Émission du 28 Février
Modérateur : Elise-Gisèle
Ayoye
par Bobépine
Un oiseau survola Le Loft avant de venir tournoyer au-dessus de la tête de Etienne. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Sans comprendre, il fut face à la porte.
Il chercha alors ses clefs, mais s'aperçut que sa poche était vide. Il réalisa alors que celle-ci était percée. Il se frappa le front: comment allait-il entrer chez lui? Après avoir passé en revue les différentes possibilités, il décida de rentrer par la fenêtre entrouverte. Il jeta un coup d'oeil rapide alentour, passa une jambe, puis l'autre, et se retrouva dans la cuisine. Soudain, la lumière s'alluma...
- C'est toi? Que fais-tu là? Pourquoi tu n'as pas sonné?
Lysandre était là, debout sur le pas de la porte de la cuisine, et tenait dressée au-dessus d'elle une poêle à frire.
- Et toi? Répondit Etienne. Je ne pouvais pas savoir que tu étais là!
Le visage de Lysandre se radoucit. Elle posa la poêle et sourit:
- Je n'avais pas de travail, aujourd'hui.
Elle était germaine. Ses yeux, sa bouche, tout s'éclairait chez elle.
- Viens, dit-elle.
Etienne la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Lysandre.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise.
Il ferma les yeux, et bailla.
- Viens sur mes genoux, dit-il à Lysandre. Je vais te raconter quelque chose.
Celle-ci obtempera, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:
- Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!
- Ah oui? Fit Etienne. Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.
- J'aimerais bien voir ça!
- Viens, je vais te le dire en secret... dit-il.
Mais Lysandre, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour.
- Je t'aime, dit Etienne.
- Je t'aime aussi, dit Lysandre.
Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je n'ai jamais aimé une femme autant que toi. Car les autres étaient des femmes ordinaires.
- Il en est de même pour moi, mon chéri, déclara Lysandre. Personne ne pourra remplacer ton si Drabe sourire. Tu es unique, grâce à plein de petites choses. Personne n'a ta démarche, Personne n'a tes cheveux. Personne n'imite aussi bien que toi le cri du escargot. Personne ne connait l'histoire de Le Loft aussi bien que toi. Personne à part toi ne m'a jamais dit que j'étais pie. Bref, personne à part toi ne mérite d'être dans mon coeur.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Lysandre pour saisir le bras de Etienne et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Picasso, ou comme ''Silence'' de Inconnu. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Etienne ferma les yeux et eut l'impression de parler en haut d'un cactus. Et soudain tout s'arrêta.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Toute la nuit, ils restèrent enlacés, à parler, ou à s'embrasser.
- Je t'ai déjà parlé de JF? Demanda Etienne.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... plate!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!
Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux. --Message edité par bobépine le 2006-02-28 21:41:25--
par Bobépine
Un oiseau survola Le Loft avant de venir tournoyer au-dessus de la tête de Etienne. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Sans comprendre, il fut face à la porte.
Il chercha alors ses clefs, mais s'aperçut que sa poche était vide. Il réalisa alors que celle-ci était percée. Il se frappa le front: comment allait-il entrer chez lui? Après avoir passé en revue les différentes possibilités, il décida de rentrer par la fenêtre entrouverte. Il jeta un coup d'oeil rapide alentour, passa une jambe, puis l'autre, et se retrouva dans la cuisine. Soudain, la lumière s'alluma...
- C'est toi? Que fais-tu là? Pourquoi tu n'as pas sonné?
Lysandre était là, debout sur le pas de la porte de la cuisine, et tenait dressée au-dessus d'elle une poêle à frire.
- Et toi? Répondit Etienne. Je ne pouvais pas savoir que tu étais là!
Le visage de Lysandre se radoucit. Elle posa la poêle et sourit:
- Je n'avais pas de travail, aujourd'hui.
Elle était germaine. Ses yeux, sa bouche, tout s'éclairait chez elle.
- Viens, dit-elle.
Etienne la suivit jusqu'au salon.
- Assieds-toi, fit Lysandre.
Il se laissa tomber dans un fauteuil et poussa un soupir d'aise.
Il ferma les yeux, et bailla.
- Viens sur mes genoux, dit-il à Lysandre. Je vais te raconter quelque chose.
Celle-ci obtempera, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:
- Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!
- Ah oui? Fit Etienne. Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.
- J'aimerais bien voir ça!
- Viens, je vais te le dire en secret... dit-il.
Mais Lysandre, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour.
- Je t'aime, dit Etienne.
- Je t'aime aussi, dit Lysandre.
Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je n'ai jamais aimé une femme autant que toi. Car les autres étaient des femmes ordinaires.
- Il en est de même pour moi, mon chéri, déclara Lysandre. Personne ne pourra remplacer ton si Drabe sourire. Tu es unique, grâce à plein de petites choses. Personne n'a ta démarche, Personne n'a tes cheveux. Personne n'imite aussi bien que toi le cri du escargot. Personne ne connait l'histoire de Le Loft aussi bien que toi. Personne à part toi ne m'a jamais dit que j'étais pie. Bref, personne à part toi ne mérite d'être dans mon coeur.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Lysandre pour saisir le bras de Etienne et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Picasso, ou comme ''Silence'' de Inconnu. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Etienne ferma les yeux et eut l'impression de parler en haut d'un cactus. Et soudain tout s'arrêta.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Toute la nuit, ils restèrent enlacés, à parler, ou à s'embrasser.
- Je t'ai déjà parlé de JF? Demanda Etienne.
- Non.
- Il m'a dit un jour que je ne pourrais jamais séduire qui que ce soit, même une folle.
- Il ne faut pas écouter ce genre d'idioties... comment pouvait-il te dire ça, à toi, qui es si... plate!
- Tu ne le connais pas. Sa bêtise dépasse l'entendement.
- Je veux bien te croire!
Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux. --Message edité par bobépine le 2006-02-28 21:41:25--

C'est bobépine ou bépine SVP

Annouk a écrit
J'ai du talent aussi
Lysandre Et Etienne
par annouk
Québec n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Étienne. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte.
Il chercha alors ses clefs, mais s'aperçut que sa poche était vide. Il réalisa alors que celle-ci était percée. Il se frappa le front: comment allait-il entrer chez lui? Après avoir passé en revue les différentes possibilités, il décida de rentrer par la fenêtre entrouverte. Il jeta un coup d'oeil rapide alentour, passa une jambe, puis l'autre, et se retrouva dans la cuisine. Soudain, la lumière s'alluma...
- C'est toi? Que fais-tu là? Pourquoi tu n'as pas sonné?
Lysandre était là, debout sur le pas de la porte de la cuisine, et tenait dressée au-dessus d'elle une poêle à frire.
- Et toi? Répondit Étienne. Je ne pouvais pas savoir que tu étais là!
Le visage de Lysandre se radoucit. Elle posa la poêle et sourit:
- Je n'avais pas de travail, aujourd'hui.
Elle était diabolique. Ses yeux, sa bouche, tout s'éclairait chez elle.
- Viens, dit-elle.
Étienne pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Mais soudain, Lysandre se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Étienne sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Lysandre se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué...
- Je t'aime, dit Étienne.
- Je t'aime aussi, dit Lysandre.
Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.
- Depuis déjà trois semaines que ton sourire illumine mes rêves, je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Lysandre.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus déterminée que je n'ai jamais connue! La plus déterminée de tout Québec! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si mou...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce lion, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Étienne, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Lysandre...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un saule pleureur, en train de jouir à l'air libre. Près d'eux, Nicolas Ciccone chantait ''J't'aime Tout Court'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Étienne fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Picasso, Lysandre réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Étienne rouvrit les yeux.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Étienne.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop guenille pour que je te quitte, répondait Lysandre. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Mathieu. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.
Sti même idée...mais j'aime mieux ma version
J'ai du talent aussi
Lysandre Et Etienne
par annouk
Québec n'avait jamais été aussi belle aux yeux de Étienne. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte.
Il chercha alors ses clefs, mais s'aperçut que sa poche était vide. Il réalisa alors que celle-ci était percée. Il se frappa le front: comment allait-il entrer chez lui? Après avoir passé en revue les différentes possibilités, il décida de rentrer par la fenêtre entrouverte. Il jeta un coup d'oeil rapide alentour, passa une jambe, puis l'autre, et se retrouva dans la cuisine. Soudain, la lumière s'alluma...
- C'est toi? Que fais-tu là? Pourquoi tu n'as pas sonné?
Lysandre était là, debout sur le pas de la porte de la cuisine, et tenait dressée au-dessus d'elle une poêle à frire.
- Et toi? Répondit Étienne. Je ne pouvais pas savoir que tu étais là!
Le visage de Lysandre se radoucit. Elle posa la poêle et sourit:
- Je n'avais pas de travail, aujourd'hui.
Elle était diabolique. Ses yeux, sa bouche, tout s'éclairait chez elle.
- Viens, dit-elle.
Étienne pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Mais soudain, Lysandre se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Étienne sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Lysandre se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué...
- Je t'aime, dit Étienne.
- Je t'aime aussi, dit Lysandre.
Cette phrase, ils se l'étaient répétée des milliers de fois. Mais jamais elle n'avait perdu de son sens.
- Depuis déjà trois semaines que ton sourire illumine mes rêves, je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Lysandre.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus déterminée que je n'ai jamais connue! La plus déterminée de tout Québec! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si mou...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce lion, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Étienne, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Lysandre...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un saule pleureur, en train de jouir à l'air libre. Près d'eux, Nicolas Ciccone chantait ''J't'aime Tout Court'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Étienne fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Picasso, Lysandre réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Étienne rouvrit les yeux.
- Marions-nous...
- Pourquoi n'est-ce pas déjà fait?
Ils rirent. Ils étaient heureux.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Étienne.
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop guenille pour que je te quitte, répondait Lysandre. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Mathieu. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.
Sti même idée...mais j'aime mieux ma version

C'est bobépine ou bépine SVP

Love Story
par Leelou
Les cheminées fumantes enveloppaient Québec d'une brume artificielle, et firent tousser Mathieu . Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte.
Il chercha alors ses clefs, mais s'aperçut que sa poche était vide. Il réalisa alors que celle-ci était percée. Il se frappa le front: comment allait-il entrer chez lui? Après avoir passé en revue les différentes possibilités, il décida de rentrer par la fenêtre entrouverte. Il jeta un coup d'oeil rapide alentour, passa une jambe, puis l'autre, et se retrouva dans la cuisine. Soudain, la lumière s'alluma...
- C'est toi? Que fais-tu là? Pourquoi tu n'as pas sonné?
Lysandre était là, debout sur le pas de la porte de la cuisine, et tenait dressée au-dessus d'elle une poêle à frire.
- Et toi? Répondit Mathieu . Je ne pouvais pas savoir que tu étais là!
Le visage de Lysandre se radoucit. Elle posa la poêle et sourit:
- Je n'avais pas de travail, aujourd'hui.
Elle était sensible . Ses yeux, sa bouche, tout s'éclairait chez elle.
- Viens, dit-elle.
Arrivé au salon, Mathieu s'assit dans un fauteuil et soupira.
Il ferma les yeux, et bailla.
- Viens sur mes genoux, dit-il à Lysandre. Je vais te raconter quelque chose.
Celle-ci obtempera, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:
- Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!
- Ah oui? Fit Mathieu . Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.
- J'aimerais bien voir ça!
- Viens, je vais te le dire en secret... dit-il.
Mais Lysandre, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour.
Une fois de plus, Mathieu prononça les trois mots magiques.
- Je t'aime.
Mais cette fois-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
- Depuis maintenant quatre longues années que nous nous sommes rencontrés, je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Lysandre.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus une femme en or que je n'ai jamais connue! La plus une femme en or de tout Québec! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si tendre ...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce lion , ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Mathieu , tu as beaucoup de qualités...
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Lysandre pour saisir le bras de Mathieu et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Picasso , ou comme ''Je Vais T Aimer '' de Mathieu . Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Mathieu ferma les yeux et eut l'impression de Aimer en haut d'un Peuplier . Et soudain tout s'arrêta.
- Lysandre...
- Oui?...
- Lysandre... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Mathieu .
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop gros nounours pour que je te quitte, répondait Lysandre. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Étienne. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.
par Leelou
Les cheminées fumantes enveloppaient Québec d'une brume artificielle, et firent tousser Mathieu . Celui-ci marchait, de plus en plus vite, gagné par l'excitation... Il leva la tête, rêveur, et observa les nuages... celui-ci ressemblait à une rose. Celui-là à un coeur... Plus vite qu'il ne l'aurait pensé, il se retrouva devant la porte.
Il chercha alors ses clefs, mais s'aperçut que sa poche était vide. Il réalisa alors que celle-ci était percée. Il se frappa le front: comment allait-il entrer chez lui? Après avoir passé en revue les différentes possibilités, il décida de rentrer par la fenêtre entrouverte. Il jeta un coup d'oeil rapide alentour, passa une jambe, puis l'autre, et se retrouva dans la cuisine. Soudain, la lumière s'alluma...
- C'est toi? Que fais-tu là? Pourquoi tu n'as pas sonné?
Lysandre était là, debout sur le pas de la porte de la cuisine, et tenait dressée au-dessus d'elle une poêle à frire.
- Et toi? Répondit Mathieu . Je ne pouvais pas savoir que tu étais là!
Le visage de Lysandre se radoucit. Elle posa la poêle et sourit:
- Je n'avais pas de travail, aujourd'hui.
Elle était sensible . Ses yeux, sa bouche, tout s'éclairait chez elle.
- Viens, dit-elle.
Arrivé au salon, Mathieu s'assit dans un fauteuil et soupira.
Il ferma les yeux, et bailla.
- Viens sur mes genoux, dit-il à Lysandre. Je vais te raconter quelque chose.
Celle-ci obtempera, et fit comme si elle ne se doutait de rien. Mais elle savait exactement ce qui allait se passer. D'ailleurs, elle ne fut pas sitôt près de lui qu'il la serra dans ses bras et se mit à l'embrasser fougueusement. Peu après, elle le regarda et lança:
- Tu es tellement prévisible que tu en es touchant!
- Ah oui? Fit Mathieu . Ça, c'est ce que tu crois. Car j'ai la preuve du contraire.
- J'aimerais bien voir ça!
- Viens, je vais te le dire en secret... dit-il.
Mais Lysandre, pas dupe, se jeta sur lui avant qu'il n'ait eu le temps de tenter quoi que ce soit, et l'embrassa à son tour.
Une fois de plus, Mathieu prononça les trois mots magiques.
- Je t'aime.
Mais cette fois-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
- Depuis maintenant quatre longues années que nous nous sommes rencontrés, je n'ai jamais eu d'autre amour que le tiens.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Lysandre.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus une femme en or que je n'ai jamais connue! La plus une femme en or de tout Québec! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si tendre ...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce lion , ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Mathieu , tu as beaucoup de qualités...
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Lysandre pour saisir le bras de Mathieu et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Picasso , ou comme ''Je Vais T Aimer '' de Mathieu . Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Mathieu ferma les yeux et eut l'impression de Aimer en haut d'un Peuplier . Et soudain tout s'arrêta.
- Lysandre...
- Oui?...
- Lysandre... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils restèrent ainsi toute la nuit à se regarder dans le blanc des yeux. Parfois, ils s'embrassaient. Parfois, ils parlaient.
- Ne me quitte jamais, disait Mathieu .
- Je ne te quitterai jamais. Tu es bien trop gros nounours pour que je te quitte, répondait Lysandre. Tu es l'opposé de la bêtise, de la brutalité... tu vaux bien plus que ce rustre de Étienne. Je ne sais pas comment j'ai fait pour lui trouver du charme.
Et ils s'embrassaient. Puis ils s'embrassaient une nouvelle fois.
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment.
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
Sabi a écritLes filles, vous êtes folles !
Et je l'assume
Je M'aime Mannn
par Bobépine
Un oiseau survola Bulle avant de venir tournoyer au-dessus de la tête de Alex Mann. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.
Rapidement, il sortit sa clef, et fébrilement, la fit tourner dans la serrure. Il n'avait pas abaissé la poignée que la porte s'ouvrit.
- J'ai pensé à toi toute la journée!
Soi-même se tenait là, devant lui. Sa bouche mannn se fondait en une sorte de croissant de lune mielleux, et ses yeux brillaient comme deux étoiles.
- Tu viens? Dit-elle.
Alex Mann pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Mais soudain, Soi-même se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Alex Mann sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Soi-même se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué...
Une fois de plus, Alex Mann prononça les trois mots magiques.
- Je t'aime.
Mais cette fois-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je voulais que tu saches que tu es mon premier amour. Le premier et le dernier.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi mannnn à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Alex Mann rougit. Il se sentait bien. Au loin, un perroquet criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Soi-même pour saisir le bras de Alex Mann et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Mannnnn, ou comme ''Yo Man'' de Sais Pas Qui. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Alex Mann ferma les yeux et eut l'impression de mann en haut d'un mannnn. Et soudain tout s'arrêta.
- Notre mariage a été la plus merveilleuse idée de notre vie, murmura Soi-même.
- Je suis bien d'accord avec toi...
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Soi-même, car hier matin, Mannn a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Alex Mann est plus mannn que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux. --Message edité par bobépine le 2006-02-28 21:52:51--
Et je l'assume
Je M'aime Mannn
par Bobépine
Un oiseau survola Bulle avant de venir tournoyer au-dessus de la tête de Alex Mann. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.
Rapidement, il sortit sa clef, et fébrilement, la fit tourner dans la serrure. Il n'avait pas abaissé la poignée que la porte s'ouvrit.
- J'ai pensé à toi toute la journée!
Soi-même se tenait là, devant lui. Sa bouche mannn se fondait en une sorte de croissant de lune mielleux, et ses yeux brillaient comme deux étoiles.
- Tu viens? Dit-elle.
Alex Mann pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Mais soudain, Soi-même se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Alex Mann sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Soi-même se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué...
Une fois de plus, Alex Mann prononça les trois mots magiques.
- Je t'aime.
Mais cette fois-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je voulais que tu saches que tu es mon premier amour. Le premier et le dernier.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi mannnn à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Alex Mann rougit. Il se sentait bien. Au loin, un perroquet criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Soi-même pour saisir le bras de Alex Mann et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Mannnnn, ou comme ''Yo Man'' de Sais Pas Qui. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Alex Mann ferma les yeux et eut l'impression de mann en haut d'un mannnn. Et soudain tout s'arrêta.
- Notre mariage a été la plus merveilleuse idée de notre vie, murmura Soi-même.
- Je suis bien d'accord avec toi...
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Soi-même, car hier matin, Mannn a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Alex Mann est plus mannn que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux. --Message edité par bobépine le 2006-02-28 21:52:51--

C'est bobépine ou bépine SVP

Sabi a écrit
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
`
Merci du fou rire ! (et je veux un roman dédicacé, promis ?)
Tu sais quoi ? Moi, je pense que leur relation est un peu comme dans les livres Arlequin. Sans le réaliser, ils se désirent, mais se tirent dans le dos, jusqu'à la toute fin, où ils vont tomber dans les bras l'un de l'autre, et faire beaucoup de petits bébés italiens.
Amen, je viens d'écrire mon premier roman Arlequin en une phrase.
`
Merci du fou rire ! (et je veux un roman dédicacé, promis ?)
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
bobépine a écrit
Et je l'assume
Je M'aime Mannn
par Bobépine
Un oiseau survola Bulle avant de venir tournoyer au-dessus de la tête de Alex Mann. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.
Rapidement, il sortit sa clef, et fébrilement, la fit tourner dans la serrure. Il n'avait pas abaissé la poignée que la porte s'ouvrit.
- J'ai pensé à toi toute la journée!
Soi-même se tenait là, devant lui. Sa bouche mannn se fondait en une sorte de croissant de lune mielleux, et ses yeux brillaient comme deux étoiles.
- Tu viens? Dit-elle.
Alex Mann pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Mais soudain, Soi-même se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Alex Mann sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Soi-même se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué...
Une fois de plus, Alex Mann prononça les trois mots magiques.
- Je t'aime.
Mais cette fois-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je voulais que tu saches que tu es mon premier amour. Le premier et le dernier.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi mannnn à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Alex Mann rougit. Il se sentait bien. Au loin, un perroquet criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Soi-même pour saisir le bras de Alex Mann et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Mannnnn, ou comme ''Yo Man'' de Sais Pas Qui. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Alex Mann ferma les yeux et eut l'impression de mann en haut d'un mannnn. Et soudain tout s'arrêta.
- Notre mariage a été la plus merveilleuse idée de notre vie, murmura Soi-même.
- Je suis bien d'accord avec toi...
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Soi-même, car hier matin, Mannn a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Alex Mann est plus mannn que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.
Et je l'assume
Je M'aime Mannn
par Bobépine
Un oiseau survola Bulle avant de venir tournoyer au-dessus de la tête de Alex Mann. Celui-ci se mit à chanter doucement, puis de plus en plus fort, mais cessa de peur d'être ridicule. Il traversa le zoo, et bizarrement sourit au lion qui le regardait d'un oeil morne. Sans trop savoir comment, il se retrouva devant la porte.
Rapidement, il sortit sa clef, et fébrilement, la fit tourner dans la serrure. Il n'avait pas abaissé la poignée que la porte s'ouvrit.
- J'ai pensé à toi toute la journée!
Soi-même se tenait là, devant lui. Sa bouche mannn se fondait en une sorte de croissant de lune mielleux, et ses yeux brillaient comme deux étoiles.
- Tu viens? Dit-elle.
Alex Mann pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Mais soudain, Soi-même se jeta sur lui. Sans qu'il n'ait eu le temps de réagir, elle l'embrassa fougueusement. Cela dura longtemps. Alex Mann sentait son coeur battre la mesure de cette musique silencieuse... Cela était doux, comme à chaque fois. Cela n'en finissait plus... jusqu'à ce que les lèvres de Soi-même se détachent, pour glisser dans un souffle imperceptible:
- Tu m'as manqué...
Une fois de plus, Alex Mann prononça les trois mots magiques.
- Je t'aime.
Mais cette fois-ci, cela sonnait autrement. C'était plus beau. C'était plus fort.
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je voulais que tu saches que tu es mon premier amour. Le premier et le dernier.
- Oh... c'est bien vrai?
- Oui, c'est vrai.
- Mon coeur... ce que tu me dis, c'est la chose la plus belle que jamais je n'ai entendue. Tu es aussi mannnn à l'intérieur qu'à l'extérieur.
Alex Mann rougit. Il se sentait bien. Au loin, un perroquet criait. Tout près, son coeur battait. Là-bas le jour passait... ici, tout était arrêté.
- Tu sais... j'ai aimé, tout à l'heure, lorsque nous nous sommes embrassés.
Il n'en fallut pas plus à Soi-même pour saisir le bras de Alex Mann et lui offrir de nouveau un baiser enflammé. Les deux êtres eurent cette fois l'impression d'être emportés dans une tempête. Sur un océan rouge sang. Leurs souffles s'échouaient invariablement dans les hurlements du vent, et les gifles des vagues leur faisaient fermer les yeux. C'était beau, c'était puissant, comme un tableau de Mannnnn, ou comme ''Yo Man'' de Sais Pas Qui. Tout rugissait autour d'eux, ils étaient enfermés dans une parenthèse qui les épargnait des griffes du cyclone, des griffes signant leur passage d'une trace de salive blanche et éphémère... tout tournait, des vertiges les prenaient, Alex Mann ferma les yeux et eut l'impression de mann en haut d'un mannnn. Et soudain tout s'arrêta.
- Notre mariage a été la plus merveilleuse idée de notre vie, murmura Soi-même.
- Je suis bien d'accord avec toi...
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Soi-même, car hier matin, Mannn a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Alex Mann est plus mannn que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Puis ils se promirent de s'aimer éternellement, et l'éternité commença pour eux.
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
praeteritum a écrit
***************************************************************
J'ai trouvé excellente l'idée de nous faire connaitre un volet de sa culture amérindienne.
Quand le chasseur indien se préparer a abattre un orignal, par exemple, il lui demande pardon.
La spiritualité des Amérindiens et leurs rapports avec la nature et les éléments gagnerait à etre plus connus.
Je suis totalement en accord avec toi, je crois que pour elle, c'était comme une cérémonie et j'ai bien aimé.
***************************************************************
J'ai trouvé excellente l'idée de nous faire connaitre un volet de sa culture amérindienne.
Quand le chasseur indien se préparer a abattre un orignal, par exemple, il lui demande pardon.
La spiritualité des Amérindiens et leurs rapports avec la nature et les éléments gagnerait à etre plus connus.
Je suis totalement en accord avec toi, je crois que pour elle, c'était comme une cérémonie et j'ai bien aimé.
bobépine a écrit
Love Story
par Bobépine
Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Mathieu embrumait Le Loft. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut face à la porte.
Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou, et entra.
- Elisabetta, tu es là? Appela-t-il.
Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.
- Donne ton manteau, je vais te débarrasser, dit-elle.
- Tu es si belle, répondit simplement Mathieu.
- Tu viens? Fit gaiement Elisabetta.
Mathieu pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Il leva la tête vers Elisabetta, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Mathieu, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Mathieu vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent. Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Elisabetta poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Mathieu en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je n'ai jamais aimé une femme autant que toi. Car les autres étaient des femmes ordinaires.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Elisabetta.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus gentille que je n'ai jamais connue! La plus gentille de tout Le Loft! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si comique...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce panthère, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Mathieu, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Elisabetta...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un saule, en train de aimer à l'air libre. Près d'eux, Plume Latraverse chantait ''Bobépine'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Mathieu fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Dali, Elisabetta réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Mathieu rouvrit les yeux.
- Elisabetta...
- Oui?...
- Elisabetta... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Elisabetta, car hier matin, Maxime a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Mathieu est plus drole que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment
Ho que c'est beau !!! *Soupir* Comme je m'installait confortablement pour connaître la suite, ça a coupé *long soupir*
À quand la suite ?
Merci de ta folie, t'es drôle au max toi !
Love Story
par Bobépine
Un grondement sourd à peine rythmé par les pas de Mathieu embrumait Le Loft. Celui-ci sourit, sans trop savoir pourquoi, à une vieille dame qu'il croisait. Apercevant la photographie d'un palmier, il se prit à rêver à un voyage, un long et beau voyage... aux côtés de celle qu'il rejoignait. Sans comprendre, il fut face à la porte.
Il sortit ses clefs, fit tourner le verrou, et entra.
- Elisabetta, tu es là? Appela-t-il.
Un bruit de pas précipités se fit entendre. Peu après, elle apparut dans le couloir.
- Donne ton manteau, je vais te débarrasser, dit-elle.
- Tu es si belle, répondit simplement Mathieu.
- Tu viens? Fit gaiement Elisabetta.
Mathieu pénétra dans la salle à manger avant de se laisser choir dans un fauteuil. Il leva la tête vers Elisabetta, et lui sourit.
- Tu vas bien?
- Embrasse-moi immédiatement. Ordonna-t-elle.
Mathieu, prit au dépourvu, voulut comprendre, mais son amie ne lui en laissa pas le temps puisqu'elle se jeta sur lui et l'embrassa langoureusement. Lorsqu'elle se redressa, Mathieu vit ses yeux qui brillaient. Alors, sans mot dire, il se pencha vers elle, et à son tour, posa ses lèvres sur les siennes. Pour la seconde fois de leur histoire, donc, ils s'embrassèrent. Plusieurs minutes s'écoulèrent. Puis Elisabetta poussa un soupir qui résonna dans la pièce comme une brise sur l'océan. Mathieu en profita pour articuler, le coeur battant:
- Je t'aime.
Son amie le regarda.
- C'est vrai?
- Cela fait déjà un mois... un mois que nous nous sommes vus... un mois que la foudre m'a frappé... et je n'ai jamais aimé une femme autant que toi. Car les autres étaient des femmes ordinaires.
- Voyons... tu vas me faire rougir, murmura Elisabetta.
- Pourquoi? S'écria-t-il. Tu es la personne la plus gentille que je n'ai jamais connue! La plus gentille de tout Le Loft! Les gens ne t'arrivent pas à la cheville.
- Mais et toi, tu es si comique...
- Cela n'est rien à côté de toi. Lorsque je t'embrasse, j'ai l'impression que je m'envole. Quand je te quitte, j'ai l'impression que mon coeur se fait piétiner par un féroce panthère, ou transpercer par mille lances empoisonnées.
- Mais toi aussi, Mathieu, tu as beaucoup de qualités...
- Ma puce... Elisabetta...
Mais il ne put continuer. Une fois de plus, leurs lèvres se rejoignirent. Ils déliraient presque tant la fièvre les gagnait... ils étaient en haut d'un saule, en train de aimer à l'air libre. Près d'eux, Plume Latraverse chantait ''Bobépine'' en les regardant. Comme frappé d'un coup de foudre, Mathieu fasciné eut à peine le temps d'apercevoir, dans un éclair, comme dans une toile de Dali, Elisabetta réincarnée en sirène... Ecume bouclée, vagues ébouriffées, ciel baigné de nuages qui font cligner la lune, commissures nacrées de lèvres de coquillages, le sourire émaillé de corail blanc, la voix lactée et les seins nus étoilés de mer... tout disparut lorsque Mathieu rouvrit les yeux.
- Elisabetta...
- Oui?...
- Elisabetta... veux-tu m'épouser?...
- Oui... fit-elle doucement.
Ils discutèrent toute la nuit. Ils parlaient de tout, de rien.
- Tu sais, c'est drôle, dit Elisabetta, car hier matin, Maxime a tenté de me séduire.
- Non, c'est vrai?
- Oui, et comme je lui disais que c'était toi, l'amour de ma vie, il m'a répondu que je perdais mon temps et que je serais bien plus heureuse avec lui.
- Ça ne m'étonne pas de lui, il a toujours essayé de gâcher ma vie privée.
- Heureusement je lui ai dit ceci: ''Le jour où tu seras un tant soit peu civilisé, mon petit bonhomme, tu apprendras que mon Mathieu est plus drole que n'importe qui. Et tu ne lui arrives pas à la cheville.''
Dans un sourire, un souffle, un battement de cils, ils se dirent ''je t'aime''. Ce sourire brille encore au fin fond des étoiles... ce souffle chante encore dans les hautes couches de l'atmosphère... ce battement de cils scintille toujours quelque part. Ils s'aiment
Ho que c'est beau !!! *Soupir* Comme je m'installait confortablement pour connaître la suite, ça a coupé *long soupir*
À quand la suite ?
Merci de ta folie, t'es drôle au max toi !
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
LeeLou a écrit
faut bien s amuser , pas tjrs obligé d argumenter sans cesse sur les qualités de lysandre
et en plus il se passe rien de bon dans le résumé heuuuuu dans le loft
C'est ça que je me dis.
Bon, j'vais aller voir mon homme astheure. J'vais toute lui raconter les romans que j'ai lus ici. Y va être tout mélangé, il comprendra plus rien, le pauvre.
faut bien s amuser , pas tjrs obligé d argumenter sans cesse sur les qualités de lysandre
et en plus il se passe rien de bon dans le résumé heuuuuu dans le loft
C'est ça que je me dis.
Bon, j'vais aller voir mon homme astheure. J'vais toute lui raconter les romans que j'ai lus ici. Y va être tout mélangé, il comprendra plus rien, le pauvre.
[color=#4040BF][i]Ça, c'est moi. J'ai prêté mon visage à Kate pour qu'elle puisse faire des films.[/i][/color]