Presse prime 8

[Slenderframe]

Nicolas: Je n'ai pas du tout l'image de la SA


http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... t&id=15840

[Slenderframe]

Teigne, mais indispensable!

"Tu es blonde et fausse." "Arrête de grimacer. C'est moche et inutile." "Si j'avais eu à te noter sur le prime, je t'aurais mis un 2." "Tu ne comprends même pas les paroles que tu chantes." Raphaëlle Ricci, professeur et jurée de Star Academy, ne met pas de gants pour asséner ses "délicates" remarques, chaque samedi, à l'heure du débriefing.

Les "gentillesses" partent comme des boulets de canon, atteignent les académiciens en plein cœur. Certains font bonne figure et jurent qu'ils vont tout mettre en œuvre pour retrouver les faveurs de leur tigresse de professeur. D'autres, comme Justine, véritable tête de Turc de cette chère Raffie, restent complètement sonnés, prêts à jeter l'éponge.

Quant à moi, devant mon petit écran, j'avoue ne plus savoir quoi penser: cette prof m'agace, m'exaspère. Je la trouve cynique, acerbe, injuste… jusqu'à me faire oublier que, le plus souvent, elle a raison. Mais pourquoi se sent-elle obligée d'être aussi blessante, humiliante?
Puis, en évoquant le cas Ricci, je me prends à repenser à mon prof de français, une branche où je n'étais pas trop mauvaise, je l'avoue… oh modestement! Eh bien, ce prof se transformait en peau de vache à mon égard quand il trouvait que je me contentais du minimum en matière de composition ou de dissertation.

Et pour couronner le tout, il me balançait tout le "bien" qu'il pensait de moi devant la classe. J'ai décroché un prix d'excellence. Merci, monsieur le professeur.
Pour la suite, soyez attentifs aux académiciens les plus maltraités par Raphaëlle Ricci. Parmi eux se trouve le futur vainqueur!

Mary-Claude Taillens TV8

[Slenderframe]

[ViViiii]

Slenderframe  a écritLa prod y va-t-elle trop fort?

http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... t&id=15773
http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... t&id=15774
http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... t&id=15775
c est trop petit .. peut pas lire

[ViViiii]

Slenderframe  a écritNicolas: Je n'ai pas du tout l'image de la SA


http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... t&id=15840
ici aussi trop petit pour etre capable de lire

[ViViiii]

merci beaucoup pour les newsss

[i-grec-man]

ViViiii  a écrit
ici aussi trop petit pour etre capable de lire  
Mais non...
C'est gros. Quand tu place ton curseur au dessus de l'image, clique l'icone carré en bas à droite pour avoir la grandeur réele

[ViViiii]

i-grec-man  a écrit
Mais non...
C'est gros. Quand tu place ton curseur au dessus de l'image, clique l'icone carré en bas à droite pour avoir la grandeur réele


haaaaaaaaaaaa merci je savais pas
je vais me couché plus intelligente a soir

[Slenderframe]

Bastien : "Outre les débriefings, Raphie est vraiment une femme adorable."

INTERVIEW TV 18 octobre 2006



Bastien n’a pas résisté à sa deuxième nomination car pour la première fois au cours de cette sixième saison, les votes des élèves étaient pourtant très partagés, aboutissant à une égalité. Nicolas, sauvé par le public quelques instants auparavant, a dû déterminer quel élève resterait au château. Il a choisi David… pour le plus grand malheur de Bastien. Le jeune chanteur a accepté de répondre à nos questions…

Comment vous sentez-vous après votre élimination ?

Je suis forcément déçu mais je m’y étais préparé. La dernière fois, Faustine voulait partir. Mais vendredi dernier, nous avions tous les trois très envie de rester. Me trouver en concurrence avec Nicolas et David m’a stressé. J’étais certain que Nicolas resterait car il aurait été sauvé par les élèves si le public ne l’avait pas fait. Mais pour être honnête, je pensais que David sortirait avant moi.

Vous disiez pourtant avoir des difficultés à vous habituer à la vie de château. Pourquoi ?

J’ai eu quelques problèmes pour trouver ma place au sein du groupe. Les élèves s’étaient réunis par affinités et il y avait plusieurs clans. Pour ma part, je m’entendais bien avec tout le monde, sans faire partie d’un groupe en particulier. En revanche, je n’étais très proche de personne, même si je m’entendais mieux avec Ludovic, Brice ou Judith.

Qu’est-ce qui a été le plus compliqué à gérer durant ces six semaines ?

La fatigue. Nous étions tous motivés mais je dois avouer que parfois, c’était un peu difficile. Nous n’étions jamais couchés avant 1 heure du matin parce que nous n’arrivions pas à dormir. Le réveil à 7 heures le lendemain était donc assez pénible. Nous n’avions pas un seul jour pour nous reposer complètement. Le samedi était plus tranquille parce que notre premier cours commençait à midi, mais nous ne dormions jamais avant 4 heures du matin car nous parlions du Prime qui venait de se dérouler.

Quel est le cours que vous avez le plus apprécié?

Les cours d’expression scénique de Raphie. C’est d’ailleurs dans ce domaine que j’ai le plus avancé. Dernièrement, j’ai franchi un cap et je sais que je suis sur la bonne voie. C’est dommage de m’arrêter en si bon chemin.

Elle n’a pourtant pas été tendre avec vous. Vous y étiez-vous préparé avant votre entrée au château ?

En fait, je n’avais jamais vraiment regardé la Star Academy. Quand je suis arrivé, les autres élèves m’ont prévenu qu’elle pouvait être cassante. Je m’attendais au pire. Finalement, les quatre premières semaines se sont bien déroulées. Les critiques sont arrivées ensuite. Mais j’ai toujours bien pris ses commentaires puisqu’elle les faisait pour mon bien. Et, outre les débriefings, Raphie est vraiment une femme adorable.

Quel est votre moment préféré sur le Prime ?

Tous ! J’ai adoré être accompagné par l’orchestre philharmonique mais aussi chanter en duo avec Lionel Richie, Garou… Il n’y a pas un seul Prime que je n’ai pas apprécié, même pas ceux où j’étais nominé.

Et au château ?

Là encore, il y en a trop pour les citer. J’ai passé d’excellents moments avec les élèves et en cours avec les professeurs. J’étais notamment un grand fan de Philippe Lelièvre qui me faisait vraiment rire pendant les cours de théâtre.

Quels sont vos projets ?

Je vais bientôt rencontrer le directeur de l’école de Richard Cross pour intégrer des cours. Ma mère voudrait que je retourne en terminale pour obtenir mon bac mais je ne vais pas réintégrer le lycée pour l’instant. Je veux vraiment continuer dans la chanson. Si j’attends l’année prochaine pour persévérer dans cette voie, tout le monde m’aura oublié. Pour moi, le choix est vite fait. Je dois savoir rebondir. La Star Academy est un beau tremplin et je veux en profiter tant qu’il en est encore temps.

source : tuner.be Fabrice Staal – fabrice@tuner.be
Photos : © TF1

[Slenderframe]

Star Academy > Raphaëlle Ricci


Professeure d’Expression Scénique depuis 2001 à la Star Academy, Raphaëlle Ricci endosse le rôle de la "grande méchante du château" avec ses fameux debriefings. Ses remarques franches et directes ne plaisent pas à tout le monde mais son but est de faire avancer au mieux les élèves de l’Academie de TF1. Et en dehors de l’enceinte du château, Raphaëlle Ricci est la même qu’à l’écran : elle ne mâche pas ses mots.

Son actualité :
Star Academy, du lundi au dimanche (sauf samedi) à 18h10 et chaque vendredi à 20h55 sur TF1


Tony Cotte : Aujourd’hui, le grand public connait la professeure d’expression scénique de la Star Academy mais on en sait très peu sur la manière dont vous êtes arrivée à participer à cette aventure...

Raphaëlle Ricci : A l’époque, je travaillais sur la comédie musicale Les 10 commandements. L’équipe de Pascal Obispo a parlé de mon travail à Alexia Laroche-Joubert. Elle recherchait au départ un prof de comédie. Nous avons ensuite pris rendez-vous. Ce qui m’a plu dans cette aventure, c’était l’opportunité de pouvoir faire découvrir mon activité. Le coaching artistique existe depuis très longtemps aux Etats-Unis et en Angleterre mais assez peu en France.

Tony Cotte : Actuellement, TF1 diffuse la 6ème saison du programme mais c’est en revanche votre cinquième année à Dammaries-lès-Lys. Pourquoi avoir été absente lors de la Star Academy 4 ?

Raphaëlle Ricci : Je me suis dit que j’arrêtais à la fin de la troisième saison. J’avais l’impression d’être arrivée au bout. En plus l’image que l’on avait de moi à l’extérieur ne me plaisait pas. On m’a recontactée à la fin de la quatrième édition pour revenir. Mais j’avais insisté sur deux conditions : avoir une totale liberté d’expression et être libre dans la façon de faire mon boulot.

Tony Cotte : Des rumeurs vous annonçaient au printemps dernier, directrice du château pour cette nouvelle saison. Est-ce que c’est un rôle que vous auriez endossé avec plaisir ?

Raphaëlle Ricci : Chaque année je l’entends. Je vais couper court tout de suite : je ne deviendrai jamais directrice de la Star Academy ! Que ce soit bien clair : ce n’est pas mon travail. Je n’endosserai pas ce rôle car je ne suis ni comédienne ni porte-parole de la production. Je suis coach artistique depuis 15 ans et je le resterai.

Tony Cotte : Après deux mois d’aventure, que pensez-vous de cette promotion ?

Raphaëlle Ricci : Nous avons à faire à des créateurs. Il y a beaucoup plus d’auteurs-compositeurs et c’est bien plus intéressant. Les élèves nous font part de leur univers artistique. On commence d’ailleurs à installer leurs compositions lors des primes.

Tony Cotte : Dans votre discipline, qui représente la plus belle évolution ?

Raphaëlle Ricci : Incontestablement Elfy. Elle se révèle de semaine en semaine. Elle revient de très loin. C’est une fille passionnante qui prend de plus en plus de plaisir dans ce qu’elle entreprend.

Tony Cotte : Après le doyen Pascal l’an dernier, il semblerait que vos préférences se dirigent principalement vers les élèves les plus âgés...

Raphaëlle Ricci : Evidemment puisque, dans ma matière, ce sont des personnes qui ont un vécu. Ils ont des choses à dire et savent pourquoi ils font ce métier. C’est plus compliqué avec les jeunes qui habitent encore chez papa/maman. Quand on a 16 ans, je ne pense pas que l’on sache vraiment ce que l’on désire faire d’une façon certaine. On ne peut pas fabriquer ni inventer des émotions. On reste avec eux dans des choses basiques qui ne me passionnent pas.

Tony Cotte : Dans ce cas-là, pourquoi les prendre ?

Raphaëlle Ricci : C’est une question à poser à la production. Je ne m’occupe pas des castings. Après il y a des exceptions. Sur la deuxième saison, Jérémy Chatelain était le plus jeune et pourtant le plus mûr.

Tony Cotte : Seriez-vous favorable à une ouverture des futurs castings uniquement pour les personnes majeures ?

Raphaëlle Ricci : J’y ai toujours été favorable. Il faut avoir les épaules suffisamment solides pour supporter un rythme quotidien de 8 à 12 heures de travail. C’est difficile quand on n’a que 16 ans. Après, pour la danse, le chant ou la comédie, l’âge ne change rien. Mais dans ma discipline, tout est lié aux émotions, qui sont elles-mêmes liées au vécu. Je me retrouve facilement coincée en face de gamins de 16 ou 18 ans.

Tony Cotte : Vos débriefings représentent les moments les plus regardés des quotidiennes. Avez-vous conscience que vos coups de gueule sont une aubaine pour TF1 ?

Raphaëlle Ricci : Je n’emploierais pas le mot aubaine. J’assume totalement ma façon de parler. Très souvent dans les quotidiennes, mes coups de gueule sont sortis de leur contexte. Je passe pour la grande méchante du château. Mais ce n’est pas facile à vivre tous les jours. Je n’ai pas le meilleur rôle. Je ne me dis pas « heureusement que je suis là ». L’émission peut vivre sans moi, la preuve en est avec la quatrième saison.

Tony Cotte : Quand vous dites au sujet de Magalie « les téléspectateurs ont voté comme des veaux »...

Raphaëlle Ricci : (elle interrompt la question) Je n’ai jamais dit une chose pareille ! C’est un mensonge. Je ne sais pas qui en a déduit cela. Mes termes précis étaient « Je ne suis pas d’accord avec le choix du public ». J’en ai marre ! Je ne suis pas si méchante que ça, à l’inverse de ceux qui déforment les propos. Le support qui a publié ça est dans ma black list. On prend du temps à accorder des interviews pour au final obtenir des tissus de mensonges. Je n’ai jamais manqué de respect à personne. Je n’étais pas d’accord avec le public et je savais ce qui allait se produire : les gens allaient voter contre l’avis des professeurs sans suivre Magalie à la sortie de son album. Et ça n’a pas loupé. Elle n’a pas le profil d’une artiste qui est différente de ce qu’on nous propose déjà, à l’inverse de Nolwenn et Elodie.

Tony Cotte : De quel(s) ancien(s) élève(s), êtes vous le plus fier aujourd’hui ?

Raphaëlle Ricci : Il y en a plein ! De la première saison, je suis vraiment fière d’Olivia (Ruiz, ndlr). Elle a réussi à tirer son épingle du jeu et à faire oublier son passage à la Star Academy. Cette émission devient à un moment une punition. Quand vous dites que vous sortez de la Star’Ac, souvent votre interlocuteur a envie de vomir. Pour les autres saisons, j’étais et je serai toujours fan de George-Alain Jones. Patxi, Sofia et Pascal font également partis de mes préférés.

Tony Cotte : Vous parlez de "punition" à propos du fait de sortir de la Star Academy. En avez-vous également souffert professionnellement parlant ?
Raphaëlle Ricci : On me demande souvent ce que je fais en dehors. Quand l’émission n’est plus à l’antenne je continue d’exercer les mêmes fonctions : je coache des artistes soit en enregistrement soit en préparation de scène. Lors de la première saison, j’avais donné quelques noms de personnes avec qui j’ai collaborées. Le problème étant qu’en France, on a tendance à détester tout ce qui est populaire. Je ne communique donc plus aucun nom si je veux encore avoir du travail. C’est bien triste mais c’est comme ça.

Tony Cotte : Vous vous dites « blindée » de ce que les gens peuvent penser de votre personnage public. Mais quand il s’agit de l’avis des personnalités du métier comme Guy Carlier qui vous décrit comme la « seule prof d’expression scénique qui ne soit jamais montée sur une scène » ou encore Pascal Sevran qui vous donne pour seule mérite « d’être la fille de votre mère », cela vous affecte ?

Raphaëlle Ricci : Ca ne m’affecte pas venant de gens qui ne savent pas de quoi ils parlent. Guy Carlier est très mal renseigné. Quant à Pascal Sevran, ça m’a fait rire. Je le connais. Quand j’avais 18 ans, j’étais venue chanter dans son programme. A l’époque, je m’essayais à la chanson, chose que j’ai vite arrêtée pour le bien de tout le monde. Lors de la Star Academy 4, nous nous sommes retrouvés. Il m’a accueillie dans sa loge et m’a complimentée pendant une demi-heure. Il m’avait affirmé que je manquais cruellement à la Star Academy. L’année d’après, il me déglingue un peu partout. Ce monsieur a tout simplement besoin que l’on parle de lui. Mais en fait, ma mère (Alice Donna, ndlr) l’a planté pour une de ses émissions car il n’avait pas été correct. Il s’est donc servi de la fille pour régler ses comptes avec la mère. Tout ça me fait vraiment rigoler.


vendredi 20 octobre 2006 | Tony Cotte
source : toutelatele.com

[Slenderframe]

partir ou revenir le dilemme des anciens de la Star académy

http://www.maxi-realtv.com/index.php?ac ... t&id=15973

[Slenderframe]

''Je continue à être proche des élèves'' (20/10/2006)


© TF1
Mathieu Gonet est depuis six ans le répétiteur de la Star Academy



PARIS Depuis 6 ans, il fait presque partie des meubles du château. Mathieu Gonet, fidèle à l'émission, a vu défiler plus de 90 élèves. Alors qu'il est là pour leur faire répéter les chansons du prime, il a souvent été le confident et le coach psychologique des élèves.

Lors des éditions précédentes, vous aviez un rôle de papa poule. C'est moins le cas cette année...

"Je suis toujours autant impliqué dans mon travail mais quant au montage qui est fait pour les quotidiennes, peut-être qu'on me voit moins. Mais je continue à être très proche des élèves et je parle beaucoup avec eux. C'est aussi quelque chose qui ne se provoque pas et qui arrive au fur et à mesure du temps. Naturellement, plus je les connais, plus je parle avec eux."

Vous avez des chouchous ?

"C'est certain, il y en a que j'aime beaucoup. J'apprécie Cynthia, Dominique, Gaël, Brice et Ludo. Ils sont tous agréables mais sur eux, je sais que je peux m'appuyer pour les prime."

Cette promotion est très rigoureuse et professionnelle...

"C'est entièrement vrai. Ils sont très rigoureux et très sérieux mais sans être rébarbatifs et ennuyeux ! Ils sont très sérieux dans le boulot malgré qu'on ait eu une petite frayeur après le deuxième prime. Il y a eu un coup de mou, donc il a fallu resserrer les boulons. Maintenant, ils ont compris qu'il faut qu'ils soient à fond tout le temps. Cela avance vite et cela avance bien !"

Avec la Star Academy, vous avez commencé à être médiatisé, vous ne le regrettez pas ?

"Non, c'est Brad Pitt qui doit être désolé car je lui ai volé la vedette ! Normalement, c'est un métier de l'ombre et, au début, je ne devais intervenir que 5 jours dans l'émission. Et je suis passé de 5 jours à 4 mois et puis, ensuite, la tournée."

Vous seriez prêt pour une septième année ?

"On va d'abord terminer celle-ci puis nous allons partir en tournée. On verra ensuite si ça correspond aux envies de la production et aux miennes."

Vous êtes plus attiré par les 4 mois au château ou par la tournée ?

"Ma motivation, c'est vraiment de présenter chaque semaine un spectacle. Tout le monde envisage cela comme un spectacle et non comme une émission de télé. Sur le prime ou sur la tournée, ce sont deux plaisirs différents. À la télé, il y a un vrai danger immédiat et une vraie urgence. La tournée, c'est une autre forme de challenge. Ils doivent tous les soirs chanter les mêmes chansons et tenir le rythme. Ils doivent maintenir le niveau durant toute la tournée."

Vous n'êtes pas déçu par la carrière de Magalie ?

"C'est ce que j'ai dit partout, je ne suis absolument pas déçu car c'est le public qui a toujours raison et qui choisit, et si on ne comprend pas ça, il faut changer de métier. Deuxièmement, Magalie, je l'ai vue pendant 4 mois en tournée et elle a un public extrêmement fidèle et s'il avait fallu se moquer de tous les artistes qui ont eu un premier album qui se vendait peu, il n'y aurait plus grand monde ! C'est une artiste qui est en train de chercher son univers et je suis ravi qu'elle ait gagné."




Propos recueillis par S. L.