Si on cherche sur Google, on peut trouver une image plus grosse... Ce n'est pas écrit ce que c'est, mais ça me semble effectivement être des tranches de betteraves.. Pour le blanc, c'est peut-être des boconcini?
Bah tu sais, je parlais l'autre fois avec des amis Français et quand j'ai dit "gâteau aux carottes" ils ont eu la même réaction ... Pourtant, c'est siiiii bon
Nikki, ça aurait beaucoup de sens
Because they don't have a voice, you'll never stop hearing mine.
Great minds discuss ideas. Average minds discuss events. Small minds discuss people. - Eleanor Roosevelt
Bah tu sais, je parlais l'autre fois avec des amis Français et quand j'ai dit "gâteau aux carottes" ils ont eu la même réaction ... Pourtant, c'est siiiii bon
Anya a écrit : Pour ceux et celles que ça pourrait intéresser...
Le blogue Plaisirs gourmands
23 mars 2010
Pour végétariens, même occasionnels
Publié dans | * La gourmandise qui s'écrit
Je ne suis pas végétarien. Mais dieu que j’aime les légumes verts (surtout du jardin), les salades (j’écrirai un jour l’encyclopédie des laitues), les pommes de terre (une autre encyclopédie à écrire), les fruits (surtout indigènes) !
Aussi le livre lancé ce soir par les éditions de l’Homme est-il un véritable régal. Ça s’appelle, un peu pompeusement mais on pardonne, Le grand livre de la cuisine végétarienne. Et c’est signé Igor Brotto et Olivier Guiriec, tous deux profs à l’ITHQ, l’Institut de tourisme et d’hôtellerie du Québec – sans oublier le photographe Pierre Beauchemin et la styliste Luce Meunier.
Ce qui me plaît dans ce livre, c’est la diversité et la simplicité (presque toujours) des recettes. C’est la façon toujours gourmande d’apprêter les mille et un légumes que les auteurs nous proposent. Et c’est, tout simplement, qu’il donne envie de manger davantage de légumes… sans chapitrer le lecteur parce qu’il ne mange pas que des légumes.
Je ne suis pas végétarien. Mais diantre que j’aime ce livre.
Le grand livre de la cuisine végétarienne, par Igor Brotto et Olivier Guiriec, Éditions de l’Homme, 340 pages, $ 39,95.
Nikki a écrit : Si on cherche sur Google, on peut trouver une image plus grosse... Ce n'est pas écrit ce que c'est, mais ça me semble effectivement être des tranches de betteraves.. Pour le blanc, c'est peut-être des boconcini?
Effectivement, je pense que tu as raison, et j'ajouterais que ce n'est pas un dessert mais plutôt une entrée qui semble vraiment bonne
Être végétariens c'est un choix personnel , car si c'est pour l'environnement , on se met un doigt dans l'oeil ! Car pour faire pousser des légumes ça en prend du terrain autant sinon plus qu'un élevage de bête . mais le plus important , c'est que pour ne manqué de rien( Vitamines proteine etc) ça en prend de la variété et la variété , on n'a pas ça chez nous , donc on doit importé de partout dans le monde . Donc des camions partout qui se promène consommant du pétrole.....
mercredi 24 mars 2010 (blogue de Jacques Brassard)
LUNDI SANS VIANDE
Lundi prochain, Lundi sans Viande, je vous avise que je vais me goinfrer de cochonnaille. Il suffit que l’ONU, les Congrégations verdoyantes et les bobos alter-mondialistes locavores proclament que tel jour, telle date, c’est une journée internationalement consacrée à promouvoir tel comportement où à nous faire adopter telle habitude de vie pour que je me fasse un devoir de faire exactement le contraire. La Journée sans Lumière, j’allume toutes le lampes; la Journée sans Auto, j’en profite pour rouler avec mon gros 4x4; la Journée sans Achat, je magazine allégrement.
Je m’en confesse, j’en ai ras le bol des prêcheurs de tous acabits qui nous prennent pour des tarés qu’il faut absolument guider, encadrer, superviser et lessiver avant qu’ils jugent, le moment venu, de nous contraindre et de nous assujettir à leur évangile et à leur code rigoriste.
Avez-vous remarqué que tout ce beau monde a longtemps dénigré l’Église, l’accusant de corseter la société dans un carcan dogmatique et moral. Et voilà maintenant que tous ces nouveaux puritains sont devenus une foutue bande de sermonneurs aussi achalants, sinon plus, que les curés d’autrefois.
Donc, lundi, je mange de la cochonnaille. Par esprit de contradiction? Peut-être! Pour faire un bras d’honneur aux prétentieux et méprisants donneurs de leçons de la troupe écolo-gauchiste? Sans aucun doute!
Ceci étant dit, je vous informe que je ne mange pas de viande tous les jours. Je mange du poisson au moins deux fois par semaine. Mais je n’ai nul besoin de ces détracteurs fanatiques de la viande pour déguster régulièrement une poêlonnée d’éperlans où un filet de morue. D’autant plus que leur détestation de la viande se fonde désormais sur la prétendue nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre résultant de l’élevage des cheptels.
Pire encore, les Gourous de l’apocalypse claironnent leur exécration de la viande parce que sa consommation va nous conduire à la disparition de la Vie sur Terre …dans 50 ans!!! Tel était du moins le sens de l’homélie biscornue de Jacques Languirand, doyen des Gourous québécois. Notez que cette ânerie monumentale est de même nature que l’idée fixe d’un autre Gourou vénéré, Hubert Reeves, qui ne cesse de prédire le déclenchement prochain de la sixième extinction massive de la Vie sur Terre !!! Et je vous épargne les propos absolument délirants de George Laraque.
Que diriez-vous de faire proclamer par l’ONU, formidable réceptacle d’idioties en tous genres, la Journée de la Niaiserie. Ce serait l’occasion de se rappeler de toutes les inepties éructées par les nouveaux curés de la nouvelle religion écolo-bio-grano-gauchiste lors du Lundi sans Viande, de la Journée sans Voiture, de la Journée sans Achat, de la Journée de Danse pour le Climat, du Jour de la remise du prix Nobel de la Paix, de la Journée sans Lumière et, si ça existe, de la Journée de l’Ours Blanc ( et si ça n’existe pas, c’est vraiment un oubli impardonnable).
Jacques Brassard
Dernière modification par .anthurium. le ven. mars 26, 2010 9:01 am, modifié 1 fois.
Il suffirait de renoncer à la viande pour soulager la pénurie de grains tout en préservant l'environnement et notre santé
"L'élite intellectuelle dans les pays développés trouve parfaitement normal de s'inquiéter de la surpopulation dans le monde, mais elle oublie toujours un fait. La vraie surpopulation, c'est celle du bétail." L'auteur de ces phrases n'est pas un vachophobe excentrique ou un végétarien fanatique mais l'économiste américain Jeremy Rifkin, auteur, entre deux essais sur le travail ou les nouvelles technologies, du passionnant «Beyond Beef», un essai sur l'impact dévastateur de l'industrie de l'élevage. Surpopulation ? Avec 1,4 milliard de vaches, notre planète croule en effet littéralement sous le bétail : le poids cumulé de tous ces ruminants est supérieur à celui de toute la population humaine avec ses 6 milliards d'habitants ! Et c'est de pire en pire. La production de viande a été multipliée par cinq depuis les années 1950, pour passer à 265 millions de tonnes. Et devrait encore doubler sur les vingt années à venir.
De quoi affoler les experts en alimentation, qui se demandent bien comment la terre pourra nourrir les 3 milliards d'humains supplémentaires de ces prochaines décennies. La concurrence entre les animaux d'élevage et les hommes s'annonce très rude. Car 80% de l'alimentation animale proviennent de cultures qui conviendraient également à la consommation humaine : maïs, soja. A l'ère de l'élevage industriel, nos bêtes accaparent à elles toutes seules 60% de la production mondiale de céréales, soit 670 millions de tonnes ! Un volume qui suffirait amplement à nourrir les 850 millions d'êtres humains souffrant de malnutrition. En fait, d'un point de vue malthusien, la viande n'est pas «rentable». On estime qu'un végétarien consomme en moyenne 180 kilos de grains par an alors qu'un consommateur de viande en gaspille 930 kilos par an. Pour comparer le rendement de diverses spécialités agricoles, les agronomes calculent un taux de conversion alimentaire qui correspond au rapport entre le nombre de protéines consommées et produites. Pour obtenir 1 calorie de poulet, il faut ainsi environ 4 calories de nourriture végétale. Idem pour le porc ou les oeufs. Pour le lait, on grimpe à 8. Et pour le boeuf, à 17, voire bien plus ! En comparaison, la pomme de terre est bien moins gourmande, son taux de conversion n'étant que de 0,46. Et encore, on ne compte pas les besoins en eau : pour produire 100 grammes de boeuf, il faut 25 000 litres d'eau.
Glouton, notre cheptel est aussi expansionniste. Au total, l'élevage et la production des aliments pour le bétail squattent 78% des terres agricoles mondiales, soit 30% de toute la surface du globe, trois fois plus qu'en 1960. «Sur un hectare de terrain, un agriculteur peut nourrir une trentaine de personnes s'il le consacre à la culture de légumes ou de fruits. S'il produit des oeufs ou de la viande, le ratio passe à cinq personnes. Et à beaucoup, beaucoup, moins, s'il ne s'agit que de viande rouge», dit ainsi Bruno Parmentier, auteur de «Nourrir l'humanité» et directeur de l'Ecole supérieure d'Agriculture d'Angers.
Des périls verts à quatre pattes
Le plus insensé ? C'est que toute cette bidoche est en priorité destinée à 0,1% de la population de la planète, l'infime petite minorité des riches de ce monde. Notre consommation de viande est passée de 30 kilos par personne et par an en 1919 à plus de 100 kilos aujourd'hui. C'est trois fois plus que la quantité préconisée par les organismes de santé. Non seulement notre régime carnivore affame la planète, mais il nous tue aussi par la recrudescence des maladies de «biens nourris» : accidents cardiovasculaires, diabète, obésité...
Et pour ne rien arranger, il contribue au réchauffement climatique. Selon un rapport publié en 2006 par la FAO, l'élevage est responsable de 18% des émissions des gaz à effet de serre. Soit plus que le secteur des transports ! Avec leurs flatulences chargées de méthane, leurs tonnes de fumier gorgé de gaz hilarant, le fameux NO2 également des plus nocifs, sans compter les émissions d'ammoniac synonymes de pluies acides et leurs déjections qui polluent les nappes phréatiques, nos charmants bovins sont des périls verts à quatre pattes. L'extension de leurs pâturages fait des ravages. En Amérique centrale, 20% des zones sylvestres ont déjà été ratiboisées. Et c'est encore pire au Brésil, où 38% de l'Amazonie ont été sacrifiés pour les bovins. Une déforestation qui s'accélère avec les immenses plantations de soja destinées à nourrir nos vaches, toujours elles. Mon royaume pour une entrecôte.
Ceci dit, je ne suis pas végétarienne et je n'ai pas l'intention de le devenir. Mais diminuer la consommation de viande, diversifier mon alimentation, encourager l'économie locale... oui je le fais
Mais pour moi c'est évident que la consommation excessive de viande a un impact très négatif sur l'environnement.
.anthurium. a écrit : mercredi 24 mars 2010 (blogue de Jacques Brassard)
LUNDI SANS VIANDE
Lundi prochain, Lundi sans Viande, je vous avise que je vais me goinfrer de cochonnaille. Il suffit que l’ONU, les Congrégations verdoyantes et les bobos alter-mondialistes locavores proclament que tel jour, telle date, c’est une journée internationalement consacrée à promouvoir tel comportement où à nous faire adopter telle habitude de vie pour que je me fasse un devoir de faire exactement le contraire. La Journée sans Lumière, j’allume toutes le lampes; la Journée sans Auto, j’en profite pour rouler avec mon gros 4x4; la Journée sans Achat, je magazine allégrement.
Je m’en confesse, j’en ai ras le bol des prêcheurs de tous acabits qui nous prennent pour des tarés qu’il faut absolument guider, encadrer, superviser et lessiver avant qu’ils jugent, le moment venu, de nous contraindre et de nous assujettir à leur évangile et à leur code rigoriste.
Avez-vous remarqué que tout ce beau monde a longtemps dénigré l’Église, l’accusant de corseter la société dans un carcan dogmatique et moral. Et voilà maintenant que tous ces nouveaux puritains sont devenus une foutue bande de sermonneurs aussi achalants, sinon plus, que les curés d’autrefois.
Donc, lundi, je mange de la cochonnaille. Par esprit de contradiction? Peut-être! Pour faire un bras d’honneur aux prétentieux et méprisants donneurs de leçons de la troupe écolo-gauchiste? Sans aucun doute!
Ceci étant dit, je vous informe que je ne mange pas de viande tous les jours. Je mange du poisson au moins deux fois par semaine. Mais je n’ai nul besoin de ces détracteurs fanatiques de la viande pour déguster régulièrement une poêlonnée d’éperlans où un filet de morue. D’autant plus que leur détestation de la viande se fonde désormais sur la prétendue nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre résultant de l’élevage des cheptels.
Pire encore, les Gourous de l’apocalypse claironnent leur exécration de la viande parce que sa consommation va nous conduire à la disparition de la Vie sur Terre …dans 50 ans!!! Tel était du moins le sens de l’homélie biscornue de Jacques Languirand, doyen des Gourous québécois. Notez que cette ânerie monumentale est de même nature que l’idée fixe d’un autre Gourou vénéré, Hubert Reeves, qui ne cesse de prédire le déclenchement prochain de la sixième extinction massive de la Vie sur Terre !!! Et je vous épargne les propos absolument délirants de George Laraque.
Que diriez-vous de faire proclamer par l’ONU, formidable réceptacle d’idioties en tous genres, la Journée de la Niaiserie. Ce serait l’occasion de se rappeler de toutes les inepties éructées par les nouveaux curés de la nouvelle religion écolo-bio-grano-gauchiste lors du Lundi sans Viande, de la Journée sans Voiture, de la Journée sans Achat, de la Journée de Danse pour le Climat, du Jour de la remise du prix Nobel de la Paix, de la Journée sans Lumière et, si ça existe, de la Journée de l’Ours Blanc ( et si ça n’existe pas, c’est vraiment un oubli impardonnable).
Jacques Brassard
En plein dans le mille. Son texte me rejoint très bien.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
.anthurium. a écrit : mercredi 24 mars 2010 (blogue de Jacques Brassard)
LUNDI SANS VIANDE
Lundi prochain, Lundi sans Viande, je vous avise que je vais me goinfrer de cochonnaille. Il suffit que l’ONU, les Congrégations verdoyantes et les bobos alter-mondialistes locavores proclament que tel jour, telle date, c’est une journée internationalement consacrée à promouvoir tel comportement où à nous faire adopter telle habitude de vie pour que je me fasse un devoir de faire exactement le contraire. La Journée sans Lumière, j’allume toutes le lampes; la Journée sans Auto, j’en profite pour rouler avec mon gros 4x4; la Journée sans Achat, je magazine allégrement.
Je m’en confesse, j’en ai ras le bol des prêcheurs de tous acabits qui nous prennent pour des tarés qu’il faut absolument guider, encadrer, superviser et lessiver avant qu’ils jugent, le moment venu, de nous contraindre et de nous assujettir à leur évangile et à leur code rigoriste. Avez-vous remarqué que tout ce beau monde a longtemps dénigré l’Église, l’accusant de corseter la société dans un carcan dogmatique et moral. Et voilà maintenant que tous ces nouveaux puritains sont devenus une foutue bande de sermonneurs aussi achalants, sinon plus, que les curés d’autrefois.
Donc, lundi, je mange de la cochonnaille. Par esprit de contradiction? Peut-être! Pour faire un bras d’honneur aux prétentieux et méprisants donneurs de leçons de la troupe écolo-gauchiste? Sans aucun doute!
Ceci étant dit, je vous informe que je ne mange pas de viande tous les jours. Je mange du poisson au moins deux fois par semaine. Mais je n’ai nul besoin de ces détracteurs fanatiques de la viande pour déguster régulièrement une poêlonnée d’éperlans où un filet de morue. D’autant plus que leur détestation de la viande se fonde désormais sur la prétendue nécessité de réduire les émissions de gaz à effet de serre résultant de l’élevage des cheptels.
Pire encore, les Gourous de l’apocalypse claironnent leur exécration de la viande parce que sa consommation va nous conduire à la disparition de la Vie sur Terre …dans 50 ans!!! Tel était du moins le sens de l’homélie biscornue de Jacques Languirand, doyen des Gourous québécois. Notez que cette ânerie monumentale est de même nature que l’idée fixe d’un autre Gourou vénéré, Hubert Reeves, qui ne cesse de prédire le déclenchement prochain de la sixième extinction massive de la Vie sur Terre !!! Et je vous épargne les propos absolument délirants de George Laraque.
Que diriez-vous de faire proclamer par l’ONU, formidable réceptacle d’idioties en tous genres, la Journée de la Niaiserie. Ce serait l’occasion de se rappeler de toutes les inepties éructées par les nouveaux curés de la nouvelle religion écolo-bio-grano-gauchiste lors du Lundi sans Viande, de la Journée sans Voiture, de la Journée sans Achat, de la Journée de Danse pour le Climat, du Jour de la remise du prix Nobel de la Paix, de la Journée sans Lumière et, si ça existe, de la Journée de l’Ours Blanc ( et si ça n’existe pas, c’est vraiment un oubli impardonnable).
Jacques Brassard
Ce genre de commentaires fait tellement avancer les choses... mais on est habitué de le voir déblatarer sans jamais de solutions.
Moi mon ras de bol c'est des blogueurs tellement condéscendants.
Dernière modification par lucide le ven. mars 26, 2010 11:08 am, modifié 1 fois.
Ceci dit, je ne suis pas végétarienne et je n'ai pas l'intention de le devenir. Mais diminuer la consommation de viande, diversifier mon alimentation, encourager l'économie locale... oui je le fais
Mais pour moi c'est évident que la consommation excessive de viande a un impact très négatif sur l'environnement.
Exactement.. il faut croire que nous sommes pas tous endoctrinés dans une secte d'illuminés.
Ce genre de commentaires fait tellement avancer les choses... mais on est habitué de le voir déblatarer sans jamais de solutions.
Moi mon ras de bol c'est des blogueurs tellement condéscendants.
Exactement. Je ne sais même pas quoi répondre a un texte aussi puéril. Franchement, c'est du genre 'Ouin...tu veux pas que je le fasse, ben m'a l'faire pareil! nanananana.
Chacun a le droit et la liberté d'embarquer ou pas, d'écouter le message ou pas. Si déjà il y a des jours où il n'en mange pas de viande pendant la semaine, fine, donc, il le fait déjà (mais on le dira pas trop fort, il s'est probablement pas appercu ) ce que je comprend pas c'est pourquoi certaines personnes se sentent aussi menacées par ce petit lundi sans viande. J'imagine qu'ils ont eu le même genre de montée de lait quand on a commencé à parler de recyclage...
Chacun agit au mieux de ses connaissances et de son vécu, ça accrochera pas tout le monde c'est certain, mais est-ce nécessaire de traiter ceux que ca rejoint de tarés qu’il faut absolument guider, encadrer, superviser et lessiver? Il semble avoir une crotte su'l coeur le Monsieur pour vouloir à tout prix s'empiffrer de cochonnailles les lundis juste pour prouver son point... à lui-même.
Ben moi j'en ai ral le bol qu'on me dicte ce que je doit faire......On peux tu informer et nous laisser prendre nos décisions ?
Personne n'est obligé à rien, ils informent et demandent aux gens de participer, c'est sur une base volontaire uniquement. C'est pas un projet de loi quand même. Chacun prends ses décisions au final, mais je ne vois pas le but de dénigrer ni d'être condescendant face à cette initiative.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois