Comme d'habitude, Martineau interprète ce qu'il veut ... Il s'arrête ici à la notion de prudence. Je veux bien. En ce cas, pourquoi le policier n'aurait pas simplement dit dans sa conférence de presse : Mesdames, évitez de vous retrouver seule dans un endroit isolé, surveillez vos verres et verrouillez vos portes ? Pourquoi ne pas s'en tenir à un message universel et aussi bon pour les hommes que pour les femmes, des vrais conseils de sécurité ? Non, le policier a tout simplement indiqué que les femmes devaient cesser de s'habiller comme des putes (sluts, le mot est fort). La remarque était insultante, moralisatrice et totalement inappropriée et oui, cela indique une mentalité particulière chez cet homme par rapport aux femmes.Anya a écrit : 7 Juin 2011
Permalink 11:36 am, Richard Martineau / Franc-parler, 482 mots
Blâmer la victime?
LA TRISTE RÉALITÉ
Suis-je sexiste quand je dis à ma fille de ne pas marcher seule dans les parcs, le soir ?
Non, je fais juste constater un fait : il est plus dangereux pour une femme que pour un homme de se retrouver dans un parc mal éclairé après la tombée du jour.
C’est plate, mais c’est la réalité.
Ce n’est pas parce qu’on dit aux filles de surveiller leur verre quand elles sortent dans les bars qu’on innocente les hommes qui versent du GHB dans les drinks !
Il ne faut pas voir du sexisme partout…
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«Salopes» et fières de l'être
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Re: «Salopes» et fières de l'être
Afrique du Sud: "Marche des salopes" contre le viol
20 Août 2011


LE CAP, Afrique du Sud (AP) — Quelque 2.000 femmes portant de la lingerie par-dessus leurs vêtements ont manifesté au Cap samedi pour dénoncer l'excuse de la tenue vestimentaire de la victime souvent invoquée par les agresseurs sexuels, dans une Afrique du Sud où le viol est devenu un fléau national. Cette manifestation s'inscrivait dans le cadre d'une campagne internationale baptisée "SlutWalks", les "Marches des salopes".
Les manifestantes étaient accompagnées par quelques hommes, dont certains portaient la minijupe en signe de solidarité, et des enfants. On pouvait notamment lire sur les banderoles: "Les violeurs violent les gens, pas les vêtements" ou "Les hommes faibles violent".
Les "Marches des salopes" sont nées à Toronto, au Canada, après les commentaires d'un policier pour lequel les femmes ne seraient pas violées si elles ne s'habillaient pas comme des "salopes".
"Il est très important que les femmes comprennent qu'on ne doit pas les priver de leur dignité", a expliqué l'une des manifestantes du Cap, Tayla Orgill.
Selon les statistiques officielles les plus récentes, plus de 55.000 viols et agressions sexuelles ont été signalés à la police entre 2009 et 2010, et le nombre d'agressions sexuelles contre des femmes a augmenté de près de 20% en un an. AP
http://fr.news.yahoo.com/afrique-sud-ma ... 54070.html" onclick="window.open(this.href);return false;

20 Août 2011


LE CAP, Afrique du Sud (AP) — Quelque 2.000 femmes portant de la lingerie par-dessus leurs vêtements ont manifesté au Cap samedi pour dénoncer l'excuse de la tenue vestimentaire de la victime souvent invoquée par les agresseurs sexuels, dans une Afrique du Sud où le viol est devenu un fléau national. Cette manifestation s'inscrivait dans le cadre d'une campagne internationale baptisée "SlutWalks", les "Marches des salopes".
Les manifestantes étaient accompagnées par quelques hommes, dont certains portaient la minijupe en signe de solidarité, et des enfants. On pouvait notamment lire sur les banderoles: "Les violeurs violent les gens, pas les vêtements" ou "Les hommes faibles violent".
Les "Marches des salopes" sont nées à Toronto, au Canada, après les commentaires d'un policier pour lequel les femmes ne seraient pas violées si elles ne s'habillaient pas comme des "salopes".
"Il est très important que les femmes comprennent qu'on ne doit pas les priver de leur dignité", a expliqué l'une des manifestantes du Cap, Tayla Orgill.
Selon les statistiques officielles les plus récentes, plus de 55.000 viols et agressions sexuelles ont été signalés à la police entre 2009 et 2010, et le nombre d'agressions sexuelles contre des femmes a augmenté de près de 20% en un an. AP
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