Wilfred Le Bouthillier
Wilfred Le Bouthillier se produisait pour la première fois avec un spectacle acoustique à Montréal le vendredi 28 mars dernier au Gésù et bien que plusieurs fans étaient au rendez-vous l’interaction avec le public s’est manifestée après quelques chansons.
L’auteur compositeur et interprète gagnant de la première édition de Star Académie s’est amusé avec l’audience durant le spectacle. Il a débuté avec Tant qu’il y aura, Ne vois-tu pas et aussi Que passent les saisons. Wilfred a terminé la première partie avec un medley du tonnerre avec 5 chansons du groupe 1755 qui a littéralement fait soulever les gens dans la salle. Il a entreprit la seconde partie avec une version accéléré mais très efficace de Travailler c’est trop dur de Zachary Richard.
L’artiste était définitivement dans son élément sur ce type de scène et le fait de raconter avant chaque interprétation comment lui est venue l’idée de chacune des chansons était aussi très appréciée de l’assistance.
Il était accompagné de Jacques Roy à la basse, Sylvain Quesnel à la guitare acoustique (qui a composé la musique de Tant qu’il y aura, Dis-moi que tu viens et Avec toi) et Shawn Sasyniuk aux percussions et à la mandoline qui s’est permis quelques notes de Thunderstruck de AC/DC entre deux chansons à la demande de Wilfred.
On devine facilement que Wilfred est très à l’aise avec l’auditoire, d’où sa grande force et une salle comme le Gésù se prête très bien pour ce type de spectacle qui est la version plus intimiste de la tournée Poussières. Car cela n’est pas donné à tout les artistes de se livrer avec une certaine aisance et lui, le fait bien.
Source : http://www.info-culture.biz/wilfredshow.html
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Très bonne critique 4 étoiles c'est super
Wilfred - Critique du show au Gesù
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Red Ketchup
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clair de lune
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sleepy-girl
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Merci pour l'article Véro...j'me disais bien aussi!
Bravo Wilfred!
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[i][size=110] [color=#0000BF] Si ce que tu as à dire, n'est pas plus beau que le silence...tais toi!! :)
[citation chinoise] [/color] [/size][/i]
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Wilfred au Gesù : que du bonheur!
C’est devant un public nombreux et conquis que Wilfred Le Bouthillier présentait pour la première fois à Montréal la version acoustique de Poussières.
Le pari n’était pas nécessairement facile à relever. Montréal et son public sont-ils faits pour des concerts intimes ? Les salles Montréalaises sont-elle réellement adaptées à des spectacles où l’échange avec le spectateur constitue l’un des éléments principaux du succès de la représentation ? À ces questions, Wilfred Le Bouthillier a répondu un oui franc et massif lors de sa magnifique interprétation acoustique des titres de ses deux albums au Gesù, le vendredi 28 mars dernier.
C’est un public de fans qui avait pris d’assaut les 450 sièges de la salle de la rue de Bleury. Et aussitôt que Wilfred et ses musiciens entonnaient une chanson, on pouvait lire son refrain sur toutes les lèvres. Entre chaque titre, l’artiste revenait (souvent avec humour) sur son parcours musical, n’hésitant pas à échanger quelques propos avec des spectateurs très participatifs. Le quatuor formé avec Jacques Roy « le réservé » (basse et contrebasse), Shawn Sasyniuk (percussions et mandoline) le « rigolo » et Sylvain Quesnel (guitare) « l’affectif » fonctionne à merveille. Ces quatre gars-là sont de vrais chums et ça se sent. Cette ambiance d’une soirée entre amis était renforcée par la très grande qualité des éclairages de Benoît Marion. Belle idée par exemple que d’avoir parsemé la scène du Gesù de nombreuses bougies, diffusant une lumière favorisant l’intimisme et la chaleur. Plusieurs ovations debout ont salué la performance de Wilfred. La première semble même avoir surpris l’artiste après sa magnifique interprétation de Réveil, titre tiré du répertoire de son idole Zachary Richard. C’est ainsi que les 90 minutes du spectacle de Wilfred Le Bouthillier ont filé, sans même s’en apercevoir. Alors que les quatre garçons courbaient l’échine pour saluer le public, côté salle on se disait : « déjà ? ». Un peu comme lorsqu’on arrive au terme d’une soirée de retrouvailles entre vieux amis.
Ce sera désormais aux publics du Théâtre des quatre sœurs de Saint-André-Avellin (le vendredi 25 avril) et de l’Opéra cabaret urbain de Chicoutimi (le mercredi 30 avril) d’avoir la chance d’assister à la tournée acoustique de Wilfred.
Source : http://www.wilfredlebouthillier.com
C’est devant un public nombreux et conquis que Wilfred Le Bouthillier présentait pour la première fois à Montréal la version acoustique de Poussières.
Le pari n’était pas nécessairement facile à relever. Montréal et son public sont-ils faits pour des concerts intimes ? Les salles Montréalaises sont-elle réellement adaptées à des spectacles où l’échange avec le spectateur constitue l’un des éléments principaux du succès de la représentation ? À ces questions, Wilfred Le Bouthillier a répondu un oui franc et massif lors de sa magnifique interprétation acoustique des titres de ses deux albums au Gesù, le vendredi 28 mars dernier.
C’est un public de fans qui avait pris d’assaut les 450 sièges de la salle de la rue de Bleury. Et aussitôt que Wilfred et ses musiciens entonnaient une chanson, on pouvait lire son refrain sur toutes les lèvres. Entre chaque titre, l’artiste revenait (souvent avec humour) sur son parcours musical, n’hésitant pas à échanger quelques propos avec des spectateurs très participatifs. Le quatuor formé avec Jacques Roy « le réservé » (basse et contrebasse), Shawn Sasyniuk (percussions et mandoline) le « rigolo » et Sylvain Quesnel (guitare) « l’affectif » fonctionne à merveille. Ces quatre gars-là sont de vrais chums et ça se sent. Cette ambiance d’une soirée entre amis était renforcée par la très grande qualité des éclairages de Benoît Marion. Belle idée par exemple que d’avoir parsemé la scène du Gesù de nombreuses bougies, diffusant une lumière favorisant l’intimisme et la chaleur. Plusieurs ovations debout ont salué la performance de Wilfred. La première semble même avoir surpris l’artiste après sa magnifique interprétation de Réveil, titre tiré du répertoire de son idole Zachary Richard. C’est ainsi que les 90 minutes du spectacle de Wilfred Le Bouthillier ont filé, sans même s’en apercevoir. Alors que les quatre garçons courbaient l’échine pour saluer le public, côté salle on se disait : « déjà ? ». Un peu comme lorsqu’on arrive au terme d’une soirée de retrouvailles entre vieux amis.
Ce sera désormais aux publics du Théâtre des quatre sœurs de Saint-André-Avellin (le vendredi 25 avril) et de l’Opéra cabaret urbain de Chicoutimi (le mercredi 30 avril) d’avoir la chance d’assister à la tournée acoustique de Wilfred.
Source : http://www.wilfredlebouthillier.com