Il y a certains programmes que je mettrais la hache dedans, entre autre l'universalité des garderies, le congé parental (plus court mettons), le programme de fertilité

Je voulais être clair là dessus.
Ça donc bien le fun si on pouvait trouver!Placeress a écrit : [...]
Je ne vois pas pourquoi on devrait choisir entre ces deux régimes qui ne fonctionnent pas ni l'un ni l'autre...
Mais comme tu dis Danie, il faut chercher ailleurs...
Yé, chu pas fouPlaceress a écrit : [...]
Voilà...
Je ne vois pas pourquoi on devrait choisir entre ces deux régimes qui ne fonctionnent pas ni l'un ni l'autre...
Mais comme tu dis Danie, il faut chercher ailleurs...
Par contre, je ne vois pas non plus dans l'article une référence quelconque au retour/aller vers un système communiste
C'est clair.GI.Joe a écrit : Le 100 milliards est vrai et quelquepart on y goute. Cela dit, je tiens à préciser quelquechose : ma position peut sembler supporter l'état-providence mais je suis loin de ça. Je suis un homme célibataire pas d'enfant et ça fait un méchant bout que je ne suis pas allé à l'hosto pis j'en paie en mauzus des impôts pour les services que je reçois en retour.
Il y a certains programmes que je mettrais la hache dedans, entre autre l'universalité des garderies, le congé parental (plus court mettons), le programme de fertilité, probablement d'autres, et surtout mais surtout le BS qui est fait aux entreprises avant de m'en prendre à l'éducation.
Je voulais être clair là dessus.
Moi c'est ça que je me demande, mais bon on verra.Misstress a écrit : [...]
On a tous cheminé dans ça je pense. On pourra dire que les étudiants ont réveillé le Québec, qu'on appuie le mouvement ou non, tout le monde a été amené à faire une réflexion sur l'accessibilité aux études, la démocratie, la désobéissance civile, le concept de grève etc... Moi je trouve que c'est bien la réflexion, qu'on était rendu là en tant que société. Reste à voir ce que ça va laisser comme trace .
Je me demande pourquoi on serait obligé de sacrer quand on crie un slogan...j'ai un malaise là. Pis c'est pas parce que je sacre jamais dans ma vie...Misstress a écrit : [...]
Plutôt cette semaine ils ont aussi eu un article " la loi spéciale, on s'en calisse" je l'ai pas vu mais c'est mon chum qui m'a dit ça. Libé a envoyé une équipe ici pour couvrir le conflit.
Merci pour le clip,vraiment drôle !mllecoconut a écrit : Je ne sais pas du tout quand ce clip a été fait mais ca dédramatise un peu.
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diamant brut a écrit : Pauline Marois ne trouve-t-elle pas que nous payons assez d impôts comme ça......Ça serait le temps que les partis changent leur chef ,ils ne savent plus comment administrer et voilà le problème .
Grain de sel a écrit : Au coulisses du pourvoir Pauline Marois semble dire que l'augmentation des impôts pourrait être une des solutions au problème des frais de scolarité.
mllecoconut a écrit : Je ne sais pas du tout quand ce clip a été fait mais ca dédramatise un peu.
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Que de talent!Skarhet a écrit : J'adore cette chanson !!
[youtube]http://www.youtube.com/watch?v=WJKRImEF9xI[/youtube]
Et vous, forumeurs et forumeuses, qu'en pensez-vous?? Hausse des impôts pour ceux et celles qui ont des revenus plus élevés???Elle critique l'approche de Jean Charest envers les étudiants qui manifestent depuis plus d'une centaine de jours.
«Si j'étais première ministre, jamais il n'aurait passé deux semaines dans la rue sans que j'aille m'asseoir avec eux,» a dit Pauline Marois.
Si Parti québécois remporte les prochaines élections, elle annulera la hausse des droits de scolarité. Pour financer le système d'éducation, elle dit qu'il faut envisager l'utilisation «du régime d'imposition, qui est progressif au Québec, et qui demande une plus grande contribution à ceux qui ont des plus hauts revenus, et moins à ceux qui ont des revenus plus bas.»
La chef de l'Opposition a aussi fait le parallèle entre la crise étudiante et sa gestion de la loi sur l'amphithéâtre de Québec. À son avis, ce sont deux enjeux qui ont ramené le Parti québécois à ses convictions profondes.
«J'ai retenu de toujours être à l'écoute de mes membres et d'être capable de leur expliquer mes décisions qui peuvent être exigeantes.»