Nouvelle Star M6 France [vidéos des castings] et commentaires
Modérateur : Elise-Gisèle
ils ont fé vote for the worst francais ... en gros ils invitent les gens a voté pour les candidats quils trouvent les plus nuls pour qu ils aillent le plus loin possible et que le programme soit sabordé ...
C'est cindy qui s y colle cette semaine :
http://lanouvelletare.over-blog.com/
C'est cindy qui s y colle cette semaine :
http://lanouvelletare.over-blog.com/
Candy31 a écritils ont fé vote for the worst francais ... en gros ils invitent les gens a voté pour les candidats quils trouvent les plus nuls pour qu ils aillent le plus loin possible et que le programme soit sabordé ...
C'est cindy qui s y colle cette semaine :
http://lanouvelletare.over-blog.com/
Il n'y a pas encore de vote...
La prochaine émission est encore le Théâtre où de 42 candidats on doit passer à 14 candidats et c'est encore le jury qui décide à 100% (payé 4000 euros par prime, il faut le souligner !!!).
C'est cindy qui s y colle cette semaine :
http://lanouvelletare.over-blog.com/
Il n'y a pas encore de vote...
La prochaine émission est encore le Théâtre où de 42 candidats on doit passer à 14 candidats et c'est encore le jury qui décide à 100% (payé 4000 euros par prime, il faut le souligner !!!).
https://kermit.forumactif.net/index.htm
le petit dernier de mes nénuphars...
Candy31 a écritils ont fé vote for the worst francais ... en gros ils invitent les gens a voté pour les candidats quils trouvent les plus nuls pour qu ils aillent le plus loin possible et que le programme soit sabordé ...
C'est cindy qui s y colle cette semaine :
http://lanouvelletare.over-blog.com/
blog de merde aucun interet meme pas marrant
C'est cindy qui s y colle cette semaine :
http://lanouvelletare.over-blog.com/
blog de merde aucun interet meme pas marrant
MARINA "AVEC LE TEMPS" Marina "La Mama"
kermit a écrit
Il n'y a pas encore de vote...
La prochaine émission est encore le Théâtre où de 42 candidats on doit passer à 14 candidats et c'est encore le jury qui décide à 100% (payé 4000 euros par prime, il faut le souligner !!!).
baaah sur les 14 on pourra voter pour 9 quand meme ! le jury en repechera 1 pour faire le top 10 ... encore une annee ou les 6 garcons vont avoir leur ticket ... cindy et dominique avec ... et apres c est la guerre pour les deux dernieres places : jespere que Beverley et Celia cofiniront ce top !
Il n'y a pas encore de vote...
La prochaine émission est encore le Théâtre où de 42 candidats on doit passer à 14 candidats et c'est encore le jury qui décide à 100% (payé 4000 euros par prime, il faut le souligner !!!).
baaah sur les 14 on pourra voter pour 9 quand meme ! le jury en repechera 1 pour faire le top 10 ... encore une annee ou les 6 garcons vont avoir leur ticket ... cindy et dominique avec ... et apres c est la guerre pour les deux dernieres places : jespere que Beverley et Celia cofiniront ce top !
-
Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Pourquoi Cindy fait tant rêver
TÉLÉRÉALITÉ Trop trash, «Loft Story» ne marche plus. Tout le contraire des émissions comme «Nouvelle star», qui font naître de vrais talents sur la scène musicale. L'exemple de Cindy, jeune et jolie Neuchâteloise déjà promue star dans l'Hexagone
BERTRAND MONNARD
18 mars 2006
Déjà vedette alors que la «Nouvelle star» n'a pas encore vraiment démarré! Comment le destin de Cindy ne ferait-il pas rêver tous ces jeunes avides de podium, de scène et de gloire médiatique?
Il y a trois semaines, elle n'était encore qu'une petite mordue de chanson presque inconnue, même chez elle à Neuchâtel. La voilà aujourd'hui trustant la une des journaux! Il a suffi d'un look, d'une voix aussi, mais surtout d'une phrase, celle de Dove Attia, un membre du jury, qui, la découvrant lors des éliminatoires, s'est aussitôt exclamé: «On a trouvé la nouvelle star, il n'y aura plus de suspense.»
«Elle montera très haut»
Cindy est partout. Dans les médias romands, tout heureux de l'aubaine, mais aussi en France. VSD la désigne comme l'une des favorites. Le dernier Gala lui consacre une pleine page, entre des sujets consacrés à Britney Spears et à Daniel Craig, le futur James Bond. Rien que cela. Le magazine people, l'un des plus lus de France, fait l'éloge de «sa voix puissante dans un corps de poupée» et raconte l'étonnant destin «de cette fille d'employée de maison et d'un peintre en bâtiment, qui montera très très haut dans l'aventure».
Mais pourquoi elle et pas les autres? «Elle a une histoire, un style à elle, loin des chanteurs trop formatés», dixit Gala.
Comme pour «Star Academy», ils ont été plus de 25 000 à travers toute la France à se présenter au casting de «La Nouvelle star».«Certains étaient là parce que, comme moi, ils rêvent de faire carrière dans la chanson, glissait Cindy. D'autres, c'est vrai, ne se présentent que pour se faire remarquer.»
Depuis «Loft Story», voilà une dizaine d'années, la téléréalité du tout et du n'importe quoi n'a cessé d'attirer des jeunes en quête de gloire aussi facile qu'éphémère. Faire des galipettes dans une piscine, se couvrir le visage avec des scorpions... Les candidats ont été prêts à tout pour se faire un nom. L'audience grimpait aussitôt.
«Plus peur de l'anonymat que du ridicule»
«Le ciné, les stars ont toujours fait rêver les plus jeunes. De nos jours, grâce à la téléréalité, ce rêve est devenu accessible. Il a ouvert les horizons de la célébrité. En une heure, le petit écran peut leur assurer la gloire», analyse le sociologue Jean-Claude Kaufmann. «Les jeunes d'aujourd'hui ont plus peur de l'anonymat que du ridicule», résume Gérard Ponson, le patron de la revue Entrevue , qui décrypte la télé.
Seulement voilà: cette téléréalité-là, celle du trash et du vide, symbolisée par Loana, semble avoir du plomb dans l'aile. Les exemples se multiplient. M6 a supprimé le mythique «Bachelor». Sur TF1, «1ère compagnie» et «La ferme 2» ont été des échecs. De même que «Mon incroyable fiancé», qui ne sera pas reconduit.
Plus symbolique encore: devant des audiences catastrophiques, la chaîne la plus regardée de France a décidé d'interrompre, le samedi soir, la diffusion de «Mon royaume», version moyenâgeuse de «Loft Story». «Aujourd'hui, les participants à cette tétéréalité-là se comportent comme des acteurs qui jouent avec les caméras. Les spectateurs n'y croient plus, poursuit Gérard Ponson. Depuis «Loft Story», nous avons consacré pas moins de 40 couvertures à des stars un peu bimbo de la téléréalité. Le numéro avec Loana en couverture avait, voilà quelques années, atteint un record de vente. Mais cette téléréalité-là ne marche plus.»
L'aventure paie... encore
En lançant son «Pékin Express» le dimanche soir, M6 a, en revanche, enregistré un joli succès, notamment chez les 15-24 ans. Partis de Moscou, dix duos d'anonymes doivent parcourir les 10 000 kilomètres qui les séparent de Pékin avec 1 euro par jour. Il y a de la débrouillardise, de l'aventure. Il se passe quelque chose. «C'est cette téléréalité-là qui représente l'avenir, analyse Béatrice Barton, la spécialiste de la TV romande, productrice du «Mayen» notamment. Les téléspectateurs ont envie d'apprendre quelque chose, de voir des gens qui ont du talent, comme dans la «Nouvelle star», par exemple.»
Cindy symbolise cette nouvelle génération d'héroïnes de la téléréalité. On peut reprocher beaucoup de choses à «Star Academy» ou à «Nouvelle star». Leur côté trop paillettes, des membres du jury trop mis en avant, des élus choisis parfois plus en fonction de leur stéréotype que de leur voix. Casting oblige, ne faut-il pas, à chaque fois ou presque, un Noir, une jolie blonde, une fille un peu rebondie?
Qu'importe! On n'y gagne pas sans avoir du talent. Cindy, outre son look, chante aussi bien le rap que le fado, origines portugaises obligent.
De toutes les autres émissions de téléréalité, seul Steevy, du premier «Loft», est resté sous les projecteurs: chaque soir, sur France 2, il joue les joyeux drilles dans l'émission «On a tout essayé» de Laurent Ruquier. Plus trace des Loana, des Marjolaine.
Aussi bien «Nouvelle star» que «Star Academy» ont, en revanche, donné naissance a de jolies carrières. Chimène Badi, celle qui l'an dernier a vendu le plus de disques en France, à égalité avec Florent Pagny, s'était fait connaître dans «Nouvelle star», sans la gagner. Idem pour Amel Bent, couronnée tout récemment «révélation de l'année» lors des Victoires de la musique. Sans oublier les Nolwenn, les Jenifer qui alignent les albums.
On peut même avoir démarré dans «Star Academy» et devenir une chanteuse reconnue par les puristes de la chanson: c'est le cas d'Olivia Ruiz, dont la qualité du dernier album a été saluée aussi bien par Le Monde que par Le Nouvel Observateur.
Pour Cindy, tous les espoirs sont donc permis.
© Le Matin Online
Leurs conseils...
BERTRAND MONNARD
18 mars 2006
Icaro: «Attention à la notoriété»
«Ce que je conseillerais à Cindy? C'est de ne pas se laisser submerger par la notoriété qui suit l'émission», raconte Icaro (21 ans), le Brésilien de Lausanne qui avait participé à la «Star Ac'» en 2003. «Moi qui étais un fêtard invétéré, je n'ai plus osé sortir en boîte pendant quatre mois tant j'étais sollicité, agressé parfois. De la folie pure.» Il ne regrette pourtant rien. «Avec l'équipe de la «Star Ac'», j'ai fait deux fois le tour du monde. Aujourd'hui, avec mon groupe, Blues Session, il m'arrive de jouer devant quatre personnes. Mais j'ai autant de plaisir que devant les 10 millions de TF1.»
Valérie: «Vis ce moment fou!»
«Que Cindy vive à fond ce moment fou. Ça vaut dix ans d'expérience dans la vie», conseille la Genevoise Valérie de Boccard (22 ans). Elle en avait 19 quand elle a participé à la finale de la «Star Ac'». «J'ai fait cinq prime times. Dans la rue, les gens me disaient «On adore ce que tu fais», alors qu'ils n'avaient retenu que mon image.» Cette gloire éphémère, elle n'en a jamais été dupe. «Aujourd'hui, je me suis coupé les cheveux et je les ai teints: plus personne ne me reconnaît.» Elle partage son temps entre ses études de droit et la musique, sa passion de toujours.
Pascal: «Ne te fais pas d'illusions»
«Que Cindy ne se fasse pas d'illusions: plus que pour votre talent, la chaîne vous utilise pour votre image nécessaire au casting», raconte Pascal Crisinel (29 ans), de Denezy (VD), finaliste de la «Nouvelle star 2004». «Moi, on me faisait passer jusqu'à la caricature pour le Noir incarnant la force tranquille et venant des montagnes suisses.» Il a vu des candidats sombrer dans la dépression après avoir été éliminés. «D'un coup, vous n'êtes plus rien.» Prof à mi-temps, il s'apprête à sortir son premier CD, soul et gospel. «La «Nouvelle star» m'a endurci, je me suis prouvé quelque chose à moi-même.»
© Le Matin Online
NB: Chimène a fait Popstar, pas Nouvelle Star...
Je pense qu'avoir été mise en avant si vite pourrait bien mettre des batons dans les roues à Cindy. A suivre...
TÉLÉRÉALITÉ Trop trash, «Loft Story» ne marche plus. Tout le contraire des émissions comme «Nouvelle star», qui font naître de vrais talents sur la scène musicale. L'exemple de Cindy, jeune et jolie Neuchâteloise déjà promue star dans l'Hexagone
BERTRAND MONNARD
18 mars 2006
Déjà vedette alors que la «Nouvelle star» n'a pas encore vraiment démarré! Comment le destin de Cindy ne ferait-il pas rêver tous ces jeunes avides de podium, de scène et de gloire médiatique?
Il y a trois semaines, elle n'était encore qu'une petite mordue de chanson presque inconnue, même chez elle à Neuchâtel. La voilà aujourd'hui trustant la une des journaux! Il a suffi d'un look, d'une voix aussi, mais surtout d'une phrase, celle de Dove Attia, un membre du jury, qui, la découvrant lors des éliminatoires, s'est aussitôt exclamé: «On a trouvé la nouvelle star, il n'y aura plus de suspense.»
«Elle montera très haut»
Cindy est partout. Dans les médias romands, tout heureux de l'aubaine, mais aussi en France. VSD la désigne comme l'une des favorites. Le dernier Gala lui consacre une pleine page, entre des sujets consacrés à Britney Spears et à Daniel Craig, le futur James Bond. Rien que cela. Le magazine people, l'un des plus lus de France, fait l'éloge de «sa voix puissante dans un corps de poupée» et raconte l'étonnant destin «de cette fille d'employée de maison et d'un peintre en bâtiment, qui montera très très haut dans l'aventure».
Mais pourquoi elle et pas les autres? «Elle a une histoire, un style à elle, loin des chanteurs trop formatés», dixit Gala.
Comme pour «Star Academy», ils ont été plus de 25 000 à travers toute la France à se présenter au casting de «La Nouvelle star».«Certains étaient là parce que, comme moi, ils rêvent de faire carrière dans la chanson, glissait Cindy. D'autres, c'est vrai, ne se présentent que pour se faire remarquer.»
Depuis «Loft Story», voilà une dizaine d'années, la téléréalité du tout et du n'importe quoi n'a cessé d'attirer des jeunes en quête de gloire aussi facile qu'éphémère. Faire des galipettes dans une piscine, se couvrir le visage avec des scorpions... Les candidats ont été prêts à tout pour se faire un nom. L'audience grimpait aussitôt.
«Plus peur de l'anonymat que du ridicule»
«Le ciné, les stars ont toujours fait rêver les plus jeunes. De nos jours, grâce à la téléréalité, ce rêve est devenu accessible. Il a ouvert les horizons de la célébrité. En une heure, le petit écran peut leur assurer la gloire», analyse le sociologue Jean-Claude Kaufmann. «Les jeunes d'aujourd'hui ont plus peur de l'anonymat que du ridicule», résume Gérard Ponson, le patron de la revue Entrevue , qui décrypte la télé.
Seulement voilà: cette téléréalité-là, celle du trash et du vide, symbolisée par Loana, semble avoir du plomb dans l'aile. Les exemples se multiplient. M6 a supprimé le mythique «Bachelor». Sur TF1, «1ère compagnie» et «La ferme 2» ont été des échecs. De même que «Mon incroyable fiancé», qui ne sera pas reconduit.
Plus symbolique encore: devant des audiences catastrophiques, la chaîne la plus regardée de France a décidé d'interrompre, le samedi soir, la diffusion de «Mon royaume», version moyenâgeuse de «Loft Story». «Aujourd'hui, les participants à cette tétéréalité-là se comportent comme des acteurs qui jouent avec les caméras. Les spectateurs n'y croient plus, poursuit Gérard Ponson. Depuis «Loft Story», nous avons consacré pas moins de 40 couvertures à des stars un peu bimbo de la téléréalité. Le numéro avec Loana en couverture avait, voilà quelques années, atteint un record de vente. Mais cette téléréalité-là ne marche plus.»
L'aventure paie... encore
En lançant son «Pékin Express» le dimanche soir, M6 a, en revanche, enregistré un joli succès, notamment chez les 15-24 ans. Partis de Moscou, dix duos d'anonymes doivent parcourir les 10 000 kilomètres qui les séparent de Pékin avec 1 euro par jour. Il y a de la débrouillardise, de l'aventure. Il se passe quelque chose. «C'est cette téléréalité-là qui représente l'avenir, analyse Béatrice Barton, la spécialiste de la TV romande, productrice du «Mayen» notamment. Les téléspectateurs ont envie d'apprendre quelque chose, de voir des gens qui ont du talent, comme dans la «Nouvelle star», par exemple.»
Cindy symbolise cette nouvelle génération d'héroïnes de la téléréalité. On peut reprocher beaucoup de choses à «Star Academy» ou à «Nouvelle star». Leur côté trop paillettes, des membres du jury trop mis en avant, des élus choisis parfois plus en fonction de leur stéréotype que de leur voix. Casting oblige, ne faut-il pas, à chaque fois ou presque, un Noir, une jolie blonde, une fille un peu rebondie?
Qu'importe! On n'y gagne pas sans avoir du talent. Cindy, outre son look, chante aussi bien le rap que le fado, origines portugaises obligent.
De toutes les autres émissions de téléréalité, seul Steevy, du premier «Loft», est resté sous les projecteurs: chaque soir, sur France 2, il joue les joyeux drilles dans l'émission «On a tout essayé» de Laurent Ruquier. Plus trace des Loana, des Marjolaine.
Aussi bien «Nouvelle star» que «Star Academy» ont, en revanche, donné naissance a de jolies carrières. Chimène Badi, celle qui l'an dernier a vendu le plus de disques en France, à égalité avec Florent Pagny, s'était fait connaître dans «Nouvelle star», sans la gagner. Idem pour Amel Bent, couronnée tout récemment «révélation de l'année» lors des Victoires de la musique. Sans oublier les Nolwenn, les Jenifer qui alignent les albums.
On peut même avoir démarré dans «Star Academy» et devenir une chanteuse reconnue par les puristes de la chanson: c'est le cas d'Olivia Ruiz, dont la qualité du dernier album a été saluée aussi bien par Le Monde que par Le Nouvel Observateur.
Pour Cindy, tous les espoirs sont donc permis.
© Le Matin Online
Leurs conseils...
BERTRAND MONNARD
18 mars 2006
Icaro: «Attention à la notoriété»
«Ce que je conseillerais à Cindy? C'est de ne pas se laisser submerger par la notoriété qui suit l'émission», raconte Icaro (21 ans), le Brésilien de Lausanne qui avait participé à la «Star Ac'» en 2003. «Moi qui étais un fêtard invétéré, je n'ai plus osé sortir en boîte pendant quatre mois tant j'étais sollicité, agressé parfois. De la folie pure.» Il ne regrette pourtant rien. «Avec l'équipe de la «Star Ac'», j'ai fait deux fois le tour du monde. Aujourd'hui, avec mon groupe, Blues Session, il m'arrive de jouer devant quatre personnes. Mais j'ai autant de plaisir que devant les 10 millions de TF1.»
Valérie: «Vis ce moment fou!»
«Que Cindy vive à fond ce moment fou. Ça vaut dix ans d'expérience dans la vie», conseille la Genevoise Valérie de Boccard (22 ans). Elle en avait 19 quand elle a participé à la finale de la «Star Ac'». «J'ai fait cinq prime times. Dans la rue, les gens me disaient «On adore ce que tu fais», alors qu'ils n'avaient retenu que mon image.» Cette gloire éphémère, elle n'en a jamais été dupe. «Aujourd'hui, je me suis coupé les cheveux et je les ai teints: plus personne ne me reconnaît.» Elle partage son temps entre ses études de droit et la musique, sa passion de toujours.
Pascal: «Ne te fais pas d'illusions»
«Que Cindy ne se fasse pas d'illusions: plus que pour votre talent, la chaîne vous utilise pour votre image nécessaire au casting», raconte Pascal Crisinel (29 ans), de Denezy (VD), finaliste de la «Nouvelle star 2004». «Moi, on me faisait passer jusqu'à la caricature pour le Noir incarnant la force tranquille et venant des montagnes suisses.» Il a vu des candidats sombrer dans la dépression après avoir été éliminés. «D'un coup, vous n'êtes plus rien.» Prof à mi-temps, il s'apprête à sortir son premier CD, soul et gospel. «La «Nouvelle star» m'a endurci, je me suis prouvé quelque chose à moi-même.»
© Le Matin Online
NB: Chimène a fait Popstar, pas Nouvelle Star...
Je pense qu'avoir été mise en avant si vite pourrait bien mettre des batons dans les roues à Cindy. A suivre...
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
-
Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Interview / André Manoukian, compositeur
« Pirater, c'est irresponsable »
Au lendemain du vote par l'Assemblée nationale du projet de loi réglementant les droits d'auteur sur le net, le compositeur André Manoukian applaudit les mesures de protection des artistes.
André Manoukian : « La crise est extrêmement sévère. »
(Photo Pascalito)
- Trouvez-vous que le malaise du monde de la musique est aussi profond qu'on le dit ?
- Oui. Des majors (grandes maisons de disques) il y en a de moins en moins en France - elles étaient une vingtaine, il y a vingt ans, seulement trois ou quatre aujourd'hui - et elles fusionnent toutes ! Souvent, les directeurs artistiques semblent plus préoccupés de savoir s'ils seront encore là dans trois semaines que concentrés sur le projet qu'on leur présente... La crise est extrêmement sévère. Du temps des fastes - car ce milieu était une véritable vache à lait - personne n'a anticipé sur l'irruption d'Internet ! Personne !
- Cette imprévoyance semble incroyable... Comment l'expliquez-vous ?
- Ces maisons étaient bercées par le confort d'une période tellement facile... Avec des marges énormes, des artistes qui vendaient plus de 500 000 albums, et des fonds de catalogues qui étaient de véritable rentes, elles ont cru que la prospérité durerait toujours. Elles n'ont rien vu venir... Et puis, comme pour un tsunami, quand elles ont vu arriver la vague, il était déjà trop tard. En plus, la France était déjà très en retard. Nous avons presque été les derniers à nous adapter à Internet dans la musique, alors qu'aux États-Unis, influencés par la mythologie des hackers, les mômes se sont mis à bidouiller très tôt. Et c'est aux États-Unis, d'ailleurs, que l'industrie du disque a commencé à réagir le plus fermement : des gamins pris en flagrant délit de piratage ont été envoyés en prison. C'est très violent, bien entendu, mais efficace : l'industrie du disque est repartie...
- En France, la loi votée dans la nuit de jeudi à vendredi prévoit désormais des sanctions pour le téléchargement sauvage, vous y êtes favorable ?
- Oui. Il faut être extrêmement sévère avec les pros du piratage. Plus qu'avec les gosses, c'est évident. Mais ces derniers doivent aussi comprendre qu'en piratant ils tuent le métier. Franchement, le téléchargement légal, c'est très bien : on peut écouter tous les morceaux qu'on veut pendant 30 secondes et si on veut la suite, ça ne coûte que 90 centimes d'euros. Autrement dit, on se promène librement dans une véritable encyclopédie musicale où on peut faire son marché pour pas cher. Ça me semble un compromis raisonnable.
«On revient à l'essentiel, aux fondamentaux»
- Mais certains artistes prétendent que seule la liberté totale sur le net peut permettre à de jeunes talents de s'épanouir...
- Pour un jeune artiste, la difficulté c'est de signer dans une maison de disques... Mais ça lui sert à quoi d'être diffusé gratuitement sur le net ? Le discours qui dénonce une loi liberticide parce qu'elle combat le piratage est un discours de beauf, démagogique et irresponsable. C'est scier la branche sur laquelle la musique est assise. La liberté de pirater à l'aise, c'est une liberté à deux balles. Si les mômes aiment la musique, on ne me fera pas croire qu'ils ne peuvent pas payer 90 centimes d'euros : ce n'est pas ça qui bridera leur curiosité ! Quand Jack Lang a sauvé la musique et le cinéma français, ce n'était pas avec de la gratuité mais avec des taxes sur la copie privée...
- Pour les jeunes artistes, ça n'a jamais été aussi difficile de percer ? Ou de se faire remarquer en tout cas...
- Ça n'a jamais été aussi facile de se faire connaître, au contraire. Avec la démocratisation des moyens de production, beaucoup d'amateurs peuvent aller jusqu'au bout du processus de fabrication qui, il n'y a pas si longtemps, nécessitait plusieurs jours de studio... Avec ça, ils peuvent aller voir les maisons de disques avec des maquettes sérieuses, montrer ce qu'ils savent faire...
- Est-ce que l'originalité est au rendez-vous pour autant ?
- Il y a un son assez formaté, c'est vrai, qui se dégage de 90 % de cette production prolifique. Mais, du coup, les maisons de disques ont tendance à faire signer les artistes qui proposent un son original. On revient à l'essentiel, aux fondamentaux : la qualité de la voix, la qualité de la musique, la qualité des textes. Et c'est très bien ! Les majors sont attirés par des gens qui viennent du vivier de la scène, et qui ont un monde... Regardez Anaïs avec sa simple guitare et sa pédale, elle a tapé dans l'oeil du public... et de tous les professionnels...
- Les Victoires de la musique 2006 vous semblent représentatifs de cette tendance là ?
- Oui. Camille, par exemple, elle a inventé des sons. Elle part du principe qu'elle va utiliser toutes les possibilité de sa voix. Elle concentre toute sa créativité sur une palette très personnelle. Ça tranche avec l'« ordi » qui vous propose des milliards de sons dans lesquels on finit par se perdre.
«Ce que j'aime, c'est découvrir des voix»
- Et Raphaël... Que vous inspire cette génération d'artistes au répertoire intimiste - on pourrait citer aussi Vincent Delerm ou Olivia Ruiz - et qui cartonnent ?
- Ils sont représentatifs du succès de ce que j'appelle « le partage du moi ». C'est le même phénomène, au fond, que celui de la télé-réalité... Avant, la star c'était un personnage inaccessible, objet de désir et de fascination, maintenant c'est quelqu'un auquel on peut s'identifier : il raconte le même genre de vie que la mienne sans se la péter avec un sourire sympa. Si, en plus, il est beau et un peu timide, comme Raphaël, alors...
- Quel intérêt un musicien aussi exigeant que vous trouve-t-il dans la Nouvelle Star ?
- Ce que j'aime, c'est découvrir des voix. Dans des castings ouverts à tous comme ceux de la Nouvelle Star, c'est un vivier infini. Presque vertigineux. Et le plaisir est sans fin. Le but de ces émissions, c'est de révéler des interprètes, et elles le font : sans la Nouvelle Star, Amel serait toujours à la Courneuve... Elle avait - elle a - une technique extraordinaire alors qu'elle n'a pas pris un cours de chant ! Mais, c'est vrai, ce qu'on demande aux candidats dans l'émission est surhumain : ils doivent être eux-mêmes et chanter des chansons qui leur sont imposées. Parfois ils se perdent dans un univers qui n'est pas le leur et s'écroulent, c'est tout le sel et la cruauté de ce genre de confrontation...
- Trouvez-vous que les maisons de disques savent exploiter tout le potentiel des prodiges que vous révélez ?
- Dans l'ensemble oui. Amel est en train de s'imposer comme une chanteuse de soul et de R'nB, le registre où elle excelle. Et elle continue de progresser puisqu'elle participe à la construction des mélodies et des textes. Steeve Estatof, lui, a pu faire l'album qu'il voulait... Bien sûr, il faut que l'artiste apporte quelque chose : Myriam a une très belle voix elle aussi mais elle donne moins d'elle-même et le résultat est moins convaincant...
Propos recueillis par Olivier Picard http://www.dna.fr/france/20060319_DNA008552.html
« Pirater, c'est irresponsable »
Au lendemain du vote par l'Assemblée nationale du projet de loi réglementant les droits d'auteur sur le net, le compositeur André Manoukian applaudit les mesures de protection des artistes.
André Manoukian : « La crise est extrêmement sévère. »
(Photo Pascalito)
- Trouvez-vous que le malaise du monde de la musique est aussi profond qu'on le dit ?
- Oui. Des majors (grandes maisons de disques) il y en a de moins en moins en France - elles étaient une vingtaine, il y a vingt ans, seulement trois ou quatre aujourd'hui - et elles fusionnent toutes ! Souvent, les directeurs artistiques semblent plus préoccupés de savoir s'ils seront encore là dans trois semaines que concentrés sur le projet qu'on leur présente... La crise est extrêmement sévère. Du temps des fastes - car ce milieu était une véritable vache à lait - personne n'a anticipé sur l'irruption d'Internet ! Personne !
- Cette imprévoyance semble incroyable... Comment l'expliquez-vous ?
- Ces maisons étaient bercées par le confort d'une période tellement facile... Avec des marges énormes, des artistes qui vendaient plus de 500 000 albums, et des fonds de catalogues qui étaient de véritable rentes, elles ont cru que la prospérité durerait toujours. Elles n'ont rien vu venir... Et puis, comme pour un tsunami, quand elles ont vu arriver la vague, il était déjà trop tard. En plus, la France était déjà très en retard. Nous avons presque été les derniers à nous adapter à Internet dans la musique, alors qu'aux États-Unis, influencés par la mythologie des hackers, les mômes se sont mis à bidouiller très tôt. Et c'est aux États-Unis, d'ailleurs, que l'industrie du disque a commencé à réagir le plus fermement : des gamins pris en flagrant délit de piratage ont été envoyés en prison. C'est très violent, bien entendu, mais efficace : l'industrie du disque est repartie...
- En France, la loi votée dans la nuit de jeudi à vendredi prévoit désormais des sanctions pour le téléchargement sauvage, vous y êtes favorable ?
- Oui. Il faut être extrêmement sévère avec les pros du piratage. Plus qu'avec les gosses, c'est évident. Mais ces derniers doivent aussi comprendre qu'en piratant ils tuent le métier. Franchement, le téléchargement légal, c'est très bien : on peut écouter tous les morceaux qu'on veut pendant 30 secondes et si on veut la suite, ça ne coûte que 90 centimes d'euros. Autrement dit, on se promène librement dans une véritable encyclopédie musicale où on peut faire son marché pour pas cher. Ça me semble un compromis raisonnable.
«On revient à l'essentiel, aux fondamentaux»
- Mais certains artistes prétendent que seule la liberté totale sur le net peut permettre à de jeunes talents de s'épanouir...
- Pour un jeune artiste, la difficulté c'est de signer dans une maison de disques... Mais ça lui sert à quoi d'être diffusé gratuitement sur le net ? Le discours qui dénonce une loi liberticide parce qu'elle combat le piratage est un discours de beauf, démagogique et irresponsable. C'est scier la branche sur laquelle la musique est assise. La liberté de pirater à l'aise, c'est une liberté à deux balles. Si les mômes aiment la musique, on ne me fera pas croire qu'ils ne peuvent pas payer 90 centimes d'euros : ce n'est pas ça qui bridera leur curiosité ! Quand Jack Lang a sauvé la musique et le cinéma français, ce n'était pas avec de la gratuité mais avec des taxes sur la copie privée...
- Pour les jeunes artistes, ça n'a jamais été aussi difficile de percer ? Ou de se faire remarquer en tout cas...
- Ça n'a jamais été aussi facile de se faire connaître, au contraire. Avec la démocratisation des moyens de production, beaucoup d'amateurs peuvent aller jusqu'au bout du processus de fabrication qui, il n'y a pas si longtemps, nécessitait plusieurs jours de studio... Avec ça, ils peuvent aller voir les maisons de disques avec des maquettes sérieuses, montrer ce qu'ils savent faire...
- Est-ce que l'originalité est au rendez-vous pour autant ?
- Il y a un son assez formaté, c'est vrai, qui se dégage de 90 % de cette production prolifique. Mais, du coup, les maisons de disques ont tendance à faire signer les artistes qui proposent un son original. On revient à l'essentiel, aux fondamentaux : la qualité de la voix, la qualité de la musique, la qualité des textes. Et c'est très bien ! Les majors sont attirés par des gens qui viennent du vivier de la scène, et qui ont un monde... Regardez Anaïs avec sa simple guitare et sa pédale, elle a tapé dans l'oeil du public... et de tous les professionnels...
- Les Victoires de la musique 2006 vous semblent représentatifs de cette tendance là ?
- Oui. Camille, par exemple, elle a inventé des sons. Elle part du principe qu'elle va utiliser toutes les possibilité de sa voix. Elle concentre toute sa créativité sur une palette très personnelle. Ça tranche avec l'« ordi » qui vous propose des milliards de sons dans lesquels on finit par se perdre.
«Ce que j'aime, c'est découvrir des voix»
- Et Raphaël... Que vous inspire cette génération d'artistes au répertoire intimiste - on pourrait citer aussi Vincent Delerm ou Olivia Ruiz - et qui cartonnent ?
- Ils sont représentatifs du succès de ce que j'appelle « le partage du moi ». C'est le même phénomène, au fond, que celui de la télé-réalité... Avant, la star c'était un personnage inaccessible, objet de désir et de fascination, maintenant c'est quelqu'un auquel on peut s'identifier : il raconte le même genre de vie que la mienne sans se la péter avec un sourire sympa. Si, en plus, il est beau et un peu timide, comme Raphaël, alors...
- Quel intérêt un musicien aussi exigeant que vous trouve-t-il dans la Nouvelle Star ?
- Ce que j'aime, c'est découvrir des voix. Dans des castings ouverts à tous comme ceux de la Nouvelle Star, c'est un vivier infini. Presque vertigineux. Et le plaisir est sans fin. Le but de ces émissions, c'est de révéler des interprètes, et elles le font : sans la Nouvelle Star, Amel serait toujours à la Courneuve... Elle avait - elle a - une technique extraordinaire alors qu'elle n'a pas pris un cours de chant ! Mais, c'est vrai, ce qu'on demande aux candidats dans l'émission est surhumain : ils doivent être eux-mêmes et chanter des chansons qui leur sont imposées. Parfois ils se perdent dans un univers qui n'est pas le leur et s'écroulent, c'est tout le sel et la cruauté de ce genre de confrontation...
- Trouvez-vous que les maisons de disques savent exploiter tout le potentiel des prodiges que vous révélez ?
- Dans l'ensemble oui. Amel est en train de s'imposer comme une chanteuse de soul et de R'nB, le registre où elle excelle. Et elle continue de progresser puisqu'elle participe à la construction des mélodies et des textes. Steeve Estatof, lui, a pu faire l'album qu'il voulait... Bien sûr, il faut que l'artiste apporte quelque chose : Myriam a une très belle voix elle aussi mais elle donne moins d'elle-même et le résultat est moins convaincant...
Propos recueillis par Olivier Picard http://www.dna.fr/france/20060319_DNA008552.html
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
-
Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Bon, j'espère que mercredi ce sera bon, et qu'on aura enfin les noms des sélectionnés!!! Franchement, je trouve que l'étape des castings (pour moi la moins intéressante) traîne en longueur cette année, j'a hâte qu'on arrive enfin au premier prime en direct à Baltard...
Les 14 finalistes selon ici Paris.
Agrandir:
http://img472.imageshack.us/my.php?imag ... is34wq.jpg
http://img466.imageshack.us/my.php?imag ... is44rn.jpg
Amel Bent dans le même magazine
Agrandir:
http://img395.imageshack.us/my.php?imag ... is58qw.jpg --Message edité par Slenderframe le 2006-03-20 03:32:28--
Les 14 finalistes selon ici Paris.
Agrandir:
http://img472.imageshack.us/my.php?imag ... is34wq.jpg
http://img466.imageshack.us/my.php?imag ... is44rn.jpg
Amel Bent dans le même magazine
Agrandir:
http://img395.imageshack.us/my.php?imag ... is58qw.jpg --Message edité par Slenderframe le 2006-03-20 03:32:28--
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
-
Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Marianne James : c'est la dernière pour la jury, c'est promis...
Agrandir:
http://img468.imageshack.us/my.php?imag ... tar1ko.jpg
Agrandir:
http://img468.imageshack.us/my.php?imag ... tar1ko.jpg
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
Slenderframe a écritInterview / André Manoukian, compositeur
« Pirater, c'est irresponsable »
Au lendemain du vote par l'Assemblée nationale du projet de loi réglementant les droits d'auteur sur le net, le compositeur André Manoukian applaudit les mesures de protection des artistes.
André Manoukian : « La crise est extrêmement sévère. »
(Photo Pascalito)
- Trouvez-vous que le malaise du monde de la musique est aussi profond qu'on le dit ?
- Oui. Des majors (grandes maisons de disques) il y en a de moins en moins en France - elles étaient une vingtaine, il y a vingt ans, seulement trois ou quatre aujourd'hui - et elles fusionnent toutes ! Souvent, les directeurs artistiques semblent plus préoccupés de savoir s'ils seront encore là dans trois semaines que concentrés sur le projet qu'on leur présente... La crise est extrêmement sévère. Du temps des fastes - car ce milieu était une véritable vache à lait - personne n'a anticipé sur l'irruption d'Internet ! Personne !
- Cette imprévoyance semble incroyable... Comment l'expliquez-vous ?
- Ces maisons étaient bercées par le confort d'une période tellement facile... Avec des marges énormes, des artistes qui vendaient plus de 500 000 albums, et des fonds de catalogues qui étaient de véritable rentes, elles ont cru que la prospérité durerait toujours. Elles n'ont rien vu venir... Et puis, comme pour un tsunami, quand elles ont vu arriver la vague, il était déjà trop tard. En plus, la France était déjà très en retard. Nous avons presque été les derniers à nous adapter à Internet dans la musique, alors qu'aux États-Unis, influencés par la mythologie des hackers, les mômes se sont mis à bidouiller très tôt. Et c'est aux États-Unis, d'ailleurs, que l'industrie du disque a commencé à réagir le plus fermement : des gamins pris en flagrant délit de piratage ont été envoyés en prison. C'est très violent, bien entendu, mais efficace : l'industrie du disque est repartie...
- En France, la loi votée dans la nuit de jeudi à vendredi prévoit désormais des sanctions pour le téléchargement sauvage, vous y êtes favorable ?
- Oui. Il faut être extrêmement sévère avec les pros du piratage. Plus qu'avec les gosses, c'est évident. Mais ces derniers doivent aussi comprendre qu'en piratant ils tuent le métier. Franchement, le téléchargement légal, c'est très bien : on peut écouter tous les morceaux qu'on veut pendant 30 secondes et si on veut la suite, ça ne coûte que 90 centimes d'euros. Autrement dit, on se promène librement dans une véritable encyclopédie musicale où on peut faire son marché pour pas cher. Ça me semble un compromis raisonnable.
«On revient à l'essentiel, aux fondamentaux»
- Mais certains artistes prétendent que seule la liberté totale sur le net peut permettre à de jeunes talents de s'épanouir...
- Pour un jeune artiste, la difficulté c'est de signer dans une maison de disques... Mais ça lui sert à quoi d'être diffusé gratuitement sur le net ? Le discours qui dénonce une loi liberticide parce qu'elle combat le piratage est un discours de beauf, démagogique et irresponsable. C'est scier la branche sur laquelle la musique est assise. La liberté de pirater à l'aise, c'est une liberté à deux balles. Si les mômes aiment la musique, on ne me fera pas croire qu'ils ne peuvent pas payer 90 centimes d'euros : ce n'est pas ça qui bridera leur curiosité ! Quand Jack Lang a sauvé la musique et le cinéma français, ce n'était pas avec de la gratuité mais avec des taxes sur la copie privée...
- Pour les jeunes artistes, ça n'a jamais été aussi difficile de percer ? Ou de se faire remarquer en tout cas...
- Ça n'a jamais été aussi facile de se faire connaître, au contraire. Avec la démocratisation des moyens de production, beaucoup d'amateurs peuvent aller jusqu'au bout du processus de fabrication qui, il n'y a pas si longtemps, nécessitait plusieurs jours de studio... Avec ça, ils peuvent aller voir les maisons de disques avec des maquettes sérieuses, montrer ce qu'ils savent faire...
- Est-ce que l'originalité est au rendez-vous pour autant ?
- Il y a un son assez formaté, c'est vrai, qui se dégage de 90 % de cette production prolifique. Mais, du coup, les maisons de disques ont tendance à faire signer les artistes qui proposent un son original. On revient à l'essentiel, aux fondamentaux : la qualité de la voix, la qualité de la musique, la qualité des textes. Et c'est très bien ! Les majors sont attirés par des gens qui viennent du vivier de la scène, et qui ont un monde... Regardez Anaïs avec sa simple guitare et sa pédale, elle a tapé dans l'oeil du public... et de tous les professionnels...
- Les Victoires de la musique 2006 vous semblent représentatifs de cette tendance là ?
- Oui. Camille, par exemple, elle a inventé des sons. Elle part du principe qu'elle va utiliser toutes les possibilité de sa voix. Elle concentre toute sa créativité sur une palette très personnelle. Ça tranche avec l'« ordi » qui vous propose des milliards de sons dans lesquels on finit par se perdre.
«Ce que j'aime, c'est découvrir des voix»
- Et Raphaël... Que vous inspire cette génération d'artistes au répertoire intimiste - on pourrait citer aussi Vincent Delerm ou Olivia Ruiz - et qui cartonnent ?
- Ils sont représentatifs du succès de ce que j'appelle « le partage du moi ». C'est le même phénomène, au fond, que celui de la télé-réalité... Avant, la star c'était un personnage inaccessible, objet de désir et de fascination, maintenant c'est quelqu'un auquel on peut s'identifier : il raconte le même genre de vie que la mienne sans se la péter avec un sourire sympa. Si, en plus, il est beau et un peu timide, comme Raphaël, alors...
- Quel intérêt un musicien aussi exigeant que vous trouve-t-il dans la Nouvelle Star ?
- Ce que j'aime, c'est découvrir des voix. Dans des castings ouverts à tous comme ceux de la Nouvelle Star, c'est un vivier infini. Presque vertigineux. Et le plaisir est sans fin. Le but de ces émissions, c'est de révéler des interprètes, et elles le font : sans la Nouvelle Star, Amel serait toujours à la Courneuve... Elle avait - elle a - une technique extraordinaire alors qu'elle n'a pas pris un cours de chant ! Mais, c'est vrai, ce qu'on demande aux candidats dans l'émission est surhumain : ils doivent être eux-mêmes et chanter des chansons qui leur sont imposées. Parfois ils se perdent dans un univers qui n'est pas le leur et s'écroulent, c'est tout le sel et la cruauté de ce genre de confrontation...
- Trouvez-vous que les maisons de disques savent exploiter tout le potentiel des prodiges que vous révélez ?
- Dans l'ensemble oui. Amel est en train de s'imposer comme une chanteuse de soul et de R'nB, le registre où elle excelle. Et elle continue de progresser puisqu'elle participe à la construction des mélodies et des textes. Steeve Estatof, lui, a pu faire l'album qu'il voulait... Bien sûr, il faut que l'artiste apporte quelque chose : Myriam a une très belle voix elle aussi mais elle donne moins d'elle-même et le résultat est moins convaincant...
Propos recueillis par Olivier Picard http://www.dna.fr/france/20060319_DNA008552.html
C'est bien beau, de dénoncer les "dérives" du Net, mais Monsieur, oublie de dire qu'il va à la pêche aux artistes avec son émission "Nouvelle Star" et que cela devrait être le métier des Majors de découvrir des nouveaux artistes (et non pas d'éditer des compiles à longueur d'année). C'est totalement ce qui se passe sur le Net, les clients vont à la pêche aux artistes et n'achètent plus que les galettes des artistes qu'ils affectionnent. Autrefois, oui, les majors vivaient bien car ils vendaient avec deux ou trois articles flatteurs les artistes qu'ils signaient et c'est le client qui découvrait, une fois acheté, le contenu insipide de la chose. Combien de fois il m'était arrivé d'apprécier 1 ou 2 titres seulement sur un album complet !!!
La grosse différence d'aujourd'hui, avec les nouvelles technologies, c'est que c'est le client qui décide d'acheter et les Majors qui subissent le marché. A eux de prouver qu'ils font un vrai métier.
Par ailleurs, les internautes, font ce que les Majors devraient faire. C'est à dire faire connaître leurs artistes et les promouvoir. Combien de sites d'artistes sont créés à la propre initiative des fans, combien de forums thématiques sur la musique permettent des discussions entre des internautes et par ricochet de déclencher des passions pour un artiste en particulier. Certains internautes vont même jusqu'à donner des dates de concert, des adresses où se produisent tel groupe et même s'y donner rendez-vous...
Alors Messieurs les Majors balayez devant votre porte avant d'exiger le retour à l'âge de pierre... --Message edité par kermit le 2006-03-20 12:13:51--
« Pirater, c'est irresponsable »
Au lendemain du vote par l'Assemblée nationale du projet de loi réglementant les droits d'auteur sur le net, le compositeur André Manoukian applaudit les mesures de protection des artistes.
André Manoukian : « La crise est extrêmement sévère. »
(Photo Pascalito)
- Trouvez-vous que le malaise du monde de la musique est aussi profond qu'on le dit ?
- Oui. Des majors (grandes maisons de disques) il y en a de moins en moins en France - elles étaient une vingtaine, il y a vingt ans, seulement trois ou quatre aujourd'hui - et elles fusionnent toutes ! Souvent, les directeurs artistiques semblent plus préoccupés de savoir s'ils seront encore là dans trois semaines que concentrés sur le projet qu'on leur présente... La crise est extrêmement sévère. Du temps des fastes - car ce milieu était une véritable vache à lait - personne n'a anticipé sur l'irruption d'Internet ! Personne !
- Cette imprévoyance semble incroyable... Comment l'expliquez-vous ?
- Ces maisons étaient bercées par le confort d'une période tellement facile... Avec des marges énormes, des artistes qui vendaient plus de 500 000 albums, et des fonds de catalogues qui étaient de véritable rentes, elles ont cru que la prospérité durerait toujours. Elles n'ont rien vu venir... Et puis, comme pour un tsunami, quand elles ont vu arriver la vague, il était déjà trop tard. En plus, la France était déjà très en retard. Nous avons presque été les derniers à nous adapter à Internet dans la musique, alors qu'aux États-Unis, influencés par la mythologie des hackers, les mômes se sont mis à bidouiller très tôt. Et c'est aux États-Unis, d'ailleurs, que l'industrie du disque a commencé à réagir le plus fermement : des gamins pris en flagrant délit de piratage ont été envoyés en prison. C'est très violent, bien entendu, mais efficace : l'industrie du disque est repartie...
- En France, la loi votée dans la nuit de jeudi à vendredi prévoit désormais des sanctions pour le téléchargement sauvage, vous y êtes favorable ?
- Oui. Il faut être extrêmement sévère avec les pros du piratage. Plus qu'avec les gosses, c'est évident. Mais ces derniers doivent aussi comprendre qu'en piratant ils tuent le métier. Franchement, le téléchargement légal, c'est très bien : on peut écouter tous les morceaux qu'on veut pendant 30 secondes et si on veut la suite, ça ne coûte que 90 centimes d'euros. Autrement dit, on se promène librement dans une véritable encyclopédie musicale où on peut faire son marché pour pas cher. Ça me semble un compromis raisonnable.
«On revient à l'essentiel, aux fondamentaux»
- Mais certains artistes prétendent que seule la liberté totale sur le net peut permettre à de jeunes talents de s'épanouir...
- Pour un jeune artiste, la difficulté c'est de signer dans une maison de disques... Mais ça lui sert à quoi d'être diffusé gratuitement sur le net ? Le discours qui dénonce une loi liberticide parce qu'elle combat le piratage est un discours de beauf, démagogique et irresponsable. C'est scier la branche sur laquelle la musique est assise. La liberté de pirater à l'aise, c'est une liberté à deux balles. Si les mômes aiment la musique, on ne me fera pas croire qu'ils ne peuvent pas payer 90 centimes d'euros : ce n'est pas ça qui bridera leur curiosité ! Quand Jack Lang a sauvé la musique et le cinéma français, ce n'était pas avec de la gratuité mais avec des taxes sur la copie privée...
- Pour les jeunes artistes, ça n'a jamais été aussi difficile de percer ? Ou de se faire remarquer en tout cas...
- Ça n'a jamais été aussi facile de se faire connaître, au contraire. Avec la démocratisation des moyens de production, beaucoup d'amateurs peuvent aller jusqu'au bout du processus de fabrication qui, il n'y a pas si longtemps, nécessitait plusieurs jours de studio... Avec ça, ils peuvent aller voir les maisons de disques avec des maquettes sérieuses, montrer ce qu'ils savent faire...
- Est-ce que l'originalité est au rendez-vous pour autant ?
- Il y a un son assez formaté, c'est vrai, qui se dégage de 90 % de cette production prolifique. Mais, du coup, les maisons de disques ont tendance à faire signer les artistes qui proposent un son original. On revient à l'essentiel, aux fondamentaux : la qualité de la voix, la qualité de la musique, la qualité des textes. Et c'est très bien ! Les majors sont attirés par des gens qui viennent du vivier de la scène, et qui ont un monde... Regardez Anaïs avec sa simple guitare et sa pédale, elle a tapé dans l'oeil du public... et de tous les professionnels...
- Les Victoires de la musique 2006 vous semblent représentatifs de cette tendance là ?
- Oui. Camille, par exemple, elle a inventé des sons. Elle part du principe qu'elle va utiliser toutes les possibilité de sa voix. Elle concentre toute sa créativité sur une palette très personnelle. Ça tranche avec l'« ordi » qui vous propose des milliards de sons dans lesquels on finit par se perdre.
«Ce que j'aime, c'est découvrir des voix»
- Et Raphaël... Que vous inspire cette génération d'artistes au répertoire intimiste - on pourrait citer aussi Vincent Delerm ou Olivia Ruiz - et qui cartonnent ?
- Ils sont représentatifs du succès de ce que j'appelle « le partage du moi ». C'est le même phénomène, au fond, que celui de la télé-réalité... Avant, la star c'était un personnage inaccessible, objet de désir et de fascination, maintenant c'est quelqu'un auquel on peut s'identifier : il raconte le même genre de vie que la mienne sans se la péter avec un sourire sympa. Si, en plus, il est beau et un peu timide, comme Raphaël, alors...
- Quel intérêt un musicien aussi exigeant que vous trouve-t-il dans la Nouvelle Star ?
- Ce que j'aime, c'est découvrir des voix. Dans des castings ouverts à tous comme ceux de la Nouvelle Star, c'est un vivier infini. Presque vertigineux. Et le plaisir est sans fin. Le but de ces émissions, c'est de révéler des interprètes, et elles le font : sans la Nouvelle Star, Amel serait toujours à la Courneuve... Elle avait - elle a - une technique extraordinaire alors qu'elle n'a pas pris un cours de chant ! Mais, c'est vrai, ce qu'on demande aux candidats dans l'émission est surhumain : ils doivent être eux-mêmes et chanter des chansons qui leur sont imposées. Parfois ils se perdent dans un univers qui n'est pas le leur et s'écroulent, c'est tout le sel et la cruauté de ce genre de confrontation...
- Trouvez-vous que les maisons de disques savent exploiter tout le potentiel des prodiges que vous révélez ?
- Dans l'ensemble oui. Amel est en train de s'imposer comme une chanteuse de soul et de R'nB, le registre où elle excelle. Et elle continue de progresser puisqu'elle participe à la construction des mélodies et des textes. Steeve Estatof, lui, a pu faire l'album qu'il voulait... Bien sûr, il faut que l'artiste apporte quelque chose : Myriam a une très belle voix elle aussi mais elle donne moins d'elle-même et le résultat est moins convaincant...
Propos recueillis par Olivier Picard http://www.dna.fr/france/20060319_DNA008552.html
C'est bien beau, de dénoncer les "dérives" du Net, mais Monsieur, oublie de dire qu'il va à la pêche aux artistes avec son émission "Nouvelle Star" et que cela devrait être le métier des Majors de découvrir des nouveaux artistes (et non pas d'éditer des compiles à longueur d'année). C'est totalement ce qui se passe sur le Net, les clients vont à la pêche aux artistes et n'achètent plus que les galettes des artistes qu'ils affectionnent. Autrefois, oui, les majors vivaient bien car ils vendaient avec deux ou trois articles flatteurs les artistes qu'ils signaient et c'est le client qui découvrait, une fois acheté, le contenu insipide de la chose. Combien de fois il m'était arrivé d'apprécier 1 ou 2 titres seulement sur un album complet !!!
La grosse différence d'aujourd'hui, avec les nouvelles technologies, c'est que c'est le client qui décide d'acheter et les Majors qui subissent le marché. A eux de prouver qu'ils font un vrai métier.
Par ailleurs, les internautes, font ce que les Majors devraient faire. C'est à dire faire connaître leurs artistes et les promouvoir. Combien de sites d'artistes sont créés à la propre initiative des fans, combien de forums thématiques sur la musique permettent des discussions entre des internautes et par ricochet de déclencher des passions pour un artiste en particulier. Certains internautes vont même jusqu'à donner des dates de concert, des adresses où se produisent tel groupe et même s'y donner rendez-vous...
Alors Messieurs les Majors balayez devant votre porte avant d'exiger le retour à l'âge de pierre... --Message edité par kermit le 2006-03-20 12:13:51--
https://kermit.forumactif.net/index.htm
le petit dernier de mes nénuphars...
-
Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
-
Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Agrandir:
http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... st&id=9121
http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... st&id=9122
http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... st&id=9123
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
D'ailleurs en reparlant du Net, il me semble bien que des groupes se sont faits connaître eux-mêmes sur la toile en mettant des vidéos en téléchargement. Il existe aujourdhui une pléthore de portail de ce type. Et même qu'un groupe anglais (dont le nom m'échappe pour le moment) a tellement bien fonctionné de cette façon (leur vente de CD est incroyable) que certaines maisons de disques essayent de les signer (sans succès).
https://kermit.forumactif.net/index.htm
le petit dernier de mes nénuphars...
-
Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
C'est un de mes préférés aussi... Il a une voix très à part et j'aime bien son côté timide... Comme tous les timides, il a l'air sympa quand il est à l'aise (comme avec sa classe). J'espère bien qu'il fera partie des 10 et qu'il ira loin!
Chez les garçons j'ai aussi remarqué Bruno (peut-être un peu trop sensible pour tenir le coup, à voir) et Jean-Charles, qui me rappelle furieusement Thierry Amiel (même type de voix, même silhouette longiligne et très fine)
Par contre, j'attends de voir pour Gaël et Florian, pas convaincue.
Chez les filles, c'est vrai que j'aime bien Cindy, elle a une voix et quelque chose. Il faut voir si avec la pression que la médiatisation a mis sur elle, elle ne va pas craquer... J'aime bien la petite Belge aussi, Stéphanie??? Elle est très naturelle, et elle chante sans en faire des tonnes, très juste. J'ai bien aimé le passage de Beverly au Théâtre, reste à voir comment elle va évoluer... Dominique a une voix énorme mais je ne suis pas sûre qu'elle plaise à un public français... Je suis loin d'être aussi admirative que Marianne, même si elle est très sympa.
Pour les autres, je n'ai pas retenu leurs noms.
Je suis bien contente que ça commence ENFIN! J'en avais assez de voir la prod traîner le scastings en longueur (hier, après la 4ème annonce Oui/Non je commençais vraiment à la trouver longuette). Vivement Baltard mercredi prochain, qu'on les voie enfin sur scène... Espérons qu'ils fassent de bons choix de chansons...
Chez les garçons j'ai aussi remarqué Bruno (peut-être un peu trop sensible pour tenir le coup, à voir) et Jean-Charles, qui me rappelle furieusement Thierry Amiel (même type de voix, même silhouette longiligne et très fine)
Par contre, j'attends de voir pour Gaël et Florian, pas convaincue.
Chez les filles, c'est vrai que j'aime bien Cindy, elle a une voix et quelque chose. Il faut voir si avec la pression que la médiatisation a mis sur elle, elle ne va pas craquer... J'aime bien la petite Belge aussi, Stéphanie??? Elle est très naturelle, et elle chante sans en faire des tonnes, très juste. J'ai bien aimé le passage de Beverly au Théâtre, reste à voir comment elle va évoluer... Dominique a une voix énorme mais je ne suis pas sûre qu'elle plaise à un public français... Je suis loin d'être aussi admirative que Marianne, même si elle est très sympa.
Pour les autres, je n'ai pas retenu leurs noms.
Je suis bien contente que ça commence ENFIN! J'en avais assez de voir la prod traîner le scastings en longueur (hier, après la 4ème annonce Oui/Non je commençais vraiment à la trouver longuette). Vivement Baltard mercredi prochain, qu'on les voie enfin sur scène... Espérons qu'ils fassent de bons choix de chansons...
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
-
Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am
Je viens de relire l'article de Ici Paris, ils ont effectivement révélé les noms des candidats choisis (sauf que Vladimir?????)
Je me rappelle maintenant Celia, elle me plaît bien aussi, par contre, j'attends de voir pour la Guadeloupéenne, elle ne m'a pas totalement convaincue sur le Zazie...
Les autres, ils montrent finalement si peu des prestations que j'ai du mal à me souvenir...
Je me rappelle maintenant Celia, elle me plaît bien aussi, par contre, j'attends de voir pour la Guadeloupéenne, elle ne m'a pas totalement convaincue sur le Zazie...
Les autres, ils montrent finalement si peu des prestations que j'ai du mal à me souvenir...
[img]http://img14.imageshack.us/img14/8854/bannirefotmf.jpg[/img]
-
Slenderframe
- Magicien des Mots
- Messages : 3590
- Inscription : mar. juin 28, 2005 12:00 am