Le péril gris

[Placeress]

[...]


Oui, maintenant, mais avant l'entrée en vigueur de la RAMQ, les assureurs continuaient à payer les médicaments après 65 ans, est-ce que je me trompe ?

Encore aujourd hui, tant que tu paies tes primes... ton anciennes assurances medicament du boulot continue a payer tes primes si tu la payes encore, ce qui est possible...

[Lison48]

[...]


Ok c'est que je me demandais, donc, si tu travaillais pour le fédéral mais au Québec, tes impôts sont calculés automatiquement, tu n'as pas de mauvaises surprises à la fin de l'année et la même chose se poursuit même si tu es retraitée, je croyais que tu travaillais en Ontario mais résidait au Québec, j'avais mal interprété tes propos auparavant.

Oui, j'en ai fait 2 ou 3 cette année qui travaillaient en Ontario mais résidents du Québec, ils ne s'attendaient pas à cela du tout, et ce, même après avoir transféré 40% de l'impôt à payer au provincial.

Mon mari travaillait à Ottawa pour une compagnie de transport, son impôt était déduit à la source comme s'il demeurait en Ontario. Sur son rapport d'impôt, il transférait 40% au provincial mais il devait toujours entre $2000 et $2500 de plus au Québec.

[Soleil47]

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Encore aujourd hui, tant que tu paies tes primes... ton anciennes assurances medicament du boulot continue a payer tes primes si tu la payes encore, ce qui est possible...

C'est logique, tu paies tes primes, ils te remboursent tes médicaments, mais souvent, les primes augmentent lorsque tu as 65 ans et il y a beaucoup de médicaments qui sont soit: non remboursés ou coupés à 50%, parce que l'assurance que l'individu paie après 65 ans devient une co-assurance, et cela, c'est depuis l'arrivée de la cotisation au RMAQ.

[Soleil47]

[...]



Mon mari travaillait à Ottawa pour une compagnie de transport, son impôt était déduit à la source comme s'il demeurait en Ontario. Sur son rapport d'impôt, il transférait 40% au provincial mais il devait toujours entre $2000 et $2500 de plus au Québec.

Méchante claque à la fin d'année, même si on se dit: il ne l'a pas payé pendant l'année au Québec, c'est quand même beaucoup après avoir transféré 40% de ses impôts payés au fédéral.

Et est-ce qu'on l'obligeait à faire des acomptes provisionnels au Québec durant l'année?? attendu qu'il en payait plus que 1500.00$ sur son rapport d'impôt, parce que j'avais une de mes clientes à qui c'était arrivé dans le passé, le Québec lui exigeait des acomptes provisionnels.

Et la chose que je me demande aussi, il n'y aurait pas moyen que le Canada (lorsque tu travailles en Ontario mais réside au Québec) enlève de l'impôt provincial à chaque semaine, car tous ceux que j'ai vu à date, ils ne payaient que l'impôt du fédéral.

[Lison48]

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Méchante claque à la fin d'année, même si on se dit: il ne l'a pas payé pendant l'année au Québec, c'est quand même beaucoup après avoir transféré 40% de ses impôts payés au fédéral.

Et est-ce qu'on l'obligeait à faire des acomptes provisionnels au Québec durant l'année?? attendu qu'il en payait plus que 1500.00$ sur son rapport d'impôt, parce que j'avais une de mes clientes à qui c'était arrivé dans le passé, le Québec lui exigeait des acomptes provisionnels.

Et la chose que je me demande aussi, il n'y aurait pas moyen que le Canada (lorsque tu travailles en Ontario mais réside au Québec) enlève de l'impôt provincial à chaque semaine, car tous ceux que j'ai vu à date, ils ne payaient que l'impôt du fédéral.

Non, il n'y a pas d'acompte provisionnel à payer. J'imagine que les employeurs d'Ottawa ne veulent pas enlever d'impôt du Québec, ce serait trop de tracasserie administrative.

N'oublie pas que c'est seulement au Québec qu'il y a 2 rapports d'impôt (fédéral & provincial), ailleurs au Canada, cela se fait seulement au fédéral.

[Placeress]

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C'est logique, tu paies tes primes, ils te remboursent tes médicaments, mais souvent, les primes augmentent lorsque tu as 65 ans et il y a beaucoup de médicaments qui sont soit: non remboursés ou coupés à 50%, parce que l'assurance que l'individu paie après 65 ans devient une co-assurance, et cela, c'est depuis l'arrivée de la cotisation au RMAQ.

Ha je ne savais pas ca, merci de l info.

[Soleil47]

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Non, il n'y a pas d'acompte provisionnel à payer. J'imagine que les employeurs d'Ottawa ne veulent pas enlever d'impôt du Québec, ce serait trop de tracasserie administrative.

N'oublie pas que c'est seulement au Québec qu'il y a 2 rapports d'impôt (fédéral & provincial), ailleurs au Canada, cela se fait seulement au fédéral.

Oui c'est vrai, au Canada, il n'y en a seulement que 1 à faire, je ne l'avais pas oublié, mais c'est vrai ce que tu dis: ce serait probablement trop de tracasserie administrative.

C'est logique aussi qu'il ne lui demande pas d'acompte provisionnel à payer, puisque sur son T4, c'est noté: Ontario.

De toute manière, ma cliente qui se l'était fait demander ne les a pas payé, je lui avais conseillé d'appeler le Québec, elle ne m'a pas rappelé depuis, alors, je considère que le tout est réglé.

[Carmelle]

[...]
Je croyais que les impôts faisaient partie du calcul de la paie et que l'employée attitrée à ce genre de département s'en occupait aussi.

Je me demande ce que vient faire là-dedans le fait d'être couvert par une convention collective ou pas, les impôts (à ce que je sache) n'ont rien à voir avec une convention collective??? Les impôts sont toujours calculés selon le salaire que tu fais et non si tu es couvert par une convention collective.

La preuve: prends un salarié qui n'est pas couvert par une convention collective et un autre qui est couvert, s'ils gagnent le même salaire, ils paieront exactement la même impôt, sauf si l'un est déclaré célibataire et l'autre marié; certains choisissent de se faire enlever l'impôt comme célibataire, même s'ils sont mariés avec enfants ou pas et ils vont retirer le trop payé à la fin d'année, tandis que d'autres personnes mariées font enlever l'impôt à la source, donc, en retirent moins à la fin d'année.

Pour ma part, la question que je posais à Lison48, elle m'a donné la réponse (elle travaillait au fédéral, mais au Québec, ce qui est différent d'une personne qui travaille en Ontario mais réside au Québec).

Je n'ai donc pas besoin de contacter Revenu Québec, lorsque je fais les impôts pour des travailleurs en Ontario résidant au Québec, le calcul se fait automatiquement, il transfère automatiquement le maximum au Québec.

Je parlais pas d'impot sur les paies mais du revenu d'impôt JE me suis mal exprimé. Ce que je dis est que quand les gens font leur rapport d»'impot on demande si on est couvert ou non par une assurance collective. etcccc

[Carmelle]

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Non, il n'y a pas d'acompte provisionnel à payer. J'imagine que les employeurs d'Ottawa ne veulent pas enlever d'impôt du Québec, ce serait trop de tracasserie administrative.

N'oublie pas que c'est seulement au Québec qu'il y a 2 rapports d'impôt (fédéral & provincial), ailleurs au Canada, cela se fait seulement au fédéral.

Ce que mon conjoint fait car il travaille en Ontario et habitons au Québec il se fait enlever plus d'impot et lors des impot il fait le transfert de 40% et avec ce qu il recoit du fédéral il paie la balance

[Carmelle]

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Oui c'est vrai, au Canada, il n'y en a seulement que 1 à faire, je ne l'avais pas oublié, mais c'est vrai ce que tu dis: ce serait probablement trop de tracasserie administrative.

C'est logique aussi qu'il ne lui demande pas d'acompte provisionnel à payer, puisque sur son T4, c'est noté: Ontario.

De toute manière, ma cliente qui se l'était fait demander ne les a pas payé, je lui avais conseillé d'appeler le Québec, elle ne m'a pas rappelé depuis, alors, je considère que le tout est réglé.

Comme moi j'étais en congé de maladie et sur mon assurance salaire on enlève pas assez d«,impot du Québec. J'aurais pu le demandé mais je croyais utiliser seulement mois de mon assurance salaire. Donc je vais me faire enlever $100 par paie de plus en impot du Québec pour éviter d`en payer à la fin de l'année car au gouvernement fédéral cela ce fait et en plus je travaille à la paie et fait des impots donc facile pour moi de figurer quoi faire et de donner des conseils au niveau deductions d'impot mais j'ai pas le droit de donner de conseil au niveau des rapports impots que l»'on fait à chaque année. La raison est que si je donnerais un mauvais conseil concernant les rapports d'IMPOT etn que la personne se retrouve à en payer plus nous pourrions etre poursuivi, donc aucune conseillère a le droit de donner de conseil à tout ce qui concerne les rapports d«,impot

[Soleil47]

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Je parlais pas d'impot sur les paies mais du revenu d'impôt JE me suis mal exprimé. Ce que je dis est que quand les gens font leur rapport d»'impot on demande si on est couvert ou non par une assurance collective. etcccc

Dans ton message, tu parlais de convention collective et non d'assurances collectives, ce qui est fort différent.

c'est quoi le: revenu d'impôt??

[Carmelle]

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Dans ton message, tu parlais de convention collective et non d'assurances collectives, ce qui est fort différent.

c'est quoi le: revenu d'impôt??

rapport d'impot que l'on fait chaque année. Je comprends pas car me semble avoir bien expliqué dans un de mes commentaires...pas grave si cette réponse peut t'aider tant mieux sinon je sais plus quoi dire.

[Anya]

Publié le 15 septembre 2010 à 06h00 | Mis à jour à 06h00
Pilule amère


L'assurance-médicaments a beau être universelle, les Québécois ne paient pas tous le même prix pour leurs pilules.

Ariane Krol
La Presse

Empocher des millions de dollars de ristournes sur des médicaments génériques, comme de nombreux propriétaires de pharmacies l'ont fait au début des années 2000, est une faute déontologique, a jugé récemment le conseil de discipline de l'Ordre des pharmaciens du Québec. Une belle victoire pour le syndic, qui a porté cette affaire à bout de bras durant plus de sept ans. Prochain défi?: les pratiques des pharmaciens envers les patients dont les médicaments ne sont pas couverts par le régime public.

L'assurance-médicaments a beau être universelle, les Québécois ne paient pas tous le même prix pour leurs pilules. Loin de là. La facture du pharmacien diffère selon que le client est assuré au public (RAMQ) ou auprès d'un régime privé. Et d'un établissement à l'autre pour les assurés au privé. Les écarts sont spectaculaires. De 9?% à 80?% pour une même prescription, a constaté le magazine Protégez-Vous au printemps.

Peu de gens en sont conscients. D'abord parce qu'on n'a pas le réflexe de magasiner ses médicaments. Et aussi parce que l'effet immédiat est limité. Que vous soyez couvert par la RAMQ ou par une compagnie privée, l'assureur ne peut pas exiger plus de 963?$ de franchise et de coassurance par an. Une fois ce seuil atteint, il doit tout payer.

Grâce à ce plafond, tous les citoyens semblent aussi bien protégés. Mais pour ceux qui sont couverts par le privé, c'est là que ça se gâte. Car si les prix que les pharmaciens peuvent réclamer à la RAMQ sont sévèrement encadrés, ceux qu'ils facturent aux autres assureurs sont laissés à leur discrétion. Et ils sont souvent plus élevés. De 14?% à 37?%, rapportait La Presse en 2008, après avoir vérifié cinq produits courants dans la région de Montréal. Une iniquité dont la plupart des clients ne sont pas conscients. Ils paient le pharmacien et refilent la note à leur assureur, sans réaliser qu'au bout du compte, ce sont eux qui paieront lorsque leur prime augmentera.

Est-il correct, du point de vue déontologique, qu'un pharmacien applique une politique de prix à deux vitesses sur les médicaments d'ordonnance?? Et jusqu'à quel point peut-il gonfler la note pour les patients assurés au privé?? Le syndic de l'Ordre des pharmaciens devrait se pencher là-dessus.

Québec a aussi une grande part de responsabilité. En effet, il n'a jamais exigé que les conditions qu'il négocie avec l'association des pharmaciens propriétaires pour les assurés du régime public s'appliquent à tous les Québécois. Et ce, même si un regroupement de promoteurs de régimes privés l'a demandé il y a cinq ans.

C'est d'autant plus odieux qu'aller au privé n'est pas un choix. Celui qui a accès à un tel régime, par son employeur, sa profession ou son conjoint, est forcé d'y adhérer. Résultat?: la majorité (58?%) des Québécois sont couverts par une assurance-médicaments privée. Comment l'État peut-il les ignorer dans ses négociations, et les laisser à la merci des pharmaciens?? C'est inacceptable.

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