je prône la patience un brin aussiPlaceress a écrit : [...]
JE comprend mais c'Est pas un scoop.. un nouveau gouvernement fait toujours ce genre de chose... c'est juste normal... c'est tu beau, pas beau, fin pas fin.. j'en sais rien mais c'est toujours comme ça... ça fait 2 semaines que le PQ est élu.. à mon point de vu, on peut se calmer le pompon trois secondes.. on le demandait pour le PLQ après 9 ans... me semble que ça peut s'appliquer après 2 semaines et moins.. tk, c'est mon avis...
Danie a écrit : [...]
Pas nécessairement. Un n'est pas le corolaire de l'autre. Par contre, il y a des principes de la psychologie des groupes comme la dépendance, l'interdépendance et la contre-dépendance qui s'appliquent bien dans certains cas. Ainsi,
♥ Les ennemis de nos ennemis sont nos amis.
♥ Voulez-vous juger un homme ? Observez ses amis. - Fénelon
♥ Quand mes amis sont borgnes, je les regarde de profil. - Joseph Jouber
♥ La complaisance fait des amis, la franchise engendre la haine. - Térence
♥ En politique, il vaut mieux avoir tort avec ses amis que raison avec ses adversaires. - Edouard Herrio
♥ Ayez des ennemis ! Vos amis se lasseront de parler de vous ; vos ennemis, jamais! - Pierre Veber
C'est ce que je pense aussi!Placeress a écrit : Perso, je ne peux pas dire que le PQ à fait une gaffe monumentale puisqu'ils n'ont pas rellement commencé encore, c'est des annonces médiatiques et non des faits pour l'instant, il y a encore bien des étapes à franchir avant de parler de gouvernance du PQ. Après 9 ans de règne des libéraux, je pense qu'on sait de quoi on parle lorsqu'on critique une décision prise et appliquée. Pour le moment, le PQ à parlé, mais n'a pas encore gouverné proprement dit.
Ce n'est pas la question du temps, car pour ça je serais prêt à leur en accorder même si je ne suis pas d'accord avec la plupart de leurs politiques, mais ce qui me dérange le plus c'est qu'on a pas les moyens de procéder par essais - erreurs. Je ne comprends tout simplement pas l'empressement du PQ de mettre en branle un paquet de mesures dans l'espace d'une seule semaine sans avoir au préalable pris le temps d'en mesurer les conséquences. Y'a pas de mal à réfléchir avant d'agir. Juste par exemple le fait d'avoir laissé aux étudiants les bonifications des prêts et bourses alors qu'ils ne s'attendaient aucunement à ce cadeau-là fait en sorte que plus jamais ça ne pourra leur être enlevé sans soulever leur colère, encore une fois. Enlever la taxe santé de 200$ au lieu de seulement la modifier pour arriver un peu plus dans le budget aurait pu convenir à plusieurs personnes. Ça se planifie ces choses là, tu ne peux pas juste couper tes revenus et souhaiter que tout s'arrange tout seul par la suite par magie. Y'a rien de plus rationnel que la comptabilité c'est 1+1=2 pis 2-1=1. Ce n'est pas sérieux, tant qu'a moi, qu'on veuille diriger une province (voire un futur pays) si on n'est vraiment pas fort en calcul, ce n'est peut-être pas winner pour un certain type d'électorat, mais on a pas le choix dans la vie il faut faire avec la réalité sinon ce n'est pas trop long qu'elle va nous rattraper. On a juste à voir ce qui se passe actuellement en Grèce, pis je t'avoue que je préfère de beaucoup qu'on coupe et qu'on paie un peu ici et là et éviter de vivre leur calvaire.Placeress a écrit : [...]
JE comprend mais c'Est pas un scoop.. un nouveau gouvernement fait toujours ce genre de chose... c'est juste normal... c'est tu beau, pas beau, fin pas fin.. j'en sais rien mais c'est toujours comme ça... ça fait 2 semaines que le PQ est élu.. à mon point de vu, on peut se calmer le pompon trois secondes.. on le demandait pour le PLQ après 9 ans... me semble que ça peut s'appliquer après 2 semaines et moins.. tk, c'est mon avis...
La mémoire sélective de Jean-Marc Fournier
De son côté, la réaction du chef libéral par intérim montre à quel point, dans ce parti, quel que soit le sujet, on verse dans le discours de la peur et l’hyperbole chronique. Le phénomène commence à tenir du réflexe…
En conférence de presse, M. Fournier parlait de «chaos fiscal»», d’angoisse fiscale», d’investissements dont le Québec se prive, d’une image «déjà attaquée» auprès des investisseurs étrangers. Et j’en passe.
Sa conclusion: le PQ offre un «plan de développement économique pour l’Ontario»…
Jurant dur comme fer que la «taxe santé» du gouvernement Charest est bel et bien «progressive» et non «régressive», M. Fournier fait une demande au gouvernement Marois : s’il
««veut moduler différemment les charges de la classe moyenne, qu’il le fasse par choix budgétaire plutôt que par choix fiscal. Autrement dit, qu’il regarde dans sa propre cour plutôt que dans la poche des Québécois.»»
Traduction : si Pauline Marois veut soulager la classe moyenne de la «taxe santé», qu’elle coupe dans les services plutôt que d’augmenter la charge fiscale d’une partie des contribuables.
Et Jean-Marc Fournier d’ajouter:
«« La proposition qu’ils mettent sur la table a pour conséquence de ralentir l’économie, de réduire l’emploi, de baisser les revenus de l’État, d‘affaiblir les services publics, et à la fin, de revenir chercher l’argent dans la poche des Québécois de la classe moyenne.»»
Cette phrase est particulièrement importante parce qu’elle trahit le propre trou de mémoire de M. Fournier… Comme s’il avait lui-même oublié ce que son propre gouvernement, sous Jean Charest, promettait en 2007.
En mars 2007, à la surprise générale, Jean Charest annonçait que la totalité des 700 millions de dollars transférés au Québec par le gouvernement Harper en guise de règlement partiel du «déséquilibre fiscal» irait non pas aux services publics, mais à des baisses d’impôts pour la «classe moyenne».
Ce faisant, le gouvernement Charest privait la population d’un 700 millions de dollars en services, auxquels s’ajoutaient par ailleurs les 250 millions de dollars de réduction d’impôts déjà annoncés au budget de février 2007.
Pour reprendre les mots de M. Fournier, les «revenus de l’État» furent ainsi privés de presque 1 milliard de dollars. Ce qui viendrait inévitablement «affaiblir les services publics».
Au point où, en 2010 et 2011, face à cette situation qu’il avait créée lui-même, le gouvernement Charest choisissait de «revenir chercher l’argent dans la poche des Québécois de la classe moyenne». Toujours pour reprendre les mots de M. Fournier.
Et il le ferait en imposant aux contribuables tout un chapelet d’augmentations de tarifs et de taxes. Incluant, entre autres, les droits de scolarité, les frais d’Hydro, des permis en tous genres, les CPE, la «taxe santé», etc..
Ce choix, vous vous en rappellerez sûrement, le gouvernement Charest l’avait baptisé «faire sa juste part».
Mais c’était essentiellement à la classe moyenne et aux Québécois à revenus modestes qu’il faisait cette demande. Non pas aux mieux nantis. Et encore moins, aux entreprises.
Ce choix, le ministre des Finances de l’époque, Raymond Bachand, l’avait même qualifié de véritable «révolution culturelle».
Une «révolution» qui, pour de nombreux contribuables aux moyens de plus en plus serrés, prendrait plutôt les allures d’un marché de dupes.
Or, maintenant qu’il accuse le nouveau gouvernement d’affaiblir les services publics en privant l’État de revenus importants, il faut croire que M. Fournier a la mémoire qui flanche. Du moins, pour ce qui est de l’action exemplaire de son ancien patron dans ce domaine.
Capuchino a écrit : [...]
Ce n'est pas la question du temps, car pour ça je serais prêt à leur en accorder même si je ne suis pas d'accord avec la plupart de leurs politiques, mais ce qui me dérange le plus c'est qu'on a pas les moyens de procéder par essais - erreurs. Je ne comprends tout simplement pas l'empressement du PQ de mettre en branle un paquet de mesures dans l'espace d'une seule semaine sans avoir au préalable pris le temps d'en mesurer les conséquences. Y'a pas de mal à réfléchir avant d'agir. Juste par exemple le fait d'avoir laissé aux étudiants les bonifications des prêts et bourses alors qu'ils ne s'attendaient aucunement à ce cadeau-là fait en sorte que plus jamais ça ne pourra leur être enlevé sans soulever leur colère, encore une fois. Enlever la taxe santé de 200$ au lieu de seulement la modifier pour arriver un peu plus dans le budget aurait pu convenir à plusieurs personnes. Ça se planifie ces choses là, tu ne peux pas juste couper tes revenus et souhaiter que tout s'arrange tout seul par la suite par magie. Y'a rien de plus rationnel que la comptabilité c'est 1+1=2 pis 2-1=1. Ce n'est pas sérieux, tant qu'a moi, qu'on veuille diriger une province (voire un futur pays) si on n'est vraiment pas fort en calcul, ce n'est peut-être pas winner pour un certain type d'électorat, mais on a pas le choix dans la vie il faut faire avec la réalité sinon ce n'est pas trop long qu'elle va nous rattraper. On a juste à voir ce qui se passe actuellement en Grèce, pis je t'avoue que je préfère de beaucoup qu'on coupe et qu'on paie un peu ici et là et éviter de vivre leur calvaire.
http://www.lapresse.ca/debats/chronique ... rouges.php" onclick="window.open(this.href);return false;Lettre aux employés de Gentilly-2
Mais qu'est-ce que vous faites avec vos protestations pépères contre la fermeture de la centrale? Réunions, pétitions, communiqués, assemblées de notables, arguments rationnels... Désolée, Messieurs-Dames, mais ce sont là des méthodes archaïques. Ce n'est pas ainsi qu'on fait avancer ses revendications dans le Québec post-carré rouge.
Sortez en masse dans la rue, munis des instruments que vous jugerez le plus aptes à effectuer le maximum de dégâts possible à la propriété publique et privée - bâtons, fourches, boules de billard, torches allumées, que sais-je. N'oubliez surtout pas de vous masquer le visage, et n'allez pas être assez bêtes pour avertir la police du trajet de vos manifs, la loi inique, ignoble et scélérate interdisant ces tactiques étant maintenant levée.
Cassez les vitrines des commerçants. Bloquez l'autoroute. Jetez des bombes puantes dans les autobus et des bombes fumigènes dans les trains. Lancez des briques aux policiers en les traitant de SS ou de gros porcs pour mieux les provoquer. Envahissez les bureaux gouvernementaux, démolissez le matériel et intimidez le personnel.
C'est ton point de vue et Raven a aussi le droit à son opinion, mais en ce qui me concerne ce n'est pas parce que quelqu'un dit quelque chose que je vais tout prendre pour du cash. Tu trouves mon exemple de la Grèce ridicule, t'as le droit, mais pourtant on pourrait s'en servir comme exemple à ne pas suivre, surtout que y'a un enjeu important qu'on ne parle pas assez actuellement soit les fonds de pension des fonctionnaires (municipaux et autres) qui vont devenir un énorme problème à plus ou moins court terme pour l'ensemble de la population. C'est sûr que pour l'instant si on ne regarde que le bout de notre nez ce n'est pas un problème, mais ça ne sera pas trop long qu'on aura pas le choix de faire avec.Placeress a écrit : [...]
1. La bonification des prêts et bourses devaient être augmenté puisqu'à la base elle était injuste face à des jeunes qui l'a méritait.. c'était un élément impondérable du conflit... pas un "compromis"....
2. Enlever la taxe santé qui perso, ne me dérange pas et ne dérange pas non plus ceux que je connais si peu soit-il y avoir une importance dans le pouls de l'opinion publique.. mais bon, j'attend de voir le point de vu et le but.. mais il se peut que je ne sois toujours pas en accord en bout de ligne... le PQ n'est pas une religion pour moi... c'est la philosophie politique avec laquelle j'adhère le plus mais pas en entier..
3" Et bon, la comparaison avec la Grèce est ridicule, Raven en a fait les détails amplement sans qu'on s'embarque à nouveau dans ça...
Donc, à mon point de vu, on se calme le pompon.. et on va vers l'avant.... on donne la chance au coureur puisque le peuple Québécois à demandé aux politiciens et aux citoyens de faire preuve de compromis et de dialogue...
C'est très préoccupant en effet. Ce sera plus que compliqué à régler. La crise étudiante , c'est de la petite bière à comparer. Il s'agit ici de choses qui ont été négociées et ce sera difficile à changer. C'est un des plus grands défis qui attendent les futurs gouvernements. Et il va sans dire que les sommes impliquées dépassent et de loin ce dont il était question dans le conflit étudiant.Capuchino a écrit : [...]
C'est ton point de vue et Raven a aussi le droit à son opinion, mais en ce qui me concerne ce n'est pas parce que quelqu'un dit quelque chose que je vais tout prendre pour du cash. Tu trouves mon exemple de la Grèce ridicule, t'as le droit, mais pourtant on pourrait s'en servir comme exemple à ne pas suivre, surtout que y'a un enjeu important qu'on ne parle pas assez actuellement soit les fonds de pension des fonctionnaires (municipaux et autres) qui vont devenir un énorme problème à plus ou moins court terme pour l'ensemble de la population. C'est sûr que pour l'instant si on ne regarde que le bout de notre nez ce n'est pas un problème, mais ça ne sera pas trop long qu'on aura pas le choix de faire avec.
Exact. Pis ça risque de nous plonger dans un énorme déficit. Ca serait l'fun qu'on en tienne compte avant que ça nous tombe de plein fouet en pleine face. Le pire c'est que ce n'est pas parce qu'on en parle pas que ça n'existe pas, c'est juste latent, ça s'en vient pis ça va faire mal pas à peu près. C'est pour ça que chaque dollar est important et il faut faire très attention comment on dépense chacun d'eux.bouquet a écrit : [...]
C'est très préoccupant en effet. Ce sera plus que compliqué à régler. La crise étudiante , c'est de la petite bière à comparer. Il s'agit ici de choses qui ont été négociées et ce sera difficile à changer. C'est un des plus grands défis qui attendent les futurs gouvernements. Et il va sans dire que les sommes impliquées dépassent et de loin ce dont il était question dans le conflit étudiant.
Et ce serait le temps que ça se règle, parce que pour le monde qui n,ont pas de fonds de pension, on s'entend que ça va faire chier de payer à même les impôts le déficit des dits fonds . J'ai pas super hâte à la crise sociale que cela engendrera.Capuchino a écrit : [...]
Exact. Pis ça risque de nous plonger dans un énorme déficit. Ca serait l'fun qu'on en tienne compte avant que ça nous tombe de plein fouet en pleine face. Le pire c'est que ce n'est pas parce qu'on en parle pas que ça n'existe pas, c'est juste latent, ça s'en vient pis ça va faire mal pas à peu près. C'est pour ça que chaque dollar est important et il faut faire très attention comment on dépense chacun d'eux.
Ça m'inquiète vraiment, car on dirait que depuis le conflit étudiant la population est de plus en plus divisée. Les étudiants sont bien contents d'avoir gagné leur bataille "HISTORIQUE", mais j'ai bien peur que ce qui va rester d'HISTORIQUE de leur bataille c'est qu'il n'y aura plus personne qui voudra plier pour le bien collectif. J'espère que je me trompe.bouquet a écrit : [...]
Et ce serait le temps que ça se règle, parce que pour le monde qui n,ont pas de fonds de pension, on s'entend que ça va faire chier de payer à même les impôts le déficit des dits fonds . J'ai pas super hâte à la crise sociale que cela engendrera.
Ce que j'ai mis ne sont pas des phrases toutes faites mais des citations avec leur auteur.Placeress a écrit : [...]
Ouai... là je vois, on parle de psycho-pop et de phrases toutes faites utilisées en psycho pour faire du cash rapidement avec de la facilité verbale, les livres où tout est supposément la vérité pour tous sans comprendre que chaque être-humain a une différence de vie et que toutes les recettes ne font pas pour tous ..... perso, je te parle de psychanalyse réelle et appliquée, de psychodynamique ... appliquée de façon individuelle.... bon, on se perd là.. mais on ne parle pas de la même chose je crois..
Il y a d'autres personnes qui ont aussi des rapports problématiques avec l'argent. Les entrepreneurs à faillites multiples par exemple. Ou encore ceux que l'on taxe d’avaricieux et leurs opposés, les accumulateurs incorrigibles. Et que dire des hyper-dépensiers comme les compulsifs du magasinage? Tout est dans la notion de rétention-libération. Tous les jeux de mots sont permis ici. 
Freud ne disait-il pas que l'humour est un mécanisme qui sert à libérer des tensions. À la défense des étudiants, je dirai juste que la plupart d'entre eux sont assez lucides pour voir ce qui s'en vient. Et ils n'ont pas encore profité du système , même s'ils en ont adaptés les comportements. À savoir , une propension à chialer plus fort que l'autre afin d'obtenir l'objet convoité. Et ils ont eu de très bons professeurs. Je ne parle pas ici de génération en particulier, tout le monde devant un plat de bonbons qu'il aime aura tendance à se mettre les mains dedans et à en mettre quelques uns dans ses poches. Sauf quelques diabétiques( personne à conscience sociale élevée )Capuchino a écrit : [...]
Ça m'inquiète vraiment, car on dirait que depuis le conflit étudiant la population est de plus en plus divisée. Les étudiants sont bien contents d'avoir gagné leur bataille "HISTORIQUE", mais j'ai bien peur que ce qui va rester d'HISTORIQUE de leur bataille c'est qu'il n'y aura plus personne qui voudra plier pour le bien collectif. J'espère que je me trompe.
Le Prof Lauzon a toujours été fonctionnaire il n'a aucune idée de ce que c'est que de se lancer en affaire il ne l'a pas vécu. Se lancer en affaire au début c'est se lancer dans le vide sans savoir où tu vas atterrir et tu ne peux compter que sur toi, y'a pas personne en arrière qui te back si tu en arraches. Tes chances de tout perdre sont fortes, d'ailleurs pour un qui réussit y'a je ne sais combien qui font faillite. Tu es toujours dépendant des marchés. Un dollars fort peu aider certains et nuire à d'autres, etc. Tu dois toujours être à l'affût si tu ne veux pas que ton entreprise meurt. Fake le Prof Lauzon lui il ne vit pas ce stresse là, car il n'a pas besoin de vendre quoi que ce soit pour que son salaire soit garanti, il a même le droit d'être malade sans que cela n'affecte ses revenus, mais il veut que tous les québécois puissent profiter des entreprises rentables sans pour autant prendre part aux pertes des entreprises déficitaires. Donc, je vais prendre un certain recul avant d'accorder la moindre importance aux discours du Prof Lauzon.Danie a écrit : [...]
Ce que j'ai mis ne sont pas des phrases toutes faites mais des citations avec leur auteur.
La psycho-pop, c'est vrai que ça peut être payant comme tout métier qui vend du bonheur.
Par contre, la psychanalyse et les théories de la personnalité, ça c'est du sérieux!
En fait, on parle de la psychologie des profondeurs, celle de la noirceur où se cache le Ça (ou le Id, comme le décrivait Freud). Le Ça, à qui ont impute les difficultés du stade anal et de l'entrainement à la propreté, nous ramène donc aux mouches du prof Lauzon. Car, qui dit mouche, dit parfois "mouche à m*erde". Et quel est le lien entre les mouches et l'argent? La m*erde, pour résumé tout simplement. Ce livre nous l'explique très bien.
Donc haïr autant que le prof Lauzon ceux qui ont de l'argent est probablement un symptôme de quelque chose.
À partir de quelques notions de psycho, on pourrait donc très bien tracer un profil de personnalité de nos politiciens et de nos grands penseurs. Comme le disait Bouquet plus haut, tout remonte à l'enfance.
Comme tu peux lire, il mange à toutes les tables en autant que c'est gratos.«L'avenir est aux partis socialistes», a soutenu M. Lauzon dans un entretien téléphonique à la Presse canadienne, en soulignant l'arrivée au pouvoir, ces dernières années, de gouvernements de gauche en Espagne, en Amérique latine et au Royaume-Uni. «Il ne s'agit pas de dire: "À bas le secteur privé", mais plutôt d'accroître les mesures sociales», a-t-il précisé.
Mais étonnamment, ce n'est pas parce qu'il jongle avec l'idée de devenir candidat néo-démocrate que M. Lauzon abandonne son rêve d'un Québec souverain. «Il est bien évident que je suis souverainiste, mais avec une association avec le reste du Canada, et ça, ça restera à déterminer», a-t-il reconnu, sans faire mention des tendances centralisatrices du NPD.
Seulement, il est en porte-à-faux avec les deux principaux partis indépendantistes, le Parti québécois et le Bloc québécois.
«Une souveraineté avec le PQ, je n'en veux pas: c'est un parti de droite!», lance-t-il. De toute façon, le régime actuel ne présente pas que des inconvénients, selon lui. «Le fédéral n'a pas que des torts, affirme Léo-Paul Lauzon. Si ça n'avait pas été du gouvernement fédéral, ça fait longtemps qu'on aurait eu un système de santé privé au Québec.»
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Mais quelle mouche l’a piqué ?
Quand il s’attaque aux excès des grandes corporations, financières, pharmaceutiques, pétrolières ou autres, Léo-Paul Lauzon réussit souvent à s’attirer un courant de sympathie.
Mais en décriant les REER, comme il vient de le faire, il s'enfarge dans les fleurs du tapis.
D’après une étude de l Chaire d’études socioéconomiques de l’UQAM, il faut abolir les CELI et réduire radicalement les plafonds de cotisation aux REER. Motif : ce sont des échappatoires fiscales qui profitent d’abord et avant tout aux riches.http://www.lesaffaires.com/blogues/rene ... eer/530064" onclick="window.open(this.href);return false;
