La question constitutionnelle.Acrux a écrit : [...]
Si tu aurais hésité entre le PQ et le PLQ j'aurais compris (puisqu'ils ont le même programme), mais entre le PQ et QS je ne comprend pas trop...
Course à la succession à l'ADQ
Re: Course à la succession à l'ADQ
Re: Course à la succession à l'ADQ
Y a eu deux seuls partis à parler de constition aux dernières élections : QS et ADQ...tipet a écrit : [...]
La question constitutionnelle.
Même Charest avait plus envie d'en parler que Marois...
Re: Course à la succession à l'ADQ
Acrux...tu sais ce que je veux direAcrux a écrit : [...]
Y a eu deux seuls partis à parler de constition aux dernières élections : QS et ADQ...
Même Charest avait plus envie d'en parler que Marois...
Il y a 2 partis souverainistes et c'est le PQ et QS.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Acrux a écrit : [...]
Si tu aurais hésité entre le PQ et le PLQ j'aurais compris (puisqu'ils ont le même programme), mais entre le PQ et QS je ne comprend pas trop...
Ce n'est pas parce que les adéquistes trouvent que le PQ et le PLQ sont 2 vieux partis, qu'ils se ressemblent pour autant. Oui c,est la bataille continuelle entre fédéralistes et souverainistes, bataille qui je te le concède est ennuyannte au max..........mais les différences entre les 2 me semblent pourtant assez clairs.....
Re: Course à la succession à l'ADQ
Pour moi, le seul parti souverainiste aux denières élections c'était QS, le PQ quant à lui ne faisait que garder l'image...tipet a écrit : [...]
Acrux...tu sais ce que je veux dire
Avec donc comme unique priorité la souveraineté, je ne m'aurais même pas poser la question, j'aurais voté QS.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Ça n'a rien à voir avec être adéquiste ou non, et de plus qui t'a dit que j'avais voté ADQ toi?tuberale a écrit : [...]
Ce n'est pas parce que les adéquistes trouvent que le PQ et le PLQ sont 2 vieux partis, qu'ils se ressemblent pour autant. Oui c,est la bataille continuelle entre fédéralistes et souverainistes, bataille qui je te le concède est ennuyannte au max..........mais les différences entre les 2 me semblent pourtant assez clairs.....
Il suffisait de lire les programmes.
Re: Course à la succession à l'ADQ
http://www.ledevoir.com/politique/quebe ... -copie-qui" onclick="window.open(this.href);return false;
Re: Course à la succession à l'ADQ
Le point 1.1 du programme du PQ est de faire l'indépendance du québec, je pense que leurs intentions sont assez clairesAcrux a écrit : [...]
Pour moi, le seul parti souverainiste aux denières élections c'était QS, le PQ quant à lui ne faisait que garder l'image...
Avec donc comme unique priorité la souveraineté, je ne m'aurais même pas poser la question, j'aurais voté QS.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Je parlais de DumontAcrux a écrit : [...]
Ça n'a rien à voir avec être adéquiste ou non, et de plus qui t'a dit que j'avais voté ADQ toi?
Il suffisait de lire les programmes.
pendant très longtemps il clamait la similitude des 2 vieux partis....empêtrés dans la lutte constitutionnelle. Ce qui fait que les adeptes de son parti , même s'il n'en est plus le chef propage cette formule même aujourd'hui.Aux dernières élections on parlait beaucoup que Charest avaient volé des idées à l'ADQ et au PQ et aussi si le PQ parle d'économie on peut plus y associer des idées libérales eux qui ne parlent que de ça....mais il demeure en gros des différences notables entre les 2 en-dehors d'un référendum. Peux-tu imaginer toi les libéraux faire les garderies à 5$ ???? mais on a très bien vu ceux-ci lorsqu'ils sont revenus au pouvoir ramasser la manne des idées péquistes qui étaient en cours de réalisation à l'époque.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Faut croire que non... Je ne peux comprendre qu'après tant d'années, l'article 1.1 du programme soit si difficile à lire et surtout à comprendre.tipet a écrit : [...]
Le point 1.1 du programme du PQ est de faire l'indépendance du québec, je pense que leurs intentions sont assez claires
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Re: Course à la succession à l'ADQ
Publié le 22 novembre 2008 à 05h00
Y a-t-il un souverainiste dans la salle?
Le Soleil
Gilbert Lavoie
(Québec) La souveraineté est en hibernation sous Pauline Marois. En temps normal, j'aurais déjà reçu plusieurs courriels critiques des souverainistes purs et durs depuis le début de cette campagne électorale. Cette année, presque rien. Jusqu'à maintenant, les libéraux ont été les plus nombreux à prendre la plume pour critiquer.
Je n'ai reçu que deux courriels traitant de la souveraineté, un de Montmagny, l'autre de Lotbinière. Les deux arrivaient à la même conclusion : la cause est tellement enfouie «sous les cendres» qu'elle ne va nulle part. Il ne s'agissait pas de critiques, mais de constats résignés. Mario Dumont dirait que c'est bon signe, qu'il est rafraîchissant de voir les candidats débattre de l'économie, de la santé ou de l'éducation, après tant d'années à se quereller sur la souveraineté. Mais il est tout de même surprenant de voir à quel point Mme Marois a réussi à enterrer cette question, après s'être libérée de l'obligation de tenir un référendum.
«Je m'engage...»
Pauline Marois tenaitLes péquistes ont chaudement applaudi sa décision de soustraire le parti de son obligation de tenir un référendum dans un prochain mandat. Mais cette décision s'accompagnait d'u pourtant un discours radical pendant la campagne à la direction de son parti, en 2005. «Je m'engage à ce que l'indépendance soit au coeur de la prochaine campagne électorale, franchement, ouvertement, honnêtement. Pour qu'une fois élus, nous puissions, en toute transparence et en toute légitimité, engager les démarches devant nous y conduire.»
Que s'est-il passé depuis 2005? La même chose qui a constamment marqué le cheminement politique de Mme Marois au fil des ans : elle a adapté son discours à l'humeur du temps. Il est donc difficile de savoir précisément à quelle enseigne elle loge.
ne promesse : «Nous allons entreprendre de parler aux Québécois. Pas d'un référendum, mais des raisons qui nous poussent à vouloir notre propre pays.» Huit mois plus tard, les militants sont nombreux, lorsqu'on leur garantit l'anonymat, à constater que Mme Marois a profité de ce changement pour évacuer le discours souverainiste de la campagne. «Elle a tué le projet. C'est tellement vrai que les journalistes ne l'interrogent même plus sur le sujet», m'a fait remarquer un péquiste.
Pas de grogne
Pourtant, on n'entend presque pas de grogne au PQ. Hier, l'ancien président péquiste dans L'Assomption, Ernest Boudreau, a publié un texte demandant à sa chef «d'oser» parler du rêve souverainiste. «Après deux semaines, notre campagne électorale piétine, notre discours ressemble à s'y méprendre à celui de nos adversaires (...) Le temps est venu d'élever le débat, d'ouvrir les horizons, de larguer les amarres.»
Normalement, c'est Jacques Parizeau qui rappelait ses successeurs à l'idéal souverainiste. Les péquistes avaient les yeux rivés sur lui, dimanche soir, lors de sa participation à Tout le monde en parle. Mais depuis que sa femme, Lisette Lapointe, a été élue à l'Assemblée nationale en 2007, M. Parizeau ne brasse plus la cage... Quant aux purs et durs, ils ont pris le maquis dans des groupes marginaux.
Gilles Duceppe a gagné ses élections en ignorant la souveraineté et en proposant de priver Stephen Harper d'une majorité. Pauline Marois tente le même coup contre Jean Charest.
Un leader plus inspirant
La souveraineté est en hibernation, mais pour combien de temps? Les militants interrogés estiment qu'il faudra un leader «plus inspirant» pour ramener leur idéal sur le terrain politique. Les gens qui l'ont côtoyée dans les cabinets politiques ne doutent pas que Mme Marois soit souverainiste, mais ils racontent que contrairement à Jacques Parizeau ou Bernard Landry, elle n'en faisait pas une obsession. En enterrant le débat sur le référendum, Pauline Marois a renforcé l'impression que le rêve est inaccessible, explique un militant, qui estime qu'un chef doit faire l'inverse : «Un chef devient inspirant lorsqu'il a un projet global qui semble possible. Ça donne le goût de faire des choses. Hillary Clinton n'a pas su inspirer ce goût de participer au changement, ce qui explique sa défaite aux mains d'Obama. Jean Lesage l'avait fait avec son ?Maîtres chez nous?.»
Malgré leurs doutes, les péquistes sont satisfaits à l'idée de regagner l'opposition officielle, avec les budgets, les emplois et les privilèges parlementaires qui s'y rattachent. On estime donc que si elle obtient un nombre raisonnable de sièges, Pauline Marois pourra surfer un certain temps sur cette progression. «Mais la journée où les militants vont décider de remettre ça de l'avant, il va falloir que le chef du wagon suive, a déclaré une souverainiste, en confiant que Mme Marois n'a jamais été une locomotive sur cette question.»
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/opi ... -salle.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Y a-t-il un souverainiste dans la salle?
Le Soleil
Gilbert Lavoie
(Québec) La souveraineté est en hibernation sous Pauline Marois. En temps normal, j'aurais déjà reçu plusieurs courriels critiques des souverainistes purs et durs depuis le début de cette campagne électorale. Cette année, presque rien. Jusqu'à maintenant, les libéraux ont été les plus nombreux à prendre la plume pour critiquer.
Je n'ai reçu que deux courriels traitant de la souveraineté, un de Montmagny, l'autre de Lotbinière. Les deux arrivaient à la même conclusion : la cause est tellement enfouie «sous les cendres» qu'elle ne va nulle part. Il ne s'agissait pas de critiques, mais de constats résignés. Mario Dumont dirait que c'est bon signe, qu'il est rafraîchissant de voir les candidats débattre de l'économie, de la santé ou de l'éducation, après tant d'années à se quereller sur la souveraineté. Mais il est tout de même surprenant de voir à quel point Mme Marois a réussi à enterrer cette question, après s'être libérée de l'obligation de tenir un référendum.
«Je m'engage...»
Pauline Marois tenaitLes péquistes ont chaudement applaudi sa décision de soustraire le parti de son obligation de tenir un référendum dans un prochain mandat. Mais cette décision s'accompagnait d'u pourtant un discours radical pendant la campagne à la direction de son parti, en 2005. «Je m'engage à ce que l'indépendance soit au coeur de la prochaine campagne électorale, franchement, ouvertement, honnêtement. Pour qu'une fois élus, nous puissions, en toute transparence et en toute légitimité, engager les démarches devant nous y conduire.»
Que s'est-il passé depuis 2005? La même chose qui a constamment marqué le cheminement politique de Mme Marois au fil des ans : elle a adapté son discours à l'humeur du temps. Il est donc difficile de savoir précisément à quelle enseigne elle loge.
ne promesse : «Nous allons entreprendre de parler aux Québécois. Pas d'un référendum, mais des raisons qui nous poussent à vouloir notre propre pays.» Huit mois plus tard, les militants sont nombreux, lorsqu'on leur garantit l'anonymat, à constater que Mme Marois a profité de ce changement pour évacuer le discours souverainiste de la campagne. «Elle a tué le projet. C'est tellement vrai que les journalistes ne l'interrogent même plus sur le sujet», m'a fait remarquer un péquiste.
Pas de grogne
Pourtant, on n'entend presque pas de grogne au PQ. Hier, l'ancien président péquiste dans L'Assomption, Ernest Boudreau, a publié un texte demandant à sa chef «d'oser» parler du rêve souverainiste. «Après deux semaines, notre campagne électorale piétine, notre discours ressemble à s'y méprendre à celui de nos adversaires (...) Le temps est venu d'élever le débat, d'ouvrir les horizons, de larguer les amarres.»
Normalement, c'est Jacques Parizeau qui rappelait ses successeurs à l'idéal souverainiste. Les péquistes avaient les yeux rivés sur lui, dimanche soir, lors de sa participation à Tout le monde en parle. Mais depuis que sa femme, Lisette Lapointe, a été élue à l'Assemblée nationale en 2007, M. Parizeau ne brasse plus la cage... Quant aux purs et durs, ils ont pris le maquis dans des groupes marginaux.
Gilles Duceppe a gagné ses élections en ignorant la souveraineté et en proposant de priver Stephen Harper d'une majorité. Pauline Marois tente le même coup contre Jean Charest.
Un leader plus inspirant
La souveraineté est en hibernation, mais pour combien de temps? Les militants interrogés estiment qu'il faudra un leader «plus inspirant» pour ramener leur idéal sur le terrain politique. Les gens qui l'ont côtoyée dans les cabinets politiques ne doutent pas que Mme Marois soit souverainiste, mais ils racontent que contrairement à Jacques Parizeau ou Bernard Landry, elle n'en faisait pas une obsession. En enterrant le débat sur le référendum, Pauline Marois a renforcé l'impression que le rêve est inaccessible, explique un militant, qui estime qu'un chef doit faire l'inverse : «Un chef devient inspirant lorsqu'il a un projet global qui semble possible. Ça donne le goût de faire des choses. Hillary Clinton n'a pas su inspirer ce goût de participer au changement, ce qui explique sa défaite aux mains d'Obama. Jean Lesage l'avait fait avec son ?Maîtres chez nous?.»
Malgré leurs doutes, les péquistes sont satisfaits à l'idée de regagner l'opposition officielle, avec les budgets, les emplois et les privilèges parlementaires qui s'y rattachent. On estime donc que si elle obtient un nombre raisonnable de sièges, Pauline Marois pourra surfer un certain temps sur cette progression. «Mais la journée où les militants vont décider de remettre ça de l'avant, il va falloir que le chef du wagon suive, a déclaré une souverainiste, en confiant que Mme Marois n'a jamais été une locomotive sur cette question.»
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Dernière modification par Acrux le mar. nov. 24, 2009 9:06 pm, modifié 1 fois.
Re: Course à la succession à l'ADQ
...et avec le nombre d'années que le PQ a eu le pouvoir..., je trouve ça plutôt long pour accomplir un point 1.1
Re: Course à la succession à l'ADQ
Tu voudrais que le PQ déclenche un référendum chaque fois qu'il prend le pouvoir? Quand même... Tu voudrais que l'élection soit référendaire? Me semble là...Acrux a écrit : ...et avec le nombre d'années que le PQ a eu le pouvoir..., je trouve ça plutôt long pour accomplir un point 1.1
Je n'en écrirai davantage car je ne me sens pas dans le bon sujet pour discuter du PQ. Ici c'est l'ADQ.
Dernière modification par Beppo le mar. nov. 24, 2009 9:28 pm, modifié 1 fois.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Re: Course à la succession à l'ADQ
Ou qu'ils fassent des élections référendaires tout court.Beppo a écrit : [...]
Tu voudrais que le PQ déclenche un référendum chaque fois qu'il prend le pouvoir? Quand même... Tu voudrais que l'élection soit référendaire? Me semble là...
Je n'en écrirai davantage car je ne me sens pas dans le bon sujet pour discuter du PQ. Ici c'est l'ADQ.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Acrux a écrit : [...]
Si tu aurais hésité entre le PQ et le PLQ j'aurais compris (puisqu'ils ont le même programme), mais entre le PQ et QS je ne comprend pas trop...
Je suis souverainiste et je suis de tendance gauche (sans pour autant renier le bon sens qui peut y avoir parfois dans des mesures de droite)
QS est de gauche et est souverainiste
PQ est souverainiste était de gauche jadis mais moins aujourd'hui.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Acrux, citer un article du Soleil qui appartient à Power.....franchement là.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Acrux a écrit : [...]
Ou qu'ils fassent des élections référendaires tout court.
Ça a déjà été longuement débattu.
C'est carrément impossible aujourd'hui. Le PQ ne détient plus l'unanimité souverainiste. Il s'en trouve dans QS, il s'en trouvait un peu dans ADQ et il y en a un peu dans PLQ.
Tu ne peux pas demander à tous les souverainistes de ne voter que pour le PQ.
Ensuite, il y a rarement de partis maintenant qui sont élus par la majorité de la population. Quand un parti élu a 40% des voix, c'est déjà gros. C'est donc impossible de faire avalé à la population que le PQ est en droit de faire du Québec un pays arpès une élection où ils auraient remporter avec 40% des votes.
Re: Course à la succession à l'ADQ
Un côté de la medaille de Taillon
Le Devoir, 26 novembre
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Le Devoir, 26 novembre
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Dernière modification par Diane le jeu. nov. 26, 2009 11:30 am, modifié 1 fois.
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Re: Course à la succession à l'ADQ
Diane a écrit : Un côté de la medaille de Taillon
Le Devoir, 26 novembre
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Moi par contre je le savais qu'il avait été un membre du syndicat très actif. La raison est que j'ai travaillé dans une commission scolaire et il était Directeur du personnel et moi présidente du syndicat du personnel de soutien. Il m'en avait fait mention car je lui avais dit que c'était plus facile de discuter et négocier avec lui qu'avec l'ancienne Directrice du personnel qui sautait sur les grands chevaux, qui pétait des crises de larmes tellement elle était frustré lors de certaines négociations et c'est à ce moment là qu'il m'a dit qu'il avait été de l'autre côté lui aussi (syndicaliste). Le Gilles Taillon que l'on parle dans les journaux n'est pas le même que j'ai connu dans ce temps là. Je trouve celà désolant car il était très apprécié à notre commission scolaire.
Dernière modification par Carmelle le sam. nov. 28, 2009 6:23 pm, modifié 1 fois.
[img]http://i215.photobucket.com/albums/cc194/carmelle2/DSCN1249.jpg[/img][img]http://i215.photobucket.com/albums/cc194/carmelle2/thbeebeb.jpg[/img][img]http://i215.photobucket.com/albums/cc194/carmelle2/divers037.jpg[/img]
Re: Course à la succession à l'ADQ
J'ai oublié de mentionner qu'on m'a déjà dit quand j'ai pris un cours pour rédiger un c.v que c'était pas toujours bon de dire que l'on avait occupé un poste au niveau syndical car souvent les employeurs veulent pas de gens qui ont été actif syndicalement et que ca pourrait m'enlever la chance d'avoir un bon poste. Donc je l'ai jamais mit mais j'en ai parlé part après quand j'ai obtenu un poste car les employés disaient souvent que j'avais pas peur de parler au patron et je leur disait j'ai fondé un syndicat et j'ai été présidente donc les patrons me font pas peur....lol et je suis encore comme ca. Tout cela pour dire que pour moi c'est pas grave que Gilles Taillon n'a pas mit dans son CV qu'il avait été actif au niveau syndicat mais c'est un atout par contre car il a connu les 2 côtés de la médaille (syndicaliste et patronat)
[img]http://i215.photobucket.com/albums/cc194/carmelle2/DSCN1249.jpg[/img][img]http://i215.photobucket.com/albums/cc194/carmelle2/thbeebeb.jpg[/img][img]http://i215.photobucket.com/albums/cc194/carmelle2/divers037.jpg[/img]