En haut du forum, l'onglet panneau de contrôle, ensuite panneau de contrôle membre, ensuite dans Préférences du forumMME C a écrit : Comment on fait pour que ce soit la bonne heure inscrite sous notre profil?
Merci!

En haut du forum, l'onglet panneau de contrôle, ensuite panneau de contrôle membre, ensuite dans Préférences du forumMME C a écrit : Comment on fait pour que ce soit la bonne heure inscrite sous notre profil?
Merci!
Je te suggère d'aller visiter la section La Tour... Perso je ne pourrais te répondre spontanément là, maintenant..MME C a écrit : Comment on fait pour que ce soit la bonne heure inscrite sous notre profil?
Merci!
C'est ce que je me dis toujours, mais là, j'ai peur de ce qu'on va apprendre... Quelque chose me dit que c'est une histoire terrible...Capuchino a écrit : [...]
Moi aussi j'ai hâte de savoir surtout que les policiers semblent assez sûr de leur coup. Les parents vont pouvoir enfin cesser d'être toujours dans le doute. Ca brise une vie des histoires de même.
J'ai entendu de quoi à la radio aujourd'hui...Misstress a écrit : [...]
Je pense qu'on peut comprendre le fonctionnement de la justice en disant par exemple que "les corps des enfants portaient de nombreuses marques blessures", plutôt que de dire " le petit a reçu 27 coups de couteau et on voyait les viscères qui sortaient"
C'est vrai que les détails nous font dresser le poils des bras très souvent et sont plutôt plus que dégoûtants. Je ne sais pas à quel point c'est nécessaire que le commun des mortels sachent tous ces détails morbides sinon de savoir que ça existe des êtres sans scrupules et dont leur soif d'assouvir leurs bas instincts n'a pas de limites. Personnellement, ça me rend plus prudente en tant que parent et depuis l'affaire Turcotte plus sensible auprès de mes amis gars qui vivent des séparations en me faisant plus présente dans leur vie dans ses moments difficiles. Ca vaut ce que ça vaut, mais ça me sensibilise vraiment.Misstress a écrit : [...]
Je pense qu'on peut comprendre le fonctionnement de la justice en disant par exemple que "les corps des enfants portaient de nombreuses marques blessures", plutôt que de dire " le petit a reçu 27 coups de couteau et on voyait les viscères qui sortaient"
C'est vrai que c'est rassurant.MME C a écrit : D'après un ex-enquêteur interviewé par Denis Lévesque, le suspect actuellement interrogé aurait été suspect depuis presque le début de la disparition. J'imagine qu'ils manquaient de preuves pour l'arrêter.
En tout cas, même si ça a pris du temps, c'est très rassurant de voir que les enquêtes demeurent actives et que les enquêteurs ne lâchent pas les dossiers, peu importe le temps que ça prendra. On en avait eu la preuve avec Alain Perreault arrêté pour meurtre 6 ans après la disparition de Lyne Massicotte. Et là encore une fois, 12 ans plus tard.
Tu penses peut-être que ça vaut ce que ça vaut, mais ce sont des gestes comme le tien qui peuvent peut-être faire une différence.Capuchino a écrit : [...]
Personnellement, ça me rend plus prudente en tant que parent et depuis l'affaire Turcotte plus sensible auprès de mes amis gars qui vivent des séparations en me faisant plus présente dans leur vie dans ses moments difficiles. Ca vaut ce que ça vaut, mais ça me sensibilise vraiment.
J'ose l'espérer.MME C a écrit : [...]
Tu penses peut-être que ça vaut ce que ça vaut, mais ce sont des gestes comme le tien qui peuvent peut-être faire une différence.
Peut-être, mais peut-être pas. Je vous assure que je ne suis absolument pas assoiffée de récits sadiques, mais je trouve que le geste sonne très différemment selon la description qu'on en fait. Jusqu'à quel point c'est important pour le public, je ne pourrais pas dire, mais je comprends qu'on doive aller jusque-là pour que le jury puisse se faire une idée de l'état d'esprit du meurtrier, et par extension, si on veut informer le public pour qu'il puisse se former son propre jugement, ça se tient.Misstress a écrit :Je pense qu'on peut comprendre le fonctionnement de la justice en disant par exemple que "les corps des enfants portaient de nombreuses marques blessures", plutôt que de dire " le petit a reçu 27 coups de couteau et on voyait les viscères qui sortaient"
J'apprécie énormément le travail d'Isabelle Richer, qui couvre les affaires judiciaires pour Radio-Canada. Je trouve qu'elle fait très bien son travail et je n'ai jamais l'impression qu'elle cherche à en ajouter, au contraire, je trouve qu'elle fait son travail avec autant de sensibilité que de professionnalisme. D'ailleurs, en repensant à mon paragraphe précédent, peut-être que, puisque c'est par elle que j'entends les détails quand j'écoute la télé, peut-être que ça peut jouer sur ma perception du travail des journalistes.Nikki a écrit :J'ai entendu de quoi à la radio aujourd'hui...
Tout d'abord, le métier de journaliste en est un de prouesses... tu sors de la nouvelle ou tu n'en sors pas... Au départ, tu dois avoir du contenu...
aucune instance ne pourrait se placer au dessus et décider de ce qui est bon ou mauvais à publier parce que ça s'appellerait de la censure. Partant de ce constat, si un media décide de se censurer lui-même, 50 autres autour de lui ne le feront pas et vendront plus de copie... C'est plate, mais c'est ça...
Oui, puis non, cela dépend du journaliste en question.Nikki a écrit : [...]
J'ai entendu de quoi à la radio aujourd'hui...
Tout d'abord, le métier de journaliste en est un de prouesses... tu sors de la nouvelle ou tu n'en sors pas... Au départ, tu dois avoir du contenu...
aucune instance ne pourrait se placer au dessus et décider de ce qui est bon ou mauvais à publier parce que ça s'appellerait de la censure. Partant de ce constat, si un media décide de se censurer lui-même, 50 autres autour de lui ne le feront pas et vendront plus de copie... C'est plate, mais c'est ça...
Je ne parle pas de fausses nouvelles ou de nouvelles arrangées.. Je parle de vraies nouvelles, mais les terribles, de celles qu'on dit qu'on a pas besoin de savoir. Comme le nombre de coups de couteau, ou le fait que le petit ait cherché à convaincre son père de ne pas le tuer avec des ''Non Papa''...Soleil47 a écrit : [...]
Oui, puis non, cela dépend du journaliste en question.
Un journaliste se doit de vérifier ses nouvelles et non pas se fier à Pierre, Jean ou Jacques.
eh oui!, hélas, il y a la course aux ''scoop'', c'est le patron qui le demande bien souvent, parce que si l'autre à côté sort la nouvelle avant toi, ben c'est mal vu.
Comme dans tout métier, il y a des très bons journalistes comme il y en a que la seule chose qui est importante, c'est de sortir un ''scoop'' tout croche, mais ce journaliste perdra sa crédibilité tôt ou tard. Et c'est pas trop bon non plus pour la firme qui l'emploie, eux aussi en paieront la note.
Autrement dit: oui, sors le le ''scoop'' mais assure toi que tu as bien vérifié tes sources avant!
Le meilleur texte selon moi sur le procès et aussi en lien avec ce que l'on discute. Il m'a fait comprendre bien des trucs... et à même permis de mettre en mot certaines des émotions et des ressentis qui m'habitaient mais que je n'arrivais pas exactement à m'expliquer. Moi aussi je me sens de trop, pas à ma place. J'ai le pouvoir de quitter la pièce, pas Isabelle. Ce texte me donne des frissons.Skarhet a écrit : Je vous suggère d'aller lire l'article de Patrick Lagacé qui a été copié dans le topic du procès Turcotte ou via le lien suivant: http://www.cyberpresse.ca/chroniqueurs/ ... ECRAN1POS1" onclick="window.open(this.href);return false;
Je comprends pas encore pourquoi cette jeune femme n'a pas été en contact avec le SPVM. OK, ils ont ses coordonnées. ELLE, pourquoi elle ne les contacte pas?Anya a écrit : Meurtre de Jolène Riendeau
Le suspect relâché
Mise à jour : 7 mai 2011 à 08h26
Par Daniel Renaud | Le Journal de Montréal
Par ailleurs, vendredi, les policiers n'étaient toujours pas parvenus à rencontrer une amie d'enfance de Jolène Riendeau qui a confié jeudi à TVA avoir vu la fillette en milieu de soirée, le 13 avril 1999.
La femme a dit notamment avoir aperçu Jolène Riendeau devant le Centre Saint-Charles, sur la rue Hibernia, vers 20 h, alors que les autorités ont toujours dit que c'est à 16 h, dans un dépanneur situé à l'angle des rues Charlevoix et Knox, qu'elle avait été vue pour la dernière fois.
«C'est impossible pour nous de confirmer cette nouvelle information actuellement. Nous n'avons pas encore été capables d'entrer en contact avec cette femme », affirme le sergent Ian Lafrenière de la police de Montréal.
Je m'explique mal pourquoi elle sort maintenant alors qu'elle en aurait eu la chance amplement depuis 12 ans et qu'elle s'adresse à Claude PoirierMME C a écrit : [...]
Je comprends pas encore pourquoi cette jeune femme n'a pas été en contact avec le SPVM. OK, ils ont ses coordonnées. ELLE, pourquoi elle ne les contacte pas?
Ce n'est pas un détail banal qu'elle a révélé cette semaine.