tipet a écritDumont déplore le manque d'ouverture de Harper
Vincent Brousseau-Pouliot
La Presse
Le chef de l'Action démocratique du Québec, Mario Dumont, déplore le manque d'ouverture du premier ministre Stephen Harper lors de son discours à la nation ainsi que de la réplique aussi intransigeante des partis d'opposition.
«Le Parlement canadien a touché le fond du baril aujourd'hui, dit Mario Dumont. Les quatre chefs se sont calés un peu plus creux dans des positions qui ne sont pas conciliables. Convoquer l'ensemble de la population devant leur téléviseur parce qu'on a quelque chose d'important à leur dire, c'est majeur. Quand on n'a rien à dire, c'est plate. C'est malheureusement ce qui s'est produit.»
Le chef adéquiste s'est aussi dissocié de la stratégie de Stephen Harper de transformer cette crise politique à Ottawa en une question d'unité nationale. «C'est une chose de constater des couples nouveaux et surprenants, ç'en est une autre de traiter les députés différemment selon leur allégeance une fois qu'ils ont été dûment élus par leur population», dit M. Dumont.
Mario Dumont s'est aussi moqué au passage de la vidéo peu soignée au plan technique du chef libéral Stéphane Dion. «Ce qui j'ai vu de la vidéo mal focusée, mal cadrée et mal exprimée de Stéphane Dion, c'est quelqu'un qui a fait la preuve que malheureusement, il ne ferait pas un bon premier ministre», dit-il.
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(Garde kissé qui parle )
Depuis quand est-ce que je suis du même avis que Mario Dumont ?!?
Que diantre se passe-t-il ?
Crise Politique à Ottawa
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Grain de sel
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Dumont déplore le manque d'ouverture de Harper
Vincent Brousseau-Pouliot
La Presse
Le chef de l'Action démocratique du Québec, Mario Dumont, déplore le manque d'ouverture du premier ministre Stephen Harper lors de son discours à la nation ainsi que de la réplique aussi intransigeante des partis d'opposition.
«Le Parlement canadien a touché le fond du baril aujourd'hui, dit Mario Dumont. Les quatre chefs se sont calés un peu plus creux dans des positions qui ne sont pas conciliables. Convoquer l'ensemble de la population devant leur téléviseur parce qu'on a quelque chose d'important à leur dire, c'est majeur. Quand on n'a rien à dire, c'est plate. C'est malheureusement ce qui s'est produit.»
Le chef adéquiste s'est aussi dissocié de la stratégie de Stephen Harper de transformer cette crise politique à Ottawa en une question d'unité nationale. «C'est une chose de constater des couples nouveaux et surprenants, ç'en est une autre de traiter les députés différemment selon leur allégeance une fois qu'ils ont été dûment élus par leur population», dit M. Dumont.
Mario Dumont s'est aussi moqué au passage de la vidéo peu soignée au plan technique du chef libéral Stéphane Dion. «Ce qui j'ai vu de la vidéo mal focusée, mal cadrée et mal exprimée de Stéphane Dion, c'est quelqu'un qui a fait la preuve que malheureusement, il ne ferait pas un bon premier ministre», dit-il.
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(Garde kissé qui parle )
Vincent Brousseau-Pouliot
La Presse
Le chef de l'Action démocratique du Québec, Mario Dumont, déplore le manque d'ouverture du premier ministre Stephen Harper lors de son discours à la nation ainsi que de la réplique aussi intransigeante des partis d'opposition.
«Le Parlement canadien a touché le fond du baril aujourd'hui, dit Mario Dumont. Les quatre chefs se sont calés un peu plus creux dans des positions qui ne sont pas conciliables. Convoquer l'ensemble de la population devant leur téléviseur parce qu'on a quelque chose d'important à leur dire, c'est majeur. Quand on n'a rien à dire, c'est plate. C'est malheureusement ce qui s'est produit.»
Le chef adéquiste s'est aussi dissocié de la stratégie de Stephen Harper de transformer cette crise politique à Ottawa en une question d'unité nationale. «C'est une chose de constater des couples nouveaux et surprenants, ç'en est une autre de traiter les députés différemment selon leur allégeance une fois qu'ils ont été dûment élus par leur population», dit M. Dumont.
Mario Dumont s'est aussi moqué au passage de la vidéo peu soignée au plan technique du chef libéral Stéphane Dion. «Ce qui j'ai vu de la vidéo mal focusée, mal cadrée et mal exprimée de Stéphane Dion, c'est quelqu'un qui a fait la preuve que malheureusement, il ne ferait pas un bon premier ministre», dit-il.
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(Garde kissé qui parle )
Marois : «Les masques sont tombés»
Karim Benessaieh
La Presse
La chef du Parti québécois Pauline Marois estime que Stephen Harper, dans son discours à la nation mercredi soir, s'est contenté de répéter en substance ce qu'il avait déjà annoncé dans son énoncé budgétaire.
«Ce soir, les masques sont tombés. M. Harper qui aurait dû à mon point de vue tendre la main à essayer de trouver une voie de solution, a simplement réitéré ce qu'il a déjà dit au moment de son énoncé budgétaire qui était davantage un énoncé politique et dogmatique.»
La crise dans laquelle est plongé le gouvernement du Canada a été provo
quée par Harper lui-même, soutient la chef péquiste, notamment parce qu'il a refusé de répondre aux demandes du Québec. «Ça signifie pour moi la fin d'un fédéralisme d'ouverture qu'il avait voulu manifester, et ce n'étaient que des beaux mots que cette idée de reconnaître la nation québécoise.»
Mme Marois estime par ailleurs que le débat actuel est terni par un «Quebec bashing» qu'elle qualifie d'inacceptable. «Peu importe les points de vue des gens, nous vivons dans une démocratie, nous devons être respectueux les uns des autres. Je crois que les Québécois sont profondément déçus de l'attitude de M. Harper.»
Karim Benessaieh
La Presse
La chef du Parti québécois Pauline Marois estime que Stephen Harper, dans son discours à la nation mercredi soir, s'est contenté de répéter en substance ce qu'il avait déjà annoncé dans son énoncé budgétaire.
«Ce soir, les masques sont tombés. M. Harper qui aurait dû à mon point de vue tendre la main à essayer de trouver une voie de solution, a simplement réitéré ce qu'il a déjà dit au moment de son énoncé budgétaire qui était davantage un énoncé politique et dogmatique.»
La crise dans laquelle est plongé le gouvernement du Canada a été provo
quée par Harper lui-même, soutient la chef péquiste, notamment parce qu'il a refusé de répondre aux demandes du Québec. «Ça signifie pour moi la fin d'un fédéralisme d'ouverture qu'il avait voulu manifester, et ce n'étaient que des beaux mots que cette idée de reconnaître la nation québécoise.»
Mme Marois estime par ailleurs que le débat actuel est terni par un «Quebec bashing» qu'elle qualifie d'inacceptable. «Peu importe les points de vue des gens, nous vivons dans une démocratie, nous devons être respectueux les uns des autres. Je crois que les Québécois sont profondément déçus de l'attitude de M. Harper.»
hm la le petit mario qui pensait remonté va encore descendre le pq va remonté
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
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NainDeJardin
- Immortel du Domaine
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- Inscription : jeu. oct. 30, 2003 1:00 am
NainDeJardin a écrit
On devrait jumeler cette élection avec un référendum!
On pourrait soit choisir un PM ou encore choisir de décrisser de ce pays!
Le choix serait difficile entre M. Démocratie-Harper pis devenir un pays!
L'Ouest serait ben content itou de ca je pense
Les séparatistes ne sont pas seulement au Québec....y en a aussi dans l'Ouest....Harper a tendance a l'oublié
On devrait jumeler cette élection avec un référendum!
On pourrait soit choisir un PM ou encore choisir de décrisser de ce pays!
Le choix serait difficile entre M. Démocratie-Harper pis devenir un pays!
L'Ouest serait ben content itou de ca je pense
Les séparatistes ne sont pas seulement au Québec....y en a aussi dans l'Ouest....Harper a tendance a l'oublié
C'est bobépine ou bépine SVP
Patrick Lagacé
La Presse
(Calgary) Ah, la vie de journaliste. C'est excitant, ça n'a pas d'allure. Nous sommes toujours en train de sauter dans un taxi, monter dans un avion, à la recherche de la vérité, voyez-vous.
Donc, l'autre jour, j'étais dans la jungle de la Nouvelle-Guinée, à la recherche d'un shaman qui a fait des merveilles pour le système de santé papou, question de le convaincre de venir s'occuper du nôtre, quand sonne mon portable. C'est le patron:
«Veux-tu aller voir si les Albertains sont fâchés?»
En moins de temps qu'il ne faut à Michaëlle Jean pour s'organiser un voyage en Europe, j'étais déjà à Calgary, question de voir si l'Alberta, qui incarne ce nouveau pouvoir de l'Ouest dans le Canada, qui abrite la base électorale (27 sièges sur 28, en Alberta, sont bleus) du Parti conservateur, est insultée de voir Stephen Harper sur le point de se faire ainsi éjecter du pouvoir par un scénario digne de Fabienne Larouche.
Réponse, patron? You bet qu'ils sont fâchés.
S'ils étaient Québécois, les Albertains seraient même en beau ta...
«Si cette coalition voit le jour, dans une génération d'ici les gens de l'Ouest vont encore dire aux libéraux et aux néo-démocrates: You sons of a bitch, vous avez sauté dans le lit avec les séparatistes! Dans une période d'incertitude économique, you bastards!»
Alan Hallman a travaillé 10 ans au bureau de l'ex-premier ministre Ralph Klein, il a été membre du PC fédéral et organise de temps à autre la campagne d'élus conservateurs au niveau provincial. Bref, la politique made in Western Canada, il connaît. L'Albertain moyen aussi, Alan le connaît (et il ne porte pas forcément de chapeau de cowboy).
«Dans façon générale, le sentiment d'aliénation de l'Ouest se porte à merveille. Imagine maintenant! C'est le genre de chose, cette coalition, qui pourrait fort bien souffler sur les braises de nos mouvements séparatistes.»
OK, une chose à la fois, ici. Appuyons sur pause.
L'aliénation de l'Ouest, d'abord. Vous savez comment le Québec se sent mal aimé dans ce pays? C'est la même chose dans l'Ouest. Pire, peut-être. On parle encore du Programme énergétique national de Trudeau comme d'une crosse épouvantable faite aux Albertains. Sans oublier Winnipeg qui, en 1986, gracieuseté de Mulroney, perdit le (richissime) contrat d'entretien des CF-18 au profit de Montréal.
Les racines séparatistes, ensuite. Jamais aussi fortes qu'au Québec. Mais à chaque décennie, un type se lève et décrète que l'Ouest pourrait trèèèès bien se débrouiller sans ces profiteurs de «Central Canada». Ce sentiment d'aliénation produit d'excentriques souverainistes. Et, des fois, un Reform Party...
Bon, allez, continue, Alan...
«Ce gouvernement de coalition, c'est pire, pour l'aliénation de l'Ouest, que le Programme énergétique national et le contrat des CF-18. Il y a le fait que la coalition est au lit avec Duceppe. Il y a, surtout, que Dion a été répudié, ici, en Alberta, à cause de sa taxe sur le carbone. Ça nous irrite, cette taxe. On a voté contre. Il a récolté seulement 76 sièges. Et il va devenir premier ministre?!»
À la fin, dit Alan, les Canadiens ont voté, le 14 octobre. Pas trop sûrs d'aimer Harper, ils lui ont donné un autre gouvernement minoritaire. Une façon de le surveiller, croit-il.
«Et couper le 1,95$ par vote aux partis? C'était stupide. Stupide de la part de Stephen et de ses conseillers. Mais les Canadiens, en octobre, n'ont pas décidé de se donner un gouvernement de coalition. Layton, Dion et Duceppe n'ont jamais dit aux Canadiens qu'ils formeraient une coalition pour gouverner. Jamais.»
Pour lui, c'est clair: «C'est un coup d'État. Non, le mot n'est pas trop fort.»
Vous allez me dire, à ce stade de la chronique, qu'Alan est tout simplement un conservateur frustré d'être sur le point de perdre son joujou. Ce n'est pas ce que j'ai senti. Ce n'est pas ce que je sens, en Alberta. Je sens une colère qui s'inscrit, justement, dans la foulée de l'aliénation historique de l'Ouest face au Canada central.
Je sens de la colère, aussi, dans la fibre canadian des gens. Le Bloc est devenu si lisse, côté souveraineté, qu'on en vient à oublier au Québec que son but est de faire un pays. Donc, d'en briser un. Ailleurs au pays, le Bloc? Separatists!
Je sens de la honte, aussi, dans la fibre démocratique des gens. Un gouvernement de coalition? Des alliances contre nature? Un Parlement qui vire au cirque? C'est italien, ça, Monsieur, c'est pas canadien...
J'ai soumis à Alan trois irritants qui reviennent souvent dans l'air du temps, ici a) cette coalition sera «appuyée» par les souverainistes; b) elle va abattre un gouvernement appuyé par l'Ouest canadien ou c) tout cela survient en période de crise économique...
Laquelle des options t'irrite le plus, Alan? Aucune de ces réponses! Ce qui m'écoeure, c'est que Duceppe, Dion et Layton n'ont pas écouté le choix des Canadiens, le choix du 14 octobre.
Cette coalition qu'on enfonce dans la gorge de l'Ouest? C'est l'étoffe dont on fait les légendes. Peut-être que c'est leur nuit des longs couteaux...
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
le premier ministre albertain qui est conservateur a menacé la gouverneur général du canada que si elle prenait pour la coalition il fermerait le robinet
https://www.youtube.com/watch?v=x6_7Mbp76jU" onclick="window.open(this.href);return false; (ont lache rien) continuons le combat
Je suis plutot étonnée
Copie de lettres des lecteurs dans le Edmonton Journal
I fully support the political coalition of the Liberals and NDP, who are taking action to present positive actions for Canada rather than the negative politics shown by Stephen Harper and the Reform/Conservatives. A majority of Canadians did not support the Conservatives; many democracies function well with coalitions. SinceHarper has shown no ability to co-operate in a minority situation or to provide a meaningful plan to help the Canadian economy, he should go.
Ron Monroe, Bon Accord
Stephen Harper and his Conservatives have a very blinkered understanding of democracy which is completely in line with their first-past-the-post, winner-take-all, mentality. The majority of Canadians did not vote for a Conservative government, not even a Conservative minority government. Canadians voted for who they saw most fit to run the country and more than 60 per cent did not think that was the Conservative party. The Conservatives happened to get more votes than any other party, but that’s it. Thanks to our skewed voting system, they got far more members of Parliament than is reflected by their share of the popular vote. Of course, that was not enough for Stephen Harper and his gang. The Conservative propaganda machine, with the support of their cronies in industry, is crying foul about the “opposition (those who are not in government) disregarding the election results”. All they are doing is interpreting them differently from his blinkered, undemocratic, view. Coalitions are legitimate forms of government and they serve the citizens of many countries very well, exactly because they put checks and balances in place that rein in bullies of Harper’s ilk.
Günther Trageser, Edmonton
A Liberal-NDP coalition government, supported by the Bloc, is not undemocratic and is not a coup, and is not the "end of the world" that Conservatives are trying to bring make it. What the Conservatives are now trying to do is disrupt Parliament and our democratic system by attempting to stop the formation of a coalition government.
The Conservatives forgot that they were in a minority situation and proceeded to govern like they had a majority, and consequently lost the confidence of the House. It is within the rights of the Governor General to allow the opposition to form the next government instead of forcing Canadians back to the polls.
I would like to see the Conservatives tone down the hyperbole and realize that their leader made a huge strategic mistake and will for once have to act like an adult and deal with the consequences.
Russell Koehler, Calgary
Albertans should recall that it was in fact Stephen Harper who set the precedent for opposition parties' action. Proposing a coalition
of Conservatives, New Democrats, and the Bloc to govern after the defeat of the then-Liberal government, Harper wrote the following to
then-Gov. Gen. Adrienne Clarkson:
"As leaders of the opposition parties, we are well aware that, given the Liberal minority government, you could be asked by the Prime
Minister to dissolve the 38th Parliament at any time should the House of Commons fail to support some part of the government's program. We respectfully point out that the opposition parties, who together constitute a majority in the House, have been in close consultation. We believe that, should a request for dissolution arise this should give you cause, as constitutional practice has determined, to consult the opposition leaders and consider all of your options before exercising your constitutional authority. Your attention to this matter is appreciated."
What Harper proposed was to provide stable government in co-operation with other parties on an issue-by-issue basis. That deal crumbled when the New Democrats walked out on the coalition, but I fail to see how the Conservatives can claim that anything less democratic or parliamentary is being proposed today.
Mark Wells, Edmonton
I resent the Alberta government and various groups within Alberta using the term Western Canada to apply to all of Canada west of the Ontario-Manitoba border. It's dishonest rhetoric. As a citizen and taxpayer of Canada, I support the majority will of the members of the Canadian Parliament in determining what constitutes the government of Canada and who is Prime Minister. The Conservative Party coes not have the last word on who is Prime Minister.
Henry Greenhow, Vancouver
If I were Stephen Harper, I would pull a John A. Macdonald. Resign the government as Macdonald did in 1873. If the coalition works, the Tories will be seen as heroes, then put back into governance. If it fails, the Canadian public would then give the Tories another chance in majority territory this time. Either way, Harper wins!
Rory J. Koopmans, Edmonton
I beg and I pray that the Opposition leaders, the Governor General and more importantly, the people of Canada see this coalition for what it truly is … a coup! A democratic coup, but a coup none the less.
If the Opposition wants to bring the Conservatives down, then do so and call another election. Let the people of Canada decide who should be leading this country. It is what makes Canada a leader in the democratic world.
To allow this coalition to take over the leadership of this country is an insult to Canadians.
Call an election. Let the people decide again.
Julia Ruttan, Edmonton
The opposition parties are not betraying Canadians by replacing the Conservative governing party with a coalition government. All those MPs in Ottawa were voted in during the last election legally and they are our representatives. To refer the the Bloc as "the devil" or a party out to destroy Canada would be erroneous. Until a Prime Minister rolls the tanks into the province of Quebec to stop the Bloc from tearing our great nation apart, the Bloc are following the laws of our government and voicing the opinion of those they represent.
I ran for office during the last provincial election, served on federal electoral riding boards for both the Canadian Alliance and Conservative parties. Majority of the Canadians I talked to do not have a strong understanding of how our parliamentary system of government works and often confuse it with a presidential system of government like that is used in the United States. Our system of government allows for the opposition to form a coalition government legally without calling an election. To call another election now during these unstable economic times would be wasting more tax dollars.
Prime Minister Stephen Harper created this situation when his Conservative party broke the principles of their own fixed election date law and called the unnecessary 2008 election, which failed to get a majority government for his party. To make matters worse, having won a stronger minority government we now have a weaker Conservative government that is unable to work with the opposition parties and is now scrambling when confronted by the opposition.
What Canadians want is strong leadership to get us through these rough times we are now facing and unfortunately we have none.
Robert Leddy, Edmonton
What a disgrace to a democratic nation and what arrogance exhibited by the two other Canadian parties who have opted to sign a deal with a group whose sole entity is to to make Quebec an independent nation with separate status from Canada. I emphasize word "two" parties as the Bloc is neither national in scope and only has one agenda and that is for the province of Quebec.
The Bloc is the only winner in this charade and it will cost the rest of Canada dearly, as their investment in this venture is guaranteed to continue the flow of federal funds into their coffers at the expense of other provinces. Both Jack Layton and Stephane Dion should be ashamed of themselves and exemplify that they are not fit for leadership of any party.
The last election showed that Canadians are willing to give the Conservatives a chance and were buoyed by some of the action taken to lighten the Canadian tax burden.
There is no doubt this impending coalition with the devil will erode any gains the West has received as they will try to appease both Ontario and Quebec with total disregard for the rest of the country. After all, that is where they try to gain their electoral sponsorship and support during federal elections.
If I had my choice right now, I would ask that Alberta opt out and support them becoming a separate country rather than being held hostage by a group whose aim is to remove Quebec from Canada. Layton and Dion are not fit to run anything, let alone our country. The Bloc has only committed to support this for 18 months until it gets what it wants from these two clowns. What then?
D. Smith, St. Albert
I fully support this Liberal-NDP coalition. It is important to remember a few things that Albertans seem to be forgetting. Stephen Harper was appointed Prime Minster, not elected. He only became Prime Minister based on the number of seats his party got and the majority of Canadians still voted for someone other than Harper. On top of that, we need to quit throwing around the Bloc as a reason to fear the coalition. The Bloc is not a member and has no cabinet seats. It will be no different than any other minority government where the Bloc holds the balance of power. On top of that, by referring to them only as seperatists, we risk reigniting mostly exstinguished calls for Quebec speratism and alienating an entire province. Stephen Harper brought this upon himself by acting as though he had a majority. This pompus, sad excuse for a leader needs to be removed before he can destroy our country.
Travis Harder, Edmonton
Changing governments in this fashion will bring chaos in the short term. What will be the consequences for future elections? No minority government will ever have the least bit of stability if coalitions which depend on a separatist party are allowed to form government on a whim. Voters will never have confidence in election results. Think about it!
Nancy Strand, Edmonton
Some people are upset that taxpayers help fund political parties. If these parties were not funded, we would eventually have only one party to vote for. That would be a terrible thing and democracy, such as it is, would cease to exist. We would then become a country run by dictators so I am all in favour of the status quo, even if it means I have to help pay for it. It is called democracy and something I cherish. We need opposition in our government otherwise Stephen Harper, for whom only 35 per cent of Canadians voted, would be running the show in Canada for years to come, as there would be no opposition to vote for. I certainly do not want that, and I suspect the 65 per cent who did not vote Conservative do not either. What Harper was trying to do by removing funding was disgusting.
C. Kiely, Edmonton
I am an Albertan who has voted for over 20 years provincially and federally, but never for the Progressive Conservative, Reform, or Conservative parties. Rarely has my voice been represented in Alberta or Canadian governments. In this, I am like hundreds of thousands of Alberta voters who have never had their voices heard in government.
I am absolutely delighted that the Liberal, NDP, and Bloc voters, who have been the clear majority for years on the federal scene, may finally have a Canadian government who speaks for them, who proposes thoughtful responses to current challenges, and who fosters a productive and collaborative parliament.
Stephen Harper's autocratic and hyper-partisan position has been and is incredibly shortsighted and destructive.
The current coalition solution forged by the Liberals, New Democrats, and Bloc Quebecois has my full and vocal support.
Maryanne Wynne, Edmonton
Même dans l'Ouest les conservateurs ne font pas l'unanimité...
En fait Monsieur Harper se conduit comme le chef du parti conservateur et non comme un premier ministre qui doit représenter tous ses citoyens même ceux qui n'ont pas voté pour lui.
Et nos journalistes la plupart pourtant fédéralistes ne parlent pas trop des gens de l'Ouest qui sont aussi anti Harper comme si on aimait encourager la colere autant la notre que celle des autres.
Copie de lettres des lecteurs dans le Edmonton Journal
I fully support the political coalition of the Liberals and NDP, who are taking action to present positive actions for Canada rather than the negative politics shown by Stephen Harper and the Reform/Conservatives. A majority of Canadians did not support the Conservatives; many democracies function well with coalitions. SinceHarper has shown no ability to co-operate in a minority situation or to provide a meaningful plan to help the Canadian economy, he should go.
Ron Monroe, Bon Accord
Stephen Harper and his Conservatives have a very blinkered understanding of democracy which is completely in line with their first-past-the-post, winner-take-all, mentality. The majority of Canadians did not vote for a Conservative government, not even a Conservative minority government. Canadians voted for who they saw most fit to run the country and more than 60 per cent did not think that was the Conservative party. The Conservatives happened to get more votes than any other party, but that’s it. Thanks to our skewed voting system, they got far more members of Parliament than is reflected by their share of the popular vote. Of course, that was not enough for Stephen Harper and his gang. The Conservative propaganda machine, with the support of their cronies in industry, is crying foul about the “opposition (those who are not in government) disregarding the election results”. All they are doing is interpreting them differently from his blinkered, undemocratic, view. Coalitions are legitimate forms of government and they serve the citizens of many countries very well, exactly because they put checks and balances in place that rein in bullies of Harper’s ilk.
Günther Trageser, Edmonton
A Liberal-NDP coalition government, supported by the Bloc, is not undemocratic and is not a coup, and is not the "end of the world" that Conservatives are trying to bring make it. What the Conservatives are now trying to do is disrupt Parliament and our democratic system by attempting to stop the formation of a coalition government.
The Conservatives forgot that they were in a minority situation and proceeded to govern like they had a majority, and consequently lost the confidence of the House. It is within the rights of the Governor General to allow the opposition to form the next government instead of forcing Canadians back to the polls.
I would like to see the Conservatives tone down the hyperbole and realize that their leader made a huge strategic mistake and will for once have to act like an adult and deal with the consequences.
Russell Koehler, Calgary
Albertans should recall that it was in fact Stephen Harper who set the precedent for opposition parties' action. Proposing a coalition
of Conservatives, New Democrats, and the Bloc to govern after the defeat of the then-Liberal government, Harper wrote the following to
then-Gov. Gen. Adrienne Clarkson:
"As leaders of the opposition parties, we are well aware that, given the Liberal minority government, you could be asked by the Prime
Minister to dissolve the 38th Parliament at any time should the House of Commons fail to support some part of the government's program. We respectfully point out that the opposition parties, who together constitute a majority in the House, have been in close consultation. We believe that, should a request for dissolution arise this should give you cause, as constitutional practice has determined, to consult the opposition leaders and consider all of your options before exercising your constitutional authority. Your attention to this matter is appreciated."
What Harper proposed was to provide stable government in co-operation with other parties on an issue-by-issue basis. That deal crumbled when the New Democrats walked out on the coalition, but I fail to see how the Conservatives can claim that anything less democratic or parliamentary is being proposed today.
Mark Wells, Edmonton
I resent the Alberta government and various groups within Alberta using the term Western Canada to apply to all of Canada west of the Ontario-Manitoba border. It's dishonest rhetoric. As a citizen and taxpayer of Canada, I support the majority will of the members of the Canadian Parliament in determining what constitutes the government of Canada and who is Prime Minister. The Conservative Party coes not have the last word on who is Prime Minister.
Henry Greenhow, Vancouver
If I were Stephen Harper, I would pull a John A. Macdonald. Resign the government as Macdonald did in 1873. If the coalition works, the Tories will be seen as heroes, then put back into governance. If it fails, the Canadian public would then give the Tories another chance in majority territory this time. Either way, Harper wins!
Rory J. Koopmans, Edmonton
I beg and I pray that the Opposition leaders, the Governor General and more importantly, the people of Canada see this coalition for what it truly is … a coup! A democratic coup, but a coup none the less.
If the Opposition wants to bring the Conservatives down, then do so and call another election. Let the people of Canada decide who should be leading this country. It is what makes Canada a leader in the democratic world.
To allow this coalition to take over the leadership of this country is an insult to Canadians.
Call an election. Let the people decide again.
Julia Ruttan, Edmonton
The opposition parties are not betraying Canadians by replacing the Conservative governing party with a coalition government. All those MPs in Ottawa were voted in during the last election legally and they are our representatives. To refer the the Bloc as "the devil" or a party out to destroy Canada would be erroneous. Until a Prime Minister rolls the tanks into the province of Quebec to stop the Bloc from tearing our great nation apart, the Bloc are following the laws of our government and voicing the opinion of those they represent.
I ran for office during the last provincial election, served on federal electoral riding boards for both the Canadian Alliance and Conservative parties. Majority of the Canadians I talked to do not have a strong understanding of how our parliamentary system of government works and often confuse it with a presidential system of government like that is used in the United States. Our system of government allows for the opposition to form a coalition government legally without calling an election. To call another election now during these unstable economic times would be wasting more tax dollars.
Prime Minister Stephen Harper created this situation when his Conservative party broke the principles of their own fixed election date law and called the unnecessary 2008 election, which failed to get a majority government for his party. To make matters worse, having won a stronger minority government we now have a weaker Conservative government that is unable to work with the opposition parties and is now scrambling when confronted by the opposition.
What Canadians want is strong leadership to get us through these rough times we are now facing and unfortunately we have none.
Robert Leddy, Edmonton
What a disgrace to a democratic nation and what arrogance exhibited by the two other Canadian parties who have opted to sign a deal with a group whose sole entity is to to make Quebec an independent nation with separate status from Canada. I emphasize word "two" parties as the Bloc is neither national in scope and only has one agenda and that is for the province of Quebec.
The Bloc is the only winner in this charade and it will cost the rest of Canada dearly, as their investment in this venture is guaranteed to continue the flow of federal funds into their coffers at the expense of other provinces. Both Jack Layton and Stephane Dion should be ashamed of themselves and exemplify that they are not fit for leadership of any party.
The last election showed that Canadians are willing to give the Conservatives a chance and were buoyed by some of the action taken to lighten the Canadian tax burden.
There is no doubt this impending coalition with the devil will erode any gains the West has received as they will try to appease both Ontario and Quebec with total disregard for the rest of the country. After all, that is where they try to gain their electoral sponsorship and support during federal elections.
If I had my choice right now, I would ask that Alberta opt out and support them becoming a separate country rather than being held hostage by a group whose aim is to remove Quebec from Canada. Layton and Dion are not fit to run anything, let alone our country. The Bloc has only committed to support this for 18 months until it gets what it wants from these two clowns. What then?
D. Smith, St. Albert
I fully support this Liberal-NDP coalition. It is important to remember a few things that Albertans seem to be forgetting. Stephen Harper was appointed Prime Minster, not elected. He only became Prime Minister based on the number of seats his party got and the majority of Canadians still voted for someone other than Harper. On top of that, we need to quit throwing around the Bloc as a reason to fear the coalition. The Bloc is not a member and has no cabinet seats. It will be no different than any other minority government where the Bloc holds the balance of power. On top of that, by referring to them only as seperatists, we risk reigniting mostly exstinguished calls for Quebec speratism and alienating an entire province. Stephen Harper brought this upon himself by acting as though he had a majority. This pompus, sad excuse for a leader needs to be removed before he can destroy our country.
Travis Harder, Edmonton
Changing governments in this fashion will bring chaos in the short term. What will be the consequences for future elections? No minority government will ever have the least bit of stability if coalitions which depend on a separatist party are allowed to form government on a whim. Voters will never have confidence in election results. Think about it!
Nancy Strand, Edmonton
Some people are upset that taxpayers help fund political parties. If these parties were not funded, we would eventually have only one party to vote for. That would be a terrible thing and democracy, such as it is, would cease to exist. We would then become a country run by dictators so I am all in favour of the status quo, even if it means I have to help pay for it. It is called democracy and something I cherish. We need opposition in our government otherwise Stephen Harper, for whom only 35 per cent of Canadians voted, would be running the show in Canada for years to come, as there would be no opposition to vote for. I certainly do not want that, and I suspect the 65 per cent who did not vote Conservative do not either. What Harper was trying to do by removing funding was disgusting.
C. Kiely, Edmonton
I am an Albertan who has voted for over 20 years provincially and federally, but never for the Progressive Conservative, Reform, or Conservative parties. Rarely has my voice been represented in Alberta or Canadian governments. In this, I am like hundreds of thousands of Alberta voters who have never had their voices heard in government.
I am absolutely delighted that the Liberal, NDP, and Bloc voters, who have been the clear majority for years on the federal scene, may finally have a Canadian government who speaks for them, who proposes thoughtful responses to current challenges, and who fosters a productive and collaborative parliament.
Stephen Harper's autocratic and hyper-partisan position has been and is incredibly shortsighted and destructive.
The current coalition solution forged by the Liberals, New Democrats, and Bloc Quebecois has my full and vocal support.
Maryanne Wynne, Edmonton
Même dans l'Ouest les conservateurs ne font pas l'unanimité...
En fait Monsieur Harper se conduit comme le chef du parti conservateur et non comme un premier ministre qui doit représenter tous ses citoyens même ceux qui n'ont pas voté pour lui.
Et nos journalistes la plupart pourtant fédéralistes ne parlent pas trop des gens de l'Ouest qui sont aussi anti Harper comme si on aimait encourager la colere autant la notre que celle des autres.
Comment le parti conservateur prefere propager la haine que de reconnaitre ses erreurs....
En page principale de leur site internet
Parizeau appuie la coalition
03 décembre 2008
Parizeau est sur le point d’avoir le gouvernement fédéral faible, instable et désorienté dont il a toujours rêvé. Maintenant plus que jamais, nous devons tous faire preuve de leadership pour le Canada.
Il est de plus en plus clair que Stéphane Dion et Jack Layton ont mis leurs principes de côté en signant un pacte souverainiste avec le Bloc Québécois – un pacte maintenant béni par le pur et dur Jacques Parizeau, un ancien premier ministre péquiste.
Les souverainistes convaincus comme Jacques Parizeau n’ont qu’un seul objectif : la mise en place d’un gouvernement fédéral faible, instable et désorienté qui sera toujours incapable d’agir dans l’intérêt national.
Grâce à Stéphane Dion et à Jack Layton, Jacques Parizeau est sur le point d’avoir le gouvernement fédéral faible, instable et désorienté dont il a toujours rêvé – sans même obtenir un mandat démocratique de la population canadienne.
LE RÊVE DE PARIZEAU
« Un gouvernement plus faible à Ottawa fait éminemment mon affaire. Les souverainistes n'ont pas intérêt à ce qu'un grand nombre de gens regardent encore Ottawa comme un gouvernement stable, sérieux. Il faut que l'image projetée soit celle d'un gouvernement faible, désorienté, et qui va l'être plus encore dans l'avenir. Ça c'est parfait. » -- Le Soleil, 19 janvier 1991
LA RÉALITÉ (ÉMERGENTE) DE PARIZEAU
« L’ancien premier ministre Jacques Parizeau a applaudi sans réserve la récente ‘’victoire impressionnante’’ de Gilles Duceppe et du Bloc Québécois, qui vont former un gouvernement de coalition à Ottawa. » -- Le Journal de Montreal, 3 décembre 2008
AGISSEZ
Les Canadiens veulent un gouvernement fédéral efficace, qui gouverne dans l’intérêt de tous les citoyens. Ils ne veulent pas que leur gouvernement fédéral soit déstabilisé par des souverainistes qui ne visent qu’un objectif : la destruction du Canada.
Stéphane Dion et Jack Layton ont fait leur choix. Il est temps que nous fassions le nôtre. Maintenant plus que jamais, nous devons tous nous unir et faire preuve de leadership pour le Canada. Il ne peut y avoir de pacte souverainiste sans le consentement de la population canadienne.
Ca tellement mais tellement pas rapport
En page principale de leur site internet
Parizeau appuie la coalition
03 décembre 2008
Parizeau est sur le point d’avoir le gouvernement fédéral faible, instable et désorienté dont il a toujours rêvé. Maintenant plus que jamais, nous devons tous faire preuve de leadership pour le Canada.
Il est de plus en plus clair que Stéphane Dion et Jack Layton ont mis leurs principes de côté en signant un pacte souverainiste avec le Bloc Québécois – un pacte maintenant béni par le pur et dur Jacques Parizeau, un ancien premier ministre péquiste.
Les souverainistes convaincus comme Jacques Parizeau n’ont qu’un seul objectif : la mise en place d’un gouvernement fédéral faible, instable et désorienté qui sera toujours incapable d’agir dans l’intérêt national.
Grâce à Stéphane Dion et à Jack Layton, Jacques Parizeau est sur le point d’avoir le gouvernement fédéral faible, instable et désorienté dont il a toujours rêvé – sans même obtenir un mandat démocratique de la population canadienne.
LE RÊVE DE PARIZEAU
« Un gouvernement plus faible à Ottawa fait éminemment mon affaire. Les souverainistes n'ont pas intérêt à ce qu'un grand nombre de gens regardent encore Ottawa comme un gouvernement stable, sérieux. Il faut que l'image projetée soit celle d'un gouvernement faible, désorienté, et qui va l'être plus encore dans l'avenir. Ça c'est parfait. » -- Le Soleil, 19 janvier 1991
LA RÉALITÉ (ÉMERGENTE) DE PARIZEAU
« L’ancien premier ministre Jacques Parizeau a applaudi sans réserve la récente ‘’victoire impressionnante’’ de Gilles Duceppe et du Bloc Québécois, qui vont former un gouvernement de coalition à Ottawa. » -- Le Journal de Montreal, 3 décembre 2008
AGISSEZ
Les Canadiens veulent un gouvernement fédéral efficace, qui gouverne dans l’intérêt de tous les citoyens. Ils ne veulent pas que leur gouvernement fédéral soit déstabilisé par des souverainistes qui ne visent qu’un objectif : la destruction du Canada.
Stéphane Dion et Jack Layton ont fait leur choix. Il est temps que nous fassions le nôtre. Maintenant plus que jamais, nous devons tous nous unir et faire preuve de leadership pour le Canada. Il ne peut y avoir de pacte souverainiste sans le consentement de la population canadienne.
Ca tellement mais tellement pas rapport
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panda
bobépine a écrit
L'Ouest serait ben content itou de ca je pense
Les séparatistes ne sont pas seulement au Québec....y en a aussi dans l'Ouest....Harper a tendance a l'oublié
C'est que quand les Albertains deviennent séparatistes, ils ont raison eu les pauvres... Pas leur faute, sont donc tannés des méchants Québécois
L'Ouest serait ben content itou de ca je pense
Les séparatistes ne sont pas seulement au Québec....y en a aussi dans l'Ouest....Harper a tendance a l'oublié
C'est que quand les Albertains deviennent séparatistes, ils ont raison eu les pauvres... Pas leur faute, sont donc tannés des méchants Québécois
Catastrophe technique chez les libéraux
Tristan Péloquin
La Presse
Les libéraux ont éprouvé de lourds problèmes techniques et logistiques dans leur réplique télévisée à l'allocution de Stephen Harper.
Le discours préenregistré du chef libéral, Stéphane Dion, devait en principe être diffusé une minute après l'adresse à la nation de Stephen Harper. Or, les téléspectateurs des réseaux de télévision francophones ont dû attendre plusieurs minutes supplémentaires avant que l'enregistrement soit diffusé. Pire?: c'est un Stéphane Dion hors foyer, dont le teint tirait anormalement sur le rouge, qui est apparu en ondes. Sa réplique a commencé sans le moindre préambule. L'allocution du chef libéral commençait directement par une déclaration sur?«l'économie canadienne».
Vers la fin de son discours, le chef libéral était cadré si serré qu'on ne lui voyait même plus le cou.
Les conservateurs n'ont pas tardé à faire leurs choux gras des déboires techniques de l'opposition. «Leur cassette est arrivée en retard et elle était mal faite. Ça nous donne une idée du genre de coalition que ça peut donner», a nargué le ministre du Revenu national, Jean-Pierre Blackburn.
Selon l'entente conclue avec Radio-Canada, le PLC devait lui-même apporter la cassette au siège social montréalais de la société d'État, boulevard René-Lévesque. ?«Les gens du Parti libéral nous ont apporté la cassette en retard», a indiqué la porte-parole de Radio-Canada, Guylaine O'Farrell.
«Nous avons diffusé la cassette intégralement. Il n'y avait pas d'introduction. Ça commençait directement par la phrase «?l'économie canadienne», a-t-elle précisé.
Selon Mme O'Farrell, les techniciens de Radio-Canada ont tenté du mieux qu'ils ont pu de corriger la couleur de l'image. «Nous avons tout fait ce qui était possible pour l'améliorer. Mais lorsque la qualité est mauvaise à l'origine, il n'y a pas grand-chose qu'on puisse faire.»
La cassette du Parti libéral a aussi été livrée en retard aux réseaux anglophones CTV et CBC. Les techniciens l'attendaient à 18?h?20?; elle leur a été donnée à 19?h?15. Selon La Presse Canadienne, les versions francophone et anglophone de la réplique de M. Dion se trouvaient sur la même cassette, ce qui a forcé les équipes techniques à faire des copies à la hâte.
«On leur donne du temps d'antenne précieux, et ils n'arrivent même pas à respecter les délais», a commenté en ondes le chef des nouvelles de CTV, Lloyd Robertson. «On dirait que ça a été filmé avec un téléphone cellulaire», a pour sa part blagué le chef d'antenne de CBC, Peter Mansbridge.
L'imbroglio a provoqué un certain malaise parmi les troupes libérales. «Stéphane Dion avait l'air du chef de l'opposition du Zimbabwe», a dit, sous le couvert de l'anonymat, un libéral furieux.
Dans un billet intitulé «The Tape Delay», le blogueur libéral Warren Kinsella, ardent partisan de Michael Ignatieff, a quant à lui qualifié l'affaire de «pathétique». «?Quelqu'un devrait être congédié. Point final.»
Au moment de mettre sous presse, le Parti libéral n'avait toujours pas donné d'explications à La Presse au sujet de ces problèmes techniques. «Ce qui compte, c'est le message», s'est contenté de déclarer le porte-parole de M. Dion, Mark Dunn.
M. Dion m'avait plutot l'air d'un gars qui revient d'une grosse brosse avec Parizeau.
Tristan Péloquin
La Presse
Les libéraux ont éprouvé de lourds problèmes techniques et logistiques dans leur réplique télévisée à l'allocution de Stephen Harper.
Le discours préenregistré du chef libéral, Stéphane Dion, devait en principe être diffusé une minute après l'adresse à la nation de Stephen Harper. Or, les téléspectateurs des réseaux de télévision francophones ont dû attendre plusieurs minutes supplémentaires avant que l'enregistrement soit diffusé. Pire?: c'est un Stéphane Dion hors foyer, dont le teint tirait anormalement sur le rouge, qui est apparu en ondes. Sa réplique a commencé sans le moindre préambule. L'allocution du chef libéral commençait directement par une déclaration sur?«l'économie canadienne».
Vers la fin de son discours, le chef libéral était cadré si serré qu'on ne lui voyait même plus le cou.
Les conservateurs n'ont pas tardé à faire leurs choux gras des déboires techniques de l'opposition. «Leur cassette est arrivée en retard et elle était mal faite. Ça nous donne une idée du genre de coalition que ça peut donner», a nargué le ministre du Revenu national, Jean-Pierre Blackburn.
Selon l'entente conclue avec Radio-Canada, le PLC devait lui-même apporter la cassette au siège social montréalais de la société d'État, boulevard René-Lévesque. ?«Les gens du Parti libéral nous ont apporté la cassette en retard», a indiqué la porte-parole de Radio-Canada, Guylaine O'Farrell.
«Nous avons diffusé la cassette intégralement. Il n'y avait pas d'introduction. Ça commençait directement par la phrase «?l'économie canadienne», a-t-elle précisé.
Selon Mme O'Farrell, les techniciens de Radio-Canada ont tenté du mieux qu'ils ont pu de corriger la couleur de l'image. «Nous avons tout fait ce qui était possible pour l'améliorer. Mais lorsque la qualité est mauvaise à l'origine, il n'y a pas grand-chose qu'on puisse faire.»
La cassette du Parti libéral a aussi été livrée en retard aux réseaux anglophones CTV et CBC. Les techniciens l'attendaient à 18?h?20?; elle leur a été donnée à 19?h?15. Selon La Presse Canadienne, les versions francophone et anglophone de la réplique de M. Dion se trouvaient sur la même cassette, ce qui a forcé les équipes techniques à faire des copies à la hâte.
«On leur donne du temps d'antenne précieux, et ils n'arrivent même pas à respecter les délais», a commenté en ondes le chef des nouvelles de CTV, Lloyd Robertson. «On dirait que ça a été filmé avec un téléphone cellulaire», a pour sa part blagué le chef d'antenne de CBC, Peter Mansbridge.
L'imbroglio a provoqué un certain malaise parmi les troupes libérales. «Stéphane Dion avait l'air du chef de l'opposition du Zimbabwe», a dit, sous le couvert de l'anonymat, un libéral furieux.
Dans un billet intitulé «The Tape Delay», le blogueur libéral Warren Kinsella, ardent partisan de Michael Ignatieff, a quant à lui qualifié l'affaire de «pathétique». «?Quelqu'un devrait être congédié. Point final.»
Au moment de mettre sous presse, le Parti libéral n'avait toujours pas donné d'explications à La Presse au sujet de ces problèmes techniques. «Ce qui compte, c'est le message», s'est contenté de déclarer le porte-parole de M. Dion, Mark Dunn.
M. Dion m'avait plutot l'air d'un gars qui revient d'une grosse brosse avec Parizeau.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
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Spirullette
- Immortel du Domaine
- Messages : 14815
- Inscription : ven. avr. 04, 2003 1:00 am
Je trouve que le discours à la nation d'Harper était totalement inutile... Il n'a rien dit de nouveau, a répété encore une fois tout ce qui avait dit depuis quelques jours. Bon le ton était un peu plus contrôlé qu'à la Chambre... Aucune excuse à la nation pour ses actions que de l'arrogance... Je me demande pourquoi il a fait ce discours?
