Moi, je ne trouve pas ça bien au contraire. Elle est une excellente animatrice et l'émission est toujours intéressante. Chacun ses goûts faut croire.matou19 a écrit : J'aimerais savoir. Suis-je le seul à considérer que la Beaudoin a perdu des plumes? Son animation me semble de plus en plus poche. Questions pas très claires, remarques non pertinentes, prononciation déficiente (mots difficiles à saisir). Le tout est agrémenté d'une ambiance sur le plateau un peu trop chummy chummy à mon goût. La complaisance qu'elle démontre avec ses invités me gosse.
Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
Modérateur : Elise-Gisèle
Re: Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
Re: Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
joanna a écrit : [...]
Moi, je ne trouve pas ça bien au contraire. Elle est une excellente animatrice et l'émission est toujours intéressante. Chacun ses goûts faut croire.
allo Joanna, ça fait longtemps que je t'ai lu.
Je suis contente de voir que je ne suis pas la seule à aimer France Beaudoin et son émission.Lison de Gatineau
Re: Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
Moi aussi j'aime bien France Beaudoin comme animatrice à cette émission. Je trouve qu'elle laisse la place à ses invités au lieu d'essayer de leur voler la vedette. On a le temps d'entendre ce que les invités ont à dire, sans qu'ils se fassent toujours couper la parole.
Re: Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
Je trouves que cest mieux depuis son retour de vacances, mais j'aimes pas la formule au sagnenay... pas a cause d'elle par contre.
Rien n'est plus dangereux que lorsque l'ignorance et l'intolérance sont armées de pouvoir. Voltaire
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geneviève-2
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Re: Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
Source les membres de la section d'en Haut de Star Accadémie 1 Marie-Mai 
et David Usher 
L'invitée de la semaine l'auteure de la Galère Renée-Claude Brazeau
et David Usher L'invitée de la semaine l'auteure de la Galère Renée-Claude Brazeau
Je ne reçois pas les messages éclairs
Re: Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
Contente que l'invitée de la semaine soit Renée-Claude Brazeau, car je l'aime bien. D'ailleurs, j'ai bien aimé l'émission de ce soir.
Re: Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
J'ai bien aimé le linguiste russe.
Lison de Gatineau
Re: Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
Moi aussi je l'ai aimé. Et j'adore Renée-Claude. Très spéciale la madame! Très bonne émission ce soir.Lison48 a écrit : J'ai bien aimé le linguiste russe.
J'ai hâte de revoir La Galère, je me peux pu...
Re: Bons baisers de France lun au jeu 21 heures à la SRC
Pénélope McQuade: le sentiment enivrant de la liberté
Écrit par Pascale Lévesque
Samedi, 05 février 2011 09:29
Mise à jour le Samedi, 05 février 2011 11:20
En 17 ans au petit écran, Pénélope McQuade n’a jamais eu peur de se jeter dans le vide. Quatre fois elle a quitté son emploi, des émissions à succès, sans jamais ressentir un petit frisson. Même pas en laissant Salut, Bonjour week-end le printemps dernier avec rien devant elle. Pourtant, l’animatrice a le vertige face à la carte blanche que lui confie Radio-Canada pour son talk-show estival.
« Carrément…où est ma limite ? » s’inquiète Pénélope, qui fera le grand saut dans quelques mois vers le job ultime dont rêvent tous les animateurs de télévision, être à la barre d’un talk-show conçu sur mesure pour elle.
« C’est ma seule préoccupation ; Radio-Canada est une télévision qui permet toutes les palettes, et ma crainte, ma peur, mon désir, mes envies…c’est d’aller dans toutes ces palettes-là ! » confie-t-elle en primeur à Rue Frontenac.
Au comptoir du resto où elle nous a conviés il y a quelques jours, un puis deux verres de chardonnay viendront heureusement compléter le traitement qu’elle s’est offert toute la semaine au Spa Eastman pour faire descendre la tension. Un petit luxe nécessaire avant d’entamer le travail de conception de sa nouvelle émission.
Prendre le relais de France Beaudoin n’a effectivement rien de banal. Pénélope s’enorgueillit d’ailleurs comme une petite fille qu’on la compare à elle parce qu’elle occupera désormais son siège. « Qui aurait cru qu’elle lâcherait Bons Baisers… et que de surcroît, la SRC m’aurait dans sa mire au même moment ? », remarque la svelte blonde. Svelte blonde qui, étonnamment, n’avait jamais été sollicitée ou rencontrée par la direction de la société d’État avant cet automne. En presque 20 ans de carrière ! Elle qui a néanmoins travaillé à toutes les adresses, Radio-Québec, TV5, TVA, TQS, Canal Vie…
« De toute ma vie, c’est la première fois que je réponds différemment à la question Mais toi là, ton rêve en télé, c’est quoi ? » assure-t-elle.
« C’est ce que je fais en ce moment », répondait-elle chaque fois avec toute la sincérité du monde, depuis son tout premier contrat décroché après son baccalauréat en communications à l’UQAM. « Là, je l’ai dit ce que je voulais. Un talk-show ! Oui, un talk-show », martèle Pénélope qui s’est permis, à 40 ans et après s’être relevée d’un accident qui a failli lui coûter la vie, de prendre ses rêves pour des réalités potentielles.
« Moi qui n’ai jamais eu de plan de carrière, peut-être à part celui d’écrire pour Le Devoir, car oui, c’était mon grand plan quand j’étais étudiante… c’est dire à quel point je suis mauvaise dans les plans. »
Exécutante
Inespéré pour une fille, qui, de son propre aveu, s’est toujours plu dans son rôle d’exécutante. « Des maisons de production télé qui m’ont appelée en avril quand j’ai annoncé mon départ de Salut, Bonjour !, il y en a eu dix. Dix ! Pixcom, Trio Orange, 3-2-1 Productions… On me demandait ce qu’on pouvait faire pour moi, si j’avais des idées, quel était mon fantasme d’émission. C’était comme si on me parlait un autre langage ! » lance celle qui, de son propre aveu, s’est toujours satisfaite du rôle d’exécutante dans son métier.
D’ailleurs, sa grande force, reconnaît-elle, aura toujours été de maximiser le potentiel du cadre de travail qu’on lui proposait. « C’est quand même étonnant que quelqu’un d’assez champ- gauche comme moi ait mené une émission aussi conservatrice et conventionnelle que Salut, Bonjour ! Mais je suis arrivée à rester moi-même dans ce cadre », plaide-t-elle.
Mûre pour autre chose
Cette fois, Pénélope était mûre pour autre chose, et bien que TVA eût essayé de la retenir en lui offrant un poste à Deux filles le matin, elle a quand même voulu de ce vide avant d’avoir l’impression de tougher. « Me forcer à finir de manger mon foie gras, ça ne me tente pas, dit-elle en parlant de Salut, Bonjour ! Deux filles, ça ressemblait trop à ce que j’avais déjà fait. Et à part là, où auraient-ils pu m’envoyer ? » se demande l’animatrice.
L’offre de Radio-Canada a eu beau tarder, les corridors de la « grande tour », Pénélope les connaît bien pour y avoir clopiné, petite, alors que son papa Winston McQuade y était animateur vedette. On peut presque parler d’un retour à la maison. « Tu l’as dit, c’est ça. Un retour dans une maison que je n’ai jamais habitée, mais avec la sensation que les choses vont tomber en place comme une évidence », décrit-elle.
Marque de commerce
De son passage à TVA, l’animatrice traîne avec elle sa marque de commerce, faire dans le direct et dans le vrai. « Qu’on soit à TVA ou à la SRC, il y a une chose que les gens veulent voir à la télé. C’est une personne qui a un réel plaisir d’être là et qui met les téléspectateurs dans le même état », expose-t-elle.
Donc, même s’il est trop tôt pour coucher sur papier la formule du talk-show de Pénélope, parce que rien à l’heure actuelle n’est défini, elle est sûre d’une chose, il y aura du direct. « Le plus possible, deux émissions sur quatre. Et les autres préenregistrées seront le plus près possible de l’actualité », avance-t-elle.
Politique, culture, enjeux de société, showbiz… Pénélope rêve de faire autant place à la paillette qu’aux sujets porteurs de sens. « Ça, c’est le bagage TVA qui parle encore. J’ai envie de vulgariser l’information, de parler des préoccupations du Québécois moyen », précise-t-elle. Bref, elle rêve d’un mélange de Bons Baisers et de Larry King.
« Je suis une boulimique d’actualité, j’ai de la curiosité pour 10 000 personnes et je veux que ça se reflète dans le talk-show. Ce sera un talk-show classique dans sa forme, devant public, avec un band, des invités, sans mises en scène parce que je déteste ça, mais avec un propos généraliste », fait-elle voir.
Et son rôle ? « Peu de gens savent, mais la vraie pression n’est pas sur l’animatrice, mais sur les invités ! lance-t-elle. Ma job, sur le show, c’est d’être un lubrifiant. Pas à la fraise ni au chocolat. L’important, c’est que ça maximise le plaisir de tous. »
Hum… une France Beaudoin en bretelles qui lubrifie ? Pénélope a beau nier, elle est bien plus créative qu’elle n’ose l’imaginer. Et tout compte fait, après une bonne heure de discussion, il est évident que sa peur n’est ni plus ni moins que le sentiment enivrant de la liberté.
• Le talk-show de fin de soirée de Pénélope McQuade sera en ondes sur semaine à 21 h à Radio-Canada dès le mois d’avril.
http://ruefrontenac.com/spectacles/tv/3 ... pe-mcquade" onclick="window.open(this.href);return false;
Écrit par Pascale Lévesque
Samedi, 05 février 2011 09:29
Mise à jour le Samedi, 05 février 2011 11:20
En 17 ans au petit écran, Pénélope McQuade n’a jamais eu peur de se jeter dans le vide. Quatre fois elle a quitté son emploi, des émissions à succès, sans jamais ressentir un petit frisson. Même pas en laissant Salut, Bonjour week-end le printemps dernier avec rien devant elle. Pourtant, l’animatrice a le vertige face à la carte blanche que lui confie Radio-Canada pour son talk-show estival.
« Carrément…où est ma limite ? » s’inquiète Pénélope, qui fera le grand saut dans quelques mois vers le job ultime dont rêvent tous les animateurs de télévision, être à la barre d’un talk-show conçu sur mesure pour elle.
« C’est ma seule préoccupation ; Radio-Canada est une télévision qui permet toutes les palettes, et ma crainte, ma peur, mon désir, mes envies…c’est d’aller dans toutes ces palettes-là ! » confie-t-elle en primeur à Rue Frontenac.
Au comptoir du resto où elle nous a conviés il y a quelques jours, un puis deux verres de chardonnay viendront heureusement compléter le traitement qu’elle s’est offert toute la semaine au Spa Eastman pour faire descendre la tension. Un petit luxe nécessaire avant d’entamer le travail de conception de sa nouvelle émission.
Prendre le relais de France Beaudoin n’a effectivement rien de banal. Pénélope s’enorgueillit d’ailleurs comme une petite fille qu’on la compare à elle parce qu’elle occupera désormais son siège. « Qui aurait cru qu’elle lâcherait Bons Baisers… et que de surcroît, la SRC m’aurait dans sa mire au même moment ? », remarque la svelte blonde. Svelte blonde qui, étonnamment, n’avait jamais été sollicitée ou rencontrée par la direction de la société d’État avant cet automne. En presque 20 ans de carrière ! Elle qui a néanmoins travaillé à toutes les adresses, Radio-Québec, TV5, TVA, TQS, Canal Vie…
« De toute ma vie, c’est la première fois que je réponds différemment à la question Mais toi là, ton rêve en télé, c’est quoi ? » assure-t-elle.
« C’est ce que je fais en ce moment », répondait-elle chaque fois avec toute la sincérité du monde, depuis son tout premier contrat décroché après son baccalauréat en communications à l’UQAM. « Là, je l’ai dit ce que je voulais. Un talk-show ! Oui, un talk-show », martèle Pénélope qui s’est permis, à 40 ans et après s’être relevée d’un accident qui a failli lui coûter la vie, de prendre ses rêves pour des réalités potentielles.
« Moi qui n’ai jamais eu de plan de carrière, peut-être à part celui d’écrire pour Le Devoir, car oui, c’était mon grand plan quand j’étais étudiante… c’est dire à quel point je suis mauvaise dans les plans. »
Exécutante
Inespéré pour une fille, qui, de son propre aveu, s’est toujours plu dans son rôle d’exécutante. « Des maisons de production télé qui m’ont appelée en avril quand j’ai annoncé mon départ de Salut, Bonjour !, il y en a eu dix. Dix ! Pixcom, Trio Orange, 3-2-1 Productions… On me demandait ce qu’on pouvait faire pour moi, si j’avais des idées, quel était mon fantasme d’émission. C’était comme si on me parlait un autre langage ! » lance celle qui, de son propre aveu, s’est toujours satisfaite du rôle d’exécutante dans son métier.
D’ailleurs, sa grande force, reconnaît-elle, aura toujours été de maximiser le potentiel du cadre de travail qu’on lui proposait. « C’est quand même étonnant que quelqu’un d’assez champ- gauche comme moi ait mené une émission aussi conservatrice et conventionnelle que Salut, Bonjour ! Mais je suis arrivée à rester moi-même dans ce cadre », plaide-t-elle.
Mûre pour autre chose
Cette fois, Pénélope était mûre pour autre chose, et bien que TVA eût essayé de la retenir en lui offrant un poste à Deux filles le matin, elle a quand même voulu de ce vide avant d’avoir l’impression de tougher. « Me forcer à finir de manger mon foie gras, ça ne me tente pas, dit-elle en parlant de Salut, Bonjour ! Deux filles, ça ressemblait trop à ce que j’avais déjà fait. Et à part là, où auraient-ils pu m’envoyer ? » se demande l’animatrice.
L’offre de Radio-Canada a eu beau tarder, les corridors de la « grande tour », Pénélope les connaît bien pour y avoir clopiné, petite, alors que son papa Winston McQuade y était animateur vedette. On peut presque parler d’un retour à la maison. « Tu l’as dit, c’est ça. Un retour dans une maison que je n’ai jamais habitée, mais avec la sensation que les choses vont tomber en place comme une évidence », décrit-elle.
Marque de commerce
De son passage à TVA, l’animatrice traîne avec elle sa marque de commerce, faire dans le direct et dans le vrai. « Qu’on soit à TVA ou à la SRC, il y a une chose que les gens veulent voir à la télé. C’est une personne qui a un réel plaisir d’être là et qui met les téléspectateurs dans le même état », expose-t-elle.
Donc, même s’il est trop tôt pour coucher sur papier la formule du talk-show de Pénélope, parce que rien à l’heure actuelle n’est défini, elle est sûre d’une chose, il y aura du direct. « Le plus possible, deux émissions sur quatre. Et les autres préenregistrées seront le plus près possible de l’actualité », avance-t-elle.
Politique, culture, enjeux de société, showbiz… Pénélope rêve de faire autant place à la paillette qu’aux sujets porteurs de sens. « Ça, c’est le bagage TVA qui parle encore. J’ai envie de vulgariser l’information, de parler des préoccupations du Québécois moyen », précise-t-elle. Bref, elle rêve d’un mélange de Bons Baisers et de Larry King.
« Je suis une boulimique d’actualité, j’ai de la curiosité pour 10 000 personnes et je veux que ça se reflète dans le talk-show. Ce sera un talk-show classique dans sa forme, devant public, avec un band, des invités, sans mises en scène parce que je déteste ça, mais avec un propos généraliste », fait-elle voir.
Et son rôle ? « Peu de gens savent, mais la vraie pression n’est pas sur l’animatrice, mais sur les invités ! lance-t-elle. Ma job, sur le show, c’est d’être un lubrifiant. Pas à la fraise ni au chocolat. L’important, c’est que ça maximise le plaisir de tous. »
Hum… une France Beaudoin en bretelles qui lubrifie ? Pénélope a beau nier, elle est bien plus créative qu’elle n’ose l’imaginer. Et tout compte fait, après une bonne heure de discussion, il est évident que sa peur n’est ni plus ni moins que le sentiment enivrant de la liberté.
• Le talk-show de fin de soirée de Pénélope McQuade sera en ondes sur semaine à 21 h à Radio-Canada dès le mois d’avril.
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