Mais je lisais un rapport et le RRQ est super bien capitalisé et ce régime va quand même relativement bien...il passera la crise...c'est les régimes privée qui ne vont pas bien.Danie a écrit : [...]
Bof... un peu plus, ça changera pas grand chose j'imagine!
Elles sont rendues à combien les cotisations pour la RRQ?
Et il faudrait les mettre à quel % du salaire pour recapitaliser la Caisse dans son état actuel?
N'empêche que ce qui reste net dans nos poches après toutes les déductions peut bien maigrir à vue d'oeil.
Élections 2012
Il n'y avait pas seulement les papiers commerciaux qui ont contribué à la perte de 40 milliards.bouquet a écrit : [...]
les prestations vont augmenter à un rythme effarant, c'est bien pire que les frais de scolarité. Ce que je souhaiterais, ultimement est la possibilité de se retirer de ce genre de programme au choix. Je pense que beaucoup trouverait à placer leur cash de façon plus payante que ces programmes de sangsue qui ne servent qu'à engraisser le système actuel. Quand je pense à ce que la caisse a perdu dans les hypothèques à risque...qu'ils se sont fait vendre par des bandits à cravates de New-York, il aurait été bcp plus compliqué de se débarrasser de leur stock de cochonnerie en faisant affaire de façon indépendante avec chaque petits investisseurs. Voir le film Margin call pour avoir une idée de ce qui a pu se passer. Dans des cas de merde comme ça, Time is of the essence pour les courtiers verreux.
Dans le temps de cette crise en 2008, la Caisse a vendu à 5$ je ne sais plus combien d'actions de Teck pour les racheter quelques mois plus tard à 25$. La Caisse a vendu dans le plus bas pour racheter dans le plus haut. Vois ce tableau.
(Il y a des sites où on peut voir les achats/ventes des caisses de retraites. Si ça t'intéresse, je te mettrai un lien.)
- teck.JPG (216.41 Kio) Consulté 654 fois
Par contre, je ne sais pas si la Caisse achète sur marge. Je ne pense pas que ce soit autorisé pour les gestionnaire de fonds de pension. C'est comme la vente à découvert. Seuls les banques et les particuliers seraient autorisés à le faire.
Je suis d'accord avec ton commentaire sur les régimes privés.myrage22 a écrit : [...]
Mais je lisais un rapport et le RRQ est super bien capitalisé et ce régime va quand même relativement bien...il passera la crise...c'est les régimes privée qui ne vont pas bien.
Mais Bouquet a raison pour la CDP qui ne va pas si bien que ça.
Il y aurait de l'argent jusqu'en 2035 environ. Après... niet!
Pour recapitaliser, il faudrait augmenter les cotisations au RRQ à 10%.
Si tu ajoutes la contribution de l'employeur qui est de 10% aussi, 20% des salaires s'en irait à la CDP.
Les retraites sont devenus une charges énormes dans les budgets des gouvernements.
Par exemple, la Ville de Montréal consacre plus de 50% de ses revenus pour le fond de pension des employés.
Il y a même des endroits où il y a plus d'ex-employés qui reçoivent une retraite qu'il y a d'employés en poste.
Ce n'est plus tenable.
Le pire dans tout ça, et c'est dégueulasse en ce qui me concerne, c'est que la Caisse gère tous les surplus des autres créations du gouvernement. Tu as bien lu: les surplus. Par exemple, les Commissions scolaires ont perdu plusieurs dizaines de millions avec les papiers commerciaux. Et on augmente les taxes et les contributions de toutes sortes pour remettre ça aussi à flot. Quand tu as des surplus aussi énormes, c'est que les taxes sont trop élevées.
Baissez les taxes au lieu de vous payer des voyages de golf "éducatifs" en Europe. Quand on gère l'argent des autres comme si c'était le sien, on finit toujours par en manquer!
Re: Élections 2012
Oui mais ce qu'il ne dit pas c'est qu'en 2035... La courbe sera descendante et la caisse va plus générer que donner, alors ça va relativement bien.
Et ce qui est rarement dit dans les régime privée c'est quand ça allait bien lire surplus...il y a eu congé de cotisation et les surplus étaient souvent redistribue...sans ça les régimes n'iraient pas si mal que ça...
Il y a des solutions pour les régimes...et pour une fois les syndicats et le patronat étaient prêt à s'assoir à la même table et discuter...mais une lieu de ça le gouvernement à fait la commission d'amour dont personne ne veut !
Et ce qui est rarement dit dans les régime privée c'est quand ça allait bien lire surplus...il y a eu congé de cotisation et les surplus étaient souvent redistribue...sans ça les régimes n'iraient pas si mal que ça...
Il y a des solutions pour les régimes...et pour une fois les syndicats et le patronat étaient prêt à s'assoir à la même table et discuter...mais une lieu de ça le gouvernement à fait la commission d'amour dont personne ne veut !
Margin call n'est que le titre du film, et même si ce n'est pas une histoire vraie, ça donne une idée du fonctionnement de ces entreprises de courtage ou le dollar est Dieu. Pour ma part, ces jobs d'investisseurs ne sont pas toutes honnêtes, je soupçonne même une arnaque encore pire que ce que l,on sait présentement. Mais c'est mon côté conspirationnisme.Danie a écrit : [...]
Il n'y avait pas seulement les papiers commerciaux qui ont contribué à la perte de 40 milliards.
Dans le temps de cette crise en 2008, la Caisse a vendu à 5$ je ne sais plus combien d'actions de Teck pour les racheter quelques mois plus tard à 25$. La Caisse a vendu dans le plus bas pour racheter dans le plus haut. Vois ce tableau.
(Il y a des sites où on peut voir les achats/ventes des caisses de retraites. Si ça t'intéresse, je te mettrai un lien.)
Merci pour la suggestion du film Margin Call. Je vais aller voir.
Par contre, je ne sais pas si la Caisse achète sur marge. Je ne pense pas que ce soit autorisé pour les gestionnaire de fonds de pension. C'est comme la vente à découvert. Seuls les banques et les particuliers seraient autorisés à le faire.
À la fin, il est facile de monter des arnaques, selon moi, il me vient plein d'idées ingénieuses que je ne mets jamais à exécution, mon côté judéo-chrétien. en attendant, moi de la génération x, qui avaient de la difficulté à se trouver une job selon la compétence, qui n'a bénéficié d'aucuns programmes particuliers, et qui paient présentement des cotisations supérieures aux baby-boomers, tout en étant pas sure d'en bénéficier au même niveau, je trouve pas que ça va si bien que ça, je trouve ça même injuste, mais c'est mon côté plaignarde.myrage22 a écrit : Oui mais ce qu'il ne dit pas c'est qu'en 2035... La courbe sera descendante et la caisse va plus générer que donner, alors ça va relativement bien.
Et ce qui est rarement dit dans les régime privée c'est quand ça allait bien lire surplus...il y a eu congé de cotisation et les surplus étaient souvent redistribue...sans ça les régimes n'iraient pas si mal que ça...
Il y a des solutions pour les régimes...et pour une fois les syndicats et le patronat étaient prêt à s'assoir à la même table et discuter...mais une lieu de ça le gouvernement à fait la commission d'amour dont personne ne veut !
bouquet a écrit : [...]
Margin call n'est que le titre du film, et même si ce n'est pas une histoire vraie, ça donne une idée du fonctionnement de ces entreprises de courtage ou le dollar est Dieu. Pour ma part, ces jobs d'investisseurs ne sont pas toutes honnêtes, je soupçonne même une arnaque encore pire que ce que l,on sait présentement. Mais c'est mon côté conspirationnisme.
bouquet a écrit : [...]
en attendant, moi de la génération x, qui avaient de la difficulté à se trouver une job selon la compétence, qui n'a bénéficié d'aucuns programmes particuliers, et qui paient présentement des cotisations supérieures aux baby-boomers, tout en étant pas sure d'en bénéficier au même niveau, je trouve pas que ça va si bien que ça, je trouve ça même injuste, mais c'est mon côté plaignarde.
Tous tes petits côtés, c'est le genre d'humour qui me bien rire. Je ne sais pas si ça va se replacer aussi facilement.myrage22 a écrit : Oui mais ce qu'il ne dit pas c'est qu'en 2035... La courbe sera descendante et la caisse va plus générer que donner, alors ça va relativement bien.
Et ce qui est rarement dit dans les régime privée c'est quand ça allait bien lire surplus...il y a eu congé de cotisation et les surplus étaient souvent redistribue...sans ça les régimes n'iraient pas si mal que ça...
Il y a des solutions pour les régimes...et pour une fois les syndicats et le patronat étaient prêt à s'assoir à la même table et discuter...mais une lieu de ça le gouvernement à fait la commission d'amour dont personne ne veut !
Toutes les municipalités sont inquiètes. C'est rendu que tout le monde doit maintenant contribuer aux retraites des fonctionnaires des villes de Montréal et Québec.
En tout cas, la prestation de retraite de Claude Blanchet semble bien assurée, elle.
Et s'il décède, c'est sa femme qui va en bénéficier car elle est transférable.
Je me demande combien ça totalise une retraite de député et une retraite d'ancien cadre privilégié de ls SGF.
bouquet a écrit : [...]
Margin call n'est que le titre du film, et même si ce n'est pas une histoire vraie, ça donne une idée du fonctionnement de ces entreprises de courtage ou le dollar est Dieu. Pour ma part, ces jobs d'investisseurs ne sont pas toutes honnêtes, je soupçonne même une arnaque encore pire que ce que l,on sait présentement. Mais c'est mon côté conspirationnisme.
Trop drôle!Tu devrais passer un peu de temps dans un trading room un jour où il y a chute des marchés. Ça braillerait moins.
Tiens, je viens tout juste de tomber sur ceci:myrage22 a écrit : Oui mais ce qu'il ne dit pas c'est qu'en 2035... La courbe sera descendante et la caisse va plus générer que donner, alors ça va relativement bien.
Et ce qui est rarement dit dans les régime privée c'est quand ça allait bien lire surplus...il y a eu congé de cotisation et les surplus étaient souvent redistribue...sans ça les régimes n'iraient pas si mal que ça...
Il y a des solutions pour les régimes...et pour une fois les syndicats et le patronat étaient prêt à s'assoir à la même table et discuter...mais une lieu de ça le gouvernement à fait la commission d'amour dont personne ne veut !
Lors du dernier débat, les candidats Legault et Marois ont enfin parlé de l’éléphant dans la pièce : les régimes de retraite déficitaires. On pourrait même dire : l’éléphant dans votre portefeuille. Car tous les contribuables devront éponger le dégât qui s’annonce.
Les régimes de retraite publics sont largement sous-capitalisés. Et ce, à tous les niveaux de gouvernement, écrit la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) dans une étude. De combien? Attachez votre tuque… plus de 300 milliards de dollars!
Promesses d’ivrogne
La source du problème : les politiciens, qui ont promis aux fonctionnaires des pensions dont le rendement serait garanti — et relativement élevé. Et qui leur ont assuré qu’en cas de pépin, les contribuables allaient renflouer la caisse.
C’est de la folie. Dans un monde où les rendements obligataires sont presque nuls, et ceux de la bourse très volatils. Où l’espérance de vie — donc la durée de la retraite — s’allonge année après année, et où la proportion de vieux par rapport aux jeunes augmente constamment.
Mais élection après élection, nos élus ont préféré acheter la paix. Et repousser le problème.
Bien sûr, les employés publics contribuent aussi à leur régime. Et c’est vrai que certaines administrations ont pris des congés de cotisations. En dépensant ailleurs l’argent qu’ils devaient mettre dans la caisse. Mais le problème n’est pas le manque d’argent, montre la FCEI. En 2001, l’État versait en moyenne 5754 $ par année pour chaque fonctionnaire. En dollars constants, il verse aujourd’hui 9976 $… Et le problème continue d’empirer. Surtout dans les villes, mais aussi dans les tours à bureaux de Québec et d’Ottawa. Notamment parce que le nombre d’adhérents aux régimes publics augmente deux fois plus vite que le taux d’emploi dans le secteur privé.
Le trou se creuse
L’impact se fait déjà sentir. À Montréal, il manque 2,7 milliards $ dans les coffres. Presque le double de l’an dernier! La situation empire rapidement. L’an prochain, la Ville devra verser plus de 600 millions $ dans les caisses de retraite de ses employés. C’est 132 millions $ de plus que l’an dernier. C’est aussi 13 % de son budget, soit plus que le montant consacré aux transports en commun, note la FCEI.
Montréal n’est pas seule. Renflouer les caisses coûte des millions aux municipalités chaque année. Les conséquences sont mathématiques : le statu quo signifie soit des hausses d’impôts, soit moins de services à la population.
Ceux qui sonnent l’alarme se font accuser d’attaquer les fonctionnaires. Non. C’est une question d’équité. Certains employés municipaux profiteront de rentes dont la valeur excède le million de dollars — et garanti, peu importe les aléas de la bourse. Combien de Québécois sans régime de retraite réussiront à accumuler ce montant dans leurs REER? Ce sont pourtant eux, aussi, qui devront renflouer la pension des premiers.
À Québec, le passif net au titre des régimes de retraite de la fonction publique s’élève à quelque 28 milliards de dollars. C’est loin d’être des pinottes. Et à moins d’une croissance boursière phénoménale, ça représente des impôts futurs à payer pour les Québécois. Qui en majorité n’ont même pas de régime de retraite!
Je le répète : la faute incombe aux politiciens qui ont fait des promesses intenables, et non aux fonctionnaires. Reste que tout le monde devra payer. Le défi de notre prochain ministre — avant même la dette, la souveraineté, la Caisse ou une quelconque lubie nationaliste — sera de trouver comment partager la facture.
Pour ça, il ou elle devra affronter les syndicats, qui devront accepter moins. Mais aussi convaincre des contribuables déjà échaudés, de payer plus. Bonne chance.
http://descoteaux.argent.canoe.ca/gener ... tefeuille/" onclick="window.open(this.href);return false;
bouquet a écrit : [...]
en attendant, moi de la génération x, qui avaient de la difficulté à se trouver une job selon la compétence, qui n'a bénéficié d'aucuns programmes particuliers, et qui paient présentement des cotisations supérieures aux baby-boomers, tout en étant pas sure d'en bénéficier au même niveau, je trouve pas que ça va si bien que ça, je trouve ça même injuste, mais c'est mon côté plaignarde.
La c'est le privée et ça ça sera ardue à replacer...c'est la RRQ que je dis que c'est pas si pire...Danie a écrit : [...]
Je ne sais pas si ça va se replacer aussi facilement.
Toutes les municipalités sont inquiètes. C'est rendu que tout le monde doit maintenant contribuer aux retraites des fonctionnaires des villes de Montréal et Québec.
En tout cas, la prestation de retraite de Claude Blanchet semble bien assurée, elle.
Et s'il décède, c'est sa femme qui va en bénéficier car elle est transférable.
Je me demande combien ça totalise une retraite de député et une retraite d'ancien cadre privilégié de ls SGF.
Non mais comme je usais je parle de la RRQ pas des régimes privées dans le réseau public...souvent appeler régime public...mais ce n'est pas la RRQ...Danie a écrit : [...]
Tiens, je viens tout juste de tomber sur ceci:
Lors du dernier débat, les candidats Legault et Marois ont enfin parlé de l’éléphant dans la pièce : les régimes de retraite déficitaires. On pourrait même dire : l’éléphant dans votre portefeuille. Car tous les contribuables devront éponger le dégât qui s’annonce.
Les régimes de retraite publics sont largement sous-capitalisés. Et ce, à tous les niveaux de gouvernement, écrit la Fédération canadienne de l’entreprise indépendante (FCEI) dans une étude. De combien? Attachez votre tuque… plus de 300 milliards de dollars!
Promesses d’ivrogne
La source du problème : les politiciens, qui ont promis aux fonctionnaires des pensions dont le rendement serait garanti — et relativement élevé. Et qui leur ont assuré qu’en cas de pépin, les contribuables allaient renflouer la caisse.
C’est de la folie. Dans un monde où les rendements obligataires sont presque nuls, et ceux de la bourse très volatils. Où l’espérance de vie — donc la durée de la retraite — s’allonge année après année, et où la proportion de vieux par rapport aux jeunes augmente constamment.
Mais élection après élection, nos élus ont préféré acheter la paix. Et repousser le problème.
Bien sûr, les employés publics contribuent aussi à leur régime. Et c’est vrai que certaines administrations ont pris des congés de cotisations. En dépensant ailleurs l’argent qu’ils devaient mettre dans la caisse. Mais le problème n’est pas le manque d’argent, montre la FCEI. En 2001, l’État versait en moyenne 5754 $ par année pour chaque fonctionnaire. En dollars constants, il verse aujourd’hui 9976 $… Et le problème continue d’empirer. Surtout dans les villes, mais aussi dans les tours à bureaux de Québec et d’Ottawa. Notamment parce que le nombre d’adhérents aux régimes publics augmente deux fois plus vite que le taux d’emploi dans le secteur privé.
Le trou se creuse
L’impact se fait déjà sentir. À Montréal, il manque 2,7 milliards $ dans les coffres. Presque le double de l’an dernier! La situation empire rapidement. L’an prochain, la Ville devra verser plus de 600 millions $ dans les caisses de retraite de ses employés. C’est 132 millions $ de plus que l’an dernier. C’est aussi 13 % de son budget, soit plus que le montant consacré aux transports en commun, note la FCEI.
Montréal n’est pas seule. Renflouer les caisses coûte des millions aux municipalités chaque année. Les conséquences sont mathématiques : le statu quo signifie soit des hausses d’impôts, soit moins de services à la population.
Ceux qui sonnent l’alarme se font accuser d’attaquer les fonctionnaires. Non. C’est une question d’équité. Certains employés municipaux profiteront de rentes dont la valeur excède le million de dollars — et garanti, peu importe les aléas de la bourse. Combien de Québécois sans régime de retraite réussiront à accumuler ce montant dans leurs REER? Ce sont pourtant eux, aussi, qui devront renflouer la pension des premiers.
À Québec, le passif net au titre des régimes de retraite de la fonction publique s’élève à quelque 28 milliards de dollars. C’est loin d’être des pinottes. Et à moins d’une croissance boursière phénoménale, ça représente des impôts futurs à payer pour les Québécois. Qui en majorité n’ont même pas de régime de retraite!
Je le répète : la faute incombe aux politiciens qui ont fait des promesses intenables, et non aux fonctionnaires. Reste que tout le monde devra payer. Le défi de notre prochain ministre — avant même la dette, la souveraineté, la Caisse ou une quelconque lubie nationaliste — sera de trouver comment partager la facture.
Pour ça, il ou elle devra affronter les syndicats, qui devront accepter moins. Mais aussi convaincre des contribuables déjà échaudés, de payer plus. Bonne chance.
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Concernant la RRQ il y a cet article qui m'a vraiment fait réfléchir...
Comment rétablir l'équilibre intergénérationnel à la RRQ?
Publié le 14 août 2012 à 08h03
Stéphanie Grammond
LA PRESSE
Les jeunes ne sont pas descendus dans la rue pour dénoncer le déséquilibre intergénérationnel à la Régie des rentes du Québec (RRQ). Pourtant, les sommes en jeu sont plus importantes que la hausse des droits de scolarité qui soulève les passions.
«D'ici 2017, les jeunes vont verser exactement trois fois plus en cotisation à la RRQ que des gens en 1986, sans que les prestations aient été bonifiées», rapporte Patrik Marier.
Lien et suite : http://affaires.lapresse.ca/economie/qu ... la-rrq.php" onclick="window.open(this.href);return false;
Comment rétablir l'équilibre intergénérationnel à la RRQ?
Publié le 14 août 2012 à 08h03
Stéphanie Grammond
LA PRESSE
Les jeunes ne sont pas descendus dans la rue pour dénoncer le déséquilibre intergénérationnel à la Régie des rentes du Québec (RRQ). Pourtant, les sommes en jeu sont plus importantes que la hausse des droits de scolarité qui soulève les passions.
«D'ici 2017, les jeunes vont verser exactement trois fois plus en cotisation à la RRQ que des gens en 1986, sans que les prestations aient été bonifiées», rapporte Patrik Marier.
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Re: Élections 2012
C'est comme augmenter les cotisations de RRQ...quand on fait les calculs ça désavantage les pauvre de la société!
Aujourd'hui encore on dit ... et on dedit.. Il d oit avoir quelques candidats qui ont hate que le vote est lieu... et qu'elle cesse d'etre interrogée par les journalistes.
http://www.lapresse.ca/actualites/elect ... le-tir.php" onclick="window.open(this.href);return false;
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Dernière modification par lucide le dim. août 26, 2012 12:23 pm, modifié 1 fois.
Re: Élections 2012
J'ai lu cette phrase de le blogue de Mathieu bock coté... et c'est exactement mon sentiment:
Il m’arrive de me dire que les péquistes servent bien mal leur option. Conséquence: la souveraineté n’est pas associée à la survie culturelle et identitaire de la nation québécoise. Mais à une obsession de boomers péquistes qui veulent réaliser leur rêve avant de mourir.
La souveraineté n’est pas associée à l’idéal du « Maîtres chez nous ». Mais à une mécanique référendaire si compliquée que même les militants péquistes s’y perdent. Non seulement la souveraineté n’intéresse plus les Québécois.
Il m’arrive de me dire que les péquistes servent bien mal leur option. Conséquence: la souveraineté n’est pas associée à la survie culturelle et identitaire de la nation québécoise. Mais à une obsession de boomers péquistes qui veulent réaliser leur rêve avant de mourir.
La souveraineté n’est pas associée à l’idéal du « Maîtres chez nous ». Mais à une mécanique référendaire si compliquée que même les militants péquistes s’y perdent. Non seulement la souveraineté n’intéresse plus les Québécois.