Aucune accusation n'a encore été portée contre lui.
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Mais où est Earl Jones?
Re: Mais où est Earl Jones?
Dernière modification par Diane le lun. juil. 27, 2009 3:29 pm, modifié 1 fois.
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Re: Mais où est Earl Jones?
Il y aura une émission spéciale sur Earl Jones ce soir à 19 heures à LCN.
Lison de Gatineau
Re: Mais où est Earl Jones?
J'écoute ça pis ça me rassure pas pentouteLison48 a écrit : Il y aura une émission spéciale sur Earl Jones ce soir à 19 heures à LCN.

- geneviève-2
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Re: Mais où est Earl Jones?
Introuvable depuis trois semaines, le soi-disant conseiller financier montréalais Earl Jones devrait comparaître en cour ce mardi à Montréal.
M. Jones, soupçonné d'avoir détourné jusqu'à 50 millions $ appartenant à des investisseurs, a été cueilli lundi à Montréal par des policiers de la Sûreté du Québec. Menottes aux poignets, M. Jones a été escorté à la sortie d'un immeuble de bureaux de Montréal, vers 13 h, accompagné de son avocat, Jeffrey Boro.
EN VIDÉO:
George Pothier donne les détails
Une entrevue avec une de ses victimes présumées
--------------------------------------------------------------------------------
À VOIR CE SOIR:
Émission spéciale sur Earl Jones à 19 heures
Les deux hommes sont demeurés muets pendant que les enquêteurs faisaient monter M. Jones dans une voiture de police banalisée.
La police a ensuite indiqué par voie de communiqué qu'elle «rencontre le présumé conseiller financier ayant fait l'objet récemment de plaintes de la part d'investisseurs».
M. Jones, qui est âgé de 67 ans, n'avait pas donné signe de vie depuis le début du mois, au moment où il était au coeur d'une controverse suite à des allégations d'avoir fraudé des investisseurs d'un montant pouvant atteindre 50 millions $. Me Boro avait cependant assuré la semaine dernière que son client collaborait avec les autorités.
L'Autorité des marchés financiers (AMF) soupçonne M. Jones d'avoir détourné de 30 à 50 millions $ appartenant à des investisseurs. L'AMF avait bloqué ses comptes et publié un communiqué de presse, expliquant qu'il n'avait pas les titres de compétence requis.
L'organisme de réglementation a indiqué que la présumée fraude ressemblait à une «combine à la Ponzi».
Ce stratagème consiste en une opération d'investissement frauduleuse, avec laquelle le fraudeur verse de l'argent à des investisseurs, tiré de leur propres comptes ou d'argent déboursé par d'éventuels investisseurs, plutôt qu'un réel profit gagné en bourse ou par un autre moyen de placement.
Une telle fraude offre habituellement des gains anormalement élevés, et que d'autres placements ne peuvent garantir, afin d'appâter de nouveaux investisseurs.
Mais la combine de Ponzi s'effondre généralement rapidement, puisque le versement de ces montants requiert un flux monétaire toujours plus grand de la part des investisseurs.
La combine de Ponzi tient son nom de Charles Ponzi, devenu célèbre pour avoir utilisé ce stratagème après qu'il eut émigré d'Italie aux États-Unis en 1903.
M. Ponzi avait passé un certain temps à Montréal, avant d'utiliser sa technique de fraude à Boston.
Les victimes de ce type de fraude sont souvent des amis, de la famille ou des personnes de l'entourage du fraudeur.
La semaine dernière, Me Boro avait plaidé que son client était seul, déprimé et qu'il nourrissait des idées suicidaires.
L'avocat avait justifié que M. Jones avait fui son domicile pour se faire discret après avoir reçu des menaces de mort de la part de clients furieux.
Un communiqué de presse publié par sa famille, la semaine dernière, laissait entendre qu'elle ne savait rien de la présumée escroquerie. L'épouse et la fille de M. Jones signalaient avoir, elles aussi, perdu de l'argent.
M. Jones, soupçonné d'avoir détourné jusqu'à 50 millions $ appartenant à des investisseurs, a été cueilli lundi à Montréal par des policiers de la Sûreté du Québec. Menottes aux poignets, M. Jones a été escorté à la sortie d'un immeuble de bureaux de Montréal, vers 13 h, accompagné de son avocat, Jeffrey Boro.
EN VIDÉO:
George Pothier donne les détails
Une entrevue avec une de ses victimes présumées
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À VOIR CE SOIR:
Émission spéciale sur Earl Jones à 19 heures
Les deux hommes sont demeurés muets pendant que les enquêteurs faisaient monter M. Jones dans une voiture de police banalisée.
La police a ensuite indiqué par voie de communiqué qu'elle «rencontre le présumé conseiller financier ayant fait l'objet récemment de plaintes de la part d'investisseurs».
M. Jones, qui est âgé de 67 ans, n'avait pas donné signe de vie depuis le début du mois, au moment où il était au coeur d'une controverse suite à des allégations d'avoir fraudé des investisseurs d'un montant pouvant atteindre 50 millions $. Me Boro avait cependant assuré la semaine dernière que son client collaborait avec les autorités.
L'Autorité des marchés financiers (AMF) soupçonne M. Jones d'avoir détourné de 30 à 50 millions $ appartenant à des investisseurs. L'AMF avait bloqué ses comptes et publié un communiqué de presse, expliquant qu'il n'avait pas les titres de compétence requis.
L'organisme de réglementation a indiqué que la présumée fraude ressemblait à une «combine à la Ponzi».
Ce stratagème consiste en une opération d'investissement frauduleuse, avec laquelle le fraudeur verse de l'argent à des investisseurs, tiré de leur propres comptes ou d'argent déboursé par d'éventuels investisseurs, plutôt qu'un réel profit gagné en bourse ou par un autre moyen de placement.
Une telle fraude offre habituellement des gains anormalement élevés, et que d'autres placements ne peuvent garantir, afin d'appâter de nouveaux investisseurs.
Mais la combine de Ponzi s'effondre généralement rapidement, puisque le versement de ces montants requiert un flux monétaire toujours plus grand de la part des investisseurs.
La combine de Ponzi tient son nom de Charles Ponzi, devenu célèbre pour avoir utilisé ce stratagème après qu'il eut émigré d'Italie aux États-Unis en 1903.
M. Ponzi avait passé un certain temps à Montréal, avant d'utiliser sa technique de fraude à Boston.
Les victimes de ce type de fraude sont souvent des amis, de la famille ou des personnes de l'entourage du fraudeur.
La semaine dernière, Me Boro avait plaidé que son client était seul, déprimé et qu'il nourrissait des idées suicidaires.
L'avocat avait justifié que M. Jones avait fui son domicile pour se faire discret après avoir reçu des menaces de mort de la part de clients furieux.
Un communiqué de presse publié par sa famille, la semaine dernière, laissait entendre qu'elle ne savait rien de la présumée escroquerie. L'épouse et la fille de M. Jones signalaient avoir, elles aussi, perdu de l'argent.
Je ne reçois pas les messages éclairs
Re: Mais où est Earl Jones?
Il va être accusé au criminel dès le départ, ce qui n'a pas été le cas pour Vincent Lacroix.
Ca va changer quoi ?
Ca va changer quoi ?

Re: Mais où est Earl Jones?
C'Est normal qu'il soit accusé seulement au criminel il n'était pas membre de l'AMF.
Pour ce que ça va changer il va avoir une sentence d'emprisonnement et il sortira au 1/8 de sa peine. Donc en gros à pas grand chose.
Pour ce que ça va changer il va avoir une sentence d'emprisonnement et il sortira au 1/8 de sa peine. Donc en gros à pas grand chose.
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- geneviève-2
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- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Re: Mais où est Earl Jones?
Earl Jones remis en liberté moyennant certaines conditions
La Presse Canadienne
28/07/2009 15h22 - Mise à jour 28/07/2009 15h57
Earl Jones
© PRESSE CANADIENNE/Graham Hughes
Le soi-disant conseiller financier Earl Jones a obtenu une remise en liberté moyennant certaines conditions, cet après-midi, au palais de justice de Montréal, après avoir été formellement accusé de quatre chefs de vol et quatre autres de fraude.
EN VIDÉO:
Pascale Déry a les détails
L'argent de toute une vie envolé
Des accusations supplémentaires pourraient s'ajouter sous peu.
L'avocat Jeffrey Boro a indiqué que son client devrait passer la nuit en liberté.
Earl Jones, qui aurait fait l'objet de plusieurs menaces, n'a pas enregistré de plaidoyer aujourd'hui.
M. Jones a été cueilli hier après-midi au bureau de son avocat, à Montréal, par la Sûreté du Québec (SQ).
L'homme de 67 ans n'avait pas donné signe de vie depuis le début du mois, au moment où il a été plongé dans une controverse, à la suite d'allégations selon lesquelles il aurait fraudé des investisseurs de plusieurs millions de dollars.
L'Autorité des marchés financiers (AMF) soupçonne M. Jones d'avoir détourné de 30 à 50 millions $ appartenant à des investisseurs.
L'organisme de réglementation a indiqué que la présumée fraude ressemblait à une «combine à la Ponzi». Ce stratagème consiste à verser de l'argent à des investisseurs, tiré de leur propres comptes ou d'argent déboursé par d'éventuels investisseurs, plutôt qu'un réel profit gagné en bourse ou par un autre moyen de placement.
La Presse Canadienne
28/07/2009 15h22 - Mise à jour 28/07/2009 15h57
Earl Jones
© PRESSE CANADIENNE/Graham Hughes
Le soi-disant conseiller financier Earl Jones a obtenu une remise en liberté moyennant certaines conditions, cet après-midi, au palais de justice de Montréal, après avoir été formellement accusé de quatre chefs de vol et quatre autres de fraude.
EN VIDÉO:
Pascale Déry a les détails
L'argent de toute une vie envolé
Des accusations supplémentaires pourraient s'ajouter sous peu.
L'avocat Jeffrey Boro a indiqué que son client devrait passer la nuit en liberté.
Earl Jones, qui aurait fait l'objet de plusieurs menaces, n'a pas enregistré de plaidoyer aujourd'hui.
M. Jones a été cueilli hier après-midi au bureau de son avocat, à Montréal, par la Sûreté du Québec (SQ).
L'homme de 67 ans n'avait pas donné signe de vie depuis le début du mois, au moment où il a été plongé dans une controverse, à la suite d'allégations selon lesquelles il aurait fraudé des investisseurs de plusieurs millions de dollars.
L'Autorité des marchés financiers (AMF) soupçonne M. Jones d'avoir détourné de 30 à 50 millions $ appartenant à des investisseurs.
L'organisme de réglementation a indiqué que la présumée fraude ressemblait à une «combine à la Ponzi». Ce stratagème consiste à verser de l'argent à des investisseurs, tiré de leur propres comptes ou d'argent déboursé par d'éventuels investisseurs, plutôt qu'un réel profit gagné en bourse ou par un autre moyen de placement.
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