Avez-vous vu hier à Radio-Can, le reportage sur le cours de ECR?
Comme j'en étais évidemment convaincue, le sapin de noël dans les écoles n'a jamais fait partie des dicussions concernant ce cours au moment de son élaboration. Au ministère, jamais une seule demande ou plainte concernant ça a été reçue. Le seul cas où il a été question d'un sapin de noël a été dans un édifice municipal de Montréal, qui a failli être rebaptisé "arbre de vie" mais finalement ça n'a pas été fait à cause des pressions. Sinon ailleurs au Canada, il y a eu un palai de justice de Toronto qui voulait enlever le sapin pour prouver sa neutralité, et ça aussi ça été abandonné.
Joint au téléphone par le journaliste de la SRC, la responsable de l'ADQ n'a pas été capable d'expliquer ce à quoi Dumont faisait allusion avec sa phrase assassine.
Encore une balloune adéquiste, mensongère en plus
Élection au Provincial
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Politique familiale ambitieuse : L’ADQ revient avec une allocation de 100$ par enfant
2008-11-11, 04:15
De passage à la Garderie Enfantastique de Gatineau, le chef de l’Action démocratique du Québec, M. Mario Dumont, a présenté une audacieuse politique familiale afin de faciliter le quotidien des Québécois.
« La famille est le pilier de notre société. C’est pourquoi elle est au coeur des préoccupations de l’ADQ. Nous croyons qu’il faut soutenir chaque parent et non pas seulement ceux qui répondent aux critères restrictifs des programmes actuels de l’État. La situation de chaque famille est différente et ça, à l’ADQ, nous l’avons compris », a lancé M. Dumont.
L’ADQ revient avec ses engagements qui constituent une véritable politique familiale. « Nous proposons une série de mesures, en premier lieu une aide financière directe aux parents qui permettra aux familles d’être épaulées dans leur vie de tous les jours. Ce sont encore 73 000 enfants qui sont oubliés dans le carcan liberalo-péquiste. C’est pourquoi nous proposons aux parents qui ont des enfants d’âge préscolaire la possibilité de recevoir une allocation de 100 $ par semaine s’ils n’ont pas choisi le modèle imposé par les libéraux et les péquistes. Il faut aussi donner plus de latitude aux parents en facilitant et en prolongeant le congé parental ainsi qu’en offrant une allocation à la naissance de 5 000 $ pour un troisième enfant et les suivants. Un gouvernement adéquiste aidera toutes les familles québécoises afin qu’elles reçoivent le coup de main dont elles ont besoin », a ajouté le chef autonomiste.
Pour Gilles Taillon, candidat adéquiste dans Chapleau, le modèle des familles québécoises a beaucoup changé ces dernières années et c’est pourquoi elles ont besoin de services qui répondent à leur nouvelle réalité. « Notre politique est collée aux besoins de tous les foyers québécois. Offrir un congé parental complet pour les parents adoptants, soutenir les parents-étudiants et faciliter, en collaboration avec les municipalités, l’implantation de résidences intergénérationnelles sont autant de mesures concrètes que l’ADQ va mettre de l’avant dans les prochaines semaines », a indiqué M. Taillon.
Le chef adéquiste a rappelé que l’ADQ lutte depuis longtemps afin que toutes les familles du Québec soient soutenues adéquatement. « L’ADQ mettra fin à la discrimination que subit une famille parce qu’elle n’a pas fait le choix d’un service subventionné ou parce que l’offre de l’État ne correspond pas à sa réalité. Les enfants ne doivent plus être oubliés sur des listes d’attente ou les parents laissés à eux-mêmes à cause d’horaires de travail atypiques. Nous croyons fermement que le Québec d’aujourd’hui pourra se développer avec des mesures collées sur la réalité des parents et surtout avec des familles qui se sentent épaulées », a conclu M. Dumont.
2008-11-11, 04:15
De passage à la Garderie Enfantastique de Gatineau, le chef de l’Action démocratique du Québec, M. Mario Dumont, a présenté une audacieuse politique familiale afin de faciliter le quotidien des Québécois.
« La famille est le pilier de notre société. C’est pourquoi elle est au coeur des préoccupations de l’ADQ. Nous croyons qu’il faut soutenir chaque parent et non pas seulement ceux qui répondent aux critères restrictifs des programmes actuels de l’État. La situation de chaque famille est différente et ça, à l’ADQ, nous l’avons compris », a lancé M. Dumont.
L’ADQ revient avec ses engagements qui constituent une véritable politique familiale. « Nous proposons une série de mesures, en premier lieu une aide financière directe aux parents qui permettra aux familles d’être épaulées dans leur vie de tous les jours. Ce sont encore 73 000 enfants qui sont oubliés dans le carcan liberalo-péquiste. C’est pourquoi nous proposons aux parents qui ont des enfants d’âge préscolaire la possibilité de recevoir une allocation de 100 $ par semaine s’ils n’ont pas choisi le modèle imposé par les libéraux et les péquistes. Il faut aussi donner plus de latitude aux parents en facilitant et en prolongeant le congé parental ainsi qu’en offrant une allocation à la naissance de 5 000 $ pour un troisième enfant et les suivants. Un gouvernement adéquiste aidera toutes les familles québécoises afin qu’elles reçoivent le coup de main dont elles ont besoin », a ajouté le chef autonomiste.
Pour Gilles Taillon, candidat adéquiste dans Chapleau, le modèle des familles québécoises a beaucoup changé ces dernières années et c’est pourquoi elles ont besoin de services qui répondent à leur nouvelle réalité. « Notre politique est collée aux besoins de tous les foyers québécois. Offrir un congé parental complet pour les parents adoptants, soutenir les parents-étudiants et faciliter, en collaboration avec les municipalités, l’implantation de résidences intergénérationnelles sont autant de mesures concrètes que l’ADQ va mettre de l’avant dans les prochaines semaines », a indiqué M. Taillon.
Le chef adéquiste a rappelé que l’ADQ lutte depuis longtemps afin que toutes les familles du Québec soient soutenues adéquatement. « L’ADQ mettra fin à la discrimination que subit une famille parce qu’elle n’a pas fait le choix d’un service subventionné ou parce que l’offre de l’État ne correspond pas à sa réalité. Les enfants ne doivent plus être oubliés sur des listes d’attente ou les parents laissés à eux-mêmes à cause d’horaires de travail atypiques. Nous croyons fermement que le Québec d’aujourd’hui pourra se développer avec des mesures collées sur la réalité des parents et surtout avec des familles qui se sentent épaulées », a conclu M. Dumont.
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Parti libéral
Gendron veut enlever les affiches
Michel Larose
Le Journal de Montréal
Journal de Montréal
11/11/2008 07h02
Le maire Stéphane Gendron veut mettre au recyclage les affiches électorales du candidat libéral Stéphane Billette et de son chef Jean Charest si le directeur général des élections (DGE) constate une infraction à la loi électorale.
Selon le premier magistrat de Huntingdon, l'autorisation de l'agent officiel est absente des affiches alors que l'article 421 de la loi électorale l'exige.
«C'est parfaitement visible à l'oeil nu», rétorque Michel Rochette, directeur des communications du Parti libéral du Québec.
«Nos affiches sont parfaitement conformes, ajoute-t-il. M. Gendron est de mauvaise foi et c'est très malheureux. Il faut dire qu'il appuie l'ADQ.»
Le maire Gendron a porté plainte au DGE hier après-midi.
Fausse alerte
«La loi étant la même pour tout le monde, nous devrons procéder à l'enlèvement des pancartes illégales et ce, dans les plus brefs délais si le directeur général des élections constate l'infraction. Les affiches iront au recyclage», a dit le maire.
Cynthia Gagnon, porte-parole du directeur des élections, croit qu'il «semble s'agir d'une fausse alerte. La mention est visible en haut à droite de l'affiche. Mais nos inspecteurs iront dans le comté vérifier tout ça».
Si les affiches contreviennent à la loi, un avis sera transmis au Parti libéral pour qu'il régularise la situation.
Le maire Gendron brandit la menace d'appliquer son règlement municipal interdisant l'affichage sans permis.
Les amendes pour une première infraction sont de 300 $ jusqu'à un maximum de 2 000 $.
«Il y a 50 affiches dans la municipalité. L'argent des amendes ira au fonds de relance industrielle», a lancé le maire, qui n'est jamais à court d'idées.
Il est vraiment épuisant ce gars. Tellement intelligent mais si dur a suivre. --Message edité par .anthurium. le 2008-11-11 08:45:03--
Gendron veut enlever les affiches
Michel Larose
Le Journal de Montréal
Journal de Montréal
11/11/2008 07h02
Le maire Stéphane Gendron veut mettre au recyclage les affiches électorales du candidat libéral Stéphane Billette et de son chef Jean Charest si le directeur général des élections (DGE) constate une infraction à la loi électorale.
Selon le premier magistrat de Huntingdon, l'autorisation de l'agent officiel est absente des affiches alors que l'article 421 de la loi électorale l'exige.
«C'est parfaitement visible à l'oeil nu», rétorque Michel Rochette, directeur des communications du Parti libéral du Québec.
«Nos affiches sont parfaitement conformes, ajoute-t-il. M. Gendron est de mauvaise foi et c'est très malheureux. Il faut dire qu'il appuie l'ADQ.»
Le maire Gendron a porté plainte au DGE hier après-midi.
Fausse alerte
«La loi étant la même pour tout le monde, nous devrons procéder à l'enlèvement des pancartes illégales et ce, dans les plus brefs délais si le directeur général des élections constate l'infraction. Les affiches iront au recyclage», a dit le maire.
Cynthia Gagnon, porte-parole du directeur des élections, croit qu'il «semble s'agir d'une fausse alerte. La mention est visible en haut à droite de l'affiche. Mais nos inspecteurs iront dans le comté vérifier tout ça».
Si les affiches contreviennent à la loi, un avis sera transmis au Parti libéral pour qu'il régularise la situation.
Le maire Gendron brandit la menace d'appliquer son règlement municipal interdisant l'affichage sans permis.
Les amendes pour une première infraction sont de 300 $ jusqu'à un maximum de 2 000 $.
«Il y a 50 affiches dans la municipalité. L'argent des amendes ira au fonds de relance industrielle», a lancé le maire, qui n'est jamais à court d'idées.
Il est vraiment épuisant ce gars. Tellement intelligent mais si dur a suivre. --Message edité par .anthurium. le 2008-11-11 08:45:03--
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Cass a écritVous pensez vraiment qu'une éducatrice en milieu familliale qui garde 2 bébé en bas de 18 mois et 4 plus grand a vraiment le temps de donner tout l'amour dont un enfant en bas de 5 ans a besoin????
Les garderies devrait etre utiliser comme mode de dernier recours et jamais comme un endroit ou l'efnant peut socialiser. Il y a les prématernelle pour ca, les jardins d'enfant privé ou l'enfant peut aller a partir de 3 ans a raison de 2-3 demi journée par semaine.
En fait de socialisation c'est amplement suffisant a cet age la pour savoir ce qui se passe ailleurs que dans son petit univers familiale.
Pourquoi tout le monde pense qu'apres 2 ans un enfant doit passé 8 heure par jour en garderie??? j'arrive pas a comprendre et ca me dépasse...
Je passe ma journée la dedans, mes ti loup vont arrivé dans 10 minutes et certain repartirons qu'a ma fermeture présentement je n'en garde que 4 justement parce que je trouvais que ca avait pu de bon sens a 6 et des bébés je ne faisas que répondre au besoin physique de base, oublié ca faire des activités quand t'as 2 bébé dans les bras, oublié ca de les bercer chacun leur tour avant d'aller se coucher, oublié ca de prendre 15 minutes pour consoler la grosse peine d'un enfant, oublié ca de bercer longtemps le bébé qui perce des dents.
Vous pensez vraiment que la socialisation des 2 ans et plus prime sur l'amour qu'une mere peut lui donner. Vous pensez vraiment qu'une mere a la maison fait un meilleur choix en envoyant sont enfant a la gardederie plutot que de le garder avec elle?
Y a personne qui va me faire avaler ca. L'ADQ a réitéré sont intention de donner une allocation de 100$ par semaine a chaque enfant du québec et le parent l'utilisera comme bon lui semble, CA c'est une bonne mesure pour sortir les enfants des garderis quand il n'y ont pas affaire.
Savez vous pourquoi on manque tellement de place en garderie présentement? Parce que le systeme se veut universel et que chacun y est sa place ce qui fait que 50% des utilisateurs ont soit une mere ou un pere a la maison qui NE TRAVAIL PAS!
Je suis resté TRES surprise d'apprendre que dans ce lot seulement 18% recoivent du bien etre social.
Alors les 30% qui reste sont des gens qui intentionnellement ont fait le choix de rester a la maison mais envoie quand meme leur enfant en garderie et VOLE oui oui VOLE la place que les travailleur ont tellement de difficulté a trouvé.
Vous trouvez ca normal qu'une maman qui a fait le choix de rester a la maison est une place a 7$ alors que la voisine d'a coté qui retourne au travail a été obligé d'aller au privé a 25$ par jour.
Ca pourra pas durer longtemps ca va pété un moment donné. Un enfant s'est fait pour etre avec ses parenrts, etre cajolé, aimé, se faire prendre par une main aimante pour lui monter le chemin de la vie.
Les garderies devrait etre prioritaire d'abord et avant tout pour les travailleurs et les gens sur le bien etre social et on devrait donner une allocation familiale a celle qui décide de prendre le choix de rester a la maison.
Ce sera probablement l'ADQ qui aura mon vote parce que c'est le seule qui croit encore a la famille.
Moi ce que je comprend pas c'est pourquoi les CPE n'y vont pas selon les besoins? Je veux dire, ok, si tu es à la maison et que tu ne travailles pas, je te mets sur la liste d'attente mais je vais faire passer devant toi celles qui travaillent et ont besoin d'une place. Comme à l'hôpital.
Et je connais beaucoup de mères qui envoient leur enfant en CPE avant de travailler, pour être sûre d'avoir une place au moment de leur retour au boulôt, il y en a plein de ça --Message edité par tipet le 2008-11-11 08:52:26--
Les garderies devrait etre utiliser comme mode de dernier recours et jamais comme un endroit ou l'efnant peut socialiser. Il y a les prématernelle pour ca, les jardins d'enfant privé ou l'enfant peut aller a partir de 3 ans a raison de 2-3 demi journée par semaine.
En fait de socialisation c'est amplement suffisant a cet age la pour savoir ce qui se passe ailleurs que dans son petit univers familiale.
Pourquoi tout le monde pense qu'apres 2 ans un enfant doit passé 8 heure par jour en garderie??? j'arrive pas a comprendre et ca me dépasse...
Je passe ma journée la dedans, mes ti loup vont arrivé dans 10 minutes et certain repartirons qu'a ma fermeture présentement je n'en garde que 4 justement parce que je trouvais que ca avait pu de bon sens a 6 et des bébés je ne faisas que répondre au besoin physique de base, oublié ca faire des activités quand t'as 2 bébé dans les bras, oublié ca de les bercer chacun leur tour avant d'aller se coucher, oublié ca de prendre 15 minutes pour consoler la grosse peine d'un enfant, oublié ca de bercer longtemps le bébé qui perce des dents.
Vous pensez vraiment que la socialisation des 2 ans et plus prime sur l'amour qu'une mere peut lui donner. Vous pensez vraiment qu'une mere a la maison fait un meilleur choix en envoyant sont enfant a la gardederie plutot que de le garder avec elle?
Y a personne qui va me faire avaler ca. L'ADQ a réitéré sont intention de donner une allocation de 100$ par semaine a chaque enfant du québec et le parent l'utilisera comme bon lui semble, CA c'est une bonne mesure pour sortir les enfants des garderis quand il n'y ont pas affaire.
Savez vous pourquoi on manque tellement de place en garderie présentement? Parce que le systeme se veut universel et que chacun y est sa place ce qui fait que 50% des utilisateurs ont soit une mere ou un pere a la maison qui NE TRAVAIL PAS!
Je suis resté TRES surprise d'apprendre que dans ce lot seulement 18% recoivent du bien etre social.
Alors les 30% qui reste sont des gens qui intentionnellement ont fait le choix de rester a la maison mais envoie quand meme leur enfant en garderie et VOLE oui oui VOLE la place que les travailleur ont tellement de difficulté a trouvé.
Vous trouvez ca normal qu'une maman qui a fait le choix de rester a la maison est une place a 7$ alors que la voisine d'a coté qui retourne au travail a été obligé d'aller au privé a 25$ par jour.
Ca pourra pas durer longtemps ca va pété un moment donné. Un enfant s'est fait pour etre avec ses parenrts, etre cajolé, aimé, se faire prendre par une main aimante pour lui monter le chemin de la vie.
Les garderies devrait etre prioritaire d'abord et avant tout pour les travailleurs et les gens sur le bien etre social et on devrait donner une allocation familiale a celle qui décide de prendre le choix de rester a la maison.
Ce sera probablement l'ADQ qui aura mon vote parce que c'est le seule qui croit encore a la famille.
Moi ce que je comprend pas c'est pourquoi les CPE n'y vont pas selon les besoins? Je veux dire, ok, si tu es à la maison et que tu ne travailles pas, je te mets sur la liste d'attente mais je vais faire passer devant toi celles qui travaillent et ont besoin d'une place. Comme à l'hôpital.
Et je connais beaucoup de mères qui envoient leur enfant en CPE avant de travailler, pour être sûre d'avoir une place au moment de leur retour au boulôt, il y en a plein de ça --Message edité par tipet le 2008-11-11 08:52:26--
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tipet a écritJe vais donner à l'ADQ ce qui lui revient, profitez-en, ça arrivera pas souvent
C'est un beau débat de société ça, les garderies versus l'allocation pour la femme à la maison. On était dû.
Je te félicite de ton effort
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tipet a écritJe vais donner à l'ADQ ce qui lui revient, profitez-en, ça arrivera pas souvent
C'est un beau débat de société ça, les garderies versus l'allocation pour la femme à la maison. On était dû.
Par contre il est clair que nous avons pas les moyens de subventionner a la fois des garderies et des femmes a la maison.
Alors si on prenait le budget deja existant du cout des garderies, des allocations familiales, des crédits d'impot pour enfants et que l'on fesait une enveloppe globale qu'on pourrait repartir en allocations familiales plus substentielles, plus élevées pour les 0-5 ans chacun famille pourrait prendre ses propres décisions.
C'est un beau débat de société ça, les garderies versus l'allocation pour la femme à la maison. On était dû.
Par contre il est clair que nous avons pas les moyens de subventionner a la fois des garderies et des femmes a la maison.
Alors si on prenait le budget deja existant du cout des garderies, des allocations familiales, des crédits d'impot pour enfants et que l'on fesait une enveloppe globale qu'on pourrait repartir en allocations familiales plus substentielles, plus élevées pour les 0-5 ans chacun famille pourrait prendre ses propres décisions.
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lolilou a écritL'ADQ a toujours eu de bonnes idées, mais quand il s'agit de creuser d'avantage, ben c'est creux.
Il faudrait peut-être changer le discours car ils ont maintenant une équipe de recherche avec des budgets pour creuser.(peut-être plus pour longtemps selon les médias ,mais bon) Va voir du côté du PQ pour voir un programme en surface et plus ou moins chiffré. Remarque que je tiens mes sources de la télé elles ne sont peut être crédible.
Il faudrait peut-être changer le discours car ils ont maintenant une équipe de recherche avec des budgets pour creuser.(peut-être plus pour longtemps selon les médias ,mais bon) Va voir du côté du PQ pour voir un programme en surface et plus ou moins chiffré. Remarque que je tiens mes sources de la télé elles ne sont peut être crédible.
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lucide a écrit
Par contre il est clair que nous avons pas les moyens de subventionner a la fois des garderies et des femmes a la maison.
Alors si on prenait le budget deja existant du cout des garderies, des allocations familiales, des crédits d'impot pour enfants et que l'on fesait une enveloppe globale qu'on pourrait repartir en allocations familiales plus substentielles, plus élevées pour les 0-5 ans chacun famille pourrait prendre ses propres décisions.
C'est clair qu'il y aurait un problème quand viendrait le temps de mettre en place la politique familiale de l'ADQ. Sauf que c'est bien qu'on en parle...Ça forcera peut-être le PLQ (qui entrera majoritaire, je gagerais ma chemise) a revoir sa propre politique familiale. Et je ne comprend même pas pourquoi Charest n'a même pas pensé à la modifier dans son dernier mandat alors que c,est évident que la montée adéquiste est dû en grande partie à cause de ça...Un moment donné ce serait le fun de voir un gouvernement écouter vraiment le peuple. Longtemps ça été tabou ce sujet de la discrimination des familles qui n'ont pas recours aux garderies subventionnées. Il était temps que l'on en parle. Et ce, même si c'est à cause de l'ADQ
Par contre il est clair que nous avons pas les moyens de subventionner a la fois des garderies et des femmes a la maison.
Alors si on prenait le budget deja existant du cout des garderies, des allocations familiales, des crédits d'impot pour enfants et que l'on fesait une enveloppe globale qu'on pourrait repartir en allocations familiales plus substentielles, plus élevées pour les 0-5 ans chacun famille pourrait prendre ses propres décisions.
C'est clair qu'il y aurait un problème quand viendrait le temps de mettre en place la politique familiale de l'ADQ. Sauf que c'est bien qu'on en parle...Ça forcera peut-être le PLQ (qui entrera majoritaire, je gagerais ma chemise) a revoir sa propre politique familiale. Et je ne comprend même pas pourquoi Charest n'a même pas pensé à la modifier dans son dernier mandat alors que c,est évident que la montée adéquiste est dû en grande partie à cause de ça...Un moment donné ce serait le fun de voir un gouvernement écouter vraiment le peuple. Longtemps ça été tabou ce sujet de la discrimination des familles qui n'ont pas recours aux garderies subventionnées. Il était temps que l'on en parle. Et ce, même si c'est à cause de l'ADQ
Red K a écritOuf....ça va pas fort fort pour Dumont, 14% dans le dernier sondage.
Et le PQ est en avance sur le PLQ chez les francophones.
Loin de s'assurer un gouvernement majoritaire, Charrest pourrait peut-être bien se retrouver au chômage si la tendance se poursuit.
Din dents mon Charest
Citation :Le Parti libéral du Québec perd des appuis
La Presse Canadienne
Montréal
Même si le Parti libéral du Québec (PLQ) demeure en tête dans les intentions de vote des Québécois, ses appuis sont à la baisse depuis le déclenchement des élections.
Selon un sondage Léger Marketing réalisé pour le Journal de Montréal et TVA, si des élections avaient eu lieu entre le 7 et le 9 novembre, le PLQ aurait conservé le pouvoir avec 41 pour cent des suffrages, contre 35 pour cent pour le Parti québécois (PQ).Le sondage indique également que l'Action démocratique du Québec (ADQ) est en chute dans les intentions de vote, récoltant 14 pour cent des appuis.
De plus, 33 pour cent des électeurs affirment que le déclenchement prématuré d'élections pourrait avoir un impact négatif sur leur choix le 8 décembre.
Le taux de satisfaction envers le gouvernement de Jean Charest est aussi en régression, ayant chuté de sept pour cent depuis le déclenchement des élections.
Malgré cette baisse, 40 pour cent des répondants croient que Jean Charest ferait le meilleur premier ministre du Québec. Pauline Marois arrive deuxième, avec 30 pour cent des appuis et Mario Dumont ferme la marche, avec 11 pour cent.
Et le PQ est en avance sur le PLQ chez les francophones.
Loin de s'assurer un gouvernement majoritaire, Charrest pourrait peut-être bien se retrouver au chômage si la tendance se poursuit.
Din dents mon Charest
Citation :Le Parti libéral du Québec perd des appuis
La Presse Canadienne
Montréal
Même si le Parti libéral du Québec (PLQ) demeure en tête dans les intentions de vote des Québécois, ses appuis sont à la baisse depuis le déclenchement des élections.
Selon un sondage Léger Marketing réalisé pour le Journal de Montréal et TVA, si des élections avaient eu lieu entre le 7 et le 9 novembre, le PLQ aurait conservé le pouvoir avec 41 pour cent des suffrages, contre 35 pour cent pour le Parti québécois (PQ).Le sondage indique également que l'Action démocratique du Québec (ADQ) est en chute dans les intentions de vote, récoltant 14 pour cent des appuis.
De plus, 33 pour cent des électeurs affirment que le déclenchement prématuré d'élections pourrait avoir un impact négatif sur leur choix le 8 décembre.
Le taux de satisfaction envers le gouvernement de Jean Charest est aussi en régression, ayant chuté de sept pour cent depuis le déclenchement des élections.
Malgré cette baisse, 40 pour cent des répondants croient que Jean Charest ferait le meilleur premier ministre du Québec. Pauline Marois arrive deuxième, avec 30 pour cent des appuis et Mario Dumont ferme la marche, avec 11 pour cent.
tipet a écritSauf que depuis la dernière campagne fédérale, moi les sondages là....
Est-ce qu'il y avait un seul sondage qui prédisait un gouvernement majoritaire? Je ne crois pas. Donc, je trouve qu'ils ont bien prédit la finalité de l'élections. Non?
Est-ce qu'il y avait un seul sondage qui prédisait un gouvernement majoritaire? Je ne crois pas. Donc, je trouve qu'ils ont bien prédit la finalité de l'élections. Non?
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Beppo a écrit
Est-ce qu'il y avait un seul sondage qui prédisait un gouvernement majoritaire? Je ne crois pas. Donc, je trouve qu'ils ont bien prédit la finalité de l'élections. Non?
Au québec, ils prédisaient une dégelée conservatrice. Genre qu'ils se ramasseraient avec 4-5 députés maximum. Le pire c'était Blackburn qui était supposément en difficulté dans son comté et qui est entré avec une majorité assez importante...
Est-ce qu'il y avait un seul sondage qui prédisait un gouvernement majoritaire? Je ne crois pas. Donc, je trouve qu'ils ont bien prédit la finalité de l'élections. Non?
Au québec, ils prédisaient une dégelée conservatrice. Genre qu'ils se ramasseraient avec 4-5 députés maximum. Le pire c'était Blackburn qui était supposément en difficulté dans son comté et qui est entré avec une majorité assez importante...
tipet a écrit
Moi ce que je comprend pas c'est pourquoi les CPE n'y vont pas selon les besoins? Je veux dire, ok, si tu es à la maison et que tu ne travailles pas, je te mets sur la liste d'attente mais je vais faire passer devant toi celles qui travaillent et ont besoin d'une place. Comme à l'hôpital.
Et je connais beaucoup de mères qui envoient leur enfant en CPE avant de travailler, pour être sûre d'avoir une place au moment de leur retour au boulôt, il y en a plein de ça
Je suis bien d'accord avec ça, mais à mon avis, il faudrait revoir le système complet. Parce qu'en ce moment, il serait difficile et injuste d'agir ainsi, puisqu'ils ont fait des coupures dans les allocations de toutes les familles pour subventionner les CPE... incluant les mamans à la maison. Aussi, pour subventionner le programme, maintenant le seul moyen d'obtenir un crédit d'impôts pour un enfant à charge... c'est s'il fréquente une garderie (et encore là... tu dois travailler pour l'obtenir). Sinon, tu as pour ainsi dire... rien !
Qu'ils donnent donc le choix entre une place subventionnée en garderie et l'allocation.
Moi ce que je comprend pas c'est pourquoi les CPE n'y vont pas selon les besoins? Je veux dire, ok, si tu es à la maison et que tu ne travailles pas, je te mets sur la liste d'attente mais je vais faire passer devant toi celles qui travaillent et ont besoin d'une place. Comme à l'hôpital.
Et je connais beaucoup de mères qui envoient leur enfant en CPE avant de travailler, pour être sûre d'avoir une place au moment de leur retour au boulôt, il y en a plein de ça
Je suis bien d'accord avec ça, mais à mon avis, il faudrait revoir le système complet. Parce qu'en ce moment, il serait difficile et injuste d'agir ainsi, puisqu'ils ont fait des coupures dans les allocations de toutes les familles pour subventionner les CPE... incluant les mamans à la maison. Aussi, pour subventionner le programme, maintenant le seul moyen d'obtenir un crédit d'impôts pour un enfant à charge... c'est s'il fréquente une garderie (et encore là... tu dois travailler pour l'obtenir). Sinon, tu as pour ainsi dire... rien !
Qu'ils donnent donc le choix entre une place subventionnée en garderie et l'allocation.
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Red K a écritOuf....ça va pas fort fort pour Dumont, 14% dans le dernier sondage.
Et le PQ est en avance sur le PLQ chez les francophones.
Loin de s'assurer un gouvernement majoritaire, Charrest pourrait peut-être bien se retrouver au chômage si la tendance se poursuit.
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Loin de s'assurer un gouvernement majoritaire, Charrest pourrait peut-être bien se retrouver au chômage si la tendance se poursuit.
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L’ADQ prône le retour à la rigueur et aux connaissances
2008-11-11, 10:52
L’Action démocratique du Québec s’est engagée à remettre à l’ordre du jour la rigueur et aux connaissances.
« La réforme Marois a saboté notre système scolaire et on en voit aujourd’hui le bilan catastrophique. C’est inacceptable car ces enfants sont l’avenir du Québec. C’est pourquoi l’ADQ veut que les valeurs de discipline et d’effort soient de retour dans les classes du Québec. Le statu quo et le laisser-faire ne sont plus acceptables », a lancé Mario Dumont.
Accompagné de M. Claude L’Écuyer, député et candidat adéquiste dans Saint-Hyacinthe, et de M. Sébastien Proulx, député et candidat dans Trois-Rivières, le chef de l’ADQ a plaidé pour mettre fin au nivellement par le bas engendré par l’actuelle réforme. « La réforme Marois véhicule l’idée que pour que plus d’enfants réussissent au sein de notre système d’éducation, il faut que l’école soit plus facile. Pour nous, cette culture du nivellement par le bas est inacceptable. L’éducation est le pilier de notre société et c’est notre premier devoir de tout mettre en oeuvre pour assurer sa réussite qui repose d’abord sur une question de valeurs », a indiqué M. Dumont.
Acquisition des connaissances et culture de l’effort
L’ADQ considère que l’école québécoise doit revenir à son rôle fondamental, celui d’être un lieu de transmission des connaissances. Pour ce faire, il est impératif de réhabiliter l’acquisition des connaissances comme première mission de l’école. Le rétablissement de cette mission, diluée avec la réforme Marois, doit être l’occasion de réintroduire des valeurs comme l’effort, la rigueur et le mérite au sein de nos écoles. « Il est indispensable que l’école abandonne le nivellement par le bas et redevienne une institution dont les valeurs fondamentales reposent sur l’effort, la rigueur et le mérite », a déclaré le chef de l’ADQ.
À partir de la réhabilitation de l’acquisition de connaissances, l’ADQ souhaite réintroduire un véritable bulletin chiffré dans nos écoles, instaurer davantage d’examens nationaux et créer des prix nationaux pour valoriser le mérite académique.
Un maître à bord : l’enseignant
Au cours des dernières décennies, nos écoles ont été malmenées par une série de réformes, notamment la réforme Marois dont un des impacts majeurs aura été de miner la capacité de nos enseignants d’être les maîtres à bord dans leur classe. À cet égard, l’ADQ considère qu’il est impératif que les enseignants du Québec reprennent le leadership de la pédagogie dans nos écoles.
« Pour cela, il faut mettre fin au cycle des réformes pédagogiques, pilotées par le ministère, qui s’acharnent à redéfinir à répétition les manières d’enseigner. Les méthodes
d’enseignement doivent appartenir aux enseignants et seulement à ceux-ci », a indiqué Sébastien Proulx.
Il faut mettre fin au rôle joué par le Ministère de l’Éducation au niveau du conseil pédagogique. À cet égard, l’ADQ prône le renforcement de la formation des maîtres, notamment par la fin du monopole des sciences de l’éducation dans ce domaine. À ce chapitre, le retour du certificat en pédagogie pour les bacheliers ou les maîtres d’une discipline, la valorisation des diplômes d’études supérieures sur le plan salarial et l’interdiction pour les maîtres d’une discipline d’enseigner une matière pour laquelle ils n’ont pas de formation sont autant de mesures que l’ADQ souhaite mettre de l’avant pour renforcer le rôle pédagogique prépondérant de nos enseignants.
Créer un milieu d’apprentissage de qualité
L’école, c’est également un milieu de vie et il est important de miser sur la qualité de ce milieu pour favoriser la réussite scolaire.
La qualité de vie dans les écoles passe d’abord par l’établissement d’un climat de sécurité et de respect des personnes et de la propriété. Il ne doit y avoir qu’une seule règle et c’est tolérance zéro. Le taxage, l’intimidation et le vandalisme n’ont pas leur place dans l’école québécoise et la direction doit recourir à toutes les ressources nécessaires pour éradiquer ces fléaux de nos écoles.
L’ADQ propose de miser sur le sentiment d’appartenance des élèves à leur école. Les activités parascolaires sportives ou culturelles constituent la meilleure avenue pour s’assurer que nos enfants adhèrent pleinement à leur milieu de vie. Des élèves qui aiment leur école, ce sont des élèves qui augmentent leurs chances de demeurer et de réussir à l’école.
Un milieu d’apprentissage de qualité passe aussi par le rétablissement des classes spécifiques pour les élèves en difficulté afin d’offrir à tous les élèves du Québec une école capable de répondre à leurs besoins. L’intégration de tous les élèves dans une même classe prônée par la réforme Marois au nom de l’égalité pour tous est un échec. Il est donc urgent de revenir à des classes spécifiques en mesure de répondre adéquatement aux besoins des élèves.
« Les écoles du Québec sont le pilier de notre avenir et de notre identité. C’est notre devoir de réussite collective le plus important. Je vous propose donc de rebâtir nos écoles sur des valeurs d’effort, de rigueur et de mérite, des valeurs qui nous ressemblent, des valeurs du Québec, a conclu Mario Dumont. --Message edité par .anthurium. le 2008-11-11 11:32:59--
2008-11-11, 10:52
L’Action démocratique du Québec s’est engagée à remettre à l’ordre du jour la rigueur et aux connaissances.
« La réforme Marois a saboté notre système scolaire et on en voit aujourd’hui le bilan catastrophique. C’est inacceptable car ces enfants sont l’avenir du Québec. C’est pourquoi l’ADQ veut que les valeurs de discipline et d’effort soient de retour dans les classes du Québec. Le statu quo et le laisser-faire ne sont plus acceptables », a lancé Mario Dumont.
Accompagné de M. Claude L’Écuyer, député et candidat adéquiste dans Saint-Hyacinthe, et de M. Sébastien Proulx, député et candidat dans Trois-Rivières, le chef de l’ADQ a plaidé pour mettre fin au nivellement par le bas engendré par l’actuelle réforme. « La réforme Marois véhicule l’idée que pour que plus d’enfants réussissent au sein de notre système d’éducation, il faut que l’école soit plus facile. Pour nous, cette culture du nivellement par le bas est inacceptable. L’éducation est le pilier de notre société et c’est notre premier devoir de tout mettre en oeuvre pour assurer sa réussite qui repose d’abord sur une question de valeurs », a indiqué M. Dumont.
Acquisition des connaissances et culture de l’effort
L’ADQ considère que l’école québécoise doit revenir à son rôle fondamental, celui d’être un lieu de transmission des connaissances. Pour ce faire, il est impératif de réhabiliter l’acquisition des connaissances comme première mission de l’école. Le rétablissement de cette mission, diluée avec la réforme Marois, doit être l’occasion de réintroduire des valeurs comme l’effort, la rigueur et le mérite au sein de nos écoles. « Il est indispensable que l’école abandonne le nivellement par le bas et redevienne une institution dont les valeurs fondamentales reposent sur l’effort, la rigueur et le mérite », a déclaré le chef de l’ADQ.
À partir de la réhabilitation de l’acquisition de connaissances, l’ADQ souhaite réintroduire un véritable bulletin chiffré dans nos écoles, instaurer davantage d’examens nationaux et créer des prix nationaux pour valoriser le mérite académique.
Un maître à bord : l’enseignant
Au cours des dernières décennies, nos écoles ont été malmenées par une série de réformes, notamment la réforme Marois dont un des impacts majeurs aura été de miner la capacité de nos enseignants d’être les maîtres à bord dans leur classe. À cet égard, l’ADQ considère qu’il est impératif que les enseignants du Québec reprennent le leadership de la pédagogie dans nos écoles.
« Pour cela, il faut mettre fin au cycle des réformes pédagogiques, pilotées par le ministère, qui s’acharnent à redéfinir à répétition les manières d’enseigner. Les méthodes
d’enseignement doivent appartenir aux enseignants et seulement à ceux-ci », a indiqué Sébastien Proulx.
Il faut mettre fin au rôle joué par le Ministère de l’Éducation au niveau du conseil pédagogique. À cet égard, l’ADQ prône le renforcement de la formation des maîtres, notamment par la fin du monopole des sciences de l’éducation dans ce domaine. À ce chapitre, le retour du certificat en pédagogie pour les bacheliers ou les maîtres d’une discipline, la valorisation des diplômes d’études supérieures sur le plan salarial et l’interdiction pour les maîtres d’une discipline d’enseigner une matière pour laquelle ils n’ont pas de formation sont autant de mesures que l’ADQ souhaite mettre de l’avant pour renforcer le rôle pédagogique prépondérant de nos enseignants.
Créer un milieu d’apprentissage de qualité
L’école, c’est également un milieu de vie et il est important de miser sur la qualité de ce milieu pour favoriser la réussite scolaire.
La qualité de vie dans les écoles passe d’abord par l’établissement d’un climat de sécurité et de respect des personnes et de la propriété. Il ne doit y avoir qu’une seule règle et c’est tolérance zéro. Le taxage, l’intimidation et le vandalisme n’ont pas leur place dans l’école québécoise et la direction doit recourir à toutes les ressources nécessaires pour éradiquer ces fléaux de nos écoles.
L’ADQ propose de miser sur le sentiment d’appartenance des élèves à leur école. Les activités parascolaires sportives ou culturelles constituent la meilleure avenue pour s’assurer que nos enfants adhèrent pleinement à leur milieu de vie. Des élèves qui aiment leur école, ce sont des élèves qui augmentent leurs chances de demeurer et de réussir à l’école.
Un milieu d’apprentissage de qualité passe aussi par le rétablissement des classes spécifiques pour les élèves en difficulté afin d’offrir à tous les élèves du Québec une école capable de répondre à leurs besoins. L’intégration de tous les élèves dans une même classe prônée par la réforme Marois au nom de l’égalité pour tous est un échec. Il est donc urgent de revenir à des classes spécifiques en mesure de répondre adéquatement aux besoins des élèves.
« Les écoles du Québec sont le pilier de notre avenir et de notre identité. C’est notre devoir de réussite collective le plus important. Je vous propose donc de rebâtir nos écoles sur des valeurs d’effort, de rigueur et de mérite, des valeurs qui nous ressemblent, des valeurs du Québec, a conclu Mario Dumont. --Message edité par .anthurium. le 2008-11-11 11:32:59--
Prière et chant religieux
la-voute-f46/prieres-et-chants-religieux-t67717.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Notre famille compte un nouveau membre à aimer.
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.anthurium. a écritL’ADQ prône le retour à la rigueur et aux connaissances
2008-11-11, 10:52
L’Action démocratique du Québec s’est engagée à remettre à l’ordre du jour la rigueur et aux connaissances.
« La réforme Marois a saboté notre système scolaire et on en voit aujourd’hui le bilan catastrophique. C’est inacceptable car ces enfants sont l’avenir du Québec. C’est pourquoi l’ADQ veut que les valeurs de discipline et d’effort soient de retour dans les classes du Québec. Le statu quo et le laisser-faire ne sont plus acceptables », a lancé Mario Dumont.
Accompagné de M. Claude L’Écuyer, député et candidat adéquiste dans Saint-Hyacinthe, et de M. Sébastien Proulx, député et candidat dans Trois-Rivières, le chef de l’ADQ a plaidé pour mettre fin au nivellement par le bas engendré par l’actuelle réforme. « La réforme Marois véhicule l’idée que pour que plus d’enfants réussissent au sein de notre système d’éducation, il faut que l’école soit plus facile. Pour nous, cette culture du nivellement par le bas est inacceptable. L’éducation est le pilier de notre société et c’est notre premier devoir de tout mettre en oeuvre pour assurer sa réussite qui repose d’abord sur une question de valeurs », a indiqué M. Dumont.
Acquisition des connaissances et culture de l’effort
L’ADQ considère que l’école québécoise doit revenir à son rôle fondamental, celui d’être un lieu de transmission des connaissances. Pour ce faire, il est impératif de réhabiliter l’acquisition des connaissances comme première mission de l’école. Le rétablissement de cette mission, diluée avec la réforme Marois, doit être l’occasion de réintroduire des valeurs comme l’effort, la rigueur et le mérite au sein de nos écoles. « Il est indispensable que l’école abandonne le nivellement par le bas et redevienne une institution dont les valeurs fondamentales reposent sur l’effort, la rigueur et le mérite », a déclaré le chef de l’ADQ.
À partir de la réhabilitation de l’acquisition de connaissances, l’ADQ souhaite réintroduire un véritable bulletin chiffré dans nos écoles, instaurer davantage d’examens nationaux et créer des prix nationaux pour valoriser le mérite académique.
Un maître à bord : l’enseignant
Au cours des dernières décennies, nos écoles ont été malmenées par une série de réformes, notamment la réforme Marois dont un des impacts majeurs aura été de miner la capacité de nos enseignants d’être les maîtres à bord dans leur classe. À cet égard, l’ADQ considère qu’il est impératif que les enseignants du Québec reprennent le leadership de la pédagogie dans nos écoles.
« Pour cela, il faut mettre fin au cycle des réformes pédagogiques, pilotées par le ministère, qui s’acharnent à redéfinir à répétition les manières d’enseigner. Les méthodes
d’enseignement doivent appartenir aux enseignants et seulement à ceux-ci », a indiqué Sébastien Proulx.
Il faut mettre fin au rôle joué par le Ministère de l’Éducation au niveau du conseil pédagogique. À cet égard, l’ADQ prône le renforcement de la formation des maîtres, notamment par la fin du monopole des sciences de l’éducation dans ce domaine. À ce chapitre, le retour du certificat en pédagogie pour les bacheliers ou les maîtres d’une discipline, la valorisation des diplômes d’études supérieures sur le plan salarial et l’interdiction pour les maîtres d’une discipline d’enseigner une matière pour laquelle ils n’ont pas de formation sont autant de mesures que l’ADQ souhaite mettre de l’avant pour renforcer le rôle pédagogique prépondérant de nos enseignants.
Créer un milieu d’apprentissage de qualité
L’école, c’est également un milieu de vie et il est important de miser sur la qualité de ce milieu pour favoriser la réussite scolaire.
La qualité de vie dans les écoles passe d’abord par l’établissement d’un climat de sécurité et de respect des personnes et de la propriété. Il ne doit y avoir qu’une seule règle et c’est tolérance zéro. Le taxage, l’intimidation et le vandalisme n’ont pas leur place dans l’école québécoise et la direction doit recourir à toutes les ressources nécessaires pour éradiquer ces fléaux de nos écoles.
L’ADQ propose de miser sur le sentiment d’appartenance des élèves à leur école. Les activités parascolaires sportives ou culturelles constituent la meilleure avenue pour s’assurer que nos enfants adhèrent pleinement à leur milieu de vie. Des élèves qui aiment leur école, ce sont des élèves qui augmentent leurs chances de demeurer et de réussir à l’école.
Un milieu d’apprentissage de qualité passe aussi par le rétablissement des classes spécifiques pour les élèves en difficulté afin d’offrir à tous les élèves du Québec une école capable de répondre à leurs besoins. L’intégration de tous les élèves dans une même classe prônée par la réforme Marois au nom de l’égalité pour tous est un échec. Il est donc urgent de revenir à des classes spécifiques en mesure de répondre adéquatement aux besoins des élèves.
« Les écoles du Québec sont le pilier de notre avenir et de notre identité. C’est notre devoir de réussite collective le plus important. Je vous propose donc de rebâtir nos écoles sur des valeurs d’effort, de rigueur et de mérite, des valeurs qui nous ressemblent, des valeurs du Québec, a conclu Mario Dumont.
Pauvre Mario, quelle beau rêve en couleur.
Un jour faudra que tu comprennes que c'est plus dur de vouloir bien faire que de détruire comme l'a fait Pauline en éducation. --Message edité par jumbo le 2008-11-11 13:36:29--
2008-11-11, 10:52
L’Action démocratique du Québec s’est engagée à remettre à l’ordre du jour la rigueur et aux connaissances.
« La réforme Marois a saboté notre système scolaire et on en voit aujourd’hui le bilan catastrophique. C’est inacceptable car ces enfants sont l’avenir du Québec. C’est pourquoi l’ADQ veut que les valeurs de discipline et d’effort soient de retour dans les classes du Québec. Le statu quo et le laisser-faire ne sont plus acceptables », a lancé Mario Dumont.
Accompagné de M. Claude L’Écuyer, député et candidat adéquiste dans Saint-Hyacinthe, et de M. Sébastien Proulx, député et candidat dans Trois-Rivières, le chef de l’ADQ a plaidé pour mettre fin au nivellement par le bas engendré par l’actuelle réforme. « La réforme Marois véhicule l’idée que pour que plus d’enfants réussissent au sein de notre système d’éducation, il faut que l’école soit plus facile. Pour nous, cette culture du nivellement par le bas est inacceptable. L’éducation est le pilier de notre société et c’est notre premier devoir de tout mettre en oeuvre pour assurer sa réussite qui repose d’abord sur une question de valeurs », a indiqué M. Dumont.
Acquisition des connaissances et culture de l’effort
L’ADQ considère que l’école québécoise doit revenir à son rôle fondamental, celui d’être un lieu de transmission des connaissances. Pour ce faire, il est impératif de réhabiliter l’acquisition des connaissances comme première mission de l’école. Le rétablissement de cette mission, diluée avec la réforme Marois, doit être l’occasion de réintroduire des valeurs comme l’effort, la rigueur et le mérite au sein de nos écoles. « Il est indispensable que l’école abandonne le nivellement par le bas et redevienne une institution dont les valeurs fondamentales reposent sur l’effort, la rigueur et le mérite », a déclaré le chef de l’ADQ.
À partir de la réhabilitation de l’acquisition de connaissances, l’ADQ souhaite réintroduire un véritable bulletin chiffré dans nos écoles, instaurer davantage d’examens nationaux et créer des prix nationaux pour valoriser le mérite académique.
Un maître à bord : l’enseignant
Au cours des dernières décennies, nos écoles ont été malmenées par une série de réformes, notamment la réforme Marois dont un des impacts majeurs aura été de miner la capacité de nos enseignants d’être les maîtres à bord dans leur classe. À cet égard, l’ADQ considère qu’il est impératif que les enseignants du Québec reprennent le leadership de la pédagogie dans nos écoles.
« Pour cela, il faut mettre fin au cycle des réformes pédagogiques, pilotées par le ministère, qui s’acharnent à redéfinir à répétition les manières d’enseigner. Les méthodes
d’enseignement doivent appartenir aux enseignants et seulement à ceux-ci », a indiqué Sébastien Proulx.
Il faut mettre fin au rôle joué par le Ministère de l’Éducation au niveau du conseil pédagogique. À cet égard, l’ADQ prône le renforcement de la formation des maîtres, notamment par la fin du monopole des sciences de l’éducation dans ce domaine. À ce chapitre, le retour du certificat en pédagogie pour les bacheliers ou les maîtres d’une discipline, la valorisation des diplômes d’études supérieures sur le plan salarial et l’interdiction pour les maîtres d’une discipline d’enseigner une matière pour laquelle ils n’ont pas de formation sont autant de mesures que l’ADQ souhaite mettre de l’avant pour renforcer le rôle pédagogique prépondérant de nos enseignants.
Créer un milieu d’apprentissage de qualité
L’école, c’est également un milieu de vie et il est important de miser sur la qualité de ce milieu pour favoriser la réussite scolaire.
La qualité de vie dans les écoles passe d’abord par l’établissement d’un climat de sécurité et de respect des personnes et de la propriété. Il ne doit y avoir qu’une seule règle et c’est tolérance zéro. Le taxage, l’intimidation et le vandalisme n’ont pas leur place dans l’école québécoise et la direction doit recourir à toutes les ressources nécessaires pour éradiquer ces fléaux de nos écoles.
L’ADQ propose de miser sur le sentiment d’appartenance des élèves à leur école. Les activités parascolaires sportives ou culturelles constituent la meilleure avenue pour s’assurer que nos enfants adhèrent pleinement à leur milieu de vie. Des élèves qui aiment leur école, ce sont des élèves qui augmentent leurs chances de demeurer et de réussir à l’école.
Un milieu d’apprentissage de qualité passe aussi par le rétablissement des classes spécifiques pour les élèves en difficulté afin d’offrir à tous les élèves du Québec une école capable de répondre à leurs besoins. L’intégration de tous les élèves dans une même classe prônée par la réforme Marois au nom de l’égalité pour tous est un échec. Il est donc urgent de revenir à des classes spécifiques en mesure de répondre adéquatement aux besoins des élèves.
« Les écoles du Québec sont le pilier de notre avenir et de notre identité. C’est notre devoir de réussite collective le plus important. Je vous propose donc de rebâtir nos écoles sur des valeurs d’effort, de rigueur et de mérite, des valeurs qui nous ressemblent, des valeurs du Québec, a conclu Mario Dumont.
Pauvre Mario, quelle beau rêve en couleur.
Un jour faudra que tu comprennes que c'est plus dur de vouloir bien faire que de détruire comme l'a fait Pauline en éducation. --Message edité par jumbo le 2008-11-11 13:36:29--
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??