Des étudiants veulent des cours d'éducation sexuelle

[sawman]

Le sexe oral dangereux ,,,ct a cause que le rouge a levres est cancerigene

[Marisopa]

Le sexe oral dangereux ,,,ct a cause que le rouge a levres est cancerigene

[Placeress]

Le sexe oral dangereux ,,,ct a cause que le rouge a levres est cancerigene

NON.....


Mais le gloss non...

[Malike]

Le sexe oral dangereux ,,,ct a cause que le rouge a levres est cancerigene

Qui sait pas ca encore?!!

[Tibibi]

Le sexe oral dangereux ,,,ct a cause que le rouge a levres est cancerigene

Tu portes du rouge à lèvres???????


À quand le rouge à lèvres bio ????

[Soleil47]

Je pense que cela pourrait être une bonne affaire de donner des cours de sexualité à l'école.

Bien sur, les parents peuvent le faire à la maison, mais l'école ce serait un plus et faut dire aussi qu'il y a bien des parents qui ne le font pas à la maison.

Je trouve personnellement que les jeunes aujourd'hui, pour certains, commencent trop jeunes à vouloir faire l'amour et ne sont pas encore assez sensibilisés, plusieurs ne se protègent pas encore, et ce, même, après toute la publicité qui existe.

Et je ne trouve pas que ce serait empiéter sur le rôle des parents, mais juste une continuité.

[Stella]

L'année dernière en secondaire 2 nous avons eu environ 15 heures de matière sur la sexualité, les moyens de contraceptions, les parties génitales, etc etc etc. Si ca peut convaincre, si peu qu'une personne, à se protéger, bien tant mieux! Je trouve ça important de savoir des trucs du genre, et je comprends les étudiants.

[Cass!]

Mon garcon me dit qu'il a eu lui aussi le cours sur la sexualité, je ne sais pas combien d'heure mais c'était en science et technologie mais c'était purement basic, reproduction et protection. Sec 2.

[Anya]

26 Avril 2010
Permalink 08:23 am, Richard Martineau / Franc-parler, 612 mots

Tous unis contre le sexe!

Avez-vous suivi ce qui s’est passé en Ontario ces derniers jours ?

Il y a quelques mois, le ministère de l’Éducation de la province a annoncé la création d’un nouveau cours de sexualité. On aurait parlé d’homosexualité, de lubrification vaginale, de sexe anal, on aurait appris aux enfants à dire « pénis » plutôt que « bizoune », etc.

Mais ce cours ne sera finalement pas offert.

En effet, des militants catholiques et musulmans ont décidé d’unir leurs efforts pour torpiller le projet.


LE LOBBY DES PARENTS SOMALIENS

« Nous croyons que c’est le rôle des parents de parler de sexualité à leurs enfants, pas celui de l’école, de dire Suad Aimad, président des Parents somaliens pour l’éducation. C’est un sujet d’intérêt privé, pas public. »

Imaginez…. Il existe un regroupement de parents somaliens pour l’éducation !!!!

Pourquoi pas une association de grands-parents serbo-croates ou de belles-sœurs luxembourgeoises, tant qu’à faire ?

Êtes-vous en train de me dire que les spécialistes du ministère de l’Éducation de l’Ontario doivent prendre en compte le point de vue des parents SOMALIENS chaque fois qu’ils rédigent un plan de cours ?


TRÈS, TRÈS POINTU

Le multiculturalisme canadien est en train de devenir ingérable. N’importe quel sous-groupe ethnique ou religieux a maintenant son association ou son groupe de pression…

Par exemple, saviez-vous qu’il existe une Association des infirmières et infirmiers auxiliaires d’origine haïtienne du Québec ?

Pas une association d’infirmiers, pas une association d’infirmiers auxiliaires, mais une association d’infirmiers auxiliaires d’origine haïtienne !

C’est ce qu’on appelle être pointu.

À quand un chapitre pour les gauchers ?

Après tout, les infirmiers auxiliaires gauchers d’origine haïtienne n’ont pas les mêmes besoins que les infirmiers auxiliaires droitiers d’origine haïtienne. Il ne faudrait quand même pas les mettre dans le même panier !


UN FRONT COMMUN

Bref, les extrémistes religieux, qui sentent les flammes de l’enfer leur lécher les fesses dès qu’un sexologue ose prononcer le mot « hymen » à un ado de 14 ans, ont finalement eu raison du nouveau cours de sexualité du ministère de l’Éducation de l’Ontario.

Après ça, on me dira que les fondamentalistes religieux ont une influence marginale dans notre société.

Bien tiens.

Ce qui est intéressant, dans cette affaire, est qu’on a assisté à un front commun des amis de Dieu.

Les extrémistes musulmans ET catholiques ont passé par-dessus leurs divergences et se sont serré les coudes pour venir à bout de leur ennemi commun : le sexe !!!!

C’est comme dans Le Parrain, quand les Tattaglia et les Barzini, qui se détestent depuis des décennies, s’allient pour détruire la famille Corleone.


RENCONTRE AU SOMMET

Parlant du Parrain : vous vous souvenez de la fameuse scène où les chefs des cinq grandes familles se réunissent pour enterrer la hache de guerre, sous prétexte que « c’est mauvais pour la business » ?

C’est à se demander si ça ne se passe pas comme ça dans le domaine religieux.

Le Pape, le Dalaï-lama, le grand imam d’Al-Azhar et le Grand Rabbin d’Israël, tous réunis dans un café de Saint-Léonard afin d’établir un plan commun pour combattre le féminisme, les homosexuels et les sexologues.

Tiens, ça ferait un bon sketch pour les gars de South Park !

Mais il faudrait qu’ils « effacent » le personnage de l’imam…

Car les Musulmans ont le sens de l’humour d’un bâton de dynamite.

http://martineau.blogue.canoe.ca/2010/0 ... re_le_sexe" onclick="window.open(this.href);return false;

[Anya]

26 Avril 2010
Permalink 08:28 am, Richard Martineau / Franc-parler, 98 mots

Sexe! Sexe! Sexe!

En Ontario, le ministère de l'Éducation voulait implanter un cours de sexualité dans les écoles primaires, où l'on aurait parlé d'homosexualité à des enfants de 8 ans et de masturbation et de sexe oral à des enfants de 12 ans.

Trouvez-vous ça trop jeune?

Est-ce l'affaire de l'école de parler de sexe aux enfants?

À Montréal, le Centre des Sciences du Vieux-Port présente une expo sur la sexualité où l'on parle franchement et sans détour de masturbation, d'orgasme et de sexe oral.
http://www.centredessciencesdemontreal. ... -tout.html" onclick="window.open(this.href);return false;

L'âge d'entrée est de 12 ans.

Trop jeune?

Iriez-vous la visiter avec vos enfants?

http://martineau.blogue.canoe.ca/2010/0 ... _sexe_sexe" onclick="window.open(this.href);return false;

[Boule à mites]

Je me souviens qu'on avait parlé de sentiments dans mes cours de sexualité, moi.

[Thewinneris]

Je me souviens qu'on avait parlé de sentiments dans mes cours de sexualité, moi.

C'est bien qu'on se serve de ce cours pour les inciter à ne pas oublier de tenir compte de ses sentiments et que la sexualité ne doit pas être juste des histoires de performance ou de pression de mode!

[.anthurium.]

Ce n'est pas à l'école d'enseigner la sexualité ça reviens aux parents et au médecin de l'enfant.
On doit répondre aux questions de l'enfants, il ne faut pas leur enfoncer l'information dans la gorge. Si non on risque de les traumatiser, leur mettre de la pression ,de leur faire peur. À l'école il y a des enfants qui n'en sont pas rendu au même stade dans leur évolution même si ils ont le même âge.

[Anya]

Publié le 18 juin 2010 à 05h00 | Mis à jour à 10h13

Éducation sexuelle: le retour des cours réclamé
Daphnée Dion-Viens
Le Soleil

(Québec) Depuis l'arrivée de la réforme, les cours d'éducation sexuelle ont formellement disparu des écoles, au grand dam de plusieurs. Une mobilisation se met en branle afin de réclamer leur retour, une opération qui culminera avec la Marche mondiale des femmes, cet automne.

Le Centre d'aide et de lutte contre les agressions à caractère sexuel (CALACS) de l'Estrie a lancé mercredi une pétition qui sera remise en octobre au premier ministre Jean Charest et à la ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne.

«On croit que ça prend un cours plus approfondi que ce qui se fait présentement, affirme sa porte-parole, Marjorie Roireau. On voit beaucoup d'adolescents pour qui la sexualité est un copier-coller de ce qu'ils voient dans la pornographie et sur Internet. Parfois, la ligne est très mince entre le consentement et l'agression sexu­elle. C'est assez inquiétant.»

Cette revendication est partagée par le regroupement québécois des CALACS. «On recule, présentement», affirme la responsable des communications, Rosa Pires. Cette dernière estime que la hausse des infections transmises sexuellement et par le sang (ITSS) est reliée à la disparition des cours d'éducation sexuelle. «Le lien est assez clair. Il y a un impact sur toute une génération», dit-elle.

Fin mai, le directeur national de santé publique du Québec, le Dr Alain Poirier, affirmait que l'augmentation des ITSS représente une véritable «épidémie». Selon le dernier rapport sur l'état de santé de la population québécoise, le nombre de cas de chlamydia, de gonorrhée et de syphilis a connu une augmentation rapide et constante depuis une douzaine d'années. Les jeunes comptent parmi les populations les plus touchées.

Mauvais timing

Le Dr Réjean Thomas, qui réclame depuis longtemps le retour des cours d'éducation sexuelle à l'école, se réjouit de l'initiative. «Depuis le retrait des cours, on voit vraiment une différence, dit-il. Les jeunes aujourd'hui ne savent pas du tout ce qu'est une chlamydia ou une gonorrhée. La disparition des cours d'éducation sexuelle est arrivée à un très mauvais timing. Avec la trithérapie, le VIH fait moins peur et on en entend beaucoup moins parler. On investit beaucoup dans le curatif, mais on devrait investir davantage dans la prévention», dit-il.

À ceux qui affirment que l'éducation sexuelle n'est pas l'affaire de l'école, le Dr Thomas rappelle que les jeunes n'ont pas toujours envie de recevoir cette éducation à la maison. «La plupart des parents sont d'accord avec l'éducation sexuelle à l'école. Ce n'est pas toujours facile d'aborder ces sujets avec leurs enfants.»

Rosa Pires affirme par ailleurs que les cours d'éducation sexuelle peuvent représenter un outil d'intégration pour des jeunes issus des communautés culturelles, où ces questions ne sont pas abordées ouvertement à la maison. «Dans certaines communautés, la sexualité est vécue de façon très différente», rappelle-t-elle.

Marjorie Roireau espère de son côté que la pétition fera le tour du Québec. La Marche mondiale des femmes, qui se déroulera du 12 au 17 octobre, a d'ailleurs ajouté le retour des cours d'éducation sexuelle au secondaire à sa liste de revendications. «Avec l'hypersexualisation, on juge qu'il est important de permettre aux jeunes de développer un esprit critique par rapport aux images pornographiques, affirme la présidente de la Fédération des femmes du Québec, Alexa Conradi. Les cours ne doivent pas seulement parler de l'aspect mécanique de la sexualité, mais aussi de comment bâtir des relations égalitaires entre hommes et femmes.»

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/act ... cueil_POS1" onclick="window.open(this.href);return false;

[Carmelle]

Je suis d'accord pour les cours de sexualité chez les jeunes au secondaire. Tellement important surtout coté protection car on a beau leurs enseigner de tenir compte des sentiments mais c'est pas tous qui embarquent côté sentiment. La protection et aussi de ne pas se faire abuser ou influencer etccc... surtout. Combien de fois j'ai lu et entendu après quelques semaines de fréquentation que le jeune homme disait si tu couches pas avec moi je vais ailleurs ou je te quittes. C'est des pressions sur les jeunes filles.

[Beppo]

Je suis d'accord pour les cours de sexualité chez les jeunes au secondaire. Tellement important surtout coté protection car on a beau leurs enseigner de tenir compte des sentiments mais c'est pas tous qui embarquent côté sentiment. La protection et aussi de ne pas se faire abuser ou influencer etccc... surtout. Combien de fois j'ai lu et entendu après quelques semaines de fréquentation que le jeune homme disait si tu couches pas avec moi je vais ailleurs ou je te quittes. C'est des pressions sur les jeunes filles.

Tu crois que ça ne se joue que d'un côté ce p'tit jeu-là? Voyons donc...

[Carmelle]

[...]


Tu crois que ça ne se joue que d'un côté ce p'tit jeu-là? Voyons donc...

C'est vrai que cela ce joue des 2 côtés mais je connais pas des circonstances de ce genre mais j'aurais pu mentionner que les jeunes filles ont aussi leurs tords. Scuse

[Carmelle]

Ho boy j'aurais du me regarder car j'en suis une qui a pas pris ses responsabilités mais j'avais 19 ans par contre. J'étais pas une adolescente et j'ai assumé mon geste. Je crois en avoir parlé. Si c'est pas sur ce topic c'est sur un autre.

Le problème est que les adolescent(e)s prennent pas leur responsabilité bien souvent. En tout cas.

[Anya]

Publié le 18 janvier 2011 à 15h08 | Mis à jour à 15h08
Éducation sexuelle: les sexologues veulent avoir un rôle à jouer
Le Soleil

(Québec) Préoccupés par le retour des cours d'éducation à la sexualité dans les écoles du Québec, des sexologues demandent à la ministre de l'Éducation, Line Beauchamp, de les inclure dans la nouvelle formule afin de corriger les erreurs du passé.

Un collectif de 185 sexologues a écrit à la ministre Beauchamp pour lui faire part de leurs préoccupations entourant le retour annoncé des cours d'éducation sexuelle à l'école.

«Nous appréhendons que cette réintroduction se fasse sur papier seulement et que la qualité de l'enseignement à propos de la sexualité continue d'être défaillante, incomplète et octroyée par des acteurs n'étant pas à l'aise d'aborder la sexualité. Nous croyons sincèrement que les sexologues devraient participer au retour de l'éducation à la sexualité dans le réseau scolaire», peut-on lire dans la missive.

Exclure ces professionnels serait un «total non-sens», selon le collectif.

En décembre, la ministre Beauchamp a confirmé le retour d'une formation obligatoire en éducation à la sexualité, un volet qui avait disparu de la grille-matières avec l'arrivée de la réforme scolaire il y a une dizaine d'années. Le Ministère ne prévoit toutefois pas créer de toutes pièces un nouveau cours, mais envisage plutôt de mettre sur pied des blocs de formation obligatoire qui viendraient s'insérer dans les cours existants, tant au primaire qu'au secondaire.

Même s'ils saluent le retour des cours d'éducation à la sexualité dans les écoles, les sexologues s'inquiètent de la qualité d'une telle formation si elle est donnée par des enseignants qui ne sont pas des spécialistes.

«Pour faire de l'éducation à la sexualité, il faut être à l'aise et ça ne s'apprend pas en quelques heures. Pourquoi investir de l'argent pour une formation qui va être faite encore à peu près?», lance la porte-parole du collectif, Sophie Morin, qui souligne que les sexologues peuvent compter sur trois ans de formation universitaire.

Les signataires de la lettre rappellent par ailleurs qu'en commission parlementaire cet automne, un aspect a fait consensus : ceux qui enseigneront l'éducation à la sexualité devront se sentir à l'aise de le faire, ce qui n'est vraiment pas le cas pour une majorité d'enseignants, ajoutent-ils.

Projets à la pièce

Présentement, quelques écoles font appel à des sexologues «à la pièce» pour offrir de la formation à leurs élèves, et les résultats «sont plus que concluants», selon les auteurs de la lettre.

Dans la région de Québec, la sexologue Marie-Paul Ross a mis sur pied une formation pour les élèves du secondaire qu'elle a donnée dans une douzaine d'écoles de la province.

«Le but, c'est de donner des outils aux jeunes pour qu'ils soient critiques et qu'ils comprennent que la pornographie, ce n'est pas un modèle d'éducation sexuelle, c'est du commerce», explique-t-elle, tout en ajoutant qu'il y a toujours des jeunes qui viennent la remercier après ces rencontres.

Au cabinet de la ministre Beauchamp, on confirme que la lettre a bien été reçue. «On est sensible aux commentaires des sexologues. Le Ministère travaille sur la nouvelle formule, mais rien n'est encore décidé», a indiqué son attaché de presse, Dave Leclerc.

Cet automne, les élus de la commission parlementaire de la culture et de l'éducation ont recommandé à l'unanimité qu'«un programme obligatoire d'éducation à la sexualité soit élaboré et offert du préscolaire jusqu'à la fin du secondaire».

Cette formation, qui devra être donnée par des intervenants et des enseignants qualifiés, pourrait s'insérer dans des cours comme sciences et technologie, éthique et culture religieuse ou éducation physique et à la santé, pouvait-on lire dans le rapport de la commission.

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/act ... ction_POS3" onclick="window.open(this.href);return false;

[Azielle]

Dans mon temps (cela ne fait pas si longtemps mais c'était un peu avant la réforme), on avait des cours de sexualité à l'école et ce n'était pas la fin du monde! On apprenait les moyens de contraceptions, (même la contraception pour le sexe oral féminin et masculin) les ITS (qu'on appelait alors MTS) et l'importance de partager ces moments intimes avec quelqu'un de prévilégié. Chez moi, mes parents étaient assez ouverts pour m'en parler directement , donc personnellement ces cours étaient plutôt inutiles, mais ce n'est pas dans toutes les familles que le dialogue à cet effet est adéquat et que les jeunes se sentent à l'aise d'en parler avec leur parents, et juste pour ça je trouve justifié de ré-intégrés ces cours (s'il y a amélioration, c'est encore mieux!). Pas besoin de le mettre comme cours régulier mais simplement des cours de complémentarité à un autre cours, et remettre le mandat du cours à une infirmière de CLSC (les jeunes n'ayant pas à la cotoyer constamment seraient plus à l'aise de lui poser des questions plus personnelles). Bref c'est my two cents sur le sujet!