Salut,
Il y a une entrevue de Wilfred (qui date d'assez longtemps),à cette adresse:
http://www.ciki.fm
Allez dans entrevue!
Entrevue Wilfred
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- Caïd de la Causette
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- Inscription : sam. févr. 07, 2004 1:00 am
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Le dimanche 1er août 2004
Dans sa ville natale
Wilfred accueilli triomphalement
Presse Canadienne
Tracadie-Sheila
C'est un Wilfred LeBouthillier bouche bée et les larmes aux yeux qui a eu droit, samedi soir, dans sa ville natale, à une longue et émouvante ovation à la suite de son impressionnante interprétation de «Réveille», une sorte d'hymne national acadien.
«Les spectacles à la maison sont toujours les meilleurs», a exprimé Wilfred qui en était à sa deuxième visite au bercail en l'espace de deux mois. La tente était pleine à craquer et ne pouvait contenir les quelque 3000 spectateurs présents.
La foule en délire a crié, chanté et dansé sur les chansons de son idole durant ce spectacle présenté dans le cadre du Festival des Deux Rivières à Tracadie.
Wilfred n'a vraiment pas à s'inquiéter, il a un public des plus fidèles. A partir de son interprétation de «Chanter ma vie», en début de spectacle, Wilfred avait déjà son public dans la poche.
Ses deux prestations en compagnie de trois confrères de l'école star académicienne, soit François Babin, Stéphane Mercier et Dave Bourgeois, ont été les moments les plus savoureux de la soirée.
Le public lui a affectueusement rappelé par des longs cris de joie que ses prestations avec sa «gang» font toujours chaud au coeur.
«Le Québec et l'Acadie unis ensemble ce soir, c'est un méchant «party'«, a exprimé un des membres du trio, François Babin.
En interprétant ses grands succès «Amène-toi chez nous» et «Que passent les saisons», Wilfred a finalement eu droit à une succession d'ovations. Lui qui a vendu 200 000 albums a exprimé devant son monde, en ce 400e anniversaire de l'Acadie, comment il était fier de ses origines.
«Après la Déportation en 1755, nous avons perdu notre pays, la seule chose qui nous reste, c'est le drapeau acadien et notre langue française, a-t-il lancé. Préservons-les.»
Le dimanche 1er août 2004
Dans sa ville natale
Wilfred accueilli triomphalement
Presse Canadienne
Tracadie-Sheila
C'est un Wilfred LeBouthillier bouche bée et les larmes aux yeux qui a eu droit, samedi soir, dans sa ville natale, à une longue et émouvante ovation à la suite de son impressionnante interprétation de «Réveille», une sorte d'hymne national acadien.
«Les spectacles à la maison sont toujours les meilleurs», a exprimé Wilfred qui en était à sa deuxième visite au bercail en l'espace de deux mois. La tente était pleine à craquer et ne pouvait contenir les quelque 3000 spectateurs présents.
La foule en délire a crié, chanté et dansé sur les chansons de son idole durant ce spectacle présenté dans le cadre du Festival des Deux Rivières à Tracadie.
Wilfred n'a vraiment pas à s'inquiéter, il a un public des plus fidèles. A partir de son interprétation de «Chanter ma vie», en début de spectacle, Wilfred avait déjà son public dans la poche.
Ses deux prestations en compagnie de trois confrères de l'école star académicienne, soit François Babin, Stéphane Mercier et Dave Bourgeois, ont été les moments les plus savoureux de la soirée.
Le public lui a affectueusement rappelé par des longs cris de joie que ses prestations avec sa «gang» font toujours chaud au coeur.
«Le Québec et l'Acadie unis ensemble ce soir, c'est un méchant «party'«, a exprimé un des membres du trio, François Babin.
En interprétant ses grands succès «Amène-toi chez nous» et «Que passent les saisons», Wilfred a finalement eu droit à une succession d'ovations. Lui qui a vendu 200 000 albums a exprimé devant son monde, en ce 400e anniversaire de l'Acadie, comment il était fier de ses origines.
«Après la Déportation en 1755, nous avons perdu notre pays, la seule chose qui nous reste, c'est le drapeau acadien et notre langue française, a-t-il lancé. Préservons-les.»