Donner des cartes est une brillante idée pour attirer les jeunes. Quand je vais chez Canadian Tire, ils veulent toujours me donner une carte de crédit eux.
Même le Canadien de Montréal dans sa relance auprès du public a orienté ses actions vers les jeunes. Faut croire que la recette a du bon puisque c'est un des clubs qui rapportent de très bons profits et à son proprio et à la LNH. Bin kin toué!
mdrrrrrrrrrrrr
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Même le Canadien de Montréal dans sa relance auprès du public a orienté ses actions vers les jeunes. Faut croire que la recette a du bon puisque c'est un des clubs qui rapportent de très bons profits et à son proprio et à la LNH. Bin kin toué!
mdrrrrrrrrrrrr
J'aime ta comparaison, l'équipe du CH et le PQ. Tous les 2 font beaucoup d'échanges et ne se rendent pas ben loin dans les séries.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
J'aime ta comparaison, l'équipe du CH et le PQ. Tous les 2 font beaucoup d'échanges et ne se rendent pas ben loin dans les séries.
Ely a écrit :
jumbo a écrit : [...]
J'aime ta comparaison, l'équipe du CH et le PQ. Tous les 2 font beaucoup d'échanges et ne se rendent pas ben loin dans les séries.
Pourtant le CH est l'équipe qui a remporté le plus de coupe Stanley de l'histoire. Seuls les Yankees de New-York dans le sport professionnel ont remporté plus souvent les grands honneurs toutes les ligues confondues mais avec des budgets monstreux.
Le CH a aussi plusieurs années avec des salles combles ce qui démontre que leurs tactiques fonctionnent.
[color=#000080]Comme il est doux, à travers les brumes, de voir naître l'étoile..
[size=85]Baudelaire[/size][/color]
Pourtant le CH est l'équipe qui a remporté le plus de coupe Stanley de l'histoire. Seuls les Yankees de New-York dans le sport professionnel ont remporté plus souvent les grands honneurs toutes les ligues confondues mais avec des budgets monstreux.
Le CH a aussi plusieurs années avec des salles combles ce qui démontre que leurs tactiques fonctionnent.
Maurice Richard et René Levesque sont morts. Guy Lafleur et Lucien Bouchard ont pris leur retraite. Depuis ils en arrachent pas mal tous les 2, le CH et le PQ.
Je parle de performance et non de salle comble.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Pourtant le CH est l'équipe qui a remporté le plus de coupe Stanley de l'histoire. Seuls les Yankees de New-York dans le sport professionnel ont remporté plus souvent les grands honneurs toutes les ligues confondues mais avec des budgets monstreux.
Le CH a aussi plusieurs années avec des salles combles ce qui démontre que leurs tactiques fonctionnent.
Maurice Richard et René Levesque sont morts. Guy Lafleur et Lucien Bouchard ont pris leur retraite. Depuis ils en arrachent pas mal tous les 2, le CH et le PQ.
Je parle de performance et non de salle comble.
Les élections se gagnent par le nombre notamment d'où la mention salle comble. Un voteur = un vote à moins que tu comptes différemment. D'ailleurs le club s'est vendu dans les 600 millions.
Si les Maurice Richard, René Lévesque, Guy Lafleur et Lucien Bouchard que tu traites du revers de la main parlant de leurs décès et de leurs retraites n'étaient pas tes héros qui était tes héros ???
Dernière modification par unpeucommeavant le jeu. sept. 03, 2009 11:54 pm, modifié 1 fois.
[color=#000080]Comme il est doux, à travers les brumes, de voir naître l'étoile..
[size=85]Baudelaire[/size][/color]
Publié le 04 septembre 2009 à 07h50 | Mis à jour le 04 septembre 2009 à 07h51
Le boulet de Pauline Marois
Alain Dubuc, collaboration spéciale
La Presse
L'élément le plus étonnant du sondage CROP publié la semaine dernière par La Presse, ce n'est pas le succès des troupes de Jean Charest. C'est bien davantage la faiblesse du Parti québécois qui, avec 33% des intentions de vote, est loin derrière les 44% du PLQ.
33%, c'est très peu pour un parti qui s'est bien tiré des dernières élections, qui forme une opposition professionnelle et rigoureuse, qui devrait, en principe, pouvoir profiter de la crise et des ratés de la première année de l'administration libérale.
Alors, c'est quoi le problème? Les yeux se tournent vers la chef, Pauline Marois. On évoque son image, des carences de sa personnalité, son château de l'Île-Bizard. Autant d'explications qui relèvent de l'anecdote. Pauline Marois, une ministre appréciée et compétente, devrait en toute logique mériter mieux que cela.
C'est pourquoi je pense qu'il faut chercher l'explication ailleurs. Et regarder du côté de l'option. C'est le faible attrait du projet souverainiste qui est devenu un boulet pour le Parti québécois et qui affecte la popularité de Mme Marois.
Les chiffres sont franchement catastrophiques. Dans un référendum sur la souveraineté, le «oui» récolterait 33% des voix contre 62% pour le «non». En répartissant les indécis, très peu nombreux, on arriverait à un score de 35-65. En gros, à peine plus d'un électeur sur trois appuie la souveraineté.
Bien sûr, ce ne sont que des sondages. Ça peut changer. Mais l'écart colossal de 30% entre le «oui» et le «non», et la persistance de cet insuccès depuis des années, suggèrent plutôt qu'on a quitté le terrain des fluctuations cycliques et que nous sommes en présence d'un phénomène structurel plus profond, et que nous sommes entrés dans une période que l'on peut qualifier de post-souverainiste.
Cela affecte le PQ de deux façons. Moins de souverainistes, c'est moins d'appuis naturels au PQ. Mais l'effondrement de l'option fait aussi en sorte que le PQ perd son pouvoir d'attraction auprès de non-souverainistes. Face à des gens qui ne veulent plus en entendre parler, les efforts de Mme Marois pour maintenir la flamme jouent un rôle de repoussoir. Notamment la stratégie du saucisson, qui consiste à multiplier les combats, et éventuellement les référendums, sur des enjeux sectoriels.
Depuis quelques jours par exemple, le PQ a lancé une grande offensive pour promouvoir l'indépendance énergétique du Québec. Il s'agit en fait de miser sur les énergies renouvelables et de réduire la dépendance envers les hydrocarbures. En soi, c'est une excellente chose. Mais le PQ essaie d'inscrire ce projet dans la marche vers la souveraineté. Au nom de quelle logique, puisque la réduction de la consommation de pétrole n'a pas grand-chose à voir avec le statut constitutionnel du Québec. Le lien, c'est qu'on joue sur les deux sens du mot indépendance. C'est le genre d'arguties qui réjouira peut-être les plus convaincus mais qui tombera sur les nerfs de tous les autres.
Le problème du PQ, c'est qu'il est encore au stade de la négation, et même parfois du jovialisme. L'ex-premier ministre Bernard Landry affirmait récemment que «l'idée progresse inexorablement» grâce entre autres à une triple alliance intergénérationnelle. Le conseiller Jean-François Lisée, en lisant les sondages comme les feuilles d'une tasse de thé, estime que le reflux de l'option est une «conclusion bizarre».
Pauline Marois a interprété le fait que des souverainistes participent à la politique municipale, notamment à Montréal, comme un signe que la souveraineté avait «le vent dans les voiles». Il serait plus juste d'en conclure que des souverainistes, devant l'impasse de l'option, ont choisi de mettre leurs talents aux services d'autres causes.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
La chronique de Richard Martineau La guidoune
Richard Martineau
10/11/2009 07h24 - Mise à jour 10/11/2009 11h27
Ainsi, le PQ, qui penche à gauche, qui aime les structures et qui veut préserver le modèle québécois, voudrait mettre la main sur le député Éric Caire, un ex-adéquiste qui penche à droite, qui veut dégraisser l'État et qui trouve que le modèle québécois est à réinventer de A à Z.
Et après ça, on se demande pourquoi les électeurs sont de plus en plus cyniques...
OPPORTUNISME POLITIQUE
Qu'un lecteur de nouvelles change de réseau de télé ou qu'un joueur de hockey change d'équipe, pas de problème.
Mais qu'un parti politique souhaite accueillir dans ses rangs un homme qui, hier encore, conspuait les idées qu'il défendait me jette par terre.
Voulez-vous bien me dire pourquoi le PQ serait heureux d'ouvrir ses portes à un homme qui est pour l'ouverture d'hôpitaux privés, pour la hausse des frais de scolarité, pour la réduction des dépenses de l'État et pour une réévaluation en profondeur de la rémunération des employés du secteur public?
Voulez-vous bien m'expliquer pourquoi un parti indépendantiste accepterait dans ses rangs un politicien qui, il y a quelques semaines à peine, clamait haut et fort: «Il y a une chose qui est claire, c'est que l'avenir du Québec est à l'intérieur du Canada»?
C'est bien beau vouloir augmenter son nombre de députés, mais il y a une limite, non?
Ça commence à ressembler à de la guidounerie.
MARS ET VÉNUS
Pensez-y deux secondes...
Le PQ tend la main à un politicien qui trouve que l'ADQ n'est pas assez à droite!
Pincez-moi, je rêve...
Idéologiquement, Éric Caire et le PQ habitent des planètes qui sont situées à l'extrême opposé de la galaxie politique québécoise.
Pourquoi voudraient-ils soudainement danser le tango ensemble?
Pourquoi Pauline Marois a-t-elle songé ne serait-ce que deux secondes à tendre la main à Éric Caire?
«C'est bien beau, mettre de l'eau dans son vin, mais il faut que ça goûte encore le vin», a déclaré monsieur Caire pendant la course à la chefferie de l'ADQ.
Espérons que le député de La Peltrie se souviendra de cette phrase quand il réfléchira à son avenir...
Quant au PQ, pas étonnant que ce parti stagne dans les sondages. Comment voulez-vous que les gens aient confiance en un parti qui est prêt à faire de l'oeil à n'importe qui?
Un peu de cohérence, s'il vous plaît! Un peu de fierté! Un peu de foi dans votre programme!
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Qui insulte qui?
Richard Martineau
11/11/2009 05h58 - Mise à jour 11/11/2009 13h36
Hier, j'ai écrit que le PQ se comportait comme une guidoune en demandant à Éric Caire, un député situé à l'opposé du parti de Madame Marois, de joindre ses rangs.
Cela m'a valu une réponse cinglante de Marie Barrette, l'attachée de presse de Pauline Marois.
FAIRE DE L'OEIL
«J'ai pris connaissance de votre texte et je dois vous avouer que j'ai été estomaquée, écrit Madame Barrette. Le titre que vous avez utilisé me laisse perplexe. J'aimerais savoir qui vous traitez de «guidoune». Est-ce ma chef? Le parti?»
Ma réponse: je traite de «guidoune» tous ceux qui sont prêts à renier les idées qu'ils défendent pour aller chercher des votes sans trop se forcer. Je crois que le mot convient au PQ actuellement... et au monde politique dans son ensemble.
«Je suis pour la liberté d'expression, mais ce n'est pas parce que vous tenez la plume que vous êtes autorisé à écrire n'importe quoi pour insulter les gens», continue Madame Barrette.
Ma réponse: demandez aux militants péquistes ce qu'ils ont pensé quand ils ont vu leur chef dérouler le tapis rouge devant un homme qui défend des idées qui sont en totale opposition avec le programme de leur parti, madame. Je crois que plusieurs se sont sentis profondément insultés.
BIENVENUE !
Pour m'éclairer sur les intentions de sa chef, madame Barrette m'a envoyé le verbatim d'un extrait d'entrevue que Pauline Marois a accordée à la station de radio CIHO, à Charlevoix.
«Seriez-vous tentée d'aller voir Monsieur Caire et Monsieur Picard et de les attirer dans votre giron?, demande l'animateur. Il y a une tranche de population intéressante pour vous à aller chercher...»
«C'est sûr, répond Madame Marois. Je dis à Monsieur Caire et à Monsieur Picard que les portes sont grandes ouvertes. Si vous souhaitez vous joindre à nos rangs, vous êtes les bienvenus.
«Il y aurait sûrement des discussions à avoir sur certaines orientations politiques. Il faut que l'on adhère aux grands projets que l'on défend, mais notre parti reste une coalition. On a des gens plus conservateurs. On a des gens plus de gauche. Dans ce sens-là, il y a de la place pour des gens comme Monsieur Caire ou comme Monsieur Picard...»
«LES PORTES GRANDES OUVERTES»
«D'un point de vue positionnement stratégique, cela serait intéressant pour vous», continue l'animateur.
«Avoir de nouveaux députés au sein de ma formation politique, je suis toujours partante, répond Madame Marois. Si ces personnes-là le souhaitent, elles sont vraiment les bienvenues.»
«Les portes sont ouvertes?», demande l'animateur. «Très grandes ouvertes», répond Madame Marois.
L'AUBERGE ESPAGNOLE
Et cette entrevue est censée me faire changer d'idée? Eh bien... Je trouve au contraire qu'elle confirme exactement ce que j'ai écrit hier.
Pauline Marois dit clairement que ce qui l'intéresse, c'est «d'avoir de nouveaux députés au sein de sa formation politique».
Si Éric Caire n'était pas député, vous pensez vraiment que la chef du PQ lui tendrait ainsi la main?
Et quoi qu'en dise Madame Marois, le PQ n'est pas une auberge espagnole qui défend tout et son contraire. C'est un parti de gauche qui défend des idées de gauche.
Ce n'est pas pour rien que les ténors de la droite (Lucien Bouchard, François Legault, Jacques Brassard, Joseph Facal, André Boisclair) ont tous claqué la porte après avoir essayé (en vain) de faire pencher le parti sur l'autre bord...
Essayer de nous faire croire le contraire est une insulte à notre intelligence.
À quoi sert les lois lorsqu'il n'y a pas de JUSTICE ??
Diane a écrit : Poutant la plupart des enseignants sont pequissent
??????????
Parce que les coupures de l'époque avaient été faites en concertation, pour un bien être collectif..... mais finalement, ça pas vraiment tourné comme prévu...... mais je ne me souviens plus des détails......
Oui mais, c'est facile d'intervenir de la sorte dans cette situation. Les demandes du syndicat sont véritablement beaucoup trop élevés, pas grand monde peut contredire ça.
Oui mais, c'est facile d'intervenir de la sorte dans cette situation. Les demandes du syndicat sont véritablement beaucoup trop élevés, pas grand monde peut contredire ça.
Effectivement, sauf qu'en négociations, tu demandes bcp pour avoir pas grand chose.... c'est le principe.... je ne crois pas que les syndicats pensent vraiment avoir ce qu'ils demandent...
Dernière modification par Placeress le mer. janv. 27, 2010 4:54 pm, modifié 1 fois.
