Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Modérateur : Elise-Gisèle
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
ça va tu finir avec Simon qui va devenir Simone, qui va marier Olivier ?
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
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Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Aveux
7Jours
Aveux: Enfin, les aveux de Simon?
Mardi 24 novembre, 21 h
Après l’acte qu’il a commis lors de sa soirée à l’opéra avec Olivier (Benoît McGinnis), Simon (Maxime Denommée) ne peut plus cacher son passé. Enfin, il devra tout avouer et lever le voile sur sa relation avec Jean-Pierre Dubreuil (Pier Paquette). La libération de ses secrets ne se fera pas sans heurt, bien au contraire. Est-ce qu’après le choc, une réconciliation avec ses proches sera possible? http://7jours.canoe.ca/tele/general/200 ... 71-7j.html#" onclick="window.open(this.href);return false;
7Jours
Aveux: Enfin, les aveux de Simon?
Mardi 24 novembre, 21 h
Après l’acte qu’il a commis lors de sa soirée à l’opéra avec Olivier (Benoît McGinnis), Simon (Maxime Denommée) ne peut plus cacher son passé. Enfin, il devra tout avouer et lever le voile sur sa relation avec Jean-Pierre Dubreuil (Pier Paquette). La libération de ses secrets ne se fera pas sans heurt, bien au contraire. Est-ce qu’après le choc, une réconciliation avec ses proches sera possible? http://7jours.canoe.ca/tele/general/200 ... 71-7j.html#" onclick="window.open(this.href);return false;
Lison de Gatineau
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Wow déjà le résumé du dernier épsiode...Lison48 a écrit : Aveux
7Jours
Aveux: Enfin, les aveux de Simon?
Mardi 24 novembre, 21 h
Après l’acte qu’il a commis lors de sa soirée à l’opéra avec Olivier (Benoît McGinnis), Simon (Maxime Denommée) ne peut plus cacher son passé. Enfin, il devra tout avouer et lever le voile sur sa relation avec Jean-Pierre Dubreuil (Pier Paquette). La libération de ses secrets ne se fera pas sans heurt, bien au contraire. Est-ce qu’après le choc, une réconciliation avec ses proches sera possible? http://7jours.canoe.ca/tele/general/200 ... 71-7j.html#" onclick="window.open(this.href);return false;
On en conclut que mardi il couchera avec Olivier hen..
Dans le fond, il était amoureux de Jean-Pierre... il doit avoir eu de la peine de sa mort... et ce serait pour ça qu'il est parti à 18 ans ?
Et il est gay...
Après une attente interminable et parsemée d'embûches, bébé Hugo est dans nos vies depuis mars 2017.

BB2 est arrivée !


BB2 est arrivée !

Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Rahhh j'comprend tellement pu rien, à chaque émission je suis de plus en plus mélangée! 

Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Beau portrait de l'auteur de Aveux, Serge Boucher, dans La Presse d'aujourd'hui
Publié le 14 novembre 2009 à 06h00
Serge Boucher : passer aux aveux
Nathalie Petrowski
La Presse
Avant la série Aveux, Serge Boucher avait beaucoup écrit pour le théâtre mais toujours dit non à la télévision. Même en disant oui à la SRC, il est passé à un doigt d'abandonner, au moins trois fois, un projet qu'il croyait ne pas maîtriser. Heureusement, Serge Boucher a persévéré et accouché, pour notre plus grand bonheur et le sien, de la série la plus fascinante de l'automne.
Serge Boucher, 46 ans, aime raconter qu'il est né à l'âge de 4 ans sur une banquette du resto Chez Denis, à Disraeli. Le restaurant appartenait à ses parents, Denis et Claire, et d'aussi loin qu'il se souvienne, tous ses souvenirs d'enfance partent de ce lieu qui lui offrait aussi bien des visages, des dialogues et des personnages qu'un point de vue sur le monde.
«Le resto était ouvert 24 heures sur 24. On l'appelait le Petit Montréal parce que le monde des environs venait y faire son tour. Moi, je pouvais passer des heures devant le passe-plat à regarder les habitués et les serveuses. Comme le resto servait aussi de terminus d'autobus, le vendredi soir, je voyais les topless débarquer avec leurs postiches et leurs talons hauts. Des années plus tard, à la polyvalente, quand j'ai découvert le théâtre de Michel Tremblay, c'était comme retrouver mon monde à moi.»
L'entrevue vient à peine de commencer, dans la salle de réunion d'une agence, que Serge Boucher m'a déjà déballé avec force détails et un regard attendri tout un pan de sa vie à Disraeli, à Victoriaville et même à Napierville, où il a enseigné le français au secondaire pendant 17 ans.
Constat: non seulement Serge Boucher est un auteur de théâtre prolifique qui a plus d'une demi-douzaine de pièces à son actif, mais il est un verbomoteur impénitent, voire un livre ouvert que l'autocensure ne semble pas avoir trop contaminé.
Pourtant, dans des pièces comme Motel Hélène ou 24 poses, ses personnages parlent abondamment, mais généralement pour ne rien dire ou pour cacher quelque chose: un malaise, un vide, une souffrance, un lourd secret de famille. C'est aussi le cas dans la série Aveux, l'histoire d'un jeune de 18 ans qui a fui sa famille d'adoption et qui, 10 ans plus tard, après avoir refait sa vie sous une autre identité, est rattrapé par son passé.
«Mon moteur, c'est d'abord et avant tout la cellule familiale, mais c'est vrai que j'ai une grande fascination pour le non-dit, pour ce qui est entre les lignes, pour le malaise, en fin de compte. Dans le cas d'Aveux, le malaise est dû à un énorme malentendu et au fait que, si tout le monde avait ouvert sa gueule au bon moment et avoué chacun sa petite affaire, on aurait évité bien des drames.»
Paradoxal
Ironiquement, celui qui sait si bien faire éclater les malaises sur scène ou au petit écran évite de le faire au quotidien.
«Ma plus grande peur, dans la vie, c'est de faire de la peine aux autres et de les blesser avec mes paroles. Je suis le dernier qui veut que ça pète dans les soupers de famille. Je sais que ça peut sembler paradoxal, mais disons que ce n'est pas le seul paradoxe qui m'habite. Enfant, une partie de moi voulait être Joël Denis et danser les claquettes, et l'autre partie voulait être moine.»
Joël Denis a gagné la première manche puisque, à l'adolescence, Boucher a effectivement remporté des championnats de danse à claquettes. À cette époque, ses parents avaient vendu leur resto et tenaient un dépanneur à Victoriaville. Serge, le plus jeune des trois enfants, avait un autre grand rêve après les claquettes: celui d'être le plus grand acteur au monde.
À 17 ans, il est accepté à l'Option-théâtre du cégep Lionel-Groulx et croit que son rêve est sur le point de se réaliser. Erreur.
«Ç'a été ma première grande claque sur la gueule parce que, jusqu'à ce moment-là, je n'avais douté de rien, surtout pas de moi-même ni de ma petite taille. Et là tout à coup, je me voyais comme je ne m'étais jamais vu. Résultat: j'ai passé trois ans à me déconstruire. J'ai perdu toute confiance en moi et, à 20 ans, je suis sorti de l'école avec un cuisant sentiment d'échec. Je savais que je n'avais pas le talent pour devenir acteur, mais j'avais la certitude que ma place était au théâtre. Le problème, c'est que je n'avais aucune idée de la façon d'y parvenir. Ç'a été ma période tunnel.»
Pour sortir du tunnel, Boucher retourne vivre chez ses parents, à Victo, et les aide au dépanneur. Puis, ayant économisé suffisamment d'argent, il s'inscrit à l'UQAM en enseignement de la langue maternelle au secondaire.
«La première année de mon bac, je me suis mis à écrire ma première pièce de théâtre dans le sous-sol de mes parents . Et tout de suite, devant cet univers hyperréaliste qui était en train de prendre forme, j'ai senti que je tenais quelque chose comme une couleur personnelle.»
De l'école à la télé
Sa première pièce s'intitule Natures mortes. C'est Michel Tremblay, lui-même en personne, qui la met en scène au Quat'Sous. Entre-temps, Serge Boucher a commencé à enseigner à temps plein à l'école secondaire Pierre-Bédard, à Saint-Rémi. Il a une centaine d'élèves divisés en quatre groupes. Et contre toute attente, l'enseignement le comble.
«J'ai commencé à enseigner pour gagner ma vie, mais j'ai été pris à mon propre piège. J'ai aimé ça. L'école a été ma bouée, ma base, ma sécurité. J'ai pris un plaisir immense à enseigner, mais je dois avouer aussi que ça a fait mon affaire d'être enseignant. Je veux dire : d'avoir cette étiquette-là et d'être quelqu'un de normal, sans démesure, plutôt qu'une bébitte. Mon besoin de me conformer était tel que j'ai mis des années à assumer que, en plus d'être enseignant, j'étais aussi auteur de théâtre.»
Pourtant, l'auteur de théâtre ne chôme pas. À partir de 1998, Boucher écrit pratiquement une pièce par année. Toutes seront couronnées de succès depuis Motel Hélène, Les bonbons qui sauvent la vie, Avec Norm, Là et 24 poses, qui fera l'objet d'une captation télé et qui lui ouvrira les portes de la télévision.
En réalité, les portes de la télévision lui sont ouvertes depuis longtemps, mais Boucher n'a pas envie de faire le saut. Il gagne bien sa vie dans l'enseignement. Écrire pour le théâtre le comble entièrement. Pourquoi prendre le risque d'aller nager dans des eaux inconnues et de s'y noyer? Après avoir longtemps hésité, il finit par se laisser convaincre d'écrire une suite télé à 24 poses. Mais, six mois plus tard, il abandonne le projet et propose plutôt l'ébauche de ce qui deviendra Aveux.
«Je suis parti avec la question: comment peut-on passer à côté de ce que les autres sont en train de vivre ou de mourir? Mais au bout de trois épisodes, j'ai voulu tout lâcher. Je me regardais écrire et j'entendais une petite voix qui me critiquait tout le temps et qui me disait que j'étais en train de fabriquer une maison Bonneville plutôt qu'une authentique maison en bois. Et puis, juste au moment où j'allais tout abandonner, est arrivée Myriam Pavlovic, une femme d'une grande humanité et conseillère à la scénarisation hors pair, qui m'a rebranché sur le projet et redonné la foi. Je ne la remercierai jamais assez.»
Au bout du compte, Serge Boucher a mis cinq ans de sa vie à écrire Aveux, cinq ans où il n'a jamais vu ou imaginé une seule image dans sa tête.
«Au théâtre, ce qui compte avant tout, c'est le ton. On écoute plus qu'on regarde. C'est pour ça que de voir ce que j'avais écrit mis en images par Claude Desrosiers a été un choc autant qu'une révélation.»
Depuis, Serge Boucher l'avoue sans ambages: Aveux lui a donné la piqûre de la télévision. Il n'abandonne pas le théâtre pour autant. Sa nouvelle pièce, Excuse-moi, sera montée chez Duceppe au printemps. En attendant, il planche déjà sur une nouvelle série. Le titre de travail? Apparences. Le sujet? Impossible de lui faire avouer...
Publié le 14 novembre 2009 à 06h00
Serge Boucher : passer aux aveux
Nathalie Petrowski
La Presse
Avant la série Aveux, Serge Boucher avait beaucoup écrit pour le théâtre mais toujours dit non à la télévision. Même en disant oui à la SRC, il est passé à un doigt d'abandonner, au moins trois fois, un projet qu'il croyait ne pas maîtriser. Heureusement, Serge Boucher a persévéré et accouché, pour notre plus grand bonheur et le sien, de la série la plus fascinante de l'automne.
Serge Boucher, 46 ans, aime raconter qu'il est né à l'âge de 4 ans sur une banquette du resto Chez Denis, à Disraeli. Le restaurant appartenait à ses parents, Denis et Claire, et d'aussi loin qu'il se souvienne, tous ses souvenirs d'enfance partent de ce lieu qui lui offrait aussi bien des visages, des dialogues et des personnages qu'un point de vue sur le monde.
«Le resto était ouvert 24 heures sur 24. On l'appelait le Petit Montréal parce que le monde des environs venait y faire son tour. Moi, je pouvais passer des heures devant le passe-plat à regarder les habitués et les serveuses. Comme le resto servait aussi de terminus d'autobus, le vendredi soir, je voyais les topless débarquer avec leurs postiches et leurs talons hauts. Des années plus tard, à la polyvalente, quand j'ai découvert le théâtre de Michel Tremblay, c'était comme retrouver mon monde à moi.»
L'entrevue vient à peine de commencer, dans la salle de réunion d'une agence, que Serge Boucher m'a déjà déballé avec force détails et un regard attendri tout un pan de sa vie à Disraeli, à Victoriaville et même à Napierville, où il a enseigné le français au secondaire pendant 17 ans.
Constat: non seulement Serge Boucher est un auteur de théâtre prolifique qui a plus d'une demi-douzaine de pièces à son actif, mais il est un verbomoteur impénitent, voire un livre ouvert que l'autocensure ne semble pas avoir trop contaminé.
Pourtant, dans des pièces comme Motel Hélène ou 24 poses, ses personnages parlent abondamment, mais généralement pour ne rien dire ou pour cacher quelque chose: un malaise, un vide, une souffrance, un lourd secret de famille. C'est aussi le cas dans la série Aveux, l'histoire d'un jeune de 18 ans qui a fui sa famille d'adoption et qui, 10 ans plus tard, après avoir refait sa vie sous une autre identité, est rattrapé par son passé.
«Mon moteur, c'est d'abord et avant tout la cellule familiale, mais c'est vrai que j'ai une grande fascination pour le non-dit, pour ce qui est entre les lignes, pour le malaise, en fin de compte. Dans le cas d'Aveux, le malaise est dû à un énorme malentendu et au fait que, si tout le monde avait ouvert sa gueule au bon moment et avoué chacun sa petite affaire, on aurait évité bien des drames.»
Paradoxal
Ironiquement, celui qui sait si bien faire éclater les malaises sur scène ou au petit écran évite de le faire au quotidien.
«Ma plus grande peur, dans la vie, c'est de faire de la peine aux autres et de les blesser avec mes paroles. Je suis le dernier qui veut que ça pète dans les soupers de famille. Je sais que ça peut sembler paradoxal, mais disons que ce n'est pas le seul paradoxe qui m'habite. Enfant, une partie de moi voulait être Joël Denis et danser les claquettes, et l'autre partie voulait être moine.»
Joël Denis a gagné la première manche puisque, à l'adolescence, Boucher a effectivement remporté des championnats de danse à claquettes. À cette époque, ses parents avaient vendu leur resto et tenaient un dépanneur à Victoriaville. Serge, le plus jeune des trois enfants, avait un autre grand rêve après les claquettes: celui d'être le plus grand acteur au monde.
À 17 ans, il est accepté à l'Option-théâtre du cégep Lionel-Groulx et croit que son rêve est sur le point de se réaliser. Erreur.
«Ç'a été ma première grande claque sur la gueule parce que, jusqu'à ce moment-là, je n'avais douté de rien, surtout pas de moi-même ni de ma petite taille. Et là tout à coup, je me voyais comme je ne m'étais jamais vu. Résultat: j'ai passé trois ans à me déconstruire. J'ai perdu toute confiance en moi et, à 20 ans, je suis sorti de l'école avec un cuisant sentiment d'échec. Je savais que je n'avais pas le talent pour devenir acteur, mais j'avais la certitude que ma place était au théâtre. Le problème, c'est que je n'avais aucune idée de la façon d'y parvenir. Ç'a été ma période tunnel.»
Pour sortir du tunnel, Boucher retourne vivre chez ses parents, à Victo, et les aide au dépanneur. Puis, ayant économisé suffisamment d'argent, il s'inscrit à l'UQAM en enseignement de la langue maternelle au secondaire.
«La première année de mon bac, je me suis mis à écrire ma première pièce de théâtre dans le sous-sol de mes parents . Et tout de suite, devant cet univers hyperréaliste qui était en train de prendre forme, j'ai senti que je tenais quelque chose comme une couleur personnelle.»
De l'école à la télé
Sa première pièce s'intitule Natures mortes. C'est Michel Tremblay, lui-même en personne, qui la met en scène au Quat'Sous. Entre-temps, Serge Boucher a commencé à enseigner à temps plein à l'école secondaire Pierre-Bédard, à Saint-Rémi. Il a une centaine d'élèves divisés en quatre groupes. Et contre toute attente, l'enseignement le comble.
«J'ai commencé à enseigner pour gagner ma vie, mais j'ai été pris à mon propre piège. J'ai aimé ça. L'école a été ma bouée, ma base, ma sécurité. J'ai pris un plaisir immense à enseigner, mais je dois avouer aussi que ça a fait mon affaire d'être enseignant. Je veux dire : d'avoir cette étiquette-là et d'être quelqu'un de normal, sans démesure, plutôt qu'une bébitte. Mon besoin de me conformer était tel que j'ai mis des années à assumer que, en plus d'être enseignant, j'étais aussi auteur de théâtre.»
Pourtant, l'auteur de théâtre ne chôme pas. À partir de 1998, Boucher écrit pratiquement une pièce par année. Toutes seront couronnées de succès depuis Motel Hélène, Les bonbons qui sauvent la vie, Avec Norm, Là et 24 poses, qui fera l'objet d'une captation télé et qui lui ouvrira les portes de la télévision.
En réalité, les portes de la télévision lui sont ouvertes depuis longtemps, mais Boucher n'a pas envie de faire le saut. Il gagne bien sa vie dans l'enseignement. Écrire pour le théâtre le comble entièrement. Pourquoi prendre le risque d'aller nager dans des eaux inconnues et de s'y noyer? Après avoir longtemps hésité, il finit par se laisser convaincre d'écrire une suite télé à 24 poses. Mais, six mois plus tard, il abandonne le projet et propose plutôt l'ébauche de ce qui deviendra Aveux.
«Je suis parti avec la question: comment peut-on passer à côté de ce que les autres sont en train de vivre ou de mourir? Mais au bout de trois épisodes, j'ai voulu tout lâcher. Je me regardais écrire et j'entendais une petite voix qui me critiquait tout le temps et qui me disait que j'étais en train de fabriquer une maison Bonneville plutôt qu'une authentique maison en bois. Et puis, juste au moment où j'allais tout abandonner, est arrivée Myriam Pavlovic, une femme d'une grande humanité et conseillère à la scénarisation hors pair, qui m'a rebranché sur le projet et redonné la foi. Je ne la remercierai jamais assez.»
Au bout du compte, Serge Boucher a mis cinq ans de sa vie à écrire Aveux, cinq ans où il n'a jamais vu ou imaginé une seule image dans sa tête.
«Au théâtre, ce qui compte avant tout, c'est le ton. On écoute plus qu'on regarde. C'est pour ça que de voir ce que j'avais écrit mis en images par Claude Desrosiers a été un choc autant qu'une révélation.»
Depuis, Serge Boucher l'avoue sans ambages: Aveux lui a donné la piqûre de la télévision. Il n'abandonne pas le théâtre pour autant. Sa nouvelle pièce, Excuse-moi, sera montée chez Duceppe au printemps. En attendant, il planche déjà sur une nouvelle série. Le titre de travail? Apparences. Le sujet? Impossible de lui faire avouer...
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
est-ce la main de carl ou la maisn de Jean-Pierre qui prend celle de l'autre?
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
la main de carl
- geneviève-2
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- Inscription : jeu. août 25, 2005 12:00 am
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Carl-Simon est-t-il gay, bi? et son ami va-t-il mourir?
Je ne reçois pas les messages éclairs
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
je ne crois pas qu'Olivier va mourrir... par contre, je sens que Carl/Simon a des tendances homosexuel qu'il essaie d'oublier en se disant qu'il aime brigitte et qu'il a peur de la perdre... au fond... il est probablement homosexuel puisque c'est lui qui prend la main de Jean-Pierre... et l'eau qu'est ce que sa signifie?
- lllBeautifulll
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Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Si Carl/Simon fini par faire son coming out à sa femme va-t-elle se faire avorter par la suite?
En audition, Ron Jeremy a toujours une ''longueur d'avance'' sur le autres.
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
J'ai comme l'impression moi qu'il a genre 2 personalités: Carl est guay, Simon est hétéro... ca fait t'il de lui un bi? je sais pas mais c'est le feeling que ca me donne!!!
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Toute cette série là juste pour avouer qu'il est gay? Non mais de nos jours, c'est pas si grave que ça être homosexuel...et pourquoi avoir fait une émission avec Sandrine. Là je comprends pu ou ça s'en va. De toute facon je comprends pas pourquoi l'auteur a fait mourir Pauline. C'était bon quand elle était là, j'aimais sa facon de jouer, beaucoup plus que Micheline. D'ailleurs, Charles et Micheline vont tomber en amour...ça fait longtemps qu'il s'aimait et qu'ils n'osait pas se l'avouer
Je crois que je n'aurai pas réponse à toutes mes questions

Je crois que je n'aurai pas réponse à toutes mes questions
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Wow ça finissait drôlement hier ! On aurait dit que Carl se battait contre lui-même...J'ai hâte de voir comment ça va finir tout ça.
"L'âme n'a point de secret que la conduite ne révèle."
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Je dois avouer que si c'est juste sur le fait qu'il est guay, le punch est un peu nul mais faut quand même avouer qu'ils nous ont garder en haleine du début a la fin, le suspence dans cet emission était vraiment bonne!july1980 a écrit : Toute cette série là juste pour avouer qu'il est gay? Non mais de nos jours, c'est pas si grave que ça être homosexuel...et pourquoi avoir fait une émission avec Sandrine. Là je comprends pu ou ça s'en va. De toute facon je comprends pas pourquoi l'auteur a fait mourir Pauline. C'était bon quand elle était là, j'aimais sa facon de jouer, beaucoup plus que Micheline. D'ailleurs, Charles et Micheline vont tomber en amour...ça fait longtemps qu'il s'aimait et qu'ils n'osait pas se l'avouer![]()
Je crois que je n'aurai pas réponse à toutes mes questions
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
D apres moi il est comme sandrine et ne veut pas l avouer. C est pour ca qu elle semble vouloir l accoter au pied du mur, elle voit clair...
[img]http://img403.imageshack.us/img403/1998/rubanrosext5.jpg[/img] [size=150][i]Un jour j'irai vivre en Théorie, car en Théorie tout se passe bien[/i][/size]
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
On dirait que ça va finir en queue de poisson cette série là, on a déjà vu ça. Son secret c'est qu'il était amoureux ce JP et selon ce qu'on a vu à la toute fin hier, il serait homosexuel et comme Sandrine est dans le décor, c'est pas pour rien.
D'une série dramatique quand je vois René Gagnon dans son rôle de Sandrine, ça devient une comédie burlesque.
D'une série dramatique quand je vois René Gagnon dans son rôle de Sandrine, ça devient une comédie burlesque.

Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Carl/Simon, j`imagine que c`est pour celà qu`il n`aimait pas Pauline, elle a tué son amour. Et je crois que Charles a deviné qui est Carl/Simon, qu`il serait comme son père, Sandrine . Et Carl n`est pas capable de l`avouer aux autres. Il aimait J-Pierre, J-Pierre mort, c`est à partir de là qu`il a commencé à se mentir à lui-même pour son identité sexuelle et à fabuler. En fait, c`est un bisexuel.
Et j`ai aussi rit en même temps que le beau-frère de Carl quand il a vu Sandrine....disons que ca faisait comique..
Pourquoi le vandalisme chez Monique?....si la série n`aura été que pour la bisexualité ou l`homosexualité, c`est nul quant à moi...d`ailleurs, c`était plein de nullités tout le long.
Et j`ai aussi rit en même temps que le beau-frère de Carl quand il a vu Sandrine....disons que ca faisait comique..
Pourquoi le vandalisme chez Monique?....si la série n`aura été que pour la bisexualité ou l`homosexualité, c`est nul quant à moi...d`ailleurs, c`était plein de nullités tout le long.
« Il n’existe que deux choses infinies, l’univers et la bêtise humaine... mais pour l'univers, je n'ai pas de certitude absolue. »
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
nijaocet a écrit : J'ai comme l'impression moi qu'il a genre 2 personalités: Carl est guay, Simon est hétéro... ca fait t'il de lui un bi? je sais pas mais c'est le feeling que ca me donne!!!
Moi je dirais que ça donne un trans-sexuel ?

[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
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Vive le fun de vivre !!![/i][/color]
[img]http://www.domainebleu.ca/images/sigdb.gif[/img]
Re: Aveux à Radio-Canada à l'automne 2009
Voici une partie du texte sur la finale d'Aveux dans le TV Hebdo:
Simon a menti à tout le monde pendant plusieurs années et s'et même inventé une nouvelle vie, mais il l'a fait pour protéger les autres. C'est un coeur pur, et nous allons comprendre pourquoi il a agi ainsi. Simon détient un secret si troublant qu'il n'a jamais pu en parler à personne. Il y a une part de lui-même qu'il n'a jamais voulu laisser remonter à la surface. En avouant ce grand secret, il pourra enfin se libérer et faire la paix avec Carl, le petit grarçon qui est mort il y a plusieurs années quelque part sur la route entre La Tuque et Montréal. Le dernier épisode vient boucler la boucle pour Simon.
Simon a menti à tout le monde pendant plusieurs années et s'et même inventé une nouvelle vie, mais il l'a fait pour protéger les autres. C'est un coeur pur, et nous allons comprendre pourquoi il a agi ainsi. Simon détient un secret si troublant qu'il n'a jamais pu en parler à personne. Il y a une part de lui-même qu'il n'a jamais voulu laisser remonter à la surface. En avouant ce grand secret, il pourra enfin se libérer et faire la paix avec Carl, le petit grarçon qui est mort il y a plusieurs années quelque part sur la route entre La Tuque et Montréal. Le dernier épisode vient boucler la boucle pour Simon.
Lison de Gatineau