Parce qu'il n'y a pas d'argent a faire du côté des réchauffiste ???????????????
Et on peut mentir, manipuler de l'information en toute impunité parce qu'une cause est louable à première vue??????
C'est quand même assez évident que le but premier de toute cette campagne est de discréditer tout ce qui touche au vert pour en venir à leur faire jetter le bébé avec l'eau du bain.
Et l'argent à faire du côté des réchauffistes est peut-être plus louable que celle fait par des industries ultrapolluantes. C'est pas vraiment néfaste de développer une industrie sur le développement durable et les énergies non-polluantes il me semble.
Vue comme ça oui mais comme une cause n'est jamais parfaite et qu'elle entraine de grosses conséquences il vaut mieux savoir la vérité.
C'est certain que la vérité prime mais présentement il est impossible de vraiment la saisir à coup sûr.
Il y a cependant certaines vérités mineures sur lesquelles la majorité peut s'entendre.
1. la pollution sauvage ne peut qu'être une nuisance car elle ne respecte pas le cycle naturel de la terre à se régénérer. C'est trop, trop vite, trop fort, trop profond.......trop toute quoi....
2. quand bien même que les industries feraient attention en voyant à diminuer l'émission de gaz qu'elles émettent, elles feraient quand même du profit.
3. on voit bien à l'œil nu que la température n'est plus ce qu'elle était et ce sans se baser sur aucun rapport de scientifiques. De plus en plus de dérèglements climatiques, catastrophes naturelles, cancers, allergies, etc, etc.....on est pas fou, on l'invente pas sous l'influence de gourous.il s,agit juste d'aligner les nouvelles les unes avec les autres.....
On a le réflexe en auto au début d'une courbe de "slaquer" la pédale du gaz le temps de voir plus loin dans la courbe...ben c'est un peu comme cela qu'on est présentement.....mettons la pédale douce le temps de voir si celui qui a crié......... 'tention il y a un gros truck a raison ou ns a mentit..
C'est quand même assez évident que le but premier de toute cette campagne est de discréditer tout ce qui touche au vert pour en venir à leur faire jetter le bébé avec l'eau du bain.
Et l'argent à faire du côté des réchauffistes est peut-être plus louable que celle fait par des industries ultrapolluantes. C'est pas vraiment néfaste de développer une industrie sur le développement durable et les énergies non-polluantes il me semble.
C'est certain que la vérité prime mais présentement il est impossible de vraiment la saisir à coup sûr.
Il y a cependant certaines vérités mineures sur lesquelles la majorité peut s'entendre.
1. la pollution sauvage ne peut qu'être une nuisance car elle ne respecte pas le cycle naturel de la terre à se régénérer. C'est trop, trop vite, trop fort, trop profond.......trop toute quoi....
2. quand bien même que les industries feraient attention en voyant à diminuer l'émission de gaz qu'elles émettent, elles feraient quand même du profit.
3. on voit bien à l'œil nu que la température n'est plus ce qu'elle était et ce sans se baser sur aucun rapport de scientifiques. De plus en plus de dérèglements climatiques, catastrophes naturelles, cancers, allergies, etc, etc.....on est pas fou, on l'invente pas sous l'influence de gourous.il s,agit juste d'aligner les nouvelles les unes avec les autres.....
On a le réflexe en auto au début d'une courbe de "slaquer" la pédale du gaz le temps de voir plus loin dans la courbe...ben c'est un peu comme cela qu'on est présentement.....mettons la pédale douce le temps de voir si celui qui a crié......... 'tention il y a un gros truck a raison ou ns a mentit..
1- Il faut réduire la pollution c'est certain mais on ne peut pas l'éliminer à tout prix.
2-Ça dépend des cibles demandées, Pour certaines industrie on peut diminuer sans trop de dommage, pour d'autres les demandes sont irréalisable. Si on prends les sables bitumineux par exemple le principal problème ce n'est pas le co2 mais la pollution, cette industrie est un gros pourvoyeur d'argent pour le Canada. Le Pays ne peut se permettre de mettre la hache dans cette industrie. Ils doivent par contre tout faire pour limiter les dégas. Il y a eu beaucoup d'amélioration depuis le début de l'extraction de ces sables, on ne pollue pas autant qu'avant et avec les avancées technologiques ça sera mieux dans quelques années.
3-Que l'on cherche a améliorer la qualité de notre eau de notre air de notre environnement, qu'on cause des cancer a cause de la pollution c'est une chose. De penser qu'on puisse avoir une influence sur notre climat en est une autre. La terre a toujours connu des cycles de réchauffement et de glaciation qui n'ont rien a voir avec l'industrialisation.
Je veux bien faire des efforts, c'est d'ailleurs un devoir de respecter ce qui nous entoure ce que l'on utilise, mais la nature ne doit en aucun cas primer sur les être humain qui y vivent.
Dernière modification par .anthurium. le mar. janv. 19, 2010 9:17 am, modifié 2 fois.
1- Il faut réduire la pollution c'est certain mais on ne peut pas l'éliminer à tout prix.
2-Ça dépend des cibles demandées, Pour certaines industrie on peut diminuer sans trop de dommage, pour d'autres les demandes sont irréalisable. Si on prends les sables bitumineux par exemple le principal problème ce n'est pas le co2 mais la pollution, cette industrie est un gros pourvoyeur d'argent pour le Canada. Le Pays ne peut se permettre de mettre la hache dans cette industrie. Ils doivent par contre tout faire pour limiter les dégas. Il y a eu beaucoup d'amélioration depuis le début de l'extraction de ces sables, on ne pollue pas autant qu'avant et avec les avancées technologiques ça sera mieux dans quelques années.
3-Que l'on cherche a améliorer la qualité de notre eau de notre air de notre environnement, qu'on cause des cancer a cause de la pollution c'est une chose. De penser qu'on puisse avoir une influence sur notre climat en est une autre. La terre a toujours connu des cycles de réchauffement et de glaciation qui n'ont rien a voir avec l'industrialisation.
Je veux bien faire des efforts, c'est d'ailleurs un devoir de respecter ce qui nous entoure ce que l'on utilise, mais la nature ne doit en aucun cas primer sur les être humain qui y vivent.
je te réfère à Haïti pour ta dernière phrase...... je ne dis pas que ce séisme est causé par la pollution, pas du tout mais la nature primera toujours sur l'humain que tu le veules ou non.. Et ce malgré le désir des industriels, des gouvernements, des profiteurs ou autre. Regarde tout l'industrie touristique balayé par le tsunami, les barrages que la mer a balayé pendant Katrina, etc.....
je te réfère à Haïti pour ta dernière phrase...... je ne dis pas que ce séisme est causé par la pollution, pas du tout mais la nature primera toujours sur l'humain que tu le veules ou non.. Et ce malgré le désir des industriels, des gouvernements, des profiteurs ou autre. Regarde tout l'industrie touristique balayé par le tsunami, les barrages que la mer a balayé pendant Katrina, etc.....
J'exprime mieux mon point de vue: Je pense que nous ne devons pas vénérer la nature au détriment des humains. La nature est là pour nous servir et non le contraire.
je te réfère à Haïti pour ta dernière phrase...... je ne dis pas que ce séisme est causé par la pollution, pas du tout mais la nature primera toujours sur l'humain que tu le veules ou non.. Et ce malgré le désir des industriels, des gouvernements, des profiteurs ou autre. Regarde tout l'industrie touristique balayé par le tsunami, les barrages que la mer a balayé pendant Katrina, etc.....
Il n'y a qu'à lire l'histoire de l'Ile de Pâques, une civilisation anéantie parce que justement l'homme s'est cru plus important que la nature.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
J'exprime mieux mon point de vue: Je pense que nous ne devons pas vénérer la nature au détriment des humains. L a nature est là pour nous servir et non le contraire.
Ouffff...... disons que je constate parfois notre discordante complète face à ce genre de point de vu.....
Puisqu'on fait parti de la nature...... on est pas créer en laboratoire tout de même....... puisqu'on fait parti du même concept de base que tout ce qui nous entoure......
Bien en tant qu'espèce, faisant parti de cette nature, on se doit de s'assurer que ses cycles, son équilibre et sa survie reste harmonieuse.......
Et si, la nature est détruite....... puisqu'on en fait parti........ on sera détruit bien avant celle-ci...... elle va nous survivre à coup sure..... c'est nous qui vont disparaître.....
La terre deviendra autre chose, comme cela c'est déjà produit, peut importe la cause..... mais nous on ni sera plus....
Dernière modification par Placeress le mar. janv. 19, 2010 11:27 am, modifié 1 fois.
Entre l'éthanol de maïs comme carburant ou le pétrole, je préfère le pétrole...
Là-dessus, je te donne presque raison.
C'est évident qu'il y a des ratés et du lobby qui ne dessers pas nécessairement la nature. L'éthanol est effectivement le résultat d'un lobby qui n'aide pas la cause des verts.
Mais au moins, il continue d'y avoir des recherches et faire du carburant à partir de déchets de table s'avère une solution plus intelligente.
1- Il faut réduire la pollution c'est certain mais on ne peut pas l'éliminer à tout prix.
2-Ça dépend des cibles demandées, Pour certaines industrie on peut diminuer sans trop de dommage, pour d'autres les demandes sont irréalisable. Si on prends les sables bitumineux par exemple le principal problème ce n'est pas le co2 mais la pollution, cette industrie est un gros pourvoyeur d'argent pour le Canada. Le Pays ne peut se permettre de mettre la hache dans cette industrie. Ils doivent par contre tout faire pour limiter les dégas. Il y a eu beaucoup d'amélioration depuis le début de l'extraction de ces sables, on ne pollue pas autant qu'avant et avec les avancées technologiques ça sera mieux dans quelques années.
3-Que l'on cherche a améliorer la qualité de notre eau de notre air de notre environnement, qu'on cause des cancer a cause de la pollution c'est une chose. De penser qu'on puisse avoir une influence sur notre climat en est une autre. La terre a toujours connu des cycles de réchauffement et de glaciation qui n'ont rien a voir avec l'industrialisation.
Je veux bien faire des efforts, c'est d'ailleurs un devoir de respecter ce qui nous entoure ce que l'on utilise, mais la nature ne doit en aucun cas primer sur les être humain qui y vivent.[/quote]
Par notre surpopulation on augmente la famine dans le monde....
Entre l'éthanol de maïs comme carburant ou le pétrole, je préfère le pétrole...
Ouai....... effectivement...... come l'industrie.... "maïstière" contrôle déjà tout le secteur alimentaire...... imaginons s'ils se mettent à avoir le contrôle d'une énergie qui est vitale pour tout le reste........ ça fait peur......
Dernière modification par Placeress le mar. janv. 19, 2010 11:46 am, modifié 1 fois.
Glaciers de l'Himalaya: un nouveau coup dur pour les experts du climat
De Anne CHAON (AFP) – Il y a 1 jour
PARIS — La perspective de devoir annuler une de ses prévisions sur la fonte rapide des glaciers de l'Himalaya porte un mauvais coup supplémentaire aux experts climat du GIEC, après le scandale du "climategate", et devrait réjouir les sceptiques du changement climatique.
Le président du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC), l'Indien Rajendra Pachauri, a annoncé lundi le lancement d'une enquête, après une mise en cause du quotidien britannique, le Sunday Times.
En 2007, dans son 4è rapport - qui lui avait valu le Prix Nobel de la Paix -, le GIEC avait prévenu que les glaciers de la chaîne de l'Himalaya reculaient plus vite que les autres glaciers du monde et "pourraient disparaître d'ici 2035, voire avant".
Selon le Sunday Times, cette échéance de 2035 pourrait n'être fondée sur aucune recherche valide et avait été utilisée à l'origine par l'organisation environnementale WWF.
Interrogé par l'AFP lundi, un éminent glaciologue autrichien et l'un des co-auteurs du rapport de 2007, le Pr Georg Kaser, de l'Institut de glaciologie d'Innsbrück, a assuré avoir attiré l'attention de ses pairs sur cette "erreur" dès 2006.
"Fin 2006 (...) j'ai pris connaissance de cette erreur et de quelques autres. C'était après la dernière revue, mais avant la publication, donc on avait encore une possibilité de modifier" le texte, a-t-il expliqué.
"Je l'ai fait remarquer", a-t-il insisté. "Pour une raison que j'ignore, ils n'ont pas réagi", a-t-il ajouté, regrettant "un certain amateurisme" de la part de certains de ses collègues chargés de ce chapitre.
Le rapport du GIEC comporte traditionnellement quatre chapitres: le premier porte sur les prévisions purement physiques du changement climatique; le second sur les impacts régionaux et l'adaptation des systèmes naturels; le troisième sur les impacts économiques; et le dernier est un "résumé à l'attention des décideurs" qui s'appuient sur ces travaux pour fonder la riposte politique au réchauffement.
Le Pr Kaser, l'un des auteurs du premier volet, a également été sollicité en tant qu'expert des glaciers par les rédacteurs du 2è chapitre - celui concerné par l'erreur sur l'Himalaya.
Cette erreur, avance-t-il, pourrait n'être qu'une "coquille" reprenant de manière erronée une étude d'un scientifique russe, le Pr Vladimir Klotlyakov, tablant en 1996 sur une disparition des glaciers de l'Himalaya "d'ici 2350".
Cette affaire, même si elle relevait de la simple erreur, s'avère malencontreuse pour le GIEC, déjà confronté à la veille du sommet climat de Copenhague au "climategate", une affaire de couriels piratés qui avait fortement perturbé l'ouverture de la conférence.
Des milliers de courriels de chercheurs collaborant avec l'université britannique d'East Anglia, victime d'un piratage informatique ou de fuites, avaient été publiés sur internet.
Certains laissaient entendre que la communauté scientifique avait manipulé les données sur le climat pour étayer la thèse d'un réchauffement dû aux activités humaines.
Cette affaire avait alimenté le scepticisme et la contestation des conclusions du GIEC par certains politiques et groupes de pression.
Le Pr Kaser a avoué redouter, lundi, un effet rebond similaire.
"Je suis prudent", a-t-il expliqué, "car les gens vont de nouveau en profiter pour discréditer le GIEC, mais ils auraient tort".
"Le chapitre I, c'est de la science pure, sans aucune implication politique, qui s'appuie sur 150 à 200 ans d'expérience: les équations, les observations, sont bonnes ou sont fausses".
En revanche, estime-t-il, les méthodes de rédaction du second chapitre devront être reconsidérées d'ici la prochaine édition, en 2013.