de fouiller les différents étages du pavillon pour tenter de localiser un éventuel suspect.
La police dit avoir travaillé de façon défensive en raison «d'une éventuelle menace» qui, finalement, était non fondée. Les policiers n'ont trouvé aucune marque de projectile dans le bâtiment.
Urgences-santé a souligné que deux personnes ont été traitées sur place pour un choc nerveux. Une quinzaine d'ambulanciers et plusieurs véhicules ont été appelés au pavillon qui se trouve à l'angle des rues Saint-Denis et René-Lévesque. Selon l'université, il y avait «quelques milliers de personnes» dans le bâtiment, jeudi après-midi.
La consigne donnée aux étudiants avait été de demeurer à l'intérieur des classes, le temps que la police fasse son travail. Des évacuations ont été amorcées au fur et à mesure que les zones étaient sécurisées.
Les cours ont été suspendus jeudi soir au pavillon de l'éducation.
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 74037.html
Lison de Gatineau
Pour ma part, je travaille au pavillon De-Sève. La plupart d'entre-nous étions un peu stressées, et cela a pris un bon bout de temps avant que l'on sache à quoi s'en tenir. Nous avons fermé le comptoir du Registrariat et sommes restés dans nos bureaux. Finalement, ce n'était rien de grave, mais un bon exercice au cas... Avec ce qui est arrivé à Poly, Dawson et Concordia, on ne se sent pas à l'abri d'un malade. On ne sait jamais.
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NainDeJardin
- Immortel du Domaine
- Messages : 19566
- Inscription : jeu. oct. 30, 2003 1:00 am
un chargé de cours a dit que le colis suspect aurait une minuterie et le colis a été découvert au troisième étage dans la toilette des dames
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