D'accord, je suis peut-être allée un peu fort, mais quand je disais ça, c'est pour dire que ces personnes le méritent et non pas que c'est moi qui leur ferait subir ça. Ça reste qu'ils méritent la la peine de mort et c'est dommage qu'elle est abolie au Canada.Annouk a écrit : [...]
À ce moment là, tu deviens toi aussi le monstre que tu condamnes et tu mérites le même sort?
Que justice soit rendue, que les peines soient plus sévères oui mais pratiquer les mêmes violences sur l'accusé te place immédiatement au même niveau...
Perso, je ne comprendrai jamais cette soif de violence
Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
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Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Effectivement l'histoire de baby P est horrible. Je me rappels que la première fois que j'avais entendus parler de ça, j'en avais été bouleversée pendant des jours, mais vraiment affectée. Je pensais continuellement a cet enfant, je pleurais a tout moment juste a imaginer comment sa vie a été épouvantable... un enfant maltraité c'est toujours épouvantable mais il est vrai que baby P... jamais encore il n'y a eu de cas aussi atroce. Peut être que j'aurais pas du faire le parallèle... je m'excuse si certaines personnes s'en retrouvent bouleversés.LeeLou a écrit : [...]
J'ai pensé aussi a ce petit en lisant l'article sur Jérémy.
Je l'ai pas écrit , pour pas que les gens cherchent a voir...
Je sais même pas comment j'ai fait pour regarder et lire.
Tout les cas d'enfants maltraités, tués , je trouve ca difficile.Mais baby p...j'ai pas lu aussi atroce a ce jour.
Bien que toutes les histoires de maltraitances et meurtres soient atroces et incompréhensible.
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Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
moi j'ai vu un lien pour baby P sur facebook et j'avais commencé à lire et j'ai arrêté car trop traumatisée. Je me suis tenue loin de l'histoire et finalement, je suis bien contente. Moins j'en sais là-dessus, mieux c'Est. 

Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Je m'en venais dire de quoi de semblable... Si on condamne l'extrême violence, c'est plutôt paradoxal de la réclamer à notre tour... On se donne raison, la personne est un monstre c'est vrai, mais je ne trouve pas que le fait de répondre par la violence nous rendrait plus ''correct''...Annouk a écrit : [...]
À ce moment là, tu deviens toi aussi le monstre que tu condamnes et tu mérites le même sort?
Que justice soit rendue, que les peines soient plus sévères oui mais pratiquer les mêmes violences sur l'accusé te place immédiatement au même niveau...
Perso, je ne comprendrai jamais cette soif de violence
Difficile à expliquer...

Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
*N'aurait pas dû googler Baby P*
*Quand même le festival de l'incompétence des autorités*

*Quand même le festival de l'incompétence des autorités*

Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
J'ai fait la même chose que toiMarisopa a écrit : *N'aurait pas dû googler Baby P*![]()
*Quand même le festival de l'incompétence des autorités*





Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Publié le 18 mai 2011 à 14h03 | Mis à jour à 14h03
Procès de Stéphanie Meunier: une voisine entendait des cris chaque jour
Caroline Touzin
La Presse
La voisine de Stéphanie Meunier entendait des cris et des claquements de portes provenant du logement de l'accusée chaque jour depuis l'arrivée de la famille recomposée Meunier-Bastien dans l'immeuble en novembre 2008.
«C'était à tous les jours : le matin, le midi et à l'heure du souper», a témoigné Chantal Mercier, ce matin, au procès de Stéphanie Meunier, cette femme de 32 ans accusée du meurtre prémédité de l'enfant de 4 ans de son nouveau conjoint, Jérémy Bastien-Perron.
Les cris étaient ceux d'une femme et d'un enfant, selon la voisine. Une seule fois, la voisine a entendu une voix masculine. Mme Mercier vivait avec son conjoint de l'époque, Errol Jean, dans le logement au-dessus de celui que partageait Mme Meunier avec ses quatre enfants, son nouveau conjoint et l'enfant de 4 ans de ce dernier.
Le 6 décembre 2008, jour de la mort du bambin, Mme Mercier a encore une fois entendu «des cris colériques» d'un enfant et d'une mère provenant du logement de Mme Meunier. «C'était comme une grosse chicane, une grosse bataille», a expliqué la femme de 39 ans qui était en congé ce jour-là.
À son retour du travail, son conjoint, Errol Jean, a entendu une porte claquée; un «bruit suffisamment fort pour que tout l'immeuble l'entende», a-t-il témoigné à son tour ce matin au palais de justice de Montréal. Il a aussi entendu des cris qu'il associait à ceux d'un enfant qui refuse d'aller au lit.
Mme Mercier et M. Jean ne connaissaient pas leurs nouveaux voisins qui avaient emménagé dans l'immeuble de la rue Armand-Bombardier dans le quartier Rivière-des-Praires cinq semaines plus tôt.
Malgré le fait qu'ils entendaient chaque jour des cris provenant du logement de Mme Meunier, les voisins n'ont jamais pensé appeler la police ou la Direction de la protection de la jeunesse. «Je ne me mêle pas des affaires des autres. Je ne savais même pas qu'il y avait cinq enfants en bas», a témoigné M. Jean.
Plus tôt ce matin, le sergent Jean-François Leblond de la police de Montréal et l'urgentologue Karen Oulianine ont décrit tour à tour de façon émotive l'arrivée du bambin à l'hôpital Maisonneuve-Rosemont.
«C'était dramatique et traumatisant pour tout le monde», a indiqué la médecin de 25 ans d'expérience. «Des infirmiers avaient le haut-le-coeur. Certains se sont mis à pleurer», a ajouté le sergent Leblond.
En découvrant le corps du bambin couvert d'ecchymoses, tous deux ont conclu à la mort violente non accidentelle. L'enfant était en arrêt cardio-respiratoire à son arrivée à l'hôpital vers 18h45. Malgré les efforts des ambulanciers et des médecins à l'urgence, l'enfant n'a jamais pu être réanimé.
Le bambin avait des éraflures et une trace de morsure au visage, selon le policier. Ses talons d'Achille portaient aussi des traces de morsure. Le côté droit de sa tête était très enflé. Il y avait une grosse plaie non soignée qui n'était pas récente sur un bras. Son dos était strié d'une dizaine de longues plaies qui auraient pu être faites par une ceinture.
«Malgré mon expérience, je n'ai jamais vu un patient avec autant de bleus, à part chez des patients qui ont des problèmes de coagulation», a insisté la Dre Oulianine.
Le procès, présidé par la juge de la Cour supérieure Johanne St-Gelais, se poursuit cet après-midi. L'accusée est défendue par Me Joëlle Roy et Me Mathieu Poissant. Le procès doit durer de cinq à six semaines.
http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... cueil_POS4" onclick="window.open(this.href);return false;
Procès de Stéphanie Meunier: une voisine entendait des cris chaque jour
Caroline Touzin
La Presse
La voisine de Stéphanie Meunier entendait des cris et des claquements de portes provenant du logement de l'accusée chaque jour depuis l'arrivée de la famille recomposée Meunier-Bastien dans l'immeuble en novembre 2008.
«C'était à tous les jours : le matin, le midi et à l'heure du souper», a témoigné Chantal Mercier, ce matin, au procès de Stéphanie Meunier, cette femme de 32 ans accusée du meurtre prémédité de l'enfant de 4 ans de son nouveau conjoint, Jérémy Bastien-Perron.
Les cris étaient ceux d'une femme et d'un enfant, selon la voisine. Une seule fois, la voisine a entendu une voix masculine. Mme Mercier vivait avec son conjoint de l'époque, Errol Jean, dans le logement au-dessus de celui que partageait Mme Meunier avec ses quatre enfants, son nouveau conjoint et l'enfant de 4 ans de ce dernier.
Le 6 décembre 2008, jour de la mort du bambin, Mme Mercier a encore une fois entendu «des cris colériques» d'un enfant et d'une mère provenant du logement de Mme Meunier. «C'était comme une grosse chicane, une grosse bataille», a expliqué la femme de 39 ans qui était en congé ce jour-là.
À son retour du travail, son conjoint, Errol Jean, a entendu une porte claquée; un «bruit suffisamment fort pour que tout l'immeuble l'entende», a-t-il témoigné à son tour ce matin au palais de justice de Montréal. Il a aussi entendu des cris qu'il associait à ceux d'un enfant qui refuse d'aller au lit.
Mme Mercier et M. Jean ne connaissaient pas leurs nouveaux voisins qui avaient emménagé dans l'immeuble de la rue Armand-Bombardier dans le quartier Rivière-des-Praires cinq semaines plus tôt.
Malgré le fait qu'ils entendaient chaque jour des cris provenant du logement de Mme Meunier, les voisins n'ont jamais pensé appeler la police ou la Direction de la protection de la jeunesse. «Je ne me mêle pas des affaires des autres. Je ne savais même pas qu'il y avait cinq enfants en bas», a témoigné M. Jean.
Plus tôt ce matin, le sergent Jean-François Leblond de la police de Montréal et l'urgentologue Karen Oulianine ont décrit tour à tour de façon émotive l'arrivée du bambin à l'hôpital Maisonneuve-Rosemont.
«C'était dramatique et traumatisant pour tout le monde», a indiqué la médecin de 25 ans d'expérience. «Des infirmiers avaient le haut-le-coeur. Certains se sont mis à pleurer», a ajouté le sergent Leblond.
En découvrant le corps du bambin couvert d'ecchymoses, tous deux ont conclu à la mort violente non accidentelle. L'enfant était en arrêt cardio-respiratoire à son arrivée à l'hôpital vers 18h45. Malgré les efforts des ambulanciers et des médecins à l'urgence, l'enfant n'a jamais pu être réanimé.
Le bambin avait des éraflures et une trace de morsure au visage, selon le policier. Ses talons d'Achille portaient aussi des traces de morsure. Le côté droit de sa tête était très enflé. Il y avait une grosse plaie non soignée qui n'était pas récente sur un bras. Son dos était strié d'une dizaine de longues plaies qui auraient pu être faites par une ceinture.
«Malgré mon expérience, je n'ai jamais vu un patient avec autant de bleus, à part chez des patients qui ont des problèmes de coagulation», a insisté la Dre Oulianine.
Le procès, présidé par la juge de la Cour supérieure Johanne St-Gelais, se poursuit cet après-midi. L'accusée est défendue par Me Joëlle Roy et Me Mathieu Poissant. Le procès doit durer de cinq à six semaines.
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Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Ok, je suis sans-doute très lâche mais rien qu'à lire certains commentaires, je ne chercherai pas à en savoir plus. L'affaire Turcotte m'a déjà rendue malade des jours durant, alors je préfère éviter de me rendre encore plus malade 

[color=#4000BF]« Plus les oiseaux volent haut, plus ils semblent petits à ceux qui ne savent pas voler »[/color]
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»

La fin horrible du petit Jérémy Bastien
Écrit par Michaël Nguyen
Mise à jour le Mercredi, 18 mai 2011 14:40
Les blessures subies par le petit Jérémy Bastien « suggéraient des morsures » et « ses chances de survie étaient minimes », a témoigné une urgentologue ce mercredi matin au procès de Stéphanie Meunier, accusée du meurtre prémédité de cet enfant de quatre ans. Certains détails pourraient choquer les lecteurs, nous préférons vous en avertir.
http://ruefrontenac.com/nouvelles-gener ... es-meunier" onclick="window.open(this.href);return false;
Dernière modification par Anya le mer. mai 18, 2011 6:29 pm, modifié 1 fois.
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
La phrase que j'ai surlignée... il aurait peut-être du se mêlé des affaires de ses nouveaux voisins, non?Anya a écrit : Publié le 18 mai 2011 à 14h03 | Mis à jour à 14h03
Procès de Stéphanie Meunier: une voisine entendait des cris chaque jour
Caroline Touzin
La Presse
La voisine de Stéphanie Meunier entendait des cris et des claquements de portes provenant du logement de l'accusée chaque jour depuis l'arrivée de la famille recomposée Meunier-Bastien dans l'immeuble en novembre 2008.
«C'était à tous les jours : le matin, le midi et à l'heure du souper», a témoigné Chantal Mercier, ce matin, au procès de Stéphanie Meunier, cette femme de 32 ans accusée du meurtre prémédité de l'enfant de 4 ans de son nouveau conjoint, Jérémy Bastien-Perron.
Les cris étaient ceux d'une femme et d'un enfant, selon la voisine. Une seule fois, la voisine a entendu une voix masculine. Mme Mercier vivait avec son conjoint de l'époque, Errol Jean, dans le logement au-dessus de celui que partageait Mme Meunier avec ses quatre enfants, son nouveau conjoint et l'enfant de 4 ans de ce dernier.
Le 6 décembre 2008, jour de la mort du bambin, Mme Mercier a encore une fois entendu «des cris colériques» d'un enfant et d'une mère provenant du logement de Mme Meunier. «C'était comme une grosse chicane, une grosse bataille», a expliqué la femme de 39 ans qui était en congé ce jour-là.
À son retour du travail, son conjoint, Errol Jean, a entendu une porte claquée; un «bruit suffisamment fort pour que tout l'immeuble l'entende», a-t-il témoigné à son tour ce matin au palais de justice de Montréal. Il a aussi entendu des cris qu'il associait à ceux d'un enfant qui refuse d'aller au lit.
Mme Mercier et M. Jean ne connaissaient pas leurs nouveaux voisins qui avaient emménagé dans l'immeuble de la rue Armand-Bombardier dans le quartier Rivière-des-Praires cinq semaines plus tôt.
Malgré le fait qu'ils entendaient chaque jour des cris provenant du logement de Mme Meunier, les voisins n'ont jamais pensé appeler la police ou la Direction de la protection de la jeunesse. «Je ne me mêle pas des affaires des autres. Je ne savais même pas qu'il y avait cinq enfants en bas», a témoigné M. Jean.
Plus tôt ce matin, le sergent Jean-François Leblond de la police de Montréal et l'urgentologue Karen Oulianine ont décrit tour à tour de façon émotive l'arrivée du bambin à l'hôpital Maisonneuve-Rosemont.
«C'était dramatique et traumatisant pour tout le monde», a indiqué la médecin de 25 ans d'expérience. «Des infirmiers avaient le haut-le-coeur. Certains se sont mis à pleurer», a ajouté le sergent Leblond.
En découvrant le corps du bambin couvert d'ecchymoses, tous deux ont conclu à la mort violente non accidentelle. L'enfant était en arrêt cardio-respiratoire à son arrivée à l'hôpital vers 18h45. Malgré les efforts des ambulanciers et des médecins à l'urgence, l'enfant n'a jamais pu être réanimé.
Le bambin avait des éraflures et une trace de morsure au visage, selon le policier. Ses talons d'Achille portaient aussi des traces de morsure. Le côté droit de sa tête était très enflé. Il y avait une grosse plaie non soignée qui n'était pas récente sur un bras. Son dos était strié d'une dizaine de longues plaies qui auraient pu être faites par une ceinture.
«Malgré mon expérience, je n'ai jamais vu un patient avec autant de bleus, à part chez des patients qui ont des problèmes de coagulation», a insisté la Dre Oulianine.
Le procès, présidé par la juge de la Cour supérieure Johanne St-Gelais, se poursuit cet après-midi. L'accusée est défendue par Me Joëlle Roy et Me Mathieu Poissant. Le procès doit durer de cinq à six semaines.
http://www.cyberpresse.ca/actualites/qu ... cueil_POS4" onclick="window.open(this.href);return false;
Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Pourquoi j'ai été lire ça moiAnya a écrit :![]()
La fin horrible du petit Jérémy Bastien
Écrit par Michaël Nguyen
Mise à jour le Mercredi, 18 mai 2011 14:40
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Comme tout le monde, je me demande c'est quoi le problème dans notre monde pour qu'on s'acharne sur des enfants, des êtres innocents sans défense. C'est quoi cette lâcheté, ce besoin de violence envers les enfants... Ça me dépasse. Qu'est-ce qui se passe depuis quelques temps? Est-ce que ça a toujours existé et qu'avec les médias maintenant, on est + au courant de tout ou ça a empiré depuis quelques années?

Il faut toujours viser la lune car, même en cas d'échec, on atterrit dans les étoiles - Oscar Wilde
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Ne crains pas le changement, crains plutôt la routine... carpe diem
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Oh que non tu n'es pas lâche, c'est peut-être mieux de s'abstenir de venir lire quand ça nous dérange à un point d'être malade. Ce n'est certainement pas moi qui va porter un jugement sur ça. Libre à chacun de venir lire ou pas alors je me répète tu es loin d'être lâchePsyché a écrit : Ok, je suis sans-doute très lâche mais rien qu'à lire certains commentaires, je ne chercherai pas à en savoir plus. L'affaire Turcotte m'a déjà rendue malade des jours durant, alors je préfère éviter de me rendre encore plus malade

Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Je me demande si le fait d'en parler beaucoup ça ne donne pas des idées à des gens qui ont des prédispositions à la chose....enfin c'est un point que je soulève. D'autant plus que les deux drames (Turcotte et Meunier) sont arrivés dans l'espace de quelques mois.lolilou a écrit : [...]
Pourquoi j'ai été lire ça moi![]()
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Comme tout le monde, je me demande c'est quoi le problème dans notre monde pour qu'on s'acharne sur des enfants, des êtres innocents sans défense. C'est quoi cette lâcheté, ce besoin de violence envers les enfants... Ça me dépasse. Qu'est-ce qui se passe depuis quelques temps? Est-ce que ça a toujours existé et qu'avec les médias maintenant, on est + au courant de tout ou ça a empiré depuis quelques années?
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Je trouve quasiement ça pire que l'affaire Turcotte. Dans le sens où il y a eu un acharnement sur plusieurs semaines. Ce qui est arrivé aux enfants de Turcotte s'est atroce, mais sur une petite durée de temps. Tandis que cet enfant a souffert pendant des mois. En fait, je ne veux vraiment pas avoir l'air de comparer et de dire qu'un c'est pire. Je veux dire que la souffrance psychologique de cet enfant a dû être très profonde, être autant malmené par des gens qui doivent bien s'occuper de toi...
Pis les voisins du haut, c'était pas fort leur affaire...
Pis les voisins du haut, c'était pas fort leur affaire...
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Des fois c'est préférable de se mêler des affaires des autres. C'est vrai que la souffrance du petit Jérémy s'étendait depuis des mois. Je comprends très bien ce que tu veux dire au sujet des enfants de Guy Turcotte .Marisopa a écrit : Je trouve quasiement ça pire que l'affaire Turcotte. Dans le sens où il y a eu un acharnement sur plusieurs semaines. Ce qui est arrivé aux enfants de Turcotte s'est atroce, mais sur une petite durée de temps. Tandis que cet enfant a souffert pendant des mois. En fait, je ne veux vraiment pas avoir l'air de comparer et de dire qu'un c'est pire. Je veux dire que la souffrance psychologique de cet enfant a dû être très profonde, être autant malmené par des gens qui doivent bien s'occuper de toi...
Pis les voisins du haut, c'était pas fort leur affaire...

Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Mais en même temps, sans excuser complètement les voisins, c'est clair que du côté des accusés et peut-être par extension au milieu où ils demeuraient c'était pas un milieu socio-économique très favorisé...
Ça semble être des gens démunis pas mal.
Ça semble être des gens démunis pas mal.
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
La violence sur les enfants a toujours existé, quand j'étais jeune j'ai vécue de la violence physique et psychologique par ma mère monoparentale, que j'ai coupé les ponts depuis quelques années.
Je suis contente qu'on en parle enfin dans les médias, puisqu'ainsi les gens vont voir que la violence n'est pas un mythe, que c'est souvent plus fréquent que l'on croit.
Peut importe le rang social.
Ça va sensibilisé les gens a être attentif aux signes de mal-traitance sur les enfants, de ne pas hésiter à appeler la DPJ lorsqu'on pense qu'un enfant est victime.
Puisque l'enfant victime ne sait pas que ces gestes sont graves, ne connaissant pas autre chose. Pour lui ça fait partie de sa vie ou peut penser que c'est de sa faute si ses parents agissent ainsi.
La violence n'est pas seulement physique, mais également psychologique, ce qui laisse fait encore plus mal.
Je suis contente qu'on en parle enfin dans les médias, puisqu'ainsi les gens vont voir que la violence n'est pas un mythe, que c'est souvent plus fréquent que l'on croit.
Peut importe le rang social.
Ça va sensibilisé les gens a être attentif aux signes de mal-traitance sur les enfants, de ne pas hésiter à appeler la DPJ lorsqu'on pense qu'un enfant est victime.
Puisque l'enfant victime ne sait pas que ces gestes sont graves, ne connaissant pas autre chose. Pour lui ça fait partie de sa vie ou peut penser que c'est de sa faute si ses parents agissent ainsi.
La violence n'est pas seulement physique, mais également psychologique, ce qui laisse fait encore plus mal.
Dernière modification par Karine27 le mer. mai 18, 2011 5:56 pm, modifié 1 fois.
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Je continue de penser que c'est la médiatisation qui nous donne cette impression... Parlez à vos mères, vos grands-mères... Vous allez voir que c'était pas toujours joli joli ce qui se passait dans les maisons... Mais il n'y avait pas d'internet et de journaux à toutes les heures du jour.. On ne faisait pas de topic sur des forums pour en discuter...lolilou a écrit : [...]
Pourquoi j'ai été lire ça moi![]()
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Comme tout le monde, je me demande c'est quoi le problème dans notre monde pour qu'on s'acharne sur des enfants, des êtres innocents sans défense. C'est quoi cette lâcheté, ce besoin de violence envers les enfants... Ça me dépasse. Qu'est-ce qui se passe depuis quelques temps? Est-ce que ça a toujours existé et qu'avec les médias maintenant, on est + au courant de tout ou ça a empiré depuis quelques années?
C'était secret, fallait pas en parler... Mais ça se passait...
Je me suis beaucoup promenée dans des cimetières un moment donné, et des tombes de tous petits, il y en a toujours eu... Des maladies bien sûr, mais rien ne nous dit que c'était toutes des morts naturelles...
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Oui, mais ça reste l'exception même dans les milieux les plus défavorisés des cas comme ça.... Et d'autres topics nous prouvent que même parmi le gratin, ce sont des choses qui arrivent aussi...Skarhet a écrit : Mais en même temps, sans excuser complètement les voisins, c'est clair que du côté des accusés et peut-être par extension au milieu où ils demeuraient c'était pas un milieu socio-économique très favorisé...
Ça semble être des gens démunis pas mal.
Re: Procès de Stéphanie Meunier: l'enfant «battu à répétition»
Nikki a écrit : [...]
Oui, mais ça reste l'exception même dans les milieux les plus défavorisés des cas comme ça.... Et d'autres topics nous prouvent que même parmi le gratin, ce sont des choses qui arrivent aussi...
Tout à fait... les gens qui ne dénoncent pas leur voisin sont dans tous les milieux, c'est une culture assez ancré, et ce, peut-importe la situation à signaler....