Cass! a écrit : Que l'on parle d'une mere ou d,un pere vous avez raison ce sont les enfants des deux mais quand on parle de parent ca implique que les deux parents s,en occupe a part égal. Je pense qu'ici la discussion ne porte pas vraiment sur le fait que l'homme "gardait" ses enfants mais plutot sur le fait de savoir c'était lui qui avait la charge des enfants plus que sa femme.
Mais Carmelle a raison, dans le 2eme articles ont ne dit pas qu,elle travaillait la régulierement et qu'elle passait beaucoup de temps en dehors de la maison ni qu'elle allait virer une brosse c'set vrai que si c'était le cas elle serait rentré a la fermeture du bar plutot.
Avez vous eu des nouvelles aujourd'hui de ce drame? Moi je n'en ai entendu parler nul part?
Aux nouvelles TVA ce soir à 18 heures, Claude Poirier en a parlé. La dame l'a contacté pour lui demander de dire aux gens d'arrêter de répandre toutes sortes de ragots au sujet de ce qui se passait dans leur maison Seulement elle sait comment le tout se déroulait. Elle est évidemment soufflée par les évènements. En gros c'est ce dont je me souvienne.
Au plaisir!
«Tout ce que tu fais trouve un sens dans ce que tu es.»
Bien voyons, qu'est-ce que c'est que cette idée sur les personnes de 72 ans...... ma tante en a 75 et je lui laisserais un bébé n'importe quand.... elle nous clanche dans bien des domaines et est plus en santé que les 3 petits enfants de la famille réunis....
Le chum de ma mère en a 85 (25 ans de différence d'âge avec ma mère), et ils font de la grimpe en montagne, voyage 4 fois par année sac à dos, et il enseigne encore à l'université........ il peut certainement s'occuper d'un enfant pour une soirée.....
72 ans..... faut quand même pas capoter avec cet âge là en 2010.....
Faut pas oublier qu'il y en a aussi qui ont développé des maladies (je pense entre autres à l'Alzheimer ou un début de démence) et qui ne sont pas top shape. Je ne sais pas si c'est le cas de se père là, mais ce n'est pas la majorité des gens passés 70 ans qui n'ont pas perdu de leurs capacités d'avant. C'est sûr qu'il existe des exceptions et c'est tant mieux, mais c'est plutôt rare. Je ne veux aucunement excuser le geste de ce père, car je ne le connais pas. Sans blâmer la mère, j'avoue que c'était assez risqué de faire non pas un enfant mais deux avec un homme à un âge aussi avancé. Mais des fois y'a de ces histoires de relations complètement dysfonctionnelles qu'on ne peut pas empêcher.
Dernière modification par Capuchino le lun. juil. 26, 2010 11:30 pm, modifié 1 fois.
Cass! a écrit : Que l'on parle d'une mere ou d,un pere vous avez raison ce sont les enfants des deux mais quand on parle de parent ca implique que les deux parents s,en occupe a part égal. Je pense qu'ici la discussion ne porte pas vraiment sur le fait que l'homme "gardait" ses enfants mais plutot sur le fait de savoir c'était lui qui avait la charge des enfants plus que sa femme.
Mais Carmelle a raison, dans le 2eme articles ont ne dit pas qu,elle travaillait la régulierement et qu'elle passait beaucoup de temps en dehors de la maison ni qu'elle allait virer une brosse c'set vrai que si c'était le cas elle serait rentré a la fermeture du bar plutot.
Avez vous eu des nouvelles aujourd'hui de ce drame? Moi je n'en ai entendu parler nul part?
merci de faire mention de ce que j'ai écris car de ce que j'ai lu on dirait que des gens on pas lu la 2e article qui aide à comprendre mieux
ca me fait penser à l'exercice du téléphone que j'ai vécu lors d'une séance au niveau de l'emploi. La personne en charge à conter l'histoire à la premiere à l'oreille et ainsi de suite ...après 20 personnes au bout de la ligne c'était plus du tout la mème histoire. Ce qui m'amène à dire que les personnes ne percoivent pas tous de la même facon et que des fois ca amène des commentaires tres différents. Certaines personnes n'iront pas lire tout ou vite ce qui amène que la perception pourrait etre différente. C'est ce que j'ai vlu sur le sujet... Sans offensé personne. des gens on pas lu la 2e article tant qu'à moi. J'avais pas la meme perception de l'évèment jusqu'à ce que je lise la 2e article.....
A vous de juger
Dernière modification par Carmelle le mar. juil. 27, 2010 2:00 am, modifié 1 fois.
C'est quand même un peu le but recherché dans le Dôme, où chacun donne son opinion en fonction de ses connaissances, croyances et valeurs...
On est tous des monsieurs et madames tout le monde...
C'était surtout le fait de vouloir se comparer au coroner et aux policiers qui m'a fait réagir...
C'est sûr qu'on peut émettre son opinion sans problème. Mais de dire "le coroner émet des conclusions alors moi aussi", je trouve que la comparaison ne tient pas la route.
À Claude Poirier, La femme a dit qu'ils avaient de très gros problèmes financiers. Plusieurs personnes couraient après le mari pour qu'il paie ses dettes.
Il devait être en grosse dépression et a pas voulu laisser la charge des enfants à sa femme ? En tout cas, j'avais le moton en entendant le témoignage de la mère. Elle pensait que ces enfants dormaient
Dernière modification par Ely le mar. juil. 27, 2010 11:45 am, modifié 1 fois.
Sylvie Breton, la maman des deux enfants trouvés morts à Ville-Émard dans la nuit de vendredi à samedi a livré un témoignage émouvant à Claude Poirier lors de l’émission Le Vrai Négociateur.
Même si le couple avait quelques problèmes financiers, Sylvie Breton était loin de se douter que son conjoint et père aimant, Jacques Roger Tanguay, commettrait l’irréparable en emportant avec lui dans la mort ses deux enfants âgés d’un et de 7 ans.
La journée de vendredi s’annonçait des plus normales au réveil de la petite famille. Après avoir déjeuné, Sylvie Breton a écouté la télévision comme à l’habitude. «J’ai écouté mes cartoons avec mes fils, ils adoraient ça.» explique-t-elle.
Pourtant, les problèmes d’argent rendaient soucieux le couple. «On était en démarche pour trouver des logements, ça faisait des semaines que je cherchais. (...) On était rendu au bout de la corde comme on dit. On arrivait plus, des personnes couraient après mon conjoint. »
Mme Breton explique que malgré les ennuis qu’ils connaissaient, elle a tenté de rassurer son compagnon, et ce, à plusieurs reprises. «Je crois qu’il ne voyait plus de porte de sortie. Il se remettait en question en disant qu’il avait pris ma jeunesse, qu’il avait volé ma vie... mais c’est moi qui ai pris la décision d’être avec lui.»
Elle témoigne qu’elle a rencontré son conjoint à l’âge de 21 ans, alors qu’elle venait tout juste de perdre sa mère. À cette époque, Jacques Roger Tanguay avait 61 ans et la supportait moralement. Cette relation d’abord amicale s’est transformée.
Questionnée sur les quarante années qui les séparaient, Mme Breton rétorque qu’elle était avec cet homme parce qu’elle l’aimait et qu’il a toujours été là pour elle. Bien sûr, les débuts de la relation ont été difficiles : «Tout le monde pensait que c’était mon père (...) même ma famille l’a pris pas mal dur».
Elle soutient qu’elle et son conjoint formaient un couple depuis 13 ans et qu’ils se soutenaient l’un et l’autre. «Oui on avait des problèmes, comme tous les couples et on a essayé de régler nos ennuis.»
Le soir de la tragédie
Lors de la soirée fatidique, Sylvie Breton a décidé de sortir pour se changer les idées, et a appelé un ami pour aller prendre un café et chanter dans un bar. «Mon conjoint était au courant, il m’a même accompagné à la voiture avec mes enfants.»
Lorsqu’elle est arrivée au coin de la rue d’où elle peut voir son logement, elle a remarqué que la porte d’entrée, qu’ils laissent normalement ouverte en tout temps, était fermée.
Une fois à l’intérieur de son appartement, elle n’a pas trouvé ses enfants qui dormaient aux mêmes endroits qu’à l’habitude. C’est en entrant dans la chambre qu’elle a découvert les corps inanimés. «Quand je les ai vus, j’ai cru qu’ils dormaient. Mais quand j’ai vu qu’ils étaient bleus et qu’ils ne bougeaient pas, je me suis dis: non! non! non! C’est pas vrai, il n’a pas fait ça, c’est pas vrai!» Elle a tenté par tous les moyens de les réanimer, mais en vain. «J’ai sauté par-dessus lui (Jacques Roger Tanguay) j’ai essayé de les réanimer. Après j’ai couru à la cuisine, j’ai appelé la police.» Certaines rumeurs rapportaient que c’est après des querelles avec son conjoint que Mme Breton se réfugiait dans les bars, ce qu’elle nie. « Je n’allais pas toujours dans les bars, des fois j’allais me promener, j’allais au local communautaire travailler. »
Elle avoue par contre qu’elle est une personne nerveuse, et qu’elle criait à la maison : «J’ai rien à cacher là-dessus, oui je suis paquet de nerfs. Parfois mon conjoint, que j’adorais, défaisait ce que je faisais, alors oui je criais.»
Sans argent pour les funérailles
Depuis sa sortie de l’hôpital, Sylvie Breton n’a eu aucune nouvelle du personnel qui l’a traitée. Pas de nouvelles non plus des policiers, qu’elle a dû elle-même contacter hier dans la journée pour en connaître plus sur l’enquête.
Plus triste encore, elle n’a aucun moyen financier pour les funérailles et l’enterrement des membres de sa famille. «Je n’avais aucune assurance, aucun moyen financier et j’étais dépendante de lui (Jacques Roger Tanguay) financièrement.»
Son conjoint des 13 dernières années ne lui a laissé aucune lettre, aucun indice qui pourraient permettre d’expliquer son geste... simplement quelques numéros sur la table de la cuisine.
dididou a écrit : Sylvie Breton, la maman des deux enfants trouvés morts à Ville-Émard dans la nuit de vendredi à samedi a livré un témoignage émouvant à Claude Poirier lors de l’émission Le Vrai Négociateur.
Même si le couple avait quelques problèmes financiers, Sylvie Breton était loin de se douter que son conjoint et père aimant, Jacques Roger Tanguay, commettrait l’irréparable en emportant avec lui dans la mort ses deux enfants âgés d’un et de 7 ans.
La journée de vendredi s’annonçait des plus normales au réveil de la petite famille. Après avoir déjeuné, Sylvie Breton a écouté la télévision comme à l’habitude. «J’ai écouté mes cartoons avec mes fils, ils adoraient ça.» explique-t-elle.
Pourtant, les problèmes d’argent rendaient soucieux le couple. «On était en démarche pour trouver des logements, ça faisait des semaines que je cherchais. (...) On était rendu au bout de la corde comme on dit. On arrivait plus, des personnes couraient après mon conjoint. »
Mme Breton explique que malgré les ennuis qu’ils connaissaient, elle a tenté de rassurer son compagnon, et ce, à plusieurs reprises. «Je crois qu’il ne voyait plus de porte de sortie. Il se remettait en question en disant qu’il avait pris ma jeunesse, qu’il avait volé ma vie... mais c’est moi qui ai pris la décision d’être avec lui.»
Elle témoigne qu’elle a rencontré son conjoint à l’âge de 21 ans, alors qu’elle venait tout juste de perdre sa mère. À cette époque, Jacques Roger Tanguay avait 61 ans et la supportait moralement. Cette relation d’abord amicale s’est transformée.
Questionnée sur les quarante années qui les séparaient, Mme Breton rétorque qu’elle était avec cet homme parce qu’elle l’aimait et qu’il a toujours été là pour elle. Bien sûr, les débuts de la relation ont été difficiles : «Tout le monde pensait que c’était mon père (...) même ma famille l’a pris pas mal dur».
Elle soutient qu’elle et son conjoint formaient un couple depuis 13 ans et qu’ils se soutenaient l’un et l’autre. «Oui on avait des problèmes, comme tous les couples et on a essayé de régler nos ennuis.»
Le soir de la tragédie
Lors de la soirée fatidique, Sylvie Breton a décidé de sortir pour se changer les idées, et a appelé un ami pour aller prendre un café et chanter dans un bar. «Mon conjoint était au courant, il m’a même accompagné à la voiture avec mes enfants.»
Lorsqu’elle est arrivée au coin de la rue d’où elle peut voir son logement, elle a remarqué que la porte d’entrée, qu’ils laissent normalement ouverte en tout temps, était fermée.
Une fois à l’intérieur de son appartement, elle n’a pas trouvé ses enfants qui dormaient aux mêmes endroits qu’à l’habitude. C’est en entrant dans la chambre qu’elle a découvert les corps inanimés. «Quand je les ai vus, j’ai cru qu’ils dormaient. Mais quand j’ai vu qu’ils étaient bleus et qu’ils ne bougeaient pas, je me suis dis: non! non! non! C’est pas vrai, il n’a pas fait ça, c’est pas vrai!» Elle a tenté par tous les moyens de les réanimer, mais en vain. «J’ai sauté par-dessus lui (Jacques Roger Tanguay) j’ai essayé de les réanimer. Après j’ai couru à la cuisine, j’ai appelé la police.» Certaines rumeurs rapportaient que c’est après des querelles avec son conjoint que Mme Breton se réfugiait dans les bars, ce qu’elle nie. « Je n’allais pas toujours dans les bars, des fois j’allais me promener, j’allais au local communautaire travailler. »
Elle avoue par contre qu’elle est une personne nerveuse, et qu’elle criait à la maison : «J’ai rien à cacher là-dessus, oui je suis paquet de nerfs. Parfois mon conjoint, que j’adorais, défaisait ce que je faisais, alors oui je criais.»
Sans argent pour les funérailles
Depuis sa sortie de l’hôpital, Sylvie Breton n’a eu aucune nouvelle du personnel qui l’a traitée. Pas de nouvelles non plus des policiers, qu’elle a dû elle-même contacter hier dans la journée pour en connaître plus sur l’enquête.
Plus triste encore, elle n’a aucun moyen financier pour les funérailles et l’enterrement des membres de sa famille. «Je n’avais aucune assurance, aucun moyen financier et j’étais dépendante de lui (Jacques Roger Tanguay) financièrement.»
Son conjoint des 13 dernières années ne lui a laissé aucune lettre, aucun indice qui pourraient permettre d’expliquer son geste... simplement quelques numéros sur la table de la cuisine.
Quatre choses que l'on ne peut reprendre:
Une pierre ..... après qu'on l'ait lancée. Une parole .... une fois qu'elle est prononcée.
Une occasion ..... après qu'on l'ait ratée. Le temps ..... une fois écoulé.
J'ai entendu un intervenant à la radio qui disait qu'il arrive que certains hommes amènent leurs enfants avec eux afin d'en faire leur bouclier.
Aussi, moi je pense qu'à 71 ans, il est de la génération du gars qui pense qu'il doit faire vivre sa famille. S'il part en emenant ses enfants, ils se souffriront jamais à cause de lui par manque d'argent. Il a pu voir ça comme leur offrir un monde meilleur ?
Dit la fille qui essaie de comprendre
[color=#000080][i]Tout est question de perceptions. On ne parle toujours que de soi finalement.
Panda a écrit : J'ai entendu un intervenant à la radio qui disait qu'il arrive que certains hommes amènent leurs enfants avec eux afin d'en faire leur bouclier.
Aussi, moi je pense qu'à 71 ans, il est de la génération du gars qui pense qu'il doit faire vivre sa famille. S'il part en emenant ses enfants, ils se souffriront jamais à cause de lui par manque d'argent. Il a pu voir ça comme leur offrir un monde meilleur ?
Dit la fille qui essaie de comprendre
C'est ce que Claude Poirier a fait voir à son émission ce matin. Ils avaient des problèmes d'argent et étaient en recherche d'un autre loyer, il ne voulait pas les faire souffrir ect...Il n'a pas pris le bon moyen, pauvres enfants... Il aurait pu demander de l'aide.
C'est extrêmement triste ce drame, faut être vraiment découragé pour commettre un acte de ce genre, cela ne devrait pas exister du tout.
Faut tout de même admettre que le Monsieur avait 72 ans, avec de jeunes enfants en bas âge, cela ne devait pas être facile tous les jours, à cet âge là, les personnes âgées n'ont plus la patience d'élever des enfants, et ce, que la mère soit comme elle voudra, reste que c'est la réalité; même si la mère avait été là 24 heures par jour, 365 jours par année, ceci ne change rien.
On a bien beau dire que, oui certaines personnes âgées sont en très grande forme, qu'elles peuvent prendre soin des enfants, mais les ont-ils pendant des jours entiers, semaines, mois, années??? Non, ils ne les ont que quelques heures, c'est pas la même game du tout.
Maintenant, le mal est fait, et cette jeune fille, je lui souhaite beaucoup de courage pour passer au travers tout cela et d'enfin vivre sous un ciel meilleur que celui qu'elle avait jusqu'à présent; espérons également qu'elle consultera afin d'avoir tous les outils nécessaires pour s'en sortir.
J'ai lu les deux articles et j'ai très bien compris merci. Je pense que ma perception vaut autant que la tienne.
J'ai jamais dit que ta perception ne valait pas autant que la mienne. Je comprends pas le pourquoi de ton commentaire à ma replique. J'ai pas nommé personne dans mon commentaire. En tout cas
Dernière modification par Carmelle le mer. juil. 28, 2010 4:50 pm, modifié 1 fois.
J'ai jamais dit que ta perception ne valait pas autant que la mienne. Je comprends pas le pourquoi de ton commentaire à ma replique. J'ai pas nommé personne dans mon commentaire.
Tu dis que nous n'avons pas lu le 2e article, que c'est pour ca que nous n'avons pas compris. Ca m'englobe moi et les autres participants à la discussion.
Qu'on se le dise : Chacun sa connerie!! - Claude Dubois
dididou a écrit : Sylvie Breton, la maman des deux enfants trouvés morts à Ville-Émard dans la nuit de vendredi à samedi a livré un témoignage émouvant à Claude Poirier lors de l’émission Le Vrai Négociateur.
Même si le couple avait quelques problèmes financiers, Sylvie Breton était loin de se douter que son conjoint et père aimant, Jacques Roger Tanguay, commettrait l’irréparable en emportant avec lui dans la mort ses deux enfants âgés d’un et de 7 ans.
Elle témoigne qu’elle a rencontré son conjoint à l’âge de 21 ans, alors qu’elle venait tout juste de perdre sa mère. À cette époque, Jacques Roger Tanguay avait 61 ans et la supportait moralement. Cette relation d’abord amicale s’est transformée.
(TVA Nouvelles)
Merci d'avoir mis celà c'est exactement ce que j'ai entendu lors de l'émission de Claude Poirier. En passant c'est la jeune dame elle même qui a contacté Claude Poirier et non lui car elle voulait mettre les pendules à l'heure car des gens s'imaginaient qu'elle buvait et se droguait et plein d'autres choses et elle a voulu informer les gens que c'était pas le cas. C'est ce que je trouve triste car souvent des gens vont juger sans savoir l'histoire au lieu d'attendre d'en savoir plus.
Le lendemain à l'Émission de Claude Poirier il me semble avoir entendu que c'était réglé le problème d'argent pour les funérailles sans en dire plus. Probablement une âme charitable a offert de payer j'imagine mais ca pas été précisé
Dernière modification par Carmelle le mer. juil. 28, 2010 4:58 pm, modifié 1 fois.
Tu dis que nous n'avons pas lu le 2e article, que c'est pour ca que nous n'avons pas compris. Ca m'englobe moi et les autres participants à la discussion.
J'ai dit que pas tous on lit l'article j'ai pas dit tous. Et puis c'est quoi sa dérange ca que j'ai dit ca. Que tu l'ai lu ou pas je m'en balance. tu a repliqué à mon fcommentaire comme si tu voulais me piquer avec ton bonhomme sacartistic. J'ai pas aimé celà. J'ai l'impression que tu m'aimes pas trop..ben si c'est le cas c'est ton problème pas le mien je ne peux pas plaire à tous.
Je pense que ma perception vaut autant que la tienne.
Pauvre dame ... 
C'est ce que Claude Poirier a fait voir à son émission ce matin. Ils avaient des problèmes d'argent et étaient en recherche d'un autre loyer, il ne voulait pas les faire souffrir ect...Il n'a pas pris le bon moyen, pauvres enfants... Il aurait pu demander de l'aide.