Le party avec Marjo!
Cinq écrans et une bande aux couleurs éclatées, quatre blocs et deux colonnes de lumières de style cinéma, une passerelle très étroite qui s’enfuie jusqu’au fond de l’auditoire : tout se met en place pour un spectacle époustouflant, mettant en vedette Marjo et l’ensemble de la cuvée Star Académie 2005!
Après de grandes retrouvailles sous le ton du plaisir, on gagne les coulisses pour le medley de Marjo, qui demande beaucoup d’énergie! Tout d’abord, c’est Francis qui fait une entrée fracassante avec elle, éternel comédien qu’il est. L’ensemble des gars viennent se poster au devant de la scène; le party commence! Tous, incluant une Marjo qui se veut plus vive que jamais, sautent, se prennent par le cou, se serrent la main, s’inclinent pour se saluer. L’ambiance est définitivement à la fête!
Ensuite, au tour de Linda d’arriver de l’extrémité de la passerelle et de rejoindre Marjo. Immédiatement, une complicité s’installe et les deux interprètes sont plus radieuses que jamais. Reine d’une comédie musicale qu’elle dirige, ou tout comme, Marjo invite alors l’ensemble des filles à venir se placer à ses côtés sur la scène. Elles se donnent toutes entières et le résultat est d’une admirable puissance. Au passage, mentionnons le respect qu’elles ont les unes pour les autres, l’écoute attentive qu’elles se prêtent mutuellement.
Finalement, elles gagnent la passerelle, et sont rejointes par les gars. Les treize candidats se retrouvent donc tous en une longue ligne, qui ne peut provoquer autre chose que la stupéfaction devant une gang aussi allumée, heureuse, vivante. Décidément, l’édition 2005 de Star Académie nous a offert une très belle cuvée! --Message edité par sparky le 2005-11-12 15:57:48--
Le party avec Marjo! (site officiel)
Un amour inconditionnel
La finaliste de cette année, Audrey Gagnon, et un candidat de la cuvée 2004 de Star Académie, Martin Giroux, nous livrent une performance intime sur un amour qui donne des ailes.
Il est d’abord à mentionner que la configuration du Studio Mel’s a subi quelques modifications pour la grande finale de l’édition Star Académie 2005. En effet, des rangées supplémentaires ont été ajoutées du côté jardin de la scène, les cinq écrans du haut ont été regroupés en ligne, deux écrans en hauteur ont été disposés de chaque côté de l’auditoire et une longue bande où peuvent être projetées des images s’étend sur le devant de la scène. C’est magistral, au même titre que le sera sans nul doute la finale tant attendue.
Ensuite, pour revenir à l’émouvante prestation d’Audrey et de Martin, elle se révèle magnifique pour plusieurs raisons, notamment la beauté des voix conjuguées ensemble, la simplicité désarmante des deux interprètes qui nous racontent leur amour, mais aussi grâce à un habile gymnaste qui effectue de splendides mouvements et jeux avec un grand cercle.
C’est doux, c’est vrai surtout. D’une beauté incroyable, il n’y a rien à y redire.
La finaliste de cette année, Audrey Gagnon, et un candidat de la cuvée 2004 de Star Académie, Martin Giroux, nous livrent une performance intime sur un amour qui donne des ailes.
Il est d’abord à mentionner que la configuration du Studio Mel’s a subi quelques modifications pour la grande finale de l’édition Star Académie 2005. En effet, des rangées supplémentaires ont été ajoutées du côté jardin de la scène, les cinq écrans du haut ont été regroupés en ligne, deux écrans en hauteur ont été disposés de chaque côté de l’auditoire et une longue bande où peuvent être projetées des images s’étend sur le devant de la scène. C’est magistral, au même titre que le sera sans nul doute la finale tant attendue.
Ensuite, pour revenir à l’émouvante prestation d’Audrey et de Martin, elle se révèle magnifique pour plusieurs raisons, notamment la beauté des voix conjuguées ensemble, la simplicité désarmante des deux interprètes qui nous racontent leur amour, mais aussi grâce à un habile gymnaste qui effectue de splendides mouvements et jeux avec un grand cercle.
C’est doux, c’est vrai surtout. D’une beauté incroyable, il n’y a rien à y redire.
Une puissance des images qui ne s’affaisse pas!
Pour le duo entre Marjo et Marc-André, deux gymnastes occupent le centre de la scène, un anneau en guise de support matériel. Une fois de plus, Mel’s s’illumine comme par enchantement.
Le numéro s’ouvre sur Marc-André, qui s’installe du côté cour de la scène. Souriant comme à l’habitude, il entame la chanson avec une aisance qui ne se tarit pas. Très tôt, il est rejoint par l’énergique Marjo du côté jardin, qui entre sous des pas de ballerine moderne! Pour elle aussi, c’est le plaisir et le talent qui frappent de plein fouet les spectateurs.
Tout au long de la prestation, Marjo demeure très théâtrale, tout en conservant un côté diablement naturel. Avec Marc-André, elle s’amuse! Leurs voix s’accordent magnifiquement, ils se tiennent par la main, rigolent ensemble. Dans la chanson, les paroles évoquent une « main magicienne »; eh bien, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils créent leur propre magie et nous y font croire.
Pour le duo entre Marjo et Marc-André, deux gymnastes occupent le centre de la scène, un anneau en guise de support matériel. Une fois de plus, Mel’s s’illumine comme par enchantement.
Le numéro s’ouvre sur Marc-André, qui s’installe du côté cour de la scène. Souriant comme à l’habitude, il entame la chanson avec une aisance qui ne se tarit pas. Très tôt, il est rejoint par l’énergique Marjo du côté jardin, qui entre sous des pas de ballerine moderne! Pour elle aussi, c’est le plaisir et le talent qui frappent de plein fouet les spectateurs.
Tout au long de la prestation, Marjo demeure très théâtrale, tout en conservant un côté diablement naturel. Avec Marc-André, elle s’amuse! Leurs voix s’accordent magnifiquement, ils se tiennent par la main, rigolent ensemble. Dans la chanson, les paroles évoquent une « main magicienne »; eh bien, le moins que l’on puisse dire, c’est qu’ils créent leur propre magie et nous y font croire.
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Thewinneris
- Seigneur de la Causerie
- Messages : 5728
- Inscription : mer. avr. 02, 2003 1:00 am
2005-11-12 16:16
La légende Hart
D’une part, il s’illustre en duo avec Meggie Lagacé, candidate de la cuvée Star Académie 2004. D’autre part, il nous offre de délicieuses prestations en compagnie de maints candidats de cette année, respectivement Kaven, Stéphanie, Francis, Audrey et Marc-André, en plus d’interpréter dans un français impeccable Là-bas aux côtés de Julie Masse.
En duo avec la douce Meggie, les deux interprètent se murmurent une tendresse gênée, sans toutefois altérer le champ de leurs cordes vocales. Meggie, dont on se rappelle l’interprétation de Poussière d’ange, arbore justement un air angélique, discrète qu’elle est sur scène. Elle n’a pas besoin d’en montrer beaucoup pour qu’on lui découvre une grande sensibilité. Côté technique, une chute de fumée s’évade de l’installation arrière de la scène. Les éclairages tendent vers des nuances de rose. Tout contribue au calme du portrait, à l’amour subtil mais passionné.
D’ailleurs, parlant d’amour, il est une fois de plus célébré dans toute sa splendeur chez Mel’s. À la fin de leur duo, l’ensemble des académiciens apparaît au travers de la chute. En couples, ils se font de chaleureux câlins, se regardent dans les yeux. C’est une véritable ode à l’amour.
Comme mentionné plus haut, le talentueux Corey Hart présente son medley avec plusieurs candidats, dans des performances toutes plus plaisantes les unes que les autres. Notamment, il montre une étrange ressemblance avec Kaven, et c’est sans doute la raison pour laquelle les deux interprètes semblent si fraternels sur la scène. Par ailleurs, Stéphanie, qui nous avait déjà prouvé son talent de chant en langue anglaise, s’accorde merveilleusement avec Corey; une prestation sans flafla, où la puissance des voix triomphe. Aussi, Francis fait montre d’une certaine réserve pendant Black Cloud Rain, qui lui réussit autant que son côté plus fanfaron. Avec Julie, qui a une voix charmante, il devient plus vrai que jamais. Finalement, il constitue un trio gagnant avec Audrey et Marc-André, et c’est le cas de le dire.
Le Variété de ce dimanche promet donc de très beaux moments pour la grande finale, et c'est sans compter le medley de Dan Bigras et la prestation de Michel Pagliaro sur J'entends frapper avec notre bande de joyeux lurons!
heuuuuuuuuu , écrit comme ca , jme dit que comment ca que meggie et corey font un duo ensemble (jsais pour son cd ) mais me semble que c est plus aux académiciens de chanter .
Peut etre se sont t il trompés ou mal exprimé etk j ai trouvé ca étrange.
La légende Hart
D’une part, il s’illustre en duo avec Meggie Lagacé, candidate de la cuvée Star Académie 2004. D’autre part, il nous offre de délicieuses prestations en compagnie de maints candidats de cette année, respectivement Kaven, Stéphanie, Francis, Audrey et Marc-André, en plus d’interpréter dans un français impeccable Là-bas aux côtés de Julie Masse.
En duo avec la douce Meggie, les deux interprètent se murmurent une tendresse gênée, sans toutefois altérer le champ de leurs cordes vocales. Meggie, dont on se rappelle l’interprétation de Poussière d’ange, arbore justement un air angélique, discrète qu’elle est sur scène. Elle n’a pas besoin d’en montrer beaucoup pour qu’on lui découvre une grande sensibilité. Côté technique, une chute de fumée s’évade de l’installation arrière de la scène. Les éclairages tendent vers des nuances de rose. Tout contribue au calme du portrait, à l’amour subtil mais passionné.
D’ailleurs, parlant d’amour, il est une fois de plus célébré dans toute sa splendeur chez Mel’s. À la fin de leur duo, l’ensemble des académiciens apparaît au travers de la chute. En couples, ils se font de chaleureux câlins, se regardent dans les yeux. C’est une véritable ode à l’amour.
Comme mentionné plus haut, le talentueux Corey Hart présente son medley avec plusieurs candidats, dans des performances toutes plus plaisantes les unes que les autres. Notamment, il montre une étrange ressemblance avec Kaven, et c’est sans doute la raison pour laquelle les deux interprètes semblent si fraternels sur la scène. Par ailleurs, Stéphanie, qui nous avait déjà prouvé son talent de chant en langue anglaise, s’accorde merveilleusement avec Corey; une prestation sans flafla, où la puissance des voix triomphe. Aussi, Francis fait montre d’une certaine réserve pendant Black Cloud Rain, qui lui réussit autant que son côté plus fanfaron. Avec Julie, qui a une voix charmante, il devient plus vrai que jamais. Finalement, il constitue un trio gagnant avec Audrey et Marc-André, et c’est le cas de le dire.
Le Variété de ce dimanche promet donc de très beaux moments pour la grande finale, et c'est sans compter le medley de Dan Bigras et la prestation de Michel Pagliaro sur J'entends frapper avec notre bande de joyeux lurons!
heuuuuuuuuu , écrit comme ca , jme dit que comment ca que meggie et corey font un duo ensemble (jsais pour son cd ) mais me semble que c est plus aux académiciens de chanter .
Peut etre se sont t il trompés ou mal exprimé etk j ai trouvé ca étrange.
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