Jumbo a écrit
Bah, tout lui est pardonné par ses supporters. ;)
À force de lire ici, je suis en train de découvrir que:
Duceppe serait Dieu
Marois serait Marie
Parizeau serait St-Joseph
Jésus serait ???
Et a en lire d'autres, on a l'impression qu'ils sont tous le diable incarné
Tsé l'histoire du trone là, elle commence à être vieille, comme si Marois n'Avait fait que ça, installer une toilette de luxe dans toute sa carrière
Élection au Provincial
Annouk a écrit
Et a en lire d'autres, on a l'impression qu'ils sont tous le diable incarné
Tsé l'histoire du trone là, elle commence à être vieille, comme si Marois n'Avait fait que ça, installer une toilette de luxe dans toute sa carrière
Tu as raison, elle a aussi fait un beau jardin et de belles plate-bandes.
Je te laisse énumérer le reste de ses réalisations.
Le diable, j'ai toujours lu que c'était Harper.
Et a en lire d'autres, on a l'impression qu'ils sont tous le diable incarné
Tsé l'histoire du trone là, elle commence à être vieille, comme si Marois n'Avait fait que ça, installer une toilette de luxe dans toute sa carrière
Tu as raison, elle a aussi fait un beau jardin et de belles plate-bandes.
Je te laisse énumérer le reste de ses réalisations.
Le diable, j'ai toujours lu que c'était Harper.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
vla le dernier sondage de crop enfin
Denis Lessard
La Presse
Pauline Marois pensait avoir rétréci l'écart avec les libéraux de Jean Charest, mais ce n'est pas le cas s'il faut en croire le dernier sondage CROP-La Presse. Au contraire, l'avance des libéraux sur le PQ atteint désormais 16 points, la plus forte pour le parti de Jean Charest depuis un an.
Si des élections avaient eu lieu cette semaine, le PLQ aurait obtenu 45% des suffrages, contre 29% au PQ et 15% à l'ADQ. Québec solidaire décroche 5% et le Parti vert 6% quand on répartit proportionnellement les 15% d'indécis. L'enquête, réalisée pour La Presse auprès de 1001 personnes du 28 novembre au 3 décembre, est précise à 3 points de pourcentage près 19 fois sur 20.
Une fort mauvaise nouvelle pour Pauline Marois: le PQ récolte 8 points de moins que la souveraineté du Québec, un constat qui apportera de l'eau au moulin de l'aile orthodoxe du parti, déçue qu'elle ait mis la souveraineté sous le boisseau.
La chef péquiste, avec 29%, ferait tout juste un point de plus qu'André Boisclair en 2007. En 2003, Bernard Landry avait récolté 33% des suffrages. En revanche, le PQ devrait être en mesure de reconquérir le statut d'opposition officielle qui avait échappé à André Boisclair.
Le verdict est aussi très dur à l'endroit du leadership de Mme Marois, qui enregistre sa pire performance personnelle depuis son retour en politique. Si Jean Charest reste le choix de 43% des répondants comme «meilleur premier ministre», Pauline Marois a la confiance de 24% des électeurs. C'est pour elle un recul de 3 % sur la précédente enquête, mais surtout, c'est son plus faible résultat depuis qu'elle a remplacé André Boisclair en juin 2007. Mario Dumont arrive troisième avec 13% des répondants.
Les pires cauchemars de Mario Dumont semblent en voie de se réaliser. Avec 15 %, l'ADQ est susceptible d'obtenir moins de cinq députés, et est clairement en deçà du 20 % des voix nécessaires pour obtenir le statut de parti reconnu à l'Assemblée nationale.
Deux constats s'imposent pour Claude Gauthier, le vice-président de CROP. Jean Charest a fait mouche quand il a ciblé l'économie et la stabilité comme axes de sa campagne électorale. Après 31 jours de campagne, rien n'a réellement bougé dans les positions respectives des partis, observe-t-il. Même si Pauline Marois et Mario Dumont ont fait une meilleure performance que Jean Charest au débat télévisé, on n'en retrouve aucune trace dans les sondages. Au surplus la zizanie survenue à Ottawa, la partie de souque à la corde entre Stephen Harper et un gouvernement de coalition a exacerbé le désir des électeurs d'avoir le gouvernement stable que promet Jean Charest, observe Gauthier. Les résultats démontrent qu'avec la crise aux Communes, la campagne québécoise est tout simplement passée sous le radar.
Le seul impact de la campagne s'observe selon lui avec la baisse de la satisfaction à l'endroit du gouvernement, passée de 51 à 48 % depuis deux semaines. En un mois, la satisfaction à l'endroit du gouvernement a baissé de 11 points, résultat des attaques quotidiennes du PQ et de l'ADQ, évalue Claude Gauthier.
Cette chute n'a pas eu d'impact sur l'intention de vote. À 45% le PLQ est au même niveau qu'à la veille du débat des chefs. Le PQ a baissé de 3 points, passant de 32 à 29%. L'ADQ a grimpé d'autant, à 15%.
Proche de 2003
La répartition en sièges de ces résultats est toujours difficile. Mais les scores obtenus ressemblent à ceux des élections de 2003, observe le spécialiste. Les libéraux avaient décroché la majorité avec 76 sièges, contre 45 au Parti québécois et une maigre récolte de quatre élus pour l'ADQ.
Chez les francophones, l'ADQ remonte de 3 points depuis deux semaines, passant de 14 à 17%. Le PQ cède 3 points, à 36%, ce qui le laisse à égalité avec le PLQ à 35%.
Les résultats par région sont moins précis, établis sur de plus petits échantillons. Néanmoins, CROP observe que dans la région de Montréal les libéraux sont en avance, avec 49% des intentions de vote contre 27% au PQ et 10% à l'ADQ. Mais si on observe le vote dans le 450, on constate que la lutte est plus serrée entre libéraux et péquistes, à 39% contre 34%. L'ADQ, qui avait fait élire plusieurs députés dans le 450, ne récolte plus que 15% des intentions de vote. Dans la région de Québec, les libéraux dominent, avec 37%, une baisse toutefois de 5 points sur leur précédent score. L'ADQ a fait un bond passant de 21 à 29%, tandis que le PQ piétine en troisième place à 23%.
Ailleurs au Québec, les libéraux sont en avance avec 43% des intentions de vote, 10 points de plus que le PQ qui, à 33%, a baissé de 3 points. L'ADQ récolte 17%.
Désormais 70% des gens estiment que leur choix est définitif, une proportion plus grande qu'en 2007 - le sondage précédant le vote avait alors observé que 63 % des gens disaient avoir fait leur lit.
Mauvaise nouvelle pour Mario Dumont: seulement 53% des électeurs adéquistes de 2007 ont l'intention de maintenir leur choix. Les électeurs libéraux maintiennent massivement leur vote à 90%. L'appui au PQ est plus volatil, 73% des appuis de 2007 seront encore là lundi.
Finalement, 73 % des électeurs se disent «certains d'aller voter» - un niveau proche de la participation aux dernières élections provinciales. Désormais 45% des gens se disent «très ou assez» intéressés par la campagne électorale, un niveau comparable aux 50% de 2003, mais bien moins que les 58% de la campagne de 2007, «avec la montée de l'ADQ, les gens sentaient qu'il se passait quelque chose, ce n'est pas le cas cette fois-ci», résume Claude Gauthier.
Denis Lessard
La Presse
Pauline Marois pensait avoir rétréci l'écart avec les libéraux de Jean Charest, mais ce n'est pas le cas s'il faut en croire le dernier sondage CROP-La Presse. Au contraire, l'avance des libéraux sur le PQ atteint désormais 16 points, la plus forte pour le parti de Jean Charest depuis un an.
Si des élections avaient eu lieu cette semaine, le PLQ aurait obtenu 45% des suffrages, contre 29% au PQ et 15% à l'ADQ. Québec solidaire décroche 5% et le Parti vert 6% quand on répartit proportionnellement les 15% d'indécis. L'enquête, réalisée pour La Presse auprès de 1001 personnes du 28 novembre au 3 décembre, est précise à 3 points de pourcentage près 19 fois sur 20.
Une fort mauvaise nouvelle pour Pauline Marois: le PQ récolte 8 points de moins que la souveraineté du Québec, un constat qui apportera de l'eau au moulin de l'aile orthodoxe du parti, déçue qu'elle ait mis la souveraineté sous le boisseau.
La chef péquiste, avec 29%, ferait tout juste un point de plus qu'André Boisclair en 2007. En 2003, Bernard Landry avait récolté 33% des suffrages. En revanche, le PQ devrait être en mesure de reconquérir le statut d'opposition officielle qui avait échappé à André Boisclair.
Le verdict est aussi très dur à l'endroit du leadership de Mme Marois, qui enregistre sa pire performance personnelle depuis son retour en politique. Si Jean Charest reste le choix de 43% des répondants comme «meilleur premier ministre», Pauline Marois a la confiance de 24% des électeurs. C'est pour elle un recul de 3 % sur la précédente enquête, mais surtout, c'est son plus faible résultat depuis qu'elle a remplacé André Boisclair en juin 2007. Mario Dumont arrive troisième avec 13% des répondants.
Les pires cauchemars de Mario Dumont semblent en voie de se réaliser. Avec 15 %, l'ADQ est susceptible d'obtenir moins de cinq députés, et est clairement en deçà du 20 % des voix nécessaires pour obtenir le statut de parti reconnu à l'Assemblée nationale.
Deux constats s'imposent pour Claude Gauthier, le vice-président de CROP. Jean Charest a fait mouche quand il a ciblé l'économie et la stabilité comme axes de sa campagne électorale. Après 31 jours de campagne, rien n'a réellement bougé dans les positions respectives des partis, observe-t-il. Même si Pauline Marois et Mario Dumont ont fait une meilleure performance que Jean Charest au débat télévisé, on n'en retrouve aucune trace dans les sondages. Au surplus la zizanie survenue à Ottawa, la partie de souque à la corde entre Stephen Harper et un gouvernement de coalition a exacerbé le désir des électeurs d'avoir le gouvernement stable que promet Jean Charest, observe Gauthier. Les résultats démontrent qu'avec la crise aux Communes, la campagne québécoise est tout simplement passée sous le radar.
Le seul impact de la campagne s'observe selon lui avec la baisse de la satisfaction à l'endroit du gouvernement, passée de 51 à 48 % depuis deux semaines. En un mois, la satisfaction à l'endroit du gouvernement a baissé de 11 points, résultat des attaques quotidiennes du PQ et de l'ADQ, évalue Claude Gauthier.
Cette chute n'a pas eu d'impact sur l'intention de vote. À 45% le PLQ est au même niveau qu'à la veille du débat des chefs. Le PQ a baissé de 3 points, passant de 32 à 29%. L'ADQ a grimpé d'autant, à 15%.
Proche de 2003
La répartition en sièges de ces résultats est toujours difficile. Mais les scores obtenus ressemblent à ceux des élections de 2003, observe le spécialiste. Les libéraux avaient décroché la majorité avec 76 sièges, contre 45 au Parti québécois et une maigre récolte de quatre élus pour l'ADQ.
Chez les francophones, l'ADQ remonte de 3 points depuis deux semaines, passant de 14 à 17%. Le PQ cède 3 points, à 36%, ce qui le laisse à égalité avec le PLQ à 35%.
Les résultats par région sont moins précis, établis sur de plus petits échantillons. Néanmoins, CROP observe que dans la région de Montréal les libéraux sont en avance, avec 49% des intentions de vote contre 27% au PQ et 10% à l'ADQ. Mais si on observe le vote dans le 450, on constate que la lutte est plus serrée entre libéraux et péquistes, à 39% contre 34%. L'ADQ, qui avait fait élire plusieurs députés dans le 450, ne récolte plus que 15% des intentions de vote. Dans la région de Québec, les libéraux dominent, avec 37%, une baisse toutefois de 5 points sur leur précédent score. L'ADQ a fait un bond passant de 21 à 29%, tandis que le PQ piétine en troisième place à 23%.
Ailleurs au Québec, les libéraux sont en avance avec 43% des intentions de vote, 10 points de plus que le PQ qui, à 33%, a baissé de 3 points. L'ADQ récolte 17%.
Désormais 70% des gens estiment que leur choix est définitif, une proportion plus grande qu'en 2007 - le sondage précédant le vote avait alors observé que 63 % des gens disaient avoir fait leur lit.
Mauvaise nouvelle pour Mario Dumont: seulement 53% des électeurs adéquistes de 2007 ont l'intention de maintenir leur choix. Les électeurs libéraux maintiennent massivement leur vote à 90%. L'appui au PQ est plus volatil, 73% des appuis de 2007 seront encore là lundi.
Finalement, 73 % des électeurs se disent «certains d'aller voter» - un niveau proche de la participation aux dernières élections provinciales. Désormais 45% des gens se disent «très ou assez» intéressés par la campagne électorale, un niveau comparable aux 50% de 2003, mais bien moins que les 58% de la campagne de 2007, «avec la montée de l'ADQ, les gens sentaient qu'il se passait quelque chose, ce n'est pas le cas cette fois-ci», résume Claude Gauthier.
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
oui mais le vrai sondage sera le 8 decembre ca changera pas grand chose pour l,adq désoler anthurium
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Earendil a écritvla le dernier sondage de crop enfin
L'enquête, réalisée pour La Presse auprès de 1001 personnes du 28 novembre au 3 décembre, est précise à 3 points de pourcentage près 19 fois sur 20.
(...)
Au surplus la zizanie survenue à Ottawa, la partie de souque à la corde entre Stephen Harper et un gouvernement de coalition a exacerbé le désir des électeurs d'avoir le gouvernement stable que promet Jean Charest, observe Gauthier. Les résultats démontrent qu'avec la crise aux Communes, la campagne québécoise est tout simplement passée sous le radar.
Le sondage a eu lieu du 28 au 3... Il s'est passé *bien* des choses depuis le 28, alors je trouve que les conclusions sont tirée sur des bases inexactes. J'ai vu plusieurs personnes changer leur intention de vote depuis la date de début de ce sondage. Certaines personnes qui disent maintenant "Ya toujours ben de limites!!!", à cause de ce qui se passe à Ottawa, et qui voteront maintenant pour le PQ. D'autres migrations d'un parti à un autre peuvent aussi avoir eu lieu.
Autrement dit, il s'est passé tellement d'événements majeurs dans les derniers jours que les résultats présentés ici sont déjà désuets!! --Message edité par Dominique le 2008-12-05 01:36:12--
L'enquête, réalisée pour La Presse auprès de 1001 personnes du 28 novembre au 3 décembre, est précise à 3 points de pourcentage près 19 fois sur 20.
(...)
Au surplus la zizanie survenue à Ottawa, la partie de souque à la corde entre Stephen Harper et un gouvernement de coalition a exacerbé le désir des électeurs d'avoir le gouvernement stable que promet Jean Charest, observe Gauthier. Les résultats démontrent qu'avec la crise aux Communes, la campagne québécoise est tout simplement passée sous le radar.
Le sondage a eu lieu du 28 au 3... Il s'est passé *bien* des choses depuis le 28, alors je trouve que les conclusions sont tirée sur des bases inexactes. J'ai vu plusieurs personnes changer leur intention de vote depuis la date de début de ce sondage. Certaines personnes qui disent maintenant "Ya toujours ben de limites!!!", à cause de ce qui se passe à Ottawa, et qui voteront maintenant pour le PQ. D'autres migrations d'un parti à un autre peuvent aussi avoir eu lieu.
Autrement dit, il s'est passé tellement d'événements majeurs dans les derniers jours que les résultats présentés ici sont déjà désuets!! --Message edité par Dominique le 2008-12-05 01:36:12--
[img]http://tinyurl.com/mn4fgn[/img][img]http://tinyurl.com/nw7d2q[/img]
Nikki. a écrit
Oui. Tu n'as pas le droit d'être assis à la place du conducteur si tu es en état d'ébriété, même si le moteur ne tourne pas et que la clé n'est pas dans le contact...
Fack, la morale de cette histoire... on est mieux de se geler le c** dehors que d'aller se réchauffer dans notre voiture en attendant nez rouge
Oui. Tu n'as pas le droit d'être assis à la place du conducteur si tu es en état d'ébriété, même si le moteur ne tourne pas et que la clé n'est pas dans le contact...
Fack, la morale de cette histoire... on est mieux de se geler le c** dehors que d'aller se réchauffer dans notre voiture en attendant nez rouge
[url]http://www.youtube.com/watch?v=-WVm38B6hhw[/url]
Jumbo a écrit [/couleur]
Tu as raison, elle a aussi fait un beau jardin et de belles plate-bandes.
Je te laisse énumérer le reste de ses réalisations.
Le diable, j'ai toujours lu que c'était Harper.
Je pensais que nous avions réglé le problème. Lors du débat, nous avons bien vu que tout ce qui arrive au Québec c'est la faute à Pauline Marois : les hôpitaux, les écoles, les toilettes, la crise économique et j'en passe. Charest est en poste depuis 6 ans et la situation n'a pas changé au contraire elle a continué de se détériorer toujours à cause de Pauline... pffffffffffff
Tu as raison, elle a aussi fait un beau jardin et de belles plate-bandes.
Je te laisse énumérer le reste de ses réalisations.
Le diable, j'ai toujours lu que c'était Harper.
Je pensais que nous avions réglé le problème. Lors du débat, nous avons bien vu que tout ce qui arrive au Québec c'est la faute à Pauline Marois : les hôpitaux, les écoles, les toilettes, la crise économique et j'en passe. Charest est en poste depuis 6 ans et la situation n'a pas changé au contraire elle a continué de se détériorer toujours à cause de Pauline... pffffffffffff
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
-
.anthurium.
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 6007
- Inscription : ven. avr. 23, 2004 3:00 am
Earendil a écritoui mais le vrai sondage sera le 8 decembre ca changera pas grand chose pour l,adq désoler anthurium
Ne sort pas le champagne trop vite.
Ne sort pas le champagne trop vite.
Prière et chant religieux
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Dominique a écrit
Le sondage a eu lieu du 28 au 3... Il s'est passé *bien* des choses depuis le 28, alors je trouve que les conclusions sont tirée sur des bases inexactes. J'ai vu plusieurs personnes changer leur intention de vote depuis la date de début de ce sondage. Certaines personnes qui disent maintenant "Ya toujours ben de limites!!!", à cause de ce qui se passe à Ottawa, et qui voteront maintenant pour le PQ. D'autres migrations d'un parti à un autre peuvent aussi avoir eu lieu.
Autrement dit, il s'est passé tellement d'événements majeurs dans les derniers jours que les résultats présentés ici sont déjà désuets!!
En tout cas les déclarations de Harper suite à la prorogation de la Chambre sont vraiment édifiantes à lire. Si c'est ça la démocratie...
Harper - Députés bloquistes
Des élus de 2e classe
Mathieu Bélanger
Le Journal de Montréal
05/12/2008 06h47
Après avoir réanimé les vieilles querelles fédéralistes-souverainistes en à peine 72 heures, Stephen Harper fait maintenant des 49 députés du Bloc québécois des élus de deuxième classe avec qui il n'a plus l'intention de «travailler».
«J'invite surtout les partis qui ont une responsabilité pour le Canada tout entier à travailler avec nous, à nous informer de leurs positions, et nous serons à l'écoute», a indiqué, hier, le chef conservateur au terme de sa rencontre avec la gouverneure générale.
Le premier ministre fait ainsi une distinction entre les partis «nationaux», qui «travaillent pour les intérêts du pays», et le Bloc québécois, dont il remet en question les objectifs.
Cette affirmation a fait sursauter le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe. «Très clairement, il a dit que les élus du Québec n'avaient pas la même valeur que les élus du reste du Canada», a affirmé le chef souverainiste.
Pires attaques depuis Meech
M. Duceppe accuse le premier ministre d'isoler le Québec. «Stephen Harper s'est sciemment et brutalement lancé dans la pire des politiques : celle de la division, de la peur et du mensonge, a-t-il accusé. En contestant la légitimité des élus du Bloc, le chef conservateur a dénigré le vote des Québécois. Il a poussé ses partisans à se lancer dans les pires attaques contre le Québec qu'on a vues depuis les évènements de Meech.»
Tentant de calmer le jeu, le ministre des Affaires étrangères, Lawrence Cannon, a indiqué que l'esprit de collaboration était nécessaire, mais qu'«aucun chef de gouvernement au Canada ne doit se placer dans une situation où il est à la merci du Bloc québécois. L'objectif du Bloc n'est pas de faire fonctionner les institutions fédérales, son objectif est de faire la séparation du Québec.»
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 64700.html
Le sondage a eu lieu du 28 au 3... Il s'est passé *bien* des choses depuis le 28, alors je trouve que les conclusions sont tirée sur des bases inexactes. J'ai vu plusieurs personnes changer leur intention de vote depuis la date de début de ce sondage. Certaines personnes qui disent maintenant "Ya toujours ben de limites!!!", à cause de ce qui se passe à Ottawa, et qui voteront maintenant pour le PQ. D'autres migrations d'un parti à un autre peuvent aussi avoir eu lieu.
Autrement dit, il s'est passé tellement d'événements majeurs dans les derniers jours que les résultats présentés ici sont déjà désuets!!
En tout cas les déclarations de Harper suite à la prorogation de la Chambre sont vraiment édifiantes à lire. Si c'est ça la démocratie...
Harper - Députés bloquistes
Des élus de 2e classe
Mathieu Bélanger
Le Journal de Montréal
05/12/2008 06h47
Après avoir réanimé les vieilles querelles fédéralistes-souverainistes en à peine 72 heures, Stephen Harper fait maintenant des 49 députés du Bloc québécois des élus de deuxième classe avec qui il n'a plus l'intention de «travailler».
«J'invite surtout les partis qui ont une responsabilité pour le Canada tout entier à travailler avec nous, à nous informer de leurs positions, et nous serons à l'écoute», a indiqué, hier, le chef conservateur au terme de sa rencontre avec la gouverneure générale.
Le premier ministre fait ainsi une distinction entre les partis «nationaux», qui «travaillent pour les intérêts du pays», et le Bloc québécois, dont il remet en question les objectifs.
Cette affirmation a fait sursauter le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe. «Très clairement, il a dit que les élus du Québec n'avaient pas la même valeur que les élus du reste du Canada», a affirmé le chef souverainiste.
Pires attaques depuis Meech
M. Duceppe accuse le premier ministre d'isoler le Québec. «Stephen Harper s'est sciemment et brutalement lancé dans la pire des politiques : celle de la division, de la peur et du mensonge, a-t-il accusé. En contestant la légitimité des élus du Bloc, le chef conservateur a dénigré le vote des Québécois. Il a poussé ses partisans à se lancer dans les pires attaques contre le Québec qu'on a vues depuis les évènements de Meech.»
Tentant de calmer le jeu, le ministre des Affaires étrangères, Lawrence Cannon, a indiqué que l'esprit de collaboration était nécessaire, mais qu'«aucun chef de gouvernement au Canada ne doit se placer dans une situation où il est à la merci du Bloc québécois. L'objectif du Bloc n'est pas de faire fonctionner les institutions fédérales, son objectif est de faire la séparation du Québec.»
http://www.canoe.com/infos/quebeccanada ... 64700.html
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Dominique a écrit
Le sondage a eu lieu du 28 au 3... Il s'est passé *bien* des choses depuis le 28, alors je trouve que les conclusions sont tirée sur des bases inexactes. J'ai vu plusieurs personnes changer leur intention de vote depuis la date de début de ce sondage. Certaines personnes qui disent maintenant "Ya toujours ben de limites!!!", à cause de ce qui se passe à Ottawa, et qui voteront maintenant pour le PQ. D'autres migrations d'un parti à un autre peuvent aussi avoir eu lieu.
Autrement dit, il s'est passé tellement d'événements majeurs dans les derniers jours que les résultats présentés ici sont déjà désuets!!
Je partage ton avis... la crise à Ottawa a changé la donne quelque peu.
Le sondage a eu lieu du 28 au 3... Il s'est passé *bien* des choses depuis le 28, alors je trouve que les conclusions sont tirée sur des bases inexactes. J'ai vu plusieurs personnes changer leur intention de vote depuis la date de début de ce sondage. Certaines personnes qui disent maintenant "Ya toujours ben de limites!!!", à cause de ce qui se passe à Ottawa, et qui voteront maintenant pour le PQ. D'autres migrations d'un parti à un autre peuvent aussi avoir eu lieu.
Autrement dit, il s'est passé tellement d'événements majeurs dans les derniers jours que les résultats présentés ici sont déjà désuets!!
Je partage ton avis... la crise à Ottawa a changé la donne quelque peu.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
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Publié le 05 décembre 2008 à 05h00 | Mis à jour à 05h00
L'ADQ remonte dans la région Le parti de Mario Dumont a encore la cote dans la ville de Québec et sur la Rive-Sud (photo).
Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve
Pierre Pelchat
Le Soleil
(Québec) Il ne faut pas enterrer trop vite l'ADQ dans la région de Québec. Le dernier sondage CROP montre que l'écart s'est rétréci entre le Parti libéral et l'Action démocratique du Québec dans la ville de Québec et sur la Rive-Sud depuis le débat des chefs.
Les libéraux demeurent en tête avec 37 % des intentions de vote dans la région, en baisse toutefois de neuf points par rapport au sondage publié le jour du débat des chefs. Pour sa part, le parti de Mario Dumont a fait un bon de 21 à 29 %. De son côté, le Parti québécois a fait du surplace avec 23 % des intentions de vote contre 24 % dans le sondage précédent.«Le Parti libéral peut espérer reprendre certaines circonscrïptions à l'ADQ dans le Québec-métro. Le PQ devrait être réélu dans Taschereau avec Mme Maltais avec les résultats du sondage», a commenté le sondeur Claude Gauthier.
Le précédent sondage donnait à penser que la vague adéquiste qui avait déferlé sur la région en 2007 était bel et bien du passé, ce qui semble moins vrai maintenant. De leur côté, les libéraux semblaient profiter dans les intentions de vote du succès des Fêtes du 400e.
Par ailleurs, l'écart s'est légèrement creusé entre M. Charest et la chef du Parti québécois quant à savoir qui ferait le meilleur premier ministre.
Une proportion de 43 % des personnes sondées, en baisse de 1 %, appuie Jean Charest, alors que l'adhésion à Pauline Marois est de 24 % en baisse de trois points par rapport au précédent sondage CROP. Quant à Mario Dumont, sa note est passée de 10 à 13 %.
L'ADQ remonte dans la région Le parti de Mario Dumont a encore la cote dans la ville de Québec et sur la Rive-Sud (photo).
Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve
Pierre Pelchat
Le Soleil
(Québec) Il ne faut pas enterrer trop vite l'ADQ dans la région de Québec. Le dernier sondage CROP montre que l'écart s'est rétréci entre le Parti libéral et l'Action démocratique du Québec dans la ville de Québec et sur la Rive-Sud depuis le débat des chefs.
Les libéraux demeurent en tête avec 37 % des intentions de vote dans la région, en baisse toutefois de neuf points par rapport au sondage publié le jour du débat des chefs. Pour sa part, le parti de Mario Dumont a fait un bon de 21 à 29 %. De son côté, le Parti québécois a fait du surplace avec 23 % des intentions de vote contre 24 % dans le sondage précédent.«Le Parti libéral peut espérer reprendre certaines circonscrïptions à l'ADQ dans le Québec-métro. Le PQ devrait être réélu dans Taschereau avec Mme Maltais avec les résultats du sondage», a commenté le sondeur Claude Gauthier.
Le précédent sondage donnait à penser que la vague adéquiste qui avait déferlé sur la région en 2007 était bel et bien du passé, ce qui semble moins vrai maintenant. De leur côté, les libéraux semblaient profiter dans les intentions de vote du succès des Fêtes du 400e.
Par ailleurs, l'écart s'est légèrement creusé entre M. Charest et la chef du Parti québécois quant à savoir qui ferait le meilleur premier ministre.
Une proportion de 43 % des personnes sondées, en baisse de 1 %, appuie Jean Charest, alors que l'adhésion à Pauline Marois est de 24 % en baisse de trois points par rapport au précédent sondage CROP. Quant à Mario Dumont, sa note est passée de 10 à 13 %.
Prière et chant religieux
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.anthurium. a écritPublié le 05 décembre 2008 à 05h00 | Mis à jour à 05h00
L'ADQ remonte dans la région Le parti de Mario Dumont a encore la cote dans la ville de Québec et sur la Rive-Sud (photo).
Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve
Pierre Pelchat
Le Soleil
(Québec) Il ne faut pas enterrer trop vite l'ADQ dans la région de Québec. Le dernier sondage CROP montre que l'écart s'est rétréci entre le Parti libéral et l'Action démocratique du Québec dans la ville de Québec et sur la Rive-Sud depuis le débat des chefs.
Les libéraux demeurent en tête avec 37 % des intentions de vote dans la région, en baisse toutefois de neuf points par rapport au sondage publié le jour du débat des chefs. Pour sa part, le parti de Mario Dumont a fait un bon de 21 à 29 %. De son côté, le Parti québécois a fait du surplace avec 23 % des intentions de vote contre 24 % dans le sondage précédent.«Le Parti libéral peut espérer reprendre certaines circonscrïptions à l'ADQ dans le Québec-métro. Le PQ devrait être réélu dans Taschereau avec Mme Maltais avec les résultats du sondage», a commenté le sondeur Claude Gauthier.
Le précédent sondage donnait à penser que la vague adéquiste qui avait déferlé sur la région en 2007 était bel et bien du passé, ce qui semble moins vrai maintenant. De leur côté, les libéraux semblaient profiter dans les intentions de vote du succès des Fêtes du 400e.
Par ailleurs, l'écart s'est légèrement creusé entre M. Charest et la chef du Parti québécois quant à savoir qui ferait le meilleur premier ministre.
Une proportion de 43 % des personnes sondées, en baisse de 1 %, appuie Jean Charest, alors que l'adhésion à Pauline Marois est de 24 % en baisse de trois points par rapport au précédent sondage CROP. Quant à Mario Dumont, sa note est passée de 10 à 13 %.
Effectivement je crois que c'est dans la region de Quebec et des Appalaches que l'ADQ fera élire ses députés mais en Montéregie et Laurentides Lanaudiere, les batailles sont revenus entre le PQ et les libéraux.
L'ADQ remonte dans la région Le parti de Mario Dumont a encore la cote dans la ville de Québec et sur la Rive-Sud (photo).
Photothèque Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve
Pierre Pelchat
Le Soleil
(Québec) Il ne faut pas enterrer trop vite l'ADQ dans la région de Québec. Le dernier sondage CROP montre que l'écart s'est rétréci entre le Parti libéral et l'Action démocratique du Québec dans la ville de Québec et sur la Rive-Sud depuis le débat des chefs.
Les libéraux demeurent en tête avec 37 % des intentions de vote dans la région, en baisse toutefois de neuf points par rapport au sondage publié le jour du débat des chefs. Pour sa part, le parti de Mario Dumont a fait un bon de 21 à 29 %. De son côté, le Parti québécois a fait du surplace avec 23 % des intentions de vote contre 24 % dans le sondage précédent.«Le Parti libéral peut espérer reprendre certaines circonscrïptions à l'ADQ dans le Québec-métro. Le PQ devrait être réélu dans Taschereau avec Mme Maltais avec les résultats du sondage», a commenté le sondeur Claude Gauthier.
Le précédent sondage donnait à penser que la vague adéquiste qui avait déferlé sur la région en 2007 était bel et bien du passé, ce qui semble moins vrai maintenant. De leur côté, les libéraux semblaient profiter dans les intentions de vote du succès des Fêtes du 400e.
Par ailleurs, l'écart s'est légèrement creusé entre M. Charest et la chef du Parti québécois quant à savoir qui ferait le meilleur premier ministre.
Une proportion de 43 % des personnes sondées, en baisse de 1 %, appuie Jean Charest, alors que l'adhésion à Pauline Marois est de 24 % en baisse de trois points par rapport au précédent sondage CROP. Quant à Mario Dumont, sa note est passée de 10 à 13 %.
Effectivement je crois que c'est dans la region de Quebec et des Appalaches que l'ADQ fera élire ses députés mais en Montéregie et Laurentides Lanaudiere, les batailles sont revenus entre le PQ et les libéraux.
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.anthurium.
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Publié le 04 décembre 2008 à 05h00 | Mis à jour le 04 décembre 2008 à 05h00
Jean-Lesage: le député de l'ADQ accuse les libéraux de tricherie
Jean-François Cliche
Le Soleil
(Québec) Le député sortant de Jean-Lesage, l'adéquiste Jean-François Gosselin, accuse les libéraux de sa circonscrïption d'avoir «triché» pendant le vote par anticipation. Et bien que son adversaire nie énergiquement avoir enfreint les règles, M. Gosselin s'apprête à déposer une plainte au directeur général des élections (DGE).
L'infraction alléguée consiste à avoir laissé des dépliants partisans dans un foyer pour personnes âgées, les Résidences Joncas, en fin de semaine dernière, alors qu'un bureau de vote itinérant y était ouvert. La sollicitation partisane y était alors interdite, comme à proximité de n'importe quel bureau de vote. Même les pancartes électorales accrochées dans les environs immédiats d'une résidence pour personnes âgées doivent être enlevées avant que le DGE n'ouvre un bureau de vote itinérant.
Alerté par l'ADQ, le directeur de scrutin dans Jean-Lesage, Jacques Maheux, s'est rendu à la résidence Joncas, dimanche, et a lui-même constaté que des dépliants libéraux s'y trouvaient. «Il y avait effectivement de la publicité sur une table. Ce n'était pas visible du bureau de vote (... mais) le bureau était situé dans un corridor qui n'était pas loin de là.»
Cependant, avertit M. Maheux, rien ne prouve que l'organisation libérale soit derrière l'infraction. «Personne ne les a vus faire ça. (...) Ça peut être n'importe qui», y compris un résidant de l'endroit qui ne croyait pas mal faire, dit-il.
À l'ADQ, on signale cependant que des dépliants libéraux ont été laissés dans d'autres foyers de Jean-Lesage pendant le vote itinérant de la fin de semaine dernière. Une employée du Manoir Champfleury, non loin de là, a confirmé au Soleil que de la publicité libérale se trouvait dans les aires communes de l'édifice en fin de semaine.
Pour Jean-François Gosselin, la cause semble entendue. «C'est clair qu'ils trichent. (...) En 2007, j'avais entendu des histoires, j'avais vu des choses qui étaient un peu louches, mais je n'avais pas de preuves. Là, j'ai des preuves et je veux que ça cesse.»
Mais son adversaire libéral se défend bien d'avoir mal agi. «Je n'ai surtout pas donné d'ordre comme ça (d'enfreindre les règles) et mon directeur de campagne non plus. (...) On ne perd pas son nom en faisant des choses comme ça», s'est scandalisé André Drolet lors d'un entretien téléphonique.
Le candidat «rouge» affirme, comme le directeur du scrutin, que ces dépliants peuvent s'être frayé un chemin jusqu'aux foyers de bien des manières, puisqu'il en a fait distribuer dans un Publi-Sac récemment.
«Peut-être même que ce sont eux (les adéquistes)» qui, en désespoir de cause, tentent de saboter sa campagne, dit-il.
Jean-Lesage: le député de l'ADQ accuse les libéraux de tricherie
Jean-François Cliche
Le Soleil
(Québec) Le député sortant de Jean-Lesage, l'adéquiste Jean-François Gosselin, accuse les libéraux de sa circonscrïption d'avoir «triché» pendant le vote par anticipation. Et bien que son adversaire nie énergiquement avoir enfreint les règles, M. Gosselin s'apprête à déposer une plainte au directeur général des élections (DGE).
L'infraction alléguée consiste à avoir laissé des dépliants partisans dans un foyer pour personnes âgées, les Résidences Joncas, en fin de semaine dernière, alors qu'un bureau de vote itinérant y était ouvert. La sollicitation partisane y était alors interdite, comme à proximité de n'importe quel bureau de vote. Même les pancartes électorales accrochées dans les environs immédiats d'une résidence pour personnes âgées doivent être enlevées avant que le DGE n'ouvre un bureau de vote itinérant.
Alerté par l'ADQ, le directeur de scrutin dans Jean-Lesage, Jacques Maheux, s'est rendu à la résidence Joncas, dimanche, et a lui-même constaté que des dépliants libéraux s'y trouvaient. «Il y avait effectivement de la publicité sur une table. Ce n'était pas visible du bureau de vote (... mais) le bureau était situé dans un corridor qui n'était pas loin de là.»
Cependant, avertit M. Maheux, rien ne prouve que l'organisation libérale soit derrière l'infraction. «Personne ne les a vus faire ça. (...) Ça peut être n'importe qui», y compris un résidant de l'endroit qui ne croyait pas mal faire, dit-il.
À l'ADQ, on signale cependant que des dépliants libéraux ont été laissés dans d'autres foyers de Jean-Lesage pendant le vote itinérant de la fin de semaine dernière. Une employée du Manoir Champfleury, non loin de là, a confirmé au Soleil que de la publicité libérale se trouvait dans les aires communes de l'édifice en fin de semaine.
Pour Jean-François Gosselin, la cause semble entendue. «C'est clair qu'ils trichent. (...) En 2007, j'avais entendu des histoires, j'avais vu des choses qui étaient un peu louches, mais je n'avais pas de preuves. Là, j'ai des preuves et je veux que ça cesse.»
Mais son adversaire libéral se défend bien d'avoir mal agi. «Je n'ai surtout pas donné d'ordre comme ça (d'enfreindre les règles) et mon directeur de campagne non plus. (...) On ne perd pas son nom en faisant des choses comme ça», s'est scandalisé André Drolet lors d'un entretien téléphonique.
Le candidat «rouge» affirme, comme le directeur du scrutin, que ces dépliants peuvent s'être frayé un chemin jusqu'aux foyers de bien des manières, puisqu'il en a fait distribuer dans un Publi-Sac récemment.
«Peut-être même que ce sont eux (les adéquistes)» qui, en désespoir de cause, tentent de saboter sa campagne, dit-il.
Prière et chant religieux
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Sondage CROP: Marois encaisse le choc
Julie Lemieux
Le Soleil
Pauline Marois encaisse le choc et ne se laisse pas démonter par le sondage CROP-Le Soleil, qui ne lui donne que 29% des votes contre 45% pour les libéraux. Car la chef du PQ affirme que les coups de sonde internes du parti ne dressent pas le même portrait de la situation.
En entrevue à TVA, vendredi, Mme Marois a soutenu qu'elle a eu un choc en prenant connaissance de ce sondage et qu'elle a pris les résultats un peu «personnel» sur le moment. «On se dit : qu'est-ce que j'ai fait que je n'aurais pas dû faire? Et après, une fois le premier choc passé, je me suis dit : non, il y a d'autres éléments d'information que nous avons à l'intérieur du parti. Ça ne correspond pas à ce que j'entends sur le terrain», a-t-elle affirmé.
La chef du PQ a rappelé que son parti n'était pas complaisant avec elle. À preuve, cette analyse qui la décrivait comme une femme snob. À son avis, les sondages internes du PQ sont donc crédibles et fiables. S'ils démontrent que le PQ a le vent dans les voiles, il y a ainsi de fortes chances que ce soit vrai, a-t-elle avancé.
Mme Marois a ajouté que d'autres sondeurs indépendants présentent aussi des résultats différents dans certaines régions. Comme à Québec, où les trois partis seraient nez à nez, et au Saguenay-Lac-Saint-Jean, où le PQ pourrait remporter tous les comtés.
La chef péquiste a soutenu qu'elle faisait une campagne de terrain «sans filet» en se promenant dans des centres commerciaux, des restaurants ou des halles qui ne sont pas remplis à l'avance de militants péquistes. «Il y a quelque chose qui ne ment pas quand les gens viennent à notre rencontre», a-t-elle soumis.
Mme Marois a donc l'intention de profiter de ces dernières heures de campagne pour faire le tour du Québec afin d'encourager ses troupes et de leur demander de ne pas lâcher. Joliette, Trois-Rivières, Nicolet, Sherbrooke, Montréal, Québec, La Malbaie sont quelques villes parmi bien d'autres qui seront à l'agenda de la chef jusqu'à lundi.
Financement en hausse
Le Parti québécois a récolté 1,5 million $ pendant sa campagne de financement électoral, soit 500 000$ de plus qu'en 2007. «Il y a quand même pas mal de monde qui nous aime», a lancé Pauline Marois, vendredi, devant les employés du quartier général du parti.
Le PQ avait commencé la campagne avec un déficit d'environ 800 000$. Cette bonne récolte lui permettra donc d'éponger ce déficit et de payer les coûts du marathon électoral, qui a nécessité plusieurs déplacements en avion aux quatre coins du Québec. «On va finir la campagne plus riche qu'on l'a commencée», a soutenu Mme Marois.
La chef péquiste a par ailleurs tenu à rassurer les employés du parti au sujet des mauvais sondages et leur a demandé de poursuivre leur travail sans relâche jusqu'à la toute fin.
Marois sereine malgré les sondages
Martin Croteau
La Presse
Pauline Marois est restée sereine, ce matin, après la publication d'un sondage CROP-La Presse qui la place loin derrière Jean Charest à trois jours du vote. La chef du PQ garde espoir de prendre le pouvoir, affirmant que les sondages internes de son parti sont beaucoup plus optimistes quant à ses chances de remporter l'élection.
«Il y a une réelle possibilité qu'on connaisse un changement lundi, a-t-elle soutenu lors d'une entrevue à TVA. C'est sûr qu'il faudra que je travaille très fort.»
L'enquête CROP-La Presse, publiée vendredi matin, accorde 45% des intentions de vote au PLQ, contre 29% au PQ. L'ADQ obtient 15% de la faveur populaire. Pour le parti de Pauline Marois, c'est un recul de trois points par rapport au dernier coup de sonde, il y a 10 jours.
Au cours des derniers jours, les péquistes avaient pourtant bon espoir de combler l'écart avec le PLQ, portés par la performance de Pauline Marois au débat des chefs. Plusieurs observateurs considèrent qu'elle a remporté l'affrontement.
«Il y a des contradictions entre ce sondage et ce que nous savons», a affirmé la chef péquiste.
Quoi qu'en disent les sondeurs, le Parti québécois pourrait bien causer la surprise, poursuit-elle. La formation est impliquée dans de chaudes luttes à trois dans plusieurs circonscrïptions, notamment au Saguenay-Lac-Saint-Jean et dans la région de Québec. Si ces circonscrïptions penchent en faveur du PQ, dit la leader souverainiste, tout est possible le soir du 8 décembre.
«Par rapport à ce que je connais, ce que je sais et ce que je vois sur le terrain, je garde un très bon espoir», a-t-elle affirmé.
Julie Lemieux
Le Soleil
Pauline Marois encaisse le choc et ne se laisse pas démonter par le sondage CROP-Le Soleil, qui ne lui donne que 29% des votes contre 45% pour les libéraux. Car la chef du PQ affirme que les coups de sonde internes du parti ne dressent pas le même portrait de la situation.
En entrevue à TVA, vendredi, Mme Marois a soutenu qu'elle a eu un choc en prenant connaissance de ce sondage et qu'elle a pris les résultats un peu «personnel» sur le moment. «On se dit : qu'est-ce que j'ai fait que je n'aurais pas dû faire? Et après, une fois le premier choc passé, je me suis dit : non, il y a d'autres éléments d'information que nous avons à l'intérieur du parti. Ça ne correspond pas à ce que j'entends sur le terrain», a-t-elle affirmé.
La chef du PQ a rappelé que son parti n'était pas complaisant avec elle. À preuve, cette analyse qui la décrivait comme une femme snob. À son avis, les sondages internes du PQ sont donc crédibles et fiables. S'ils démontrent que le PQ a le vent dans les voiles, il y a ainsi de fortes chances que ce soit vrai, a-t-elle avancé.
Mme Marois a ajouté que d'autres sondeurs indépendants présentent aussi des résultats différents dans certaines régions. Comme à Québec, où les trois partis seraient nez à nez, et au Saguenay-Lac-Saint-Jean, où le PQ pourrait remporter tous les comtés.
La chef péquiste a soutenu qu'elle faisait une campagne de terrain «sans filet» en se promenant dans des centres commerciaux, des restaurants ou des halles qui ne sont pas remplis à l'avance de militants péquistes. «Il y a quelque chose qui ne ment pas quand les gens viennent à notre rencontre», a-t-elle soumis.
Mme Marois a donc l'intention de profiter de ces dernières heures de campagne pour faire le tour du Québec afin d'encourager ses troupes et de leur demander de ne pas lâcher. Joliette, Trois-Rivières, Nicolet, Sherbrooke, Montréal, Québec, La Malbaie sont quelques villes parmi bien d'autres qui seront à l'agenda de la chef jusqu'à lundi.
Financement en hausse
Le Parti québécois a récolté 1,5 million $ pendant sa campagne de financement électoral, soit 500 000$ de plus qu'en 2007. «Il y a quand même pas mal de monde qui nous aime», a lancé Pauline Marois, vendredi, devant les employés du quartier général du parti.
Le PQ avait commencé la campagne avec un déficit d'environ 800 000$. Cette bonne récolte lui permettra donc d'éponger ce déficit et de payer les coûts du marathon électoral, qui a nécessité plusieurs déplacements en avion aux quatre coins du Québec. «On va finir la campagne plus riche qu'on l'a commencée», a soutenu Mme Marois.
La chef péquiste a par ailleurs tenu à rassurer les employés du parti au sujet des mauvais sondages et leur a demandé de poursuivre leur travail sans relâche jusqu'à la toute fin.
Marois sereine malgré les sondages
Martin Croteau
La Presse
Pauline Marois est restée sereine, ce matin, après la publication d'un sondage CROP-La Presse qui la place loin derrière Jean Charest à trois jours du vote. La chef du PQ garde espoir de prendre le pouvoir, affirmant que les sondages internes de son parti sont beaucoup plus optimistes quant à ses chances de remporter l'élection.
«Il y a une réelle possibilité qu'on connaisse un changement lundi, a-t-elle soutenu lors d'une entrevue à TVA. C'est sûr qu'il faudra que je travaille très fort.»
L'enquête CROP-La Presse, publiée vendredi matin, accorde 45% des intentions de vote au PLQ, contre 29% au PQ. L'ADQ obtient 15% de la faveur populaire. Pour le parti de Pauline Marois, c'est un recul de trois points par rapport au dernier coup de sonde, il y a 10 jours.
Au cours des derniers jours, les péquistes avaient pourtant bon espoir de combler l'écart avec le PLQ, portés par la performance de Pauline Marois au débat des chefs. Plusieurs observateurs considèrent qu'elle a remporté l'affrontement.
«Il y a des contradictions entre ce sondage et ce que nous savons», a affirmé la chef péquiste.
Quoi qu'en disent les sondeurs, le Parti québécois pourrait bien causer la surprise, poursuit-elle. La formation est impliquée dans de chaudes luttes à trois dans plusieurs circonscrïptions, notamment au Saguenay-Lac-Saint-Jean et dans la région de Québec. Si ces circonscrïptions penchent en faveur du PQ, dit la leader souverainiste, tout est possible le soir du 8 décembre.
«Par rapport à ce que je connais, ce que je sais et ce que je vois sur le terrain, je garde un très bon espoir», a-t-elle affirmé.
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
désoler anthurium avec ce qui se passe a ottawa ca desavantage dumont automatique
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