Nouvelle maman... à 63 ans!
Nouvelle maman... à 63 ans!
Nouvelle maman... à 63 ans!
Une femme de 63 ans est devenue lundi la plus vieille mère des Pays-Bas en donnant naissance à une petite fille.
Selon Sky News, Tineke Gessink a dû avoir recours à une césarienne pour donner naissance à la petite Meagan dans la province de Friesland, dans le nord du pays.
La radio publique néerlandaise a rapporté qu'elle a dû être inséminée avec du sperme d'un donneur étranger puisqu'aucun médecin de son pays ne voulait l'aider en raison de son âge.
«Il n'y a pas de garantie, même si vous avez votre enfant jeune, que vous allez le voir grandir, a-t-elle déclaré à la radio. Bien sûr, avec moi, le risque est plus grand. Quant à savoir si ma fille va aimer avoir une mère si vieille... J'espère seulement qu'elle va tellement m'aimer qu'elle va être contente de m'avoir.»
...................
http://www.canoe.com/archives/infos/int ... 21010.html" onclick="window.open(this.href);return false;
Une femme de 63 ans est devenue lundi la plus vieille mère des Pays-Bas en donnant naissance à une petite fille.
Selon Sky News, Tineke Gessink a dû avoir recours à une césarienne pour donner naissance à la petite Meagan dans la province de Friesland, dans le nord du pays.
La radio publique néerlandaise a rapporté qu'elle a dû être inséminée avec du sperme d'un donneur étranger puisqu'aucun médecin de son pays ne voulait l'aider en raison de son âge.
«Il n'y a pas de garantie, même si vous avez votre enfant jeune, que vous allez le voir grandir, a-t-elle déclaré à la radio. Bien sûr, avec moi, le risque est plus grand. Quant à savoir si ma fille va aimer avoir une mère si vieille... J'espère seulement qu'elle va tellement m'aimer qu'elle va être contente de m'avoir.»
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http://www.canoe.com/archives/infos/int ... 21010.html" onclick="window.open(this.href);return false;


Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Question stupide, mais normalement à 63 ans on devrait pas être ménopausées??
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Me semble que oui mais même si on l'est pas, me semble que c'est une décision tellement narcissique de donner naissance à u nenfant à cet âge là....Lucie08 a écrit : Question stupide, mais normalement à 63 ans on devrait pas être ménopausées??
j'espère qu'elle va m'aimer..... Ben oui la tarte, elle va surement t'aimer mais va peut-être être orpheline à 10 ans et peut-être avant....
Pis j'espère que tu pètes assez le feu pour lui apprendre à faire de la bicyclette et pour jouer avec mémé

Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Ménopause et procréation médicalement assistée
Grabinski Anna
Éthique et Santé
Etudes et Synthèses - 2001
Rappel des faits
En mai de la présente année, à Fréjus, une femme de 62 ans a donné la vie à un enfant issu d'une fécondation in vitro.
Cette situation a attiré l'attention de la justice française et une mesure d'assistance éducative a été ordonnée. Cependant, aucune poursuite pénale n'a été engagée : malgré le caractère visiblement illégal de la fécondation in vitro, il paraissait évident que cette dernière avait été pratiquée hors de France et, à ce titre, échappait aux dispositions pénales relatives à l'assistance médicale à la procréation du Code de la Santé Publique.
Mais l'affaire ne devait pas s'en arrêter là : en juin, d'autres éléments sont venus se greffer sur ce que l'on appelait déjà " l'affaire de Fréjus ", et cette dernière a pris une ampleur considérable, au point d'être qualifiée " d'abracadabrante " et de " nauséeuse " par les journalistes du " Monde ". L'affaire de Fréjus était devenue " l'affaire de Draguignan ".
Il s'est avéré en effet que la fécondation in vitro a été pratiquée aux Etats-Unis avec le sperme du frère de la parturiente et l'ovule d'une donneuse. Par ailleurs, cette dernière, en qualité de mère porteuse, a également donné naissance, à Los Angeles, à un enfant dont le père est…le frère ci-dessus cité.
Les enfants vivent désormais en France avec leurs " parents " et une procédure d'assistance éducative les concernant cette fois tous les deux a été ouverte par le Procureur de la République de Draguignan, mais aucune poursuite pénale n'a toujours pas été engagée.
Cette affaire n'est pas seulement une sordide affaire de mœurs familiales.
En réalité, les réactions vives qu'elle a suscitées sont surtout dues aux problèmes éthiques qu'elle met en exergue.
L'axe de réflexion principal qui se dégage de cette affaire a trait au débat sur l'âge limite de procréation : une femme ménopausée devrait-elle avoir un droit à l'accès à la procréation médicalement assistée ?
Dans les années 90, en Italie, une femme âgée de plus de 60 ans a bénéficié de la mise en œuvre d'une fécondation in vitro et a pu donner naissance à un enfant.
Cette pratique s'est développée et de nombreuses grossesses ont ainsi été obtenues chez des femmes âgées – en Italie, bien entendu, mais également dans d'autres pays européens.
Ainsi a été ouvert le débat sur la possibilité pour une femme ayant dépassé " l'âge limite de procréation " de donner la vie grâce à la médecine.
L'affaire de Draguignan en est une illustration.
Deux considérations sont avant tout à prendre en compte, afin de pouvoir poursuivre la réflexion : médicale, d'une part, et juridique, d'autre part.
- D'un point de vue médical, la procréation d'une personne ménopausée est parfaitement envisageable : en pratiquant une fécondation in vitro avec l'ovule d'une donneuse, on contourne l'impossibilité naturelle qu'est la cessation de l'activité ovarienne.
L'embryon ainsi conçu est implanté dans l'utérus de la femme, à laquelle un fort apport d'hormones est indispensable pour mener une telle grossesse à terme.
Le suivi médical doit être particulièrement important du fait des risques médicaux encourus tant par la femme (hypertension, hémiplégie…) que par l'enfant (risques de handicap). L'accouchement se fait le plus souvent par césarienne.
- D'un point de vue juridique, une femme ménopausée ne peut, en France, bénéficier d'une assistance médicale à la procréation. Telle est la règle posée par l'article L.2141-2, alinéas 2 et 3, du Code de la Santé Publique, issu de la loi dite " de bioéthique " n°94-654 du 29 juillet 1994 :
"[L'assistance médicale à la procréation] a pour objet de remédier à l'infertilité dont le caractère pathologique a été médicalement diagnostiqué. (…)
L'homme et la femme formant le couple doivent être vivants, en âge de procréer, mariés ou en mesure d'apporter la preuve d'une vie commune d'au moins deux ans et consentant préalablement au transfert des embryons ou à l'insémination. "
L'infertilité induite par la ménopause n'a pas, en soi, un caractère pathologique, sauf cas particuliers, tels la ménopause précoce ou cessation de l'activité ovarienne provoquée par des traitements.
En outre, la référence implicite à la ménopause apparaît également dans la notion d'âge de procréer, autrement dit " l'âge d'une fécondation spontanée " " Procréation médicalement assistée : évolution des techniques ", rapport de l'Ordre national des médecins – Conseil national de l'ordre. M.-F. Lerat avec la collaboration de P.Barrière, M.Jean, département de la Biologie de la reproduction – CHR Nantes.
Ainsi, au vu de ces dispositions, une femme ménopausée ne peut tout simplement pas avoir accès à l'assistance médicale à la procréation – elle n'est plus apte à procréer pour une raison qui ne relève pas de la pathologie et la médecine n'est pas autorisée à contourner cette impossibilité naturelle.
Il est évident qu'il existe des arguments allant à l'encontre d'une telle vision " naturelle " de la procréation et de l'aide médicale à la procréation.
La première et principale objection formulée à l'encontre de cette interdiction est la suivante : puisque la science rend désormais possible la procréation en-dehors des conditions et délais " naturels ", la femme détiendrait désormais le libre choix du moment où elle désire avoir un enfant. C'est là son absolue prérogative et sa propre décision. (On peut d'ailleurs observer qu'il s'agit là d'un parallèle avec la revendication du droit à la contraception : libre choix de ne pas avoir d'enfant à tel moment.) La seule limite que l'on pourrait opposer à la mise en œuvre d'une grossesse tardive serait d'ordre médical : en cas de risques trop importants pour la santé de la femme ou de l'enfant, le rôle du médecin serait d'en informer la patiente, et éventuellement de tenter de l'en dissuader. La décision finale appartiendrait à la femme, avec toutefois la clause de conscience que pourrait invoquer le praticien.
Le rôle du médecin s'inscrirait dès lors dans une démarche et une éthique de soins : relation classique médecin-malade avec exposé des avantages et des risques du " traitement ", conseil, éventuellement dissuasion, avec pour seule arme la clause de conscience.
Un tel argumentaire serait parfaitement concevable et acceptable s'il ne manquait pas une donnée essentielle dans l'hypothèse de départ : l'enfant.
Libre choix de la femme, désir de la femme, décision de la femme ... Or, la conséquence de l'intervention médicale dans une procréation n'est pas seulement l'obtention de la grossesse, mais également et surtout la naissance d'un enfant.
C'est là que se situe toute la différence avec la revendication du droit à la contraception, dont le but est l'absence de grossesse et donc l'absence de naissance d'un enfant – et donc l'absence de conséquences d'une décision de la femme pour une personne autre que cette femme.
Or, dans le cas qui nous intéresse, les conséquences de la prise de décision concernent deux personnes, et non pas une seule.
Tous les arguments doivent donc être considérés et analysés sous un double aspect absolument indissociable : femme et enfant.
Les avancées de la science ont permis de contourner les limites naturelles de la procréation féminine et obtenir des grossesses après la ménopause.
Mais ce qui est techniquement possible devient-il par la même humainement acceptable ou tout simplement raisonnable ?
Est-ce vraiment conforme à l'éthique de soins que de permettre à une femme âgée d'avoir des enfants uniquement parce qu'elle en aura émis le désir ?
Et d'ailleurs une telle démarche relève-t-elle du soin ou de la simple satisfaction, grâce à la médecine, d'un désir personnel ?
Du point de vue strictement maternel, un tel progrès est un pas de plus vers la totale maîtrise de la maternité par les femmes. La limitation naturelle que représente la ménopause n'est plus une étape de la vie mais est perçue comme un obstacle au libre-arbitre et à l'exercice de la liberté individuelle.
Cependant, la procréation est un acte social. Il ne concerne pas seulement la femme et n'est pas, en outre, simplement la possibilité, pour la science, de franchir un nouvel obstacle et de relever un nouveau défi. Or, force est de constater que la société ne considère pas les maternités tardives comme acceptables.
En effet, et c'est certainement l'élément le plus important du débat, la décision a pour conséquence la naissance d'un enfant, d'une personne qui a des droits, au même titre que la mère.
A la lecture de certains textes européens concernant l'assistance médicale à la procréation on s'aperçoit qu'on insiste sur la capacité des parents à s'occuper de l'enfant à venir. La législation suisse précise d'ailleurs que les parents doivent être à même d'élever l'enfant jusqu'à sa majorité.
Ce type de dispositions traduit parfaitement les raisons du refus social de la maternité tardive : les parents doivent pouvoir assurer l'éducation d'un enfant. Et contrairement aux apparences, il ne s'agit pas d'un jugement de valeurs sur la " faculté d'être parent ". Il s'agit en réalité de donner à l'enfant le plus de chances possibles d'être élevé par ses deux parents, ce qui est logiquement beaucoup moins probable dans le cas d'une personne âgée. Or, il ne faut pas oublier que cette dernière a des risques importants de voir son état se détériorer au cours des années suivant la naissance de l'enfant. On ne peut perdre de vue qu'une femme qui devient mère à 62 ans aura 70 ans alors que son enfant n'en aura que 8, 75 ans lorsqu'il sera à peine âgé de 13 ans…Il ne convient donc pas seulement de prendre en considération l'âge et l'état général de cette femme au moment de la naissance de l'enfant. Car finalement, le débat sur les maternités tardives n'est pas uniquement relatif à l'âge de la " parturiente ". La naissance de l'enfant n'est pas le " point final " de l'histoire – elle n'est que son commencement. Et c'est bien là où se situent les réticences : le taux de probabilité des difficultés est à l'image d'une courbe ascendante, croissant chaque année.
Car en-dehors même de celles, biologiques et médicales, liées au vieillissement, il existe des difficultés relatives au non-respect d'une sorte de chronologie familiale. On créerait ainsi, et ce, délibérément, d'importants décalages entre les générations, " avec toutes les conséquences, notamment familiales, parentales, psychologiques qui peuvent en résulter [" Dictionnaire Permanent Bioéthique et Biotechnologies, " Assistance Médicale à la Procréation ", Feuillets 24 ]
En outre, il ne s'agit pas d'une discrimination, comme cela a pu parfois être avancé. Il est bien entendu discriminatoire d'empêcher une femme par nature en " âge de procréer " d'avoir un enfant. Mais, dans le cas qui nous intéresse, il s'agit de ne pas autoriser une femme qui, par nature, n'est plus en " âge de procréer " d'avoir un enfant. Et c'est là une grande différence : interdire ce qui est possible ce n'est pas ne pas autoriser ce qui n'est plus possible.
Par ailleurs, il est évident que, " naturellement ", l'homme âgé peut encore procréer, alors que la femme ménopausée ne le peut plus. Cependant, il semble également difficile d'interdire à un homme âgé de procréer, s'il est encore en mesure de le faire…
Toutefois, la difficulté vient de la formulation de la disposition relative à l'accès à l'assistance médicale à la procréation.
L'homme de 80 ans pourra-t-il bénéficier d'une aide médicale puisque " biologiquement " il est considéré comme étant " en âge de procréer " ? Que signifie exactement cette notion ? Il semblerait que celle-ci n'est relative qu'à la réalité biologique, et qu'elle ne concerne implicitement que la femme : l'impossibilité de procréer ne doit pas résulter de la ménopause. Et c'est finalement à ce niveau-là que l'on pourrait déceler une sorte de discrimination. Les deux parents devraient, dans l'intérêt de l'enfant (qui fut le maître mot dans l'élaboration des conditions restrictives relatives à l'accès à l'AMP), être en mesure de l'élever au moins jusqu'à sa majorité. La notion d'âge de procréer devrait être regardée non seulement sous l'angle de la réalité biologique, mais également sous l'angle de la réalité " sociale " - regroupant toutes les considérations d'ordre familial, parental, psychologique… qui entraînent des réticences face à la maternité tardive, mais qui pourraient parfaitement s'appliquer à la paternité tardive.
Deux solutions sont dès lors possibles afin d'éviter une telle " discrimination de la femme par rapport à l'homme " : soit exiger que l'un au moins des membres du couple soit en mesure (en principe), du fait de son âge, d'élever l'enfant jusqu'à sa majorité – ainsi, tant la maternité tardive que la paternité tardive deviendraient envisageables ; soit préciser que les deux membres du couple doivent être en âge de procréer et, sur le modèle suisse, préciser qu'ils doivent être en mesure d'élever l'enfant jusqu'à sa majorité – de ce fait, tant la maternité que la paternité tardives seraient exclues.
1 - " Procréation médicalement assistée : évolution des techniques ", rapport de l'Ordre national des médecins – Conseil national de l'ordre. M.-F. Lerat avec la collaboration de P.Barrière, M.Jean, département de la Biologie de la reproduction – CHR Nantes
http://infodoc.inserm.fr/inserm/ethique ... a5005150df" onclick="window.open(this.href);return false;
Grabinski Anna
Éthique et Santé
Etudes et Synthèses - 2001
Rappel des faits
En mai de la présente année, à Fréjus, une femme de 62 ans a donné la vie à un enfant issu d'une fécondation in vitro.
Cette situation a attiré l'attention de la justice française et une mesure d'assistance éducative a été ordonnée. Cependant, aucune poursuite pénale n'a été engagée : malgré le caractère visiblement illégal de la fécondation in vitro, il paraissait évident que cette dernière avait été pratiquée hors de France et, à ce titre, échappait aux dispositions pénales relatives à l'assistance médicale à la procréation du Code de la Santé Publique.
Mais l'affaire ne devait pas s'en arrêter là : en juin, d'autres éléments sont venus se greffer sur ce que l'on appelait déjà " l'affaire de Fréjus ", et cette dernière a pris une ampleur considérable, au point d'être qualifiée " d'abracadabrante " et de " nauséeuse " par les journalistes du " Monde ". L'affaire de Fréjus était devenue " l'affaire de Draguignan ".
Il s'est avéré en effet que la fécondation in vitro a été pratiquée aux Etats-Unis avec le sperme du frère de la parturiente et l'ovule d'une donneuse. Par ailleurs, cette dernière, en qualité de mère porteuse, a également donné naissance, à Los Angeles, à un enfant dont le père est…le frère ci-dessus cité.
Les enfants vivent désormais en France avec leurs " parents " et une procédure d'assistance éducative les concernant cette fois tous les deux a été ouverte par le Procureur de la République de Draguignan, mais aucune poursuite pénale n'a toujours pas été engagée.
Cette affaire n'est pas seulement une sordide affaire de mœurs familiales.
En réalité, les réactions vives qu'elle a suscitées sont surtout dues aux problèmes éthiques qu'elle met en exergue.
L'axe de réflexion principal qui se dégage de cette affaire a trait au débat sur l'âge limite de procréation : une femme ménopausée devrait-elle avoir un droit à l'accès à la procréation médicalement assistée ?
Dans les années 90, en Italie, une femme âgée de plus de 60 ans a bénéficié de la mise en œuvre d'une fécondation in vitro et a pu donner naissance à un enfant.
Cette pratique s'est développée et de nombreuses grossesses ont ainsi été obtenues chez des femmes âgées – en Italie, bien entendu, mais également dans d'autres pays européens.
Ainsi a été ouvert le débat sur la possibilité pour une femme ayant dépassé " l'âge limite de procréation " de donner la vie grâce à la médecine.
L'affaire de Draguignan en est une illustration.
Deux considérations sont avant tout à prendre en compte, afin de pouvoir poursuivre la réflexion : médicale, d'une part, et juridique, d'autre part.
- D'un point de vue médical, la procréation d'une personne ménopausée est parfaitement envisageable : en pratiquant une fécondation in vitro avec l'ovule d'une donneuse, on contourne l'impossibilité naturelle qu'est la cessation de l'activité ovarienne.
L'embryon ainsi conçu est implanté dans l'utérus de la femme, à laquelle un fort apport d'hormones est indispensable pour mener une telle grossesse à terme.
Le suivi médical doit être particulièrement important du fait des risques médicaux encourus tant par la femme (hypertension, hémiplégie…) que par l'enfant (risques de handicap). L'accouchement se fait le plus souvent par césarienne.
- D'un point de vue juridique, une femme ménopausée ne peut, en France, bénéficier d'une assistance médicale à la procréation. Telle est la règle posée par l'article L.2141-2, alinéas 2 et 3, du Code de la Santé Publique, issu de la loi dite " de bioéthique " n°94-654 du 29 juillet 1994 :
"[L'assistance médicale à la procréation] a pour objet de remédier à l'infertilité dont le caractère pathologique a été médicalement diagnostiqué. (…)
L'homme et la femme formant le couple doivent être vivants, en âge de procréer, mariés ou en mesure d'apporter la preuve d'une vie commune d'au moins deux ans et consentant préalablement au transfert des embryons ou à l'insémination. "
L'infertilité induite par la ménopause n'a pas, en soi, un caractère pathologique, sauf cas particuliers, tels la ménopause précoce ou cessation de l'activité ovarienne provoquée par des traitements.
En outre, la référence implicite à la ménopause apparaît également dans la notion d'âge de procréer, autrement dit " l'âge d'une fécondation spontanée " " Procréation médicalement assistée : évolution des techniques ", rapport de l'Ordre national des médecins – Conseil national de l'ordre. M.-F. Lerat avec la collaboration de P.Barrière, M.Jean, département de la Biologie de la reproduction – CHR Nantes.
Ainsi, au vu de ces dispositions, une femme ménopausée ne peut tout simplement pas avoir accès à l'assistance médicale à la procréation – elle n'est plus apte à procréer pour une raison qui ne relève pas de la pathologie et la médecine n'est pas autorisée à contourner cette impossibilité naturelle.
Il est évident qu'il existe des arguments allant à l'encontre d'une telle vision " naturelle " de la procréation et de l'aide médicale à la procréation.
La première et principale objection formulée à l'encontre de cette interdiction est la suivante : puisque la science rend désormais possible la procréation en-dehors des conditions et délais " naturels ", la femme détiendrait désormais le libre choix du moment où elle désire avoir un enfant. C'est là son absolue prérogative et sa propre décision. (On peut d'ailleurs observer qu'il s'agit là d'un parallèle avec la revendication du droit à la contraception : libre choix de ne pas avoir d'enfant à tel moment.) La seule limite que l'on pourrait opposer à la mise en œuvre d'une grossesse tardive serait d'ordre médical : en cas de risques trop importants pour la santé de la femme ou de l'enfant, le rôle du médecin serait d'en informer la patiente, et éventuellement de tenter de l'en dissuader. La décision finale appartiendrait à la femme, avec toutefois la clause de conscience que pourrait invoquer le praticien.
Le rôle du médecin s'inscrirait dès lors dans une démarche et une éthique de soins : relation classique médecin-malade avec exposé des avantages et des risques du " traitement ", conseil, éventuellement dissuasion, avec pour seule arme la clause de conscience.
Un tel argumentaire serait parfaitement concevable et acceptable s'il ne manquait pas une donnée essentielle dans l'hypothèse de départ : l'enfant.
Libre choix de la femme, désir de la femme, décision de la femme ... Or, la conséquence de l'intervention médicale dans une procréation n'est pas seulement l'obtention de la grossesse, mais également et surtout la naissance d'un enfant.
C'est là que se situe toute la différence avec la revendication du droit à la contraception, dont le but est l'absence de grossesse et donc l'absence de naissance d'un enfant – et donc l'absence de conséquences d'une décision de la femme pour une personne autre que cette femme.
Or, dans le cas qui nous intéresse, les conséquences de la prise de décision concernent deux personnes, et non pas une seule.
Tous les arguments doivent donc être considérés et analysés sous un double aspect absolument indissociable : femme et enfant.
Les avancées de la science ont permis de contourner les limites naturelles de la procréation féminine et obtenir des grossesses après la ménopause.
Mais ce qui est techniquement possible devient-il par la même humainement acceptable ou tout simplement raisonnable ?
Est-ce vraiment conforme à l'éthique de soins que de permettre à une femme âgée d'avoir des enfants uniquement parce qu'elle en aura émis le désir ?
Et d'ailleurs une telle démarche relève-t-elle du soin ou de la simple satisfaction, grâce à la médecine, d'un désir personnel ?
Du point de vue strictement maternel, un tel progrès est un pas de plus vers la totale maîtrise de la maternité par les femmes. La limitation naturelle que représente la ménopause n'est plus une étape de la vie mais est perçue comme un obstacle au libre-arbitre et à l'exercice de la liberté individuelle.
Cependant, la procréation est un acte social. Il ne concerne pas seulement la femme et n'est pas, en outre, simplement la possibilité, pour la science, de franchir un nouvel obstacle et de relever un nouveau défi. Or, force est de constater que la société ne considère pas les maternités tardives comme acceptables.
En effet, et c'est certainement l'élément le plus important du débat, la décision a pour conséquence la naissance d'un enfant, d'une personne qui a des droits, au même titre que la mère.
A la lecture de certains textes européens concernant l'assistance médicale à la procréation on s'aperçoit qu'on insiste sur la capacité des parents à s'occuper de l'enfant à venir. La législation suisse précise d'ailleurs que les parents doivent être à même d'élever l'enfant jusqu'à sa majorité.
Ce type de dispositions traduit parfaitement les raisons du refus social de la maternité tardive : les parents doivent pouvoir assurer l'éducation d'un enfant. Et contrairement aux apparences, il ne s'agit pas d'un jugement de valeurs sur la " faculté d'être parent ". Il s'agit en réalité de donner à l'enfant le plus de chances possibles d'être élevé par ses deux parents, ce qui est logiquement beaucoup moins probable dans le cas d'une personne âgée. Or, il ne faut pas oublier que cette dernière a des risques importants de voir son état se détériorer au cours des années suivant la naissance de l'enfant. On ne peut perdre de vue qu'une femme qui devient mère à 62 ans aura 70 ans alors que son enfant n'en aura que 8, 75 ans lorsqu'il sera à peine âgé de 13 ans…Il ne convient donc pas seulement de prendre en considération l'âge et l'état général de cette femme au moment de la naissance de l'enfant. Car finalement, le débat sur les maternités tardives n'est pas uniquement relatif à l'âge de la " parturiente ". La naissance de l'enfant n'est pas le " point final " de l'histoire – elle n'est que son commencement. Et c'est bien là où se situent les réticences : le taux de probabilité des difficultés est à l'image d'une courbe ascendante, croissant chaque année.
Car en-dehors même de celles, biologiques et médicales, liées au vieillissement, il existe des difficultés relatives au non-respect d'une sorte de chronologie familiale. On créerait ainsi, et ce, délibérément, d'importants décalages entre les générations, " avec toutes les conséquences, notamment familiales, parentales, psychologiques qui peuvent en résulter [" Dictionnaire Permanent Bioéthique et Biotechnologies, " Assistance Médicale à la Procréation ", Feuillets 24 ]
En outre, il ne s'agit pas d'une discrimination, comme cela a pu parfois être avancé. Il est bien entendu discriminatoire d'empêcher une femme par nature en " âge de procréer " d'avoir un enfant. Mais, dans le cas qui nous intéresse, il s'agit de ne pas autoriser une femme qui, par nature, n'est plus en " âge de procréer " d'avoir un enfant. Et c'est là une grande différence : interdire ce qui est possible ce n'est pas ne pas autoriser ce qui n'est plus possible.
Par ailleurs, il est évident que, " naturellement ", l'homme âgé peut encore procréer, alors que la femme ménopausée ne le peut plus. Cependant, il semble également difficile d'interdire à un homme âgé de procréer, s'il est encore en mesure de le faire…
Toutefois, la difficulté vient de la formulation de la disposition relative à l'accès à l'assistance médicale à la procréation.
L'homme de 80 ans pourra-t-il bénéficier d'une aide médicale puisque " biologiquement " il est considéré comme étant " en âge de procréer " ? Que signifie exactement cette notion ? Il semblerait que celle-ci n'est relative qu'à la réalité biologique, et qu'elle ne concerne implicitement que la femme : l'impossibilité de procréer ne doit pas résulter de la ménopause. Et c'est finalement à ce niveau-là que l'on pourrait déceler une sorte de discrimination. Les deux parents devraient, dans l'intérêt de l'enfant (qui fut le maître mot dans l'élaboration des conditions restrictives relatives à l'accès à l'AMP), être en mesure de l'élever au moins jusqu'à sa majorité. La notion d'âge de procréer devrait être regardée non seulement sous l'angle de la réalité biologique, mais également sous l'angle de la réalité " sociale " - regroupant toutes les considérations d'ordre familial, parental, psychologique… qui entraînent des réticences face à la maternité tardive, mais qui pourraient parfaitement s'appliquer à la paternité tardive.
Deux solutions sont dès lors possibles afin d'éviter une telle " discrimination de la femme par rapport à l'homme " : soit exiger que l'un au moins des membres du couple soit en mesure (en principe), du fait de son âge, d'élever l'enfant jusqu'à sa majorité – ainsi, tant la maternité tardive que la paternité tardive deviendraient envisageables ; soit préciser que les deux membres du couple doivent être en âge de procréer et, sur le modèle suisse, préciser qu'ils doivent être en mesure d'élever l'enfant jusqu'à sa majorité – de ce fait, tant la maternité que la paternité tardives seraient exclues.
1 - " Procréation médicalement assistée : évolution des techniques ", rapport de l'Ordre national des médecins – Conseil national de l'ordre. M.-F. Lerat avec la collaboration de P.Barrière, M.Jean, département de la Biologie de la reproduction – CHR Nantes
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Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Annouk a écrit : [...]
Me semble que oui mais même si on l'est pas, me semble que c'est une décision tellement narcissique de donner naissance à u nenfant à cet âge là....
j'espère qu'elle va m'aimer..... Ben oui la tarte, elle va surement t'aimer mais va peut-être être orpheline à 10 ans et peut-être avant....
Pis j'espère que tu pètes assez le feu pour lui apprendre à faire de la bicyclette et pour jouer avec mémé

Je me demande bien ce qui peut pousser une femme à vouloir vivre une grossesse et élever un enfant (le peu de temps qu'elle va pouvoir le faire...) à cet âge-là...Je peux comprendre le désir d'avoir des enfants, mais après 60 ans??? Trouve-toi un passe-temps si tu t'ennuies, mais va pas scrapper la vie d'un enfant parce que tes hormones sont en folie. T'avais au moins une vingtaine d'années ou tu pouvais y penser aux enfants, c'est à ce moment-là qu'il fallait y penser. Si la vie fait en sorte qu'on est ménauposées après un certain âge, c'est pas pour rien. Pourquoi vouloir forcer la nature à ce point-là? C'est d'un ridicule...

- MsPontchartrain
- Immortel du Domaine
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- Inscription : mar. mai 04, 2010 1:55 am
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Je trouve cela excessif aussi. D'un autre côté, combien d'hommes dans la soixantaine ont des enfants avec des femmes plus jeunes ... j'imagine qu'en quelque par ces femmes sexagénaires qui décident d,avoir des enfants malgré tout se disent ''pourquoi pas nous'', mais bon le corps fonctionne différemment selon le sexe et je trouve aussi que c'est forcer la nature.
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Mon dieu, assez les dégradants les commentaires ici, tsé je veux dire ya bin des double mamans lesbies pis des doubles papas gai, ya bin des parents fumeux de pots qui vont petter d'une overdose laissant leurs enfants orphelins, des parents différents yen a partout, si elle le veut a 63 ans ya rien qui l'en empêche. Si elle en a pas eu avant et qu'elle regrette sa décision à son jeune âge vaut mieux tard que jamais.
Dernière modification par Citron500 le mer. mars 23, 2011 4:33 pm, modifié 1 fois.
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Scuse, mais ici, on commente l'actualité et on ne s'en prend pas aux forumeurs. Les gens ont le droit d'avoir leur opinion.Citron500 a écrit : Mon dieu, assez les dégradants les commentaires ici, tsé je veux dire ya bin des double mamans lesbies pis des doubles papas gai, ya bin des parents fumeux de pots qui vont petter d'une overdose laissant leurs enfants orphelins, des parents différents yen a partout, si elle le veut a 63 ans ya rien qui l'en empêche. Si elle en a pas eu avant et qu'elle regrette sa décision à son jeune âge vaut mieux tard que jamais.
Merci
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Je ne me suis attaqué à personne. J'ai bel et bien généralisé.
Dernière modification par Citron500 le mer. mars 23, 2011 4:35 pm, modifié 1 fois.
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
En tout cas, j'ai pris ça comme une attaque envers les opinions émises, mais si ce n'est pas ça, tant mieux...Citron500 a écrit : Mon dieu, assez les dégradants les commentaires ici , tsé je veux dire ya bin des double mamans lesbies pis des doubles papas gai, ya bin des parents fumeux de pots qui vont petter d'une overdose laissant leurs enfants orphelins, des parents différents yen a partout, si elle le veut a 63 ans ya rien qui l'en empêche. Si elle en a pas eu avant et qu'elle regrette sa décision à son jeune âge vaut mieux tard que jamais.
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Si ça atteint comme une attaque, alors j'en suis désolé.
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Ben perso, les doubles mamans homosexuelles et les doubles papa homesexuels en âge d'avoir des enfants, y a rien là....Les toxicomanes, peut importe que ce soit à l'alcool ou aux drogues ne mériteraient pas d'en avoir mais ça, c'est un autre débat....Mais une mère ménauposée monoparentale de 63 ans, qui ne sera pas capable d'élever cet enfant de son vivant adéquatement et qui de plus, a eu recours à un don de sperme de son propre frère et à un ovule d'une donneuse, je sais pas mais me semble que moi je vois ça pas mal pire...Tant mieux pour toi si ça cadre dans ton schème de valeurCitron500 a écrit : Mon dieu, assez les dégradants les commentaires ici, tsé je veux dire ya bin des double mamans lesbies pis des doubles papas gai, ya bin des parents fumeux de pots qui vont petter d'une overdose laissant leurs enfants orphelins, des parents différents yen a partout, si elle le veut a 63 ans ya rien qui l'en empêche. Si elle en a pas eu avant et qu'elle regrette sa décision à son jeune âge vaut mieux tard que jamais.

Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Annouk a écrit : [...]
Ben perso, les doubles mamans homosexuelles et les doubles papa homesexuels en âge d'avoir des enfants, y a rien là....Les toxicomanes, peut importe que ce soit à l'alcool ou aux drogues ne mériteraient pas d'en avoir mais ça, c'est un autre débat....Mais une mère ménauposée monoparentale de 63 ans, qui ne sera pas capable d'élever cet enfant de son vivant adéquatement et qui de plus, a eu recours à un don de sperme de son propre frère et à un ovule d'une donneuse, je sais pas mais me semble que moi je vois ça pas mal pire...Tant mieux pour toi si ça cadre dans ton schème de valeur
Quelque peut spéciale cette histoire

Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
C'est faux de dire que "rien" ne lui empêchait d'avoir un enfant a 63 ans. L'article dit bien qu'aucun médecin n'acceptait de l'aider dans sa démarche en raison de son âge et elle a dû aller a l'étranger. Donc déjà au départ il y avait un obstacle majeur.
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
premièremement si la nature ne nou permet pu den avoir nous les femmes à partir de la ménopause, ya une raison..... pis daller contre ca..... jai bin beau aimé les enfants mais jamais que jferais une tel chose.
MsPontchartrain a dit: Je trouve cela excessif aussi. D'un autre côté, combien d'hommes dans la soixantaine ont des enfants avec des femmes plus jeunes ...
dans le fond mon commentaire qui sajoute à sa est que les hommes sont toujours ''fertile'' jusqua un âge avancé, ce nest pas comme les femmes, donc quils en aillent à cet âge plus avancer... quoi que cest pas super pour lenfant, ban cest moins pire quune femme qui force la nature dans la soixantaine.... cest mettre sa vie et la vie du bébé premièrement en danger en plus de ne pas pouvoir l'élever vraiment...
MsPontchartrain a dit: Je trouve cela excessif aussi. D'un autre côté, combien d'hommes dans la soixantaine ont des enfants avec des femmes plus jeunes ...
dans le fond mon commentaire qui sajoute à sa est que les hommes sont toujours ''fertile'' jusqua un âge avancé, ce nest pas comme les femmes, donc quils en aillent à cet âge plus avancer... quoi que cest pas super pour lenfant, ban cest moins pire quune femme qui force la nature dans la soixantaine.... cest mettre sa vie et la vie du bébé premièrement en danger en plus de ne pas pouvoir l'élever vraiment...
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Pas vraiment. Ce qui fait qu'une femme plus âgée risque de mettre au monde un enfant présentant une anomalie est le vieillissement de ses ovules. Si elle reçoit l'ovule d'une donneuse de moins de 35 ans par exemple, techniquement, cet enfant n'a pas plus de risque de souffrir de trisomie que l'enfant naturel d'une femme en bas de 35 ans qui aurait une grossesse ''normale''.myriannie a écrit : premièremement si la nature ne nou permet pu den avoir nous les femmes à partir de la ménopause, ya une raison..... pis daller contre ca..... jai bin beau aimé les enfants mais jamais que jferais une tel chose.
MsPontchartrain a dit: Je trouve cela excessif aussi. D'un autre côté, combien d'hommes dans la soixantaine ont des enfants avec des femmes plus jeunes ...
dans le fond mon commentaire qui sajoute à sa est que les hommes sont toujours ''fertile'' jusqua un âge avancé, ce nest pas comme les femmes, donc quils en aillent à cet âge plus avancer... quoi que cest pas super pour lenfant, ban cest moins pire quune femme qui force la nature dans la soixantaine.... cest mettre sa vie et la vie du bébé premièrement en danger en plus de ne pas pouvoir l'élever vraiment...
Je trouve que la comparaison se tient bien entre une homme et une femme qui décident de procréer très tard, à l'âge où ils devraient être grands-parents... La différence, c'est qu'un homme peut encore faire des enfants jusqu'à la fin de sa vie (à condition de conserver ses facultés érectiles), et une femme a un âge limite...
Et je juge autant les hommes que les femmes de faire une telle chose!

Angelil a quoi?.. 69 ans?
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Ben en fait, un homme qui n'a plus d'erection ne devrait en general plus etre en mesure de procreer...... c'est les tites pilules qui font que c'est possible....
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Il y a des hommes qui sont ''capables'' sans pilule jusqu'à un âge avancé...Placeress a écrit : Ben en fait, un homme qui n'a plus d'erection ne devrait en general plus etre en mesure de procreer...... c'est les tites pilules qui font que c'est possible....
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Nikki a écrit : [...]
Il y a des hommes qui sont ''capables'' sans pilule jusqu'à un âge avancé...
Je sais, mais ceux qui ne peuvent pas, c'est pas plus naturel. Y'a aussi des femmes qui ont leur menopause vers la fin de la cinquantaine.
Re: Nouvelle maman... à 63 ans!
Ce que je voulais dire surtout, c'est que théoriquement, les hommes peuvent procréer jusqu'à la fin de leur vie... Bon, tout le monde sait qu'ils deviennent moins capables en vieillissant, mais on s'entend que ce n'est pas comme les femmes... Ils doivent devenir incapables sexuellement pour ne plus procréer, alors que les femmes continuent à avoir une vie sexuelle malgré leur ménopause...Placeress a écrit : [...]
Je sais, mais ceux qui ne peuvent pas, c'est pas plus naturel. Y'a aussi des femmes qui ont leur menopause vers la fin de la cinquantaine.
Edit: Les femmes PEUVENT continuer à avoir une vie sexuelle
Dernière modification par Nikki le mer. mars 23, 2011 8:00 pm, modifié 2 fois.