Les familles sont sur les dents
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03/11/2005 - 10h23
Finalistes féminines
Les familles sont sur les dents
Sylvain Lauzon
Le Journal de Montréal
À deux semaines de la fin de l'aventure de Star Académie, les familles des trois finalistes féminines démontrent une certaine fatigue mais se préparent tout de même pour le dernier droit avant la finale.
Marlène Tremblay appuie sa fille Audrey depuis ses débuts aux auditions de Star Académie. Elle est convaincue que sa fille nage dans le bonheur. «Elle réalise son grand rêve, dit la dame de Jonquière. Elle a toujours voulu chanter. Maintenant, elle peut s'y donner à fond.» Mais la réalisation d'un rêve a un prix, celui de l'éloignement. «Je ne peux vous dire à quel point elle me manque. Tout ce que je veux, c'est la retrouver le plus rapidement possible et la serrer dans mes bras. Ça ne s'explique pas autrement.»
Marlène Tremblay est fière que sa fille soit restée authentique, fidèle à elle-même. Fidèle aussi à la petite fille qui a commencé à chanter à 10 ans et qui a remporté 14 médailles d'or dans différents concours. «C'est pour ça qu'elle a reçu le prix du public, dit la mère. Audrey s'est sentie porter par lui. Elle a eu un regain d'énergie.»
De longs allers-retours
Malgré la distance qui les sépare, Marlène Tremblay a assisté à presque tous les galas du dimanche, effectuant de longs allers-retours. Car en plus de venir appuyer sa fille, elle est très impliquée dans l'organisation des événements de soutien. Cette fin de semaine, plusieurs bars et restaurants de la région de Jonquière se mobiliseront, encore une fois, pour appuyer sa candidate. On vendra aussi un CD sur lequel sont gravées quatre chansons enregistrées par la jeune femme.
Les amis de Stéphanie Bédard ont aussi très hâte de retrouver leur copine. Une de ses plus fidèles supporters, Anik Deschamps, tient le phare depuis le début. «Nous la soutiendrons jusqu'au bout. Nous sommes à organiser une fête pour cette fin de semaine. Les discussions vont bon train.»
L'Acadie mobilisée
Yves Thériault, le compagnon d'Annie Blanchard, est toujours aussi impatient de revoir sa douce. Cette fin de semaine, ce sera l'ultime fête de soutien pour Annie. «Nous avons organisé une grande marche, dit le technologue industriel, un ralliement monstre. Les gens vont partir à pied de plusieurs villages pour se réunir à Caraquet. Il y aura une grande fête, avec des musiciens et tout.»
Quant à l'avenir professionnel d'Annie, Yves Thériault dit prendre les journées une à la fois. Si la carrière doit amener la jeune femme à Montréal, il prendra les décisions qui s'imposent.
Pour l'instant, la jeune femme a créé un phénomène dans sa ville : des gens viennent photographier la photo géante de l'académicienne qui a été hissée sur la façade du salon de coiffure où elle travaillait jusqu'au début de cette aventure.
03/11/2005 - 10h23
Finalistes féminines
Les familles sont sur les dents
Sylvain Lauzon
Le Journal de Montréal
À deux semaines de la fin de l'aventure de Star Académie, les familles des trois finalistes féminines démontrent une certaine fatigue mais se préparent tout de même pour le dernier droit avant la finale.
Marlène Tremblay appuie sa fille Audrey depuis ses débuts aux auditions de Star Académie. Elle est convaincue que sa fille nage dans le bonheur. «Elle réalise son grand rêve, dit la dame de Jonquière. Elle a toujours voulu chanter. Maintenant, elle peut s'y donner à fond.» Mais la réalisation d'un rêve a un prix, celui de l'éloignement. «Je ne peux vous dire à quel point elle me manque. Tout ce que je veux, c'est la retrouver le plus rapidement possible et la serrer dans mes bras. Ça ne s'explique pas autrement.»
Marlène Tremblay est fière que sa fille soit restée authentique, fidèle à elle-même. Fidèle aussi à la petite fille qui a commencé à chanter à 10 ans et qui a remporté 14 médailles d'or dans différents concours. «C'est pour ça qu'elle a reçu le prix du public, dit la mère. Audrey s'est sentie porter par lui. Elle a eu un regain d'énergie.»
De longs allers-retours
Malgré la distance qui les sépare, Marlène Tremblay a assisté à presque tous les galas du dimanche, effectuant de longs allers-retours. Car en plus de venir appuyer sa fille, elle est très impliquée dans l'organisation des événements de soutien. Cette fin de semaine, plusieurs bars et restaurants de la région de Jonquière se mobiliseront, encore une fois, pour appuyer sa candidate. On vendra aussi un CD sur lequel sont gravées quatre chansons enregistrées par la jeune femme.
Les amis de Stéphanie Bédard ont aussi très hâte de retrouver leur copine. Une de ses plus fidèles supporters, Anik Deschamps, tient le phare depuis le début. «Nous la soutiendrons jusqu'au bout. Nous sommes à organiser une fête pour cette fin de semaine. Les discussions vont bon train.»
L'Acadie mobilisée
Yves Thériault, le compagnon d'Annie Blanchard, est toujours aussi impatient de revoir sa douce. Cette fin de semaine, ce sera l'ultime fête de soutien pour Annie. «Nous avons organisé une grande marche, dit le technologue industriel, un ralliement monstre. Les gens vont partir à pied de plusieurs villages pour se réunir à Caraquet. Il y aura une grande fête, avec des musiciens et tout.»
Quant à l'avenir professionnel d'Annie, Yves Thériault dit prendre les journées une à la fois. Si la carrière doit amener la jeune femme à Montréal, il prendra les décisions qui s'imposent.
Pour l'instant, la jeune femme a créé un phénomène dans sa ville : des gens viennent photographier la photo géante de l'académicienne qui a été hissée sur la façade du salon de coiffure où elle travaillait jusqu'au début de cette aventure.
Soleil47 a écrit
Pour l'instant, la jeune femme a créé un phénomène dans sa ville : des gens viennent photographier la photo géante de l'académicienne qui a été hissée sur la façade du salon de coiffure où elle travaillait jusqu'au début de cette aventure.
étrange phénomène ,y en a plus fan que d 'autre ;)
Pour l'instant, la jeune femme a créé un phénomène dans sa ville : des gens viennent photographier la photo géante de l'académicienne qui a été hissée sur la façade du salon de coiffure où elle travaillait jusqu'au début de cette aventure.
étrange phénomène ,y en a plus fan que d 'autre ;)
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
Annouk a écritMerci pour l'article En effet, ça ne doit pas être évident pour les familles. On le vois bien quand ils passent à l'écran qu'ils ont l'air très fatigués En effet, c'est stressant pour les Académiciens, mais ca l'est aussi pour leurs familles proches.
Pas croyable - juste le trajet pour assister aux galas du Dimanche, tout le travail qu'ils se tappent pour organiser les soirées, les ventes de ci ou de ça.
Et bien, tous espèrent que ''leur fils'' ou ''leur fille'' soit le (la) gagnant(e).
Pas croyable - juste le trajet pour assister aux galas du Dimanche, tout le travail qu'ils se tappent pour organiser les soirées, les ventes de ci ou de ça.
Et bien, tous espèrent que ''leur fils'' ou ''leur fille'' soit le (la) gagnant(e).
Soleil47 a écrit En effet, c'est stressant pour les Académiciens, mais ca l'est aussi pour leurs familles proches.
Pas croyable - juste le trajet pour assister aux galas du Dimanche, tout le travail qu'ils se tappent pour organiser les soirées, les ventes de ci ou de ça.
Et bien, tous espèrent que ''leur fils'' ou ''leur fille'' soit le (la) gagnant(e).
j aimerai pas avoir a faire ca , mais si javais a le faire c est sure que je le ferais
Pas croyable - juste le trajet pour assister aux galas du Dimanche, tout le travail qu'ils se tappent pour organiser les soirées, les ventes de ci ou de ça.
Et bien, tous espèrent que ''leur fils'' ou ''leur fille'' soit le (la) gagnant(e).
j aimerai pas avoir a faire ca , mais si javais a le faire c est sure que je le ferais
[img]http://i42.tinypic.com/28u466t.png[/img]
Moi je ne le ferais pas... parce que pour moi la plus belle preuve que je crois au talent de mon enfant serait de lui dire à son entrée à l'Académie que je ne ferai pas de campagne de financement parce que je crois en son talent et qu'il (ou elle) n'a pas besoin de ça pour gagner si tout le monde pense comme moi... Mais ça c'est moi...
Dove* a écritMoi je ne le ferais pas... parce que pour moi la plus belle preuve que je crois au talent de mon enfant serait de lui dire à son entrée à l'Académie que je ne ferai pas de campagne de financement parce que je crois en son talent et qu'il (ou elle) n'a pas besoin de ça pour gagner si tout le monde pense comme moi... Mais ça c'est moi...
je le ferais , mais peut etre pas pour ramasser des sous , mais plutot pour leur ptit vidéo qui leur présente le dimanche .
je le ferais , mais peut etre pas pour ramasser des sous , mais plutot pour leur ptit vidéo qui leur présente le dimanche .
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- Fleur de Jasmin
- Intronisé au Panthéon
- Messages : 26283
- Inscription : ven. avr. 09, 2004 12:00 am
Dove* a écritMoi je ne le ferais pas... parce que pour moi la plus belle preuve que je crois au talent de mon enfant serait de lui dire à son entrée à l'Académie que je ne ferai pas de campagne de financement parce que je crois en son talent et qu'il (ou elle) n'a pas besoin de ça pour gagner si tout le monde pense comme moi... Mais ça c'est moi...
Personnellement, je pense que les parents pourraient très bien encourager le rêve de leurs enfants, sans SA. De même que les Provinces (particulièrement les Provinces). Mais non, on n'y pense pas, ou on ne sait tout simplement pas reconnaitre le talent des jeunes, avant qu'il passent par SA.
Des levées de fonds, pas besoin d'entrer à l'académie pour y avoir droit. ;) N'importe quand on peut en faire. Du même coup, cela aurait pour effet d'encourager le petit bar du village dans lequel ils chantent (par exemple).
Dans les villes où il y a des salles de spectacles. Pourquoi la ville, ne ferait pas faire quelques 1ere parties par un talent local. Peut être que certains artistes refuseraient, mais certainement que plusieurs accepteraient.
Tout ca pour dire que dans bien des cas, ces jeunes tous talentueux autant qu'ils sont, doivent se poser un paquet des questions...à savoir pourquoi soudainement, parents, villes, villages et provinces, sont soudainement mouru d'amour pour eux-autres. --Message edité par Fleur de Jasmin le 2005-11-04 01:12:41--
Personnellement, je pense que les parents pourraient très bien encourager le rêve de leurs enfants, sans SA. De même que les Provinces (particulièrement les Provinces). Mais non, on n'y pense pas, ou on ne sait tout simplement pas reconnaitre le talent des jeunes, avant qu'il passent par SA.
Des levées de fonds, pas besoin d'entrer à l'académie pour y avoir droit. ;) N'importe quand on peut en faire. Du même coup, cela aurait pour effet d'encourager le petit bar du village dans lequel ils chantent (par exemple).
Dans les villes où il y a des salles de spectacles. Pourquoi la ville, ne ferait pas faire quelques 1ere parties par un talent local. Peut être que certains artistes refuseraient, mais certainement que plusieurs accepteraient.
Tout ca pour dire que dans bien des cas, ces jeunes tous talentueux autant qu'ils sont, doivent se poser un paquet des questions...à savoir pourquoi soudainement, parents, villes, villages et provinces, sont soudainement mouru d'amour pour eux-autres. --Message edité par Fleur de Jasmin le 2005-11-04 01:12:41--


La pudeur sied bien à tout le monde; mais il faut savoir la vaincre et jamais la perdre. (Montesquieu)
Soleil47 a écrit En effet, c'est stressant pour les Académiciens, mais ca l'est aussi pour leurs familles proches.
Pas croyable - juste le trajet pour assister aux galas du Dimanche, tout le travail qu'ils se tappent pour organiser les soirées, les ventes de ci ou de ça.
Et bien, tous espèrent que ''leur fils'' ou ''leur fille'' soit le (la) gagnant(e).
sans parler des sous, Baie-Comeau Montréal, allée-retour, c,est pas loin 200$ de gaz...
Pas croyable - juste le trajet pour assister aux galas du Dimanche, tout le travail qu'ils se tappent pour organiser les soirées, les ventes de ci ou de ça.
Et bien, tous espèrent que ''leur fils'' ou ''leur fille'' soit le (la) gagnant(e).
sans parler des sous, Baie-Comeau Montréal, allée-retour, c,est pas loin 200$ de gaz...