Liberté économique: le Québec est avant-dernier

[.anthurium.]

Le mercredi 25 août 2010
Liberté économique: le Québec est avant-dernier


Le Québec se classe à l'avant-dernier rang parmi les provinces canadiennes et les États américains sur le plan de la liberté économique, selon une nouvelle étude publiée mardi par l'Institut Fraser.


L'organisme de recherche en politique publique affirme que la liberté économique est un ingrédient clé de la prospérité. Les études montrent que les habitants de territoires bénéficiant d'une grande liberté économique jouissent d'un niveau de vie plus élevé ainsi que d'une durée de vie et de libertés individuelles supérieures.

« Lorsque le niveau de liberté économique n'est pas raisonnable, les gens sont plus pauvres qu'ils ne devraient l'être, et c'est ce qui se passe dans certaines régions du Canada », explique Filip Palda, senior fellow de l'Institut Fraser et professeur à l'École nationale d'administration publique.

«Au Québec, des facteurs tels que l'interventionnisme étatique, les impôts élevés, la puissance des syndicats ainsi que l'existence de programmes et de droits sociaux étendus ont considérablement réduit la liberté économique, nuisant ainsi aux Québécois», soutient M. Palda.

L'Alberta, qui se classe en troisième place globalement, derrière le Delaware et le Texas, assure le plus haut niveau de liberté économique au Canada. Terre-Neuve-et-Labrador, la province canadienne qui arrive en deuxième place, occupe le 47e rang en Amérique du Nord. Elle est dépassée par tous les États américains à l'exception du Montana, du Maine, du Mississippi et de la Virginie-Occidentale.

La Colombie-Britannique (50e), l'Ontario (classé ex æquo au 51e rang) et la Saskatchewan (53e) suivent Terre-Neuve-et-Labrador. Les cinq dernières places du classement global sont occupées par le Nouveau-Brunswick (56e), le Manitoba (57e), la Nouvelle-Écosse (58e), le Québec (59e) et l'Île-du-Prince-Édouard (60e).

L'Institut Fraser estime que la corrélation entre liberté économique et prospérité est démontrée par le fait que les 12 territoires canadiens et américains les plus libres sur le plan économique affichaient un Produit intérieur brut par habitant de 51 654$ en 2007, comparativement à 36 866$ pour les 12 territoires les moins libres.

L'étude Economic Freedom of North America 2010 mesure l'impact de la liberté économique sur la performance économique et la croissance. Les auteurs ont analysé 10 indicateurs clés de liberté économique fondés sur la taille du gouvernement, le taux d'imposition et la flexibilité du marché du travail dans les 50 États américains (des analyses régionales détaillées ont aussi été réalisées), les 31 États et le District fédéral mexicains, et les 10 provinces canadiennes.

[Malike]

Tu n'as pas mis l'article au complet, t'as même coupé un paragraphe ..... y a quelques nuances intéressantes dans la suite aussi.

Suite ....

Au final, c’est le Delaware qui se classe bon premier, suivi du Texas et de l’Alberta, dans cette nouvelle version de l’étude Economic Freedom of North America 2010.

Dans le classement qui compare les États-Unis et le Canada, les provinces font piètre figure. Mis à part l’Alberta, les neuf autres provinces viennent loin derrière les États américains : Terre-Neuve-et-Labrador (47e), Colombie-Britannique (50e), Ontario (51e), Saskatchewan (53e), Nouveau-Brunswick (56e), Manitoba (57e), Nouvelle-Écosse (58e), Québec (59e) et Île-du-Prince-Édouard (60e).

L’Institut Fraser note que le PIB des territoires canadiens et américains les plus «libres sur le plan économique» était de 51 654 $ par habitant en 2007 contre 36 866 $ pour les 12 territoires les moins «libres» pour cette même année de référence.

«Les provinces les plus libres sur le plan économique ont en commun l’importance qu’elles accordent à des taux d’imposition peu élevés, à un petit gouvernement et à la flexibilité des marchés du travail. Ces conditions favorisent la création d’emploi et la croissance économique. Pour accroître la prospérité du Québec et le niveau de vie de ses habitants, il est essentiel de réévaluer le rôle important que joue le gouvernement dans la province», soutient Filip Palda.

«Les provinces à faible liberté économique qui connaissent un plus faible niveau d’activité économique, comme le Québec, touchent des paiements de transfert fédéraux supplémentaires en provenance des régions plus riches du pays. Les élites politiques et économiques du Québec sont fortement incitées à limiter la liberté et la croissance économiques afin de préserver ces versements fédéraux qu’elles ont l’habitude de recevoir», ajoute le coauteur de cette étude et vice-président de la recherche en politiques internationales de l’Institut Fraser, Fred McMahon.

L’économie québécoise serait coincée, selon l’Institut Fraser.


Nuances de Pierre Fortin

Ces données ne sont pas toutes fausses, mais elles doivent être nuancées, fait valoir Pierre Fortin, économiste et professeur à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM. Le spécialiste indique qu’il est vrai que le revenu par habitant est plus bas au Québec, mais il faut tenir compte que le coût de la vie est, lui aussi, plus bas. «Si tu fais les ajustements, en réalité, le pouvoir d’achat réel des Québécois correspond à 93 % de celui des Ontariens.»

Il ajoute que le nombre d’heures travaillées est moins élevé au Québec et que le taux d’activité des 54 à 65 ans est moins élevé.

«Les gens ont le droit de moins travailler et de s’acheter des loisirs plutôt que des sacs de chips, mais il y a des conséquences : en travaillant moins, on fait moins d’argent. (...) Ce n’est pas vrai que le Québec est en arrière du reste du Canada. C’est vrai pour l’Alberta, mais l’Alberta est la province la plus riche parce qu’elle est assise sur une mer de pétrole. C’est la même chose pour la Saskatchewan et Terre-Neuve.»

Pierre Fortin admet cependant que les contraintes économiques sont plus nombreuses au Québec qu’ailleurs. «On a un certain progrès à faire. (...) On devrait se poser des questions sur le degré de liberté qu’on accorde au monde pour faire des affaires. Il ne faut pas aller dans l’excès contraire et, comme les Américains, laisser la liberté totale par exemple au secteur financier. (...) Il faut mettre de la réglementation là où il faut, mais le Québec doit s’interroger à savoir s’il en a trop mis.»

À titre d’exemple, M. Fortin donne le monopole de l’Union des producteurs agricoles qui a été adopté par voie législative dans les années 1950 pour protéger les fermiers québécois. «La réalité a changé depuis. Les trois quarts des agriculteurs ont un diplôme collégial ou universitaire, et l’UPA leur impose des contraintes qui nuisent au dynamisme de ce secteur. (...) J’ai un ami qui produit du sirop d’érable et qui a fait des démarches pour en vendre en Australie et il a reçu un fax de l’UPA pour lui dire qu’il n’avait pas le droit de faire lui-même ce genre de démarchage.»

[Nikki]

Perso, lorsque je ne serai plus bien au Québec, je quitterai pour un meilleur état américain...

Pas vrai que je vais passer ma vie à me plaindre de mes conditions sans rien faire.....

[.anthurium.]

Tu n'as pas mis l'article au complet, t'as même coupé un paragraphe ..... y a quelques nuances intéressantes dans la suite aussi.

Suite ....

Au final, c’est le Delaware qui se classe bon premier, suivi du Texas et de l’Alberta, dans cette nouvelle version de l’étude Economic Freedom of North America 2010.

Dans le classement qui compare les États-Unis et le Canada, les provinces font piètre figure. Mis à part l’Alberta, les neuf autres provinces viennent loin derrière les États américains : Terre-Neuve-et-Labrador (47e), Colombie-Britannique (50e), Ontario (51e), Saskatchewan (53e), Nouveau-Brunswick (56e), Manitoba (57e), Nouvelle-Écosse (58e), Québec (59e) et Île-du-Prince-Édouard (60e).

L’Institut Fraser note que le PIB des territoires canadiens et américains les plus «libres sur le plan économique» était de 51 654 $ par habitant en 2007 contre 36 866 $ pour les 12 territoires les moins «libres» pour cette même année de référence.

«Les provinces les plus libres sur le plan économique ont en commun l’importance qu’elles accordent à des taux d’imposition peu élevés, à un petit gouvernement et à la flexibilité des marchés du travail. Ces conditions favorisent la création d’emploi et la croissance économique. Pour accroître la prospérité du Québec et le niveau de vie de ses habitants, il est essentiel de réévaluer le rôle important que joue le gouvernement dans la province», soutient Filip Palda.

«Les provinces à faible liberté économique qui connaissent un plus faible niveau d’activité économique, comme le Québec, touchent des paiements de transfert fédéraux supplémentaires en provenance des régions plus riches du pays. Les élites politiques et économiques du Québec sont fortement incitées à limiter la liberté et la croissance économiques afin de préserver ces versements fédéraux qu’elles ont l’habitude de recevoir», ajoute le coauteur de cette étude et vice-président de la recherche en politiques internationales de l’Institut Fraser, Fred McMahon.

L’économie québécoise serait coincée, selon l’Institut Fraser.


Nuances de Pierre Fortin

Ces données ne sont pas toutes fausses, mais elles doivent être nuancées, fait valoir Pierre Fortin, économiste et professeur à l’École des sciences de la gestion de l’UQAM. Le spécialiste indique qu’il est vrai que le revenu par habitant est plus bas au Québec, mais il faut tenir compte que le coût de la vie est, lui aussi, plus bas. «Si tu fais les ajustements, en réalité, le pouvoir d’achat réel des Québécois correspond à 93 % de celui des Ontariens.»

Il ajoute que le nombre d’heures travaillées est moins élevé au Québec et que le taux d’activité des 54 à 65 ans est moins élevé.

«Les gens ont le droit de moins travailler et de s’acheter des loisirs plutôt que des sacs de chips, mais il y a des conséquences : en travaillant moins, on fait moins d’argent. (...) Ce n’est pas vrai que le Québec est en arrière du reste du Canada. C’est vrai pour l’Alberta, mais l’Alberta est la province la plus riche parce qu’elle est assise sur une mer de pétrole. C’est la même chose pour la Saskatchewan et Terre-Neuve.»

Pierre Fortin admet cependant que les contraintes économiques sont plus nombreuses au Québec qu’ailleurs. «On a un certain progrès à faire. (...) On devrait se poser des questions sur le degré de liberté qu’on accorde au monde pour faire des affaires. Il ne faut pas aller dans l’excès contraire et, comme les Américains, laisser la liberté totale par exemple au secteur financier. (...) Il faut mettre de la réglementation là où il faut, mais le Québec doit s’interroger à savoir s’il en a trop mis.»

À titre d’exemple, M. Fortin donne le monopole de l’Union des producteurs agricoles qui a été adopté par voie législative dans les années 1950 pour protéger les fermiers québécois. «La réalité a changé depuis. Les trois quarts des agriculteurs ont un diplôme collégial ou universitaire, et l’UPA leur impose des contraintes qui nuisent au dynamisme de ce secteur. (...) J’ai un ami qui produit du sirop d’érable et qui a fait des démarches pour en vendre en Australie et il a reçu un fax de l’UPA pour lui dire qu’il n’avait pas le droit de faire lui-même ce genre de démarchage.»

Tu as raison! J'ai pris l'article sur le site du canal argent et il n'est pas complet sur le site ou je l'ai pris. J'ai vérifié c'est le même article mais pas complet.

[.anthurium.]

Perso, lorsque je ne serai plus bien au Québec, je quitterai pour un meilleur état américain...

Pas vrai que je vais passer ma vie à me plaindre de mes conditions sans rien faire.....

Tu parles de moi ?

Si j'ai une personne de mon entourage qui a plein de potentiel mais qui le gaspille par une mauvaise hygienne de vie. Je chercherai à lui parler ,a parler au gens qui peuvent avoir une influence sur lui avant de lui tourner le dos.

Ceux qu'il faut réveiller dans le cas du Québec c'est la population, on nous fait croire constamment que c'est le plus bel endroit, que tout le monde veux nous immiter alors que c'est faux, Oui on envie nos programmes sociaux et autres jusqu'à ce qu'on découvre la facture, (que l'on passe a nos enfants.)

[Nikki]

[...]


Tu parles de moi ?

Si j'ai une personne de mon entourage qui a plein de potentiel mais qui le gaspille par une mauvaise hygienne de vie. Je chercherai à lui parler ,a parler au gens qui peuvent avoir une influence sur lui avant de lui tourner le dos.

Ceux qu'il faut réveiller dans le cas du Québec c'est la population, on nous fait croire constamment que c'est le plus bel endroit, que tout le monde veux nous immiter alors que c'est faux, Oui on envie nos programmes sociaux et autres jusqu'à ce qu'on découvre la facture, (que l'on passe a nos enfants.)

Je ne parle pas particulièrement de toi, mais de tous ceux qui n'ont que critiques et propos acérés envers l'endroit où ils vivent... Il serait difficile de demander meilleur asile dans le monde... Ils sont rares les endroits où on peut vivre à aussi peu de frais, en plus d'avoir des droits et libertés enviables partout dans le monde...
Perso, je me lasse de ce discours méprisant...

[Nikki]

J'ajoute: Tant mieux si c'est aussi pourri au Québec que personne ne veut nous imiter... comme ça, nous ne nous ramasserons pas à 25 millions dans la province...

[.anthurium.]

[...]


Je ne parle pas particulièrement de toi, mais de tous ceux qui n'ont que critiques et propos acérés envers l'endroit où ils vivent... Il serait difficile de demander meilleur asile dans le monde... Ils sont rares les endroits où on peut vivre à aussi peu de frais, en plus d'avoir des droits et libertés enviables partout dans le monde...
Perso, je me lasse de ce discours méprisant...

Ce n'est pas du mépris mais une impatience. Notre confort d'aujourd'hui est notre futur malheur car nous sommes habitué a vivre au dessus de nos moyens collectif nous sommes habitué a la sécurité, nous ne savons pas nous débrouiller seul, nous n'avons pas développé notre esprit entreprenariale, notre but c'est un job permanente syndiqué avec fond de pension.
Je sais que c'est un discours plate et redondant mais les signes sont là pour nous donner raison jours après jours et on ne réagis pas on est drogué par notre confort, on s'enlise mais si tranquillement que l'on ne s'en rend pas compte. on s'abitue a fréquenter des hôpitaux sale et vieux a attendre des heures a l'urgence ou des mois pour voir un médecin. Nous vivons dans une illusion de gratuité, ce qui a pour conséquence une surutilisation de nos services.
même en étant surtaxé nous ne payons même pas la facture au complet, nous continuons de payer ces services a même la dette, on ne peut plus le faire indéfiniment, nous n'avons rien vu encore. Dernièrement on a commencé a vouloir nous faire payer encore plus, nous avons protesté, mais avons nous vraiment changé notre façon de voir les choses, on préfère croire qu'en éliminant simplement le gaspillage et les pots de vin nous sauverons la situation. nous n'avons pas compris que notre problème est plus profond. Il faut changer notre mentalité, Notre système encourage la paresse et la peur de l'inconnu. Nous avons perdu cet instinc de survie de nos encêtres. La chute n'en sera que plus dure. Les générations suivantes ne connaîtrons pas cette sécurité. Elles serons plus forte que nous car elles n'aurons rien devant eux elles devrons assurer leur survie jour après jour, comme l'on fait nos encêtres.
Du mépris?
non, j'essaye de sonner l'alarme en utilisant les moyens a ma disposition en tenant compte de mes limites.

[Malike]

Je ne dis pas qu'il n'y a rien à améliorer ou à revoir dans notre système mais je suis loin de partager cette vision apocalyptique de notre futur qu'ont souvent les gens de droite. Il y aura des coupures à certains endroits certes mais c'est dans l'ordre des choses de s'ajuster au fil du temps selon le budget et autres considérations, on le fait d'ailleurs tous dans nos vies personnelles selon comment nos vies évoluent. C'est sûr qu'on aime notre confort, et pourquoi pas? Ca ne fait pas de nous des mollusques pour autant, à lire certains si on ne partage pas leur vérité c'est qu'on n'a rien compris.

[Earendil]

une chose est sur moi je suis bien ici au quebec ont est moins pollué que lalberta

[Ely]

lol, vous me faites bien rire.

[Malike]

lol, vous me faites bien rire.

Ah bon, mais encore.

[lolilou]

[...]


Ce n'est pas du mépris mais une impatience. Notre confort d'aujourd'hui est notre futur malheur car nous sommes habitué a vivre au dessus de nos moyens collectif nous sommes habitué a la sécurité, nous ne savons pas nous débrouiller seul, nous n'avons pas développé notre esprit entreprenariale, notre but c'est un job permanente syndiqué avec fond de pension.
Je sais que c'est un discours plate et redondant mais les signes sont là pour nous donner raison jours après jours et on ne réagis pas on est drogué par notre confort, on s'enlise mais si tranquillement que l'on ne s'en rend pas compte. on s'abitue a fréquenter des hôpitaux sale et vieux a attendre des heures a l'urgence ou des mois pour voir un médecin. Nous vivons dans une illusion de gratuité, ce qui a pour conséquence une surutilisation de nos services.
même en étant surtaxé nous ne payons même pas la facture au complet, nous continuons de payer ces services a même la dette, on ne peut plus le faire indéfiniment, nous n'avons rien vu encore. Dernièrement on a commencé a vouloir nous faire payer encore plus, nous avons protesté, mais avons nous vraiment changé notre façon de voir les choses, on préfère croire qu'en éliminant simplement le gaspillage et les pots de vin nous sauverons la situation. nous n'avons pas compris que notre problème est plus profond. Il faut changer notre mentalité, Notre système encourage la paresse et la peur de l'inconnu. Nous avons perdu cet instinc de survie de nos encêtres. La chute n'en sera que plus dure. Les générations suivantes ne connaîtrons pas cette sécurité. Elles serons plus forte que nous car elles n'aurons rien devant eux elles devrons assurer leur survie jour après jour, comme l'on fait nos encêtres.
Du mépris?
non, j'essaye de sonner l'alarme en utilisant les moyens a ma disposition en tenant compte de mes limites.

surement, mais je pense aussi que le jour où le québec pourra gérer son propre argent sans avoir à l'attendre du gouvernement fédéral, ben peut-être qu'on avancera.

[.anthurium.]

[...]

surement, mais je pense aussi que le jour où le québec pourra gérer son propre argent sans avoir à l'attendre du gouvernement fédéral, ben peut-être qu'on avancera.

Nous devrons changer notre mentalité d'abord.

[Earendil]

la selon les américains eux memes ils commencent a vouloir boycotté le pétrole polluants albertains enfin

[Skarhet]

lol, vous me faites bien rire.

J'comprends pas pourquoi tu demeures ici pas si "ailleurs" est tellement mieux qu'au Québec... Et que les autres populations sont tellement meilleures que la population québécoise.

[Earendil]

anthurium va vivre 2 ans en alberta et tu va voir tu va tennuyé du bon vieux systeme quebecois

[Panda]

Tout ce que je déplore du système québécois c'est que le monde compte trop sur l'état.

Un peu comme un ado: Il s'attend à ce qu'on lui paie ses vêtements et autres dépenses, mais si on lui demande de tondre le gazon...

[Beppo]

Tout ce que je déplore du système québécois c'est que le monde compte trop sur l'état.

Un peu comme un ado: Il s'attend à ce qu'on lui paie ses vêtements et autres dépenses, mais si on lui demande de tondre le gazon...

Question : Est-ce que le monde peut et veut que l'état s'implique moins? Sommes-nous prêts à couper le régime parental, les garderies à 7$, l'assurance-médicament, etc. ? On tente seulement de dégraisser la fonction publique en coupant dans les associations, organismes qui nous coûtent la peau des fesses qu'on monte aux barricades. Sommes-nous prêts à payer pour les livres scolaires comme on le faisait autrefois? On claironne que ça coûte cher sans ça, imagine avec l'achat des manuels et le déplacement en autobus (le péril jaune). S'il fallait...

[Nikki]

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Question : Est-ce que le monde peut et veut que l'état s'implique moins? Sommes-nous prêts à couper le régime parental, les garderies à 7$, l'assurance-médicament, etc. ? On tente seulement de dégraisser la fonction publique en coupant dans les associations, organismes qui nous coûtent la peau des fesses qu'on monte aux barricades. Sommes-nous prêts à payer pour les livres scolaires comme on le faisait autrefois? On claironne que ça coûte cher sans ça, imagine avec l'achat des manuels et le déplacement en autobus (le péril jaune). S'il fallait...

je te dirais que mon sentiment profond est que les gens vont toujours souhaiter couper où ils ne seront pas touchés, mais si par malheur on parle de couper quelque chose qui te touche (pas toi, mais dans le sens large), oh là là, là ça ne va pas...

On peut couper l'assurance-médicament si on n'en n'est pas bénéficiaire
On peut couper les garderies à 7$ si nos enfants sont assez vieux pour se garder ou si on n'en a pas
On peut couper la fonction publique, du moment que le ou les salaires entrant dans le revenu familial n'en soient pas affectés
On peut couper le BS à condition qu'on n'en soit pas bénéficiaire
On peut bien couper les subventions culturelles puisqu'on ne va pas voir de films...

Bref, la liste peut s'allonger pendant des KM...