Juste 2 ans moins un jours de prison j'espère qu'il ne sera plus jamais engagé pour travaillé à des endroit ou il y a des personnes vulnérables enfants,personne âgées,handicapés.C'est en novembre 2009 que les policiers ont procédé à l'arrestation de l'homme de 57 ans.
Ses victimes sont un homme et trois femmes, des personnes que Robert Benoit hébergeait chez lui à titre de famille d'accueil.
Un psychiatre a témoigné à l'effet que le quinquagénaire souffrait d'une dépression au moment de poser les gestes. Les agressions se sont répétées sur une période de trois mois, jusqu'à ce que l'une des victimes le dénonce.
Il a lui-même avoué aux policiers ses gestes, il a plaidé coupable, évitant ainsi un procès au cours duquel trois des victimes auraient été incapables de témoigner en raison de leur limitation intellectuelle. Un psychiatre a témoigné à l'effet qu'il ne présentait aucun risque de récidive.
Malgré ses nombreux facteurs atténuants, la juge Marie-Josée Ménard a quand même condamné Robert Benoit et de l'emprisonnement ferme et non discontinu comme le souhaitait la défense.
«Les proches des victimes auront toujours l'inquiétude de savoir si leur frère ou leur sœur est dans une bonne maison. C'est évident qu'on sera plus méfiants, mais c'est de valeur, parce que c'est sûr qu'il existe des places où ils sont bien traités», a confié l'oncle d'une des victimes.
Je ne crois pas à la réhabilitations des agresseurs sexuels